“God is black ! Allo, Véro, je crois avoir rencontré le CHRIST. Alors, j’ai comme des doutes. “Il” m’a dit que tu saurais me dire si c’était bien Lui ou pas.”

Oui, ben voyons, c’est sûr.

C’est moi, celle qui doute toujours, qui va pouvoir Le reconnaître.

– “Et pour toi, qui Suis-Je ?

“No problem”, c’est juste le problème.

D’abord, comment L’as-tu rencontré ?

– “J’ai fait un rêve bizarre, avec ce type, un Black. Et c’était Jésus, enfin le CHRIST, enfin peut-être. Il est noir, Jésus ? “

Soupir.

Jésus, c’est, comment dire…

“Avec ma gueule de métèque, de juif errant, de pâtre grec et mes cheveux aux quatre vents…”

[ Avec ma gueule de métèque

De Juif errant, de pâtre grec

Et mes cheveux aux quatre vents

Avec mes yeux tout délavés

Qui me donnent l’air de rêver

Moi qui ne rêve plus souvent

Avec mes mains de maraudeur

De musicien et de rôdeur

Qui ont pillé tant de jardins

Avec ma bouche qui a bu

Qui a embrassé et mordu

Sans jamais assouvir sa faim […] ]

http://www.jukebox.fr/georges-moustaki/clip,le-meteque,5fqxs.html

Oui, c’est ça, Jésus, c’est un “métèque”.

Un métèque, un voleur et un vagabond.

Car, pour Lui, la nourriture est faite pour l’Homme.

Pas l’inverse, les pauvres d’hommes n’ont pas à servir de nourriture ou servir la soupe aux riches hommes, ceux qui font mourir de faim l’Homme, les prédateurs des hommes, ceux qui se servent de la peur pour asservir les autres hommes et pour assouvir leur faim de pouvoir, à eux, les loups, contre eux, les agneaux.

Tout ce qui est donné gratuitement par la “Terre” doit être distribué librement ou pris simplement lorsque l’Homme a soif, lorsque l’Homme a faim, lorsque l’Homme a froid ou parce que l’Homme se meurt sur un bout de trottoir.

L’eau est gratuite.

L’air est gratuit.

Le soleil et sa chaleur sont gratuits.

Qui peut vendre ce qui est donné gratuitement ?

De quel droit ?

Qui t’a donné le droit de prendre ce qui est gratuit pour le revendre aux pauvres ?

Et les rendre encore plus pauvres ?

Parfois même, tu leur interdis, toi le riche, l’accès aux fournitures d’eau, de gaz et de nourriture, jusqu’à leur interdire la fouille dans les poubelles trop riches de nos cités de luxe et de lucre.

C’est ainsi que Jésus et ses disciples “glanaient” dans les champs au grand dam des Juifs de l’époque, car Il glanait sans attendre la période où il était permis de se servir dans les champs pour manger.

Si l’Homme a faim, il doit pouvoir manger.

C’est la Loi de la nécessité naturelle, une Loi qui met l’Homme au-dessus de toutes les autres lois sur cette terre, car la Loi est faite pour l’Homme, pas contre l’Homme.

Fût-il un “glandeur” et donc un glaneur !

Oui, Jésus était un voleur.

Enfin pour ceux qui mettent la propriété des hommes au-dessus de la vie des autres hommes.

Pour quelques épis de blé, quelques grappes de raisins et quelques figues… pour se nourrir, pas pour voler.

Pour vivre, pas pour mourir.

Mais, pour le comprendre, pour Le comprendre, il faut avoir été comme Lui, pauvre et vagabond.

Alors, raconte-moi ton rêve et je te dirais si c’était Lui, peut-être, si je le sais, puisqu’Il t’a dit que je saurais Le reconnaître.

– “Voilà : avec ma copine, on allait dans un grand parc d’attractions.Il y avait un type qui s’occupait des espaces verts et qui renseignait les clients qui s’égaraient. Il indiquait où était telle ou telle attraction. De temps en temps on le croisait sur notre chemin. Il était toujours occupé à faire quelque chose, ramasser des papiers par-terre, passer un rateau, répondre aux questions des touristes. Lui n’était jamais triste. On s’est bien amusés, ma copine et moi. Puis on s’est séparés à la sortie du parc d’attractions. Moi j’ai pris le bus.”

Ton rêve est assez ordinaire.

