
Pour le 15 août 2016, nous nous sommes déplacés en famille à Lourdes.
Non pas tant pour le culte marial que pour la prière à la France, par patriotisme pur.
Une autre figure de femme, la France, invincible et indomptable !
Qui ne se soumettra pas, jamais.
Levés très tôt le matin, nous sommes arrivés à temps pour participer à la messe et pour entendre la voix gouailleuse et curieuse de Monseigneur BARBARIN qui officiait pour cette occasion à Lourdes, lui aussi.
Comme une “gourde” qui sonne creux, j’avoue que la voix de Monseigneur BARBARIN me gêne, n’étant pas sourde.
Même si, dans un choeur, un chanteur met tout son coeur à donner de la voix, si c’est une voix de fausset, il y a discordance et disharmonie.
Ce jour-là, s’il n’y avait pas eu Marie devant qui il est recommandé de ne pas bouder et de ne pas bougonner, ce qui aurait fait désordre dans le concert des réjouissances religieuses, je serais repartie tout de go.
Je n’aime pas les fausses notes dans un choeur d’orchestre.
Et, sans vouloir vous commander, j’aspire à entendre un concert professionnel, plutôt qu’une chorale d’amateurs, lorsque je vais voir la plus grande Dame de France.
Non, je ne sais pas rester silencieuse, ou pas longtemps.
Je suis plutôt de l’espèce séditieuse.

Non, je ne suis pas Bernadette SOUBIROUS !
Sous mes yeux, comme si le Seigneur avait voulu éprouver ma patience, un Gentil Organisateur d’une quarantaine d’années pelotait un adolescent. Etait-ce de la provocation ? J’osais espérer que c’était son fils ? Mais, au moment même, je réalisais la sottise de ma réflexion. Dans ce cas, c’eût été de l’inceste. Qu’est-ce qui est pire, la pédophilie ou l’inceste ? Les “fidèles” paraissaient totalement indifférents à ces échanges “amoureux” et très câlins du couple suffisamment imbécile pour se faire voir. OK, il n’y en avait qu’un, juste sous mes yeux. Pourquoi moi ?
Et comment devais-je interpréter cette exhibition sensuelle lors d’une messe, devenue un hymne à la fesse, dans laquelle résonnait par haut-parleur la voix d’un évêque qui venait de bénéficier d’un non-lieu sur une accusation de non-dénonciation de prêtres pédophiles ? Seigneur, est-ce le “hasard”, Satan qui s’amuse et se moque ou le message d’un ange justicier ?
Non, je n’ai pas fait de “scandale”. Le garçon devait avoir au moins treize ou quatorze ans et paraissait lui-même demandeur, quémandeur de câlins, tout sauf paternels.
Car, en France, quand un mineur de quinze ans est consentant, l’adulte est innocent. Il suffit de suivre la jurisprudence en la matière, une jurisprudence prouvant l’évolution des moeurs actuelle, c’est à dire l’acceptation de la sexualité entre un adulte et un enfant.
Il n’y a pas de mal entre deux mâles consentants, même si l’un d’entre eux n’avait pas de consentement éclairé sur la question.
Parce que les Occidentaux ont inventé une règle hypocrite qui consiste à fixer la majorité sexuelle à quinze ans, ou moins, à l’instar d’autres pays européens tels que la Belgique qui propose d’abaisser l’âge de la majorité sexuelle des filles à douze ans pour s’adapter à l’Islam et au mariage des fillettes.
Autrement dit, aujourd’hui vous pouvez baiser avec une jeune fille de quinze ans mais pas l’épouser.
Car son cul est plus intelligent que sa tête à cet âge- là !
Et, dans l’avenir, vous pourrez vous marier avec une fillette prépubère au nom de l’exception cultuelle… si vous êtes musulmans.
L’honneur est sauf !
Pour les amateurs de pédophilie.
Etonnez-vous ensuite que les prêtres catholiques veulent se convertir à la religion musulmane !
Alors, peloter un jeune homme, bel éphèbe, “mineur de quinze ans” comme l’appelle la Justice aujourd’hui, âge de la majorité sexuelle, c’est quasiment devenu un acte de charité publique.
