Au moins deux jours, deux jours que le Général De GAULLE “marche” de long en large devant moi, plutôt passe autour de moi, attendant que je veuille bien écrire pour lui.
Il faut dire qu’hier, c’était la commémoration de la mort du Général De GAULLE, une cérémonie qu’il abhorre.
Et le Général De GAULLE avait bien l’intention de vous rappeler qu’il est vivant, lui aussi, et non point enterré dans un cimetière, fût-ce celui de Colombey-les-Deux-Eglises.
Sauf que j’avais oublié !
Difficile de penser à la commémoration d’un mort aussi présent que lui.
Donc je n’ai pas “pigé” que sa demande pouvait être liée à un événement “national”.
Quoique j’aurais dû m’en douter… je suis impardonnable.
Avec le Général, il n’y a pas de hasard sauf pour les sots.
Par conséquent, j’ai eu droit, ce jour, à une “remontée de bretelles” mémorable pour avoir raté cet événement impayable, voir réunis autour de sa tombe tous ceux qui se réclament de lui, jusqu’à Anne HIDALGO, la MAIRE de Paris !
C’est vous dire, difficile de faire pire.
Il paraît que les “Scorpions” sont rancuniers, il paraît.
Heureusement, leur rancune dépend de votre bonne ou mauvaise foi.
Ne vous risquez jamais à tromper un “Scorpion”, ça pique et leur venin est mortel.
Défilé de politiques à Colombey
[Hommage au Général de Gaulle : embouteillage politique à Colombey-les-Deux-Eglises
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Par Pierre Lepelletier
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Mis à jour le 09/11/2017 à 11:58
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Publié le 09/11/2017 à 10:42
PHOTO cimetière de Colombey Les Deux Eglises
Tous les ans, de nombreuses personnalités politiques viennent se recueillir devant la tombe du Général de Gaulle à Colombey-les-Deux-Eglises.
FRANCOIS NASCIMBENI/AFP
Comme chaque 9 novembre, les quelque 700 habitants de Colombey-les-Deux-Eglises (Haute-Marne) s’apprêtent à vivre une journée spéciale. Chaque année à la même date, la petite ville voit déferler de la capitale de nombreuses personnalités politiques. Tous viennent se recueillir devant la tombe du Général de Gaulle pour commémorer l’anniversaire de sa mort. […]]
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J’ai donc eu une “petite” explication avec le Général De GAULLE qui est mort et “repose” , selon vous, dans un “petit” cimetière tranquille à Colombey-Les-Deux-Eglises.
– “Mais, Mon Général, j’ai une vie, moi aussi !
Une vie pleine de péripéties, en particulier une instruction non instruite, et un procès, peut-être ou pas, sans convocation officielle, peut-être la semaine prochaine, à cause d’une demande d’informations restée sans informations.”
Réponse du Général fort irrité :
– “Jeune demoiselle,
[c’est faux, je ne suis pas jeune !, le Général est taquin]
sachez que, quand l’avenir de la France est en jeu, les jeux de pouvoir entre médiocres sont à mépriser. Il ne faut point attiser leur soif de revanche, en leur donnant une importance qu’ils n’ont pas, malgré l’avalanche de procédures dont ils vous accablent. L’Histoire retiendra que vous avez été persécutée par un Picrochole et ses “lucioles” qui se font appeler des “lumières” par défaut d’en avoir, des “cloches” qui sonnent faux et répandent de faux bruits pour couvrir leur incompétence. Quel intérêt d’aller à la “Bataille” contre ces gens-là ? Laissez-les s’enfoncer tout seuls. Moins vous vous occupez d’eux, plus ils commettent d’erreurs pour attirer l’attention sur eux et vous empêcher d’écrire. Occupez-vous plutôt de moi, c’est votre avenir !, l’avenir de la France, et laissez-nous
[“nous”, c’est à dire, mes visiteurs]
– nous occuper d’eux !
