Ce soir-là j’étais invitée chez un couple d’amis à Perpignan dans un quartier pavillonnaire situé à proximité d’une cité H.L.M..
– Non, pas le quartier des Oiseaux, ce quartier qui devient emblématique de l’occupation des “habitations à loyers non modérés” par de “drôles d’oiseaux”, qui, s’ils volent, ne se contentent pas de voler dans les airs, mais par terre aussi.
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Mis à jour le
Peur et insalubrité grandissent à la résidence Les Oiseaux de Perpignan dont un des immeubles est gangrené depuis deux ans par les membres d’un trafic de drogues.
[Tenu par des meneurs invisibles, le gang, qui a envahi le bâtiment numéro un du lotissement perpignanais, déjoue depuis des mois les innombrables descentes de police et autres actions opérées par les forces de l’ordre impuissantes à déloger le réseau.
Les rares habitants à résister à cette situation qui dégénère chaque jour davantage enchaînent les appels au secours, désormais soutenus par tous les riverains du quartier inquiets de voir ces jeunes délinquants commencer à s’attaquer aux immeubles voisins.
Dossier complet à retrouver dans votre édition catalane de ce samedi 19 mai et ci-dessous pour nos abonnés numériques.]

Heisenberg66 Il y a 8 joursSIGNALER UN ABUSJusqu’au jour OÙ! Quelqu’un prendra un fusil pour passer ses nerf ! Poussez à bout par c’est bon à rien !

https://www.lindependant.fr/2017/05/28/chronique-du-palais-perpignan-il-y-a-trop-d-incivilites-ici-je-retourne-au-canada,3019381.php
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Non, le quartier pavillonnaire était encore un quartier “normal”, c’est à dire avec ses petites maisons cossues et ses volets fermés, fermés à la vie d’autrui et aux problèmes d’autrui, surtout la nuit.
Ici, rien ne se sait et rien ne sort des maisons individuelles, sinon les pieds devant, au moment de quitter ce bas monde.
Dans ce cas, c’est un corps mort et pas seulement un défunt coeur qui est pleuré.
Peut-être eût-il fallu pleurer cette dépouille mortuaire AVANT, de son vivant sans vie, tant que le mort pouvait encore être en Vie ?
Puisque, maintenant mort, lors de son cortège funéraire, il n’y a plus d’espoir pour le savoir Vivant “ailleurs”.
Et le sauver d’une autre mort, la deuxième mort.
Bref, la nuit s’avançait comme l’ombre des arbres grandit les après-midis d’été.
Il était vers les deux heures du matin quand, soudain, des voix retentirent dans la rue, des voix de “djeunes”.
Nous étions en pleine conversation animée sur les dérives communautaires constatées dans la ville de Perpignan ou partout ailleurs, en France.
Silence pour entendre ce qui se passe à l’extérieur, l’extérieur de cette habitation individuelle dont la façade s’ouvre sur une ruelle d’ordinaire tranquille, de jour comme de nuit, épargnant aux riverains la souffrance cruelle d’un “Vivre ensemble” devenu aujourd’hui impossible.
Bien sûr, de temps en temps, des bandes de jeunes y passent par cette ruelle pour raccourcir leur chemin vers la cité dont nous tairons le nom, une cité au coeur de la Cité de Perpignan.
Parce que suivre la rue principale, pour rentrer chez eux, – pas “chez nous” -, les obligerait à faire un détour, le détour emprunté par les bus qui sont volontairement déviés pour ne pas risquer d’être piégés dans cette ruelle, sans pouvoir se dégager d’une volée de “moineaux des rues”, drôles d’oiseaux aux moeurs grégaires qui lâchent des cailloux et leurs fientes verbales contre les intrus qui osent s’aventurer sur leur territoire.
Dans la maison individuelle jouxtant les habitations collectives situées de l’autre côté de la ruelle, nous nous taisons, à l’écoute des cris des “djeunes” et de leurs protestations.
Ce qui nous surprend, c’est qu’ils ne passent pas, les “djeunes”.
Ils semblent s’être arrêtés, agglutinés devant une maison du voisinage, stoppés dans leur migration urbaine.
Manifestement, les échanges verbaux sont très vifs de part et d’autre.
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Qui sont les autres ?
