Et il vous suffira de chercher qui est le loup, à défaut de savoir où le trouver.
Mais comment trouver le loup, gens de rien, gens sans biens, gens sans terre, si vous ne savez pas identifier celui qui vous veut manger ?
Aussi je vais vous raconter comment le loup procède pour vous guérir de tous vos maux.
A son procédé, vous le saurez reconnaître.
Ecoutez bien ce qui va suivre, si vous vous dites Français, peuple équin épris de liberté et des chevaux qui en sont le symbole, et qui, autrefois, étiez les meilleurs cavaliers du monde !
[Les Gaulois, “nos ancêtres les Gaulois”, étaient recrutés par les Romains parce qu’ils étaient les meilleurs cavaliers du monde. La FONTAINE m’autorise cet ajout “culturel”, si tant est que vous vous sentiez l’âme d’un Gaulois, c’est à dire d’un Français.
C’est pour cette raison, parce que les Français adorent les chevaux, qu’il y a tant de clubs équestres en France, “dans votre France de “voitures sans chevaux” mais dont la puissance est estimée par rapport à ces nobles bêtes”. Car, oui, n’en déplaise aux révisionnistes de tous genres, à la solde de “”vos ennemis” qui veulent vous “tuer””, l’âme de la France n’est pas morte et se réincarne, dans toutes les générations, chez ceux qui l’habitent et qu’elle habite, pas chez ceux qui la visitent et l’irritent par leur manque de respect envers elle”.]
_____________________________________________________________________________
L’homme qui s’aventure hors de ses compétences s’attire à coup sûr son lot de malfaisances.
http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/chevalou.htm
| LE CHEVAL ET LE LOUP
Un certain loup, dans la saison
Que les tièdes Zéphyrs ont l’herbe rajeunie,
Et que les Animaux quittent tous la maison,
Pour s’en aller chercher leur vie,
Un Loup, dis-je, au sortir des rigueurs de l’hiver,
Aperçut un Cheval qu’on avait mis au vert.
Je laisse à penser quelle joie !
Bonne chasse, dit-il, qui (1) l’aurait à son croc (2).
Eh! que n’es-tu Mouton ? car tu me serais hoc (3) :
Au lieu qu’il faut ruser pour avoir cette proie.
Rusons donc. Ainsi dit, il vient à pas comptés,
Se dit écolier d’Hippocrate ;
Qu’il connaît les vertus et les propriétés
De tous les simples de ces prés,
Qu’il sait guérir, sans qu’il se flatte,
Toutes sortes de maux. Si Dom Coursier (4) voulait
Ne point celer (5) sa maladie,
Lui Loup gratis le guérirait ;
Car le voir en cette prairie
Paître ainsi, sans être lié,
Témoignait quelque mal, selon la Médecine.
J’ai, dit la bête chevaline,
Une apostume (6) sous le pied.
Mon fils, dit le Docteur, il n’est point de partie
Susceptible de tant de maux.
J’ai l’honneur de servir Nosseigneurs les Chevaux,
Et fais aussi la Chirurgie.
Mon Galant ne songeait qu’à bien prendre son temps,
Afin de happer son malade.
L’autre qui s’en doutait lui lâche une ruade,
Qui vous lui met en marmelade
Les mandibules et les dents.
C’est bien fait (dit le loup en soi-même fort triste)
Chacun à son métier doit toujours s’attacher.
Tu veux faire ici l’Arboriste (7),
Et ne fus jamais que Boucher. ]
Jean De La FONTAINE – Livre V, Fable VIII
Cette fable vient d’Esope “L’âne et le loup”
(recueil Névelet) ;
D. Loayza traduit la fable d’Esope sous le titre :
“Le loup médecin” et la morale :
“Quand on se mêle de ce qui ne vous regarde pas,
on essuie à juste titre des revers”
(Esope, traduction D. Loayza, Flammarion)
Ici, le loup utilise la ruse au lieu de la force, il utilise le
boniment comme les charlatans. Il dégage lui-même
la leçon : “A chacun son métier”.
