De la voix de Londres qui ne veut pas rester dans l’ombre, le Général De GAULLE : ” The French Commonwealth against the “others” ! Si la France veut continuer d’exister, elle doit exister en dehors de l’Europe et… en-dehors de l’alliance atlantiste.”

J’ai du mal à mettre un “d” minuscule à la particule du grand homme.

Je sais.

It is no correct at all, definitively not.

Eh bien, tant pis, na !

Je ferais comme bon me semble, à la mesure du grand homme.

Bundesarchiv B 145 Bild-F010324-0002, Flughafen Köln-Bonn, Adenauer, de Gaulle-cropped.jpg

Je vous croyais raciste, mon Général ?

Oui, je suis désolée de vous l’écrire, disons, carrément franchouillard, donc un rien revanchard, quoi.

J’ai changé de support d’édition car l’expression “chrétienne” du blog “Dèu vos guard” me paraissait plus en accord avec votre “profil” catholique.

Mais voilà que, depuis, allez j’ose l’écrire, au moins un mois, sinon plus, vous me suggérez d’écrire cet article à un moment où le jihadisme frappe la France et où l’ouverture de nos frontières pose grandement problème.

A tel point que parler d'”ouverture des frontières” est presqu’un euphémisme.

Les frontières n’existent plus et la France avec, plutôt sans ses frontières, pays qui se dissout peu à peu dans une identité européenne de plus en plus étrangère à ses racines françaises.

C’est un peu comme planter un cactus dans un jardin de roses. Le seul point commun qui reste entre la France et l’Europe sont les épines.

Et vous, vous me dîtes :

– “Créons un espace francophone “ouvert” de libre-circulation avec les pays francophones qui le veulent bien.”

Bah voyons ! Voilà qui va faire plaisir à tous les Gaullistes qui se servent de votre nom pour défendre un protectionnisme gaulois, bec et ongles, contre l’invasion des produits chinois made in USA/China.

Votre idée :

– “Plutôt que de s’enfoncer dans le contrôle impossible d’une immigration massive, ouvrons nos frontières, osons la libre circulation totale, avec des pays francophones, anciennes colonies ou partenaires politiques connus”.

Il n’y aurait plus de “nationalisation française” puisque la libre circulation serait totale entre des pays tels que… tardzimmmm, bouuuuum, boummmmmm, non je me moque de moi !, j’ose à peine l’écrire, je vais me faire tuer !

Le Général me dit que j’ai l’habitude.

– “Merci, mon Général !”

Donc la libre circulation serait totale entre les pays du… aïe, aïe, aïe, ça va faire mal aux racistes donc me revenir en boomerang !, entre les pays du Maghreb, Algérie, Tunisie, peut-être Maroc et… ce qui serait souhaitable, avec l’Egypte.

Mais l’Egypte, Mon Général, ce n’est pas une ancienne colonie française !

– “Non, répond le Général, mais c’est un pays de plus en plus francophile, donc francophone. L’avenir du Maghreb, c’est l’Egypte.”

Vous allez transformer les Identitaires en “orangs outans” ! C’est le “Big bang” politique du gaullisme, cette affaire.

– “Ensuite, ou dans le même temps, il faudra s’ouvrir (s’ouvrir le ventre soi-même, aussi, mon Général ?) à l’Afrique noire, l’Afrique au coeur de l’Afrique, cette Afrique francophone que nous ne devons pas abandonner et que nous n’avons pas abandonnée. Nous le devons.”

Mais enfin, si on autorise la libre circulation dans un espace aussi “grand”, comment allons-nous contrôler nos frontières ?

“- Justement, nous ne pouvons plus contrôler nos frontières dans l’espace infra-Schengen (sic… et chic !?). Nous devons donc protéger nos frontières, en protégeant les pays qui sont à nos frontières. C’est d’ailleurs le travail de l’armée française au Mali et en Afrique centrale.”

Le Général fait une pause. Il est grave. Il ne plaisante pas.

Evidemment l’interlocutrice n’est pas à la hauteur du grand personnage historique.

Je ferais de mon mieux pour traduire sa pensée politique, “stratégico-politique”, insiste-t-il.

“Nous ne pouvons pas laisser les populations francophones se défendre seules contre des envahisseurs armés par des puissances étrangères. Qui l’ignore ? A part ceux qui feignent de l’ignorer (avec ou sans point d’interrogation, I don’t know). Nous devons nous unir et nous prémunir des invasions futures.”