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Mis à jour le
Perpignan: trois jeunes jugés pour avoir effrayé les passagers d’un TER
[Trois hommes de 19 à 23 ans, soupçonnés d’avoir effrayé les passagers d’un TER en diffusant des chants en arabe et des menaces de mort à la mi-novembre, doivent comparaître ce mercredi à 9h devant le tribunal correctionnel de Perpignan. […]]
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Malgré les mises en garde de mes hôtes habitués aux bagarres qui dégénèrent facilement à Perpignan, comme partout ailleurs en France, et à cause de ces mises en garde, je décide de sortir avec… mon chien pour voir ce qui se passe.
– Dois-je encore vous le présenter, mon “vieux pépère”, impressionnant par sa taille et son aspect fauve ?
Il s’appelle “Lion” et c’est un “Fila Brasileiro”.
Il adore la pègre, ayant été adopté par un dealer qui l’avait dressé aux combats de chien et qui s’en servait aussi comme moyen de dissuasion contre les mauvais payeurs.
Quand mon chien aboie, les murs de la maison tremblent tant sa voix est caverneuse et profonde.
Il a bien fallu que je l’adopte :
– c’était ou l’adopter, moi, parce qu’il faisait peur aux autres, ou le laisser être euthanasié par la fourrière de Perpignan.
Je ne suis pas la seule à avoir dû adopter des chiens pour les sauver de l’euthanasie au Commissariat.
– On a beau travailler avec des policiers, on n’est pas des chiens et on n’en est pas moins “hommes”, même quand on est des femmes,
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enfin des êtres humains, quoi !
Beaucoup d’ex-collègues adoptent ou adoptaient des chiens pour leur éviter l’euthanasie ou une “vie de chien”, maltraité et battu par un maître lui-même pris dans une “chiennerie de vie” !
Tout se négocie dans un commissariat, même et surtout sauver des vies animales… et humaines.
Or, comme vous le savez, faire le bien ici-bas est mille fois plus compliqué que faire le mal !
Tuer un chien, c’est facile, très facile.
En adopter un, surtout un chien de dealer qui va faire de la prison,
-
le dealer, pas le chien,
– c’est presque tragi-comique au vu des formalités administratives à accomplir.
Idem lorsqu’il s’agit d’intervenir pour sauver un enfant maltraité.
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Excusez-moi pour cette comparaison malheureuse !
Mais la bêtise administrative tue chaque jour davantage en France que la grande criminalité.
Donc je reprends le cours de mon histoire sur ce “ramdam” entendu une nuit de Ramadan par les occupants paisibles d’une maison non cessible, malgré ce qu’en prétendent certains imbéciles immigrationnistes.
-
Le droit de propriété en France est constitutionnel, sauf dans le quartier des Oiseaux à Perpignan, je vous l’accorde !
Me voilà dehors avec mon gros pépère qui n’a jamais mordu un être humain, même en pleine bagarre avec un autre chien. Pour lui, se battre, c’est un combat “professionnel”. Il fauche les pattes de son adversaire, le renverse et l’enserre fermement entre ses pattes. Comme un lutteur antique, Lion maintient à terre l’autre chien qui l’a défié et il le contraint à se tenir couché sous lui, par la seule pression de ses muscles. C’est impressionnant, mais pas sanglant du tout.
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Mon chien, c’est un vrai “catcheur” !, pas un tueur.
Les gamins, une bande d’une vingtaine de moineaux au moins, s’éparpillent à la vue du toutou qui se précipite vers eux, si content d’avoir trouvé des copains trop sympas avec qui jouer et qui ressemblent à son ancien maître ou sentent comme lui.
D’ailleurs Lion repère immédiatement ceux qui ont comme une odeur de “shit” sur eux !
Il adore, Lion, ces jeunes gens, car Lion aimait son maître et le défendait loyalement.
Si je lâche mon chien dans une cité, il va immédiatement trouver le point de deal où la came est cachée.
– Il est trop fort !
Ensuite, bah…
Rien.
Puisque “dealer” est autorisé à Perpignan.
-
Comme partout ailleurs en France !
Donc inutile d’appeler les services de police ou de gendarmerie, lesquels de toute manière ne se déplaceraient pas.
