Des luttes anonymes fratricides aux chutes de régimes liberticides, l’Afrique, enjeu du pouvoir occidental, devient un terrain de jeux dangereux, l’enjeu d’un “black power” national sans “black panthers”.
Depuis la semaine dernière, une plainte monte de l’Afrique noire, des entrailles et des entailles de la terre-mère.
Les semailles de sang s’annoncent riches pour ceux qui vendent l’Afrique à ses exploiteurs, à ses tueurs.
Qui peut vouloir la fin de la race noire, pour chasser de ses terres un peuple frère condamné à l’esclavage ou à la mort, la lente mort ?
Quel damné peut avoir programmé de récupérer les terres d’Afrique, sans les Africains, l’âme de l’Afrique ?
Qui est le sauvage, un sauvage sans couleur qui n’a pas de respect pour la vie des noirs, du frère qui survit dans le désespoir et la misère ?
C’était hier, l’époque des colonisations.
C’est demain, l’époque des guerres voulues par les dictateurs noirs, maîtres de rien et de tout, esclaves des maîtres du monde qui veulent les terres sans les noirs, esclaves de leur argent et servant le diable plutôt que Dieu.
La plainte s’enfle et grandit, comme une vague immense qui va s’abattre sur la terre d”Afrique, l’Afrique noire.
Qui veut les terres d’Afrique et leurs richesses minières, sans leurs ressources humaines, trop “populaires” ? Les collaborateurs des oppresseurs sont des tueurs, les tueurs noirs de leurs propres frères noirs.
Dormir, est-ce possible ?
L’Afrique appelle à l’aide.
L’âme noire de la grande Afrique me hèle :
– “Dis-leur à mon peuple, dis-leur qu’ils ont programmé la fin de la race noire pour se saisir des terres d’Afrique. Dis-leur qu’ils veulent les faire mourir.”
Programmer l’extinction de toute une race, comment est-ce possible ?
A mon effroi sceptique, on m’oppose la programmation d’un autre génocide devenu historique qui a bien failli réussir au XXème siècle.
C’était la solution finale.
Et un siècle, qu’est-ce un siècle, qu’est-ce que cent ans, dans l’histoire des hommes de ce monde ? C’était hier et c’est peut-être aujourd’hui.
Voici le champion Jesse OWEN qui a humilié Adolf HITLER, en remportant quatre médailles d’or aux Jeux Olympiques d’été, à Berlin, en août 1936.
Adolf HITLER avait en abomination la race noire.
Mais pas seulement lui !
Le Ku-Klu-Klan perdure et ses ramifications se perdent de vue dans les nervures politiques de sociétés qui survivent à la programmation d’un holocauste qui n’était pas seulement celui du peuple juif.
Pourquoi ?
Parce qu’il ne serait pas possible d’organiser l’exode rural de tous ces peuples noirs trop nombreux aujourd’hui.
Il est plus facile de les faire disparaître que de les empêcher de naître sur leurs propres terres, pour en devenir les maîtres.
Parce qu’il serait trop difficile de les chasser de leurs terres, sans les indemniser, sauf si ce sont d’autres frères noirs qui s’en chargent.
Les guerres ont leurs cibles et ces cibles invisibles ne sont pas toujours celles que l’on veut nous faire voir.
Les peuples d’Afrique noire sont en guerre, mais leur ennemi n’est pas le frère d’Afrique.
Leur ennemi est le spoliateur, un oppresseur invisible, celui qui a voulu les guerres pour récupérer des terres désertées.
Qui veut les guerres, ces guerres qui se multiplient un peu partout sur la planète-terre ?
Qui a peur de perdre ses propres terres, peut-être à cause des changements climatiques ou parce que leurs ressources naturelles seront épuisées ?
Qui a programmé de venir prendre ce qui ne lui appartient pas, au risque de faire disparaître une race d’hommes ?
Si la couleur noire existe, “Black is beautiful”.
Ne touche pas à la race noire, car malheur à toi !
“Diviser pour mieux régner” est la devise du Prince Machiavel.
La devise est ancienne et manichéenne.
