“Aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années !”, extrait du “Cid” de CORNEILLE. La preuve, les enfants-soldats d’une armée, celle des Etats Islamiques qui font la guerre, pour de vrai, et la feront, la porteront et l’importeront avec eux en Europe et en France.

– “Au revoir, les enfants !” c’est pas le même air, ni la même chanson que – “Z’allons, enfants de la patrie !” Pour y voir plus clair, plongeons-nous dans l’avenir, le cauchemar d’une nuit, dans le noir, où dormir n’était plus possible en France, pour ouvrir les yeux sur la réalité d’aujourd’hui.

Un cauchemar, c’est un rêve qui ne doit pas se réaliser, jamais !

Sauf que d’autres, des adversaires [“on” les appelle des “ennemis”, pas des amis] font tout pour concrétiser ce cauchemar, tout pour que les Chrétiens crèvent.

Il y a bien longtemps, dans les années 1980, peut-être en 1986, année de la naissance de mon “Abdallah” chéri, j’ai fait uniquement ce rêve étrange et pénétrant d’enfants qui se battent, d’enfants qui tuent, qui s’entretuent et dont la haine est mise à nue dans les éclaboussures de sang qui aspergent leurs chaussures et les inondent d’une couleur rouge immonde.

“Ceux qui ne se souviennent pas du passé sont condamnés à le revivre.”

George SANTAYANA

Souviens-toi de ne pas mourir.

Aujourd’hui, c’est devenu banal.

On appelle “ça”, des “enfants-soldats”, l’Islamisme “normal” de la haine du monde, jusqu’à vouloir la mort de ses propres enfants.

Je marchais dans la rue, je ne sais plus pourquoi.

Quand on rêve, on marche, mais on ne sait pas pourquoi, peut-être pour se tenir debout, oublier qu’on est en train de dormir, que le corps dort, sans nous, dans un lit, quelque part.

Rêver, c’est toujours un peu fou.

Il y avait des tours, des immeubles.

J’étais dans une cité, ou une banlieue, ou une ZUP, ou une ZEP, ou une “zone de non-droit”, là où tout est permis parce qu’il n’y a plus que des “sans-lois” dans un monde d’effroi.

Peut-être allais-je vers l’hôpital qui se situait un peu plus loin et dont on devinait les bâtiments se dessiner au fur et à mesure que j’avançais, au fur et à mesure que je lisais “H”, “Silence Hôpital”, sur une pancarte qui ne tenait à rien, dans l’air, l’air de rien.

Dans la rue, des gens passaient indifférents.

Tout comme moi.

S’il n’y avait ce silence, ce silence d’hôpital ou ce silence dans la tête comme le calme précédant la tempête.

Tout à coup, je les ai vus, des bandes de gosses qui s’éparpillaient dans les rues comme des volées de moineaux, nos moineaux des cités, dès qu’on cherchait à s’en approcher. Ces drôles d’oiseaux devaient avoir entre huit et quatorze ans.

Ces drôles d’oiseaux étaient armés, parfois d’armes aussi hautes que leur petite taille.

Camp-enfant

Eux n’étaient pas en uniforme, ces enfants-moineaux de nos cités.

Je n’étais pas franchement rassurée. Je ne comprenais pas ce qui se passait. J’entendais des cris, des hurlements. Il n’y avait plus le silence, il y avait la souffrance et ses cris d’agonie, et leurs cris de folie et les corps meurtris de celles et ceux qu’ils avaient pris parce que surpris.

Je m’arrêtai, écoutant s’ils se rapprochaient ou s’éloignaient. Il me fallait rejoindre le plus vite possible l’hôpital et prévenir les secours, pour les mourants et les multiples blessés qui tendaient des mains que les petits revenaient trancher, avant de les achever.

Un cauchemar, oui, comme en ont vécu nos frères d’Afrique, sauf que c’était du réel, sauf que, cette fois-ci, c’était en Europe, sauf que c’était en France.

Enfants-soldats

Je ne pouvais rien faire, que me taire, pour aller prévenir, dès que possible, les survivants et faire appeler les secours.

Je me souviens que je passais de porte d’immeuble en porte d’immeuble, restant très peu de temps dans la rue, de peur d’être repérée. Dans les halls des immeubles, je me cachais aussi, les corps sur les escaliers prouvant qu’être visibles, c’était mourir. Le plus souvent, je tentais de me cacher dans le local des poubelles ou dans un ascenseur dont je bloquais la porte. Tant pis pour les autres, ceux qui étaient dehors et dont je ne savais plus rien, sauf qu’ils étaient peut-être déjà morts. Il ne fallait pas mourir pour pouvoir prévenir. Il fallait ressortir vivante.

Enfin j’arrivais devant la cour de l’hôpital. Tout avait l’air étrangement calme. Je regardai à droite puis à gauche pour traverser cette rue qui était comme traverser le couloir de la mort, si on les croisait.

J’y étais, dans la cour. Il y avait un peu d’agitation et beaucoup d’incompréhension. Des voitures de pompiers et des ambulances, deux ou trois de chaque catégorie, bloquaient l’entrée du service des urgences. Les personnes semblaient être triées. Je n’avais rien sur moi, ni papier, ni argent. J’étais partie sans rien, comme dans un rêve, les mains dans les poches.

Je décidai de rentrer par un autre bâtiment, celui de la Maternité. Je savais par où passer. Et là, je les vis, je les reconnus. Ils étaient une dizaine. Puis un autre groupe d’enfants les rejoignit. Les premiers s’engouffrèrent dans le bâtiment, tandis que le second groupe semblait faire le guet ou attendre, je ne sais quoi.

Enfant-soldat-capture-video

Je pensai que, vu leur jeune âge, ils venaient en fait chercher des membres de leurs familles.

Je n’avais pas compris.

