Après tout, François HOLLANDE est bien le mentor d’Emmanuel MACRON. Il l’a fort bien joué, cette partie.
Il faut reconnaître à François HOLLANDE qu’il a su, lui, bien [répétition volontaire du mot “bien”] prendre soin de son petit “protégé”, Emmanuel MACRON, alors que vous, les Républicains, avez refusé de céder la place, votre place, comme je vous le demandais à la “génération future”, Bruno LEMAIRE et Laurent WAUQUIEZ.
Il fallait des hommes politiques honnêtes, irréprochables dans leur vie privée comme dans leur vie publique, inattaquables par la STASI de cette République socialiste, pour des élections présidentielles qui allaient être entièrement phagocytées par les affaires dans le seul but de mettre en avant le “candide” Télémaque.
Il fallait des hommes politiques libres et libéraux, capables de briser les carcans et capables de réformer, tout en “conservant” nos valeurs républicaines, les acquis du Conseil National de la Résistance.
Vos pères ne sont pas morts pour que vous soyez enterrés sous les réformes régressistes et fascistes d’un régime national-socialiste, à coups de pelletées d’ordonnances et d’articles 49-3.
Allez-vous vendre la France, les “francs macs-quignons”, pour un quignon de pain, une dette créée de toutes pièces, de bric et de broc, pour des breloques, par des banquiers, ces “banksters”, comme vous dites si bien, à la botte de la Cosa Nostra, de la P2 et d’autres mafias dont la plus connue est la banque Goldman & Sachs, au nom du “bruit des bottes” qui vous ferait plus peur que de perdre votre honneur et votre liberté, en vous vendant à ces “vendus” ?
Allez-vous faire de la France une Grèce bis, pays d’asile de tous les débiles de cette planète parce que c’est plus facile de se désister que de résister aux bonbons roses de l’idéologie fasciste, l’idéologie nationale-socialiste qui trahit les peuples, en prônant une fraternité universelle, celle des riches, car la fraternité des pauvres, ça s’appelle de tous temps la misère ?
Allez-vous, après l’avoir combattu, parce que vous êtes battus, vous rendre à l’ennemi et vous prétendre ensuite Gaullistes, en prenant la fuite à la première occasion venue pour pactiser avec le “diable” totalitaire, l’islamisme et le mondialisme, abandonnant vos convictions personnelles et laissant votre Nation à des charognards, ces cagnards ?
Comme des Pétainistes !
Officialisée le 15 mai 1943 le Conseil national de la Résistance est désormais créé en métropole Hors de France métropolitaine, l’information est imédiatement considérable (pour des raisons évidentes de clandestinité et répression, de censure et quadrillage médiatique, elle mettra plus de temps à diffuser à travers le pays).]
Vous avez été battus, ce que j’avais prévu et ce dont je vous avais prévenus longtemps à l’avance, suffisamment à l’avance pour que vous puissiez prendre vos dispositions.
Ce n’est pas le fruit du hasard, cette défaite.
C’est le fruit d’une volonté politique, d’une intelligence ennemie qui vous a battus, a su exploiter vos faiblesses par des caresses habiles qui cachaient des promesses traitresses.
Vous étiez fragiles, habitués à la corruption et aux mensonges, dans l’incapacité de lutter contre vous-mêmes et vos “pairs”, les habitués du “Tous Pareils” et et de votre monde des “mille et une merveilles” à la mode anglo-saxonne.
Il était si facile de vous tuer !
Vous allez vous faire huer par le peuple de France si vous abandonnez aux charognards et aux cagnards leur droit de vote pour un “Vivre ensemble” qui n’est qu’une illusion factice, une fabrique de l’injustice qui se termine par le meurtre d’un policier homosexuel sur l’avenue la plus belle du monde, les Champs-Elysées, un paradis devenu pour lui l’enfer, l’enfer d’une haine religieuse qui ne dit pas son nom, une religion dont vous n’osez plus dire le nom, l’Islam.
– “Vous n’aurez pas ma haine !”, a déclaré noblement son compagnon, le conjoint du gardien de la paix lâchement assassiné, sans pouvoir se défendre contre cette haine de l’autre non assimilable.
Vous qui vous dîtes Républicains, allez tromper doublement votre peuple, en renonçant à les défendre et en leur demandant de voter pour ceux qui vous ont tués, ceux qui ont réussi à supprimer votre grand parti, le parti des Gaullistes, un parti de Résistants, pas un parti de Pétainistes.
Vous irez expliquer aux notaires que vous êtes d’accord pour les “ubériser”, les pulvériser, réduire en cendres le droit du patrimoine français pour l’offrir en pâture aux cabinets d’affaires anglo-saxons et à leurs agents maçonniques si “fraternellement” liés qu’il n’y a plus de Nation en capacité de résister quand charité bien ordonnée commence par soi-même.