Ils connaîtront la gloire d’être reconnus pour ce qu’ils sont, de tragiques et néfastes cheifallons agitant des chiffons pour détourner l’attention de leurs supérieurs sur leur incapacité à gérer un service, s’ils ont déjà géré un service. Ce qui n’est même pas le cas dans la “Bataille” engagée à Paris quand “un-e” syndicaliste vient donner des leçons au monde entier, après avoir profité du “système” pour obtenir toutes ses promotions sur place en occupant les mêmes fonctions dans le même service depuis sa première promotion.
Que l’actuel ministre de l’intérieur, avant de vous jeter la pierre et de participer à votre lapidation publique, s’interroge d’abord sur le taux de suicides trois fois plus élevé dans la police nationale que dans n’importe quelle autre administration du secteur public, avant d’accorder du crédit à ces querelles de personnes d’une rare sottise ! Les magistrats n’ont donc rien d’autre à faire aujourd’hui que de couvrir les bêtises de fonctionnaires incompétents, eux qui se plaignent d’être débordés ?
Me suis-je déjà trompé, jeune demoiselle ? Non !
Donc, croyez-moi sur parole !
Plus ces gens-là vous attaquent, plus ils creusent leur tombe. Ils connaîtront leur heure de gloire, comme d’autres néfastes personnages de la “petite” histoire de France l’ont connue.
[Le Général vient de m’accorder une grande faveur, se préoccuper de mes « petites », toutes « petites » affaires privées tant cette situation l’importune.]
“NEFASTE”, l’étymologie du mot leur donne leur destin à ces “insatiables” du pouvoir, un festin pour les observateurs de ce siècle.
[Cette fois-ci, le Général de GAULLE m’autorise à vous aider à comprendre ce qu’il me commande de vous écrire, en vous livrant la clef étymologique du mot “néfaste”, adjectif répété deux fois par lui, lui qui a horreur de se répéter, et donc horreur des répétitions dans un même texte. Donc, quand il “commet” des répétitions, c’est volontaire et signifiant.]
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http://www.cnrtl.fr/definition/n%C3%A9faste
NÉFASTE, adj.
ANTIQ. ROMAINE. Jour néfaste. Jour pendant lequel il était interdit par la religion de vaquer aux affaires publiques; en partic., jour de deuil et de tristesse où l’on commémorait un événement funeste. Anton. jour faste*:
1. Le peuple ne se réunissait en assemblée qu’aux jours où la religion le lui permettait. On se souvenait que la cité avait éprouvé un désastre un certain jour ; c’était, sans nul doute, que ce jour-là les dieux avaient été ou absents ou irrités; sans doute encore ils devaient l’être chaque année à pareille époque (…). Donc ce jour était à tout jamais néfaste: on ne s’assemblait pas, on ne jugeait pas, la vie publique était suspendue. Fustel de Coul., Cité antique, 1864, p.205.
[…]
Empr. au lat. nefastus (dies) (de ne négation et fas «ordre, permission des dieux; droit divin», v. faste
[Exemple extrait du même site, comme “exempli gratia”, retenu par le Général De GAULLE pour ceux qui ne comprennent toujours pas ou ne veulent pas comprendre :]
− Emploi subst. Il organisa pour moi le dîner des ministres malhonnêtes, des ministres sots, et celui des néfastes, dont chaque assistant avait, avec la meilleure volonté, perdu une administration (Giraudoux, Simon, 1926, p.53). ]
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Cela étant dit, jeune demoiselle, pouvons-nous clore le débat, inutile, sur ces médiocres et la perte de temps occasionnée par eux à ne parler que d’eux ?
Parlons plutôt du Roi-Soleil, et d’un autre soleil, Bruno LE MAIRE, le bien-nommé.
Pourquoi vérifier l’emploi du verbe « clore », plutôt que « clôturer », dans l’expression « clore le débat » ? Si j’emploie ce verbe « clore », Mademoiselle, sachez que ce verbe, le verbe « clore », est préférable à l’autre verbe, le verbe « clôturer ».
Le débat est donc définitivement « clos ».
