Premières lueurs de l’aube, les mots tombent comme des gouttes de brume matinale :
– coût réel des denrées ;
– coût réel du travail horaire des paysans ;
– pourquoi n’auraient-ils pas le droit, eux aussi, les gens du pays, d’être payés à l’heure de main-d’oeuvre, eux qui cumulent tant d’heures de travail ?
– coût réel de l’argent prêté ;
– coût réel des impôts selon la fortune et le rang social des Français.
J’ai eu droit à une leçon de finances macro-(n)-économique et, bien sûr, l’obligation déontologique de vous annoncer une révolution française, l’irruption du réel dans les systèmes fantasmés du surcoût boursicotteur, des bulles spéculatives et des homicides fraternels.
Tout d’abord il m’a été demandé de vous rappeler que ce n’est pas la première fois dans l’histoire de l’homme que le Seigneur donne des instructions précises aux marchands qui trompent leurs clients et leur commande d’arrêter de vendre du vent, en plus du coût d’une marchandise pesée frauduleusement.
Donc, première obligation, retrouver les commandements du Seigneur prouvant la continuité de Sa Parole, le fait que le Christianisme trouve bien sa source dans un Judaïsme attentif à la condition humaine et à promouvoir l’égalité des hommes par l’équité des pratiques commerciales.
jubilée juif – Recherche Google
Accessoirement, car cette annonce tient au Coeur du Seigneur, je vous rappelle aussi que l’année 2017 est l’année du Jubilée juif, donc chrétien.
Que cela plaise ou non aux banquiers, les dettes seront effacées !
Mais la dette du sang devra être payée rubis sur ongles par ceux qui exploitent les pauvres gens et s’en mettent plein les poches. La “grande poche”, terme employé par NOSTRADAMUS pour désigner la Bourse, rendra gorge cette année 2017. Elle vomira son débours et les cours suivront le fil de cette eau des caniveaux.
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[Selon la Torah, qu’est ce qu’une année jubilée ?
Lev 25:8-18 “Tu compteras sept sabbats d’années, sept fois sept années, et les jours de ces sept sabbats d’années feront quarante-neuf ans. Le dixième jour du septième mois, tu feras retentir les sons éclatants de la trompette ; le jour des expiations, vous sonnerez de la trompette dans tout votre pays. Et vous sanctifierez la cinquantième année, vous publierez la liberté dans le pays pour tous ses habitants : ce sera pour vous le jubilé ; chacun de vous retournera dans sa propriété, et chacun de vous retournera dans sa famille. La cinquantième année sera pour vous le jubilé : vous ne sèmerez point, vous ne moissonnerez point ce que les champs produiront d’eux-mêmes, et vous ne vendangerez point la vigne non taillée. Car c’est le jubilé : vous le regarderez comme une chose sainte. Vous mangerez le produit de vos champs. Dans cette année de jubilé, chacun de vous retournera dans sa propriété. Si vous vendez à votre prochain, ou si vous achetez de votre prochain, qu’aucun de vous ne trompe son frère. Tu achèteras de ton prochain, en comptant les années depuis le jubilé ; et il te vendra, en comptant les années de rapport. Plus il y aura d’années, plus tu élèveras le prix ; et moins il y aura d’années, plus tu le réduiras ; car c’est le nombre des récoltes qu’il te vend. Aucun de vous ne trompera son prochain, et tu craindras ton Dieu ; car je suis l’Éternel, votre Dieu. Mettez mes lois en pratique, observez mes ordonnances et mettez-les en pratique ; et vous habiterez en sécurité dans le pays.”
J’ajouterais cette réflexion sur Israël et l’année jubilaire 1967, pour vous prouver que ce que Dieu veut, vous ne pourrez pas l’arrêter ni l’empêcher ! Le passage qui suit est extrait du même site Internet référencé plus haut par le lien mis en ligne.
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[ 1967 est elle une année jubilée ?
