Je ne sais pas pourquoi il faut que “cela” tombe sur moi, moi qui doute, moi qui ai besoin d’un temps de recul, de confirmation des “non-faits”, qu’ils deviennent des faits, des faits exacts, probants, pour écrire ensuite :
– “Ah donc, c’était vrai !”
Pourquoi ne pas avoir choisi un(e) voyant(e),
- si tant est que je sois réellement voyante !,
“crédule“, le genre qui écrit de suite tout ce qui lui est dit, sans même chercher à savoir ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas, sans même vouloir mesurer les conséquences de ses paroles sur les personnes qui le ou la liraient ?
Non, Seigneur, tu n’aurais pas dû me choisir moi !
Tu t’es trompé de personne.
Aujourd’hui je suis en colère, en colère contre moi-même et en colère contre ce “don” qui m’empoisonne la vie.
Car “dire”, c’est prédire ce qui n’est pas encore arrivé, donc c’est mentir pour la justice.
Puisqu’il n’y a aucune preuve à pouvoir donner, surtout si ces preuves ne sont pas cherchées dans la bonne direction.
Pire, aujourd’hui, avec un droit de la presse qui oppresse les lanceurs d’alerte et les “diseurs de bonne aventure”, même dire la vérité, si cette vérité dérange, surtout si cette vérité dérange, c’est injurier, injurier ceux qui font du mal aux innocents, qui font le mal et ne veulent pas que “cela” se sache.
Car traiter de voleur un voleur, aujourd’hui, c’est injurier, l’injurier.
Allez traiter de voleur votre banquier qui vous prend de l’argent parce que vous n’en avez plus !
Système de pénalités ne s’appliquant qu’aux pauvres gens.
Mais vous allez en justice, ma bonne dame !
Ou allez traiter de “voleur” un élu qui a commis quelques “indélicatesses” non condamnées par la justice, une justice française à l’égal de sa république “bananière”, infiltrée par la crapulerie maçonnique qui n’est fraternelle que pour les copains de la bande de coquins !, mais vous serez condamnée, ma bonne dame, si vous n’y prenez point garde, trois petits points obligent !
S’il n’y a pas eu de condamnation,
– pour des raisons que tous les Français connaissent aujourd’hui et ont déjà expérimentées, le trafic d’influences et la prévarication ambiante,
aucun administré, aucun citoyen (masculin qui est l’ancien neutre latin, je le précise pour les adeptes de l’orthographe inclusive) ne peut “alerter” sur la corruption de sa ville, de son département bientôt disparu ou de sa région en cours de disparition, encore moins de sa nation en dissolution, aucun Français ne peut alerter ses compatriotes sans endurer l’inique condamnation des pilleurs de biens nationaux.
– “Je vais vous traîner en justice et je vous prendrais tous vos biens, vous qui êtes déjà misérable ! Je vous rendrais moins que rien, vous qui n’êtes déjà plus rien !”
Menaces proférées à mon encontre si souventes fois, trois petits points.
Aujourd’hui il faut juste écrire “il fait beau” ou “il pleut”, et encore !, après avoir pris bien soin de vérifier que les commerçants du coin ne vont pas vous attaquer en justice pour oser avoir écrit qu’il pleuvait, ce qui aurait fait baisser la fréquentation saisonnière touristique du coin, parce que vous l’aviez annoncé dans le “Bon Coin”.
Non, en France, aujourd’hui, il n’est plus permis de rien dire, sinon “Tout va bien !”.
Je me demande comment vont faire les historiens plus tard pour écrire l’Histoire de France”.
Il y aura sans doute un organisme officiel chargé de rédiger et de publier l’histoire “officielle”, après avoir pris soin d’effacer toutes les données susceptibles de venir contredire et contrarier fâcheusement une histoire qui veut nous faire accroire que l’Histoire de France n’existe pas, n’a jamais existé et donc ne doit pas exister.
Nous n’existons plus, Françaises, Français !
Sachez-le.