[J’ai eu un doute sémantique, tout à coup, et, avec le Général, le doute n’est pas permis.]
Oui, quand deux soleils brillent au firmament des mêmes cieux, sur terre, il n’est pas possible de lever les yeux ou de regarder vers l’horizon, sans risquer de se cramer les yeux.
C’est pourquoi il n’y a qu’un seul soleil qui brille pour la planète-terre.
Et aussi, en politique, principe de précaution à appliquer pour éviter une confrontation inutile, de laquelle pourrait naître une conflagration fatale pour la République française, qu’importe la différence de feu entre ces deux soleils et leur rayon d’action.
La France a deux destins, un destin politique « néfaste » et un destin démocratique « faste ».
En effet le Roi-Soleil, Emmanuel MACRON, votre Président actuel que je ne peux dire être le Président de la République, est un monarchiste.
D’où mon refus d’ajouter le mot « République » à son mandat de « Président ».
Emmanuel MACRON est d’abord le Président de la France, c’est à dire un « Roi » mandaté par le peuple, un peuple imbécile qui n’a rien compris, et mandaté par « dieu », ce qu’il a à peu près compris, lui, à condition de parler du même « dieu », ce qui est loin d’être certain.
Bruno LE MAIRE est un Républicain, dont le destin n’est pas d’être le futur Roi de France.
Il est et sera la représentation d’une République absente, cruellement absente, celle des honnêtes hommes, lesquels sont régulièrement chassés du pouvoir par les « copains de la bande de coquins ».
Il le sait.
Il a déjà compris qu’il ne gagnerait pas cette « Bataille » contre les imbéciles corrompus qui dirigent actuellement la France, une France prise tragiquement en otage par des soi-disant « sages » dont le message est toujours le même :
– « Ne changeons rien pour tout changer ! »
Ou, comme le disait un imbécile heureux défait par le peuple de France :
– « Ne pas agir, c’est déjà agir ! »
Lequel va assister à son propre enterrement, la commémoration des attentats ensanglantés du 13 novembre, et combien d’autres encore ?, attentats qui ont marqué à vie sa présidence inexistante dans le grand « siècle des incapables ».
C’est sûr, François HOLLANDE a raté sa vocation !
Il aurait dû être croque-morts.
La tranquillité des cimetières lui sied à merveille, lui qui a enterré son parti, le Parti Socialiste qui avait fait de la France, par ses fausses promesses, le pays d’«Alice aux Merveilles» et qui, une fois au pouvoir, le délaisse, bis repetita du vote d’un peuple abusé par ses prétendants.
C’était d’ailleurs sa feuille de route, préparer la déroute de la France pour pouvoir faire passer l’ennemi en terres de France.
Il a gagné, en faisant perdre son parti.
Qui voudrait s’associer à pareil traître ?
C’est pourtant ce que va faire dangereusement votre jeune Roi, inexpérimenté lorsqu’il s’agit de réfléchir aux conséquences de la « pensée associative », une pensée magique, celle des urnes !
Est-il sage d’associer son image à celle d’un ancien Président dont la gouvernance ne laissera que deux images de lui, l’arabisation rampante de la France, un pays sans espérance autre que l’Islam, et la cannibalisation de son propre parti par des Eléphants devenus fous ?
Quand les Eléphants écrasent le peuple, leur propre peuple puisqu’ils se disent de gauche, c’est que leurs cornacs sont des corniauds.
Personnellement je préfère le « MONARC », Emmanuel MACRON.
Mais laissons le sujet à l’indigne “ma-demoiselle” qui n’a jamais le temps de publier son article sur le « MONARC » alors que les quatrains annonçant son règne lui ont été donnés par la « Voix des Siècles »…
Pas la “Voix de l’ONU” !
Je suis taquin.
Uniquement parce que les héritiers des traditions égyptiennes ont décidé de tenter de « l’interdire d’écrire », “ma-demoiselle”, comme le hurlait, en mauvais français, l’avocate du « Picrochole de la PAF » dans la salle d’audience d’une Cour d’Appel de la région du grand Sud.
