Rencontre avec l’homme du futur, Nicolas SARKOZY, six mois avant la présidentielle… 2017 !

C’était cette nuit, la nuit d’avant puisque nous sommes déjà la nuit d’après.

Je rêvais.

Je rentrais dans une grande salle et je rencontrais l’homme du futur, six mois avant la présidentielle… 2017 !

A ses côtés, un service d’ordre, et l’un de ses plus fidèles lieutenants, Christian ESTROSI.

Le président de l’UMP recevait à domicile, chez lui.

Il recevait au sein de son parti politique, à demeure, des Français qui venaient soit le consulter, soit des Français qu’il consultait.

Chaque personne consultée s’avançait jusqu’à un bureau sur une estrade.

Pourquoi sur une estrade ?

Je l’ignore.

C’était un rêve, le rêve de la nuit dernière, le rêve du 2 mai 2015.

Nicolas SARKOZY se tenait assis, bien au centre du plateau d’un long bureau, comme s’il s’agissait d’un plateau T.V..

Christian ESTROSI, lui, était à ses côtés, côté gauche du bureau pour les consultants ou consultés, ou côté droit du bureau, pour l’homme présidentiel, mais plus “providentiel”.

Je me souviens que je cherchais des yeux où m’installer, face à celui qui me faisait signe de m’avancer vers lui, le président de l’UMP, et peut-être futur président de la République française.

C’était sur invitation de sa part que j’étais là.

J’aurais pu refuser.

Mais, par nature, je suis curieuse.

Un défaut typiquement féminin, me direz-vous.

Il me désigna une chaise, parmi d’autres, trois ou quatre, qui meublaient l’espace devant le grand bureau sur l’estrade.

Je m’assis.

Et j’attendis.

Que me voulait-il ?

Nicolas SARKOZY alors me demanda s’il avait des chances de gagner les élections présidentielles de 2017.

Je savais que, s’il me le demandait à moi, c’est parce qu’il voulait connaître la vérité.

Mais il n’y a pas de vérité car l’homme est libre de perdre ou de gagner.

Et cette liberté n’a pas de prix, pas même le prix de la victoire.

Cependant, il est toujours possible de savoir si les conditions sont favorables ou défavorables.

Toujours égal à lui-même, excellent communicant, pouvant se faire l’avocat du diable, “Niko” insistait.

Il voulait savoir.

Au moins que je lui dise, s’il ratait ces élections présidentielles, pour quelles raisons il risquait de les perdre, lui qui n’aimait pas être un “looser” et méprisait les “loosers”.

En “off”, c’est à dire, hors antenne, je confiais à “Niko” que ses craintes étaient fondées.

Et que son analyse était juste.

Car, même si “Niko” se voulait fort  respectueux de cette déontologie de la liberté,  il “jouait” aux questions/réponses  :

– “Et si je base mon programme sur…, que se passe-t-il ?

– Et si je m’appuie davantage sur…, est-ce que j’augmente mes chances ?

– Et de combien ?”

Finalement, “Niko” n’avait pas vraiment besoin de moi pour savoir son avenir.

Il savait.

Il savait tout.

Il était juste “bloqué”, limité par des courants internes qu’il lui faudrait border, à défaut de pouvoir les réunir, encore moins les unir dans le même lit de fleuve ou de rivière, sauf s’il s’agissait d’une “rivière de larmes”, celle des illusions perdues.

Il voulait savoir quel courant serait le plus fort.

Mais il avait déjà la réponse.

Nicolas SARKOZY a toujours su sentir venir le vent, les coups de vent qui balaient tout.

Il aime les temps de tempête, ces temps où il peut alors affronter les éléments naturels et déchaîner ses instincts “d’animal politique” dominant.

Car c’est un dominant… et un instinctif, un instinctif “intuitif”.

“Niko” plie à sa volonté tous et tout ce(ux) qui lui résistent.

Regard tourné vers le haut, vers l’avenir !

Notre échange est limité dans le temps.

Déjà une autre personne s’avance vers l’estrade.

“Niko” prend une carte de visite.

Non pas un petit carton, une carte comme une carte de voeux, une carte du parti, de son parti.

Dessus, il griffonne à la hâte un numéro de téléphone, son numéro personnel, m’affirme-t-il.

Je fais semblant de le croire.

Christian ESTROSI alors m’interpelle sur un autre sujet.

Très “politique”, il termine l’entretien confidentiel, en me demandant ce que je deviens.

J’élude mais il montre ainsi qu’il peut aussi être une aide, au cas où.

Au cas où “Niko” (re)deviendrait président de la république française.

Qui sait…

L’avenir appartient à ceux qui le connaissent !

L’avenir appartient à ceux qui sont dans le futur, pas à ceux qui vivent dans le passé.

Non, ce n’est pas le scoop du siècle si je vous apprends, ce soir, le 3 mai 2015, que le candidat du parti UMP, aujourd’hui encore “UMP”, pour les élections présidentielles de 2017, sera Nicolas SARKOZY.

Qui en doutait ?

2 thoughts on “Rencontre avec l’homme du futur, Nicolas SARKOZY, six mois avant la présidentielle… 2017 !”

  1. A franchement parler, comme dirait le pas-franc maçon de la III ou Vème République actuelle, je n’ai pas tout écrit sur ce rêve.

    Il y a la partie “off”, tout cet échange sur les courants internes à son parti, et surtout, tout ce que “Niko” ne me livrait pas et que je lisais en lui, comme à livre ouvert.

    Mais Nicolas a la franchise des hommes de pouvoir, le pouvoir qui ose tout, même celui de dire la vérité à une “simplette” française allant faire ses emplettes à Paris.

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  2. Six mois avant les présidentielles 2017, voyager n’était plus vraiment un plaisir… dans mon rêve.

    Les grèves perturbaient (ou plutôt perturberont) les moyens de transport, grèves dures et longues.
    Je me retrouvais, comme tant d’autres, piégée dans le métro ou le RER, par des mouvements tournants d’interruption de travail.
    Il fallait alors sortir rapidement des bouches de métro pour ne pas se faire avaler par des tunnels de rames, de rames immobilisées volontairement, sans atteindre les quais des stations.
    Des voyageurs parfois se retrouvaient enfermés dans les longs couloirs de métros, n’ayant pas eu le temps d’en sortir, avant la fermeture des grilles, pour des raisons de sécurité.
    Sécurité contre quoi, contre qui ?
    Contre des manifestants ?

    Paris grondait ou Paris grondera.
    Comme lorsque le métro passe sous terre, à proximité d’un immeuble et que les bases de cet immeuble tremblent, Paris grondait ou grondera.

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