La question de savoir si 1967 marque une année jubilée est essentielle, car elle induirait que 2017 est également une année jubilée, une année sainte commencant au jour du grand pardon (Yom Kipur) et annoncant l’arrivée la période de la seconde venue de notre Messie et Sauveur.
Le soir de la première journée de guerre, la moitié de l’aviation arabe était détruite; le soir du sixième jour, les armées égyptiennes, syriennes et jordaniennes étaient défaites. Les chars de l’armée israélienne bousculèrent leurs adversaires sur tous les fronts. En moins d’une semaine, l’État hébreu tripla sa superficie : l’Égypte perdit la bande de Gaza et la péninsule du Sinaï, la Syrie fut amputée du plateau du Golan et la Jordanie de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est.
Photo http://i55.servimg.com/u/f55/17/80/95/36/zion10.jpg
Jérusalem, le 7 juin 1967: l’aumônier en chef de Tsahal, le rabbin Shlomo Goren, entouré des libérateurs, sonne le Shofar devant le Mur des Lamentations. (Photo: David Rubinger)
Tout comme pour une année jubilée, Israel reprend possession de ses territoires et fit retentir le shofar!
La guerre des six jours ou Israel gagna en un temps éclair contre une coalition de nations islamiques (l’Égypte, Jordanie et Syrie) rappelle l’histoire de David contre Goliath, mais également la bataille de Jérico, ou Joshua et son armée vaincurent le septieme jour au petit matin la ville de Jérico. Cette bataille prophetisait elle la guerre des six jours de 1967? a t’elle eut lieu durant une année jubilée?
Aujourd’hui Jérico est une ville de Cisjordanie sous controle islamique, située sur la rive ouest du Jourdain. Son nom est dérivé de la racine sémitique /wrḥ/ “lune” et indique que la ville fut l’un des premiers centres de culte des divinités lunaires. Un symbolisme tres fort sachant que la lune est le symbole de l’islam. […] ]
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[ Les Mesures et les Hommes
Witold KULA
Editions de la Maison des Sciences de l’Homme – Paris – 1984
[…] Dans les livres de Moïse, ce code social doté de la fonction sacrale, les prescriptions concernant les poids et les mesures ont encore un caractère littéral : “Vous ne commettrez point d’injustice dans les sentences, dans les mesures de longueur, de poids et de capacité. Vous aurez des balances justes, des poids justes, une mesure juste, un setier juste.” Ou : “Tu n’auras pas dans ton sac poids et poids, l’un lourd et l’autre léger. Il n’y aura pas dans ta maison mesure et mesure, l’une grande et l’autre petite. Tu auras un poids intact et exact, et tu auras une mesure entière et exacte, afin d’avoir longue vie sur la terre, que Jahvé ton Dieu te donne.”
Comme on voit, c’est par la mort qu’on punit les délits métrologiques. Mais déjà chez Salomon et les prophètes, les propos relatifs aux mesures prennent une signification symbolique : “La balance et ses deux plateaux sont à Jahvé, tous les poids du soc lui appartiennent. Lorsque les prophètes menacent Israël du châtiment divin, ils distinguent parmi les méchants desseins des pécheurs notamment ceux-ci : “Quand donc sera-t-elle passée la nouvelle lune, que nous vendions notre blé, et le sabbat, que nous écoulions notre froment ? Nous diminuerons la mesure ; nous augmenterons le sicle, nous fausserons les balances pour tromper.” Et le Dieu des prophètes répond : “Puis-je tenir pour juste qui se sert de balances fausses, d’une bourse de poids truquée ?” Les poids et les mesures jouent un rôle nettement symbolique : cette “bourse de poids” représente des actes humains honnêtes et malhonnêtes.