Mais bon, j’attends la suite.

– “Je descends du bus. Et qui je vois qui descend aussi du bus ? Le “Black” qui faisait l’entretien des espaces verts et le guide touristique. Je suis un peu étonné, mais quoi, ça arrive, surtout que c’était la fin de la journée. Il devait avoir fini son travail. Sauf que le “Black” est venu vers moi. Il m’a parlé à moi, tout à fait autrement que dans le parc d’attractions. Je ne me souviens plus très bien de ce qu’Il a dit. Je suis tombé à genoux, oui, j’ai plié les genoux devant Lui, je me rappelle, un peu comme on tombe en adoration. Je me moquais de ce que les gens voyaient, de ce qu’ils pouvaient penser de moi. Moi, je ne voyais plus que Lui. Ce type, c’était extraordinaire ce qui émanait de Lui. Il parlait avec autorité, une autorité qui ne venait pas de l’extérieur, d’une fonction, de sa place dans le monde, dans notre société où ce n’était qu’un balayeur de rues !, mais une autorité qui venait de l’intérieur. Il employait des images simples et directes. Il m’a montré aussi mon intérieur à moi, comme une maison avec plein de portes. Et derrière certaines portes il y avait des… euh, je sais, c’est dingue, mais bon, c’est un rêve, quoi !, … des “démons” qui cherchaient à entrer chez moi. Mon intérieur, c’était comme cette maison. Et je voyais chaque pièce de ma maison, la salle de bains où j’avais un problème d’eau qui s’écoulait toute seule, avec abondance, un placard dans une chambre avec un mur qui bougeait, comme si le mur se déformait sous la force du Mal, je crois avoir entendu “Malin”, un mur qui contenait difficilement une frontière entre le mal et le bien.Tu m’écoutes, là ?”

Oui, je t’écoute. Et ce rêve, tu l’as fait quand ?

– “Dans la nuit du 21 au 22 mars 2015. Il y avait aussi des chambres dans “ma maison” qui était mon intérieur. Je commençais à avoir peur de ces forces qui cherchaient à pénétrer dans ma maison.

Alors Il m’a dit que je n’avais rien à craindre, qu’Il venait de faire le ménage et qu’il fallait que j’ai foi en Lui. Tant que j’aurais foi en Lui, je n’aurais rien à craindre du mal. Et j’ai vu ma maison remplie de lumière. C’était vraiment fou, ce rêve. Il m’a réveillé et j’ai entendu qu’Il disait :

– “Rendors-toi. Tant que Je suis avec toi, tu n’as plus rien à craindre.”

Et j’ai cru ce qu’Il me disait car Il avait une telle force en Lui, une force pleine d’amour qui me terrassait et me remplissait d’adoration tout à la fois. Je ne peux pas te décrire ce que je ressentais. En même pas dix secondes, Il avait fait le ménage et chassé toutes ces forces maléfiques de “ma maison”. Il avait vaincu le Mal ! Pour Lui, c’était comme de chasser un insecte, aussi simple que cela.”

Alors, si tu sais que c’est Lui, pourquoi tu m’appelles ?

– “Parce que voir le CHRIST comme un “Black”, un pauvre type qui s’occupe des plates-bandes dans un parc d’attractions, c’est “normal” ? Tu crois que c’est bien Lui ? “

Ah que oui, c’est Lui et bien Lui !!!

Les gens au Moyen-Age savaient reconnaître le visage du Seigneur, de leur Seigneur.

C’était celui du “pauvre” parmi les pauvres.

Car ce visage, ils Le reconnaissaient, non pas dans celui du Maître de leurs terres, non pas dans celui de l’Evêque, Son représentant auprès des pauvres ou du riche Bourgeois vendeur de draps, non.

Ils Le reconnaissaient dans le mendiant qui tendait une main sale et tremblante de froid.

Ils Le reconnaissaient dans le lépreux qui faisait tinter sa clochette, malgré leurs peurs, eux qui n’étaient pas des “saints”, hommes plus lépreux que le lépreux lui-même.

Ils Le reconnaissaient, Lui Vivant, parmi eux défunts, défunts avant l’heure, défunts de ne plus Le croire Vivant parmi eux, quand ils croisaient la mort.

Au Moyen-Age, on gardait toujours une place pour le pauvre à table.

