De COLUCHE : – “Si MEDIAPART est un média indépendant ? Ouaip, autant qu’ma bite est indépendante d’mon Q ! C’est tout dire. Tu veux voir ? J’te montre. Meuh non, j’suis pas sexhibitionnniste… Avec Alain JUPPE en invité-surprise. M..rde, j’l’ai dit !, c’est plus une surprise.”

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C’est l’histoire de…

Sortez vos mouchoirs, pas ceux qui sont en papier pass’qu’y sont pas assez absorbants.

Prenez vos anciens mouchoirs, ceux en tissu ou vos torchons d’vaisselle, ceux qui sentent vos aisselles quand vous avez fini d’faire la vaisselle que vous faites jamais, les gars.

Quoi, z’avez plus rien pour essuyer vos yeux ou vos verres ?

Nan, pas les verres de lunettes pour voir la lune dans le ciel, la plus grosse de ce siècle.

Ni les vers de terre.

Les verres, tu sais, pour boire du pinard !

Si t’es français.

Donc c’est l’histoire de…

Ca y est, y’en a une qui commence à chouiner alors que j’ai encore rien dit !

C’est dingue, non ?

Ou c’est une dinde ?!

Bon, j’poursuis.

– “Poursuivez !”, qu’y dit le proc’ !

Nan, c’est pas c’qu’y dit ?

Par exemple, y dit :

– “Poursuivez Véro, elle nous a trop fait chier, même qu’on finissait tous par avoir la diarrhée à Perpignan, de frousse qu’elle vous raconte tout à tous, tout c’que vous devez pas savoir de c’qui s’passe dans c’te ville” qu’elle est pas vraie… tant elle est fausse, la ville !, pas Véro.

Tiens, en parlant de “méchant con”, y’a…

– Allez, j’vous l’dis, pass’que la juge d’instruction, elle vient de considérer que la constitution de partie civile n’était pas recevable, donc ça sort du domaine de l’instruction.

Donc c’est plus un secret.

Donc vous pouvez tout savoir, tous.

Donc y’en a qui vont encore avoir la chiasse, ce soir !

Pass’que je pars à la chasse aux cons.

“On qu’est toujours un con” veut pas poursuivre un autre méchant con.

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Y doit s’reconnaître en lui, sinon j’vois pas pourquoi.

Pourquoi qu’y veut pas rendre justice au peuple, hein ?

Pass’que le peuple, y l’est noir !?

Ah, fallait le dire !

Quand t’es blanc, t’es blanchi(e) !

Pas comme quand t’es noir(e)…

Aux USA ou en France, c’est tout pareil.

Vaut mieux être blanc et chef de service dans la PN, la Géhenne ou la Police aux Fous, que noire et veuve de policier mort en service, quand tout s’dévisse.

Pass’que noire et femme, tu cumules deux handicaps !

En France.

Surtout ne défendez pas les minorités discriminées qui travaillent dans la police nationale…

Surtout pas !

Des fois qu’ça s’saurait… ça leur f’rait trop plaisir !

Y voudraient tous venir dans la police.

T’imagine, des Blacks et des Beurs dans la police, mais on s’rait plus en France !

Dis donc…

Moi, y m’font tous marrer !

Ouaip, vous m’faites bien marrer, les Blacks et les Beurs.

Vous allez voter Alain JUPPE, aux Primaires de la droite, comme des primates, çui qu’est le copain d’enfance, ou retombé en enfance,

– c’est tout comme !,

de celle qu’a placardisée une Black et l’a foutue derrière des pare-vues pour pas qu’on la voie, pass’que le noir, ça porte malheur…

Faut comprendre, ça fait deuil.

Ou ça fait sale.

D’ailleurs, c’est pour c’te raison qu’elle refusait de lui serrer la main, la chef de service !

Pass’qu’elle avait peur de s’salir !

Tu comprends, le noir, c’est contagieux.

C’est comm’ le charbon de bois.

Plus tu frottes, plus t’es noir !

C’est qu’y sont cons, ces gens-là.

Y savent pas que le savon, ça existe.

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Donc la procureure et la juge d’instruction, “Madame BATAILLE”,

– ça s’invente pas !, encore une…, si, c’est un pseudo,..

– y’en a plein des Madame BATAILLE qui s’inventent pas, faites gaffe !

ont décidé que la constitution de partie civile d’une noire ne vaut pas celle d’une blanche.

Car j’connais la musique, moi !

Une blanche vaut deux noires, c’est connu.

Si t’es musicien.

– Pas juge, mais musicien !

