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Ou comment une TS, tentative de suicide, se termine par une tentative de meurtre “réussie” !”, selon la victime.
Mais qui est la victime ?
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Je n’ai pas envie d’écrire des titres plus courts et racoleurs.
Pas pour un tueur.
Mais dans les lueurs troubles de la nuit, qui sont les tueurs ?
Voilà, il m’est demandé de vous faire participer à ma “démarche”, au “mode d’emploi” d’une machine humaine qui fonctionne, branchée sur “l’au-delà”, l’au-delà de la vie, l’au-delà d’une vie.
C’est tout bête, si !
Vous allez voir, comme moi.
Vous allez voir et savoir.
D’abord vous avez envie de consulter l’ami Google, les dernières nouvelles du jour en cours, celles du 22 septembre 2016, par exemple.

Vous vous orientez vers vos titres de presse préférés, juste pour lire les dernières dépêches AFP.
Sauf que, juste au moment où vous vous apprêtez à écrire le nom de votre quotidien favori dans la barre de recherche, “on” vous dit :
– “Le soir”
Vous avez deux choix, en relation avec ce mot “soir” :
– soit c’est le soir, c’est à dire l’instant où la nuit commence, sans autre indication ;
– soit c’est le titre d’un journal, puisque vous alliez taper le nom de votre quotidien favori.
Vous vous rappelez que, pour connaître un peu à l’avance les résultats des élections françaises, il y a quelques temps, il était de bon ton de taper “Le Soir”, titre d’un quotidien belge, avant que ne soit conclue une entente préalable entre les autorités françaises et les autorités belges pour mettre fin à cette “tricherie”.
Qui n’en était pas une…
Voilà, vous y êtes :
– Vous tapez “Le Soir”.

Vous lisez les gros titres du journal en ligne et vous pensez que votre pote COLUCHE va “se pointer” pour commenter l’actualité du jour sur les policiers français arrêtant des policiers belges à la frontière de toute façon inexistante entre la France et la Belgique.
Parce que les policiers français ont arrêté des policiers belges qui faisaient passer des migrants plutôt que d’arrêter leurs passeurs, vous me suivez ?
Poursuivez…si vous voulez persister dans cette erreur.
Non, promis, vous n’aurez pas de migraine à la fin de l’article.
Sauf que…
“On” vous dit :
– Ne t’attarde pas sur l’article de la police belge devenue française ou de la police française attrapant la police belge parce qu’elle parlait français avec un accent belge trop reconnaissable !
Ainsi, ami lecteur devenu “voyant”, tu reçois, perçois, comme une “injonction” de passer outre l’article et de continuer ta route… en franchissant la frontière de l’inconnu.
Dommage, ç’aurait été marrant si COLUCHE avait voulu s’exprimer sur la police belge !
Déjà qu’il s’était beaucoup exprimé sur la police française, avec le talent qu’on lui connaît.
Mais là, il a décidé qu’il ne voulait pas s’exprimer étant “expiré” (sic).
Donc tu furètes, à la recherche de l’article qui contient l’information sur laquelle tu dois “travailler”.
OK, c’est un peu bête comme système et parfois décourageant.
STOP, là, un article sur un scandale européen :
– un conflit d’intérêts entre un paradis fiscal et la fonction d’une élue européenne…
Non, il faut que tu passes ton chemin.
Tu espères que tu ne vas pas y passer la nuit, jusqu’à demain matin !?
http://bouzou.files.wordpress.com/2011/06/pas-envie.jpg