Et, sans l’autorité d’un Etat chrétien, la charité consiste aujourd’hui, en France, à laisser les SDF dormir sous les ponts ou crever non-loin d’un rond-point sans que s’arrêtent autrement qu’au Stop d’indifférents passants.
Tout est à tout le monde et à personne, c’est à dire aux plus riches.
Et c’est celui qui triche qui remporte la mise.
Quoi de surprenant ?
Vous irez expliquer aux avocats qu’ils peuvent jeter leurs robes aux orties, la folie du droit universel faisant d’eux des ouvriers manufacturiers du droit international des affaires, principalement un droit arbitral, sans juges d’Etat, mais avec des Maîtres, leurs oeuvres et leurs Grands-Maîtres.
Le droit de propriété n’existe que tant que la dignité des hommes est respectée en tant que sujets non abusés sur leur destin et non objets exposés sur le chemin de seigneurs qui seront leur nouveaux Maîtres, sans patrie et sans fratrie autre que leurs pairs, les plus fortunés.
Le droit arbitral va imposer ses normes et détruire ce qu’autrefois vous appeliez le “normal”, la justice des hommes en France.
Tout sera fait pour vous nuire.
Vous, les Français, deviendrez les “nuisibles” aux yeux d’un monde en guerre qui veut la guerre partout, la guerre globale pour dépouiller les peuples de leurs terres.
La France est le “fusible” qui doit sauter et tout faire sauter en Europe.
Si vous la trouviez injuste, votre Justice française, et de plus en plus à raison, justice minée par la “bande de copains des coquins”, vous ne serez pas déçus par la justice internationale.
Ses Maîtres en seront invisibles et donc inatteignables.
Les frais qu’il vous en coûtera pour vous rendre à New York ou à Bruxelles seront autrement rédhibitoires.
S’il vous est permis de plaider votre cause devant de grands tribunaux d’exception, sans devoir hypothéquer votre maison tant les frais d’avocats seront élevés, c’est que vous serez vous-mêmes riches et expatriés.
La Nation française sera ruinée, abîmée, traînée dans la boue des dessous de tables, des bakchichs turcs, arabo-saoudiens, qataris et autres pays “amis”, alliés sunnites qui veulent islamiser la France. Les enveloppes, une fois vidées de leurs contenus en pétro-dollars, tomberont dans les poubelles sales de la mafia financière internationale.
Votre vin ne sera plus français.
Il sera chinois, canadien, “européen” très vaguement.
Maigre consolation : vous aurez le droit de presser du raisin OGM et de le mélanger à de l’acide citrique, au nom de la liberté internationale de faire tout et n’importe quoi, après avoir collé une étiquette avantageuse, genre “Vin de France” sur des bouteilles emplastiquées, puisque la France ne sera plus qu’une région d’une Europe américanisée et déshumanisée.
Les viticulteurs seront ruinés, qu’ils vendent ou non de la “piquette” !
Mais les pots de vin, eux, seront la boisson préférée de vos élites privilégiées doublement.
Echappant aux contingences nationales, les oligarques, nouvelle aristocratie de ce XXIème siècle, pourront vous imposer leurs préférences et vous faire tomber en servitude, vous qui avez déjà pris l’habitude de voter “utile”, c’est à dire contre votre intérêt et celui de votre pays, au nom de la défense…
Quelle défense ?
La défense des intérêts qataris et saoudiens.
Ces deux pays ont le droit d’influencer vos votes et de corrompre votre “élite” dont la moralité est à l’image d’une poche trouée, sans fond ni forme.
Vous, qui vous dîtes “Gaullistes”, vous devrez expliquer aux paysans de France, que vous allez les déposséder de leurs terres, en échange d’un chômage “universel” national, à court terme.
Car, Françaises, Français, vous vendre un chômage “universel”, c’est déjà vous avouer l’échec de la politique économique à venir pour vous assoupir et assouvir les envies de prédateurs internationaux.. en vous le faisant accepter.
C’est fort, très fort, obtenir votre accord sur votre propre arrêt de mort, devenir des chômeurs ne dépendant plus d’un régime professionnel, du monde du travail.
Et pour cause, il n’y aura plus de travail pour vous en France.
Signez au bas du contrat votre arrêt de mort !
Vous n’aurez plus de travail mais, en prison, vous aurez la télévision et une nourriture halal.
Je raille mais vous êtes pitoyables.
Les trains déraillent et vous prenez le premier train qui vous est proposé parce qu’il vous est promis, qu’avant l’accident final, fin de vie puisque Troisième Guerre Mondiale, vous serez logés et nourris, qu’importe si vous n’atteignez jamais votre destination.
Avez-vous oublié que les paysans aspirent à vivre et non pas à mourir, eux qui vous ont tant suppliés ?
Leur promettre le chômage en échange de la spoliation de leurs terres, c’est les prendre pour des idiots.
Or ils ont compris le message, ces sages de la terre.Ils ne sont pas tant sots que vous le pensez.