Il faut juste rappeler son chien, tout content d’avoir retrouvé des copains de son ancien maître et s’excuser,
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mais si, mais si !
– pour les avoir dérangés dans leur petit commerce devenu LEGAL à Perpignan, le trafic de stupéfiants,
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comme partout ailleurs en France !, d’ailleurs.
Vidéosurveillance uniquement exploitable CONTRE les honnêtes citoyens !
Parfois, forts de leurs relations publiques avec les élus locaux, certains dealers menacent de prévenir la police nationale, si vous continuez à vous promener avec votre chien “chez eux”, sur leur territoire “à eux”.
– C’est vrai, quoi, si on ne peut plus travailler tranquilles en France, où va-t-on ?
- La police, c’est leurs copains aux copains de Lion !
Les dealers lui règlent un droit d’occupation des sols en France, sur la très connue règle marseillaise des deux tiers, ce à quoi personne ne trouve à y redire, surtout pas les magistrats qui semblent l’ignorer. Ils sont bien les seuls !
Les malfrats règlent-ils aussi des frais de justice “extraordinaires” pouvant expliquer l’impunité judiciaire dont bénéficient les “petites frappes” stupéfiantes ?
Dans tous les cas, la constance avec laquelle les juges du “Palais de l’in-Justice” à Perpignan se lancent à la recherche d’erreurs, de vices de forme et de procédure autorisant LEGALEMENT l’annulation des poursuites engagées contre ces honnêtes commerçants, les “dealers” de Perpignan, soulève des interrogations jusque parmi une population considérée, à tort, par ces magistrats infatués d’eux-mêmes, comme trop stupide pour s’en rendre compte.
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https://www.lasemaineduroussillon.com/2018/05/18/perpignan-dealer-recommence/
Perpignan : le dealer recommence trois jours après
[ Lundi 14 mai. Trois jours après… et au même endroit ! Le 11 mai dernier, la police nationale de Perpignan, en opération conjointe avec la police municipale, opère près d’un lieu de deal notoire : un hall d’immeuble au niveau de la place Cassanyes. Deux revendeurs de 17 ans sont arrêtés, porteur de résine de cannabis et d’argent liquide. Ils font l’objet d’une convocation en justice. Ce qui n’empêche pas l’un des deux, trois jours plus tard, de reprendre son poste de vente, exactement dans le même hall. Il avait même une table qui lui servait de comptoir, avec des balances de précision. Placé en garde à vue, il continue à se dépeindre en simple consommateur. Il est cette fois déféré au tribunal pour enfant de Perpignan pour répondre de ses actes. ]
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C’est ainsi, qu’à Perpignan, les “petites frappes” volantes et violentes, “oiseaux” des cités, osent menacer, sans rire, les citoyens exaspérés qui voudraient faire arrêter ces trafics dits illégaux, d’appeler à l’aide les services de police pour pouvoir développer, tranquillou, leur commerce relou de stups…
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Pendant ce temps, les honnêtes citoyens ayant entravé la liberté de ce commerce lucratif pour la cité, finiraient en garde à vue et dormiraient en cellule à cause des menaces proférées contre les dealers, les copains de Lion et de la police nationale.
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Oui, ça se passe bien en France, pays où il est illégal de vendre des drogues…, il paraît !
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Non, ces faits divers, très représentatifs de l’incapacité du gouvernement français à remettre de l’ordre partout en France et à pouvoir reconquérir les banlieues dites “ZND”, “Zones de Non Droit”, n’arrivent pas en République Dominicaine, ni dans une quelconque République africaine appelée République “bananière”.
Si vous relisez les deux commentaires choisis par moi plus haut, placés sous l’article de l’Indépendant du 18 mai 2018 exposant l’impuissance de la police à pouvoir déloger ces “drôles d’oiseaux” installés dans le “Quartier des Oiseaux”,
- drôles d’oiseaux qui ne se gênent pas, eux, pour déloger les habitants légitimes,
- vous constaterez qu’un propriétaire excédé par les incivilités permanentes d’une certaine population décrite “en robe et à barbe” a été CONDAMNE par les magistrats de Perpignan pour avoir exhibé une “arme de dissuasion” à l’encontre de ceux qui sont une “espèce protégée” dans notre pays.