Et tout à coup, ton regard est attiré par un prénom :
– Véronique…
“On” te dit : – “oui”.
Toi, tu penses : – “aïe !”
Parce que, depuis l’affaire de Véronique COURJAULT, s’appeler Véronique, c’est pas forcément honorable, surtout dans un fait divers.
T’as pas trop le choix, de toute façon, puisqu’on ne te le laisse pas, le choix.
Elle, elle s’appelle Véronique PIROTTON.
Il paraît qu’elle était un peu “zinzin” comme toi et qu’elle est morte “suicidée”, ce que NIE farouchement l’intéressée, et avec une rare véhémence !
Puisque l’intéressée fait son apparition, te “rend visite”, tout à coup, à l’évocation de son nom.
C’est ainsi que tu sais sur quelle affaire tu dois travailler et quel article tu vas rédiger ce soir, en lisant “Le Soir”.
Même si ce ne sont pas tes affaires et que tu avais autre chose à faire, par exemple faire un article avec ton pote COLUCHE qu’aurait été drôlement plus bidonnant que cette histoire sordide de femme trouvée à demi-nu, morte, dans une chambre d’hôtel.
L’intéressée dit que :
– “Si elle avait choisi de se suicider, elle aurait choisi de se suicider “dignement” et pas si peu habillée.”
Prudente, je tente de lire les articles “pour de vrai”, en prenant connaissance des déclarations du mari “innocent”, car présumé innocent.

Je me fais traiter de … quelques noms d’oiseaux au passage qui me prouvent que le caractère de la “victime” (si victime, disons ” pas sage”) , a dû faciliter la tache au tueur.
Peut-on être victime de son propre suicide ?
La victime proteste !
Elle ne voulait pas se suicider ou un peu, comme un jeu, pour calmer le jeu, justement.
Elle avait juste pris ce qu’il fallait pour ne plus subir de violences, ne pas en avoir conscience, tout en pouvant rester en vie.
Ensuite, le SAMU, enfin les secours “belges” sur place, elle aurait pu alors dénoncer son agresseur, sans peur et sans se recevoir d’autres coups.
Selon ses envies et ses coups d’humeur.
Car il l’a frappée, affirme-t-elle, à plusieurs reprises.
Elle me montre son ventre ou son bas-ventre :
– à coups de pieds, recroquevillée sur le sol en position foetale.
Elle dit qu’elle a eu si mal qu’elle en aurait vomi, un peu, beaucoup, elle ne sait plus.
D’où le sac plastique.
Elle ne voulait pas s’étouffer avec.
Elle voulait se faire vomir.
Elle avait trop mal.
Vomir d’avoir mal, pas d’avoir bouffé.
Je ne comprends pas.
Pourquoi se faire vomir ?
– Pour ne pas mourir !, me répond-elle.
Le sac plastique lui sert aussi à gérer ses crises (?).
Elle met un sac plastique pour respirer.
Dans les crises de panique, ça la calme.
Pour ne pas être prise au dépourvu en cas d’angoisse.
Euh… ??????????????????????

Ca l’énerve que je ne la “crois” pas ou que je ne comprenne pas.
Elle reconnaît qu’elle n’est pas facile de caractère.
Mais pas “débile”.
Les “Véronique” sont-elles faciles de caractère ?
Messieurs, à vos triques !
Lorsque je vois la photographie du mari, Bernard WESPHAEL, je ressens une forme de duplicité. Mais tous les hommes politiques, ou quasiment tous, sont des “dupes qui dupent d’autres dupes”.
La victime m’apprend ce que je sais, un peu, pour l’avoir lu :
– enfance difficile, père violent frappant son épouse, la mère de Bernard.
L’ex-épouse, puisque le divorce est devenu définitif, la mort étant le moyen le plus sûr et le moins coûteux pour divorcer sans être aimables, m’explique que nous sommes dans un processus connu de “répétition”, d’imitation du “père”par un enfant battu, le cercle fatal de la maltraitance infantile qui conduit au comportement déviant de “parent-bourreau”.
Dans ces moments-là, Bernard ne serait plus vraiment lui-même.
Il se venge.
C’est elle qui me l’explique ainsi.
Mais de quoi se venge-t-il ?
– “D’être un “raté” !”, dit-elle, presqu’avec rage.