En ouvrant tout ?

On se prémunit des invasions futures en ouvrant grand sa maison, France, aux étrangers ?

Le Général retient comme un “frémissement” d’agacement.

– “Nous ouvrons la maison France aux seuls amis francophones qui seront chargés de veiller à la sécurité de notre pays, leur territoire de circulation, comme nous-mêmes serons en charge de la sécurité de leur territoire. Ces accords de libre-circulation humaine, sans contrôles déraisonnables, soulagent nos armées et la police d’un travail impossible à effectuer aujourd’hui. Par contre, car il y a toujours une contrepartie, qui dit “libre-circulation” dit “renoncement” à l’acquisisition future de la nationalité française. Les Tunisiens, les Algériens, les Sénégalais, les Québécois, s’ils le souhaitent, n’auront plus besoin d’être soumis aux obligations de visas français. Evidemment ce principe ne peut pas exister sans “réciprocité”. Les Français qui souhaiteront circuler et travailler en Afrique noire, au Maghreb ou au Québec pourront le faire aussi facilement que nos alliés francophones.”

– “Je veux créer un “French Commonwealth” avec encore plus de latitude opérationnelle, commerciale et industrielle”.

Mon Général, sans vouloir vous vexer, vous êtes… un peu “mort”.

– “Oui, mais très vivant ! Plein d’idées et de dynamisme.”

Mort et très “fort” dans sa tête.

Un peu “têtu” aussi, le Général De GAULLE, pas obtus, ni fermé.

Tant pis pour les “franchouillards”.

The “French Commonwealth” as :

” The British Commonwealth”

1931 Création officielle du Commonwealth qui repose sur une libre […]

coopération entre les pays issus de l’ancien Empire britannique.

strasbourg-europe.eu

Il suffira juste de rajouter for the “French Commonwealth”

– Création officielle du “Bien commun francophone” qui repose sur une libre […] circulation des personnes basée sur la coopération entre les pays issus de l’ancien Empire colonial français.

Aïe, aïe, aïe, j’ai déjà mal entre les coups que je vais recevoir de la part des Identitaires dont l’identité francophile s’arrête à l’Alsace-Lorraine et les coups que je vais recevoir de la part d’Antiracistes de tous bords, que le mot “colonial” va rendre éructants de rage.

J’attends la confirmation de ce message par voi(e)x d’outre-tombe.

Après tout je ne suis pas la seule porte voix… et ne devrais pas l’être.

Surtout pas !

7 thoughts on “De la voix de Londres qui ne veut pas rester dans l’ombre, le Général De GAULLE : ” The French Commonwealth against the “others” ! Si la France veut continuer d’exister, elle doit exister en dehors de l’Europe et… en-dehors de l’alliance atlantiste.””

  1. En fait, je viens de découvrir que je n’ai rien découvert ni encore moins inventé !

    Car je vérifie toujours ce qui m’est demandé d’écrire mais seulement après l’avoir écrit.

    Pourquoi pas avant ?
    Parce que j’ai le goût du risque.
    C’est comme un pari impossible, trouver une “constance temporelle” dans l’intemporel.
    Malheureusement je n’ai pas une connaissance universelle géopolitique et historique du XXème siècle.
    J’avoue, je ne suis pas une “Encyclopédie” vivante.
    Je suis moi, humblement “moi”, c’est à dire rien du tout.

    La preuve que je n’ai rien inventé et que le Général De GAULLE est effectivement “têtu” :
    _____________________________________________________________

    http://fresques.ina.fr/de-gaulle/parcours/0006/de-gaulle-et-l-afrique-noire.html

    […]

    1958-1960: la Communauté, transition vers l’indépendance

    À son retour au pouvoir, le général de Gaulle inscrit sa politique africaine dans la continuité de celle ses prédécesseurs : la loi-cadre Defferre de 1956 attribue aux pays de l’AEF et de l’AOF un régime d’autonomie interne (avec des assemblées locales élues au suffrage universel et des Conseils de gouvernement chargés de l’exécutif). Mais ce n’est qu’un semblant d’indépendance, qui ne peut satisfaire longtemps les revendications politiques africaines qui émergent ici et là (comme le Rassemblement démocratique de l’Afrique (RDA) de Houphouët-Boigny).