La copine d’Alain JUPPE, elle a le droit, elle, de se constituer partie civile pour des faits remontant à l’année 2004, contre une majeure mal protégée qu’elle poussait au suicide, une mère de quatre enfants, mêm’que la HALDE a reconnu la discrimination pour cause de santé et que l’administration, celle au-dessus de celle qu’est en-dessous, elle avait blâmé le blâme que lui avait fait coller la blanche, la copine de JUPPE, en le supprimant d’avance. Y préférait ça, l’préfet d’région, plutôt que d’passer pour un con, aux yeux des cons !

– c’qui sont cons, tous ! -,

devant le Tribunal Administratif, à une époque où, à Montpellier, y jugeait encore pour de vrai.

Aujourd’hui faut plus y aller, d’vant le Tribunal Administratif de Montpellier, si t’es un petit agent, et surtout si t’es Black.

Ou alors faut payer au black pour gagner la partie, comme au Blackjack.

Tu joues, tu perds à tous les coups !

C’est pour ça qu’Machine qui va plus à la plage de Leucate mais qu’est toujours la copine du couple JUPPE, la chef de sévices, elle s’est constituée partie civile contre Véro et contre la mère de famille qu’elle a failli suicider dans son service, , mais qu’elle a ratée autrefois, pour des faits commis de 2004 à 2008. Pass’qu’elle est encore en vie, sa victime, la majeure plus protégée, Machine veut l’achever. Elle aime bien les achever, ses victimes expiatoires, surtout quand elles sont noires ou plus protégées !

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On achève bien les chevaux, non ?, pourquoi pas les mères de famille ?

Et pourquoi pas Véro ?

Plainte avec constitution de partie civile dans une écurie, genre centre équestre, le TGI de Perpignan, dont les juments, les deux filles, les victimes, les vraies, elles ont été informées seulement en 2015, soit plus de dix ans après, que Machine voulait leur peau,  pour s’faire un sac en cuir.

Sauf que Véro, c’est une dure à cuire.

Jocker, votre honneur !, y’a plus d’jockey menteur pour monter à cheval sur des juments démontées.

J’vais vous faire la photo du poteau, au tiercé, les potes !

Tiercé gagnant pour la Primaire, sans Alain JUPPE.

– Mais c’est normal à Perpignan !, qu’y perdent, les Blacks et les Beurs quand y z’osent s’attaquer aux chefs de sévices.

Y’a pas photo à l’arrivée !

Quand y z’aiment, y comptent pas, les juges.

Y comptent pas leur nombre d’amis.

Le temps compte plus, non plus, ni la prescription.

Sont capables de tout pour plaire à leurs amis.

C’est beau l’amitié, non ?

Ca s’appelle la fraternité !

Y’a jamais prescription quand tu t’attaques à des chefs de sévices dans la police nationale.

Aussi l’procureur y l’est pas trop pressé d’montrer ses réquisitions pour la mise en examen de Véro.

Des faits commis de 2004 à 2008 ?

Tu m’étonnes !

A ton avis, pourquoi ?

Y paraît que, quand t’es témoin assisté, bah ouais, t’as pas le droit d’savoir pourquoi t’as failli être mis(e) en examen.

Sinon faudrait qu’t’acceptes d’être mis(e) en examen pour avoir le droit d’savoir pourquoi t’aurais mieux fait d’être témoin assisté.

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La juge d’instruction, par Dépit, elle a préféré éviter la mise en examen à Véro.

On sait jamais, des fois qu’vous sachiez !

Que j’sache et que vous saviez c’que vous deviez pas savoir…

Pour qu’ils z’aient encore la chiasse à Perpignan !

C’est qu’Véro, ce jour-là, elle était en colère !

Pensez donc :

  • Deux commissaires armés qui s’rendent au domicile d’un curateur âgé de 76 ans pour prendre son audition, c’est à dire lui faire rendre des aveux :

– “Alors tu vas les rendre, ces aveux ! Tu vas l’dire, Vieux con,  que c’est Mme HURTADO qui t’a dicté ta conduite,  et qu’sinon, t’aurais pas défendu la majeure protégée qui voulait se suicider… ta protégée qu’tu vas plus pouvoir protéger longtemps !”

– Ah je vomis, c’est trop dégueulasse !

Depuis y l’est mort, le vieux. C’est pour ça qu’y peuvent s’occuper d’sa protégée avec la Machine à tuer. Le vieux curateur avait fui le département des Pyrénées-Orientales, le 66, en vain, pour échapper aux pressions.

 Là c’est moi qui le dis, COLUCHE, qu’c’est trop dégueulasse.

Tu m’suis un peu, non, sur ce coup-là  ?

C’est normal !

“On qu’est toujours un con” met en examen Véro, mais laisse tranquille les commissaires.

Même que, si tu dis “on”, c’est toi qui parles de toi, y z’ont dit et reproché à Véro.

Tu l’savais, toi ?