Lorsque la France n’aura plus que des usines à bêtes et à polluer, au lieu de fermes dont les agriculteurs sont aujourd’hui les propriétaires, ils seront tous devenus des “précaires” sans terre, des “Jean/gens sans terre”.
Comme les anciens ouvriers agricoles qui vendaient la force de leurs bras, les journaliers, ils se vendront dans des marchés humains du travail où c’est l’employeur qui imposera son tarif, choisissant dans ce tas d’humanoïdes bientôt robotisés, pour de faux ou pour de vrai, ceux qui lui offriront un jour de travail pour presque rien, pour quasiment rien, un quignon de pain, comme des maquignons.
Le servage paysan redeviendra la condition première des agriculteurs de France, comme au temps des monarques.
suicide paysans –
Le projet des mondialistes, du social-mondialisme, est une arnaque.
Les salaires seront si bas que vos enfants mourront de faim à leur tour.
Les nourrissons ne verront pas le jour sur cette terre de France qui tombera dans la plus grande misère et ne pourra plus nourrir son peuple.
Allez-vous soutenir vos paysans ou les laisser mourir ?
Celui qui vous vend comme seul projet le chômage national pour tous, à vous les paysans, vous vend un avenir de chômeurs.
Pour combien de temps, ce chômage vous sera-t-il accordé ?
Pensez-y !
Oui, interrogez-vous sur la durée de ce temps de chômage qui, elle, ne sera pas éternelle.
Par contre la grande pauvreté sera partout et pour tous les jours dans votre vie.
Rassurez-vous, grâce aux assureurs dont vous connaissez tous la générosité extrème en cas de sinistres, vous ne bénéficierez plus de la Sécurité Sociale.
Comment pourrait-il en être autrement puisque vos “pauvres” employeurs ne paieront plus leurs “charges sociales”‘, en échange de l’exploitation d’ouvriers migrants, le sort de tous les ouvriers, devenir eux-mêmes des migrants, qu’ils soient étrangers ou Français ?
Ils osent appeler “charges sociales” leur contribution à la solidarité nationale, c’est à dire leur obligation de verser des cotisations sociales, eux aussi, pour vous, leurs salariés.
Ce sera aux ouvriers de se verser leurs propres cotisations sociales.
Quelle aubaine pour ces requins de la finance !
Les patrons ne paieront plus que la moitié d’un salaire puisqu’ils n’augmenteront pas les salaires, à charge pour leurs salariés de s’assurer et de cotiser pour leur assurance-maladie et leur retraite sur un salaire d’un montant équivalent à celui du temps où c’était le patron qui payait pour eux.
Pourquoi ces employeurs, qui seront alors principalement des Multinationales, lesquelles se partageront le “gâteau” européen, paieraient-ils des cotisations à une Nation, la France, alors qu’ils emploieront indifféremment des Roumains, des Syriens, des Erythréens, des Italiens,
– Italiens à qui j’annonce la ruine de leur pays incessamment sous peu,
oui, pourquoi emploieraient-ils des Français, trop coûteux à leurs yeux ?
Vous serez les plus pauvres des plus pauvres dans votre propre pays et les paysans, devenus des “brassiers” agricoles, loueurs de leurs bras, ne trouveront plus de travail pour eux, sur leurs propres terres, remplacés par des étrangers migrants, moins bien traités que ces migrants sur leurs propres terres de France.
Vous deviendrez tous des migrants dans une solidarité du “Tous Pareils”, contraints et forcés à vous vendre pour une heure, pour un jour, partageant le sort des forçats, les bagnards du travail.
Et vous n’aurez plus d’endroits où aller sur cette terre pour être heureux.
Car il n’y aura plus d’endroits où règnera le droit.
Il n’y aura plus que des rois tyranniques, des millionnaires et des milliardaires ayant acheté, qui un village, qui un quartier de ville, qui un vignoble, qui un château, qui des terres agricoles, qui l’Elysée ! , en France.
Votre Président ne sera plus que ce qu’il est déjà, un intendant pour les nouveaux seigneurs de ce siècle, l’oligarchie régnante d’une caste ruineuse pour les Nations.
Mais le pire, ce qui me navre le plus, c’est de savoir que ce programme socialiste, ce “miroir aux alouettes” dans lequel vous vous mirez et vous admirez n’est qu’un mouroir des bêtes, bêtes que vous allez devenir, bêtes de somme à abattre, vous qui semblez croire sincèrement que vous irez participer à la gestion du Royaume.
Soyez prêts à être vendus comme des esclaves par des vendus.
Ah, il est beau le projet de vie qui consiste à vous demander de choisir votre propre servitude !
La réponse est là sous vos yeux et vous ne voyez rien.
Il ne vous ment pas, Emmanuel MACRON.
Il ose vous dire la vérité, sa vérité :
– Il gouvernera par ordonnances, cassant le Code du Travail, celui de la Santé Publique et combien d’autres ?
Tous les acquis du Conseil National de la Résistance seront détruits avec votre complicité, vous qui prétendez faussement être des Gaullistes.