Le second groupe laissait passer les personnes qui arrivaient. Les armes n’étaient pas apparentes. On aurait dit un groupe scolaire en visite dans un bâtiment public, un hôpital. Néanmoins, les ayant vus si sanguinaires, je décidai d’attendre, plutôt que de vivre le calvaire de celles et ceux dont les corps jonchaient les rues de la cité, quelques rues plus bas, plus haut, plus loin, si près de là où j’étais.

Tout à coup, quelques enfants du premier groupe vinrent chercher ceux du second groupe et tous s’engouffrèrent alors dans le bâtiment de la Maternité. Vingt minutes plus tard, minutes qui me parurent des heures, je les vis ressortir, les vêtements tachés de sang, avec des cris de joie et des tirs d’armes à feu. D’où sortaient-ils ces armes à feu ? Les avait-il cachées dans un coin de l’hôpital pour pouvoir s’en saisir, le moment venu ?

Je me rendis compte que j’étais allongée sur le sol, presqu’en pleurs et rentrée dans la terre, sous les bosquets de l’allée menant à la Maternité. Je ne bougeais plus. Je ne respirais plus. Je les entendais venir vers moi et j’avais peur, très peur.

Certains parlaient en français, d’autres dans leur langue d’origine, celle que les Français ne peuvent pas comprendre. De temps en temps, ils riaient, fiers d’eux, et s’arrêtaient pour compter combien ils en avaient tué, des Infidèles, des chiens de Chrétiens. Ils devaient en tuer le plus possible, et tuer surtout des enfants, les autres enfants, les bébés, les plus jeunes, pour tuer le futur de l’humanité.

Tuer l’humanité chrétienne, n’est-ce pas tuer l’humanité du monde, tuer l’Homme en l’homme ?

Il fallait tuer cette sale race, éventrer les mères, égorger les nourrissons, aller les chercher jusque dans leurs couveuses. C’étaient les ordres qu’ils avaient reçus.

Qui se serait méfié d’autres enfants ?

Califat-enfants

Ils passèrent devant moi. J’avais peur, peur du pied qui dépasse, peur de la respiration qui s’entend, peur de la main qui tremble, peur de la crampe de ventre qui fait mal et vous fait crier, avant l’autre douleur, la plus terrible, celle de la lame qui tranche, avant qu’on ait pu prier Dieu, prier pour le salut de son âme et le salut du monde.

Ils passèrent, si lentement, si sûrement, ils passèrent, comme jamais ne passèrent les jours de ma vie, les jours de colère, quand rien ne va plus parce que tout est tu.

Je compris que c’était la guerre, une drôle de guerre, une guerre contre des enfants.

Je me levai dès qu’ils furent sortis de la cour de l’hôpital et me précipitai à l’intérieur du bâtiment qui avait été une Maternité. Ce que j’y vis dépassait tout ce que j’aurais pu imaginer en horreurs humaines, si tant d’horreurs peuvent être humaines.

Ils avaient… tué. Mais “tuer”, ce terme est trop simple, trop bref, trop court, ne rendant pas compte du sadisme de ces enfants, de leur volonté de faire mal, de faire du mal, de faire souffrir, beaucoup souffrir, avant que de laisser mourir, sur place, des petits corps disloqués, démembrés, tronçonnés, abandonnés, là, comme des jouets qu’un sale gosse casse pour son seul plaisir d’être un enfant-roi, d’avoir la puissance de faire vivre ou de tuer, lui seul ayant le choix de la vie ou de la mort.

http://www.liberation.fr/monde/2014/09/08/l-etat-islamique-utilise-des-enfants-dans-des-attentats-suicide-selon-l-onu_1096118

Parfois, entre plusieurs petits cadavres, se trouvait le puzzle macabre d’un personnel “soignant”, un cadavre dont la tête décapitée se trouvait quelque part jetée, pas vraiment au hasard, pour faire peur, pour imprimer la terreur dans la tête de celle ou de celui qui regarde cette scène d’horreur. Et s’il n’y avait que la tête qui était séparée du corps !

Je compris que j’allais vomir. Je ne pouvais pas vomir sur une scène de crime. Je courus dehors, au risque de me faire voir. Mais qu’importe ! Je me rendis compte que je ne savais plus, non, je ne savais plus : quoi faire, que dire, où aller.

Dehors, les oiseaux ne chantaient plus. Il y avait trop de cris, de cris de frayeur. Après la Maternité, les enfants étaient allés massacrer les autres sales Chrétiens, ceux qui étaient au service des Urgences, et puis ensuite, encore les autres, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus un seul Chrétien à l’hôpital de ce qui avait été autrefois une calme petite ville de banlieue, sous des cieux plus cléments.

Je voyais toujours la même scène :

– des internes ou des infirmières, des médecins ou des aides-soignantes, incrédules, voyant venir vers eux ces gosses blessés, couverts de sang et prêts, eux, à les secourir… pour mourir sous leurs coups de fous-furieux !

Dans la rue, la grande rue, celle qui menait à l’hôpital, j’enjambais des monceaux de cadavres. Ils avaient été regroupés, là, sur les trottoirs, devant des halls d’immeubles, par les forces de l’ordre, les “gardiens de la paix”, pour dégager les voies de circulation.

Un peu plus loin, je vis un groupe de CRS. Ils étaient une vingtaine. En face d’eux, il y avait une dizaine de ces enfants sauvages, de ces enfants qui n’étaient que des enfants, mais pourtant déjà des “monstres” sanguinaires, rejoignant dans mon imaginaire un bestiaire infernal.

Les enfants souriaient, comme des enfants innocents. Certains déposèrent leurs armes à terre. Les policiers hésitaient. C’étaient des enfants, de simples enfants. Un enfant est toujours un innocent. On ne leur avait pas appris, aux flics, à tirer sur des enfants, même des enfants “monstrueux”.

C’est en cela qu’est la force de ce plan de haine, envoyer des enfants tuer, parce que les Chrétiens ne peuvent pas tuer des enfants, des innocents.