Il nous faudra apprendre l’histoire du monde, un monde sans cesse en perpétuel mouvement, en “migration”, sans repères, où le troupeau de bêtes que nous sommes tous en train de devenir cherchera un ou des repaires pour pouvoir au moins y dormir tranquille une nuit, rien qu’une nuit, la longue nuit de la marche de l’humanité vers l’obscurantisme religieux.
Qu’il ne faut pas nommer, non, non et non !
Donc voilà pourquoi je suis en colère.
Parce que ce n’était pas dicible mais que j’aurais dû le dire, quand même.
Dire que le Seigneur m’avait dit, il y a environ deux semaines, juste “ça”, cette petite phrase de rien du tout :
– “Ecris : – “Il va y avoir un élément probant dans l’affaire Maëlys“”
– “C’te bonne blague”, comme dirait mon pote COLUCHE, un de mes visiteurs qui n’en est plus un depuis longtemps, puisqu’il est devenu un très proche ami de la famille.
– “C’est ça, Seigneur, je vais écrire, moi, qui ne suis rien du tout, un truc sans importance, cette phrase qui ne contient aucun élément concret et qui n’aide donc pas à la recherche de Maëlys, genre : – “Il va y avoir un élément probant”.
Non, bah non. Je n’écrirais pas “ça”, non.”
Et je ne l’ai pas écrit.
J’imaginais sans peine la personne me lisant :
– “Il va y avoir un élément probant qui va être connu du grand public”.
Cette personne pensant, tout, comme moi, je l’aurais pensé :
– “Oui, et alors ? Autant écrire : “Le soleil se levera le septième jour”.”
Non ?
Seigneur, donne-moi plutôt l’adresse du kidnappeur, non pas celui qui a enlevé l’enfant, mais celui qui la cache.
Là, je pourrais “peut-être” Te “croire” et l’écrire.
Quoique…
Je ne pourrais pas m’empêcher de chercher à vérifier l’information.
Et ensuite j’écrirais, une fois que la police aura trouvé par elle-même le kidnappeur, que je le savais.
Ce qui n’aide pas, je l’admets.
Je l’ai déjà expliqué mille fois :
– “Je n’ai pas la foi, la foi du charbonnier. Je suis pire que Saint-Thomas. Même T’ayant vu, si c’était bien Toi et non pas le fruit d’une imagination malade, je doute toujours. Même ayant vécu avec Toi, si c’était bien Toi et non pas le fruit du “dieu-hasard”, le dieu des francs-maçons, je doute encore. J’irais sans doute en Enfer. Je n’ai guère de doute sur le sujet. A cause de mon manque de foi.”
C’est d’ailleurs ma seule prière au quotidien :
– “Pardonne-moi mon manque de foi ! Et donne-moi un signe.”
Encore et encore, encore et toujours.
Pas vous ?
Je doute d’autant plus que, vous écrire, si vous me lisez, c’est vous entraîner à ma suite dans une histoire d’amour dingue pour un type mort sur une croix qui se faisait passer pour un Dieu !
En plus, le type, s’il était en France maintenant, il se ferait contrôler par la police tous les quarts d’heure au moins.
Il est en France, d’ailleurs !
Ce que je peux être conne, parfois.
Puisqu’Il est vivant et bien vivant.
Un peu trop à mon goût et des fois, pas assez.
– “Donne-moi un signe !“
Donne-moi un signe PROBANT sur l’affaire Maëlys, par exemple.
Non, ce n’est pas du chantage, pas du tout.
Hein, que vous ne Le faites jamais “chanter” ?
De toute façon, vous Le chantez de moins en moins en France.
Il est devenu un “migrant” dans Son propre pays autrefois chrétien.
Et la chasse aux migrants est ouverte.
Je suis sûre que Tu as passé la frontière, Seigneur, sans papiers, comme d’hab.
Pas bien !
Pas bien du tout.
La frontière de la vie et de la mort, bien sûr.
Et vice-versa.