    La Communauté de 1958

    Ainsi, en 1958, le général de Gaulle doit-il faire face aux interrogations de plus en plus pressantes des nouvelles élites africaines. Redoutant la sécession de ces territoires – qui serait synonyme d’un affaiblissement de la France dans le monde – il propose aux Africains l’autodétermination : l’indépendance immédiate (mais sans aide de la France) ou le choix de la Communauté, entité inscrite dans la Constitution de la Ve République, et composée d’États indépendants solidement amarrés à la République.

    En août 1958, le Général réalise une tournée africaine à travers les capitales de l’Empire afin de convaincre les populations d’adhérer à son projet, et l’accueil des Africains est enthousiaste. Le 28 septembre 1958, onze colonies d’Afrique noire (plus Madagascar) acceptent la nouvelle Constitution et intègrent la Communauté (seule la Guinée refuse et devient immédiatement indépendante, sans accord de coopération avec Paris).

    Cette Communauté présente une forme politico-juridique hybride : présidée par le général de Gaulle, l’exécutif y est représenté par un Conseil composé du Premier ministre et des chefs de gouvernement des États membres. Mais la France conserve l’essentiel de ses prérogatives dans les domaines de la défense, de la diplomatie, de la monnaie, du commerce extérieur… Pourtant, l’article 86 laisse la possibilité à ces États de devenir indépendants, occasion qu’ils ne tardent pas à saisir.

    De Gaulle propose la Communauté aux Africains

    Discours à Dakar

    Du 20 au 29 août 1958, le Général effectue un voyage à Madagascar et dans les territoires africains pour présenter à ces pays le choix devant lequel ils se trouvent : ou s’intégrer dans une communauté française, ou prendre le chemin de l’indépendance. Une manifestation des indépendantistes est organisée lors du passage de De Gaulle à Dakar, capitale du Sénégal.

    26 août 1958

    4m 21s
     Fiche (00329) ▶ Écouter

    Une Communauté enchâssée dans la nouvelle République

    Conférence de presse à Matignon

    Avant l’ouverture de la campagne pour l’élection de la nouvelle Assemblée nationale, le général de Gaulle convoque la presse à Matignon. La conférence est diffusée dans le cadre du JT de 20 heures. Le général revient d’abord sur le référendum du 28 septembre, et souligne l’importance des élections législatives à venir. Il aborde ensuite la question de l’Algérie, le rôle qu’y tient l’armée française, les actions menées par le FLN. Il évoque ensuite le problème du désarmement et la question de l’arme atomique en France.

    23 oct 1958

    43m 12s
     Fiche (00023) ▶ Voir la vidéo

    […] ]

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  2. Abordons les questions qui fâchent, mon Général !
    1) La libre circulation = invasion massive non contrôlée de “migrants” africains à la recherche de “l’Eldorado” européen.
    Donc ce sont les Français qui vont migrer en Afrique pour échapper aux “envahisseurs”, fussent-ils des “vacanciers” temporaires.

    Non, répond le Général De GAULLE.

    Premier avantage pour la France :
    – Le tri des “migrants” sera effectué par le pays adhérant à la communauté francophone, “the French Commonwealth”.
    La gestion de l’émigration ne sera plus la gestion de l’immigration.
    Des accords pourront être conclus pour de la main d’œuvre saisonnière dans un sens (la France) comme dans l’autre (l’Afrique) et si possible, avec le Québec ou d’autres territoires francophones non africains.
    Devront s’ajouter des accords d’échanges scolaires, impliquant un renforcement de l’enseignement du français à l’extérieur du territoire français. L’esprit français, l’élite française s’exporteront et… s’importeront.

    Deuxième avantage pour la France :
    – Fini la politique de regroupement familial pour des “migrants” saisonniers en libre circulation qui peuvent se retrouver où ils veulent, quand ils veulent, avec leurs familles… chez eux !
    La politique de regroupement familial n’avait de sens que par l’existence de frontières fermées dans un espace territorial restreint, celui de la France “métropolitaine” ou “continentale” européenne.
    La France économisera ainsi sur les allocations familiales ou autres aides sociales, puisque des accords permettront aux pays “francophones” d’aider leurs migrants, en échange de cette libre circulation et en fonction des ressources de ces migrants. Si les migrants sont des travailleurs bien rémunérés, ils pourront dépendre du système du pays d’accueil pour ce qui est de la cotisation à une sécurité sociale qui pourrait être proposée dans les pays francophones.
    Exporter notre modèle social n’est pas idiot !
    Au contraire, c’est l’excellence française que la France, pays des Droits de l’Homme, doit exporter.
    Nous aiderons ainsi l’Afrique à “construire” un modèle social plus égalitaire et respectueux des Droits de l’Homme.
    Et surtout la France n’aura plus à prendre en charge elle-même les migrants étrangers qui transiteront sur son territoire… dans le cadre de l’espace commun, du “French Commonwealth”.