Les paroles de Jésus-Christ dans le Nouveau Testament constituent l’aboutissement de l’évolution de ce sens métaphorique : “On vous mesurera avec la mesure dont vous vous serez servis et on y ajoutera pour vous” ; et, d’une expression plus belle encore : “Donnez et il vous sera donné, on versera dans votre sein une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde ; car on vous mesurera avec la mesure dont vous vous serez servis.” […] ]
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Proverbes 11
1 La balance fausse est en horreur à l’Eternel, Mais le poids juste lui est agréable.
2 Quand vient l’orgueil, vient aussi l’ignominie; Mais la sagesse est avec les humbles.…
Lévitique 19:35
Vous ne commettrez point d’iniquité ni dans les jugements, ni dans les mesures de dimension, ni dans les poids, ni dans les mesures de capacité.
Lévitique 19:36
Vous aurez des balances justes, des poids justes, des épha justes et des hin justes. Je suis l’Eternel, votre Dieu, qui vous ai fait sortir du pays d’Egypte.
Deutéronome 25:13
Tu n’auras point dans ton sac deux sortes de poids, un gros et un petit.
Deutéronome 25:16
Car quiconque fait ces choses, quiconque commet une iniquité, est en abomination à l’Eternel, ton Dieu.
Proverbes 16:11
Le poids et la balance justes sont à l’Eternel; Tous les poids du sac sont son ouvrage.
Proverbes 20:10
Deux sortes de poids, deux sortes d’épha, Sont l’un et l’autre en abomination à l’Eternel.
Proverbes 20:23
L’Eternel a en horreur deux sortes de poids, Et la balance fausse n’est pas une chose bonne.
Osée 12:7
Ephraïm est un marchand qui a dans sa main des balances fausses, Il aime à tromper.
Michée 6:11
Est-on pur avec des balances fausses, Et avec de faux poids dans le sac ?
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Si d’aucuns ont encore des doutes sur la propension divine à s’intéresser à l’économie humaine et à la distribution des richesses dans l’équité,
[[…] Ecoutez ceci, vous qui accablez les pauvres, qui faites périr ceux qui sont dans l’indigence : vous qui dites, Quand viendra le tems où nous vendrons notre bled bien cher & à fausse mesure, & où nous pèserons dans de fausses balances l’argent qu’on nous donnera ? Nous nous rendrons alors par nos richesses les maîtres des pauvres, & nous leur vendrons [bien cher] jusqu’aux criblures de notre bled. Voici le serment que le Seigneur a fait contre l’orgueil d’Israël : Je jure que je n’oublierai jamais leurs oeuvres criminelles : leur pays sera désolé, & couvert d’épaisses ténèbres. Je changerai vos jours de fête en des jours de larmes, & vos chants de joie en plaintes lamentables ; et je plongerai Israël dans la douleur & dans l’amertume, comme une mère qui pleure son fils unique. […]]
Extrait du livre référencé ci-dessous
“Abrégé de l’histoire et de la morale de l’Ancien Testament, où l’on a conservé, autant qu’il a été possible, les propres paroles de l’Ecriture Sainte ; avec des éclaircissements.”
par François-Philippe MESENGUY
Nouvelle Edition à Paris, chez DESAINT ET SAINLLANT, Libraires.
Avec Approbation et Privilège du Roi
A Paris, ce 30 juillet 1759.
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Si je suis royaliste ?
Non.
Je ne peux pas être plus royaliste que le Roi.
Mais le Seigneur me dicte de vous écrire que c’est la fin de votre République.
Car vous gouvernez contre les pauvres de ce monde pour vous enrichir toujours davantage.
Je vous le réécris, à Sa demande :
– “Quoique vous fassiez, quoique vous tentiez, vous ne serez plus les Maîtres de ce monde. Vous n’êtes déjà plus les Maîtres de ce monde.”
Vous avez menti, vous avez triché, vous avez tout pris à ceux à qui vous demandez de tout vous rendre, même ce qui ne vous appartient pas.
Le Seigneur vous prendra tout et plus encore !
Et vous connaîtrez du Mal ce que vous avez fait comme mal et plus encore.
Le Seigneur vous accuse :
1) d’avoir triché sur le coût réel des biens et des services (votre vocabulaire).