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L’avocat de la partie adverse, une autre chef de sévices, une copine aussi à Machine, la copine du couple JUPPE, c’est c’qu’y l’a dit devant la XVIIème Chambre correctionnelle à Paris, celle spécialisée en droit d’la presse qui oppresse  :

– “Arrêtez-la d’parler ! Elle dit “on”. Donc elle s’prend pour “on” ! Elle s’prend pour qui, pour dire “on”, elle ? Pour nous, Madame la Juge. Madame HURTADO s’prend  pour des chefs qu’on est.”

Ca, qu'”y” se prennent  pour des chefs cons, ceux qu’en sont des cons,  “on”, c’est pas faux, mais pas faux du tout.

Mais aucun risque pour Véro !

Véro, elle sait trop bien que, grâce à moi, “”on” est toujours un con” !

Elle est pas assez con pour s’auto-accuser, elle, et aller s’identifier à son propre procès comme étant Madame BATAILLE, celle qu’a voulu succéder à Machine qui lui avait promis qu’elle aurait le poste qu’elle a jamais eu.

C’est forcément encore d’la faute de Véro !

“On” pour les cons, leçons de Chose, pour le P’tit Chose, Véro :

– J’m’y recolle en tant que maître d’école pour une p’tite leçon d’grammaire en une seule phrase, moi qui suis nul. C’est d’vot’faute aussi. Dictée !

Nan, j’ai pitié.

Mais j’colle le premier con qui me sort : – “qu'”on”, c’est moi ! c’est à dire “Véro”.

“On”, c’est :

(On peut l’écrire “on sait”, mais ça, j’sais pas !)

  • pronom indéfini NEUTRE qui ne veut pas dire “moi”, ni “je”,  mais plutôt “eux” ou à l’extrème rigueur “nous” !

Si j’te dis :

– “En Angleterre “on” mange du rosbeef avec de la sauce à la menthe”, ça veut pas dire qu’je me prends pour un English, et encore moins pour la Reine d’Angleterre !

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Qu’y sont cons, les cons qu’y poursuivent, Véro  !

 Bienvenue à Perpignan !

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Pour ceux qui voudraient changer de destination, c’est trop tard.

Le train ne s’arrête jamais en cours de route.

Car il est en déroute jusqu’à Perpignan.

– J’veux descendre !

Nan, pas possible, faut d’abord attendre qu’y vous z’aient descendu(e) à Perpignan, avant d’pouvoir descendre… les pieds devant, de préférence.

Mais Véro qui défend une majeure protégée pass’qu’elle est plus protégée, c’est anormal pour eux, ces gens-là !!!

C’est une extra-terrestre, Véro!

En plus, elle défend une Black qui veut s’constituer partie civile contre une blanche.

Mais dans quel monde vivons-nous, j’vous le demande, braves gens de Perpignan ?

Quelle horreur !

En plus, la blanche qui vaut deux noires, c’est  une copine de JUPPE…

Elles z’auraient dû être deux, au moins, deux Blacks pour déposer plainte contre la blanche !

Tu sais bien, j’te l’ai déjà dit :

– il faut deux noires pour faire une blanche.

Aussi quand y’a qu’une seule noire qu’est discriminée pour sa couleur de peau, ça compte pas à Perpignan.

Et comm’ y’a pas beaucoup d’Noirs, beaucoup moins qu’à Paris, on s’demande pourquoi !, c’est difficile d’en trouver deux et d’faire la paire.

T’imagine :

– “Topez-là ! L’affaire est conclue. J’vais me constituer partie civile aussi contre la blanche !”

– “Pourquoi ?”

– “Bah, pass’que j’suis noir(e).”

Ca suffit pas !

Ce type d’accord mafieux, ça existe que chez les “frangins”, à Perpignan, pas chez les Blacks, ni les Antillais qui sont souvent noirs, note bien !

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Le devoir d’entraide entre Mafieux, les associations secrètes qui gèrent la vie des administrations à Perpignan, ça t’oblige à aider ceux qu’t’as pas toujours envie d’aider si tu veux pas finir comme Véro.

Bon, mais j’vous ai rien dit !

Moi, j’tiens à ma peau, enfin à celle de Véro.

Déjà qu’elle aura pas assez de toute une vie pour payer tout c’qu’y vont lui mettre sur le dos !

Alors si vous la faites mourir plus tôt…

Va falloir qu’elle vende sa tombe ou son urne funéraire !

Donc, j’te disais :

– Quand t’es noir(e), tu vires au gris foncé, avant d’être viré(e), pas pass’que t’es dépressif-ve, mêm’si ensuite, tu le deviens forcément, pour un rien, hein ?, dépressif-ve…

– Ah, t’es devin toi aussi ? T’avais deviné, hein ?, qu’elle allait devenir dépressive !, Maguy, à cause de la blanche !

