Photo sélectionnée par Paul RICOEUR à l’attention d’Emmanuel MACRON
C’est difficile de “capter” Paul RICOEUR.
C’est une présence diffuse, discrète, modeste, excessivement humble qui ne s’affirme pas, qui ne s’affiche pas.
Par conséquent, lorsque je l’ai “perçu”, c’est un peu par hasard, un moment de vide intense, vous savez, quand vous faites le vide en vous, à défaut de pouvoir le faire autour de vous.
On aurait dit, quoique je n’aime pas utiliser le pronom personnel si impersonnel “on”, on aurait dit qu’il avait peur d’être entr’aperçu, lui qui voulait être aperçu, comme un aperçu discret d’une autre vie de lui-même, ailleurs, très loin.
Les signaux sont faibles.
L’émission est brouillée et je n’ai pas d’antenne pour pouvoir mieux capter son signal.
Un signal de détresse ?
Non.
Ah, comme j’aimerais être cette médium américaine qui entend, voit et sait tout sur les fantômes qui lui rendent visite !
Moi, soit “ils” m’habitent, sans me posséder, je refuse.
Soit ils se font entendre, parfois extérieurement, comme un appel, une voix qui vous hèle.
Soit ils apparaissent fugacement ou obstinément comme l’empreinte d’une image sur la rétine humaine qui ne voudrait pas disparaître.
Vous avez beau fermer les yeux, ils sont toujours là.
Paul RICOEUR est toujours là.
Il m’a obligée, ou pas ?, à faire un travail de recherches long et assidu sur lui-même et sur l’époque, son époque qui était le réveil des extrèmes.
Une époque que je déteste, soit dit entre nous !
Ce philosophe humaniste, si effacé, un peu papier glacé, m’a conduite en premier sur sa période “pétainiste”, au lieu de la cacher.
Car Paul RICOEUR affirme que notre période est
[je cherche les mots justes mais la communication est pratiquement imperceptible]
se…, [non]
au noeud de ce futur annoncé par ce passé inhumain.
[J’espère avoir bien traduit ? C’est bizarre cette idée d’un temps de l’histoire qui se brise comme des vagues sur le sable du temps, jusqu’à ce que la plus forte vague emporte les digues humaines.]
Je cherche le contact avec Paul RICOEUR.
Il n’y a pas entre nous d’affectif, comme entre COLUCHE et moi.
Il n’y a rien de “personnel”,
[terme choisi par lui]
entre lui et moi.
L’écrivain philosophe l’admet.
[Très important pour lui qu’il soit d’abord reconnu comme écrivain, même s’il est un philosophe connu.]
Il vient chercher le lien avec Emmanuel MACRON, ce qui me gêne.
Pourquoi moi ?
Il n’a qu’à aller réveiller le dormeur qui sommeille, l’autre philosophe, Emmanuel MACRON, et lui susurrer à l’oreille, lui murmurer comme le bruit de l’eau qui ne dort jamais, ses “idées”.
[Comprendre “idées” au sens platonicien du terme.]
Sinon je vais encore me faire accuser de vouloir me rendre “intéressante” ou “captivante” dans le sens de vouloir captiver les idées de l’autre, un autre qui serait président de la république française.
Cette “idée” fait sourire Paul RICOEUR.
Personne ne pouvait savoir ce que voulait exactement le jeune MACRON.
Et aujourd’hui comme hier, Emmanuel MACRON reste insaisissable.
Pour tous comme pour lui-même.
Pour avoir travaillé avec Paul RICOEUR sur l’accouchement d’un livre, une maïeutique de l’esprit qui est un exercice de délivrance, Emmanuel MACRON associe son nom à celui de Paul RICOEUR.
Pour tout dire, sans son accord.
Comment pourrais-je le dire sans trahir la pensée du philosophe, Paul RICOEUR, et sans médire sur un jeune homme qui reste la grande inconnue de l’Histoire de France, parce qu’il est aussi un inconnu pour lui-même ?
Faire l’histoire, c’est parfois la défaire.
Et du verbe, verbe qui est une action, du verbe “défaire”, naît le terme, substantif, substance de l’homme, le terme “défaite”.
Il ne faudrait pas que la présidence du président Emmanuel MACRON ressemble à la défaite de l’Homme.