(1) pour qui
(2) crochet auquel on suspendait la viande
(3) tu serais à moi (allusion à un jeu de cartes où
l’on dit “hoc” en jetant sur le tapis les cartes qui font gagner)
(4) titre d’honneur “seigneur cheval”
(5) cacher
(6) une tumeur, un abcès
(7) l’herboriste
_________________________________________________________________
Ainsi vont les loups et font les loups qui vous promettent de vous guérir de votre argent pour mieux vous le voler.
Mais, si le cheval s’est défendu d’un bon coup de sabot, « tel est pris qui croyait prendre ! »
[morale d’une autre fable intitulée « Le rat et l’huître »],
force est de constater que vous, les Français, vous ne savez plus, ni monter à cheval, ni vous défendre contre la cabale des loups, ceux qui vous prennent tout :
– de gré, par ruse,
– ou de force, par contrainte usurière ou par politique de la terreur, la terreur mahométane.
A-t-on jamais vu un Roi confier la garde de ses prisonniers aux voleurs et aux coupeurs de route ?
Pourtant, Français de ce siècle, vous avez confié la garde de votre fortune à des banquiers, c’est à dire à ceux-là même qui en veulent à votre argent et qui volent votre argent,
– à ceux-là même qui en veulent à vos biens et qui volent vos biens, tous vos biens publics et privés.
Sous prétexte de vous soigner, vous trouvant trop obèses, et les régimes amaigrissants étant à la mode, vous voilà tous à la diète !
Une cure d’amaigrissement, une cure de cheval, un remède de cheval qui vous tue !
La cure d’austérité.
Mais, bonnes gens, qui vous a rendus malades ?
Un banquier ne pouvait qu’être le président de votre République « fripournelle » plus que fraternelle, sinon qui d’autre aurait pu l’être ?
[ « fripournelle » : Association de malfaiteurs qui réunit « fripons » et « ritournelles », termes usités au XVIIe siècle]
Dictionnaire de L’académie française (8 ème édition)
RITOURNELLE
n.f.
Courte phrase musicale dont on fait précéder chaque couplet d’une chanson.
Cette ritournelle ne convient pas au chant.
Il se dit familièrement par extension et dans un sens ironique, d’une idée à laquelle quelqu’un revient sans cesse, d’un propos qu’il répète à satiété, d’une réponse qu’il fait toujours la même.
« Il a parlé longtemps pour dire toujours la même chose; c’est toujours la même ritournelle. »
Read more at http://www.notrefamille.com/dictionnaire/definition/ritournelle/#rwyeuivpBe8yqOQi.99
______________________________________________________________________________
« Il a parlé pour ne rien dire, ajoute le fabuliste, votre fabuleux président, le Roi des Grenouilles, et vous l’avez cru ! Quelle est cette magie qui opère sur vous, de vous faire accroire que l’on puisse changer une dette en argent, en espèces sonnantes et trébuchantes, quand c’est une espèce de fausse dette, une dette de rien fondé sur du vide, dette créée par la tromperie et la rouerie de vos financiers. Vos banques sont vides. Elles n’ont plus d’argent. Elles vous vendent du vent qui va devenir tempête, la tempête du XXIe siècle ! »
[ […] « Tromperie » comme la « tromperie » des laboratoires pharmaceutiques, le grand scandale de votre siècle :
B. − Vieilli. Illusion, fausse apparence, mensonge. La médecine industrie consiste en une tromperie perpétuelle et des mensonges périodiques (Cl. Bernard, Princ. méd. exp., 1878, p. 183).]
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/tromperie
La ritournelle de la dette vous prend la tête. Vous êtes tous bien embêtés, vous, les Français de ce siècle dits endettés, et pas l’un d’entre vous ne pense à demander des comptes à ceux qui tiennent les comptes.
Et si la dette n’était que mensonges ?
Une dette factice créée de toutes pièces par des banquiers au moment propice d’une mondialisation sauvage pour vous abattre, vous, les nations et les peuples ?