    Troisième avantage pour la France :
    – Fini les procédures de nationalisation, fausses ou vraies, mariages blancs, gris ou noirs. Dans l’espace de libre circulation, au sein du French Commonwealth, chacun(e) gardera sa nationalité.
    Ainsi la France, comme d’autres pays du French Commonwealth, conservera son identité culturelle, évitant le piège de la reproduction animale, loi du plus grand nombre (contraire à la démocratie) ou “colonisation par le ventre”.
    Le Marocain qui pourra venir librement en France saura qu’il reste un Marocain.
    Le Sénégalais qui pourra venir librement en France saura qu’il reste un Sénégalais.
    La différence, c’est qu’ils seront entièrement libres de circuler dans l’espace francophone, sous le seul contrôle de leur pays d’origine.
    Si des “étrangers” francophones se comportent mal, la France ne dépensera plus d’argent à les juger ou à les emprisonner pour de longues périodes en France, sur son territoire.
    Les accords du “French Commonwealth” permettront une reconduite immédiate dans le pays d’origine qui fera de son ressortissant ce que bon lui semblera.
    Car le “French Commonwealth” n’imposera pas une justice commune.
    Trop de différences “sensibles”, culturelles et religieuses, interdisent de pouvoir “fusionner” la Charia avec la loi française.
    La seule sanction “radicale” pourra être l’interdiction de séjour dans le pays où l’étranger francophone s’est mal comporté.
    Cette interdiction pourra être utilisée aussi contre un ressortissant français qui se comportera mal dans un pays du Maghreb ou d’Afrique centrale, bref dans l”espace du “French Commonwealth”.
    Chaque pays francophone du French Commonwealth” devra gérer ses propres délinquants ou criminels.
    Fini les problèmes de “double nationalité” !

    Quatrième avantage, et non des moindres :
    – la fin de l’islamisation de la France.
    La Méditerranée n’est pas l’Océan indien. Il n’est point besoin de transformer la France en pays maghrébin pour permettre aux Musulmans qui le souhaitent de trouver un pays musulman francophone dans l’espace territorial du “French Commonwealth”.
    “Islamiser” la France est une grave erreur politique car l’Islam n’est pas laïque et ne sera jamais laïque.
    Seuls les “…” [je censure volontairement] le croient, surtout ceux qui ne croient en rien et qui croient tout ce qu’on leur raconte sur des religions dont ils ignorent tout.
    Ces “ignares” sont les plus dangereux pour la France.
    La France est judéo-chrétienne et doit le rester, sinon c’est le monde entier qui va rentrer dans une guerre de religions.

    Le devoir de la France est d’imposer :

    – soit la réciprocité internationale de la tolérance religieuse, mission aujourd’hui impossible vu la lâcheté de nos élus politiques face à l’Irak, l’Arabie Saoudite, le Qatar, le Pakistan et tout autre Etat Islamique non tolérant envers le judaïsme et le christianisme.
    Ces élus politiques, pas seulement français, élus juste le temps de s’en mettre plein les poches et d’en mettre plein les yeux à leur entourage, cultivent leur image plus que le respect des Droits de l’Homme.
    Ils ne respectent rien, rien qu’eux-mêmes et ne parlent d’honneur que lorsqu’il s’agit de leurs “petites personnes” fort misérables et méprisables.
    Il aurait fallu demander des sanctions financières contre l’Arabie Saoudite, des enquêtes devant le TPI, chaque fois que des minorités religieuses sont interdites de culte ou de pouvoir s’exprimer, sinon simplement exister.
    Rien, rien n’a été fait.
    SDN = le “Machin” = l’ONU.

    – soit, puisque la réciprocité internationale de la tolérance religieuse est impossible, la reconnaissance de l’identité française, une identité judéo-chrétienne qui permettra de protéger les derniers Juifs et Chrétiens de France contre les ambitions expansionnistes de l’Islam.