La devise est machiavélique, au sens d’un cynisme qui n’a d’égal que le mépris royal du spoliateur économique et de l’exploiteur politique, l’affameur des peuples noirs, pour des sujets en situation critique devenus objets d’une domination monolithique qui n’est pas la religion, leur religion d’origine.
Ou alors c’est la religion de l’argent qui n’aime pas les gens, la religion du “fachisme”, d’un néo-nazisme mondialiste.
Très rapidement, l’Afrique noire va devoir choisir.
Si les peuples noirs ne comprennent pas que ces guerres intestines n’ont pas d’autre objectif que de faire disparaître une race noire qui a toujours été dans la ligne de mire de l’objectif d’envahisseurs économiques venus de l’Occident et de l’Orient, les noirs disparaîtront.
Ils s’effaceront tandis que des faux-défenseurs des Droits de l’homme se fâcheront médiatiquement et tâcheront de cacher leur complicité avec ceux qui comptent les morts noirs sur la terre d’Afrique.
Quelle belle duplicité, une duplicité mondiale !
Une réelle complicité avec des menteurs et des tueurs, bonimenteurs de faux espoirs.
Nos frères noirs d’Afrique nous avaient pourtant bien prévenu :
– Comme eux, les Européens connaîtront à leur tour la colonisation de leurs terres par des prédateurs venus d’ailleurs, apportant la misère et important leurs guerres.
Oui, l’Europe vend ses terres aux plus offrants et se moque bien de la misère de ses peuples.
Les Européens vont pouvoir goûter aux joies de la famine quand les mines de leurs enfants ressembleront à celles des petits vieux, ridés par la déshydratation et la déshumanisation de leur monde occidental.
Ils devront ajouter au “travailler plus” le “voyager plus” des “sans domicile fixe”.
En Afrique noire, les vautours sont de retour.
En Europe, ces équarrisseurs naturels se préparent et volent déjà dans le ciel, au-dessus de nos têtes, préparant la guerre avec la Russie, prêts à tout, pour nous acheter nos terres.
Ces rapaces démarrent la chasse et flairent les carcasses économiques à très haute altitude.
Pendant ce temps, nos élus politiques polissent la pierre, la pierre philosophale d’un autre âge, l’âge de pierre où les hommes s’entretuaient pour survivre.
La loi du plus fort triomphe dans le monde, grâce aux vendeurs de bibelots et de breloques, aux vendeurs de fric et de frime.
L’habitude de la soumission, l’hébétude qui suit les démissions politiques, devient l’attitude médiatique d’une classe d’hommes politiques gérant un monde sans avenir, eux qui ne pensent qu’à s’enrichir.
Si la planète disparaît, ils disparaitront.
Mais ils ont déjà trouvé la solution, croient-ils, eux qui ne croient en rien.
Ils iront sur Mars, la planète du dieu de la guerre, de leur dieu.
Là, ils récrééront un monde qui ressemblera à ce monde, à leur ancienne terre, à l’enfer.
Un monde à l’envers !
Le paradis, ils n’y croient pas.
Ils croient en leur Q et en leur friQ.
Un point, c’est Q.
Terre d’Afrique, mère de tous les hommes, qui a vu naître ses prophètes, et les prophètes de la race noire, rappelle-toi :
L’Afrique est un continent où le Christianisme s’est largement répandu, le feu de l’Esprit Saint vivifiant le feu de l’animisme africain.
Dieu est nature.
La nature est Dieu.
La nature parle et la voix de Dieu se fait entendre dans le souffle du vent et le bruissement des feuilles de l’arbre-racines.
Le continent africain a eu ses Saints Prophètes, lesquels ont consolé le peuple dans sa grande souffrance et ont opéré des miracles au nom de Dieu.
Ces prophètes ont prédit des événements futurs.
Lisez et jugez car les temps sont venus de se rappeler la mémoire noire, sainte et sacrée de la terre d’Afrique.
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Le plus célèbre d’entre eux s’appelle Simon Kimbangu
[Extraits d’autres sites et ouvrages, voir in fine]
Simon Kimbangu est né le 12 septembre 1887 à Nkamba et il est mort le 12 octobre 1951 à Élisabethville (actuelle Lubumbashi) au Congo.