Je l’avoue humblement, je n’ai jamais lu Paul RICOEUR.
Hormis les quelques textes ou extraits de livres qu’il m’a fait découvrir sur lui.
Donc je suis scrupuleusement, même si c’est difficile, quitte à prendre mon temps, un long temps, ce qu’il essaie de m’enseigner.
Paul RICOEUR refuse d’employer le terme, non, le verbe !, verbum, “dicter”.
On ne dicte pas sa conduite à un homme, ni ses mots.
[Oui, mais parfois, c’est plus pratique et plus rapide que de… deviner !]
– “Comprendre, pas “deviner” !”, corrige immédiatement le philosophe humaniste.
[Je comprendrais si vous préfériez quitter la lecture de cet article écrit à quatre mains.]
Mais l’écrivain Paul RICOEUR est “dévoré” par ses scrupules et son honnêteté. Tout est passé au crible, non pas de la raison dans son cas, puisqu’il est hautement intelligent, mais au crible de la passion.
Etrange association !
Paul RICOEUR justifie cet accouplement contre nature, raison/sentiments, par l’exigence morale d’admettre ses faiblesses humaines et de les ASSOCIER à la rigueur scientifique.
Sinon l’homme serait un créateur STERILE, un tueur de vie, vies au pluriel.
Nous devons accepter d’être “sentimentaux”, d’être des “nostalgiques”, plutôt que d’être des scientifiques dépourvus de toute once d’humanité.
Ne pas nous écouter, ne pas se choyer, ne pas S’AIMER, est le début de la fin, la fin de notre civilisation.
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Paul RICOEUR s’adresse à Emmanuel MACRON :
– “Vous avez choisi, jeune homme, d’épouser une blonde aux yeux bleus et à la peau blanche. Comme Adolf HITLER.”
« Ce qui est dramatique dans la situation des démocraties, c’est qu’elles défendent des valeurs impures, en même temps qu’elles essayent de sauver des valeurs indiscutables que le fascisme a détruites – la culture libre et l’ensemble des libertés publiques – elles tentent de sauvegarder les fruits de plusieurs siècles de piraterie et d’exploitation du prolétariat mondial. En bref, les démocraties sont des ploutodémocraties. C’est l’ensemble que, bon gré mal gré, nous sommes appelés à défendre, sans avoir le droit ni la possibilité de distinguer. Prenez n’importe quel problème international actuel, vous y trouverez mêlées les ombres de la Liberté et de la Finance. C’est notre double ligne d’arrêt. Si demain la guerre éclate, nous défendrons l’avenir des travailleurs et les intérêts des actionnaires de Suez. L’affreuse notion de sécurité bloque l’idéal et l’intérêt dans un mobile monstrueux ; je regrette de voir tant de nos amis l’embrasser le cœur aussi léger, et parler de la sûreté des voies “impériales”, de nos influences orientales, etc., comme s’ils n’avaient jamais été socialistes. J’avoue avoir éprouvé une véritable angoisse en lisant le discours d’Hitler : non que je croie ses intentions pures, mais, dans un langage d’une belle dureté – j’allais écrire d’une belle pureté -, il rappelle aux démocraties leur hypocrite identification du droit avec le système de leurs intérêts, leur dureté pour l’Allemagne désarmée, l’interdiction qu’elles lui signifiaient de se créer des zones de puissance, comme l’Angleterre et la France impériales, le refus quand elles étaient les plus fortes de partager les matières premières du monde. Hélas, cela ressemble étrangement à notre argumentation, à notre rêve. Je le sais bien, Hitler ne songe pas du tout à organiser le monde sous le signe de la collaboration, mais lui au moins, parle du dynamisme de son peuple, et non du droit éternel… et puis il nous éveille à la mauvaise conscience. Je ne suis pas un démocrate à la conscience tranquille. C’est pour cela que je ne suis pas prêt à risquer le va-tout de mon pays pour une cause aussi mélangée. C’est pour cela que je persiste à souhaiter la réunion prochaine d’une conférence internationale, même peu glorieuse. Je ne conçois de guerre juste qu’une guerre à la fois idéologique et défensive. Il est plus beau de mourir, – je veux dire : il est moins laid de tuer (car il ne faut tout de même pas faire semblant d’ignorer le côté le moins “noble”), pour des idées que pour des intérêts -. Il est probable même, que seules