Pour un Chrétien, un Occidental de culture chrétienne, la vie d’un enfant, c’est sacré.

D’où le culte de l’enfant-roi, de l’enfant Jésus, du petit Jésus si innocent dans son berceau de paille.

Avant de mettre au monde un enfant, le père et la mère y réfléchissent à deux fois, question de foi en la vie, une vie meilleure, celle qu’ils veulent offrir à leur enfant.

On ne met pas au monde des enfants, dans la culture chrétienne, pour les tuer ensuite.

Le temps d’hésiter, le temps de ne pas savoir quoi faire devant ces sourires d’enfants, des sourires si purs, des enfants sortirent du groupe. Eux étaient restés armés. C’étaient les plus durs.

Ce fut rapide, presque comme dans un rêve, sauf que c’était un cauchemar.

Certains se firent exploser au pied des soldats de la République, des gardiens de la paix, une paix devenue impossible.

D’autres “innocents” enfants tirèrent à bout portant, regardant dans les yeux leurs “sauveurs”, ceux qui avaient des enfants de cet âge et ne pouvaient se résoudre à tirer sur ceux qui leur tiraient dessus, des enfants, presque leurs enfants.

Certains policiers étaient blessés, étendus au sol. D’autres agonisaient, ceux qui avaient explosé avec les enfants porteurs de bombes, parce qu’ils n’avaient pas eu la chance de mourir avec eux.

http://www.europe-israel.org/2015/02/horreur-letat-islamique-utilise-des-enfants-non-musulmans-comme-bombe-humaine-telecommandee/

Une voix résonna dans ce concert de cris et de douleurs, alors que le sang avait l’odeur des fleurs flétries sur les tombes dans les cimetières, les tombes avec leurs corps pourris qui reposent en paix, arrosées par les pleurs des survivants :

– “N’oublie jamais, car tu devras l’écrire, qu’ils entraîneront leurs enfants à tuer et les enverront en avant, l’armée des innocents, pour tuer les Chrétiens”.

Aujourd’hui, nous savons tous, surtout nos frères d’Afrique, que les “enfants-soldats” existent. Ce sont des enfants, des enfants armés à tuer. Ces enfants sont sans pitié. Ils ne connaissent que la guerre, comme un jeu, le jeu de la guerre où la misère prend fin, car ils sont enfin les rois du monde, ces innocents qui peuvent donner la mort à ceux qui leur ont donné la vie.

Une nouvelle cellule terroriste démantelée

Ils savent, les futurs envahisseurs, que, pour les Chrétiens, la vie d’un enfant, c’est sacré.

C’est pourquoi ils enverront d’abord leurs enfants se faire massacrer ou massacrer les Chrétiens.

Il fallait tuer la progéniture des Chrétiens.

Il fallait ne plus permettre la reproduction des Chrétiens entre eux, donc tuer en premier les femmes et leurs enfants, qu’importe la torture des “innocents”, des enfants qui ne peuvent pas tuer, ni se défendre contre la lame qui veut fendre le ventre de leurs mères.

Ils visaient donc les crèches, les écoles maternelles et les écoles primaires, les collèges et toutes les maternités publiques et privées, éliminant de manière systématique tous les enfants de “mécréants”.

Pour les enfants qui s’étaient réfugiés dans des églises ou des temples avec leurs parents, ils tuaient d’abord les enfants de Chrétiens, sous les yeux de leurs parents, les obligeant à regarder leurs enfants agoniser longuement.

Puis ils ont occis les parents, du nom de l’Occident, là où se couchait pour la dernière fois le soleil des Chrétiens.

Car c’était un projet politique, ce génocide des Chrétiens.

Ainsi, les enfants innocents viendront sur cette terre de promesse, la promesse faite à leur dieu sanguinaire qu’il n’y aurait plus de Chrétiens en France.

Pourquoi ai-je choisi d’exorciser ce soir ce rêve qui n’est qu’un cauchemar, à cause de pleurs versés par un enfant adoré qui refusait de dormir ?

Sans doute parce que, dans les émissions qui passent à la télévision, des journalistes montrent des enfants qui s’entraînent à tuer, en croyant que ces “innocents” ne tueront jamais, parce que ce sont des enfants.

Non, ils s’entraînent pour faire semblant, comme tous les enfants innocents.

Posez donc la question aux frères d’Afrique :

– Est-ce qu’un “enfant-soldat” peut tuer ?

Evidemment, oui.

Ils envoient déjà des petites filles se faire exploser là où le peuple vaque pacifiquement à ses occupations quotidiennes.

Et le monde occidental laisse faire.

A croire que, pour les Occidentaux aussi, la vie des femmes ne vaut même pas la vie d’une chienne.

L’Afrique nous montre que les “enfants-soldats” sont une réalité que nous ne pouvons plus fuir du regard, car nous allons l’affronter incessamment sous peu.

Il m’est demandé d’expliquer que :

– premièrement, les enfants sont insensibilisés le plus tôt possible à la douleur, la leur et celle d’autrui.

Entraîner à tuer, c’est apprendre à ne plus jamais ressentir d’empathie envers l’autre, un être humain comme eux.

C’est le contraire de l’amour de son prochain, de l’agneau qui pleure parce qu’il va être égorgé à l’enfant qui hurle parce qu’il va être égorgé.

Ils seront égorgés dans la même indifférence devant leur souffrance.

– deuxièmement les enfants sont séparés des femmes, ces ventres infâmes qui portent la vie.

Ils doivent oublier de qui ils sont nés.

Ils ne doivent plus plier devant la volonté d’une femme, même et surtout celle de leurs mères.

C’est le contraire de l’amour de la maternité incarnée par la mère de Jésus, Marie, de l’amour des mères qui portent la vie au sens symbolique, politique et physique du terme, de l’amour des femmes qui défendent la vie.

On peut être mère d’un enfant comme une femme peut être maire d’un village.

L’essentiel est de défendre la vie et les valeurs de la vie chrétienne.