Est-il sage de rembourser ce que vous ne devez pas payer ?
Vous avez répondu, « – Oui !», fiers Français, et vous vous êtes vendus, rendus au boniment de charlatan et de « boursicoteur » de vos persécuteurs.
Quelle est cette grande Bourse qui vous prend toutes vos économies et vous vole tous vos biens ?
Comment avez-vous pu gober le discours du héron qui se fait passer pour un héros, vous, petites grenouilles, qui vouliez un Roi, un sauveur ?
[Jean De La FONTAINE fait référence à son autre fable, « Les Grenouilles qui demandent un Roi »]
Seul un Roi est attaché aux biens de son pays, de sa terre.
Un Roi sans royaume n’est plus un Roi.
Comme un banquier sans argent n’est plus rien.
Par contre, un Roi sans argent, s’il a ses gens avec lui, peut tout.
Dans le Royaume de France, les nourritures terrestres sont abondantes.
Au royaume de l’argent, la pourriture barbaresque est puante et tuante.
Que ferez-vous, Messieurs les Français, quand vous aurez tout vendu aux Anglais, à leurs cousins d’Amérique et aux Teutons ?
Mangerez-vous vos enfants, vous qui serez plus pauvres que Job sur son tas de fumier ?
Ou dévorerez-vous vos billets de banque, accommodés à quelque sauce exotique, arrosés d’un pétrole qui durcit vos âmes et noircit vos actions ?
En Bourse ou pas, vous n’êtes plus dans la course, peuple de France, simple piétaille et valetaille.
Que mangerez-vous quand vous aurez vendu toutes vos terres agricoles et que vous n’aurez plus d’argent, vous, les Français, peuple qui se rit de tout et rigole d’un rien ?
Il vous faudra importer votre riz, puisque vous n’aurez jamais plus de pain, symbole de la France chrétienne, votre France dont vous détestez aujourd’hui la religion.
Nouveaux Africains de ce siècle, vous serez et vous ferez comme les Africains qui vous assiègent et qui se sont soumis à une autre religion, laquelle de tous temps les a « esclavagisés », la religion mahométane :
– Vous irez et vous errerez, immenses troupeaux de bétail humain, à l’aventure, chercher non plus fortune, sort réservé aux nouveaux Maîtres « milliardaires » de votre nouveau monde sans frontières, mais vous chercherez une pâture pour brouter de l’herbe comme vos vaches, s’il en reste, ou boire de l’eau croupie et nauséabonde qui vous fera mourir, pas assez vite à votre goût.
Vous envierez le sort de vos animaux domestiques quand vous en aviez ou regretterez de ne pas avoir mangé vos chiens, quand vous en aviez.
Moins bien traités que vos animaux domestiques par vos nouveaux maîtres sadiques, vos organes serviront leur science qui est de conserver leur jeunesse grâce à ceux qui trépassent.
Alors vous comprendrez que, sans terre, un peuple n’est plus rien.
Mais vous aurez bu, jusqu’au bout !, la potion du médecin Diafoirus, le remède de cheval dont s’est moqué l’ami MOLIERE, mon ami, potion qui vous aura tués.
L’AUSTERITE !
Le remède de votre siècle :
– Mangez moins pour coûter moins !
Coûter… moins cher, qu’importe si votre chair est faible, ou plutôt tant mieux pour vos Maîtres qui vous préfèrent sans force, sans force de résistance.
– Recevez moins d’argent, mais plus de coups, pour être RENTABLES !
Ce qui est toujours profitable pour vos exploiteurs, les tueurs du peuple français.
Quel tour pendable que celui joué au peuple de France, les « vilains » qu’il faut abattre, pour pouvoir conquérir les terres de France tant convoitées par des financiers qui n’en sont pas, eux, des Français !
Il faut vous battre, les combattre de toutes vos forces.
Mais le pouvez-vous ?
Puisque vous ne le voulez pas.