des guerres civiles peuvent avoir cette signification. J‘ai dit que les démocraties défendaient des valeurs impures. Je crois devoir ajouter que, depuis quelques années, nous ne sommes plus sûrs de défendre des valeurs réelles. Je vous le demande, mes camarades, en ce début de 1939, – je vous le demande avec un fond de tristesse et de découragement, qu’est-ce que nous représentons dans le monde actuellement, qu’est-ce que nous défendons ? Nous n’avons pas su faire une France vraiment démocratique. Le Front populaire est mort et bien mort. Aucun idéal n’a pris sa place. Ce pays n’est plus capable d’idéal. Il ne semble même pas capable d’être fasciste. Il prend son parti de tout cela. Le règne actuel de nos équipes gouvernementales est le signe d’un pays qui ne croit plus à rien. Des hommes sans moralité dirigent les affaires extérieures et intérieures de ce pays. Dites-moi si vous êtes fiers à la pensée que personne n’est capable de souffler sur ces gens-là, parce que ce souffle ne part plus du fond du pays. »
Paul RICOEUR
http://olivierabel.fr/ricoeur/reponse-a-robert-levy.php
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La France est comme en 1939, à la veille d’une Troisième Guerre Mondiale qui sera toute autant destructrice, sinon plus. Les intellectuels socialistes tiennent le même discours que je tenais vis à vis d’HITLER, coupables de la même indulgence que moi-même envers un ennemi à qui ils trouveront toujours l’excuse d’avoir été humilié, à qui il faut tout pardonner, principalement le fait de l’avoir vaincu.
Le colonisation est devenue la dette de l’Europe, la dette de la France vis à vis de pays d’Afrique et de Moyen-Orient qui veulent leur revanche, comme l’Allemagne humiliée. Tout est excusable au nom de cette dette imaginaire, car elle est purement imaginaire. Les seules infrastructures qui subsistent dans des pays autrefois occupés par leurs méchants colons sont les infrastructures des occupants. Ces pays “libérés” de l’Occupation sont totalement sous la dépendance de leurs roitelets, lesquels sont pires que les “blancs” qu’ils prétendent avoir chassés.
Comme au temps de l’esclavage et des trafiquants de bois de nègres, remplacés par les trafiquants de migrants, ce sont leurs frères de race qui les vendent à d’autres frères de race, de leur propre race, leur promettant qu’ils deviendront comme des “blancs”, des Européens. Car eux savent bien, les Noirs d’Afrique et les bronzés du Maghreb, que les races existent. Sinon comment pourraient-ils prétendre exclure la race blanche de leurs camps d’Indigènes si les races n’existaient pas ?
En Inde, il est de bon ton et de tout temps de prouver que l’on appartient à la race des Elus, en découvrant une peau blanche, la plus immaculée possible, la moins touchée par le soleil. Et en Afrique, la crème Nivéa se vendait au prix de l’or chez les populations noires à cause de son pouvoir prétendument blanchissant vanté par des publicités conçues par des Blacks pour des Blacks. Mickaël JACKSON est la malheureuse preuve de cette “assimilation” culturelle à l’idée qu’avoir la peau blanche, c’est faire partie de l’élite mondialiste.
Pourquoi vouloir le nier ? Plus vous haïssez votre propre civilisation, plus d’autres l’adorent et vous l’envient. N’est-ce pas singulier de voir affluer autant d’étrangers d’une autre couleur de peau dans un pays à majorité blanche, eux, ces immigrés dont le seul rêve de grandeur est de devenir comme des Blancs ?
N’est-ce pas singulier de voir ces “Métèques” vouloir singer des Blancs qu’ils disent vouloir remplacer , en faisant tout comme eux et, pour tout dire, plus mal qu’eux ? Il suffit d’aller voir les “No go zones” pour se rendre compte que la colonisation des terres des Blancs par des étrangers d’une autre couleur de peau transforme les terres de France en terres d’Afrique ou de Moyen-Orient ! Les habits folkloriques se disputent l’espace public avec les ventes à la sauvette sur les trottoirs tandis que les mitraillettes butent à qui mieux mieux tous ceux qui ne sont pas ou ne seraient pas PAREILS culturellement, non ASSIMILES aux nouveaux colons revanchards.