Procès perdu par Picrochole.
Ce que j’ai à dire est d’une importance extrême.
Car le parti, « Les Républicains », va devenir le parti de la République contre celui des Royalistes.
Il est donc temps pour Bruno LE MAIRE de regagner son camp.
Les Royalistes ne veulent pas de lui.
Ils ont raison.
C’est un mal pour un bien.
Qu’il l’accepte !
Les grands hommes acceptent toujours les revers de leur destin.
Car, de ces revers temporaires, naisse leur destin !
Ne lisez pas votre Histoire à l’envers, Françaises, Français !
La Révolution a bien eu lieu.
Mais elle a été « caviardée » [sic] par les Bourgeois les plus avides et les plus cupides qui soient, vendus aux intérêts « amerloques » !
La Révolution a été une mère « salope » [sic] tuant ses propres enfants au profit de ravisseurs que sont les proxénètes de sa Dette publique.
La République, son enfant unique, se prostitue pour vivre et s’apprête à tuer ses enfants pour survivre.
Les Français ont donc deux choix :
– soit revenir à la Monarchie, une monarchie qui ne sera pas que constitutionnelle, car sinon ce serait redonner les clefs du pouvoir à la bande de coquins qui prétend diriger ce pays !
[Le Général ouvre une parenthèse :
- Ce que sera cette monarchie ?
Son MONARC est tout trouvé et le sang des Bourbons, il ira chercher dans une mésalliance qui donnera à la France un héritier du trône.
Mésalliance pour les Bourbons, pas pour lui.
Mésalliance pour l’amour du pouvoir ou pour l’amour de la France, selon sa conception du moment.
Mais si la jeune demoiselle veut bien
[Mon Général, dites plutôt : – si je trouve le temps !… trois petits points]
si la jeune demoiselle veut bien écrire à ce sujet, vous le lirez dans la « prophétie des siècles », puisque c’est une « voix/voie » prophétique qui s’exprime qui n’est pas la sienne.
Ni la mienne.
Une voix plus ancienne qui lui dicte le choix de ses quatrains.
Moi, je suis la voix des Républicains, la voix du peuple de France s’il veut retenter cette aventure.
Car elle est là, l’opposition future !, par ce choix entre la Monarchie restaurée, retrouvée, et la République refondée, restructurée.
Le Général ferme la parenthèse.]
– Soit, le deuxième choix, celui de rétablir la République française, la « vraie » République, celle qui représente le peuple de France, et pas les intérêts particuliers de quelques « péquenots », ceux qui vivent de la rente de la Dette, les créanciers de la misère qui louent aux paysans de France leurs terres par un système d’usure inique et cynique.
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http://www.cnrtl.fr/definition/p%C3%A9quenot
PÉQUENOT, subst. Masc
[…]
P. ext. Homme grossier, inculte, niais et peu dégourdi, dont on fait peu de cas. Repérage scientifique du péquenot moyen, cellules photo-électriques, transmission, et classement des empreintes digitales par télévision du fond de n’importe quel hôtel meublé, détection des ondes humaines et lecture de la pensée, etc. (Abellio, Pacifiques, 1946, p. 385).Quand quelqu’un qui n’y connaît rien passe devant un éléphant et que son cornac, en douce, lui souffle le mot: «lift», il attrape le péquenot avec sa trompe et se le colle sur le garrot (Vialar, Zingari, 1959, p. 88).
[…] ]
C’est “radical” !
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Les financiers ne veulent plus d’un peuple de « propriétaires ».
L’avez-vous compris ?
C’est pourquoi les riches Français seront taxés sur l’impôt foncier et que les pauvres peuvent faire une croix sur leur rêve de devenir un jour propriétaires à leur tour.
C’est la seule croix qui leur restera sur les terres autrefois françaises.
Il est dommage qu’Emmanuel MACRON, le financier, n’arrive pas à se détacher de sa culture de la « Dette », une déformation plus que professionnelle, une déformation « obsessionnelle ».