La Black, elle est dépressive à cause de la blanche qui vaut deux noires, ou tout comme.

En tous cas, c’est elle, la blanche, qu’y croit qu’elle vaut deux noires !

Mais les règles en musique, ça vaut pas dans la vie courante.

C’est pour ça qu’y finissent tous par avoir la courante, à Perpignan, de peur que le monde entier, y sache comment y sont !

C’est pour ça que j’te le dis, d’ailleurs, comment qu’y sont !

Pour qu’y finissent aux chiottes, dans la cuvette des WC… avec leur m..rde.

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Par contre la noire, elle a pas le droit, elle, à Perpignan, de déposer plainte contre la copine du couple Alain JUPPE, la chef de sévices qu’a déposé plainte contre Véro qu’avait défendue la Black.

C’est défendu de défendre les autr’ à Perpignan.

Faut avoir un statut spécial, çui d’Grand-Maître !

Sinon t’es rien.

Ouaip, Véro, elle avait défendu les deux, la majeure qu’est plus protégée et la Black qu’était devenue gris foncé, et pis quéques z’autr’ z’encore, que la procureure et la juge d’instruction, Madame BATAILLE, la bien-nommée,

– j’vous ai déjà dit qu’c’était comme un pseudo, cherchez pas !

voudraient pas voir s’ramener dans la procédure pour se constituer partie civile mêm’s’y z’ont tous souffert à cause de la blanche qui vaut deux noires.

Moi, j’dis qu’la noire, elle l’a tellement noircie, la Machine blanche qui supportait plus d’la…voir et d’l’avoir au service, une noire !, qu’à la fin d’son histoire, elle est devenue noire… de colère ! elle aussi.

P’tite chef blanche de se’vices, la maîtresse-femme, la copine du couple JUPPE.

– Oh, ma maîtresse !

“Négr’sse, apporte-moi mon thé au babaorhum !”

– “Oui, oh oui, oh, ma maîtresse.”

Nan, j’déconne, pass’qu’elle buvait pas de thé, Machine.

En tous cas, jamais au service !

Elle demandait à Philippe d’lui préparer son café, le matin.

Nan c’est pas vrai, j’rigole. D’toute façon, Philippe, y l’aurait pas voulu !

Y s’en rappelle encore çui qu’elle avait voulu transformer en secrétaire personnel à son service à Cerbère, un beau brun aux yeux bleus, un policier ACTIF qui demandait à aller sur la voie publique plutôt qu’d’finir sur son pubis ou sous son pupitre de bureau.

Après ça, Machine, elle avait décidé que son nouvel esclave, son futur secrétaire personnel comme on dit aujourd’hui, ce s’rait le mari d’Véro, au Perthus, à son nouveau service, çui où y z’ont compris leur bonheur de l’avoir, la blanche qui vaut deux noires !

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Lui aussi, le mari d’Véro, y l’a pas voulu aller au Perthus, là où y l’avait jamais mis un pied.

Alors pourquoi y l’y mettrait son Q, pour faire le secrétaire personnel de Machine ?

Note bien que la procureure de Perpignan, elle est forte !

Elle a trouvé qu’y l’avait toujours travaillé au Perthus, Robert, qu’elle écrit !

Si, c’est vrai !, qu’elle écrit ça, pour justifier qu’il ait failli y aller piss’qu’y l’y aurait toujours été.

Faut suivre, aussi, en été tout comme en hiver.

Elle est longue, l’histoire, et elle est pas prête d’être finie.

On s’demande alors comment Thierry  a pu récupérer un bureau à la DDPAF de Perpignan qu’est située à Perpignan, le bureau d’Robert, le mari d’Véro.

– J’précise “la DDPAF de Perpignan”, pass’que le département des Pyrénées-Orientales est le seul département de France à avoir deux DDPAF.

Si, compte bien avec moi :

– Y’a “la DDPAF de Le Perthus”, comm’y disent les “on”, et la DDPAF de Perpignan.

Quoi, tu me crois pas ?

La procureure qui connaît pas le département dans lequel elle travaille ni les services de police avec lesquels elle travaille, elle a écrit que le service de Robert, le mari de Véro, avait toujours été :

– la DDPAF du Le Perthus,

là ou Robert, il a jamais travaillé, lui qu’avait jamais mis un pied dans ce p’tit service, au Perthus,

– “On”, y z’appelle ça, un SPAF à Le Perthus, pas un Splash !

Et lui, Robert, qu’avait pas non plus posé son Q sur une chaise ou sur une chef de service, à la DDPAF de “Le Perthus”, eh ben, y l’a pas plus posé son Q ou pris son pied au SPAF du Perthus.

Si, Véro, j’t’y jure (faut être solidaires entre mecs, hein, les gars !, vu le bordel d’à côté).

