Il était une fois une bergère, une vraie bergère, qui avait épousé un Salafiste, un vrai Salafiste. C’était dans un siècle d’ouverture aux autres cultures et agricultures, le XXIème siècle, et dans un pays traditionnellement bienveillant, la France, “pays des Droits de l’Homme” aux frontières ouvertes.
C’était dans un village, une querelle de clochers, pour des prés carrés sans barbelés, non délimités, où paissent les moutons de la bergère sans frontières, sur un territoire pas vraiment en paix. C’est une affaire de terroir qui tourne au mouroir, le mouroir des bêtes, les bêtes de Panurge, les moutons.
C’est donc l’histoire d’une belle et fière bergère costumée en robe longue comme dans le haut Moyen-Age, éternelle veuve vêtue de noir, endeuillée par la perte d’un amour invisible, l’amour de soi, du droit à être une femme dans un siècle d’androgynes ou de misogynes, le “ou” étant exclusif dans les deux cas du sexe féminin.
“Quelle vérité que ces montagnes bornent, qui est mensonge au monde qui se tient au-delà“. MONTAIGNE
Oui, où est la vérité ?
Des faits ?
La source :
- Une querelle de voisinage pour un point d’eau, une rivière, un canal, à Corneilla-la-Rivière, village si bien-nommé !
Une querelle dans un Far-West français, au pied des Pyrénées catalanes.
Et des moutons indisciplinés qui vaquent à leurs occupations dans des pâtures qu’ils occupent ou pas, selon qu’ils divaguent ou pas dans les champs voisins et les structures équestres du club voisin.
Nous savons tous comment peuvent dégénérer ces querelles de voisinage dans des villages confinés au pied des montagnes, là où des moutons refusent de badiner avec leur droit de circulation, comme leur bergère avec les hommes du village. “On ne badine pas avec l’amour” quand on est la veuve d’un Salafiste et quand on a fait le voeu de renoncer au monde des autres hommes.
L’affaire serait restée “normale” dans les normes acceptables, même si peu agréables, des querelles de voisinage qui dégénèrent “normalement” à coups d’insultes, de dérapages verbaux non contrôlés et d’écharpages avec des noms d’oiseaux, non racistes, car ces oiseaux du pays appartiennent à des espèces autochtones, affirment les ornithologues qui n’aiment pas qu’on mette les volatiles en charpie, fussent des Harpies.
Si et seulement si les moutons ne s’étaient pas retrouvés sans bergère, à compter non plus les moutons qui sautent mais les moutons qui meurent.
La preuve qu’on peut encore s’endormir en comptant des moutons, des moutons morts.
Une centaine ?
Le chiffre serait surestimé.
C’est une affaire judiciaire en cours.
Il n’y aura donc pas de communication institutionnelle sur une affaire judiciaire en cours.
– “Il est regrettable que “l’Indépendant”
[journal local qui porte si bien son nom !]
ait évoqué cette histoire qui n’avait pas vocation à être connue du grand public”, se dit-il.
C’est le seul “sentiment” exprimé sur la question de la bergère en prison.
Il n’est pas question de compassion.
Oui, la bergère est en prison !
Sinon ce ne serait pas une affaire judiciaire.
Rendez-vous compte !
Elle a osé revenir dans sa bergerie où divaguaient ses moutons laissés à l’abandon, alors qu’elle avait l’interdiction de remettre les pieds dans sa modeste propriété, un champ.
Elle ne supportait pas l’idée qu’ils meurent sans nourriture et sans eau.
Faut-il avoir perdu toute sa raison pour ne pas pouvoir supporter que meurent ainsi ses moutons ?
Je suis contre le port du voile, toute forme de port du voile.
Le voile qui rend aveugle me paraît aussi condamnable que le voile qui cache la femme, l’objet du délit.
Le prince salafiste serait en fuite, après s’être “expliqué” à coups de poings avec un couple de voisins.
Et c’est parce que plus personne ne pouvait s’occuper des moutons, que la bergère est revenue dans sa propriété, faire son travail, bravant l’interdit judiciaire.
Et c’est parce qu’elle est revenue s’occuper de ses moutons, de son troupeau de moutons, qu’aujourd’hui elle est en prison.
Et c’est parce qu’elle est en prison, qu’aujourd’hui, les enfants de la bergère n’ont plus de parents pour s’occuper d’eux, comme les moutons.
Enfin, si, les voisins de la ville, la ville de Perpignan, la parentèle supplée, la parentèle musulmane, est-ce du communautarisme ou de la charité chrétienne, s’te plaît, cette aide non déclarée et spontanée ?