Lire exactement le contraire du “signifié” “anti-racisme”, ce qui est extrémement “signifiant” pour Paul RICOEUR.
Qui sont les racistes ?
Ne serait-il pas plus sage de développer leurs propres coutumes et leur propre civilisation sur leurs propres terres, aux fins de prouver la supériorité de la race noire ou de la race maghrébine, seules races autorisées à participer aux camps des Indigènes, les si bien-nommés, eux qui sont sans gêne et sans gènes supérieurs à la civilisation blanche ou… asiatique, sinon ils seraient heureux chez eux et n’auraient pas besoin de quitter leurs terres d’Indigènes ?
Plutôt que de venir piller les biens déjà produits par les Blancs, leurs ennemis ?
Non, je ne suis pas raciste !
Moi, le philosophe, je dénonce le racisme ambiant, le racisme anti-blanc et l’étrange et malsaine complaisance des Blancs à se vilipender, donc à s’avilir, tandis que d’autres, ceux qui ne sont pas blancs, cherchent par tous les moyens à “se blanchir”, au sens propre comme au sens figuré du terme, excusés de tout et ne pardonnant rien à ceux qui les excusent de tout !
Nous étions frappés de la même cécité, nous les Socialistes, avant que n’éclate la Seconde Guerre Mondiale et que n’éclate la vérité sur Adolf HITLER à la face du monde entier. Nous culpabilisant d’avoir vaincu l’Allemagne et de lui avoir infligé la dette de la honte, nous, les Socialistes, avons défendu la paix, en soutenant la montée du nazisme, en trouvant toutes les excuses du monde à HITLER, comme aujourd’hui, vous, les Socialistes, vous trouvez toutes les excuses du monde à la montée de l’Islam, malgré tous les crimes commis en son nom. Vous n’aviez pas lu “Mein Kampf”, pas plus que vous n’avez lu ou ne lirez le “Coran”. Vous êtes trop intelligents pour lire des ouvrages religieux, ce qui fait de vous des idiots utiles, des ignorants.
Votre ennemi aujourd’hui, c’est… le Socialisme, l’ex-URSS. Vous venez de tuer votre propre parti au nom de la vérité marchande, de l’ultra-libéralisme, du “mondialisme”, ce vieux rêve germanique et cet entêtant rêve britannique. A genoux devant le nouveau credo politique du “pragmatisme”, c’est à dire que ce qui existe impose sa loi, et non pas l’inverse, la loi accompagnant l’existant et ses évolutions qui ne sont que des régressions sociales, vous priez, suppliez le peuple de vous pardonner et de vous rejoindre sur ce chemin de la rédemption, c’est à dire de la “soumission” à l’ennemi. Collabos comme dans les années 40, vous vous inventez toutes les bonnes raisons du monde pour trahir les idéaux passés au nom du passé. Si ces idéaux sont passés, c’est donc qu’ils sont dépassés ! Vive les nouvelles conceptions économiques où l’homme n’est plus qu’objet de marchandage, le marchandage d’un patronat arrogant et avantageux car avantagé, avant que l’homme-outil ne devienne esclave puis ne meure comme un objet de marchandise jeté au rebut d’une société voulue pour les riches par les riches, pas pour les pauvres, ET sans les pauvres, dans un temps où le travail sera sans fin. Car être un(e) esclave, c’est travailler sans fin pour rien.
Non, j’ai déjà commis cette erreur en mon temps d’avoir sous-estimé la capacité de nuisance d’Adolf HITLER. Par conséquent je ne saurais me joindre à la joyeuse bande de profiteurs et de professeurs de morale dite laïque qui vont faire basculer la France et le monde dans l’horreur parce que ceux qu’ils excusent sans cesse n’ont de trêve ni de paix de leur faire une guerre sans fin. Et eux accusent et se font justice, sans procès. Ce sont des tueurs et les couteaux qu’ils aiguisent rappellent la “Nuit des Longs Couteaux” en Allemagne.
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30 juin 1934
« Nuit des longs couteaux »
[ Le 30 juin 1934, à Berlin, reste connu comme la « Nuit des longs couteaux ». Avec le concours des SS et de leur chef Himmler, Hitler élimine les extrémistes de son parti, groupés autour des SA de Röhm.