La femme accouche de l’humanité, pas seulement par son ventre, mais par ses actions de défense de la vie.

Qui peut tuer un enfant ?

S’il faut perdre son âme, en tuant des enfants, alors mieux vaut mourir que tuer un enfant.

C’est pourquoi nous ne devons pas devenir des tueurs d’enfants, nous les Chrétiens.

Car ils auraient gagné, faisant de nous ce qu’ils sont, eux, des porteurs de haine, des semeurs de mort.

Il reste quelques lueurs d’espoir, notre intelligence et notre science.

Inventons, et vite, des armes non létales permettant de neutraliser un groupe, non plus un individu.

Imaginons des filets électriques jetés par des rétiaires, du haut du ciel, hélicoptères-rétiaires ou drones-rétiaires projetant sur ces groupes d’enfants ou de délinquants des nasses les emprisonnant, les neutralisant, sans les tuer, nous permettant d’épargner la vie aussi de nos soldats de la République.

Et surtout en leur évitant, à ces “gardiens de la paix” d’avoir à tirer sur des enfants en masse, eux qui sont aussi mères et pères, procréateurs et donc protecteurs de la vie, de notre vie et de la vie de tous les enfants de la Cité.

Oui, il y a d’autre solutions dans l’avenir que de tuer et s’entretuer.

Prévenir aussi.

– Prévenir, pour trouver comment ne pas tuer des enfants qui voudront tuer des Français mécréants ;

– Prévenir, pour guérir de la haine, des enfants éduqués dans la haine.

Soyons plus forts que la haine !

Mais préparons-nous au pire pour rester les meilleurs et ne pas avoir peur d’affronter l’avenir.

jésus, le bon pasteur Wallpaper

Il faut éviter que la cécité actuelle des médias ne soit l’antichambre de notre mort.

Nous devons y réfléchir.

Il y va de notre salut et du leur.

Car Il nous demande de sauver même la vie de ceux qui ne nous aiment pas.

C’est à ce signe, le signe de l’amour plus fort que la haine, qu’Il reconnaît que nous sommes des  Chrétiens.

10 thoughts on ““Aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années !”, extrait du “Cid” de CORNEILLE. La preuve, les enfants-soldats d’une armée, celle des Etats Islamiques qui font la guerre, pour de vrai, et la feront, la porteront et l’importeront avec eux en Europe et en France.”

  1. Mineurs isolés, mineurs des cités, mineurs en fugue ou mineurs vers ou de la Syrie, de l’Irak et d’autres lieux de conflits islamiques ou prétendument sociaux, ces mineurs sont l’avenir du monde, de notre monde.
    Selon ce que nous ferons d’eux, notre monde sera barbare ou un monde de paix.
    “Aimer” ne signifie pas “acheter”.
    Nos élus politiques achètent la paix civile en donnant gratuitement des biens matériels.
    L’Eglise aujourd’hui se soumet à cette demande de charité uniquement matérielle.
    Ce n’est pas faire la charité que donner des biens matériels.
    C’est céder à la peur, la peur des autres en plus grand nombre.
    C’est renier Jésus.

    Ou c’est acheter des “voix”, des voix électorales, pour gérer à court terme, le temps d’un mandat d’élu politique, des viles ou des villages, des départements ou des régions, la France, en cédant à des exigences de plus en plus envahissantes.

    Que l’Etat reprenne son rôle de distributeur de richesses uniquement matérielles !
    Ce n’est pas à l’Eglise de s’associer à des desseins politiques permettant à ces hommes méprisables d’être réélus, sans respecter la culture chrétienne.

    Lui, Il demande aux Chrétiens de distribuer d’abord des valeurs spirituelles.
    Si le quémandeur ne Le reconnaît pas comme étant le Christ, que ce quémandeur aille demander des biens matériels dans les associations non pas “laïques” [“laïc” est un mot chrétien qui fait partie du vocabulaire de l’église catholique française] mais des associations “athées”, ou d’aller quémander dans des lieux de cultes correspondant à sa croyance.

    Il est temps de ne pas vendre nos valeurs spirituelles, en nous vendant pour avoir la paix.
    L’amour du Christ ne s’échange pas avec des biens matériels.
    Il ne se négocie pas.
    Il s’accepte ou pas, en toute liberté de choix.

    Si l’homme est libre de Le reconnaître ou pas comme étant l’Homme, le fils de l’Homme, il doit aussi assumer les conséquences de ce choix, faire ou non partie de la communauté des Chrétiens.
    L’homme pécheur a toujours le choix, le choix spirituel de faire de la terre un paradis ou son enfer.

    Arrêtez de nourrir et de vêtir des corps dont les âmes n’existent plus ou qui sont animés de haine envers vous.
    Respectez leur choix de Le refuser, c’est respecter leur choix de vivre sans vous, c’est à dire sans votre aide.
    Parce que vivre sans Lui, c’est vivre sans vous qui Le représentez.

    C’est le seul moyen pacifique de combattre la haine.
    Il vous faut leur rappeler que, pour faire partie de la communauté des Chrétiens, il faut partager les mêmes valeurs pour pouvoir partager le “pain” christique… et les biens matériels produits par cette communauté “spirituelle”, la communauté des Chrétiens.

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  2. L’Etat Islamique n’attend qu’un seul signe, le signe de Satan.
    Il attend du grand Satan américain la déclaration de guerre contre la Russie.

    Ainsi, lorsque l’Europe, contrainte par l’OTAN, donc les Américains, rentrera bêtement en guerre contre la Russie, elle sera aussitôt envahie par les Islamistes.
    Il ajoute que l’Europe ne sera pas seulement envahie.
    Car beaucoup de ces adversaires sont déjà arrivés en Europe.
    Ils font semblant d’être intégrés.
    Ils patientent.

    Avant, durant la guerre froide, les services secrets auraient appelé ces agents ennemis, des “taupes”, des cellules dormantes.