De temps en temps, je voyais le couple pédophile se séparer puis “se reconstituer”, “se recoller” tandis que la voix de Monseigneur BARBARIN nous expliquait avec joyeuseté et malicieuseté que nous étions dans l’année de la Miséricorde et qu’il fallait pardonner.
Même aux plus grands criminels, par exemple à ceux qui tuaient des Chrétiens.
Non, j’exagère… un peu, mais à peine.
C’est si bien d’être islamophile.
Mais bon, nous sommes restés quand même.
Nous étions venus pour Marie et pour la France.
Pas pour constater qu’il y avait encore du boulot à faire dans l’Eglise catholique, question de lutter contre la pédophilie puisque personne autour de moi ne semblait s’en émouvoir.
Des sots, des ballots et des badauds, il y en a partout.
Le garçon se montrait heureux des quelques caresses accordées subrepticement par son protecteur, et le “maître” repartait ensuite s’occuper des “invités” au repas du Seigneur et au nom du Seigneur.
Comme quoi, la notion de péché n’est pas la même pour tous.
Je me demande s’ils sont croyants, ces gens-là.
Enfin, s’ils croient en Jésus ?
Je veux dire s’ils croient que Jésus est encore vivant aujourd’hui ou s’il est monté dans les cieux et… adieu !?
Nous laissant son “esprit saint” veiller sur nous comme une lumière dans la nuit du monde.
Les pélerins d’Emmaüs et Saül lui-même devenu Saint-Paul par une conversion opérée avec un peu de force et contre son gré, puisqu’il lui a fallu “croire” en Son “aiguillon” pour ne pas rester aveugle dans la nuit de ce monde, ont-ils seuls la réponse à cette question ?
Pas de protestation :
– Le Seigneur est Vivant !
Moi, c’est pas pareil.
Je suis folle.
Donc je crois que Jésus est vivant et que, même parfois, “on” préfèrerait qu’Il soit mort.
Parce qu’Il est quand même très exigeant !
Comme voisin, et pire, comme ami.
Il faut aider tout le monde et tout le temps.
C’est sans fin, qu’importe qu’on ait faim ou pas, que ce soit l’heure de rentrer chez soi ou de passer à table.
Sinon on Le perd et donc on se perd.
Des fois, j’essaie de tricher, pas vous ?, genre :
– “Non, mais là je suis attendue. Je ne vais pas pouvoir m’en occuper. Quoi, qu’est-ce qu’il attend ou qu’est-ce qu’elle attend ? Est-ce que je sais, moi ? Zut et flûte (parce que je suis polie, je l’écris ainsi), il va falloir que j’y aille… Non, je ne reste pas parce que Toi, Tu sais que…”
Puis, de guerre lasse, vous vous avancez vers la personne que le Seigneur vous désigne parce qu’Il vous “casse les pieds” :
– “Bonjour, Madame (ou Monsieur), avez-vous besoin d’aide ?”
Et la réponse tombe, habituelle :
– “Oh, vous “tombez” bien ! C’est le Seigneur qui vous envoie (pas faux). Je suis perdu(e) dans cette ville que je ne connais pas. (ou) Je n’ai pas mangé depuis deux jours. (ou) Je dois me rendre à tel endroit mais ma voiture vient de tomber en panne, c’est urgent.” Etc..
Des fois, juste des fois, j’envie celles et ceux qui n’ont pas la “chance” de Le connaître, Jésus.
Eux, ils peuvent rentrer chez eux sans faire de détours, sans s’arrêter sur leur route ou sans devoir prendre des nouvelles de la personne que plus personne n’attend plus chez elle, contrairement à moi ou à vous.
Donc me voilà à Lourdes et comme d’habitude, je râle.
Sinon je ne serais pas française, non ?
Nous avons tant de prédicateurs avec des voix d’orateurs qui portent loin et de manière profonde et qui nous transportent.
Pourquoi nous le mettent-ils partout et profond, Monseigneur BARBARIN ?
Si c’est un maçon ?
Ils le sont pratiquement tous aujourd’hui, alors…
C’est simple :
- ou nous renonçons à l’Eglise catholique romaine,
- ou nous la réformons.