Je vous renie !
Alors il peut bien vous donner en échange un peu de rêve, Télémaque, le fils spirituel de l’occupant actuel de l’Elysée, en vous faisant remplir des papiers et en vous promettant de vous employer pour vous faire taire !
Vendre du rêve quand on est un politique, pourquoi pas ?
C’est devenu un métier, rue du Cirque.
Donner le change, pour quelques moments de plaisir pré-électoral quand le peuple croit avoir tous les pouvoirs, c’est un métier aussi.
C’est la force d’un Jacques SEGUELA [sic] de vendre du rêve, de faire du politique un simple produit publicitaire.
Et vous achetez !, comme de vulgaires consommateurs, un produit publicitaire vendu par un bellâtre, à l’image d’une “pin-up” épinglée sur le mur d’un bagnard qui en oublie sa condition de prisonnier.
Join the movement “In the Air” with Emmanuel MACRON, up and down !
Il pourrait vous vendre une bagnole pourrie, Emmanuel MACRON, une bagnole d’occasion, comme dans les réclames de mon époque, le présentateur du “nouvel” ancien programme mondialiste, le programme des “Démons-crates” américains qui vous met en état hypnotique politique de fascination quasi-amoureuse.
Peu vous importe le contenu du programme, de son programme, pourvu que le contenant vous agrée et que le parfum vous enivre…
Epoque médiatique d’une ère démocratique pour de pauvres hères médiocres, ce que vous êtes devenus !
De toute façon, votre bellâtre gouvernera par ordonnances, il vous l’a promis !, sans vous demander votre avis, ni l’avis des Parlementaires que vous pourriez devenir.
Cette belle promesse de faire de vous des Parlementaires n’engage que vous, accéder au pouvoir pour ne rien dire, car il ne vous sera rien demandé de dire, juste avoir l’air d’être un Parlementaire.
Monter en l’air !
Enfin, êtes-vous atteints de démence sénile pour croire ses sottises ?
Ou êtes-vous en état d’errance juvénile, à la recherche d’un nouveau gourou ?
Comment pourrez-vous contrôler qu’une telle ou qu’un tel, voisine, voisin, aura été choisi(e) à votre place, dans la noble Assemblée parlementaire qui ne servira à rien, en raison d’une question de compétence supérieure ou de race inférieure, que sais-je encore ?, puisque vos “adversaires” politiques seront gens du peuple inconnus ? Les critères de sélection seront invérifiables et totalement arbitraires.
C’est habile, grandement habile.
C’est machiavélique à vrai dire.
Et vous, gens du peuple, êtes sots de gober ces “sornettes”, ce tirage au sort, comme des religieuses à cornettes naïves croyant au Bon Dieu quand elles tombent sur le diable à deux cornes leur conseillant de porter à la fontaine un seau d’eau pour que l’eau s’y transforme en or noir, si elles acceptent de lui baiser l’anus [sic] ?
A chacun ses moeurs !
Mais de ses moeurs, vous pourrez tirer sa morale, à votre futur dirigeant, et la morale de votre histoire, c’est celle de l’Histoire de France.
[Mon Général, que dois-je comprendre ?]
Rien que vous puissiez comprendre, Véronique, mais d’autres comprendrontQ.
[Q inclus, écrit sans le vouloir mais sans pouvoir l’enlever, ordre du Général]
Voir la France ainsi réduite à l’impuissance par une bande de “baiseurs” qui ne pensent qu’à batifoler, c’est lamentable, aussi lamentable que les “Lamentations” d’un faux Comte de LAUTREAMONT pédéraste et iconoclaste.
La fracture sociale d’aujourd’hui est socialiste comme sa fracture morale.
Et sa facture est le Mal.
Bravo à Christine BOUTIN qui a choisi le camp du Bien, celui de la Résistance !
Même si je sais, Véronique, que vous n’appréciez guère son conservatisme catholique.
[Mon Général, j’ai un pote qui s’appelle COLUCHE et que vous évitez de croiser, même s’il vient parfois vous taquiner sur vos terres dans l’au-delà.
Souffrez que je partage son amitié et la vôtre !
S’il vous plaît que je conserve ce terme, “amitié” à votre encontre.]
Pour l’instant, il me plairait davantage que vous vous considériez comme ma secrétaire.
Etre la secrétaire d’un grand homme est un honneur considérable, croyez-moi sur parole, Véronique !
Le Général m’envoie l’image d’un secrétaire d’état-major, celui qui rédige les mémoires des hommes de l’Arme, de la Marine, dans les larmes et dans le sang, ajoute-t-il.
Un petit clin d’oeil aux Patriotes, amis écrivains de la Marine !:
Pour terminer, le Général De GAULLE trouve intéressant que je rajoute à la fin de cet article, tant pis pour la longue rallonge, la publication d’un extrait des “Chants de Maldoror”, dudit Comte de LAUTREAMONT.