On évalue à 85 le nombre d’assassinats. Parmi les victimes figurent surtout des nazis de la première heure : Ernst Röhm, chef des SA, Kurt von Schleicher, Karl Ernst, Gregor Strasser,… mais aussi des opposants catholiques : Erich Klauser, secrétaire général de l’Action catholique, Edgar Jung, autre dirigeant de l’Action catholique, Adalbert Probst, directeur national de l’Association sportive des Jeunesses catholiques, Fritz Gerlic, directeur de l’hebdomadaire catholique Der gerade Weg.]
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Ceux qui mènent une politique immigrationniste irresponsable, alors que le budget de la France est calamiteux, devront être traduits devant le Tribunal de l’Histoire. Quand on n’a pas assez à manger pour dix personnes dans une famille, on n’invite pas à sa table une centaine d’autres. Ou alors, c’est que la famille et les invités se sont convertis au Christianisme et qu’ils croient à la multiplication des pains et des poissons ! Dans l’Islam, le Coran propose d’autres solutions : le pillage des biens pour les mécréants suffisamment idiots ou inconscients pour inviter chez eux ceux qui savent déjà que, lorsqu’ils seront majoritaires démographiquement, ils se conduiront et se comporteront comme Daech, l’Etat Islamique, en terrain conquis. Pour l’instant vos “occupants” patientent. Le temps joue pour eux et contre vous.
Car vous, hommes,
[“homo” au sens latin neutre du terme, opposé à “vir”, le mâle et à” mulier” la femme]
qui prétendez gouverner ce pays, avez en fait cédé sur tout. Et vous vous apprêtez à céder sur toutes les revendications dites culturelles, en fait cultuelles, discriminantes pour les femmes, les homosexuels, les Juifs, les Chrétiens et les athées. Malheur au peuple français d’origine ! Il subira le même sort que les Chrétiens du Moyen-Orient, athées ou pas, des habitants non musulmans de Mossoul. Mossoul était “soul”, l’âme chrétienne de l’Irak. Que reste-t-il des quartiers chrétiens ? Le Liban autrefois chrétien a été conquis aussi par le droit du ventre, le ventre des femmes que vous prétendez défendre.
L’OTAN n’est qu’un clown pitoyable et effroyable qui veut précipiter l’Europe dans le chaos le plus total pour sauver les Banques, vos banques qui se servent plus qu’elles ne servent les peuples. Elles n’ont servi à rien et ne vous ont servi à rien, ces banques, qu’il vous faut sauver sans cesse et tout le temps ! Pourtant, elles ont bien servi un Maître, un patron ? Qui ? Posez-vous la question, la bonne question, surtout !
Refusez la guerre contre la Russie.
Vous, les Socialistes, ne soyez pas, ne devenez pas le Parti par lequel la France aura perdu plus qu’une guerre !
Son droit à rester une nation, à continuer d’EXISTER.
Qu’est-ce que le racisme ?
C’est croire que les terres habitées par les Blancs sont meilleures que les terres habitées par les Blacks ou les Beurs.
Donc c’est de croire que la race blanche est supérieure aux autres races !
Et qu’il vaut mieux aller vivre avec vos Maîtres sans grâce détestés mais compétents plutôt que rester avec vos frères de race adorés mais débilitants. La faute à qui ?
Osez DIRE et ECRIRE la VERITE de votre siècle !
Si votre pays est au bord de la faillite, comment pouvez- vous “IMPOTS-ser” aux contribuables français le prix d’un accueil immodéré d’étrangers qui seraient mieux employés chez eux à sauver leur propre pays, plutôt qu’à venir chercher du secours chez ceux qu’ils accusent de tous leurs maux sur cette terre ?
Si leur voyage est une galère, l’avenir de la France va ressembler à ces “thrillers” qui vous donnent la chair de poule, quand tous les poils de votre peau se hérissent d’horreur devant les crimes commis par des tueurs sans pitié, comme ces charcutiers qui sont les rentiers de la souffrance animale, avant de devenir les bouchers halal de la désespérance humaine.
Non, ne m’associez pas à cet humanisme nauséabond d’un monde moribond, le vôtre.
Le socialisme est mort, vive le fascisme !
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[Paul RICOEUR, s’il vous plaît, un mot “optimiste” pour notre Président de la République ?]
Etre seul, c’est se savoir unique.
De Paul RICOEUR pour Emmanuel MACRON