    Le Général De GAULLE ajoute :
    – Je rejette le terme “Islamisme”. Lorsque des curés catholiques sont “pédophiles”, “ils” disent tous que c’est l’Eglise Catholique qui est pourrie.
    Et lorsque, partout, dans le monde, des Musulmans massacrent des Juifs et/ou des Chrétiens ou d’autres minorités religieuses, il faudrait faire le tri, tourner sa langue sept fois sinon mille fois dans sa bouche ?
    – Stop !
    Si vous voulez vous suicider, c’est votre problème.
    Mais ne suicidez pas les autres !
    Les seuls qui se comportent ainsi sont toujours les mêmes, à part quelques très rares exceptions imitant qui plus est ce type de comportements déviants.

    Mon Général, les psychologues appellent ce type de comportements déviants des “suicides altruistes” !
    Allo, mon Général,…
    Je crois qu’il est à nouveau “mort”, en voix “off”.
    Trop de “conneries”, ça devient vite insupportable dans ce monde, ici-bas.
    A mon avis, il a dû partir se renseigner.
    Le Général ne croit pas ce que je viens de lui dire que des “…” [terme censuré par moi] puissent avoir inventé une telle connerie !

    Nous, on sait que c’est vrai et bien vrai, les “suicides altruistes” des Jihadistes qui nous emmènent tous au Paradis avec eux, hein que oui ?
    Enfin, c’est ce que disent les psychologues.

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  3. Mon Général, revenez !
    J’ai une question, restée sans réponse :
    – Et pour les mariages mixtes ?

    Le Général me répond, de loin, car il est déjà en partance, lui aussi, mais pas en vacances ! :
    – Chaque conjoint(e) devra signer un contrat de mariage mixte et choisir ensemble la loi qui régira leur mariage, loi française ou loi d’un autre pays francophone, pour le divorce, la reconnaissance des enfants, etc..
    Si les parents désirent que leurs enfants deviennent français, ils devront tous deux être français.
    Fini le droit du sol !
    Sinon, les enfants nés sur le territoire français d’un parent français devront attendre d’avoir dix-huit ans, fait leur service militaire en France pour prouver leur loyauté envers leur pays d’adoption, et eux-mêmes s’engager à se marier avec un(e) Français(e), pour éviter “l’invasion” matrimoniale.
    L’enfant qui veut obtenir la nationalité française à 18 ans, s’il ou si elle épouse un(e) étranger(ère), perdra alors cette nationalité française.
    Il faudra bien le faire inscrire dans le livret de famille remis aux parents de nationalité française.
    Fini d’aller épouser le petit copain, cousin, ou la petite copine, cousine du “bled”, pour se faire du blé sur le dos de l’Etat français.

    Le service militaire a été supprimé en France, mon Général.
    Donc l’enfant qui voudra devenir français n’aura pas besoin de faire sons service militaire en France.

    Le grand homme se retourne, marque un arrêt :
    – C’est une connerie !
    Diminuer les troupes, ouvrir les frontières et ne plus armer le peuple de France, qu’est-ce qu’ils veulent, vos élus politiques ? Que la France disparaisse ? Qui va la défendre ? Pas eux, en tout cas. Ils seront tous “barrés” (sic) dans les Iles Caraïbes ou aux Etats-Unis, pire en Arabie Saoudite, dans une fausse île en carton-pâte au sein du désert pétrolifère.
    Des “…”, vraiment tous des “…”.

    Si vous voulez connaître ce que pense le Général De GAULLE de vos élus politiques, appelez-moi en MP (message privé).

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  4. L’espace francophone informatique vient juste de se faire attaquer par l’Etat Islamique, pardon, les Etats Islamiques, veut que j’écrive le grand homme, toujours aussi grand après sa mort, euh, non, dans son “autre” vie.

    La cyber-attaque a eu lieu dans la nuit du mercredi 8 avril au jeudi 9 avril 2015.

    Nous parlions de “francophonie”, d’espace territorial francophone menacé par le terrorisme islamiste, cette rigolade ?!

    Démonstration est faite que la France et son espace francophone est particulièrement dans le viseur des Jihadistes.
    Et qu’il serait temps de prendre conscience que, politiquement, cet espace est vital pour nous et… surtout pour les Islamistes.