Ce sera le devoir de la future République française, de libérer le peuple français de sa Dette publique et de ses dettes privées.
En faisant une « croix » dessus et en traduisant les banquiers devant les tribunaux populaires !
Le peuple de France est accablé par les dettes, ses dettes privées et sa Dette publique.
Cette affaire ne peut pas durer éternellement !
Sans conduire à une Révolution qui vous conduira à la pire des solutions, l’extermination de coupables tout trouvés qui ne sont que les « idiots utiles » d’une religion sanguinaire servant les intérêts d’une autre caste, la caste des « Rentiers » de la Dette, lesquels se cachent et sont “invisibles” à vos yeux.
Il faut en finir avec la corruption qui détruit la terre et l’humanité.
Saluons le courage de ceux qui s’attaquent à cette corruption !
Je terminerais cet avertissement par un autre avertissement :
– Si le régime d’Emmanuel MACRON devait se durcir contre le peuple de France, donc se raccourcir, comme « on » raccourcit le cou d’un criminel, du temps où les Français décapitaient leur « Roi », ce « Moi » supérieur, il n’y aurait plus de temps non plus pour l’avènement d’une République condamnée à périr, à force de trahir son peuple.
La fin du MONARC serait le début d’une ère de fascisme telle que vous n’en avez encore jamais connu sur terre.
En effet, vos lois mises en place, avec un Etat d’urgence permanent, les moyens techniques et informatiques sophistiqués de vos agents de surveillance, permettent aujourd’hui à vos gouvernants de tout contrôler, ce qui permettrait à des « fous de pouvoir » de prendre le pouvoir et de le garder, quel qu’en soit le prix à payer pour un peuple perdu, accablé par le poids de ses dettes, sans espérance et au prix d’une souffrance quotidienne leur faisant dire plus tard qu’ils ont une « chienne de vie », la vie des chiens errants sans collier.
La fourrière ramasse les SDF et les euthanasie si leur Maître ne les réclame pas.
Or les Français n’ont plus de Maître qui les aime.
Mais des traîtres qui les abandonnent.
Gardez-vous d’attiser cette haine, la haine des pauvres !
Et combattez plutôt ceux qui enchaînent votre peuple et font payer aux plus pauvres le prix de leur richesse !
J’ai nommé les banques et leur système de pénalité, j’ai nommé les grands patrons et leur aposthème, cette charité due aux « migrants » qui ne leur coûte rien à eux, charité qui fait venir du monde entier des travailleurs sans qualification, sans avenir, pour exploiter leur propre peuple et les asservir, tous, étrangers ou Français, comme des esclaves.
C‘est un système de compression fatale à la circulation du sang français et qui va provoquer l’arrêt cardiaque d’un « grand corps malade », celui de la France.
Vos ouvriers vont finir par être moins payés que les esclaves qui, eux, sont logés et nourris par leurs maîtres.
Car aujourd’hui, se loger et se nourrir sont des dépenses « incompressibles » devenues la galère des Français moyens dans un « Etat » français qui leur explique qu’il n’est plus « l’Etat-providence ».
Donc ils n’ont plus rien à attendre de lui.
Que pensez-vous qu’ils vont faire, ces Français maltraités dans un Etat qui n’en a plus rien à faire d’eux ?
A votre avis ?
Se taire et souffrir en silence ?
Les Français vont avoir une envie irrépressible de vengeance car, tous les jours de leur vie, il leur est demandé de se priver davantage pour rembourser la Dette de cet Etat, un Etat qui n’en a rien à faire d’eux.
Les grands patrons ne donnent même pas assez d’argent pour vivre à leurs travailleurs français et étrangers, vos gens, ceux qui vivent sur vos terres à vous, les “politichiens” français, vous empêchant de vivre correctement, décemment, et croyant qu’ainsi, ils pourront mieux vous dominer dans un rapport de force cruel et démentiel.
Appauvrir le peuple n’est pas un programme politique.
Appauvrir le peuple, c’est un crime d’Etat.