J’ai l’autorisation d’écrire cet article.
Donc…
Par contre, Marie, j’ai toujours douté.
Je ne l’ai pas rencontrée, elle.
Donc je doute.
Je doute qu’elle ait existé, du moins telle qu’on nous la présente, “Immaculée Conception”, vierge même après avoir accouché d’un premier fils, etc..
Belle, oui, “ça”, je veux bien le croire !
Pour Marie, je serais assez protestante, d’autant plus que je passe mon temps à protester, au cas où vous ne l’auriez pas remarqué.
Sauf que, pas plus sainte que toi, ma soeur ou mon frère, si une “tuile” me tombe dessus, même si je sais qu’Il existe, qu’Il est vivant, Jésus, je préfère mettre toutes les chances de salut et/ou de guérison de mon côté, surtout lorsqu’il s’agit de la vie de quelqu’un qu’on aime.
Donc je prie Marie avec une hypocrisie singulière.
– “Marie, toi en qui je ne crois pas, aie pitié de mon manque de foi et… Guéris mon fils… Accorde-moi cette faveur de…” Etc..
Vous les connaissez mieux que moi, ces intentions de prières qui sont nos problèmes de tous les jours, problèmes non résolus qui s’accumulent et se cumulent avec les “emmerds” de la vie normale.
Et, croyez-moi si vous le voulez, Marie pas rancunière pour un sou, m’a toujours exaucée.
Bizarre, non ?
Je la trouve “bonne poire” avec moi et peu fière, un modèle d’humilité et de charité chrétienne.
Par conséquent, il devient de plus en plus difficile de nier son existence en tant que bienfaitrice de l’humanité.
Par contre, je n’arrive toujours pas à adhérer aux dogmes catholiques sur Marie, sa virginité, sa conception sans péché, etc..
Mais Marie ne m’en veut pas, ouf !
Merci, Seigneur.
Car demander à Jésus certaines grâces, c’est plus difficile.
Puisqu’il nous a demandé de porter notre croix.
Aussi.
Tout comme Lui a porté Sa croix.
A Sa suite !
Pour Le suivre.
Sauf que moi, des fois, je la trouve lourde, ma croix !
Et je suis bien contente d’avoir Marie pour solliciter un peu d’aide, un coup de main, quoi, juste pour ce coup-là, car, là, je craque.
La croix est trop lourde.
Donc nous sommes allés à Lourdes.
Surtout que, porter sa croix dans une France musulmane, ce sera encore plus difficile dans l’avenir.
Croyez-moi sur Parole, Sa Parole à Lui !
Et, moi, je n’ai vraiment pas, mais absolument pas la vocation du martyr.
Si vous avez envie de mourir glorifiés, tant mieux pour vous !
Mais pas moi.
Je n’ai pas envie de voir mes voisins, mes amis, mes enfants être livrés aux chiens, torturés et crucifiés parce qu’ils sont chrétiens, alors que certains sont juste des païens crétins qu’ont rien compris à ce qui se passe actuellement.
Après la messe et après avoir mangé le corps du Seigneur qui nourrit notre âme mais pas notre corps, enfin si vous êtes comme moi, pas des saints, il a fallu trouver un endroit où se sustenter.
A Lourdes, ce n’est pas évident de trouver de bons restaurants.
La qualité de la nourriture est médiocre.
A croire qu’ils pensent, là-bas, dans la cité mariale, qu’après avoir mangé l’hostie, la foule est rassasiée et qu’on n’a plus faim.
Finalement on est allés manger de la nourriture pour infidèles, pour ceux qui ne sont pas des saints comme nous, dans un restaurant situé sur une place dans la ville haute de Lourdes, non loin de l’Eglise du Sacré-Coeur.
N’allez surtout pas manger dans les petits troquets autour du Centre Marial !
Sauf, peut-être, dans les restaurants indiens.
Ou alors apprêtez-vous à devenir des saints et à ne vous nourrir que d’hosties le temps de votre séjour à Lourdes.
Moi, j’ai besoin des deux nourritures, spirituelle et physique.