Moi, je voudrais juste savoir où est Maëlys, s’te plaît !
Allez quoi, dis-le moi !
Vous ne voulez pas le Lui demander avec moi ?
– “Jésus, dis-nous où est Maëlys ? Dis-nous qui a enlevé la petite fille et qui la détient prisonnière ?”
Le Seigneur, mon beau brun sémite aux yeux marron ambré, me répond :
– “Pourquoi Me demandes-tu ce que tu sais ? Tu sais qui a enlevé Maëlys. Vous le savez. Maintenant à toi d’écrire les éléments reçus, sans pouvoir les vérifier pour l’heure, soit. Mais écris ! Le feras-tu ?”
Non.
Gloups…
Je bois la tasse.
Je ravale ma fierté.
J’évalue le risque.
Pas seulement le risque pour moi, un risque juridique, dans une France où même écrire qu’il pleut n’est plus possible.
Un risque de blessure, de blessure psychologique et morale pour des parents en grande souffrance.
Le Seigneur me répond : – “Un risque aussi de ne pas donner des éléments non exploitables pour l’heure, puisque cachés, un risque qui entraîne une stagnation de l’enquête.”
Et surtout JE NE DOIS PAS OUBLIER CE QU’IL M’A DEMANDE DE VOUS DIRE, et là je prends le risque “fou” de vous le dire :
– “Il va y avoir un autre enlèvement d’enfant pour le mois prochain. Il ne faut pas que ce soit un enlèvement. Il faut que ce soit une “tentative d’enlèvement“. Sinon l’enfant ne sera JAMAIS retrouvé. Car les prédateurs ont tiré les leçons de l’affaire Maëlys.
Si l’enfant passe la frontière, lui, il passera la frontière de vie à trépas, très rapidement. Est-ce ce que vous souhaitez ?”, vous demande le Seigneur.
– “Pourquoi le mois prochain, Seigneur ?”
– “Halloween” fut la réponse du Seigneur.
“Vous avez affaire à des gens malades, des pervers qui ont ritualisé des pratiques déviantes. Il se raccrochent à une religion qui les déculpabilise et, pour eux, donne un sens à leur vulgaire commerce. Car il ne s’agit que d’un commerce, d’un trafic d’enfants, de “petits animaux”.”
– “Si vous voulez savoir qui sont les trafiquants d’enfants, cherchez l’argent ! Le rabatteur a déjà été payé.
Une somme d’argent énorme qui explique son silence et celui, ajoute le Seigneur, de certains membres de sa famille.
Une vidéo circule actuellement sur les réseaux pédophiles, une vidéo mise en vente. LA CHERCHEZ-VOUS ?, accuse le Seigneur, ou vous contentez-vous de poursuivre une enquête comme s’il ne s’agissait que d’un vol matériel ?”
Cette vidéo a d’autant plus de valeur que l’enfant qui “joue” dans la vidéo un rôle contraint et forcé est “connu”. Plus le danger est grand que l’enfant soit reconnu, plus le prix est apprécié en fonction du risque par les réalisateurs de ces jeux de rôles et plus le prix de ces vidéos est élevé. Le prix est aussi en fonction de la beauté de l’enfant, comme pour le marché aux esclaves de Daech.
– “Vous avez dénoncé le marché aux esclaves des Jihadistes mais vous avez “oublié” que vous êtes vous-même une civilisation de pourvoyeurs d’esclaves, accuse le Seigneur, des esclaves qui sont souvent des enfants pris à leurs parents avec ou sans leur consentement, si tant est que prendre leurs enfants aux pauvres gens qui les vendent, puisse être considéré comme participant d’un consentement libre et éclairé.
Etre un marchand d’enfants, sous prétexte d’adoption et/ou de libération sexuelle, c’est être un esclavagiste, dit le Seigneur. Je n’aurais pas pitié de ceux qui n’ont pas pitié des pauvres gens. Je n’aurais pas pitié de ceux qui n’ont pas pitié des enfants pris, violés et tués pour assouvir leurs appétits affectifs et sexuels.