Petites et sottes gens, vous ne voyez que par le bout de la lorgnette les quelques économies qui vous sont promises,
– des sornettes !,
en échange,
– un marché de dupes !,
de quelque argent, si peu !,
-
contre votre liberté et vos droits à habiter, RESTER sur le sol français où vous êtes nés, parfois, de plus en plus rarement, depuis plusieurs générations.
Car enfin, si vous trouvez logique, parce que vous n’avez plus d’argent, d’en avoir encore moins qu’avant, gens de France, autrefois avisés et d’une extrême méfiance, c’est que vous méritez votre sort.
Votre sort d’esclaves taillables et corvéables à merci !
Montez sur l’âne, l’animal qui vous ressemble le plus à ce jour, ou portez-le, peu m’importe !
[Jean De La FONTAINE fait référence à sa fable « Le Meunier, l’âne et son fils »]
Le plus âne des trois n’est pas celui qu’on pense !
Gens pédestres, sans plus de dextérité équestre, avec vos voitures sans chevaux, croyez-le ou non, vous êtes tous devenus des ânes.
Il n’est pas donné à n’importe qui de faire partie de l’ordre équestre, anciennement français.
Vous avez raison, de la raison qui mène et ramène les bourricots vers leur Maître, et qui s’énonce ainsi :
– une vie de servitude sans grandeur, une vie d’horreur à servir ses bourreaux, par habitude et par lassitude.
Vous ne faites même plus partie de la maison de vos Maîtres.
Comme en mon temps !
Quitte à dormir par terre dans la ruelle.
Même un âne refuse de servir un Maître qui le maltraite.
Pourtant vous le faites et si bien !
Vous le soutenez dans ses mauvaises actions, ce Maître, contre votre peuple de France.
Traîtres à votre propre cause, quand le Maître cause, vous vous agenouillez, ayant perdu votre foi en Dieu, ne croyant plus qu’en l’homme, un homme trompeur et menteur.
Lui, le cheval, il réserve son coup de sabot à l’imbécile qui se croit supérieur à lui, cet homme qu’il domine par la taille et par l’intelligence.
Vous devriez monter plus souvent à cheval, pour prendre de l’altitude et retrouver votre noblesse d’antan.
Tout est à l’encan, les hommes et les terres dont ils étaient propriétaires et sont, les premiers, à en être dépossédés par votre « Maître mot », le mot « profit », le mot de vos Maîtres.
Avant, oui, avant, de mon temps qui devrait être encore votre temps, le mot « profit » s’utilisait dans ce sens :
– « Mettre sa vie à profit pour être au service des autres ! »
C’était le sens même de la mission des hommes d’Etat, le sens même et sacré de la mission du Roi, le Roi de France.
Changez d’attitude !
Ou mourez.
Mourez sans espoir, de désespoir, sans savoir pourquoi vous vivez et avez vécu, enfermés dans un monde virtuel qui vous coupe des liens avec votre terre, votre monde réel.
Vous vous réveillerez, les chaînes aux pieds, les poignets entravés, sans vos écrans qui vous bercent d’illusions, dans un monde cruel, celui que vous avez laissé bâtir, à force de le fuir dans votre monde « virtuel ».
“A force” ?
Quelle force ?
Vous êtes méprisables et donc justement méprisés.
Vous ne voyez pas où ces Maîtres vous conduisent.
C’est la plus vieille ambition humaine :
– devenir le Maître du monde !
Ils veulent tous devenir les Maîtres du monde.
Grâce à vous !
Unissez-vous, gens de la terre de France, votre espérance !
Unissez-vous, sous la bannière, la bannière de vos quartiers pour défendre vos villes !
Car vous avez oublié jusqu’aux privilèges qui vous étaient déjà accordés du temps des anciens Rois de France.