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Bruno LE MAIRE, être Maire, c’est être proche de ses administrés.
Votre nom est porteur d’espoir.
N’oubliez jamais que « LE MAIRE » est la personnalité politique la plus populaire auprès du peuple de France.
Ne sciez pas la branche sur laquelle vous êtes assis.
LE MAIRE, c‘est la dernière autorité républicaine, le plus petit échelon du pouvoir, ce pouvoir de proximité, le pouvoir municipal que vous avez supprimé d’ores et déjà, en voulant supprimer la taxe d’habitation, sauf erreur de ma part.
Si vous vouliez supprimer la taxe d’habitation sous prétexte d’un meilleur contrôle des dépenses, en re-centralisant tous les pouvoirs à la tête de l’Etat, il ne fallait pas oublier que le poisson pourrit par la tête. Or la tête de l’Etat français est « pourrie », pourrie par une gangrène, celle de la corruption et des prévarications pécuniaires trop souvent coutumières en France, une France devenue une République bananière.
C’est une erreur, une grave erreur.
Vouloir éloigner les centres représentatifs d’un pouvoir politique aux abois ne respectant pas ses propres lois, pour échapper à la colère des peuples, c’est une erreur, une grave erreur.
Bruno LE MAIRE, supprimer les Maires, c’est une erreur.
Sans responsabilité directe, la corruption s’amplifie puisque les hommes de pouvoir n’ont plus rien à craindre du peuple de France.
Au lieu de se responsabiliser, ils ne font que se criminaliser plus vite.
Les présidents de communautés d’agglomérations passent outre les décisions municipales, les décisions votées par les conseils municipaux des villes et des villages pour détruire les paysages de France et s’approprier les biens du peuple qui, lui, n’a plus les moyens de fuir les déserts ruraux.
Il suffit de voir comment les terres agricoles se réduisent comme peau de chagrin sur les terres vivrière de France, une France qui s’amenuise et devient un immense hangar à stocker des vivres et des marchandises produit(e)s ailleurs.
Comment ferez-vous, Françaises, Français, quand toutes vos terres, les riches terres agricoles de France, ne verront plus pousser sur elles que des bâtis de taules et de hangars ?
Vous deviendrez les « Clubs Méd » de la Méditerranée et de l’Atlantique, la risée du monde, et vous travaillerez à vider les pots de chambre de très riches milliardaires et de riches millionnaires. Citoyens français autrefois si fiers, vous serez transformés contre votre gré en tâcherons et en laiderons. Que ne feriez-vous PAS pour fuir la pauvreté et éviter cette ladrerie ?
Car elle est laide, cette pauvreté qui vous fait si peur, à vous, les Français.
Il ne vous servira à rien de cirer les pompes des Rentiers de votre Dette publique, ce que font déjà vos gouvernants successifs, en vain.
Leurs immenses chantiers, ces constructions hagardes et disparates, cachent une réalité pourtant bien visible chaque jour davantage.
Ne voyez-vous pas que la France est devenue elle-même un chantier à ciel ouvert, ce chantier qui vous énerve et vous agace tant quand il s’agit de la chambre de vos adolescents ?
Oui, la France est devenue un gigantesque bordel où seuls les trafiquants de stupéfiants et de migrants s’enrichissent quand les Français honnêtes, sans travail, s’appauvrissent.
Vos centres commerciaux sont la preuve VISIBLE de la corruption ambiante qui semble INVINCIBLE, laveries automatiques d’un blanchiment d’argent servant la gente politique autant que la canaille diplomatique.
Que de valises de billets, transportées par de la racaille agnostique, sous couvert de loges jamais inquiétées, transitent ainsi de la France vers le Maghreb ou l’Amérique du Sud et vice-versa, inondant la France de leurs stupéfiants et enrichissant des trafiquants fanatiques, ravisseurs d’otages et preneurs de vies ?
Plus il y a de communauté d’agglomérations, plus il y a de zones artisanales « démentielles ».
Leur expansion est exponentielle !
Proportionnelle au taux de corruption ambiant.