Bien que le père de Kimbangu ait été un chef de file religieux traditionnel, Simon fut converti par la Société Missionnaire Baptiste en 1915.
Kimbangu signifie : “Celui qui révèle les choses cachées“.
Il avait le privilège de voir et de converser avec le Christ.
Il eut une vision dans laquelle Dieu lui aurait donné sa mission divine de prêcher et de guérir.
A plusieurs reprises, Kimbangu refusa d’obéir à l’appel en expliquant qu’il n’était pas à la hauteur d’une si haute et importante mission.
La voix du Christ se faisait de plus en plus pressante. Le 6 avril 1921, au hameau de Ngombe Kinsuka, une vision divine lui intima l’ordre de ressusciter une petite fille qui venait tout juste de mourir.
Il aurait alors guéri une dénommée Nkiantondo, au nom de Jésus-Christ.
Kimbangu regrettait le temps passé dans ses hésitations et le Christ lui répondit : “Tu dois souffrir comme J’ai moi-même souffert, ainsi que ceux qui ont marché sur mes voies, mais tu vaincras car Je serais avec toi.”
Ce premier “miracle” de Kimbangu va amorcer ce que les historiens ont appelé le “semestre effervescent” (du 6 avril au 12 septembre 1921), une intense période de prédication et de miracles qui va secouer l’Empire Colonial Belge, l’Angola et même le Kongo Français.
Il acquiert vite la réputation de ressusciter les morts, de rendre la vue aux aveugles, de faire parler les sourds et muets, de faire marcher les paralytiques et de chasser les esprits démoniaques.
L’une de ces résurrections, particulièrement spectaculaire, fut celle d’une jeune fille appelée Dina : elle avait alors 15 ans, elle était morte et son corps était déjà en décomposition (tel celui de “Lazare” ressuscité par Jésus). Kimbangu à travers une prière la ramena à la vie.
C’est ainsi qu’il attira à ses prêches des milliers d’auditeurs, provoquant la méfiance des autorités belges.
Il fut surnommé Ntumua ya Nzambi’a Mpungu, traduction en kikongo d’« envoyé de Dieu tout puissant ».
Son village, Nkamba, fut rebaptisé la Nouvelle Jérusalem.
Les guérisons de Kimbangu eurent un impact retentissant et nombre de ses disciples proclamaient ses cures et ses miracles.
Les autorités commencèrent une chasse aux Kimbanguistes. Beaucoup furent arrêtés, emprisonnés, puis fouettés et humiliés publiquement pour servir d’exemple.
Le 12 Septembre 1921, Kimbangu se rendit de lui-même sous la recommandation de Jésus Christ aux autorités, puis il fut transféré à Thysville (Mbanza-Ngungu).
Un tribunal d’exception siégea du 29 septembre au 3 octobre 1921, sans avocat pour défendre Kimbangu et quelques-uns de ses disciples, jugés en même temps que lui.
Lors de son procès, il se posa clairement en martyr du Christ et mit en avant la similarité de la sentence.
Il prédisait avec force la future indépendance du pays et de son peuple, ce que n’acceptèrent pas ses détracteurs complètement favorables au système colonial qui les enrichissait.
Kimbangu enseignait la Bible et prêchait à ses fidèles à bien se comporter en famille et dans la société.
Il prônait l’amour de son prochain et cela, toutes races confondues.
On rapporte ses dons de bilocation. Durant ces trente ans d’incarcération, plusieurs fois Simon Kimbangu apparut en différents endroits, alors qu’il était supposé être enfermé dans sa cellule à Lubumbashi.
Il existe maints documents de témoignages attestant ces faits.
Des témoins rapportent des apparitions ou séjours de Kimbangu ont été observé à Efonda (Equateur), à Béfalé (Equateur), à Borna (Bas-Kongo) en 1942, à Makanga, à Lowa du 29 juillet au 5 août.
En avril 1942, Kimbangu apparut physiquement et fut arrêté à Lubumbashi en cinq endroits différents mais en même temps.
La population Brazzavilloise du Kongo Brazzaville fut aussi, au cours de cette période, témoin d’apparitions physiques de Simon Kimbangu.