[Petite recherche historique, après avoir buté sur le sens du mot « bannière » et plusieurs « NON » de Jean De La FONTAINE !, j’ai enfin trouvé, « je crois », ce qu’il voulait dire et qui a un rapport avec la taxe d’habitation et son opposition à sa suppression :
[ […] P. ext., terme d’anc. dr. coutumier.Ensemble de personnes habitant dans un quartier. Chef de bannière. Capitaine de quartier dans une ville (Besch. 1845, Lar. 192. Dans les sept quartiers de la ville nommés bannières, parce que chacun avait son drapeau et ses couleurs, les citoyens [de Besançon] choisissaient tous les ans vingt-huit notables qui, à leur tour, nommaient quatorze personnes deux par bannière, pour former la magistrature de l’année. A. Thierry, Essai sur l’hist. de la formation et des progrès du Tiers-état,1853, p. 337.]]
Citoyens des villes, regroupez-vous sous la bannière de vos Maires et protestez contre la suppression de la taxe d’habitation !
Le piège de votre Président est habile. Mais l’avait-il compris lui-même, incapable de raisonner autrement que comme il a été formé, “désinformé” et “formaté”, selon votre dire d’aujourd’hui, comme un banquier ?
Plutôt que de demander au patronat, gens qui ne sont déjà plus de votre Nation, la France, mais restent vos Maîtres, d’augmenter vos salaires, l’Etat français, votre Président de votre République maçonnique (sic) va vendre votre droit à habiter sur des terres françaises, un droit reposant sur la contribution publique pour vous faire taire, droit vendu (la suppression de l’impôt local comme “localiser“) contre l’acceptation de la baisse de vos salaires (l’autorisation de supprimer des emplois, vos emplois comme “délocaliser“).
Et combien de temps pensez-vous que vous serez exonérés d’impôts ?
Ce qui vous donnera pendant peu de temps la brève illusion d’avoir un peu plus de pouvoir d’achat, si peu au regard de ce que vous réserve votre avenir de serfs !
Car un autre impôt viendra remplacer cet impôt.
Mais ce nouvel impôt ne vous créera pas de droit, dans tous les cas, plus le droit d’administrer avec votre défunt Maire, puisque le mandat de « maire » va disparaître, la ville ou le village que vous aurez choisi d’HABITER.
Pour habiter, il faut payer la taxe d’habitation à sa ville ou à son village, c’est à dire votre commune qui est une COMMUNAUTE de lieu et de vie au sein de la nation française.
Sans cette taxe, la taxe d’habitation, n’importe qui, n’importe comment pourra venir s’installer dans votre ville ou dans votre village.
Vous n’aurez plus votre mot à dire.
Il n’y aura plus d’ « HABITANTS » à proprement parler.
Seuls les plus riches pourront se réclamer de ce « titre » honorifique, lesquels dirigeront vos COMMUNES, puisqu’eux seuls continueront de payer cet impôt.
Mais ces riches ne seront pas tous des Français.
L’élection du président de votre pléthorique « communauté d’agglomérations » se basera sur le suffrage censitaire des seuls « possédants », lesquels, je vous le répète, ne seront pas forcément français.
Ainsi les étrangers pourront voter en France dans les élections municipales, parce qu’aura été coupé le lien d’habitation avec la France et ses habitants français.
C‘est une manière « diabolique »
[A prendre sous le sens premier de « qui divise »]
– de faire passer le droit des votes des étrangers en France pour accélérer son changement de population, sans référendum populaire dont le résultat était connu d’avance.
C’est « machiavélique ».
C’est le siècle des Lumières sans les Lumières de la vraie Philosophie, le siècle des Lumières franc-maçonnique, de la maçonnerie dite spéculative, importée en France par des marchands dont le « Maître-mot » fut le « profit » !
Allez-vous laisser faire, vous laisser faire ?
Allez-vous vous laisser berner à ce point par des politicards et des tricards sans vergogne ni besogne ?
Car ces gens-là, s’ils ont de l’argent, n’ont pas de besogne.
Ils sont payés à laisser faire, c’est à dire à ne rien faire.
Et surtout se taire, vous taire ce qui se passera !
Car ils le savent.
Mais s’en moquent.