Puis je me retrouve avec ses yeux dans une pièce où les coups pleuvent sur elle.
Avec ses yeux ou dans son corps.
Car je ne vois pas grand-chose.
J’ai mal, j’ai du mal à respirer.
Je pense au sac plastique pour m’aider à respirer.
Il est dans la salle de bains.
Je m’y traîne.
Je suis prise par la tête et ma tête cogne, sonne et retombe.
Je tombe, comateuse mais je ressens encore, souffreteuse, les coups qui pleuvent.
Donc je suis en vie.
Je dois réagir mais je ne sais plus comment.
Je ne vois plus.
Et j’ai mal partout.
Il me faudrait tant de courage !
Alors Véronique PIROTTON m’envoie l’image de Marie TRINTIGNANT et me crie :
– “Combien d’autres femmes vous faudra-t-il encore pour que vous acceptiez de croire que, même dans nos milieux, les hommes sont violents ?”
“D’autres femmes “tuées””…

Elle me rappelle qu’au procès de Marie TRINTIGNANT combien sont venus témoigner, même des femmes !, que Bertrand CANTAT ne les avait jamais frappées ?
– “Ce qui est faux”, m’affirme-t-elle.
– “Pourquoi ces gens-là (sic) mentent-ils ?”, interroge-t-elle.
Dans l’expression “ces gens-là”, il y a du mépris, comme du rejet, de l’indignation, une grande, une terrible indignation !
Véronique PIROTTON me rappelle le suicide de Krisztina RADY, après le meurtre de Marie TRINTIGNANT.
<!–
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Non, je n’ai pas envie de me “brancher” sur elle.
Sans façon !
Je ne pourrais pas la faire revenir, ni revivre.
A quoi bon remuer ce qui peut faire souffrir les vivants ?
Je suis traitée d'”indifférente”, le pire des crimes sur cette terre.
Je ne lui donne pas tort.
Mais là, on n’est plus sur terre !
Oui, c’est vrai que Krisztina RADY avait témoigné en faveur de Bertrand CANTAT lors du procès pour le meurtre de sa “favorite”, Marie.
Elle n’y a gagné que la mort et le déshonneur.
Tout comprendre de l’enquête sur le suicide de l’ex-femme de Bertrand Cantat
Kristina Rady au procès de Bertrand Cantat pour le meurtre de Marie Trintignant à Vilnius, en Lithuanie, le 22 mars 2004. – ERIC FEFERBERG / AFP
Soit…
Elle est morte.
Et je ne la reçois pas.
Véronique PIROTTON se calme.
“On” arrive à la fin de l’article.
Elle avait besoin de “crier” sa souffrance.
– “Non, corrige-t-elle, elle avait besoin de témoigner à son propre procès.”
Parce que personne ne lui a donné la parole à son procès.
Donc elle la prend !
Sacré caractère !
C’est incontestable.
Elle me rappelle une “amie” que j’aime beaucoup, comme tous mes amis.
Mais je l’aime alors qu’elle a prétendument un caractère “épouvantable”.
Quelle flamme, cette femme, quelle pétulance, quelle intelligence et quelle énergie dans la vie, la Vie, même au-delà !
Malgré tant de souffrance.
Elle termine, Véronique PIROTTON, en me disant qu’elle a toujours voulu éviter aux autres femmes la vie qu’elle vient de connaître.
Elle partira apaisée si justice lui est rendue !

Si elle est reconnue en tant que victime, pas comme une “dépressive” idiote qui se serait suicidée lors d’une saoulerie, en abandonnant son gosse.
Un beau gosse !
Qu’elle adore…
Non aux violences faites aux femmes !
Mais, surtout, non à la répétition.
Véronique (non, pas moi !) Véronique PIROTTON dit aussi :
– Qu’elle aime Bernard, l’a aimé et a toujours voulu le protéger !
Mais qu’il doit se faire soigner, sinon il recommencera à frapper, à taper, et à… tuer.
Accidentellement, dans un accès de rage, mais il tuera encore.
Elle en est sûre.
Pour elle, il est “limite”, “border-line” dans le dédoublement de personnalité.
Il investit un autre lorsqu’il devient violent, un autre qu’il ne reconnaît pas comme étant lui-même, comme étant lui.
Il dit alors que ce n’est pas lui.
C’est comme s’il revêtait le costume d’un autre.
Un costume taché de sang, de son sang… à elle.
Je demande à… (j’allais écrire “Marie”) Véronique si elle se souvient des circonstances de sa mort.
Elle me répond honnêtement qu’elle ne peut pas se souvenir de ce qu’elle n’a pas vu.
Elle se débattait et puis… elle est partie.
Peut-être à cause des coups sur la tête qui résonnent encore dans sa tête, comme si elle était en vie.
Elle hurlait mais personne n’entendait.
Ou plutôt, même si quelqu’un entendait, il n’écoutait pas.
Elle est morte alors qu’il aurait suffi que quelqu’un intervienne pour mettre fin à son calvaire.
Et éviter que ce procès n’ait lieu !