Deux jours avant sa mort, soit le 10 octobre 1951, Kimbangu annonça à ses codétenus que sa détention allait se terminer et qu’il mourrait 2 jours plus tard : le vendredi 12 octobre 1951 à 15 heures précises. Il avait 64 ans.
Il mourut paisiblement non sans avoir au préalable prophétisé des épreuves terribles pour la Belgique et l’Occident dans les temps futurs.
Le 29 juillet 1952, neuf mois après sa mort, le Prophète Kimbangu apparut physiquement à Lowa devant ses fidèles. Il resta là 8 jours parmi eux, en mangeant, buvant comme chaque personne, et en prêchant beaucoup.
Avant sa mort, Kimbangu avait créé un puissant Mouvement Spirituel, qu’il appela “Kintuadi” (=l’Union, l’Unité, la Communauté), voué à la Libération totale de l’Homme noir.
Les membres du Mouvement de Simon Kimbangu furent l’objet de nombreuses persécutions et déportations de leur Kongo Central natal vers plusieurs localités de l’Equateur, du Haut-Kongo et du Katanga comme Ekafela, Ubundu, Lowa, Elisabethville.
Le nombre des fidèles du Prophète Kimbangu qui furent déportés de 1921 à 1959 dépassa les 150 000.
Ils ne revinrent jamais au Congo et moururent en déportation dans les travaux forcés, les coups de fouets et les mauvais traitements.
Kimbangu a favorisé le rassemblement, la cohésion, et la confiance mutuelle entre les communautés du Kongo.
Il a également permis de contester l’autorité des chefs locaux, les présentant justement comme des laquais des autorités belges.
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Prophéties
Dans sa prédication, Kimbangu, annonçait souvent la libération prochaine de l’Afrique et du “Kongo” de la domination coloniale d’abord et de la domination occidentale en général par la suite.
Le Prophète Simon Kimbangu donna ce discours, le samedi 10 Septembre 1921, tout au début du culte matinal, vers 9 h 00 ; alors qu’il entrait dans l’enclos en rameaux, le visage grave, le regard vif, il s’adressa en ces termes à la foule :
« Mes Frères, l’Esprit est venu me révéler que le temps de me livrer aux autorités est arrivé.
Tenez bien ceci : avec mon arrestation, commencera une période terrible d’indicibles persécutions pour moi-même et pour un très grand nombre de personnes.
Il faudra tenir ferme, car l’Esprit de Nzambi Tout-Puissant (Dieu Tout Puissant) ne nous abandonnera jamais.
Il n’a jamais abandonné quiconque se confie en Lui.
Les autorités gouvernementales vont imposer à ma personne physique un très long silence, mais elles ne parviendront jamais à détruire l’œuvre que j’ai accomplie, car elle vient de Nzambi le Père (Dieu le Père).
Certes, ma personne physique sera soumise à l’humiliation et à la souffrance, mais ma personne spirituelle se mettra au combat contre les injustices semées par les peuples du Monde des Ténèbres qui sont venus nous coloniser.
Car j’ai été envoyé pour libérer Cula min-kangu mai Kongo (les Peuples du Kongo) et Zindombe zazo (Race Noire Mondiale).
L’Homme Noir deviendra Blanc et l’Homme Blanc deviendra Noir.
Blanc et noir seront confondus dans la même haine.
Hommage aux tirailleurs sénégalais morts pour la France contre l’occupant nazi :
[ C’est ensuite que la barbarie nazie se déchaîne. Les prisonniers sont regroupés avec une sauvagerie incroyable. S’étant interposé, le capitaine reçoit une balle dans le genou tirée d’un Allemand plus excité que les autres. Il est évacué. Puis la colonne est formée pour prendre à pied la direction des Chères par la D 100, les Africains groupés à l’avant, à l’écart de ce qui reste de leurs camarades européens.
A mi-distance entre Chasselay et les Chères, au lieu dit “Vide-Sac”, terrain dégagé en bordure de route, tous les Africains sont hachés à la mitrailleuse et au canon des chars. Les blindés écrasent de leurs chenilles les morts et les agonisants. Selon les témoignages d’habitants, le massacre a duré plusieurs minutes. ]
Car les fondements spirituels et moraux, tels que nous les connaissons aujourd’hui seront profondément ébranlés.