Pour le Général, la description du naufrage d’un navire de guerre et des requins se rassasiant du corps des noyés, spectacle qui crée une jouissance certaine et malsaine chez le spectateur et auteur Isidore DUCASSE dit Comte de LAUTREAMONT, préfigure assez bien à ce qui se passera lorsque le bateau “France” sombrera dans la mer “Europe”.
Vive la France et vive votre chouchou, le chouchou du palais élyséen !
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http://bibliotheq.net/comte-de-lautreamont/les-chants-de-maldoror/page-42.html
Mes années ne sont pas nombreuses, et, cependant, je sens déjà que la bonté n’est qu’un
assemblage de syllabes sonores ; je ne l’ai trouvée nulle part. Tu laisses trop percer ton caractère; il faudrait le cacher avec plus d’adresse. Au reste, peut-être que je me trompe et que tu fais exprès; car, tu sais mieux qu’un autre comment te conduire. Les hommes, eux, mettent leur gloire à t’imiter; c’est pourquoi la bonté sainte ne reconnaît pas son tabernacle dans leurs yeux farouches: tel père, tel fils. Quoiqu’on doive penser de ton intelligence, je n’en parle que comme un critique impartial. Je ne demande pas mieux que d’avoir été induit en erreur. Je ne désire pas te montrer la haine que je te porte et que je couve avec amour, comme une fille chérie; car, il vaut mieux la cacher à tes yeux et prendre seulement, devant toi, l’aspect d’un censeur sévère, chargé de contrôler tes actes impurs. Tu cesseras ainsi tout commerce actif avec elle, tu l’oublieras et tu détruiras complètement cette punaise avide qui ronge ton foie. Je préfère plutôt te faire entendre des paroles de rêverie et de douceur … Oui, c’est toi qui as créé le monde et tout ce qu’il renferme. Tu es parfait. Aucune vertu ne te manque. Tu es très puissant, chacun le sait. Que l’univers entier entonne, à chaque heure du temps, ton cantique éternel! Les oiseaux te bénissent, en prenant leur essor dans la campagne. Les étoiles t’appartiennent … Ainsi soit-il!» Après ces commencements, étonnez-vous de me trouver tel que je suis!
Je cherchais une âme qui me ressemblât, et je ne pouvais pas la trouver. Je fouillais tous les recoins de la terre; ma persévérance était inutile. Cependant, je ne pouvais pas rester seul. Il fallait quelqu’un qui approuvât mon caractère; il fallait quelqu’un qui eût les mêmes idées que moi. C’était le matin: le soleil se leva à l’horizon dans toute sa magnificence, et voilà qu’à mes yeux se lève aussi un jeune homme, dont la présence engendrait des fleurs sur son passage. Il s’approcha de moi, et, me tendant la main: «Je suis venu vers toi, toi, qui me cherches. Bénissons ce jour heureux.» C’était le soir; la nuit commençait à étendre la noirceur de son voile sur la nature. Une belle femme, que je ne faisais que distinguer, étendait aussi sur moi son influence enchanteresse, et me regardait avec compassion; cependant, elle n’osait me parler. Je dis: «Approche-toi de moi, afin que je distingue nettement les traits de ton visage; car, la lumière des étoiles n’est pas assez forte, pour les éclairer à cette distance.» Alors, avec une démarche modeste, et les yeux baissés, elle foula l’herbe du gazon, en se dirigeant de mon côté. Dès que je la vis: «Je vois que la bonté et la justice ont fait résidence dans ton coeur: nous ne pourrions pas vivre ensemble. Maintenant, tu admires ma beauté, qui a bouleversé plus d’une; mais, tôt ou tard, tu te repentirais de m’avoir consacré ton amour; car tu ne connais pas mon âme. Non que je te sois jamais infidèle: celle qui se livre à moi avec tant d’abandon et de confiance, avec autant de confiance et d’abandon, je me livre à elle; mais, mets-te le dans la tête, pour ne jamais l’oublier: les loups et les agneaux ne se regardent pas avec des yeux doux.»