Et pour cause, y l’existe pas le service, la DDPAF de “Le Perthus”. Pourquoi qu’il aurait été dans un service qu’existe pas ?

Un SPAF, si c’est bien la PAF, c’est pas la DDPAF, ni la DCPAF, madame la procureure qui travaille à Perpignan et qu’y sait pas qu’la DDPAF est à Perpignan .

Et paf !

Tu comprends, Robert, il avait osé décliner l’invitation transmise par le beau Thierry de devenir le secrétaire personnel de Machine, à la DDPAF du “Le Perthus” (je copie la procureure).

Y préférait Véro…

Question de goût !

Des goûts et des couleurs, ça s’discute, j’suis d’accord, uniquement sur ce point.

C’est dur aujourd’hui d’trouver des beaux mâles consentants.

Mêm’que Thierry, un beau mâle pourtant, y l’a pêt’t’pas voulu s’sacrifier pour la gloire ?

Ou pas tout le temps, par manque de temps.

Faut voir, va savoir !

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Elle aurait dû essayer, Machine, de s’trouver un Black.

Y paraît qu’un Black, ça vaut deux blancs.

Y z’ont une longueur d’avance sur nous, une longueur de queue, les Blacks.

P’t’êtr’ qu’il aurait été plus demandeur, si le secrétaire personnel de Machine, y l’avait été un Black ?

Les Blancs, y sont en fin d’race.

Cherchent plus trop à s’reproduire.

Si le Parquet de Perpignan y’s’fait cirer les pompes et graisser la patte ?

– Car tout se paie dans ce bas monde.

Et, mon dieu !

[soupir comique de COLUCHE levant les yeux au ciel comme un curé]

– qu’il est bas, ce monde, çui de Perpignan…

Ou si le Parquet de Perpignan, y prouve son indépendance… ?

Indépendance ?

Ca voudrait dire quoi ?

Capacité à discerner le vrai du faux.

Par exemple, indépendance de l’esprit, moi par exemple, toujours en exemple, hein ?

Sinon ça voudrait dire que t’es soumis.

Pas à Dieu !

Surtout pas en France.

Sauf qu’en France, c’est quand t’es soumis qu’y paraît qu’t’es indépendant !

Cherchez l’erreur.

C’est c’que t’explique pourtant très bien MEDIAPART, ton journal préféré, qu’a peur de rien, çui de la pensée unique, pour les souris qui veulent être des muzz muselées et voilées.

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M..rde, si on n’est plus libres de choisir de plus être libres, alors, à quoi ça sert d’êtr’ libres ?

J’veux plus être libre !

Laissez-moi être une esclave libre…

Mais… J’croyais que,

– que j’suis con !,

que, quand t’es un esclave, t’es plus libre.

T’es une esclave.

T’as voulu librement n’être plus libre, donc t’es une esclave.

– “Femme, apporte-moi mes babouches.

– Femme, accouche !

– Femme, touche pas à mes bourses, sauf quand c’est moi qui l’décide !”

Pass’que, chez eux, les Muzz, c’est l’homme qui met la main au panier, pas la femme !

Y faut pas l’écrire.

D’ailleurs faut pas écrire… du tout.

Et y faut pas qu’je vous fasse rire !

Pass’qu’aujourd’hui, en France, l’autorité, c’est sacrée.

Sérieux !, ça s’respecte.

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Ca s’respecte tellement qu’y faudrait vraiment qu’vous soyez tous de méchants cons pour pas respecter des gens qu’y s’respectent pas eux-mêmes quand y sont l’autorité.

Pass’qu’y sssont l’autorité !, tu comprends ?

Et y z’ont de plus en plus d’autorité pass’qu’y  ssssssssont l’autorité ![

[COLUCHE persifle comme les serpents qui sifflent au-dessus de vos têtes, têtes de cons ! ajoute-t-il ]).

Comm’y,

  • commis, commis d’Etat, comme commissions,

comm’y  disait Louis le Grand, le quatorzième :

– “L’Etat, c’est moi !”

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Donc y z’ont l’autorité, piss’qu’y sont l’autorité de l’Etat.

Mais dans quel Etat elle est, l’autorité de l’Etat !

Regarde-les… ces commis d’Etat !

Incapables de juger, z’ont peur d’leur ombre, peur d’finir à Perpignan, toute leur vie !

Faut pas l’dire, chut !

Paraît qu’on n’a pas le droit de faire le bien à Perpignan.

Faire le mal, ça oui !

Autant d’fois qu’tu veux.

Mais le bien, c’est suspect.

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De quel droit tu aides ton collègue, hein ?

T’es qui, toi ?

Un con ?

Ouaip, j’le savais déjà, ça.

Mais t’es un méchant con ou un “con-con” ?