Les guerres persisteront à travers le monde.
Le Kongo sera libre et l’Afrique aussi.
Mais les décennies qui suivront la libération de l’Afrique seront terribles et atroces.
Car tous les premiers gouvernants de l’Afrique libre travailleront au bénéfice des Blancs.
Un grand désordre spirituel et matériel s’installera.
Les Minyadi (gouvernants) de l’Afrique entraîneront, sur le conseil des Blancs, leurs populations respectives dans des guerres meurtrières où ils s’entretueront.
La misère s’installera.
Beaucoup de jeunes quitteront l’Afrique dans l’espoir d’aller chercher le bien-être dans les pays des Blancs.
Ils parleront toutes les langues des Blancs.
Parmi eux, beaucoup seront séduits par la vie matérielle des Blancs.
Ainsi, ils deviendront la proie des Blancs (Nkuta Mindele).
Il y aura beaucoup de mortalité parmi eux et certains ne reverront plus leurs parents.
Il faudra une longue période pour que l’Homme Noir acquière sa maturité spirituelle.
Celle-ci lui permettra d’acquérir son indépendance matérielle.
Alors s’accomplira la Troisième Etape.
Elle sera embrouillée par des enseignements et des principes moraux pervers venus du monde Européen (Mavanga ma bisi Mputu).
Elle ne connaîtra plus les principes maritaux de ses ancêtres.
Elle ignorera sa langue maternelle. Alors je vous exhorte à ne pas négliger ni mépriser vos langues maternelles.
Il faut les enseigner à vos enfants et à vos petits enfants.
Car viendra un temps où les langues des Blancs seront oubliées.
Nzambi a donné à chaque groupe humain (Nkangu wa bantu) une langue, pour qu’il s’en serve comme d’une “alliance de communication” (Nsinga wa Mbila)… »
Le grand mufti et les SS de la Handschar
Nazisme et islam(isme) : le grand mufti et Adolf Hitler
Je le jure au Nom de tous les Envoyés qui ont été tués au Kongo, en Afrique, en Asie, en Amérique et en Europe : que leurs esprits maudissent ces ignobles individus qui auront causé la mort et la désolation aux peuples du Kongo, qu’ils soient Blancs ou Noirs !
Qu’ils soient détruits et envoyés dans les Prisons Spirituelles des Cieux.
Je le répète encore trois fois devant les deux et la Terre : gare à ceux qui continuent à chercher la désolation dans les quatre coins du monde !
Venez ! Oh ! Nzambi, viens ! Je t’appelle ainsi que tous les Anges de la Guerre (Mbasi za Mvita), afin de conduire un combat contre ce monde des ténèbres (Nsi ya bubu) !
Gare à ceux qui continuent à renforcer l’Esclavagisme et la Colonisation des peuples Noirs !
Nzambi, tu es un Dieu Vivant.
Que Votre Alliance soit sanctifiée et bénissez les Peuples Kongo et la Race Noire de toute l’humanité !
Amen. »
La désignation : “Les Peuples Kongos ou du Kongo” correspondent à l’ancien Royaume Kongo (Kongo Dia Ntotila), qui s’étend aujourd’hui en République Démocratique du Kongo (ou Kongo-Kinshasa), en Angola, au Kongo Brazzaville, au Kongo Gabon, mais aussi à tous les peuples bantous d’Afrique.
Simon Kimbangu annonça entre 1921 et 1951, par ordre chronologique :
– la libération des Africains à travers les premières indépendances nominales des années 60, qui ne seront que de fausses indépendances ou une illusion d’indépendance ;
– l’arrivée au pouvoir de dictateurs en Afrique qui serviront leurs propres intérêts et ceux des anciens maîtres coloniaux (l’Occident) ;
– la montée de guerres meurtrières (guerres civiles) partout en Afrique peu après les Indépendances nominales des années 60 ;
– l’exode de beaucoup de jeunes africains vers les pays des occidentaux pour fuir l’oppression et la misère ;
– puis, finalement, la conquête dure et héroïque d’une deuxième « vraie » Indépendance pour l’Afrique entière (« Dipanda Dianzole »), qui sera conduite par la venue d’un Prophète, le « Nkua Tulendo », dont le Verbe sera à la fois Religieux, Scientifique et Politique.