- Dégoûté, l’homme est reparti au Canada, pays qui, lui aussi, aujourd’hui, s’ouvre aux “chances” pour la France. Il ne sera pas dépaysé ! Il sait déjà ce qui l’attend.
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Perpignan (66) : trafic de drogue, menaces de mort, agressions, une bande de mineurs règne en maître dans un immeuble et impose la terreur aux habitants
[Le trafic de drogue continue de se propager dans le lotissement du Vernet, faisant fuir les gens du quartier.
Depuis deux ans qu’ils ont envahi la résidence Les Oiseaux à Perpignan, ce groupe de mineurs règne en maître sur l’immeuble, imposant la terreur comme leur impitoyable loi. Celle d’un gang organisé dans le trafic de drogues qui sème colère et désarroi. L’enfer ici consume tous les espoirs, toutes les énergies.
Ayant commencé par dévaster un appartement après l’autre, les délinquants se sont désormais emparés du bâtiment entier. Quinze logements désertés par leurs occupants. À l’exception des deux derniers habitants, terrifiés mais financièrement engouffrés « On vit dans un tas d’immondices, pire que des taudis. Ils ont tout saccagé pour investir les lieux, c’est insoutenable », « Pour un rien ils nous menacent de mort. Il y a quelques mois, ils ont tabassé un gars »
« C’est hallucinant. Le monde entier semble impuissant face à ces jeunes. Même la police qui intervient tous les jours ne réussit pas à les déstabiliser », dénoncent unanimes les riverains, commerçants et professionnels du secteur […]]
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Bref, passons sur ce que tout le monde sait en France, sauf le gouvernement français, il paraît.
En effet, nous savons tous, qu’en France, tout est permis à une partie de la population, à condition de n’être pas Français dit “de souche”.
- C’est cela, oui, la “discrimination positive” !
A moins que les copains de Lion ne paient aussi au gouvernement français un droit d’occupation ILLICITE des territoires de France et donc d’occupation d’habitations françaises dont ils ne sont pas les réels propriétaires ?
– Non, vous croyez ?
Pas possible.
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Ce serait du “complotisme” que de le penser !
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Honni soit qui mal y pense !
Donc Lion court et ses copains courent aussi, les uns escaladant des grilles de jardin pour se protéger de l’affreux monstre qui veut leur prouver son affection canine,
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et les autres, m’appelant à l’aide pour retenir “le chien des Baskerville”
-
et ne pas finir comme une basket déchiquetée par un jeune chiot en mal de rage de dents !
Certains djeunes sont pourtant restés courageusement accrochés aux grilles de la maison qu’ils ont tenté d’investir et dont ils ont voulu ouvrir le portail.
Deux gamines adorables,
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putain, qu’elles sont belles, nos beurettes !,
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surtout non voilées,
-
en jean moulant avec le mignon chignon, à la mode de ce jour, qui leur donne un faux air de Madonne,
– me montrent leur portable :
– “Regarde, Madame, il bat sa femme ! Tu te rends compte ?! Dans quel pays vivons-nous ?”
Un autre, avec cet accent terrible et incorrigible que nous aimons tous à entendre quand il est parlé par Djamel DEBBOUZE et nos autres stars du coeur, crie à l’intention du méchant mari :
– “Viens te battre si t’es un homme ! C’est facile de frapper une femme, mais viens te battre avec moi ! On va voir si c’est aussi facile.”
La femme battue, une jeune femme paniquée et “à la ramasse”, en profite pour fuir et quitter la maison, le pavillon de la honte.
Elle se casse pour ne pas finir “cassée” sous les coups et par les coups d’un homme qui l’aime ou prétend l’aimer.
-
Un homme qui l’aime MAL !
Et moi, je regarde cette jeunesse qui a foutu un “ramdam” pas possible, une nuit de Ramadan, pour protéger une femme battue par son mari dans un quartier pavillonnaire où tout est tu et d’où ils sont exclus par les injustices de la vie en France.
Ils ne dealent pas, eux !
-
Les filles ne sont pas voilées
-
et ce serait dommage tant elles sont jolies, les filles de mon pays, la France !
Les jeunes m’entourent et me font confiance, spontanément.
J’ignore pourquoi mais c’est ainsi.
Et c’est souvent ainsi.
Le mari sort à son tour de la maison conjugale, devenue un piège infernal pour sa femme, pour courir après celle qu’il dit aimer.