Sinon j’ai faim et j’ai l’impression que je vais mourir… de faim.
L’après-midi, nous étions présents à nouveau dans la ville basse de Lourdes, pour entendre la prière adressée à Notre-Dame de Lourdes, la prière pour la protection de la France.
La voix de Monseigneur BARBARIN s’est élevée nasillarde et banlieusarde, sans doute et incontestablement “à la mode” tant il est partout et en tous lieux.
La France restera-t-elle chrétienne ?
Seigneur, j’attends Ta réponse, à Toi.
Si Monseigneur BARBARIN continue à prêcher, moi, je vous le dis !, on va tous devenir musulmans et préférer la prière du muezzin, croyant à la voix forte qui porte, prière solennelle et sensationnelle plutôt que la voix goguenarde et mocharde de l’évêque, défenseur en France des Chrétiens d’Orient, à condition qu’ils meurent et demeurent chez eux, au Moyen-Orient.
Il faut reconnaître aux Musulmans qu’ils savent choisir leurs prédicateurs, eux, prieurs sans peur et sans reproches.
Assis sous un soleil de plomb, nous avons bronzé tandis que de charmants bambins venaient de temps en temps nous asperger d’eau, en nous offrant gratuitement et gracieusement un verre d’eau, le fameux verre d’eau qui a valu à Asia BIBI d’être incarcérée dans sa prison pakistanaise pour l’avoir offert à ses “soeurs” musulmanes.
Eau de chrétien, eau impure !
Eau de source, eau de Lourdes, les larmes de la Vierge coulent sur son visage pour tous les Chrétiens persécutés dans le monde.
Mais n’en parlons pas !
C’est politiquement et catholiquement incorrect.
Ou alors, vite, en coup de vent, en récitant une prière, le “Notre Père” en chaldéen que seul connaît Monseigneur BARBARIN, ce qui limite la communion et le partage spirituel.
Mais en a-t-il conscience, notre cardinal ?
Réfugié en France, il a promis aux futurs martyrs qu’en échange de leur mort, on apprendrait tous le chaldéen.
Mais, en fait, nous sommes en train d’apprendre l’arabe et le Coran.
Car eux, les Musulmans du Moyen-Orient, sont vivement invités à venir en France, pays qu’ils n’ont pas encore dévasté.
C’est à n’y rien comprendre !
Alors, oui, apprenons-le, tous, le chaldéen puisque nous allons, tous, devenir chaldéens, en connaissant leur devenir !
Sûr, ce serait mieux si nous intervenions, tous, pour que nos frères chrétiens d’Orient soient avec nous et apprennent le “Notre Père” en français, en France, terre chrétienne, plutôt que de les laisser se faire massacrer sur leurs terres d’Orient, terres musulmanes.
Mais plus on est de fous à ne pas pouvoir “vivre ensemble”, plus c’est saindoux !
-
Ma foi, puisque je [me] suis dérangée, dit la Sarriette, donnez-moi une livre de saindoux… Moi, j’adore les pommes de terre frites.
-
— (Émile Zola, Le Ventre de Paris, G. Charpentier, Paris, 1873)
C’est de l’humour belge.
L’amalgame, c’est de penser “Arabe, donc musulman”.
Il faut penser “Arabe, donc intelligent”, comme Majid OUKACHA !
Car le Seigneur est assez pessimiste sur le maintien des Chrétiens ARABES dans leurs terres orientales ancestrales.
Soit nous deviendrons tous musulmans, dans le monde entier, puisque l’Islam ne se mélange pas.
Soit le monde sera partagé en deux, le monde occidental “rechristianisé”, “born again”, et le monde musulman mourant, monde oriental s’entretuant et tuant tout alentour et autour de lui.
Si nous voulons éviter le génocide de tous les Chrétiens d’Orient, ainsi que celui des Yézidis, nous devons les rapatrier d’urgence sur une terre d’asile, la France, par exemple.
Voilà ce que dit le Seigneur !
Vous n’avez pas à imposer aux peuples majoritairement musulmans votre conception occidentale, maçonnique et “satanique”, vu par eux, les Musulmans, votre vision du “Vivre ensemble” dans un monde comme Sodome et Gomorrhe.