Que me fallait-il donc, à moi, qui rejetais, avec tant de dégoût, ce qu’il y avait de plus beau dans l’humanité! ce qu’il me fallait, je n’aurais pas su le dire. Je n’étais pas encore habitué à me rendre un compte rigoureux des phénomènes de mon esprit, au moyen des méthodes que recommande la philosophie. Je m’assis sur un roc, près de la mer. Un navire venait de mettre toutes voiles dehors pour s’éloigner de ce parage: un point imperceptible venait de paraître à l’horizon, et s’approchait peu à peu, poussé par la rafale, en grandissant avec rapidité. La tempête allait commencer ses attaques, et déjà le ciel s’obscurcissait, en devenant d’un noir presque aussi hideux que le coeur de l’homme. Le navire, qui était un grand vaisseau de guerre, venait de jeter toutes ses ancres, pour ne pas être balayé sur les rochers de la côte. Le vent sifflait avec fureur des quatre points cardinaux, et mettait les voiles en charpie. Les coups de tonnerre éclataient au milieu des éclairs, et ne pouvaient surpasser le bruit des lamentations qui s’entendaient sur la maison sans bases, sépulcre mouvant. Le roulis de ces masses aqueuses n’était pas parvenu à rompre les chaînes des ancres; mais, leurs secousses avaient entr’ouvert une voie d’eau, sur les flancs du navire. Brèche énorme; car, les pompes ne suffisent pas à rejeter les paquets d’eau salée qui viennent, en écumant, s’abattre sur le pont, comme des montagnes. Le navire en détresse tire des coups de canon d’alarme; mais, il sombre avec lenteur … avec majesté. Celui qui n’a pas vu un vaisseau sombrer au milieu de l’ouragan, de l’intermittence des éclairs et de l’obscurité la plus profonde, pendant que ceux qu’il contient sont accablés de ce désespoir que vous savez, celui-là ne connaît pas les accidents de la vie. Enfin, il s’échappe un cri universel de douleur immense d’entre les flancs du vaisseau, tandis que la mer redouble ses attaques redoutables. C’est le cri qu’a fait pousser l’abandon des forces humaines. Chacun s’enveloppe dans le manteau de la résignation, et remet son sort entre les mains de Dieu.
On s’accule comme un troupeau de moutons. Le navire en détresse tire des coups de canon d’alarme; mais, il sombre avec lenteur … avec majesté. Ils ont fait jouer les pompes pendant tout le jour. Efforts inutiles. La nuit est venue, épaisse, implacable, pour mettre le comble à ce spectacle gracieux. Chacun se dit qu’une fois dans l’eau, il ne pourra plus respirer; car, d’aussi loin qu’il fait revenir sa mémoire, il ne se reconnaît aucun poisson pour ancêtre: mais, il s’exhorte à retenir son souffle le plus longtemps possible, afin de prolonger sa vie de deux ou trois secondes; c’est là l’ironie vengeresse qu’il veut adresser à la mort … Le navire en détresse tire des coups de canon d’alarme; mais, il sombre avec lenteur … avec majesté. Il ne sait pas que le vaisseau, en s’enfonçant, occasionne une puissante circonvolution des houles autour d’elles-mêmes; que le limon bourbeux s’est mêlé aux eaux troublées, et qu’une force qui vient de dessous, contrecoup de la tempête qui exerce ses ravages en haut, imprime à l’élément des mouvements saccadés et nerveux. Ainsi, malgré la provision de sang-froid qu’il ramasse d’avance, le futur noyé, après réflexion plus ample, devra se sentir heureux, s’il prolonge sa vie, dans les tourbillons de l’abîme, de la moitié d’une respiration ordinaire, afin de faire bonne mesure. Il lui sera donc impossible de narguer la mort, son suprême voeu. Le navire en détresse tire des coups de canon d’alarme; mais, il sombre avec lenteur … avec majesté. C’est une erreur. Il ne tire plus des coups de canon, il ne sombre pas. La coquille de noix s’est engouffrée complètement. O ciel! comment peut-on vivre, après avoir éprouvé tant de voluptés! Il venait de m’être donné d’être témoin des agonies de mort de plusieurs de mes semblables.
Minute par minute, je suivais les péripéties de leurs angoisses. Tantôt, le beuglement de quelque vieille, devenue folle de peur, faisait prime sur le marché. Tantôt, le seul glapissement d’un enfant en mamelles empêchait d’entendre le commandement des manoeuvres. Le vaisseau était trop loin pour percevoir distinctement les gémissements que m’apportait la rafale; mais, je le rapprochais par la volonté, et l’illusion d’optique était complète. Chaque quart d’heure, quand un coup de vent, plus fort que les autres, rendant ses accents lugubres à travers le cri des pétrels effarés, disloquait le navire dans un craquement longitudinal, et augmentait les plaintes de ceux qui allaient être offerts en holocauste à la mort, je m’enfonçais dans la joue la pointe aiguë d’un fer, et je pensais secrètement: «Ils souffrent davantage!» J’avais au moins, ainsi, un terme de comparaison. Du rivage, je les apostrophais, en leur lançant des imprécations et des menaces. Il me semblait qu’ils devaient m’entendre! Il me semblait que ma haine et mes paroles, franchissant la distance, anéantissaient les lois physiques du son, et parvenaient, distinctes, à leurs oreilles, assourdies par les mugissements de l’océan en courroux! Il me semblait qu’ils devaient penser à moi, et exhaler leur vengeance en impuissante rage! De temps à autre, je jetais les yeux vers les cités, endormies sur la terre