Véronique COLUCCI, irremplaçable !
Pour COLUCHE, pas pour vous.
La nouvelle “CoCluche” est rentrée des States, juste à temps !
COLUCHE voulait une femme.
Comme ça, pas de problème de “copyright” !
-
Qui peut remplacer COLUCHE ?… “C’est l’histoire d’un mec.”
Lui a choisi… une femme !
Elle ressemble un peu, beaucoup, à la folie… à Véronique COLUCCI.
Moi, je comprends mieux pourquoi.
-
Une “Véronique COLUCCI” qui aurait fait du café-théâtre et qui est délurée et délirante !
Il l’a voulue d’un certain âge, pas celui de la vieillesse, mais pas non plus celui de la “bête” jeunesse, pas celui de “l’âge bête” !
Une femme d’âge mûr, celle qu’il avait quittée, mais qui ne l’a jamais quitté(e) dans son coeur.
[Je ne sais pas qui a quitté qui, mais COLUCHE considère qu’il s’est quitté lui-même… en la quittant]
C’est un peu confus, ce divorce.
Il y a toujours beaucoup d’émotions, beaucoup d’amour, toujours.
“La mère de ses deux enfants, ces deux “lui-même” qui sont pas comme “lui-même”…,
– Heureusement”, rajoute leur père !
-
“Un con suffit.
-
Pas besoin d’en rajouter !”
“Des retrouvailles” qui riment avec “couple qui se chamaille”
-
et qui s’aime vaille que vaille, envers et contre tout,
-
encore et toujours.
Bon, je vais vous laisser, les “tourtereaux”.
Je dois imprimer les sketchs posthumes de COLUCHE pour sa “CoCluche”.
– “On”, COLUCHE, CoCluche, moi et “Véro”, si elle veut s’associer,
-
“on” va monter les nouveaux numéros de “CoCluche”.
Il ne veut pas rater les “Européennes” !
Surtout pas…
COLUCHE me demande d’ajouter qui est témoin de ce “hasard”,
- le lancement de “CoCluche”,
- alors que “Véro”, “sa Véro”, s’apprêtait à le rejoindre :
– “Bon, ma famille, mais je sais !
Comme dit COLUCHE : – “Ca compte pour du beurre !”
- “Il manque la fermière, “CoCluche” (son futur nom de scène) qui est revenue des States
-
et qui est un VRAI témoin.”
“Et le sourire de la fermière, par-dessus le marché, rajoute COLUCHE en se marrant,
-
qui sera “moi” ou “Véro”, la sienne de Véro !
[“Pu..in”, qu’est-ce qu’il est possessif, COLUCHE !]
- Véro, aussi, elle était possessive, Véro ! Qu’est-ce… tu crois !
- Hein, Véro, dis-lui ?!
Mais ça compte pour du beurre aussi !
Le témoignage de “sa Véro” ou de moi.
Car moi, je ne peux pas témoigner pour moi.
Et “l’autre Véro”, elle est déjà morte.
- “Pas pour tout le monde, hein ?”, me dit COLUCHE, tout content.
Donc “sa parole”, sauf si elle est prédictive, même si elle est affective (envoi de pensées d’amour à ses enfants), compte pour du beurre, elle aussi !
-
“On est toutes les deux “beurrées”, se marre COLUCHE, très content.
-
Oui, très content d’avoir retrouvé “sa Véro”.”
Donc, qui d’autre, hein, qui d’autre pourra témoigner IMPARTIALEMENT de ce “hasard” et de la demande de COLUCHE ?
Bah, un voisin…,
– que COLUCHE m’avait demandé d’aller voir pour solliciter ses conseils d’expert en matière de prises de vue et montage de spectacles.
-
Ouf, sauvée(s) !
Il va falloir que je lui demande une ATTESTATION.
– “Pas la peine, dit COLUCHE. Il prendra la parole pour le lancement des sketchs et il “racontera” ce qui s’est passé.
D’ailleurs, affirme COLUCHE, depuis qu’il m’a rencontrée (“son autre Véro qu’est pas la sienne”), l’homme raisonnable et très intelligent qu’il est, tout expert qu’il est, est tout “chamboulé”.
-
La vie, la mort…
-
La mort, la Vie !
Normalement, c’est mort, hein ?
La vie après la mort.
“Normalement”…
Bon, j’y vais.
Je vous laisse.
-
“Place au spectacle !”
___________________________________________________________________
Si COLUCHE est triste ?
A votre avis ?
Il vient de retrouver sa “Véro” !
- “Qu’est-ce qu’on a l’air bête quand on est amoureux, hein, les mecs ?” dit COLUCHE, attendri.
[Là aussi, j’ignore si cette photographie qui plaît à COLUCHE pourra rester publiée.
“On” teste.]
Demandez-moi plutôt si, moi, je suis triste ?
– Oui !
- C’est bête, je sais.
Mais nous, “les laissés” derrière, pas encore “montés au ciel”, on est morts.
Comme laissés pour compte !
Car la mort reste la mort.
On pense que la mort est la mort, pas la Vie !
-
“Connement”, ajoute COLUCHE, puisqu’il vient de donner “un signe”,
-
UN SIGNE DE VIE !