Non pas parce qu’on était plus charitables à cette lointaine époque qu’aujourd’hui, mais parce que les gens du Moyen-Age avaient peur de ne pas Le reconnaître et de ne pas Lui avoir donné à boire s’Il avait eu soif, à manger s’Il avait eu faim, de ne pas L’avoir habillé s’Il avait eu froid, de ne pas Lui avoir rendu visite s’Il était en prison ou de ne pas avoir prié avec Lui s’Il était soigné dans un “hôtel-Dieu”, malade à l’hospice, l’hospitalité de Dieu, l’Hôpital public.

Soigner l’autre, c’est se sauver soi-même de la mort !

C’est pour cette raison, parce que la Vie est sacrée et n’a pas de prix que les professions de la santé et du soin sont les ordres hospitaliers sacrés des temps passés et présents.

Et pourtant, il vaut mieux vendre aujourd’hui un sac de patates conditionné en usine que sauver la vie des patients dans un hôpital public.

Le prix de la consultation chez nos médecins généralistes est à l’aune de notre mépris de la Vie :

– 23 euros !

Pas même le prix d’une consultation chez une voyante qui vous vend du vent.

humour voyance

Aujourd’hui on ne Le reconnaît plus, le CHRIST, ni dans la rue, ni devant notre maison, ni en prison, ni dans l’Hôpital public.

Pourtant c’est bien Lui, c’est toujours Lui, l’étranger avec sa gueule de métèque, le Black, le Gitan, le Sémite, Juif ou Arabe, qui est là sur un trottoir et devant qui “on” passe sans Le voir.

Il s’incarne physiquement et nous teste.

Que savons-nous du salut de l’âme et du corps pour mépriser à ce point nos sauveurs ?

Ceux qui L’incarnent, nous les ignorons.

Et ceux qui nous désincarnent et nous incarcèrent, nos prédateurs nous privant de notre salut, nous les adorons.

Avoir tant vu, avoir trop lu pour n’avoir si peu su de la Vie, est-ce bien raisonnable ?

Qu’y a-t-il de plus abominable que d’aduler ces hommes minables qui méprisent ceux qui les sauvent ?

Qui sont les incapables aujourd’hui ?

Sommes-nous chrétiens ?

C’est l’Homme qui nous interpelle dans notre humanité et nous ne savons plus Le reconnaître.

Oui, c’était bien Lui.

Je ne L’ai vu que trois fois dans ma vie, comme toi, dans trois rêves.

Et dans chacun de ces rêves, Il n’était jamais le patron, le chef d’entreprise, le milliardaire, ce “rêve” d’un “Emmanuel MACRON”, le chef de service d’un Etat au service de lui-même comme une toupie qui tourne dans le vide, la folie des hommes, ce vertige du vide sidéral.

A chaque fois, Il était celui devant qui “on” passe sans Le reconnaître, celui qui porte les bagages dans un hôtel modeste, celui qui est magasinier et caissier dans une enseigne de bricolage ou celui qui est gitan et rentre dans un service de police avec sa bande de galvaudeux pour venir protester :

– contre une garde à vue abusive (privation de liberté pour un pauvre)

– ou contre des contraventions dont le montant est exorbitant.

Les Gitans sont libres comme l’air, comme Lui.

Ce sont des courants d’air et ils ne doivent jamais être arrêtés dans leur course sur terre.

Oui, le CHRIST aime les Gitans.

Et alors ?

Autant que les hommes riches peuvent les détester.

Ou autant que des hommes pauvres peuvent détester les Gitans, leur haine étant leur seule richesse sociale, une richesse qui déshumanise l’Homme.

Oui, le CHRIST, lorsqu’Il apparaît est un type basané, très basané, un sale Juif ou un sale Arabe, un Gitan ou un Black, suspect du “flagrant délit de sale gueule”, un esclave marron qui s’est fait la belle à la belle étoile, celle que suivaient déjà les Rois Mages.

Il n’y a aucun doute.

Le balayeur de rue basané, l’éboueur du matin “Black” comme la nuit qui s’échappe, le ferrailleur manouche ou le rempailleur gitan qu’on n’attrape pas, jamais, le type louche, c’est Lui, c’est bien Lui, si vous Le voyez en rêve ou Le rencontrez pour de vrai, dans la vraie Vie.

Ainsi l’avait pressenti Claude LELOUCH, un “CHRIST” gitan, un Jésus du XXème siècle, hors du siècle, mais dans le siècle  !