    Ah oui, il faut écrire “terroristes” puisqu’on ne sait toujours pas pourquoi ils nous terrorisent !
    J’oubliais…

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  5. J’oubliais de préciser pour les “franchement cons” :
    – C’est le “dieu-hasard” qu’a voulu que je poste un article sur la francophonie et l’espace francophone, le 07 avril 2015 !

    Hein que “oui”, les grands “sachants” et “sachem” des grandes loges agnostiques ?
    Et les moustiques, ça pique, et les moustiques, pas mystiques, ça vous suce le sang !
    Comme les vampires… surtout l’argent des Français et de la France.

    Bienvenue dans le monde où rien n’existe, leur monde.

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  6. J’ai un aveu à vous faire :
    – je n’avais pas tout compris !

    Je ressentais un léger agacement chez le Général De GAULLE, du genre :
    – “Mais elle comprend rien, cette fille, aujourd’hui.”

    Au départ, je suis partie sur des concepts “bizarres” :
    – espace francophone
    – radio, TV on the air ?
    – pas de frontières
    – et terrorisme.
    D’où obligation de protéger l’espace francophone.

    Plutôt que de l’écrire simplement, sans me poser de questions et vouloir comprendre, j’ai voulu comprendre.

    Moi, je me suis arc-boutée sur l’espace francophone sans frontières, une hérésie étant donné le risque terroriste, “justement”.
    Sauf que je n’avais pas compris qu’il était réellement sans frontières, cet espace francophone, “radio-TV on the air”.

    C’est pour cette raison qu’au départ, même dans le titre, il ne devait y avoir qu’une référence à la “radio”, aux ondes et à la “résistance” contre le terrorisme dans un espace francophone “mondial”, hors de la France, hors de l’Europe et hors de l’alliance transatlantique.

    Non, je n’ai pas vraiment tout faux dans la “translation”.
    Mais il faut admettre que traduire des “concepts” est autrement difficile que traduire une langue étrangère.

    Moi, je n’ai pas compris car j’ai fait une fixation “franchouillarde” sur l’espace francophone sans frontières.
    D’où mes questions sur la protection de cet espace “sans frontières” et les réponses du Général qui a accepté de défendre aussi un autre projet qui lui tient à cœur, effectivement, “the French Commonwealth”, projet qu’il m’avait déjà demandé d’exposer dans un autre article.

    Article non écrit par manque de temps !
    Là, j’ai fait un “mix” entre l’espace francophone sans frontières menacé par le terrorisme and “the French Commonwealth” .

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  7. Vous avez déjà regardé la série “Medium” à la télévision, série américaine, of course, car, nous, les Français, on est “rationnels”.
    On croit au temps, au physique, au hasard.
    On ne croit pas à la physique quantique, ni aux molécules !

    Donc dans cette série américaine, les morts viennent voir la “medium”, le plus souvent parce qu’ils ont été assassinés, sinon ce ne serait pas marrant.

    Et ils lui confient leur numéro de téléphone, leur adresse, “l’instantané” mieux qu’une photographie du visage de leur assassin, ou sa plaque d’immatriculation !

    Moi, j’ai des visites de personnes non assassinées, enfin la majeure partie du temps, qui ont décidé de continuer à jouer un rôle actif dans notre vie ou la leur, un peu des deux, et qui “communiquent” par concepts.

    C’est quoi, un concept ? C’est la petite ampoule qui s’allume avant même que vous ayez l’idée.
    C’est la “conscience” de l’idée.
    C’est une communication de “conscience à conscience”.
    Après il faut traduire en “objets de pensée”.
    Après il faut traduire “l’objet de pensée” en langage.
    Et c’est là où parfois la raison s’interpose quand l’articulation entre la pensée et le langage ne lui paraît pas “possible”, disons “raisonnable”.
    La mémoire s’en mêle et projette des situations équivalentes :
    – “terrorisme” sur espace francophone ?
    Donc espace territorial à défendre.
    Et la traductrice peut se déconnecter de son support d’émission qui s’affaiblit, brouillé par des pensées rationnelles qui cherchent un rapport avec la réalité présente.
    A tort !

    Quand l’événement arrive, quand il y a avènement, tout devient “lumineux”, tout s’éclaire comme la petite ampoule qui clignotait, très loin.

    Tout ça pour vous dire que les mediums qui communiquent avec des morts qui leur parlent avec des mots, de vrais mots, ils ont bien de la chance !
    Pourquoi pas un téléprompteur comme les journalistes professionnels ?
    Je suis preneuse.

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