Le non-cumul des mandats ?
Une berlue puisque les communes vont disparaître.
Les politicards vous présentent comme un effort d’honnêteté ce qui est pure malhonnêteté de leur part, puisque vos COMMUNES vont disparaître.
Votre Nation va disparaître, remplacée par des régions aux pouvoirs accrus, ce qui permettra de justifier les haut salaires de vos futurs présidents de ces régions gigantesques qui seront de petits « Etats » sans pouvoir réel, dans tous les cas, un pouvoir exécutif insuffisant pour vous défendre contre les Multinationales, ces Etats d’argent sans terre et sans gens dirigés par vos marchands du monde.
La terre, c’est le lien à l’impôt, celui auquel ils veulent échapper tous et tout comme vous, mais pas pour les mêmes raisons !
Vous, parce qu’ils vous ont appauvris sciemment au point de vous faire accepter de vendre vos terres et votre pays, la France, pour quelque misérable somme, deux ou trois centaines d’euros que vous voulez économiser à court-terme, le couteau sur la gorge pour nourrir et entretenir vos familles.
Eux, parce qu’ils ne veulent plus rien payer aux Etats-Nations qu’ils fortifieraient ainsi, alors qu’ils veulent leur disparition, être les seuls à diriger le monde, eux qui sont déjà les « Maîtres du Monde ».
- Vous réveillerez-vous, peuple de France !?
Sortirez-vous de votre sommeil, de votre rêve éveillé qui vous tient toute la journée, le nez sur un écran, une petite fenêtre qui réduit votre monde à une vision grotesque et singulière, vous faisant croire que tout le monde est comme vous et que vous êtes comme tout le monde ?
Même comme les plus riches !
Riches que vous défendez mieux que vous-mêmes, vous projetant sottement dans leur condition qui n’est point la vôtre !
– « Moi, à leur place, dites-vous !, j’en ferais tout autant ! Je tromperais mes frères, mon père et je garderais tout pour moi, sans rien partager, surtout pas avec les pauvres. »
Pauvres que vous êtes, de biens, d’argent et de coeur !
Combien d’entre vous deviendront aussi riches que ces milliardaires qui se pavanent et se dandinent comme des dindons dans des défilés de mode pour vous dire comment vous habiller, tout comme eux !, et dans des galas, pour vous dire à qui donner votre pauvre argent, toutes proportions gardées, tout comme eux !
Vous êtes les dindons de cette farce mondiale et vous devriez vous rappeler que, si les dindons gloussent, comme vous, peuple de France, il n’empêche qu’ils terminent tous dans la marmite du chef !
Billevesées pour gens peu avisés… que de vous faire croire que vous êtes tous « PAREILS ».
Quand un comédien pleure sur les pauvres gens, comédien payé à vous faire croire qu’il est ce que vous êtes quand il vous joue et surjoue dans des films imbéciles où les effets spéciaux remplacent l’intelligence du Créateur, il joue son rôle de… comédien !
Ce n’est jamais qu’un comédien qui pleure sur commande pour vous faire participer d’un monde artificiel, le sien, qui n’est pas le monde réel.
Lui, le comédien, après son gala de charité, va retrouver sa superbe propriété de milliardaire, payé à faire semblant d’aimer, même de vous aimer, tandis que vous, allez retrouver votre taudis misérable, convaincus qu’il vous faut donner votre pauvre argent pour des « migrants ».
Pourtant convenez avec moi que ces miséreux,
– ce que vous serez incessamment sous peu, gens sans terre,
seraient bien mieux logés chez votre comédien, fieffé coquin, que dans des centres de rétention ou des hôtels de première classe, la vôtre !
C’est à dire la condition la plus basse.
A trop tirer sur la corde, elle se casse !
Même si vous nous croyez morts, la vie renaît toujours.
La mémoire n’est pas individuelle, non !
La France éternelle existe.
Nous vous enverrons de plus en plus de messages et nous vous préviendrons contre ces projets qui visent à détruire votre pays, notre pays, la France, car ce pays fut le nôtre.