Ne Le cherchez pas chez un “Pierre GATTAZ”, ce patron du MEDEF, le patron des patrons, de ces mauvais larrons.

Il n’y sera pas, jamais.

Il sera crucifié entre deux voleurs, le bon et le mauvais larron, comme un voleur.

Le bon larron est celui qui vole par nécessité.

Le mauvais larron est celui qui vole par cupidité.

Sacrifié pour qu’il n’y ait plus jamais de sacrifices humains, ni animaux, au nom de Dieu, le CHRIST est un métis humain ou un “Black pur”.

S’il y a des nuances dans le bleu du ciel, il y a des nuances dans ce noir de peau au coeur brûlant de lumière.

Comme le diamant au coeur du charbon de l’humanité, vous trouverez le CHRIST, sans différences dans votre indifférence de l’Homme.

« Ce que vous ferez au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le ferez » (Mat. 25, 40) 

http://www.ndlourdes.fr/index.php/2012-03-10-09-39-18/421-ce-que-vous-ferez-au-plus-petit-d-entre-les-miens-c-est-a-moi-que-vous-le-ferez-mat-25-40

Le baiser au lépreux

« Voici comment le Seigneur me donna, à moi frère François la grâce de commencer à faire pénitence. Au temps où j’étais encore dans les péchés la vue des lépreux m’était insupportable. Mais le Seigneur lui-même me conduisit parmi eux ; je les soignais de tout mon cœur ; et au retour, ce qui m’avait semblé si amer s’était changé pour moi en douceur pour l’esprit et pour le corps. Ensuite j’attendis peu, et je dis adieu au monde. » Testament 1-3

Hospice, hospitalité de Dieu, hôtel-Dieu ou autel-Dieu, là où œuvre(nt)  le Sauveur et nos sauveurs !

L’argent n’a jamais sauvé aucune vie.

10 thoughts on ““God is black ! Allo, Véro, je crois avoir rencontré le CHRIST. Alors, j’ai comme des doutes. “Il” m’a dit que tu saurais me dire si c’était bien Lui ou pas.””

  1. “Bruce Almighty” , en français “Bruce tout-puissant” est un film sorti en 2003.
    Je me suis toujours demandé si les “créateurs” de “God is black” avaient fait un rêve, eux aussi.
    La coïncidence était tellement forte.
    En effet, combien peu ont rêvé d’un Dieu noir, “technicien de surfaces”, invisible même lorsqu’Il est visible, car rendu invisible par notre mépris social de l’autre ?
    Le rêve raconté par ce jeune homme qui restera anonyme confirme aussi une “manifestation” de Lui dans une maison qui n’était pas qu'”intérieure”.
    Le jeune homme ignorait qu’il répondait à une demande, la demande d’un signe de Lui, puisqu’il habite à plusieurs centaines de kilomètres du lieu de la manifestation du CHRIST !
    C’est pour cette raison que je me suis permise de noter la date de cette double manifestation, intérieure (un rêve) et extérieure (une vraie maison).

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  2. Beaucoup de gens attendent des représentants de Dieu qu’ils soient les représentants des puissances de ce monde.
    C’est une erreur, une grave erreur.
    Les puissances de ce monde ne sont pas les représentants de Dieu.
    Sinon nous serions tous au Paradis et ça se saurait !
    Aussi lorsqu’ils méprisent les pauvres, ces gens, et lorsqu’ils méprisent ceux qui se font pauvres parmi les pauvres, ils méprisent Dieu.
    Et lorsqu’ils adorent les milliardaires, ces gens, millionnaires et autres fortunes extraordinaires, ils adorent les puissances qui dirigent ce monde, ce monde d’en-bas.
    Leur fascination pour l’argent les rend si bêtes qu’ils méprisent même ceux qui leur sauvent la vie pour adorer ceux qui la leur pourrissent, à coups de pétrodollars et d’euros-marks, eux qui nourrissent les dettes plutôt que leurs peuples .

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  3. Trois mois, il reste trois mois.
    Il y a un mois, il restait quatre ou trois mois.
    Faites le calcul.
    Les frontières sont ouvertes, les cartes ont été distribuées.
    Et nos élus politiques paradent et se pavanent.
    Trois mois avant… l’invasion.
    C’est dit, c’est écrit.

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  4. Le CHRIST, renié et persécuté, tué et crucifié, est noir en Afrique.
    – “Black” is God !
    Yes, God is black.