Les présidents des communautés d’agglomérations ont ouvert les robinets de l’enrichissement personnel sans limites.
Savez-vous que, chaque jour, vingt-neuf (29) personnes se suicident en France et cinq cent cinquante (550) Français font une tentative de suicide ?
C’est pire que les chiffres de la sécurité routière.
Et que fait le gouvernement de ce pays pour lutter contre la misère sociale ?
Rien.
Il est temps de faire payer aux banquiers leur incurie et de mettre fin à un système de pénalités qui tue les pauvres gens de ce pays.
Mais un Banquier, devenu MONARC, en aura-t-il le courage ?
Si le Roi-Soleil veut gagner le peuple à sa cause, pour prouver qu’il est leur « bon » Roi, il n’aura pas d’autre choix que de mettre fin à cette spirale des dettes privées et de leurs pénalités exorbitantes.
Car, bientôt, le peuple de France, quitte à se suicider, trouvera plus raisonnable de « suicider » ceux qui veulent le trucider.
Comprenne qui pourra !
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Blanchisserie, boulangerie, magasins de vêtements, tous petits commerces sans “prétentions”… ni clientèle, servant de vitrines au blanchiment d’argent.
Vous me croyez « mort » ?
Mais, moi, je crois que c’est le Parti des Républicains, pourtant la seule vraie force d’opposition politique encore actuelle, qui est mort, si les Gaullistes, ceux qui se réclament de mon nom, ne sortent pas de cette économie mortifère car néguentropique.
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Pour les médiocres qui ne comprennent pas ce terme “savant”, le Général me permet de vous expliquer la notion de néguentropie économique, par une citation d’Edgar MORIN, auteur du livre « La Méthode – I – La Nature de la nature », publié aux Editions Du Seuil en 1977 pour le Tome I.
« […] Il ne suffit pas de dire que l’organisation néguentropique répond à la dégradation qu’occasionne tout travail, en renouvelant son énergie et en se restaurant en permanence. Il faut comprendre que la relation nég/entropique a, elle aussi, un caractère récursif : le procès même qui combat la désorganisation en renouvelle les causes. Comme la réorganisation permanente est elle-même du travail et de la transformation, elle travaille ainsi également à sa propre désorganisation, laquelle à son tour travaille pour cette réorganisation, et ainsi de suite, dans un cycle infernal qui est en même temps la boucle productrice-de-soi : l’organisation néguentropique suscite ce qu’elle combat ; elle renouvelle le mal qu’elle refoule ; elle ne peut s’arrêter sous peine de mort.
Et, effectivement à la longue, sous l’effet soit cumulatif, soit brutal d’aléas et de perturbations externes, la régénération dégénère, la réorganisation se désorganise ; ainsi, on vieillit à lutter contre le vieillissement. […]
Le travail à court terme, c’est la liberté ; le travail à long terme, c’est la mort. Il y a tragédie dialectique chez tout être néguentropique. […]]
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La néguentropie, ce sont vos cycles économiques actuels, des cycles mortifères, ajoute le Général De GAULLE.
[qui m’a aidée dans ma recherche d’explications pour son expression « économie néguentropique ». Moi pas tout savoir!]
En combattant la Dette, vous créez de la Dette ad vitam aeternam !, ce que savent vos financiers qui s’enrichissent sur le dos des peuples.
Vous appelez ce remède, la « cure d’austérité ».
En fait, c’est une cure de criminalité en bandes organisées, entropiques, elles.
Si vous, les Républicains, êtes mes « héritiers spirituels », il vous faudra libérer la France de ce système de pensée nocif et agressif.
La Dette Publique est une INVENTION fabriquée de toutes pièces par vos occupants économiques, lesquels ne sont ni Français, ni étrangers, juste des « apatrides », sans foi ni loi, les Rentiers de la Dette.
Et eux ne travaillent pas.
Alors, la “valeur du travail” est un reproche insensé dans la bouche de ces financiers sans scrupules.
Maintenant, Françaises, Français, choisissez votre destin !