Pass’qu’y faut distinguer dans la tribu des cons çui qu’est un gentil con de çui qu’est un méchant con…

Mêm’s’y sont tous cons !

Tout ça pour te dire que, Véro, elle a demandé à MEDIAPART, le journal indépendant, s’y voulait bien s’intéresser au cas de la Black discriminée par une copine d’Alain JUPPE et minée par la justice de Perpignan bien déterminée à lui faire du MAL, à la Black.

Sinon à quoi ça sert d’être un juge blanc à Perpignan ?

Mais François HOLLANDE, lui, ça l’intéresse pas d’s’attaquer à Alain JUPPE.

Y préfère qu’on tape sur Nicolas SARKOZY et sur son clan, Claude GUEANT et Bernard SQUARCINI, mêm’queue-euh (faut’ volontaire), s’y pouvait, François HOLLANDE, y f’rait tourner les tables pour interroger KHADAFI.

Juppé, le libéral qui veut un État fort

– “J’appelle la Voix de l’ONU ! Esprit, es-tu là ? Esprit, peux-tu tuer Nicolas SARKOZY ?”

– “Oui-Jà”, répond la Voix de l’ONU, quand j’serais élu ! Donne-moi ton fauteuil de Président de la République et je le tue.”

Donc MEDIAPART, en toute indépendance, a considéré, après mûre réflexion,

– Nan !, ça, c’est moi qui l’ajoute !

Car, en fait, y z’ont shooté de suite la demande de Véro, faire savoir ce qu’arrivait à une Black à cause de Machine, la copine de “la Voix de l’ONU”, mission impossible !

Au fait, pour la contacter, la Voix de l’ONU, vous voudrez bien passer par la planche de “Oui-Jà”.

Pass’qu’à MEDIAPART, en toute indépendance, y soutiennent le candidat de l’establishment, Alain JUPPE, le candidat de la “Cons-férence des cons”, celle des “Bites de Berg”.

Y sont forever “Bildeberg”.

A ce sujet “on” attend toujours de MEDIAPART qu’un courageux reporter nous fasse un reportage sur les conférences annuelles des  “Bites de Berg”.

Mais z’ont la queue trop courte pour s’y rendre !

Ou y z’ont peur qu’on la leur coupe, la queue, et la grosse commission qui va avec.

Donc, là, tu vas attendre longtemps !

Tu comprends, y peuvent pas s’fâcher avec le Qatar, ni François HOLLANDE, MEDIAPART !, Vu qu’y z’ont le même avocat Mignon et les mêmes modes de financement.

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Ce s’rait tellement plus simple si on était tous muzz… et muselés.

Donc MEDIAPART pouvait pas aider la Black, surtout pas une Black chrétienne.

C’aurait pas été catholique !

Fallait mieux sortir le scoop des valises de TAKIEDDINE sur la campagne lybienne !

Pour faire plaisir à François HOLLANDE.

Or ,moi, j’vous dis, question d’or noir :

– A force d’nous ressortir les valises de TAKIEDDINE pour couvrir la voix d’SARKO par la Voix de l’ONU, chaque fois qu’y prend la parole quéque part sur les ondes radio ou TV, j’en connais qu’en ont, des valises de billets, et pas qu’sous les yeux !

Donc MEDIAPART refuse de s’occuper du sort des Noirs en France, c’est prouvé.

Surtout s’y travaillent dans la police nationale et sont victimes de racisme institutionnel.

En plus, y sont français, ces cons !

Si, au moins, y z’étaient étrangers, migrants, quoi !

Nan !

Des Antillais, dans la police nationale !

Mais qu’est-ce qu’y foutent, là ?

Il faut pas fâcher, frère Bernard CAZENEUVE et cracher dans la soupe populaire du populisme régalien.

Frère Edwy PLENEL roule régulièrement des pelles fraternelles à Bernardo le muet, qu’y veut qu’ la police nationale devienne “la Grande Muette”, comme lui.

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Mais les langues, faut bien qu’ça servent à quéque chose !

Si ça sert pas à parler, alors ça sert à s’rouler des pelles entre mecs quand y’s’logent ensemble, discrètement et régulièrement au Paradis des Frangins.

C’est pour ça qu’y  z’évitent, comme les Muzz, d’avoir des femmes dans leurs loges.

Pas besoin !

– “Mais qu’est-ce qu’on en a à foutre que des Antillais soient victimes de racisme dans la police nationale au XXème siècle, et même encore au XXIème siècle !”, qu’y dit CAZENAZE, quand y parle, parfois, des fois.

– “Occupe-toi plutôt de Nicolas SARKOZY !” , qu’y répète à Edwy PLENEL, pass’que Frère Bernardo, le Muet, y peut pas y arriver tout seul, à s’occuper de “SHARK-o”, The Shark !