Vous ne faites pas payer vos marchandises au juste prix.
Vous les faites payer après en avoir augmenté artificiellement le prix.
Pourtant le prix de vente d’une marchandise s’est toujours calculé à partir de son coût réel auquel s’ajoute la TVA, l’impôt le plus injuste de votre société de riches qui ne profite qu’aux riches.
Qu’est-ce qu’un coût réel ?
C’est le coût d’achat de la matière première, si elle a un coût, dit le Seigneur.
Car l’eau qui tombe du ciel est gratuite, la chaleur du soleil est gratuite, les fruits des arbres sont gratuits, l’air que vous respirez est gratuit. Jusques à quand ? L’homme a tout privatisé pour faire payer aux pauvres ce que Dieu donne gratuitement.
Le commerçant doit vendre la marchandise achetée au prix juste à un juste prix.
Son bénéfice doit être justifié par une REALITE comptable, et non pas par une appréciation humaine subjective.
Le marchandage n’a pas pour objectif de “pigeonner” les plus pauvres mais de distribuer équitablement des biens NECESSAIRES et non pas superflus.
Etre un serviteur de Dieu, ce n’est pas être un voyou, ni un dealer, encore moins un voleur.
Non, je ne corrigerais pas cette phrase.
Certains dealers vendent au juste prix et ne volent pas leurs clients, dit le Seigneur.
Dans toutes les villes, vous savez où se trouvent les points de vente non autorisés. Et vous les autorisez de fait, en fermant les yeux sur ces trafics qui ne sont pas clandestins.
Les coupables, les vrais trafiquants, sont les pouvoirs publics qui tirent profit de tous ces trafics, parfois même apportant aux partis politiques qui ont pignon sur rue un argent noir caché du peuple.
Car vous êtes aussi corrompus, vous, les politiciens, sinon plus, que ceux contre lesquels vous prétendez lutter.
Vendez au juste prix vos marchandises.
Ajoutez le prix des transports et vous aurez résolu le problème de la concurrence mondiale déloyale et de l’exploitation des pays du tiers-monde.
Car vous n’aidez pas à leur développement.
Vous exploitez une population toujours plus pauvre et vous polluez la Terre en transportant à coût zéro des produits fabriqués et transformés dans des pays de plus en plus pauvres.
Si vous le pouviez, vous iriez chercher vos travailleurs pauvres sur Mars ou sur la lune, sûrs de les payer moins de cent euros par mois.
Vous spéculez sur la misère humaine et l’enrichissement des prédateurs.
C’est votre nouveau jeu.
Mais la Vie n’est pas un jeu.
Ne pariez pas sur vos relations et vos possessions.
Parier sur les parias.
2) d’avoir refusé de payer le coût réel du travail horaire de vos paysans :
– Lorsque vous achetez le lait vendu par vos gens du pays, vous devez compter le prix de la main-d’oeuvre.
Autrement dit vous devez AJOUTER au prix de la matière première, par exemple le lait et les oeufs, le prix du temps passé par le paysan à s’occuper de ses bêtes.
Ainsi l’agriculteur, comme vous l’appelez, aura profit à s’occuper bien, sinon mieux, de ses animaux, sachant que ce temps passé de travail lui bénéficiera, à lui aussi.
Si les paysans ont plus de soixante heures de travail par semaine, les marchands doivent acheter le lait à son juste prix, c’est à dire ajouter le prix du travail du paysan.
Il faut arrêter de vendre le lait, les oeufs et les produits dérivés des laitages avec des prix de vente calculés vénalement par des prédateurs spéculateurs.
Lorsque vous reprenez votre voiture au garage, une fois réparée, vous acceptez de payer le prix de la “main-d’oeuvre” humaine. Pourquoi refusez-vous de payer aux paysans de France le juste prix de leur travail si rude et si pénible ? Ajoutez le prix du travail humain à celui du produit animal. Payez plus pour produire mieux, pour manger mieux, pour vivre mieux, eux et vous.