    L’Europe sera donc attaquée sur deux fronts :
    – par la Russie, puisqu’elle lui aura déclaré la guerre “bêtement” (c’est Son qualificatif),
    – et par les Islamistes qui sont déjà là et qui ouvriront tous les accès maritimes et terrestres à leurs coreligionnaires.

    La question que doivent se poser les Français est la suivante :
    – A qui profitent ces guerres qui vont dévaster l’Europe ?

    Et comment expliquer cette conjonction de “situations conflictuelles” volontairement créées :
    – invasion islamiste
    – et propagande de guerre active contre la Russie, avec demandes de sanctions financières visant à ruiner davantage l’Europe bientôt acculée à une seule solution, la guerre contre la Russie.

    Pourquoi le terme “bêtement”, dans “aura déclaré la guerre “bêtement” [à la Russie] ?
    Parce que l’adverbe “bêtement” vient de la Bête.

    NE SOYEZ PAS BETES !

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  3. Vous saurez que ce qu’Il vous annonce est vrai, que c’est une prophétie, quand le monde, ce gouvernement mondialiste, lâche, veule et intéressé, commencera à diffuser une contre-propagande sur l’Etat Islamique, visant à vous faire accepter ce Califat, malgré toutes les horreurs commises, en plus des génocides des Chrétiens et des Yézidis non punis.

    Dès que vous entendrez dans vos radios et sur vos télévisions les marchands d’informations mondialistes vous vendre la paix avec l’Etat Islamique (tolérance envers son existence maléfique – faire le MAL), vous saurez que ce qui vient d’être écrit est vrai.

    Car les temps sont venus pour les Chrétiens de se réveiller ou de s’endormir à jamais.

    Ces journalistes vont tenter par tous moyens de vous expliquer qu’il vaut mieux une tyrannie stable, pourtant pire en crimes de sang que la dictature de Saddam HUSSEIN qui protégeait les Chrétiens en Irak, que le chaos mondial.

    Pourquoi ?
    Parce qu’après avoir obtenu de faire le MAL, d’avoir répandu l’esprit du MAL, le chaos et la mort au Moyen-Orient, ces dictateurs soumis à leurs Bourses ont prévu de répandre le même fléau en Europe.

    Pour eux le “mal”, ce serait une Europe puissante, un continent eurasiatique.
    Il leur faut détruire l’Europe pour rester les Maîtres du Monde.

    Image du futur :
    – Les Américains bombardant Rome et détruisant tous les monuments pour nous défendre contre les Islamistes présents sur le sol italien.

    Pour ceux qui n’ont jamais vu la trilogie des “Mad Max”, je leur conseille de les visionner pour savoir comment sera leur monde de demain, ce monde voulu par les élites marchandes américaines.
    Il faudra juste rajouter les Islamistes et leur cruauté sans limites.

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  4. Qui ment ?
    Déjà vous devez vous souvenir du mensonge des armes en Irak par l’administration BUSH :

    http://tempsreel.nouvelobs.com/l-enquete-de-l-obs/20130308.OBS1260/l-incroyable-histoire-du-mensonge-qui-a-permis-la-guerre-en-irak.html

    [ L’incroyable histoire du mensonge qui a permis la guerre en Irak

    Vincent Jauvert
    Par Vincent Jauvert
    Voir tous ses articles
    Publié le 10-03-2013 à 18h06
    A+A-I

    ENQUÊTE. Les informations qui ont servi, il y a dix ans, de prétexte à l’invasion de l’Irak, sortaient de l’imagination d’un affabulateur. […] ]

    Ce mensonge a été réitéré pour provoquer la guerre en Syrie.
    La preuve en a été donnée par les “Nations Unies”, les NATIONS UNIES, qui ne sont pas un site Internet diffusant une propagande complotiste :

    http://lavoixdelalibye.com/?p=19410

    [ Selon les NATIONS-UNIES, c’est l’opposition soutenue par les Etats-Unis et non le régime syrien qui a utilisé du GAZ SARIN

    Ginette Hess Skandrani 21 février 2015
    [0] comments
    29 Juillet 2014

    Publié par El Diablo

    Selon les NATIONS-UNIES, c’est l’opposition soutenue par les Etats-Unis et non le régime syrien qui a utilisé du GAZ SARIN ]

    carla-del-ponte.jpg

    Quel média occidental ou mondial s’est fait l’écho de cette révélation ?

    Avant de rentrer en guerre “bêtement” contre la Russie, réfléchissez et réfléchissez bien.
    Libérez-vous de la “Bête”.
    Ne soyez plus “bêtes” !
    Ouvrez les yeux et vos oreilles.

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  5. Selon les NATIONS-UNIES, c’est l’opposition soutenue par les Etats-Unis et non le régime syrien qui a utilisé du GAZ SARIN

    Ginette Hess Skandrani 21 février 2015
    [0] comments
    29 Juillet 2014

    Publié par El Diablo

    Selon les NATIONS-UNIES, c’est l’opposition soutenue par les Etats-Unis et non le régime syrien qui a utilisé du GAZ SARIN

    carla-del-ponte.jpg

    Son rapport fait voler en éclats les mensonges sur lesquels Washington et ses alliés européens fondent leur campagne pour une guerre avec la Syrie, et selon lesquels les Etats-Unis et leurs alliés se préparent à attaquer la Syrie pour protéger la population syrienne des armes chimiques d’Assad. En fait, les preuves disponibles concernant l’utilisation de gaz sarin mettent en cause les « rebelles » dominés par les islamistes et qui sont armés par des pays du Moyen-Orient, alliés aux Etats-Unis et sous la supervision de la CIA.

    Les déclarations de Del Ponte coïncident avec les frappes aériennes totalement illégales d’Israël contre la Syrie et qui ont été approuvées par le président Obama. Ces actes de guerre représentent une intensification majeure de la guerre sectaire, instiguée et soutenue par les Etats-Unis, pour un changement de régime en Syrie, guerre qui est elle-même une préparation à des attaques contre le principal allié du régime syrien dans la région, à savoir l’Iran.