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Il mord, le requin, car y l’est pas encore mort !

Pire, le coquin, y remonte dans les sondages…

A quoi ça sert d’avoir un journal comme MEDIAPART pour support de ses informations officielles quasi-officieuses ?

Y’a quéqu’un qu’a d’mandé un jour d’où MEDIAPART, y sortaient leurs infos ?

Nan, j’parie qu’tu t’es même jamais posé la question, Ducon !

– “Tiens j’t’ai apporté plein d’nouveaux documents, des photographies, des copies d’auditions contre “SHARK-o ” et même qu’j’t’ai pris RDV avec TAKIEDDINE. Alors tu me l’exécutes avant le dernier débat d’ce soir, hein, Edwy ?” exige le ministre qui sait rien sur rien et jamais rien de c’qui s’passe en France.

Et Edwy, y dit “oui”.

D’ailleurs, ça rime !

C’est donc une preuve que ça rime à quéque chose, le texte que vous peinez à lire, en m’lisant.

Y devrait faire attention, Bernardo le muet, à force de prendre les requins pour des sardines de mer, il va l’avoir amer dans quèqu’s temps.

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Il pourra plus l’ouvrir, déjà qu’y se la ferme tout le temps et qu’y risque une crampe de la mâchoire inférieure, à force de s’taire et d’faire semblant de pas savoir c’que tout le monde sait :

– que la France est envahie !

Y devrait s’rappeler que les requins sont une espèce protégée, comme “les Squales”, aussi.

Si les flics en ont peur, p’tr’que le CAZENAZE qu’y s’croit plus intelligent que tout le monde, lui qu’a tout foiré, y devrait s’poser la bonne question :

– Pourquoi y z’ont tous peur des requins ?, les policiers…

Bah ouais, et toi, pourquoi t’en as pas peur ?

C’est ainsi que le proc’, ‘y l’a dit :

– “”On” poursuit Véro”

et qu’y classe l’affaire de Maguy, l’affaire de racisme contre la copine de JUPPE.

Pas pass’qu’y l’a peur des requins mais pass’qu’y croit qu’Alain JUPPE va passer grâce à vous, les Blacks et les Beurs, et devenir le Président de la République des blanches qui valent deux fois deux noires. Donc le procureur et les magistrats du TGI de Perpignan, y soignent leur plan d’carrière, aux p’tits oignons… du Grand Orient de France.

Tant pis pour vous !

Faut comprendre, aussi !

Si t’es victime de racisme, pass’que t’es noir ou beur, comme Ben, normalement, avec un Président normal, tu déposes plainte.

Normalement, “on poursuit”, “on qu’est toujours un con” !

C’est, y paraît, une obligation, surtout en cas de racisme, de poursuivre le raciste, pas la victime qui dépose plainte contre le raciste, depuis que ce gouvernement d’socialopes a fait passer une loi renforçant la répression en cas de discrimination raciale.

Sauf que, bah non, justement.

– “On classe sans suite !” SYSTEMATIQUMENT.

Par contre, le chef raciste, lui, y peut déposer plainte contre toi, la victime !

Pass’que t’es noir(e) ou beur(e), d’où l’oeil au beurre noir.

Et quand on t’frappe, ça compte pas.

C’est pas pareil que pour un blanc.

Surtout si tu travailles dans la police nationale.

Pass’que c’est raciste de déposer plainte contre son chef de service.

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Donc c’est toi qu’est devenu raciste.

Je sais, t’as besoin d’preuve, la voici :

– Tu peux plus encadrer ton président et ses ministres.

Raciste !

C’est vrai, quoi, c’gouvernement de Socialopes, y vous a inventé un nouveau concept :

– le racisme d’Etat, c’est à dire le mépris de l’autorité, de son autorité que vous devez tous prendre au sérieux !

Uniquement par charité chrétienne.

Si vous étiez muzz, vous les feriez tous sauter, et vous avec.

Tu méprises ton chef de service pass’que c’est un méchant con ?

C’est toi qu’es raciste !

Et surtout ferme ta gueule.

Va pas te plaindre, malheureux !

Aujourd’hui y te foutent même en taule pass’que t’es raciste, que t’aime pas ton gentil chef de sévices qui te hait et te harcèle.

Pendant qu’les Jihadistes, eux, y z’ont des bracelets électroniques et restent chez eux.

C’est la justice des blancs, celle inspirée par la ville de Bordeaux, quand les marchands vendaient du bois exotique, du bois de nègr’s.

C’est comme ça qu’les bourgeois de Bordeaux se sont enrichis, en vendant au black des Blacks.

Et pis, c’est normal, z’êtes trop bêtes, les Blacks !

Y paraît que Maguy, elle savait pas parler français, disait Machine !, la blanche qui vaut deux noires.