Je lui rappelle qu’il est interdit en France de battre sa conjointe.
Il est Français de souche.
Tous les trois jours, une femme française succombe en France sous les coups de son mari français, est TUEE par son conjoint.
-
C’est une grande cause nationale, il paraît !
En tous cas, pour les jeunes, les “djeunes de banlieue”, de nos banlieues, c’est une grande cause nationale, c’est sûr !
A voir comment ils ont hué l’homme qui frappait sa femme.
Je me sens bêtement fière de cette jeunesse bruyante et tintamarrante qui a pris le risque de s’arrêter devant un pavillon de banlieues de “riches” pour défendre une jeune femme qui se faisait corriger par un mari “dans son droit”, affirme le “maître de maison”, dépassé par la colère et débordé par sa jalousie débridée.
Parce qu’après tout, c’est une affaire d’ordre privé, une affaire familiale qui ne regarde pas la police nationale ou la gendarmerie.
Mais cette affaire, qui devrait être l’affaire de toutes et de tous en France,
-
les violences conjugales,
– regarde et concerne cette jeunesse maghrébine à qui d’aucuns promettent la “remigration” parce qu’ils seraient nés du mauvais côté de la ruelle et parce qu’ils font le “ramdam”, les nuits de Ramadan !
Et parfois aussi les autres nuits d’été parce qu’ils sont “athées” ou “laïques”, d’abord Français avant que d’être musulmans, s’ils le sont encore !
- Si la France leur permet de ne plus être “musulmans”, alors qu’ils sont vus comme des Musulmans du fait d’être des Maghrébins, amalgamés à cette religion malgré eux, l’apostasie est et reste INTERDITE par l’Islam même sur le sol de France, une terre chrétienne laïque.
- Etre un apostat musulman, c’est être condamné à mort, une mort sociale ET une mort physique, dans un pays qui prétend lutter contre l’obscurantisme religieux, la France.
Tuer d’autres Musulmans au nom de l’Islam parce qu’ils ne veulent plus être des “soumis” est un grand honneur pour leurs Frères Musulmans.
Que ces jeunes filles sont belles, si fières et si libres, tête nue, avec leurs grands yeux de biche et leur sensibilité féminine à fleur de peau, si jolie fleur et couleur de peau,
– accompagnées par des jeunes gens si beaux, si fiers et si valeureux, juste vêtus de shorts et de tee-shirts mais prêts à en découdre avec un homme d’âge mur peut-être armé,
- pour défendre les valeurs françaises d’égalité entre l’homme et la femme,
-
pour défendre le plus faible, la femme, contre le plus fort physiquement, l’homme !
Pourtant cet homme qui frappe une femme est l’un d’entre eux, un Français, mais pas l’un d’eux !, un “Français de valeur”.
Eux, ces “djeunes de banlieue”, ils sont Français dans l’âme et ils sont Français de coeur,
- sincèrement et simplement Français.
A cette jeunesse maghrébine, je voulais juste leur dire : – “Merci !”
-
“Merci !” à vous, djeunes de banlieue, qui vouliez intervenir, et qui m’avez interpellée par la violence de vos cris de protestation,
-
pour réveiller un quartier endormi dans lequel personne n’a bougé, pas même le petit doigt, pour empêcher qu’un homme frappe une femme, sa femme, au risque de la faire mourir.
Une chute suffit, après une engueulade, une chute due à une bousculade, par reculade de la victime affolée, pour la faire mourir.
Et une vie bascule !, celle de la victime tout comme celle de l’auteur.
En quelques secondes, la tête de la victime peut rebondir contre un coin de lavabo ou sur le coin d’une table et l’époux tuer sa femme, une maman, laissant des enfants orphelins et désemparés, leurs enfants à tous les deux, sans parents,
- ces parents eux-mêmes homme et femme, père et mère, tueur et victime.
Il aurait fallu prendre le nom de tous ces jeunes gens pour leur attribuer une médaille à chacun d’entre eux, la médaille du courage malgré leur jeune âge.
Entretemps, mon chien, Lion, avait copiné avec ces djeunes de banlieue car il avait bien compris, lui, le chien, ce que, moi, je n’avais pas compris immédiatement :
– qu’ils étaient dans le camp des “Gentils” !, ces “djeunes de banlieue”.