    Jusqu’à Son nom, puisqu’il n’est pas lisible, le nom du CHRIST, dans les articles de presse de ce jour :
    – lire que sont massacrés ceux qui ne sont pas musulmans, c’est inscrire doublement la haine des Chrétiens, en ne les nommant pas.

    http://www.lejdd.fr/International/Afrique/Massacre-des-shebab-islamistes-au-Kenya-au-moins-147-morts-726152

    Les “Black” chrétiens sont des victimes anonymes qui ne doivent pas être connues et reconnues pour ce qu’elles sont, des victimes chrétiennes.

    Cette christianophobie récurrente est écoeurante de la part des médias occidentaux soi-disant “neutres”, en fait de médias eux-mêmes complices de ces massacres par l’orchestration de leur silence, un silence couvrant des génocides, actes criminels et terroristes perpétrés contre des Chrétiens noirs d’Afrique.

    Ces génocides se commettent tous les jours, parce que ces journalistes refusent même d’écrire que ce sont des “Black” chrétiens qui sont les premières victimes de la haine des Shebabs Islamistes.

    J’ai lu la presse du matin, relu les articles et, à chaque fois, force est de constater que les victimes sont dites “non musulmanes”, à lire entre les lignes à cause du tri opéré par les Shebabs Islamistes entre musulmans et non-musulmans.

    Et dans les pays chrétiens, nous accueillons à bras ouverts ceux qui détestent les Chrétiens, sans aucune obligation de réciprocité dans la protection de ceux qui ne prient pas le même Dieu.

    Si, à l’inverse, des Chrétiens noirs avaient tué des Musulmans, toute la presse aurait ressassé le massacre, comme lorsque des milices chrétiennes avaient enlevé deux personnes au Nigéria, deux personnes ensuite relâchées vivantes, libération qui n’a pas été suffisamment rapportée par la presse.

    Autant l’emballement médiatique avait été immédiat sur cet enlèvement de deux occidentaux par de milices chrétiennes, le rebâchage du terme “chrétien” étant significatif d’un bashing médiatique révélateur de cette christianophobie chez les “bouffeurs de curés”, la presse dite laïque, autant la libération des deux otages avaient à peine fait deux ou trois lignes dans la presse du surlendemain.

    Ignoble !

    Ce traitement médiatique uniquement réservé aux Chrétiens est ignoble.
    L’Histoire demandera des comptes aux rapporteurs des “détails” de l’histoire humaine sur la Shoah chrétienne en Afrique et au Moyen-Orient.

    Bientôt en Europe, car il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir !

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  5. – “Et pour toi, qui suis-Je ?”

    Tu es celui que les autres ne nomment pas, le Nom qui fait peur aux “possédants-possédés” qui n’en supportent pas l’évocation, encore moins l’invocation. Il suffit de lire la presse de ce monde pour voir s’inscrire toutes leurs ruses aux seules fins de ne pas prononcer Ton Nom qui leur fait si peur :
    – Jésus CHRIST.

    Ton Nom leur fait peur et leurs réactions sont à l’identique des réactions observées lors d’une séance d’exorcisme :
    – Ils deviennent “fous”, perdant la raison et bavant leur haine.

    Vous voulez savoir dans quel monde vous vivez ?
    Dites seulement “Jésus”, ajoutez simplement “CHRIST” et observez les réactions autour de vous :
    – “Incroyable !”

    La haine de ce monde envers Lui est sans doute la meilleure preuve que c’est bien Lui, le Sauveur.

    Non, Son Royaume n’est pas de ce monde et Il ne peut être reconnu que par les Siens, Lui qui est encore tué et crucifié aujourd’hui par ceux qui sont de ce monde, du monde du Mal, les “Malins”, ces puissances qui gouvernent les hommes dans ce monde, leur monde.

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  6. International | 2 avril 2015

    Réagissez !
    [Oui, réagissez ! ]

    Massacre des shebab islamistes au Kenya, au moins 147 morts

    Les islamistes somaliens shebab ont attaqué jeudi l’université kényane de Garissa, dans l’est du pays, faisant au moins 147 morts. Il s’agit de l’opération la plus meurtrière au Kenya depuis l’attentat contre l’ambassade américaine en 1998.