    Del Ponte a été précédemment procureur général du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie ainsi que du Tribunal pénal international pour le Rwanda, tous deux soutenus par l’Occident. Elle siège actuellement dans une commission d’enquête des Nations-unies sur la Syrie. Dans une interview accordée dimanche à la chaîne italiano-suisse RSI, elle a dit, « D’après les témoignages que nous avons recueillis, les rebelles ont eu recours à des armes chimiques, et ont utilisé du gaz sarin. »

    Elle a expliqué, « Nos enquêteurs sont allés dans des pays voisins pour interviewer des victimes, des médecins et dans les antennes chirurgicales et d’après leur rapport de la semaine dernière que j’ai vu, il existe des suspicions fortes et concrètes, mais pas encore de preuve incontestable de l’utilisation de gaz sarin, d’après la manière dont les victimes ont été traitées. Et c’est de l’opposition, des rebelles, que cela venait, et non des autorités gouvernementales. »

    Elle a ajouté, « Ce n’est pas surprenant, puisque les opposants [c’est à dire l’opposition anti-Assad] sont infiltrés par des combattants étrangers. »

    Dans une Vidéo interview à la BBC, del Ponte a dit, « Nous avons rassemblé des témoignages qui laissent penser que des armes chimiques ont été utilisées, en particulier du gaz de combat. Ce qui a émergé de notre enquête c’est que cela a été utilisé par les opposants, par les rebelles. Nous n’avons aucune, absolument aucune indication que le gouvernement, les autorités du gouvernement syrien, aient utilisé des armes chimiques. »

    Ces déclarations démasquent la campagne des Etats-Unis sur les armes chimiques en Syrie comme étant une série de mensonges concoctés pour justifier une guerre d’agression au Moyen-Orient. Cette campagne a commencé fin mars, au moment où l’armée américaine annonçait les projets d’une intervention intensifiée en Syrie lorsque le régime d’Assad avait accusé l’opposition d’avoir lancé une roquette avec une ogive chimique à Khan al-Asal, près d’Aleppo. Elle avait tué 26 personnes, dont 16 soldats syriens, selon des sources de l’opposition.

    L’opposition avait réagi en alléguant que c’était le régime d’Assad qui avait tiré cette roquette chimique. C’était fort peu probable étant donné que la roquette visait des forces pro-Assad.

    Néanmoins l’establishment politique et médiatique américain a pris les allégations de l’opposition pour argent comptant, exigeant une intensification de l’intervention en Syrie, sur la base des remarques d’Obama d’août 2012 selon lesquelles l’utilisation d’armes chimiques par le gouvernement syrien serait une « ligne rouge » incitant les Etats-Unis à attaquer.

    Le 26 avril, la Maison Blanche a approuvé cette campagne dans une lettre au Congrès déclarant: « La communauté américaine du renseignement, avec différents degrés de certitude, est parvenue à la conclusion que le régime syrien a utilisé des armes chimiques à petite échelle, en Syrie, en particulier du gaz sarin. »

    Cette déclaration n’avait en fait aucun fondement et était d’évidence fabriquée sans tenir compte des témoignages rassemblés par les Nations-unies. Même après les interviews de del Ponte, des responsables américains ont continué à faire des déclarations incendiaires laissant entendre qu’ Assad utilisait des armes chimiques. Un conseiller du gouvernement Obama a dit au New York Times hier, «Il apparaît tout à fait clairement à tous qu’Assad est en train de faire des calculs pour voir si ces armes pourraient le sauver. »

    L’utilisation de gaz sarin par l’opposition islamiste sunnite soutenue par les Etats-Unis, liée à al Qaïda et qui organise régulièrement des attaques terroristes en Syrie, soulève aussi la question de savoir comment elle a obtenu ce gaz. Le conseil américain des relations internationales décrit le sarin comme un produit «très dangereux et complexe à confectionner, » bien qu’il puisse être fait « par un chimiste formé avec des produits chimiques disponibles pour le grand public. »

    Que les islamistes aient reçu le gaz sarin de leurs partisans étrangers, puis l’aient synthétisé eux-mêmes peut-être sous la surveillance de l’extérieur, ou qu’ils l’aient volé dans les stocks syriens, une chose est claire : son utilisation montre clairement la nature criminelle et téméraire du soutien des Etats-Unis à l’opposition islamiste.

    Tout au long de la guerre syrienne, l’Etat et les médias américains ont agi suivant l’hypothèse qu’il est possible de manipuler la population par les mensonges les plus outranciers. Il importait peu que ces mensonges soient même vaguement plausibles, car on pouvait compter sur les médias pour les présenter de façon à ce qu’ils justifient l’attaque contre la Syrie.

    A maintes reprises, lors du massacre de Houla en mai 2012 et du meurtre du journaliste Gilles Jacquier en janvier 2012, les médias ont fait porter sur le régime d’Assad la responsabilité des atrocités perpétrées par l’opposition, puis ont laissé tomber l’affaire lorsqu’il est apparu que c’était l’opposition qui en était responsable. Même l’annonce du gouvernement américain en décembre dernier que des forces d’opposition liées à Al Qaïda avaient perpétré des centaines de bombardements terroristes en Syrie n’ont pas affaibli le soutien des média pour la guerre.

    A présent les médias américains sont en train d’enterrer la nouvelle de l’interview de del Ponte, au moment où Washington se prépare à une intervention directe en Syrie. Il n’a été fait aucune mention hier de son interview dans aucun des programmes d’information du soir des trois principaux réseaux.