Le grand Prophète viendra conduire une réelle décolonisation spirituelle, économique et politique de l’Afrique noire, il viendra restaurer le Royaume Kongo, il viendra restaurer les frontières africaines naturelles d’avant l’ère de la colonisation.
Il viendra avec un message puissant dans un Livre, ce livre sera repoussé dans un premier temps, mais finira par être accepté par tous.
Kimbangu prédit aussi :
“Un jour l’homme blanc deviendra noir et l’homme noir deviendra blanc.”
« Les anciens polygames devenus monogames à la suite de mes enseignements redeviendront des polygames ;
Ils se diront n’avoir rien vu sur les interdits chrétiens qui puissent les convaincre.
Les anciens fétichistes le redeviendront.
Vous reprendrez vos anciennes habitudes en force, ainsi que le fétichisme et les danses licencieuses et obscènes.
Les gens adoreront le mal car beaucoup diront : cela fait longtemps que nous nous comportons de la sorte, rien ne nous est arrivé. »
« Vous prêterez surtout attention à ce que vous enseigneront ceux qui viennent d’ailleurs dont nous savons pourtant comment la loi de la force règne chez eux.
Les initiés des sociétés secrètes me haïront; ils diront que je suis très mauvais ; ils ne voudront pas entendre mon nom ; dès qu’ils entendront parler de moi, les cheveux de leurs têtes se dresseront comme s’ils sont en face d’un revenant. »
« Sachez seulement, comme je vous l’ai déjà dit : ici chez nous, c’est le Seigneur lui-même qui combattra à notre place. »
Sources :
« Kimbangu, le plus vieux et le plus jeune des ancêtres de l’humanité », Fwakasumbu Luwawanu, éd. Bibliorama, Paris, 2009
« Simon Kimbangu : Le prophète, notre contemporain », Joseph Dikunduakila Kuzeyidioko, éd. Entraide kimbanguiste, Châtenay-Malabry, 2006
« Simon Kimbangu. 1921, de la prédication à la déportation : sources », tome I (vol. 1-2), Jean-Luc Vellut éd. Académie royale des sciences d’outre-mer, Bruxelles, 2005-2010
« L’histoire du kimbanguisme », Diangienda Kuntima, éd. Kimbanguistes, Kinshasa, 1984
« L’Église du prophète Kimbangu », Suzanne Asch, éd. Karthala, Paris, 1981
« Simon Kimbangu, prophète et martyr zaïrois », Martial Sinda coll. Grandes figures africaines, éd. Nouvelles éditions africaines, Dakar, 1977
« Kimbangu : Fondateur d’Église », Charles-André Gilis, éd. Librairie encyclopédique, Bruxelles, 1960
« La Passion de Simon Kimbangu. 1921-1951 », Jules Chomé, éd. Les Amis de Présence africaine, Bruxelles, 1959
Je dédie cet article à mes frères d’Afrique, moi la blanche noire ou la noire blanche.
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Je vous demande de vous rappeler que tous les prophètes, de race blanche, indienne ou noire, nous avertissent que ces conflits, guerres civiles et guerres extérieures, sont voulues par des sociétés secrètes.
Les prophètes dont les prophéties se sont réalisées indéniablement sont donc eux aussi de “z’affreux complotistes”.
Et ce depuis le XVIème siècle, puisque le plus connu d’entre eux, Michel NOSTRADAMUS disait la même chose, prédisant l’influence néfaste de ces “sectes” secrètes, parce qu’elles ne veulent pas oeuvrer dans et pour la Lumière.
Elles oeuvrent pour le “dieu caché”, le “diviseur”, le père du mensonge, le “destructeur”, celui qui hait l’humanité mais promet à quelques uns d’entre eux pouvoir et richesses, s’ils tuent leurs frères humains.
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