ferme; et, voyant que personne ne se doutait qu’un vaisseau allait sombrer, à quelques milles du rivage, avec une couronne d’oiseaux de proie et un piédestal de géants aquatiques, au ventre vide, je reprenais courage, et l’espérance me revenait: j’étais donc sûr de leur perte! Ils ne pouvaient échapper! Par surcroît de précaution, j’avais été chercher mon fusil à deux coups, afin que, si quelque naufragé était tenté d’aborder les rochers à la nage, pour échapper à une mort imminente, une balle sur l’épaule lui fracassât le bras, et l’empêchât d’accomplir son dessein. Au moment le plus furieux de la tempête, je vis, surnageant sur les eaux, avec des efforts désespérés, une tête énergique, aux cheveux hérissés. Il avalait des litres d’eau, et s’enfonçait dans l’abîme, ballotté comme un liège. Mais, bientôt, il apparaissait de nouveau, les cheveux ruisselants: et, fixant l’oeil sur le rivage, il semblait défier la mort. Il était admirable de sang-froid. Une large blessure sanglante, occasionnée par quelque pointe d’écueil caché, balafrait son visage intrépide et noble. Il ne devait pas avoir plus de seize ans; car, à peine, à travers les éclairs qui illuminaient la nuit, le duvet de la pèche s’apercevait sur sa lèvre. Et maintenant, il n’était plus qu’à deux cents mètres de la falaise; et je le dévisageais facilement. Quel courage! Quel esprit indomptable! Comme la fixité de sa tête semblait narguer le destin, tout en fendant avec vigueur l’onde, dont les sillons s’ouvraient difficilement devant lui!…
Je l’avais décidé d’avance. Je me devais à moi-même de tenir ma promesse: l’heure dernière avait sonné pour tous, aucun ne devait en échapper. Voilà ma résolution; rien ne la changerait … Un son sec s’entendit, et la tête aussitôt s’enfonça, pour ne plus reparaître. Je ne pris pas à ce meurtre autant de plaisir qu’on pourrait le croire; et c’était, précisément, parce que j’étais rassasié de toujours tuer, que je le faisais dorénavant par simple habitude, dont on ne peut se passer, mais, qui ne procure qu’une jouissance légère. Le sens est émoussé, endurci. Quelle volupté ressentir à la mort de cet être humain, quand il y en avait plus d’une centaine, qui allaient s’offrir à moi, en spectacle, dans leur lutte dernière contre les flots, une fois le navire submergé? A cette mort, je n’avais même pas l’attrait du danger; car, la justice humaine, bercée par l’ouragan de cette nuit affreuse, sommeillait dans les maisons, à quelques pas de moi. Aujourd’hui que les années pèsent sur mon corps, je le dis avec sincérité, comme une vérité suprême et solennelle: je n’étais pas aussi cruel qu’on l’a raconté ensuite, parmi les hommes; mais, des fois, leur méchanceté exerçait ses ravages persévérants pendant des années entières. Alors, je ne connaissais plus de borne à ma fureur; il me prenait des accès de cruauté, et je devenais terrible pour celui qui s’approchait de mes yeux hagards, si toutefois il appartenait à ma race. Si c’était un cheval ou un chien, je le laissais passer: avez-vous entendu ce que je viens de dire? Malheureusement, la nuit de cette tempête, j’étais dans un de ces accès, ma raison s’était envolée (car, ordinairement, j’étais aussi cruel, mais plus prudent); et tout ce qui tomberait, cette fois-là, entre mes mains, devait périr: je ne prétends pas m’excuser de mes torts. La faute n’en est pas toute à mes semblables. Je ne fais que constater ce qui est, en attendant le jugement dernier qui me fait gratter la nuque d’avance … Que m’importe le jugement dernier! Ma raison ne s’envole jamais, comme je le disais pour vous tromper. Et, quand je commets un crime, je sais ce que je fais: je ne voulais pas faire autre chose! Debout sur le rocher, pendant que l’ouragan fouettait mes cheveux et mon manteau, j’épiais dans l’extase cette force de la tempête, s’acharnant sur un navire, sous un ciel sans étoiles. Je suivis, dans une attitude triomphante, toutes les péripéties de ce drame, depuis l’instant où le vaisseau jeta ses ancres, jusqu’au moment où il s’engloutit, habit fatal qui entraîna, dans les boyaux de la mer, ceux qui s’en étaient revêtus comme d’un manteau. Mais, l’instant s’approchait, où j’allais, moi-même, me mêler comme acteur à ces scènes de la nature bouleversée. Quand la place où le vaisseau avait soutenu le combat montra clairement que celui-ci avait été passer le reste de ses jours au rez-de-chaussée de la mer, alors, ceux qui avaient été emportés avec les flots reparurent en partie à la surface. Ils se prirent à bras-le-corps, deux par deux, trois par trois; c’était le moyen de ne pas sauver leur vie; car, leurs mouvements devenaient embarrassés, et ils coulaient bas comme des cruches percées … Quelle est cette armée de monstres marins qui fend les flots avec vitesse? Ils sont six; leurs nageoires sont vigoureuses, et s’ouvrent un passage, à travers les vagues soulevées. De tous ces êtres humains, qui remuent les quatre membres dans ce continent peu ferme, les requins ne font bientôt qu’une omelette sans oeufs, et se la partagent d’après la loi du plus fort. Le sang se mêle aux eaux, et les eaux se mêlent au sang. Leurs yeux féroces éclairent suffisamment la scène du carnage … Mais, quel est encore ce tumulte des eaux, là-bas, à l’horizon?
