C’était ce matin. Je me suis réveillée avec l’image d’une maison.
Une maison, genre villa californienne, qui se partageait en deux dans ma vision.
D’un côté, tout était fermé, côté salon.
C’était “Rideau !”
Difficile de trouver une photographie de maison correspondant à mon “flash”.
Et des voix se lamentaient, disant :
- “C’est fini, Johnny ne reviendra pas !”
Et de l’autre côté, peut-être côté cuisine, une cuisine qui serait ouverte sur la salle à manger, tout était ouvert.
Il n’y avait que la porte d’entrée qui était fermée.
Et sur la porte d’entrée, griffonné à la hâte par “Jojo”, il était accroché ce mot :
- “Je suis allé faire une course aux “Champs-E”.
- J’en ai pour cinq minutes !
-
JE REVIENS.”
Jojo, il est passé hier soir.
Je ne sais pas pourquoi.
Et lui n’avait pas l’air non plus de savoir pourquoi il était là.
“On” lui avait dit de venir me voir.
Johnny, ce n’est pas un grand bavard.
Il se contentait de regarder autour de lui, donc autour de moi.
- Qu’est-ce qu’il foutait là ?
- La maison n’est pas riche, l’endroit pas très coquet et la fille pas du tout intéressante.
Je vous l’accorde, et ce d’autant plus-se que je ne suis pas non plus une “fan” de Johnny HALLIDAY.
Donc, réponse directe de l’intéressée dont le train de vie n’est pas à la hauteur des espérances de la Star :
- Il y a d’autres médiums qui seraient ravi-e-s de vous recevoir !
La vedette semble comprendre qu’elle n’est pas très fair-play mais demeure silencieuse, comme si l’homme était encore empêtré dans un corps qu’au fond il ne semblait pas aimer tant que ça, ne sachant pas comment se comporter, où se placer dans l’espace de la pièce.
Presque touchant !
Cette “image” est le choix de Johnny. Il revient chez lui, il rentre à la maison.
Il me délivre un message, un message qui lui vient du coeur, presque, presque, arraché de son coeur.
Pas pour moi, bien sûr.
Il n’a jamais aimé qu’une fois et le reste du temps, il a supporté d’être aimé, lui qui ne s’aimait pas.
Et s’il a supporté d’être aimé, c’est parce qu’il aimait… encore.
C’était sa preuve d’amour à lui, supporter d’être aimé lui qui ne savait plus aimer.
Je ne développerais pas.
J’avais un article à rédiger pour le Général De GAULLE, un article qui urge car je dois le publier avant dimanche.
Un article pour Laurent WAUQUIEZ.
Ce matin, je me suis réveillée avec ce “message” pour les “fans” de Johnny HALLIDAY qui est réellement “atteint”, là où il se trouve, par leur chagrin.
Presque, presque rappelé, retenu malgré lui.
Il est là au milieu de vous et il remonte les “Champs-E”.
- “Et les “Champs-E”, c’est bien un petit bout du Paradis, non ?” ajoute-t-il, en très bonne compagnie “littéraire”.
La France éternelle vous salue, la France des Lettres et la France des Artistes, sans qui les belles Lettres resteraient muettes.
- Salut, l’artiste !
Mais j’suis “con” ! :
– Johnny n’est pas parti !, il est juste allé faire une course sur les “Champs-E”.
One thought on “De notre Jojo national !, Johnny HALLIDAY pour les “pas intimes”…”