Nous nous sommes quittés, – moi, la vieille, eux, les jeunes -, pendant que, tous ensemble, ils accompagnaient la jeune femme frappée jusqu’à une voiture où un proche, appelé par elle, l’attendait pour la sortir de son enfer conjugal.
Grâce à eux, je sais maintenant que la France n’est pas perdue.
-
“Plus Français-e que, moi, je meurs !”, eux, ils sont !,
-
nos petits ‘Beurs” de banlieue,
-
cette fine fleur de France dont les graciles jeunes filles défendent “la femme” française
-
et ces virils jeunes hommes qui incarnent les valeurs guerrières d’une société où un homme, un “vrai homme”, ne bat pas une femme.
C’était le Code d’Honneur des Chevaliers chrétiens autrefois en France :
- un homme ne frappe pas une femme !
Ce matin, il fait jour.
Il y a eu un orage cette nuit.
Et le soleil est revenu sur le beau pays de France, notre pays à tous !
Nés sur une terre de France chrétienne, “ils”, ces jeunes Maghrébins, sont bien plus chrétiens que certains d’entre nous,
-
eux dont les ancêtres étaient déjà des Chrétiens quand nous étions encore des païens et des barbares.
J’en profite pour saluer Saint Augustin, le plus grand philosophe chrétien, dont la maman berbère algérienne a été canonisée par l’Eglise Catholique sous son prénom, “Sainte Monique”.
Monique était née à Tagaste, aujourd’hui Souk-Aharàs, en Algérie, au sein d’une famille chrétienne.
Car les PREMIERS CHRETIENS sont nés du sang du CHRIST au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
Si nous existons aujourd’hui, en tant que nation chrétienne, c’est grâce à eux !
Eux qui ont été “soumis” avant nous, contre leur gré, à l’Islam, alors qu’ils nous avaient convertis au Christianisme par la vertu de leur exemple et la force de leur courage.
-
Ces conversions non voulues à l’Islam nous guettent toutes et tous en France si nous ne savons pas lutter ensemble, tous ensemble, contre la corruption des corps et de l’âme !
Le “Maghreb”, l’Occident de l’Afrique animiste, et l’Europe, l’Occident du monde païen, sont menacés par une conversion à la plus intolérante des religions qui soit, “l’Islam-isme”.
Soyons reconnaissants à nos soeurs et frères de l’Afrique et de l’Orient de montrer leur courage au monde entier, en refusant d’être ce qu’ils ne sont plus pour redevenir ce qu’ils sont,
-
des femmes et des hommes LIBRES convertis à la seule religion qui n’interdit rien,
-
sauf de ne pas aimer, de ne pas aimer l’Homme !
Cette religion sans interdit alimentaire et vestimentaire, religion qui nous rend LIBRES, c’est le Christianisme.
Il faut lever le VOILE identifiable de cet obscurantisme religieux, “l’Islam-isme”, qui nous abrutit dans un pays dont l’Etat dit laïque nous trahit
-
à l’exemple de ces femmes iraniennes et arabes qui jettent l’outil de l’oppression masculine aux orties
-
et rejettent ostensiblement ce VOILE de plus en plus porté en Occident par des “chiennes” de l’Islamisme arborant les chaînes de leur servitude volontaire.
Un signe religieux est et reste un symbole séditieux contre l’Etat laïque chrétien.
Ce chiffon noir, rouge du sang versé par les femmes arabes et iraniennes qui refusent de le porter, est devenu ce chiffon rouge agité par les Islamistes pour se poser en victimes de la “propagande” laïque de l’Etat français.
Le seul but du port de ce foulard est de faire admettre aux autres femmes françaises,
- par le subterfuge de femmes déjà soumises et conquises à l’autorité machiste d’hommes sexistes,
- leur propre IMPURETE et ce, dès leur puberté adolescente.
Le foulard islamique devient le racloir de la beauté féminine, une toile religieuse comme une toile d’araignée, qui les enferme dans leur propre cécité,
-
tant la beauté féminine est détestée par ces brutes désacclimatés de l’Islam
-
pour qui toute fille LIBRE de disposer de son corps est une SALE “pute”.