    Au contraire, après les frappes aériennes d’Israël contre des cibles syriennes jeudi et dimanche, des responsables et des experts des médias américains se sont vanté que les forces américaines étaient en mesure d’attaquer les défenses aériennes syriennes en faisant peu de victimes. (voir Les frappes israéliennes en Syrie)

    Reprenant les mensonges concernant les armes de destruction massive (ADM) utilisés pour justifier la guerre contre l’Irak, l’élite dirigeante américaine place les armes chimiques au centre de sa propagande de guerre contre la Syrie. Hier le Washington Post écrivait: « Les frappes israéliennes, suite aux reportages de ces dernières semaines disant que les forces d’Assad déployaient probablement des armes chimiques en quantité inconnue, semblaient étayer la position de ceux qui pensent depuis longtemps que les Etats-Unis devraient apporter un soutien direct aux rebelles. »

    Le New York Times a fait remarquer qu’Obama pourrait utliser les armes chimiques comme prétexte pour faire la guerre s’il attaquait sans l’autorisation des Nations-unies. Il écrit : « Il est presque certain que la Russie mettrait son veto à tout effort visant à obtenir l’autorisation du Conseil de sécurité de l’ONU pour une action militaire. Jusqu’à présent, M. Obama a évité de rechercher une telle autorisation et c’est donc une raison pour laquelle l’utilisation passée ou à venir d’armes chimiques pourrait servir d’argument juridique pour mener des frappes. »

    Le journal n’a pas fait remarquer que, dans un tel cas, la guerre d’Obama contre la Syrie serait tout aussi illégale du point de vue du droit international que l’invasion de l’Irak par Bush, il y a dix ans. Cette guerre-là qui a coûté la vie à un million d’Irakiens et a fait des dizaines de milliers de morts et blessé américains, et a aussi coûté des milliers de milliards de dollars, est profondément détestée par la classe ouvrière américaine et internationale.

    Ce besoin de l’élite dirigeante américaine de minimiser la guerre en Irak au moment où elle se prépare à lancer un bain de sang similaire en Syrie sous-tend l’article du New York Times d’hier écrit par l’ancien chef de la rédaction du Times, Bill Keller, et intitulé « La Syrie n’est pas l’Irak. » Déplorant le fait que l’expérience de la guerre en Irak, que lui-même et le Times avaient promue avec de faux reportages sur les armes de destruction massive de l’Irak, l’avait rendu «réticent vis à vis des armes », Keller a carrément affirmé, « Pour ne pas se tromper en Syrie, il faut commencer par se remettre de l’Irak. »

    Par « se remettre de l’Irak », Keller veut dire surmonter les inquiétudes concernant l’action militaire et les massacres de masse pour écraser ceux qui s’opposent à la politique américaine. Il écrit que, « En Syrie, je crains que la prudence ne soit devenue du fatalisme… Notre réticence à armer les rebelles ou à défendre les civils pour qu’ils ne soient pas massacrés dans leur maison a convaincu le régime d’Assad (et le monde) que nous ne sommes pas sérieux. »

    Déclarant que Washington est en train de préparer des plans militaires « au cas où l’utilisation par Assad d’armes chimiques nous force la main, » il demande une intervention rapide et écrit, « Pourquoi attendre la prochaine atrocité? »

    L’article va-t-en guerre de Keller est un exemple particulièrement clair de la manière dont la promotion par les médias d’une politique impérialiste est coupée de la réalité. Le fait qu’il n’existe aucune preuve qu’Assad ait utilisé des armes chimiques, ou que la prochaine atrocité en Syrie sera probablement perpétrée par les forces soutenues par les Etats-Unis, importent peu au Times. La seule chose qui compte est de bien présenter la prochaine guerre américaine, et tant pis pour la réalité des faits.

    La faillite intellectuelle et morale collective des médias et de l’élite dirigeante explique le fait que les révélations explosives de del Ponte puissent être enterrées sans commentaire. Enivrée par sa propre propagande mensongère, prête à tout pour effacer les conclusions que la population a tirées de la dernière débâcle sanglante de Washington, la classe dirigeante américaine est en train de se précipiter à tombeau ouvert vers une nouvelle catastrophe.

    Alex Lantier (Mondialisation.ca)

    Lu sur JWEK.COM

    #Actualité internationale

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    Et le pire, c’est que des stocks d’armes chimiques, gaz sarin et gaz moutarde, sont aujourd’hui entre les mains de l’Etat Islamique.
    Le pire est à venir, mais qui veut vous prévenir et peut vous prévenir, sauf Lui ?

    Ouvrez les yeux et ouvrez grand vos oreilles.

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  6. L’avenir ?

    http://www.i24news.tv/fr/actu/international/afrique/61869-150221-libye-les-djihadistes-auraient-mis-la-main-sur-des-armes-chimiques

    [ Libye: les djihadistes auraient mis la main sur des armes chimiques

    Le djihadisme en Libye représente une “menace directe” pour l’Europe (Manuel Valls)

    Capture TwitterCapture Twitter”Combattants de l’EI en Libye”
    Des milices extrémistes ont mis la main sur des caches d’armes chimiques en Libye, rapporte, samedi, le journal arabe basé à Londres Asharq Al-Awsat.

    Les sources ont dit craindre que les armes non conventionnelles récupérées, qui comprennent du gaz moutarde et du gaz sarin, pourraient tomber dans les mains des terroristes du groupe Etat islamique.

    La Libye avait pourtant annoncé l’année dernière avoir détruit la totalité de son stock d’armes chimiques hérité du régime de d’ex-dictateur Mouammar Kadhafi.

    “La Libye est devenue totalement exempte d’armes chimiques utilisables qui pourraient présenter une menace potentielle pour la sécurité”, avait déclaré le ministre libyen des Affaires étrangères, Mohamed Abdelaziz, faisant état d’un “moment historique”.

    Le djihadisme terroriste fait peser une “menace directe” sur la sécurité de l’Europe, a estimé le Premier ministre français, Manuel Valls, lors d’un congrès de sociaux-démocrates à Madrid, selon le texte de son intervention transmise par ses services.