– Ecris ce que tu as vu et advienne que pourra, en fonction d’investigations qui devraient être menées sur les circuits de l’argent, moins occultes que leurs pratiques, et les complicités au sein de la police, de la justice et du milieu politique local jusqu’au niveau international !
Vous défendez les femmes, mères de vos enfants et de vos futurs enfants. Quand défendrez-vous réellement les enfants ? Le harcèlement sexuel est devenu un fléau parce qu’il n’y a plus de limites morales dans le comportement humain, pas plus qu’il n’y a de frontières nationales dans votre pays. Les trafiquants franchissent tous les interdits et toutes les frontières.
Vous autorisez toutes les transgressions et vous vous plaignez ensuite de toutes ces agressions contre vos femmes et vos enfants. Mais les agresseurs sont souvent les mêmes hommes. Et l’étranger n’est pas celui qui vient de loin, mais celui qui est étranger à la condition humaine, l’homme pourri par sa richesse dans un corps social corrompu et gangréné par la cupidité et la convoitise.”
Donc je vais devoir écrire ce que j’ai vu, écrire peut-être,
– je le souhaite de tout mon coeur !,
pour qu’il n’y ait pas d’autre enfant enlevé pour le mois de novembre et les fêtes d’Halloween, ces fêtes païennes récupérées par l’Eglise catholique pour en faire la Toussaint, puis réintroduites sous leur forme superstitieuse par les Anglo-saxons.
Le MAL existe.
LUCIFER lui-même, l’Archange rebelle, dit que le MAL est impossible à comprendre.
– “Il est“.
Il est comme le trou noir de notre univers terrestre.
Nous posons-nous la question de savoir pourquoi les trous noirs existent ?
Ils absorbent toute la lumière et toute la matière… visible.
J’ai repris la carte routière.
Et j’ai pisté.
L’A43, je la remonte, très facilement et très rapidement.
Puis je prends ensuite tout droit, toujours tout droit, l’A41.
C’est comme un tapis magique, tout se déroule vite, en souplesse, sans acrocs.
Jusqu’à…
Je lève les yeux pour lire le nom de la ville atteinte :
– Genève !
Surtout “l’aéroport international de Genève”.
Je sais qu’un avis de recherche pour Maëlys a été envoyé à la Suisse pour Genève.
Je viens de le vérifier.
Un simple avis de recherche, car les frontières sont ouvertes et la vie d’un enfant a moins d’importance que la circulation des véhicules sur les autoroutes.
Il ne faut pas retarder les “trafics” sur les autoroutes.
Il est quasiment devenu interdit de contrôler des voitures et des bus sur les autoroutes, sauf quelques contrôles aléatoires pour amuser et distraire le bon peuple de France, faire semblant, ou embêter la Catalogne espagnole qui veut son indépendance.
Le savez-vous ?
Les contraintes économiques, le “toujours plus de profit” ne permettent plus aux forces de l’ordre de “s’amuser” à bloquer des files de véhicules pour fouiller les coffres et identifier les passagers des conducteurs qui prennent les autoroutes.
Il faut aller vite, encore plus vite, toujours plus vite, livrer de la drogue, des armes ou des humains !, putes, enfants volés, migrants économiques, peu importe, si le trafic paye !
Toutes sortes de trafics.
L’autoroute ne s’est pas ouverte pour les citoyens européens.
Elle s’est ouverte pour les trafiquants, tous ceux qui “travaillent” pour les “ripoux” que vous avez élus et qui veulent aussi plus d’argent, encore plus d’argent, toujours plus d’argent !
La suppression des contrôles aux frontières a causé une augmentation des trafics criminels dans tous les pays européens.
Les autoroutes sont devenues les boulevards du crime en Europe.
Et ?