Ils la refusent.
Ils refusent de “vivre ensemble” avec vous, comme vous.
Sachez qu’être pareils que vous, pour les Musulmans, “ça”, le “ça” freudien, “ça” leur fait horreur !
Acceptez-le.
Et des fois, je me dis qu’ils n’ont pas tort.
Alors, pourquoi vous l’imposer à vous-mêmes ?
Je me le demande.
Ah oui, c’est vrai, j’oubliais :
– L’Eglise catholique organise sa propre conversion pour ne pas mourir.
Je traduis pour les “in-crédules” :
– L’Eglise catholique va finir son oeuvre au noir, vous convertir tous à l’Islam, pour gagner du temps et épargner votre sang sur le territoire français.
Qui a bien appris ses dernières Sourates du Coran lors de son catéchisme hebdomadaire, à la virgule près ?
Qui a reçu un bon point à l’école catholique privée pour avoir récité la vie du Prophète M…
Non, pas M comme MOISE.
M comme MAHOMET.
Ah, l’Eglise catholique et sa fidélité perverse (l’adjectif me vient du Seigneur Lui-même) envers les autorités de ce monde, vieux réflexe impérial romain du culte de César !
Que disait déjà Monseigneur BARBARIN au préfet des Gaules à Lyon ?
– “Je ne vous désobéirais jamais, mon préfet !”
Serment catholique d’obéissance maçonnique aux maîtres du monde, le possessif étant l’indicatif d’une possession non divine.
Monseigneur BARBARIN proférait ce serment d’obéissance quand il prétendait s’occuper des Roms.
Il les défendait sans désobéir au Préfet de Lyon, car il y a des limites à ne pas franchir, jamais.
Les limites de l’obéissance aux autorités de ce monde.
Sans doute pour ne pas finir crucifié, comme un certain Jésus, le Fils de l’homme, de tous les hommes !
Vous savez, le “désobéisseur civil”, celui qui ose défier le pouvoir humain parce que Son Royaume n’est pas de ce monde.
Entrons dans la ronde !
Et chantons en chaldéen, s’il vous plaît, pendant que nos frères chrétiens d’Orient se meurent.
Chantons sans peur et demandons pardon pour…
Non pas, nos péchés, notre non-assistance à nos frères chrétiens !
Mais pour leurs bourreaux.
Demandons pardon à Dieu pour les crimes de sang commis par leurs pauvres bourreaux, ces innocentes victimes, martyrs d’ALLAH.
Qui s’entretuent entre eux, en tuant des Chrétiens, des Yézidis, des Kurdes, des chiens, des agneaux, des chameaux, des femmes, puisque les femmes valent moins que les chiens et leurs chameaux.
Demandons aussi pardon pour le sang répandu sur le territoire national, terres chrétiennes, le sang des agneaux innocents, jour de sacrifice, jour de l’Aïd El Kébir, devenu l’Aïd Al Adha, l’Alpha et l’Oméga de la cruauté religieuse qui veut qu’on célèbre un sacrifice par un autre sacrifice.
Imaginez s’il fallait ainsi célébrer les sacrifiés de la guerre 14/18 et les sacrifiés de la guerre 39/45 ?
Combien de soldats devrait-on tuer sur le sol des batailles ancestrales pour commémorer nos victoires nationales ?
– “Mais que faites-vous, soldats de l’Armée française ? Vous vous entretuez ! Etes-vous devenus fous ?”
– “Non, nous célébrons nos victoires françaises en répétant, en imitant bêtement les meurtres commis pour obtenir ces brillantes réussites, des boucheries humaines.”
La limite à la connerie humaine ?
Je n’en vois pas.
Donc, pour fêter le remplacement du fils d’ABRAHAM par un agneau, à la demande de l’Ange ayant arrêté le bras du Prophète ABRAHAM au moment où cet imbécile allait tuer son propre fils, tuons, tous, des agneaux innocents comme aux temps barbares de cette époque lointaine où l’électronarcose n’existait pas.
Pas encore !
Quelle belle preuve d’intelligence, n’est-il pas vrai ?