    Un an et demi après l’attaque du “Westgate Mall” de Nairobi, le Kenya est de nouveau plongé dans l’horreur. Au moins 147 personnes, essentiellement des étudiants, ont été tuées jeudi à l’université kényane de Garissa, dans l’est du pays, dans une attaque des islamistes somaliens shebab. L’assaut des forces de sécurité kényane s’est terminée dans la soirée, plus de 15 heures après le début de l’attaque.

    Garissa est située à 150 km de la frontière somalienne. Google Maps.

    Il s’agit de l’opération la plus meurtrière au Kenya depuis l’attentat au camion piégé perpétré contre l’ambassade américaine à Nairobi en 1998 (213 morts) par la nébuleuse al-Qaïda, à laquelle sont affiliés les shebab.

    Vers 5h30 jeudi matin, le commando islamiste a abattu deux gardes à l’entrée de l’université, puis ouvert le feu au hasard sur le campus, avant de pénétrer dans la résidence universitaire, où étaient hébergés plusieurs centaines d’étudiants. Un responsable shebab, Cheikh Ali Mohamud Rage, contacté par l’AFP, a revendiqué l’attaque dans la journée, assurant que le commando avait relâché les musulmans et gardé les autres étudiants en otage.

    Une étudiante a “pensé à un poisson d’avril”

    La Croix-Rouge avait fait état dans la journée d’un “nombre indéterminé d’étudiants otages” sur le campus d’une vingtaine de bâtiments, où sont inscrits 815 étudiants et où travaillent 60 personnes. “Nous dormions quand nous avons entendu une forte explosion suivie de tirs, tout le monde a commencé à fuir”, a raconté Japhet Mwala, un étudiant parvenu à quitter le campus, mais “certains n’ont pu quitter les bâtiments, vers lesquels les assaillants se dirigeaient en tirant.”

    Des rumeurs d’attaques contre l’université avaient circulé dans la semaine, selon des étudiants. “Personne n’a pris ça au sérieux car ce n’était pas la première fois”, a expliqué l’un d’eux, Nicholas Mutuku, tandis que Katherine, étudiante, disait “avoir pensé à un poisson d’avril”. La zone autour du campus, situé à environ un kilomètre du centre-ville, a été totalement bouclée toute la journée et les médias tenus à l’écart.

    La veille, le président affirmait que le Kenya était “aussi sûr que n’importe quel autre pays”

    Un couvre-feu a été imposé jeudi soir jusqu’au 16 avril dans les trois comtés longeant la frontière somalienne, plus un quatrième limitrophe de celui de Garissa. L’attaque – “haineuse” et “lâche” selon Washington, “barbare” et “insensée” pour Londres – a été largement condamnée. “La France se tient aux côtés des autorités kenyanes et est prête à coopérer avec elles dans la lutte contre le terrorisme”, a déclaré François Hollande dans un communiqué.

    Le président kényan Uhuru Kenyatta a quant à lui indiqué jeudi dans un bref communiqué “prier” pour les victimes et les otages, assurant que les autorités avaient déployé les renforts “adéquats”. Mercredi, il avait assuré que “le Kenya est aussi sûr que n’importe quel autre pays dans le monde”.

    Les shebab ont multiplié les attentats au Kenya depuis 2011, jusqu’à Nairobi et sur la touristique côte du pays, notamment à Mombasa, principal port d’Afrique de l’Est. Ils ont entre autres revendiqué le spectaculaire assaut en septembre 2013 contre le centre commercial Westgate de Nairobi (67 morts) et une série de raids nocturnes sur des villages de la côte en juin-juillet 2014 (au moins 96 personnes froidement exécutées). Ces attaques font suite au déploiement en octobre 2011 de l’armée kényane en Somalie pour combattre les shebab.

    A.F. (avec AFP) – leJDD.fr

    jeudi 02 avril 2015

    [Bien sûr, ce n’est qu’un hasard, un simple hasard, le dieu-hasard, le dieu-vaudou des “pas” francs-maçons, qui m’a fait mettre en ligne cet article, au moment même où… God, Christian God, is black ! ]

    A mes frères chrétiens d’Afrique !

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  7. “La France se tient aux côtés des autorités kenyanes et est prête à coopérer avec elles dans la lutte contre le terrorisme”, a déclaré François Hollande dans un communiqué.
    Mais quel terrorisme ?

    Ce serait du “terrorisme identitaire” dit d’extrème droite, je vous rassure, tout le monde le saurait des fins fonds de l’Afrique noire aux chapeaux ronds de la Bretagne française !