C’est la fumeuse théorie de “toutes des putes, sauf ma mère” qui fait croire à l’homme bestial qu’il peut administrer une raclée à sa femme non voilée comme il administrerait l’extrême onction à un malade mourant dans un hôpital public s’il était aumônier.
Etonnez-vous ensuite que ce soit les plus déséquilibrés d’entre les hommes et les moins cultivés qui se convertissent à cette religion machiste et sexiste ?
Il suffit d’avoir pour seul diplôme une bite et vous devenez le roi des cons,
- le roi des cons féminins.
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LES PUTES VOILÉES N’IRONT JAMAIS AU PARADIS !
Chahdortt Djavann
Edition Grasset
Résumé
[ Ce roman vrai, puissant à couper le souffle, fait alterner le destin parallèle de deux gamines extraordinairement belles, séparées à l’âge de douze ans, et les témoignages d’outre-tombe de prostituées assassinées, pendues, lapidées en Iran. Leurs voix authentiques, parfois crues et teintées d’humour noir, surprennent, choquent, bousculent préjugés et émotions, bouleversent. Ces femmes sont si vivantes qu’elles resteront à jamais dans notre mémoire. À travers ce voyage au bout de l’enfer des mollahs, on comprend le non-dit de la folie islamiste : la haine de la chair, du corps féminin et du plaisir. L’obsession mâle de la sexualité et la tartufferie de ceux qui célèbrent la mort en criant « Allah Akbar ! » pour mieux lui imputer leurs crimes. Ici, la frontière entre la réalité et la fiction est aussi fine qu’un cheveu de femme. […]]
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Des centaines d’années de combat féministe sont ainsi anéanties en très peu de temps par des “soumis” à un dieu qui est prétendu détester les femmes,
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parce que ces hommes frustes sont incapables de maîtriser leur animalité
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et de contenir leurs désirs sexuels,
-
“martyrisés” à la seule vue du corps d’une femme qui réveille en eux la “bête”,
-
la “bête” qui sommeille dans leurs corps à eux, dans leurs coeurs à eux,
-
pétris de “Noir Désir” !
La femme non voilée devient alors l’éternelle coupable du péché de l’homme qui la viole,
-
péché qui est dans l’oeil concupiscent de ces hommes qui regardent le corps de la femme, en la désirant sauvagement et brutalement,
-
péché qui n’est pas dans le corps de cette femme, fût-elle entièrement nue.
Le corps d’une femme n’est pas impur puisqu’il a été créé par Dieu comme le corps de l’homme.
– Comment Dieu aurait-Il pu vouloir que l’homme naquît d’une femme impure
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et qu’il pût s’unir à elle pour avoir un enfant qui naîtrait de son corps de femme ?
- Si le corps de la femme était impur ?
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De Saint Augustin :
“A force de tout supporter, on finit par tout tolérer.
A force de tout tolérer, on finit par tout accepter.
A force de tout accepter, on finit par tout approuver.”
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Perpignan : un dealer libéré à cause d’un problème de fax
[ L’affaire remonte au début du mois de juin mais témoigne d’un nouveau couac embarrassant de la justice après la libération en février d’un tueur présumé en Seine-Saint-Denis.
Ecroué en février pour tentative d’assassinat, Samy, un Perpignanais de 20 ans, est ressorti libre de la maison d’arrêt de Perpignan (Pyrénées-Orientales) au début du mois, rapporte ce lundi le journal Midi Libre. La faute au fax de la chambre d’instruction de Montpellier qui n’a jamais transmis son appel du rejet par un juge d’une demande de remise en liberté.
La procédure prévoit que le greffe de la prison envoie un document par fax afin de contester la décision du juge d’instruction mais la requête n’est jamais arrivée dans le délai imparti. Car la chambre de l’instruction a 15 jours pour statuer et fixer une audience. Sans nouvelle au bout d’un mois, ce jeune homme, soupçonné de tentative d’assassinat sous fond de trafic de stupéfiants, en réfère à son avocat qui constate que ni le fax, ni le courrier censé être envoyé par l’administration pénitentiaire ne sont parvenus au tribunal.