Ainsi je dénonce le « dépaysement » forcé qui consiste à couper tous les arbres de votre pays pour les remplacer par d’autres espèces d’arbres, précédant l’incendie ravageur en ravageant soi-même la végétation ancestrale et nationale de la France.
Cette rage contre la végétation, forêts, bosquets, talus, prés et champs, procède toujours du même raisonnement :
– couper le lien avec le passé !
Détruire les paysages d’antan, nos arbres magnifiques, pour faire de la France un pays comme les autres, et de préférence, aussi laid que certains pays du bord méditerranéen, du sable et des cactus, pourvu qu’il y ait les palmiers… à dattes ? Non ! A dettes, oui.
A force de passer leurs vacances au Maroc, payées par les contribuables français, nos édiles ne rêvent que de devenir marocains !
Bienvenue en Afrique du Nord !
Bienvenue en Arabie Saoudite !
Quand vous voyez que, même la Russie a transformé la décoration de ses hôtels de luxe en palais mahométans, pour accueillir, le temps d’à peine une semaine, et tout récemment, l’un des Maîtres de votre monde, le Roi d’Arabie, est-il étonnant que les actes de soumission, d’auto-censure et de bouffonneries orientales se multiplient dans tous vos pays européens et en France ?
Le Roi Louis XIV avait aimé que MOLIERE se moquât de l’ambassadeur du Grand Seigneur turc, Soliman AGA, dans le « Bourgeois Gentilhomme », d’autant plus que son propre ambassadeur avait été emprisonné, puis expulsé sans ménagements.
Mais aujourd’hui, dans votre pays et en votre siècle, pour s’être moqué d’un monarque turc mahométan, MOLIERE, mon ami, se serait retrouvé cité devant votre XVIIe Chambre Correctionnelle à Paris, antichambre de la soumission à toutes les autorités de ce monde, quelles qu’elles fussent !
Protégé par le Roi Louis XIV, que serait-il advenu de lui, MOLIERE, s’il avait ri et fait rire d’une religion qui est la plus bête au monde, sous votre Président qui se prend pour un monarque ?
Mais de quel pays est-il, ce monarque, Emmanuel MACRON ?
Un Roi ne vend pas son pays tout à l’encan.
Son intelligence supérieure ne protège pas votre Président contre ses propres préventions, c’est à dire son conditionnement de « banquier ».
Comme à notre époque, il était risqué de remettre sa vie entre les mains des médecins, à votre époque, il est très risqué de remettre votre argent à vos banquiers, ces charlatans de la dette !
[Les banques créent l’argent sous forme de dette
dimanche, 21 fevrier 2016 11:40]
___________________________________________________________________
Si votre nouveau Roi veut bien être plus sage qu’il n’y paraît à mes yeux, qu’il écoute ce message :
– Méfiez-vous, Maîtres du Monde, sans pays de la terre,
Méfiez-vous, Maîtres du Monde, sans gens de la terre,
Méfiez-vous du sabot du cheval dont le coup est toujours fatal à ceux qui oppriment le peuple de France !
Je vous aurais prévenus :
– votre peuple est grand, grand en nombre, et grand en force.
Vous l’avez berné, avec la suppression de la taxe d’habitation qui vise à casser le lien entre la terre et son peuple.
Aux marchands du monde, vous avez fait le choix de leur vendre le droit d’habiter en France par la suppression de l’impôt collectif, pour mieux vendre les terres de France et faire disparaître les derniers défenseurs commensaux du peuple, les magistrats communaux, les Maires de France.
Présents sur place, mangeant avec leurs administrés sur les mêmes terres, dans les mêmes lieux, sous les mêmes cieux, les Maires partagent le sol de leurs pairs, leurs égaux en droits qui les élisent, pauvres ou riches :
– le soleil s’il brille, la pluie si elle tombe, les problèmes tous différents de leurs compères qui ont les mêmes repères locaux.