Les Etats-Nations, voués à disparaître, dirigés par des exécutants chargés d’exécuter leurs nations, incapables de vous défendre, suppriment les contrôles aux frontières, diminuent les présences policières, douanières et militaires, permettant ainsi à la “Pieuvre” maçonnique de faire exploser l’ordre social, de le faire imploser, pour imposer un autre ordre “asocial”, sans “société” au sens commun du terme, mais avec des micro-sociétés de moins en moins visibles, élitistes et tristes, des sociétés secrètes qui s’enferment dans l’invisibilité et s’enfoncent dans le négationnisme culturel, le parricide suprême, la mort du “Père”.
Genève !
Et son aéroport international.
Je revois cette petite pièce, sans fenêtre, où étaient gardées trois ou quatre gamines.
Parfois un ou deux gamins.
Pour elles, c’est comme une aventure, un film dont elles sont devenues les héroïnes.
C’est super !
Elles apprennent leur rôle, sont appelées “individuellement”, les unes après les autres.
Rarement ensemble, en tous cas, je ne les ai pas vues partir ensemble… et revenir.
Elles doivent se taire, si elles veulent prouver qu’elles savent jouer un rôle, jouer ce rôle qui est le leur, le rôle de l’héröine.
C’est ce qui avait été le plus dur pour Mélissa RUSSO et Julie LEJEUNE.
Les petites filles sont mortes, en en voulant à leurs parents.
Non pas qu’elles se sentaient abandonnées par eux, mais parce qu’elles avaient participé d’une sorte de “film”, de scénario où elles devenaient à leur tour, des femmes, de “vraies” femmes, à la seule condition qu’elles ne regrettent pas leurs parents et qu’elles se taisent…
Manipulées mentalement, “dressées” (“to dress” aussi, habillées ou déshabillées) pour plaire, plaire à des hommes d’affaires, à des gens riches qui ont les moyens de se payer, pour se distraire, de vraies “poupées”, des poupées humaines, les petites en avaient oublié qu’elles étaient des enfants.
De fragiles enfants dont il est si facile de se défaire !
Le monde des adultes n’est pas celui des enfants.
S’il y a bien une dimension de l’interdit dans la pédophilie, c’est la dimension physiologique.
Mais quand “on” baise avec des animaux et comme des animaux, comme des “bêtes”, pire que des bêtes, puisqu’aucune bête ne fait l’amour avec ses “petits”, “on” ne s’arrête pas à ce type de considérations.
“On” tue pour le plaisir !
“On” jouit du plaisir de tuer.
“On” tue l’innocence et l’innocent.
Et “on” baise le cul de SATAN.

S’il est interdit dans la Bible de se montrer nu(e) à ses propres enfants, ou de montrer sa nudité aux autres hommes et femmes, une autre religion qui se prétend du même Livre ose cautionner la pédophilie à cause du déviationnisme sexuel d’un prophète sénile devenu débile après la mort de sa femme, Khadija.
“On”,
– ce “on” humain qui rejoint le “ça” freudien, et qui n’a honte de rien,
“on” aime cette religion qui autorise le pire et prétend être la meilleure !
Parce qu'”on” aime pouvoir faire tout ce qui est interdit par la religion du Livre, telle est la vérité, l’exacte et seule vérité.
C’est ainsi que cette religion mauvaise séduit les plus crapuleux, puisqu’elle autorise toutes les licences et brisent toutes les innocences.
Née dans le soleil et la lumière, elle s’achève dans le meurtre et la luxure, ce qui explique que le prophète ne ressuscite pas, lui.
Dieu ne l’a pas exaucé, ni dans sa nuit, ni pour sa progéniture.
Celui qui a épousé une petite fille n’aura pas de descendant mâle viable.
ALLAH l’a condamné.
Pour un prophète, “on” dit qu’il est “maudit”, quand marié, et à combien de femmes et d’esclaves ?, malgré toutes ces tentatives, il ne parvient pas à avoir un fils qui lui donne une descendance.
Tous les prophètes de la Bible ont eu des fils, même avec des femmes stériles.