On dirait une trombe qui s’approche. Quels coups de rame! J’aperçois ce que c’est. Une énorme femelle de requin vient prendre part au pâté de foie de canard, et manger du bouilli froid. Elle est furieuse; car, elle arrive affamée. Une lutte s’engage entre elle et les requins, pour se disputer les quelques membres palpitants qui flottent par-ci, par-là, sans rien dire, sur la surface de la crème rouge. A droite, à gauche,elle lance des coups de dent qui engendrent des blessures mortelles. Mais, trois requins vivants l’entourent encore, et elle est obligée de tourner en tous sens, pour déjouer leurs manoeuvres. Avec une émotion croissante, inconnue jusqu’alors, le spectateur, placé sur le rivage, suit cette bataille navale d’un nouveau genre. Il a les yeux fixés sur cette courageuse femelle de requin, aux dents si fortes. Il n’hésite plus, il épaule son fusil, et, avec son adresse habituelle, il loge sa deuxième balle dans l’ouïe d’un des requins, au moment où il se montrait au-dessus d’une vague. Restent deux requins qui n’en témoignent qu’un acharnement plus grand. Du haut du rocher, l’homme à la salive saumâtre, se jette à la mer, et nage vers le tapis agréablement coloré, en tenant à la main ce couteau d’acier qui ne l’abandonne jamais. Désormais, chaque requin a affaire à un ennemi. Il s’avance vers son adversaire fatigué, et, prenant son temps, lui enfonce dans le ventre sa lame aiguë. La citadelle mobile se débarrasse facilement du dernier adversaire … Se trouvent en présence le nageur et la femelle de requin, sauvée par lui. Ils se regardèrent entre les yeux pendant quelques minutes: et chacun s’étonna de trouver tant de férocité dans les regards de l’autre. Ils tournent en rond en nageant, ne se perdent pas de vue, et se disent à part soi: «Je me suis trompé jusqu’ici; en voilà un qui est plus méchant.» Alors, d’un commun accord, entre deux eaux, ils glissèrent l’un vers l’autre, avec une admiration mutuelle, la femelle de requin écartant l’eau de ses nageoires, Maldoror battant l’onde avec ses bras: et retinrent leur souffle, dans une vénération profonde, chacun désireux de contempler, pour la première fois, son portrait vivant. Arrivés à trois mètres de distance, sans faire aucun effort, ils tombèrent brusquement l’un contre l’autre, comme deux aimants, et s’embrassèrent avec dignité et reconnaissance, dans, une étreinte aussi tendre que celle d’un frère ou d’une soeur.
Les désirs charnels suivirent de près cette démonstration d’amitié. Deux cuisses nerveuses se collèrent étroitement à la peau visqueuse du monstre, comme deux sangsues; et, les bras et les nageoires entrelacés autour du corps de l’objet aimé qu’ils entourèrent avec amour, tandis que leurs gorges et leurs poitrines ne faisaient bientôt plus qu’une masse glauque aux exhalaisons de goëmon; au milieu de la tempête qui continuait de sévir; à la lueur des éclairs; ayant pour lit d’hyménée la vague écumeuse, emportés par un courant sous-marin comme dans un berceau, et roulant sur eux-mêmes, vers les profondeurs de l’abîme, ils se réunirent dans un accouplement long, chaste et hideux!… Enfin, je venais de trouver quelqu’un qui me ressemblât!… Désormais, je n’étais plus seul dans la vie!… Elle avait les mêmes idées que moi!… J’étais en face de mon premier amour!
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Si vous êtes fou de Lautréamont comme Philippe SOLLERS, alors
« Plût au ciel que le lecteur enhardi et devenu momentanément féroce comme ce qu’il lit…»
[…]
“Tentation nihiliste” et “banalités laborieuses”
On comprend que Camus, en 1951, dans «l’Homme révolté» ne soit pas d’accord. Pour lui, Lautréamont tombe dans une «tentation nihiliste» et il ne voit dans «Poésies» que des «banalités laborieuses», un «morne anticonformisme» et même un goût de «l’asservissement intellectuel» qui s’épanouit dans les totalitarismes du XXe siècle. […] ]
Tel est l’avis du Général De GAULLE sur Isidore DUCASSE, dit le Comte De LAUTREAMONT, lui qui a cassé les codes de la moralité.
2 thoughts on “Appel du Général De GAULLE à Laurent WAUQUIEZ : – “Il est temps, mon p’tit gars, saute ! Sinon l’avion va s’écraser avec toi et tous les autres, sans parachute. Prends les commandes de l’avion ou saute en vol, avec un parachute, moi, ton Mentor ! Suis-moi.””