3) de ne pas avoir voté une loi obligeant les marchands de produits, de biens et de services, à détailler les modalités de calcul de leur prix de vente, en le décomposant ainsi :
– prix d’achat REEL de la matière première,
– coût REEL de la main-d’oeuvre humaine calculé aussi sur un taux horaire lisible et visible sur des étiquettes permettant aux consommateurs de boycotter les entreprises exploitant la misère des pays du tiers-monde et des multinationales apatrides qui ont leur sièges délocalisés dans des paradis fiscaux,
– coût REEL de la marge bénéficiaire actuellement dissimulée qui devrait être apprécié en fonction du paiement du travail réel et non pas selon la cupidité sans limites des marchands.
– coût REEL du transport des marchandises à ajouter nécessairement au prix de vente final.
Plus les marchandises viennent de loin, plus elles doivent coûter cher, ce qui est logique et écologique, selon vos propres constatations.
Il faudra en finir avec la spéculation financière sur l’assiette de la taxe-carbone et le coût de la “tonne de gaz carbonique” en euros, dernière usine à gaz inventée par vos technocrates au service des Banksters.
Je le répète :
- Le coût doit être REEL, donc basé sur le montant de l’énergie utilisée pour traverser des océans ou voyager dans les airs, auquel doit s’ajouter le montant d’une “pénalité-carbone” sanctionnant tout moyen de transport non écologique utilisé.
Vous avez fait d’étonnants progrès en comptabilité analytique, dit le Seigneur, un rien ironique. Aussi il vous est possible aujourd’hui de calculer au plus près la réalité du coût REEL de vos dépenses.
Oui, vous pouvez et vous savez calculer le coût de transport d’un produit par voie aérienne et maritime.
Il restera à ajouter les taxes à l’importation si nécessaire. Car si, plus une marchandise vient de loin, plus elle coûte cher, vous n’aurez même plus besoin d’appliquer des taxes à l’importation et donc de risquer de vous exposer à des sanctions qui seraient voulues par l’OMC, l’Organisation Mondiale du Commerce.
4) de pratiquer l’usure, interdite par le Seigneur, en faisant payer aux Français un coût de crédit supérieur au coût réel d’emprunt d’un argent fictif, donc emprunté à taux zéro :
– Banquiers, vous avez trompé les gens du peuple et vous avez escroqué l’Etat français.
Vous êtes cause de la ruine du pays.
Vous refusez de prêter aux plus pauvres, ceux qui ont le plus besoin d’argent dans une société où la vie devient de plus en plus chère.
Et lorsque vous prêtez aux pauvres, vous le leur faites payer chèrement, au point de les déposséder du peu de biens qui leur reste.
Vous êtes en train de réinstaurer le servage du peuple par la Dette publique. Je n’ai pas libéré Mon peuple pour qu’il soit mis en esclavage par votre faute et le règlement d’une Dette publique de fait inexistante.
Le Seigneur vous maudit.
Comme Il a maudit les riches, expliquant qu’il serait plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’aller au Paradis.
Malheur à vous, les très riches, qui volez aux pauvres jusqu’à leur droit de vivre en paix et les dépossédez de leurs maisons et de leurs terres !
Vous aussi, les Banques qui vendez des services à un coût supérieur au coût réel. Vos bénéfices explosent, comme explose la Dette publique de la France. Pourtant, aujourd’hui, gérer les comptes ne vous coûte quasiment plus rien.
Le Seigneur vous demande de PROUVER la REALITE des frais que vous ponctionnez sur les comptes bancaires des Français pris en otages, puisqu’ils n’ont pas le choix et doivent ouvrir des comptes bancaires dans vos établissements pour recevoir le maigre fruit de leur travail. Vous privez les Français du droit de gérer leur argent comme ils le souhaiteraient, eux.