Non, un procès aurait eu lieu, pas un procès pour meurtre.
Car elle lui avait crié, à l’homme qu’elle aimait, qu’elle allait déposer plainte, que cette fois, elle se défendrait jusqu’au bout.
Elle ferait savoir quel homme il était vraiment.
Le contraire de l’homme qu’il paraissait être en public.
Donc le procès aurait eu lieu.
Mais elle et lui seraient encore en vie.
J’arrête.
J’arrête la “prise de notes”, l’interview ::
– Appelez “ça” comme vous voulez.
Je n’ai pas envie de “peaufiner” l’article.
C’est trop dur ce que m’envoie la victime.
Et les images s’enfilent avec des visages de femmes qui hurlent leur douleur et des images de tueurs en liberté.
Même s’ils ont purgé leur peine !
Car elles, elles n’ont pas fini de purger leur peine, pour une éternité de larmes.
Si la vallée des larmes est sur terre, laisser derrière soi ses enfants, c’est la pire des souffrances.
Aucun paradis ne peut vous rendre heureuse !
- “Si vous êtes séparée de vos enfants”, me disent-elles.
Marie, Marie, …

Non, pas ce soir.
C’est moi qui n’ai pas le courage d’écrire.
Aucun message d’espoir à transmettre.
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Avertissement :
Lorsqu’une personne se suicide, parfois c’est pour se venger.
Se venger le plus souvent de ses proches.
N’étant pas Dieu, je ne peux pas savoir où est la vérité.
Je me suis “contentée” d’écrire ce que voulait dire Véronique PIROTTON, guidée vers elle.
Si c’est Véronique PIROTTON.
Je devais publier cet article pour celle qui se fait appeler Véronique PIROTTON et qui veut venir témoigner à son procès.
C’est mon “devoir” de “médium christique”.
Quand le Seigneur ne s’oppose pas à la venue d’un “visiteur”, je dois lui ouvrir ma porte, lui offrir le gîte et le couvert ainsi que la possibilité de contacter les personnes de son choix.
Véronique PIROTTON veut contacter les femmes de notre siècle.
Et leur dire :
– “Aucune d’entre vous n’est à l’abri de la violence masculine.
Arrêtez de protéger “vos” hommes, ceux qui vous maltraitent et qui vous font du mal.
Ce n’est pas leur rendre service.
Ce n’est pas vous rendre service que d’accepter tous leurs sévices.”
Non, Véronique PIROTTON ne se brisait pas ses propres os par masochisme.
Et elle met au défi n’importe quel psychologue de trouver une femme s’automutilant, en se cassant elle-même les os de son corps !
Ce n’est pas un “plaisir” féminin.
Elle ajoute que, n’étant pas atteinte de la maladie de la pierre (sic), ce n’est pas de sa faute si elle est tombée sur un homme avec un coeur de pierre qui lui a cassé le coeur et les os du corps.
Coeur fragile dans un corps pas assez agile…
Qui devenait de plus en plus lourd…
Comme un corps mort.

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Si vous le permettez, je vais me retirer et aller dormir.
Là, c’est la “Véronique” médium qui parle.
Attendons de savoir.
Attendons de connaître la vérité.
Si le Seigneur a permis que cet article soit rédigé, c’est :
– parce qu’Il a eu pitié de Véronique PIROTTON
– et qu’Il lui a accordé le droit de venir témoigner, en tant que martyr de l’amour, l’amour de “son” homme qui l’aimait “MALe” !