Il a suffi d’une seule épouse, comme le veut le Dieu du Livre, pas de deux, pas de trois, ni de dizaines d’épouses, pour qu’Abraham ait un fils de Sarah.
Et quand un prophète a des dizaines d’épouses… pour rien !, parce qu’il est “impuissant” puisque non “créateur”, donc sans descendance mâle, est-il “adorable”, ce prophète ?
Non !
La pédophilie est maudite, comme est maudit le seul prophète à avoir épousé une enfant.
“On” ne marie pas une petite fille avec un homme.
“On” ne lui fait pas jouer un rôle de “grande”, en lui faisant croire que cet “interdit” de l’inceste et de la pédophilie n’est qu’un “interdit social” de “vieux cons” et qu’elle, elle a bien de la chance, d’avoir été “choisie” et d’être “l’élue”.
Ce que, d’ailleurs, ses parents ne pourraient pas comprendre.
Donc elle ne doit pas le leur dire et ne le dire à PERSONNE, surtout à personne.
Il faut bien comprendre que l’enfant devient ainsi complice de son enlèvement.
Sinon rien n’est compréhensible.
Donc il se joue une pièce tragique dans une pièce presque trop blanche, sans décor, neutre, une petite pièce sans fenêtre, ou aux volets fermés, à la lumière toujours artificielle.
Peut-être une zone de transit aéroportuaire ?
Lorsque j’ai eu cette vision des enfants dans une pièce blanche, avec des petits lits ou plutôt des matelas disposés à même le sol, je n’avais pas encore de “localisation”, juste cette image de trois ou quatre fillettes enfermées dans une pièce dont la porte s’ouvrait sur un petit couloir.
Vers où ?
Maintenant, après m’être laissée guider, je suis une direction, j’arrive à Genève.
Et je vois un panneau, un sigle peut-être “LHCb“.
Cet acronyme me fascine.
Est-ce à proximité du lieu où se trouvent les petites filles ?
Est-ce que l’une d’entre elles l’aurait vu ?
Etrange fascination :
– “LHCb” veut dire “Large Hadron Collider beauty experiment ».
J’apprends que le « LHCb » dépend du CERN.
La « porte des étoiles » ne s’est pas ouverte.
Je frappe à cette porte sur laquelle s’imprime le sigle du CERN avec ses trois « 6 » imbriqués les uns dans les autres et formant comme l’oeil du cyclone ou du cyclope, le monstre qui dévorait les humains.
Le dieu SHIVA danse devant moi et, poursuivant ma recherche, je découvre, étonnée, que SHIVA « the destroyer » est honoré devant le « lhc » du CERN.
LUCIFER surgit.
– “”On” ne réveille pas les anciens dieux pour jouer avec, comme des apprentis-sorciers.”
SHIVA avale la matière, c’est le MAL.
Le MAL, c’est le néant, c’est tendre vers le “néant”, “ce qui n’est pas”.
Or étymologiquement, SHIVA signifie “ce qui n’est pas”.
[Il m’a fallu trouver la signification du nom de SHIVA pour comprendre pourquoi LUCIFER faisait le lien entre le “trou noir”, symbole du MAL qui avale tout, et SHIVA, le dieu de la destruction dont le nom signifie “ce qui n’est pas”].
Si vous me demandez quel est le rapport avec Maëlys, je l’ignore.
Enfin, disons plutôt que je me refuse à développer plus avant ce qui pourrait apparaître comme une thèse “complotiste” et donner du grain à moudre aux ennemis de la foi chrétienne.
Il y a une route, une route qui menait en une heure à peine à Genève.
Vers un aéroport international.
Aucun barrage.
Aucun contrôle.
Rien.
Il y a une vie.
Une vie qui attend.
Et un sigle qui clignote, “LHCb”, tandis que tournent les bras de SHIVA, SHIVA le dieu destructeur, comme tournoient les trois “6” du CERN, symbole de la “Bête”, la “Bête à cornes”.