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Psaume 22 de la Bible
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.
Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
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Vous connaissez beaucoup de bergers qui abandonneraient leur troupeau de moutons, les laissant sans eau et sans nourriture ?
Mon Berger à moi m’a demandé de rappeler qu’Il est le berger de tout le troupeau de moutons qui paissent en paix sur des terres chrétiennes.
Il ne tolère pas la violence, ni la violence des Salafistes qui tuent des mécréants, ni la violence institutionnelle qui enferme des “présumés coupables”, donc des innocents jusqu’à preuve du contraire.
J’ai envoyé un mail à la Mairie de Corneilla-la-Rivière, le rôle d’un journaliste, même d’un drôle de journaliste comme moi, étant d’obtenir sur cette affaire tous les “sons de cloches”, pas seulement ceux de la plus grosse cloche du village dans cette querelle de clocher.
C’est parce que je suis contre l’Islamisme, la servitude volontaire des femmes, que je me dois, à la demande du Seigneur, de défendre les nouveaux esclaves de ce siècle. Même les esclaves ont des droits !
En vérité, il faut rajouter, informations à lire à la source, dans le journal local “l’Indépendant”, que ce couple “hors-normes cultuelles”, couple salafiste, aurait pourtant été chaleureusement accueilli par les habitants du village habitués aux touristes, la culture locale étant faite d’ouverture à l’autre.
Le projet de reprise d’une bergerie par ce couple aurait été été soutenu, accompagné et quasiment parrainé par la Mairie.
Aussi, avant de “CRI-er” au racisme, faut-il être très prudents.
Le Seigneur étant Mon Berger à moi, Il n’admet pas, cependant, que des moutons aient pu être bê^^eee^^êtement la victime de ce conflit de voisinage, centaine ou pas de moutons morts. Le chiffre serait exagéré, ce qui signifie en clair que des bêtes sont bien mortes par la seule faute de la stupidité humaine.
Si la prison de Perpignan est surpeuplée, les rues de Perpignan sont pleines de petits délinquants, “casseurs” et agresseurs, laissés en liberté avec ou sans contrôle judiciaire.
L’équité impose donc de vérifier si la bergère représente un danger réel pour la société civile et lequel ?
Et si les moutons décédés méritaient la peine de mort parce que leur bergère est salafiste.
Les moutons ?
Mais n’oublions pas les deux chiens qui gardent le troupeau, lesquels seraient esseulés et affamés
Bien vouloir noter le conditionnel, merci !
Que fait la SPA, me demandez-vous ?
Je le saurais vendredi puisque j’ai posé la question à l’avocate représentant la SPA dans ce département des Pyrénées-Orientales.
Qui est coupable d’abandons des bêtes ?
J’aurais, je l’espère, la réponse de la Mairie de Corneilla-la-Rivière, sur cette affaire de moutons sans Panurge qui dénégère.
Enfin, je suis rassurée en partie de savoir,
– Alléluia !,
que les services vétérinaires suivent les moutons dans leurs divagations avec toute l’attention qui leur est due.
Je les vois bien, ces moutons, après publication de mon article, ce jour, être envoyés à l’abattoir et les chiens à la fourrière, pour s’être plaints à mon Berger.
A chacun son enfer !
Même les hommes ont leur enfer.
– Au-revoir, les gentils moutons !
Qui dédommagera la bergère de ces pertes financières et qui dédommagera Mon Berger de la cruauté des hommes plus méchants que les bêtes, lorsqu’il s’agit de décider du sort des bêtes et des enfants ?
Si vous souhaitez en savoir plus sur cette affaire de bergère ayant épousé un prince salafiste, et ayant pour actuel palais la prison de Perpignan, faites comme moi :
– prenez contact avec le CRI local.
[Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie]
Ils ont une page Facebook.
https://fr-fr.facebook.com/Cri-Perpignan-1421302234844475/
J’attends, tout comme vous, d’avoir leur son de cloches qui ne devrait pas être “catholique”.
Je reviendrais sur cette affaire de bergère salafiste dès que j’aurais des informations nouvelles.
Parole du Seigneur !
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Psaume 22 de la Bible
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.
Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
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Proverbes 14 : 9
« Les insensés se font un jeu du péché,
Mais parmi les hommes droits se trouve la bienveillance »
Merci au journal “L’Indépendant” de passer outre les protestations officielles institutionnelles et d’oser nous informer, même du sort d’une bergère salafiste en prison !
Il faut raison savoir garder.
Donc il faut savoir avoir raison, même quand tout le monde vous donne tort.
Je vous invite à lire ce journal régional si vous voulez en savoir plus sur cette affaire.