Il ne nous reste plus qu’à fêter la Toussaint, la Fête des Morts par quelques sacrifices humains bienvenus, supplicier quelques Barbares, comme au temps des Celtes, et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles !
Restons en confiance et célébrons le “Vivre Ensemble”.
Car je suis rassurée de savoir que les animaux sacrifiés bestialement par des êtres humains le sont au nom de la religion de la paix et de l’amour.
Pour un peu, j’aurais cru bêtement qu’il s’agissait d’une religion ancestrale aujourd’hui disparue tant est grande sa cruauté, un peu comme la religion aztèque.
Islamophobie ?
– “Pourquoi tant de défiance ?”, s’interrogent les Théologiens catholiques qui défendent la religion hispanique et islamique.
Après on s’étonnera que les agressions au couteau se multiplient et qu’on égorge du Chrétien, jusqu’aux prêtres du Dieu chrétien, comme on égorgerait l’agneau pascal chez les Juifs.
L’insensibilité à la douleur, ça se cultive !
Oui, ça s’éduque.
Et “ça” s’apprend, “tuer”, plus vite que l’Histoire de France, semble-t-il, chez les adeptes de la religion de la paix et de l’amour.
Trop de douceur nuit dans un monde de brutes.
Pourtant la couleur du sang chez l’animal et chez l’homme est la même, c’est la couleur du MAL.
Il est temps de partir et de reprendre la route.
Le lendemain du 15 août, nous irons à Notre Dame de Lourdes.
Encore ?
Non, pas la “vraie” !
Celle de Perpignan.
C’est un petit “bijou”, au coeur de Perpignan, une simple Chapelle.
Nous allons faire bénir la statue de Jeanne d’Arc, achetée sur un marché médiéval à Canet en Roussillon, “Made In China”.
Parce qu’en France, on ne fabrique même plus nos objets pieux.
Faites un voeu !
Si, faites un voeu.
Moi, je fais le voeu que la France redevienne chrétienne et que nous retrouvions nos bâtisseurs de cathédrales, nos confréries artisanales, nos compagnons du tour de France et notre indépendance économique et alimentaire.
Le Père Denis BROUSSAT a béni la statue porteuse de lumière, car les Chinois ont transformé Jeanne d’Arc en lampe de chevet.
Mais elle reste très belle.
Et la lampe, finalement, rajoute à la portée de ces flammes qui l’ont brûlée, sans la tuer.
Elle serait morte, si elle ne vivait plus.
Mais Jeanne vit encore.
C’est le coeur de la France.
A votre avis, pourquoi la voiture bourrée de bonbonnes de gaz et garée près de Notre Dame de Paris, la Cathédrale de Paris, n’a-t-elle pas explosé dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4 septembre 2016 ?
Les Français s’habituent vite à avoir “de la chance”.
Mais était-ce de la chance ou un miracle de Notre Dame ?
A-t-on remercié Notre Dame pour ce miracle ?
Oracle de Dieu, où sont les Prophètes de notre temps ?
http://www.prionseneglise.fr/Les-textes-du-jour
dimanche 25 septembre 2016
1ère lecture : Lecture du livre du prophète Amos (6, 1a.4‑7)
[ Ainsi parle le Seigneur de l’univers : Malheur à ceux qui vivent bien tranquilles dans Sion, et à ceux qui se croient en sécurité sur la montagne de Samarie. Couchés sur des lits d’ivoire, vautrés sur leurs divans, ils mangent les agneaux du troupeau, les veaux les plus tendres de l’étable ; ils improvisent au son de la harpe, ils inventent, comme David, des instruments de musique ; ils boivent le vin à même les amphores, ils se frottent avec des parfums de luxe, mais ils ne se tourmentent guère du désastre d’Israël ! C’est pourquoi maintenant ils vont être déportés, ils seront les premiers des déportés ; etla bande des vautrés n’existera plus. ]
One thought on “Miracles de Notre Dame : – “Ce qui est miraculeux avec la Vierge Marie, c’est, qu’en plus d’être restée vierge après avoir accouché d’un fils, le Fils de l’homme, même si vous ne croyez pas en elle, elle, elle croit en vous… et vous exauce.””