Et, pendant que j’écris, il y a un enfant, un ou une enfant
– ils ne savent pas encore !, ils n’ont pas encore choisi leur proie,
un enfant qui marche sur le bord d’une route, d’une route d’où il sera enlevé aux siens,
simplement parce que c’est Halloween.
Non, il ne faut pas !
Et tant pis, si, à cause ou grâce à cet article, vous, parents serez plus vigilants, vous policiers et militaires, gendarmes de l’Arme, serez plus “surveillants”, préférant prévenir un acte criminel que punir un seul criminel sur combien d’autres ?, ce qui vous fera dire que je me suis trompée et qu’il n’y a pas eu d’autre enlèvement d’enfants, pas même une tentative !
Que je serais heureuse de me l’entendre dire :
– “Il ne s’est rien passé ! Vous vous êtes trompée. C’est vous la fautive !”
Parce que, vous toutes et vous tous, vous aurez fait en sorte que PLUS JAMAIS un enfant ne soit enlevé !
Fermez les barrières, fermez les frontières et que Dieu entende nos prières, pour que PLUS JAMAIS nos enfants ne disparaissent !
Ces gens-là sont lâches.
S’ils constatent que nous protégeons nos enfants, que vous protégez vos enfants et même ceux de vos voisins, si nous leur rendons leur tache plus rude, une tache qui est une honte pour une France qui ne défend pas ses propres enfants, ils iront chercher ailleurs qu’en France d’autres victimes.
C’est là où nous devons et devrons davantage, nous aussi, combattre tous les trafics, principalement le trafic d’êtres humains, le nouvel esclavagisme moderne.
Sauf si les esclavagistes sont d’abord le peuple français, un peuple qui accepterait de vendre ses enfants et/ou de les perdre, pour le profit de riches prédateurs en MAL de sensations fortes !
Pour retrouver Maëlys, retrouvez l’argent.
Le rabatteur a été très bien payé.
Pour retrouver Maëlys, débusquez le traître au sein de vos services qui renseigne le réseau criminel de trafiquants d’enfants.
Le ou les traîtres.
A coup sûr, un traître au niveau de la gendarmerie qui a accès aux procédures judiciaires.
Pour la justice, le Seigneur me montre plusieurs “complices” dont certains sont passifs et d’autres actifs. Les passifs profitent du système, les actifs “couvrent” et protègent les pédo-criminels.
Ces “fuites” judiciaires et ces conduites pénalement répréhensibles donnent une réponse aux enquêteurs qui se heurtent à l'”incompréhensible”.
Non, pas un “incompréhensible” paranormal, non.
Des incompréhensions dues à des aberrations de fonctionnement dont ils ne peuvent pas faire état au risque de perdre leur place.
Il faudra bien un jour que tout “cela” cesse !
Même au Moyen-Age eut lieu le procès de Gilles De RAIS, ce seigneur devenu le “saigneur” du lieu, celui-là même qui devait rendre la justice à ses gens et aux paysans dont il enlevait les enfants.
Puissè-je me tromper !
Cet article a été écrit, dussè-je me tromper, pour me tromper !
Car vous devez tout mettre en oeuvre pour que je me trompe.
Il vous faut :
– retrouver Maëlys,
– achever l’enquête
– surtout pour éviter à un criminel de récidiver.
Il m’est difficile comme, dans le rêve sur “Manon” et les chiens,
– “Manon”, prénom que j’avais trouvé pour répondre au “vide” du “Ma..” laissé sans suite,
il m’est difficile de distinguer entre ce qui est symbolique et réel.
Ayant tenté d’interpréter mon rêve, pour moi, les chiens étaient un élément symbolique.
En fait, ils étaient un élément de la REALITE.
Donc je m’arrêterais là.
Peut-être que, cette fois-ci, ce sera l’inverse.
Je ne sais pas.
Je le saurais quand vous le saurez.
Bonjour Madame,
En savez-vous plus sur l’affaire Maelys ?