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Elle parlait “p’tit nègr”, selon la blanche chef de sévices, deux notes au-dessus du thon moyen qu’elle employait et qu’elle était :

– “Pass’que je le vaux bien “, a dit la copine de JUPPE à Alain JUPPE, coupez-lui la tête !”

Et celle de Véro, par-dessus le marché et par-dessus le panier d’la Veuve.

C’est comme çui pour qui vous allez voter, les minorités discriminées, un fils de la Veuve.

Car vous allez voter pour lui, Alain JUPPE, hein, les Blacks et les Beurs ?

Le mec de droite qui vous prend, tous !, pour des cons à gauche.

Il a raison.

Tellement qu’il a raison que j’me dis parfois qu’vous avez mérité d’êtr’ traités comme des cons par des cons de colons, des cons de socialauds, ou d’avoir un colon pour président.

C’est un peu pareil, non ?

Vous vous sentez pas colonisés, les administrés, en France ?

Aujourd’hui, la devise de la “Ripoux-blique”, c’est :

– Ferme ta gueule et travaille !

Et encore, vous plaignez pas !

Vous z’êtes libres, qu’y vous disent.

Ouaip, libres de finir dans la rue, de crever sur le bord d’un trottoir tandis qu’y z’ouvrent des centres de réorientation pour migrants.

– Au-revoir !

Au-r’voir l’espoir, surtout.

Et quand vous s’rez foutus dehors, tous, à la rue, sans maison, sans toit, ni droits, sans papiers,

– pass’que tu les gardes pas longtemps, tes papiers, quand tu couches dehors, tu t’fais tout voler !, même ta raison d’vivre,

ben, vous s’rez vraiment désorientés.

Bons à finir au crématoire.

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Y’à qu’JUPPE qui terminera, lui, en maison d’repos, pass’qu’y l’aura bien mérité !

Faut croire qu’ça laisse des traces dans la mémoire collective, l’esclavage.

Pass’qu’y en a qu’aiment tellement ça !,qu’y z’en redemandent, encore aujourd’hui.

La preuve, z’êtes capables de voter pour le Maire d’une ville qui a acquis sa richesse grâce à l’esclavage, la traite des noirs et qui s’en vante.

Y z’ont même leur Musée, pour pas oublier combien y vous prennent pour des cons.

Votez Alain JUPPE !

Et surtout, n’oubliez pas, vous, les cons :

– Si vous vous plaisez pas à Bordeaux, allez à Perpignan.

Le Centre du Monde (fraternel) !

S’y sont tous déboussolés, c’est pass’que, quand t’es au centre, comme Alain JUPPE, y’a plus ni droite, ni gauche, y’a plus qu’des cons.

Le nord, le sud, c’est bon pour les Etats-Unis quand y z’ont fait la Guerre de Sécession.

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“Slave States” like SS, double S,  were “Democrats”. “Yes, we can !” remain slaves. Democrats, it’s to say “Socialists”.

Vous, vous êtes au Sud.

Et le Sud est esclavagiste.

Pas terroriste, j’ai dit, juste esclavagiste.

Tu travailles mais t’es pas payé… ou si peu !

T’es traité comme un esclave mais t’aime ça.

T’as choisi librement d’être esclave !

Juste un dernier mot, car moi, j’me marre !

Maguy, elle vient de recevoir seulement dans son île lointaine son courrier d’irrecevabilité de sa constitution de partie civile, un peu comme si elle recevait une claque dans sa gueule de noire.

Pass’qu’elle a pas droit à la justice des blancs.

Tandis qu’Alain JUPPE, y reçoit aujourd’hui son congé, signifié par lettres recommandées, en MACRO-caractères.

Piss’que c’est pas François HOLLANDE qu’est le plus gêné par la candidature du p’tit génie de la finance, çui qu’on fiance aux classes les plus pauvres de France !

Nan !

C’est Alain JUPPE.

François HOLLANDE, on le savait tous !, y l’est déjà mort.

Mort politiquement.

Tandis qu’Alain JUPPE, lui, y l’y croyait, y l’y croyait vraiment, en lui-même !, qu’il allait devenir Président de la France !

Qu’il était beau dans ce miroir où il se mirait et s’admirait !!!!

Où il s’adorait lui-même, si blanc !

Sauf que, là, Emmanuel MACRON, aujourd’hui, en annonçant qu’il se présentait à la présidentielle de 2017, il vient de l’enterrer…

Il vient de l’enterrer vivant, l’homme politique d’hier, dans une bière scellée à doubles plombs, pour pas qu’y remonte dans les sondages, le zombie !

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Tu t’rends compte ?

Dans d’la bière, au pays des vignobles, pas du houblon !

M..rde, alors.

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