    “Je voudrais citer la question de la Libye et de la menace directe que fait peser sur notre sécurité la création sous nos yeux et non loin de nos frontières, d’un nouveau repaire pour le djihadisme terroriste”, a déclaré Manuel Valls, en évoquant la nécessité d’un effort de défense lors de cete réunion à huis clos.
    […] ]

    350 km des côtes italiennes.

    Les Islamistes s’empareront déjà des îles qui leur serviront de repaires pour leurs divers actes de piraterie maritime et de bases arrières pour stocker de l’armement lourd et des armes chimiques.

    Et pendant ce temps-là, l’Europe se prépare à faire la guerre contre la Russie, à la demande de l’Angleterre, îlot isolé d’un isolationnisme anti-européen, et des Etats-Unis protégés et séparés de nous par l’Océan Atlantique contre toute guerre continentale.
    – Pas chez eux !
    Jamais chez eux, mais chez les autres, porteurs du malheur et semeurs de mort.
    Les Etats-Unis viennent de renforcer leur sécurité territoriale en désamorçant la bombe “Cuba”, la dernière base soviétique en Amérique, la base de lancement de missiles nucléaires contre les USA.
    “Un pur hasard”, pour les gens “bêtes”, une “bénédiction”, la bénédiction de l’imbécile, celle de la paix avec Cuba pour mieux préparer la guerre avec la Russie !

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  7. http://www.lepoint.fr/reactions/monde/commentaires-sur-nigeria-la-kamikaze-avait-7-ans-22-02-2015-1907026_24

    Le Point – Publié le 22/02/2015 à 15:37 – Modifié le 22/02/2015 à 17:03

    Nigeria : la kamikaze avait 7 ans

    [ Un attentat-suicide dans un marché à Postikum, dans le nord-est du Nigeria, a fait six morts, dont le porteur de la bombe, une fillette d’environ 7 ans.

    Une fillette d’environ sept ans a fait exploser une bombe qu’elle portait sur elle dimanche dans un marché de la ville de Potiskum, dans le nord-est du Nigeria, tuant cinq personnes, ont rapporté à l’AFP des témoins. “5 personnes ont été tuées en même temps que la fillette, et 19 autres ont été hospitalisées pour des blessures”, a affirmé un des témoins, Buba Lawan, selon lequel la kamikaze était âgée d’environ sept ans. Ses informations ont été confirmées par d’autres résidents de Potiskum, dans l’État de Yobe, dans le nord-est du Nigeria où sévit le groupe islamiste armé Boko Haram, notamment via des attentats-suicides.

    L’attentat intervient alors que le matin même le président nigérian Goodluck Jonathan a reconnu que lui-même et ses services avaient sous-estimé “les compétences de Boko Haram”. Le groupe djihadiste, qui subit des revers actuellement, a juré de faire échouer le processus électoral et le président s’est engagé à enrayer sa capacité d’action pour éviter qu’il ne fasse “des ravages”. Depuis 2009, l’insurrection de Boko Haram et sa répression ont fait plus de 13 000 morts et 1,5 million de déplacés au Nigeria. ]
    __________________________________________________________________________

    Qui peut croire qu’un(e) enfant de sept ans soit un(e) kamikaze ?
    C’est un(e) victime non consentante.

    Vous, les journalistes, savez-vous seulement faire autre chose qu’aboyer avec les autres chiens et chaînes de médias quand la caravane de la mort passe ?

    Déjà bien nommer les choses, ce serait faire le Bien.

    Non, une petite fille n’a pas voulu tuer en tuant d’autres êtres humains.
    Une petite fille, une victime, a été tuée, bombe vivante, pour tuer d’autres victimes.
    CE N’EST PAS UNE KAMIKAZE, bande de nazes !
    ___________________________________________________________________________

    http://www.lepoint.fr/reactions/monde/commentaires-sur-nigeria-la-kamikaze-avait-7-ans-22-02-2015-1907026_24

    [ Outosle 22/02/2015 à 16:03 Signaler un contenu abusif

    Mal nommer les choses…

    Ces faits sont horribles, au moins ne les déformons pas.
    Qui peut penser qu’a 7 ans, cette fillette pouvait être une “kamikaze”, c’est à dire une personne ayant décidé de maniere folle, mais par elle-même, de se faire exploser ? La réalité est celle d’une enfant sacrifiée par des adultes cruels et cyniques.
    Qui peut croire qu’elle a déclenché elle-même l’explosion ?
    La realité, là aussi cruelle, est que des assassins télécommandent à distance, par des techniques simples et en toute sécurité pour eux-mêmes, ces explosions meurtrières.
    Plus que jamais, il faut avoir à l’esprit la phrase de Camus : mal nommer les choses, c’est ajouter aux malheurs du monde. ]
    _____________________________________________________________________________

    Et s’ils se servent d’enfants pour commettre des attentats en France ou ailleurs ?

    http://www.lepoint.fr/monde/menace-d-attaques-contre-les-centres-commerciaux-occidentaux-selon-washington-22-02-2015-1907059_24.php

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  8. http://www.liberation.fr/societe/2015/02/20/de-mon-garcon-un-ange-ils-ont-fait-un-monstre_1206680

    [ HISTOIRE
    Le jeune djihadiste français, Pierre C., alias «Abou-Talha al-Faransi» (le Français), est mort en kamikaze dans un attentat suicide en Irak.

    «De mon garçon, un ange, ils ont fait un monstre»: la mère de Pierre C., alias «Abou-Talha al-Faransi» («le Français»), ne comprend toujours pas comment son fils a pu basculer au point de mourir en kamikaze dans un attentat suicide en Irak
    […]

    Le 20 février 2015, Il me demandait de rédiger un article contre les enfants-soldats et les jeunes kamikazes.
    Pierre avait été chrétien.
    Il s’était converti à l’Islam à 17 ans.
    Il disait alors à son père :
    – “Ne t’inquiète pas ! L’Islam, ce n’est pas ça !”

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