Cordialement,
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Savoir, n’est pas le terme exact. Nous aimerions tant savoir ! Il faut garder l’esprit critique. Je dirais que j’ai reçu pendant une à deux semaines une vision qui revenait, celle d’une femme rentrant dans une boulangerie-pâtisserie pour acheter un ou deux pains au chocolat. Le boulanger connaissait bien cette femme, trentaine/quarantaine et il savait. Il savait qu’elle achetait des gâteaux pour des enfants qu’elle gardait, des enfants “retenus”, trois ou quatre parfois. Son arrière-boutique pouvait servir d’abri en cas de “descente de la police”, ce qui n’était jamais arrivé.
Pour moi, parce que le nom de cette ville clignote en arrière-plan, c’était toujours à Genève.
Donc ça signifiait que Maelys, à ce moment-là, était encore vivante.
Ensuite la vision se coupait et je voyais les deux ou trois enfants gardés par cette femme sèche, une gardienne, qui n’avait pas d’enfants. Sinon elle n’aurait pas pu faire ce qu’elle faisait.
Mais c’est peut-être mon imagination !
Donc j’attends un signe qui indique “Genève” avec au moins une certitude, un plan vidéo, une photographie, une “rencontre”… un article de presse.
Malheureusement, je n’ai rien entendu ni vu dans les journaux qui confirme cette “piste”, une “séquestration” dans un lieu “protégé”, soit diplomatique, soit caché par une activité industrielle ou commerciale.
Je vois physiquement la femme qui rentre dans la boulangerie-pâtisserie qui n’est pas loin du lieu où sont enfermés les enfants. Je vois le boulanger.
Je saurais les reconnaître, s’ils existent.
Mais je pense qu’aujourd’hui Maëlys va rentrer en France.
Ils vont faire croire qu’elle n’est jamais sortie de France.
Là ce n’est pas une vision.
C’est ce qui m’est dit depuis deux ou trois jours.
Et je dois écrire pour empêcher que ce retour ne soit une fin.
Le but serait d’innocenter le “rabatteur” ou, au contraire, si l’enquête s’orientait vers un réseau, le “sacrifier”.
Si la décision est prise de l’innocenter, comme il n’y a plus de peine de mort pour les enlèvements d’enfants, il ne resterait pas trop longtemps en prison, et, sans corps retrouvé, en sortirait rapidement.
Mais l’absence de corps focalise l’enquête sur un enlèvement d’enfants par un réseau.
Or il faut couvrir le réseau.
Donc je crains que ces “gens” n’aient décidé le retour de Maëlys en France pour “se couvrir”.
Il m’est montré des bois.
Ces gens recherchent un endroit où elle serait retrouvée, comme “par hasard”, à cause des négligences commises par les gendarmes, devenus des boucs émissaires dans cette affaire.
Je n’ai pas le choix.
Je vais devoir écrire.
Car mes recherches pour tenter de prouver la vérité et de trouver des éléments déterminants semblent confirmer l’importance de cette affaire pour ces “gens-là”.
Comme le prouve le choix d’un avocat célèbre pour le coupable.
Et la demande de dépaysement de l’affaire qui briderait les recherches locales.
Ainsi je suis à la recherche d’informations sur la/le propriétaire d’un chien, un-e notable, parti vers une heure du matin.
Ces “gens-là”, surtout les femmes, n’ont pas d’enfants elles-mêmes, eux-mêmes.
On comprend pourquoi.
C’est souvent un indice intéressant, l’absence d’enfants, surtout chez une femme, qui viendrait renforcer l’identification du commanditaire pour le réseau qui agit.
Voilà.
Je dois mettre tout ça par écrit RAPIDEMENT.
Et votre question me le rappelle “par hasard”.
Puisqu’elle correspond à une exigence “intérieure” forte.
Je souhaite que l’on ne retrouve pas Maëlys en France comme je l’ai vue.
Et vous, pourquoi m’avez-vous posé cette question ?
Que pensez-vous de cette affaire ?
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