    Il faut en finir avec cette langue de bois, sauf à vouloir tous finir, nous les Chrétiens, mis en croix sur le bois d’élus politiques agnostiques !

    Pourquoi ont-ils tellement peur du CHRIST, aujourd’hui, ces gens-là ?

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  8. Répète après moi :
    – “Jésus-Christ !”

    Il a bavé avec un rictus aux lèvres, le p’tit “Malin”.
    Vite, de l’eau bénie !

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  9. Dès Sa résurrection, Jésus avait choisi d’apparaître sous le visage du jardinier, celui qu'”on” ne remarque pas et qu'”on” ignore.
    Même Marie-Madeleine ne L’a pas reconnu, ainsi humble et pauvre… jardinier !

    http://www.prionseneglise.fr/Les-textes-du-jour/Evangile

    mardi 7 avril 2015

    Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean (20, 11-18)

    En ce temps-là, Marie Madeleine se tenait près du tombeau, au-dehors, tout en pleurs. Et en pleurant, elle se pencha vers le tombeau. Elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l’un à la tête et l’autre aux pieds, à l’endroit où avait reposé le corps de Jésus. Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répond : « On a enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où on l’a déposé. » Ayant dit cela, elle se retourna ; elle aperçoit Jésus qui se tenait là, mais elle ne savait pas que c’était Jésus. Jésus lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Le prenant pour le jardinier, elle lui répond : « Si c’est toi qui l’as emporté, dis-moi où tu l’as déposé, et moi, j’irai le prendre. » Jésus lui dit alors : « Marie ! » S’étant retournée, elle lui dit en hébreu : « Rabbouni ! », c’est-à-dire : Maître. Jésus reprend : « Ne me retiens pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Va trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. » Marie Madeleine s’en va donc annoncer aux disciples : « J’ai vu le Seigneur ! », et elle raconta ce qu’il lui avait dit.
    ©AELF

    Il est celui que nous ne voyons pas, aveugles que nous sommes devant l’autre, l’autre qui est Lui.
    Et vous remarquerez que Jésus change de visage.
    Il a autant de visages que l’autre, cet “autre” qui n’est pas nous-mêmes et pourtant si proche de nous que nous l’ignorons, celui qui nous sert et celui qui est encore plus pauvre que le plus pauvre d’entre nous, notre serviteur et non pas, notre Maître.

    C’est encore un signe de Lui quand Il apparaît comme étant notre serviteur, Lui qui est notre Seigneur.

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  10. Autre exemple d’une non-reconnaissance du CHRIST par ses propres apôtres, la Parole du Jour du 08 avril 2015 :

    http://levangileauquotidien.org/M/FR/

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 24,13-35.
    Le même jour (c’est- à- dire le premier jour de la semaine), deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem,
    et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.
    Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient, Jésus lui-même s’approcha, et il marchait avec eux.
    Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
    Jésus leur dit : « De quoi discutez-vous en marchant ? » Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes.
    L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit : « Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem qui ignore les événements de ces jours-ci. »
    Il leur dit : « Quels événements ? » Ils lui répondirent : « Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth, cet homme qui était un prophète puissant par ses actes et ses paroles devant Dieu et devant tout le peuple :
    comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré, ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié.
    Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël. Mais avec tout cela, voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé.
    À vrai dire, des femmes de notre groupe nous ont remplis de stupeur. Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau,
    elles n’ont pas trouvé son corps ; elles sont venues nous dire qu’elles avaient même eu une vision : des anges, qui disaient qu’il est vivant.
    Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau, et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ; mais lui, ils ne l’ont pas vu. »
    Il leur dit alors : « Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire tout ce que les prophètes ont dit !
    Ne fallait-il pas que le Christ souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? »
    Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes, il leur interpréta, dans toute l’Écriture, ce qui le concernait.
    Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant d’aller plus loin.
    Mais ils s’efforcèrent de le retenir : « Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse. » Il entra donc pour rester avec eux.
    Quand il fut à table avec eux, ayant pris le pain, il prononça la bénédiction et, l’ayant rompu, il le leur donna.
    Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs regards.
    Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »
    À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem. Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons, qui leur dirent :
    « Le Seigneur est réellement ressuscité : il est apparu à Simon-Pierre. »
    À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route, et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux à la fraction du pain.
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    “Reste avec nous !”

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