Vous avez choisi A TORT de remplacer les Maires de France par des Présidents de Communautés d’agglomération qui sont et resteront élus grâce à un vote censitaire, non universel, qui excluera le peuple, le réduisant à une condition réelle et perpétuelle d’esclaves, « brassiers » vendant la force de leurs bras soumis au pouvoir arbitraire de riches et très lointains patrons inatteignables et donc impitoyables.
Le peuple de France encore aujourd’hui majoritaire, s’il ne paie plus l’impôt du sol, le droit d’habiter sur les terres de France, pas seulement foncièrement, perdra le droit de contester les décisions des nouveaux Maîtres du Monde qui remplaceront leurs Maires par des « affidés ».
Car contribuer par l’impôt public à la gestion de vos communes vous permet, sottes gens de France, de demander des comptes à vos maires élus directement par vous, l’avez-vous bien compris ?
Lorsque vous ne paierez plus l’impôt local, l’impôt du lieu où vous habitez, vous devrez vous taire lorsque sera construite une déchetterie à ciel ouvert, faire vos bagages lorsqu’un forage de gaz de schiste va détruire votre habitat, ou laisser faire, béats, quand de pauvres gens seront envoyés dans un camp de réfugiés en France, chez vous, dans votre village ou votre ville, amenés là, sur vos terres qui ne seront plus vos terres, à cause de guerres voulues par ces gens si riches, trop riches, pour vous chasser de vos terres de France.
Ne pas payer la taxe d’habitation, c’est renoncer au droit de gérer votre commune avec vos Maires.
C’est acter de la disparition du dernier Magistrat de proximité pour vous retrouver sous la coupe réglée des banques et des pillards.
Pour deux cents à trois cents euros par mois, en moins sur votre salaire, plutôt que d’en demander la juste augmentation à vos Maîtres esclavagistes, vous êtes prêts à vous vendre, à vendre vos familles et le futur de vos enfants, futur déjà précaire, à vendre les terres de France, vos villes et vos villages, à des fripouilles sans honneur et sans gloire.
Malheur à vous, bande d’ânes !
Le « Maître-Héron » gobe ses grenouilles sous les applaudissements du bon peuple de France.
Les patrons se réjouissent.
Ils n’auront plus de charges à payer pour vous mettre au chômage de longue durée, croyez-moi, de très longue durée !
Et si la baisse de votre salaire de misère est artificiellement compensé par la vente du droit à gérer vos communes avec votre Maire, c’est à dire la suppression de la taxe d’habitation, incessamment sous peu, vous paierez d’autres impôts qui, eux, ne vous ouvriront que le droit de vous taire.
Vous êtes aussi vénal que votre patron, mais beaucoup moins intelligent, peuple de France !
Parce que vous refusez d’entendre et de comprendre, occupés à vous amuser et à musarder sur des écrans de songes.
C’est votre drogue !
Quant à votre Président qui prétend gérer l’Europe et ne peut gérer son pays, la France, c’est pitoyable.
Comme le sont vos Maîtres du Monde qui vous expliquent qu’il est impossible de gérer un pays, mais qu’ils pourront gérer le monde.
Regardez dans quel état est votre monde !
Le remède a ses effets.
Le malade est à l’article de la mort.
Je vous le dis !
Et je ne garantis pas que cet article suffise à lui rendre la vie, la conscience de la liberté qui est conscience de la vie.
Car, pour être libres, il faut en payer le prix !
Le prix sous forme de taxes, pour être forts, plus forts ensemble, ou le prix du sang quand votre pays est envahi.
– Etes-vous prêt(e)s, Français(es), à payer le prix de votre liberté, à payer le prix pour votre liberté ?
Ou préfèrez-vous la servitude, la servitude volontaire des animaux domestiques caressés à coups de cannes pour finir chez le boucher ?
Eux s’en moquent, ces animaux familiers, tout comme vous, de savoir où ils sont nés et à qui appartient la terre sur laquelle ils souffrent.
Ils vont mourir bêtement.