Le parquet général a reconnu son erreur et n’a pas pu s’opposer à la libération du délinquant. Mais Samy, qui n’avait que blessé sa victime au fémur, n’est pas sorti d’affaire pour autant. Il avait reçu en détention une carte postale au message univoque : «Prends des cours de tir. Nous, on t’attendra vingt ans.» ]
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Commentaires au choix
publiés à la suite de l’article de l’Indépendant du 23 juin 2014, voir supra :
Quand on dit que la justice française ne vaut pas un clou….sauf pour se retourner contre les victimes…
Bienvenue en France la justice aide la délinquance Un vrais bonheur cette justice Elle relâche des pedophiles elle relâche les violeurs elle relâche les dealers elle se relâche totalement En France il vaut mieux être tout sauf honnête pour être tranquille
La police et la gendarmerie prennent des risques pour arrêter des malfaiteurs , les juges font leur boulot et une secrétaire bloque la procédure à cause d’un fax non envoyé ” on se croirai dans un pays sous développer ??? Cela est scandaleux !!!
Tien encore un, dans ma banlieue les dealers sont tous des Samir en puissance, et bien connus de la police Ca ne m’étonne plus, la justice est restée laxiste devant ces gens là, de peur qu’on la traite de raciste
Les délinquants retiendront: inutile de soudoyer un juge ou des jurés pour éviter la prison, l’administration pénitentiaire suffit. Il faut vérifier si la personne chargée d’envoyer le fax n’est pas une connaissance de l’accusé, ça serait comique.
Il ne faut pas accabler Samir. C’est normal qu’il soit relâché. Qui n’a pas tenté un jour d’assassiner quelqu’un ?
Décidément des problèmes de fax il y en à de plus en plus à croire qu’il y a certains qui ne veulent pas que des voyous soit écroues ( il devrait avoir des licenciement pour cause grave ) le fax est remplacé par le mails en AR ??? Pourquoi pas de la modernité dans la justice ” plus de panne d’encre “
C’est juste la 4ème ou 5e fois que ça arrive..ils attendent quoi? La libération d’un violeur , meurtrier et j’en passe ?
A mon avis il va y en avoir beaucoup de problème de fax…une façon comme une autre de mettre les délinquants dehors en se retranchant derrière un pauvre appareil…(lol)…
Encore ? Cela ne devient plus crédible cette explication , et permet à penser tout …..
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Impossible de pouvoir continuer à copier des commentaires qui, tous, dénoncent l’impunité des délinquants et des criminels sous couvert de vices de procédure…
Trois petits points…
Ou de “bugs informatiques et techniques”.
Les citoyens ne sont pas dupes, ne sont plus dupes.
La CORRUPTION est le seul ordre reconnu,
- de l’ordre d’une EVIDENCE devenue MANIFESTEMENT publique.
C’est certain, à voir comment l’accès aux commentaires vient subitement de m’être supprimé sur le site du journal en ligne, l’Indépendant.
Avec un “précédent”, un commentaire dénonçant la suppression de l’accès aux autres commentaires, copié auparavant dans les commentaires laissés visibles :
[Eglantine le 24 juin 2014 à 13 h 27
Pourquoi maintenant est-il impossible de lire tous les commentaires ? Est-ce que vous faites des économies d’encre ?]
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Oui, il est certain que même les policiers et les magistrats de cette ville de Perpignan le savent fort bien !,
- que la CORRUPTION est le maître-mot de ce désordre généralisé,
- un désordre causé et caractérisé en tout premier lieu par l’impunité des “dealers”.
Le fait répété et récurrent de vouloir me faire taire par tous moyens est une autre preuve évidente d’un acharnement judiciaire dont la seule cause est à rechercher dans la dénonciation de trafics d’influence liés à ces trafics de stupéfiants qui gangrènent actuellement et FACTUELLEMENT tous les niveaux de notre administration française.
Exemple de la liberté d’expression en France à rapprocher des jugements de la XVIIème Chambre spécialisée en droit de la presse du Tribunal Correctionnel de Paris,
- ce droit de la presse qui oppresse le peuple de France !
PERMIS DE TUER, “FATWA”, contre Eric ZEMMOUR, les “Blancs” et les Juifs.
- AUCUNE PLAINTE, AUCUNE POURSUITE !
j’aime me promener sur votre blog. un bel univers agréable. Blog très intéressant et bien construit. Vous pouvez visiter mon blog. à bientôt.
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