Et surtout, vous préparez la totale sujétion économique des Français, en prévoyant la suppression définitive de toute forme matérielle d’argent. Ainsi les Français seront infantilisés et mis dans l’impossibilité de pouvoir retirer leur argent des banques en cas de crise financière.
Deux banques vont disparaître du paysage français.
Lorsque ces deux banques s’effondreront, vous saurez que s’effondrera la République des voleurs qui les soutenait.
N’oubliez pas ce signe !
Ce sera le signe du Jubilé juif en terres chrétiennes.
Inutile de vouloir sauver ces deux banques.
Pensez plutôt à sauver votre peuple, sinon c’est vous qui périrez.
5) Enfin, après vous avoir accusé d’avoir mis Son peuple en esclavage, l’esclavage de la Dette publique, le Seigneur vous accuse de cautionner un système d’impôts qui est du racket fiscal.
Le Seigneur affirme qu’il vous est possible de supprimer l’impôt fiscal direct, impôt qui est le plus injuste pour les classes travailleuses, car vous avez permis aux plus riches de défiscaliser leur fortune grâce aux niches fiscales, chiens que vous êtes.
Vous pouvez aujourd’hui, si vous le voulez,
– et Moi Je le veux, car telle est Ma Volonté ainsi exprimée,
adapter le montant de la TVA par rapport aux revenus déclarés par chaque foyer fiscal.
Chaque Français est obligé d’avoir une carte bancaire, parfois une simple carte de retrait d’espèces. Il peut aussi avoir autant de cartes de fidélité qu’il est client privilégié ou pas de certaines enseignes commerciales. Par conséquent, il est tout à fait possible d’ajouter sur la puce de la carte bancaire et/ou de la carte de fidélité un critère de classification permettant de réduire ou d’augmenter le taux de la TVA, en fonction du quotient familial de l’utilisateur de la carte.
Il serait juste que le riche paie plus cher les produits alimentaires et les biens de consommation, plus cher que le pauvre ou le bourgeois de classe moyenne. Ainsi l’oligarque apatride ne pourrait plus profiter indûment des réductions commerciales qui devraient être logiquement réservées à ceux qui n’ont pas les moyens en temps ordinaire de s’alimenter et de s’habiller correctement.
Or vos systèmes de rabais des prix profitent encore une fois aux plus riches.
C’est parfaitement inique.
Pourquoi le pauvre doit-il payer un euro une baguette de pain, alors que, pour lui, cet euro est tout ce qui lui reste le 20 du mois pour ne pas être à découvert ?
Et pourquoi le riche, lui, peut-il payer le pain du jour à un euro, sans souvent vouloir en partager les miettes avec le pauvre qui lui tend la main devant la boulangerie pour avoir un euro, au moins un euro, un seul euro ?
Vous avez un outil idéal de réduction des inégalités qui est la TVA.
C’est une révolution économique et sociale qui attend d’être mise en oeuvre, qui vous attend si vous vous en emparez à juste titre.
Fixez la TVA, non plus en fonction de la nature du produit vendu, mais en fonction du quotient familial de l’acheteur !
Ainsi tout le monde paiera l’impôt du peuple et contribuera à la croissance de son pays.
Il n’y aura plus de niches fiscales ni plus d’ISF.
Le très pauvre se verra appliquer une TVA de 1 %, tandis que la TVA pourra atteindre un pourcentage de 33 % pour les plus riches, ce qui reste encore inférieur au taux de l’ISF.
Les entreprises et les sociétés n’auront plus à gérer l’impôt direct, qui sera prélevé grâce à la TVA au moment de l’achat d’un produit ou d’un bien de consommation.
Ainsi la TVA deviendra enfin un impôt juste et équitable payé par tous, sans niches fiscales.
Les banquiers sauront-ils accepter de ne pas disparaître ?
Ils auraient tort de se croire irremplaçables.
L’informatique peut aussi devenir leur pire ennemi.
Qu’ils ne l’oublient jamais !
Demain, si Je veux, Je les balaie comme le vent balaie les fétus de paille, une fois le blé moissonné.