Par paresse intellectuelle, les haut-fonctionnaires de Bercy,
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ce siège de l’Etat qui fonctionne en autarcie et en “autistie” comme un état dans l’Etat, cette noblesse des finances avec ses privilèges de classe,
– ils, ces “privilégiés” nous préparent une “casse” sociale accélérée.
Les “gratte-papiers” et autres rats des cabinets rabotent à qui mieux mieux les “avantages” des basses couches populaires, leurs ennemis, à cause de leurs aides sociales si enviées que sont le chômage, les aides à la famille et le secours aux personnes handicapées.
Le message est clair : – “Tout Français en difficulté dans sa vie sociale est un danger pour la Nation.”
Comme je ne peux pas aborder tous les problèmes posés par cette vision ubuesque et décervelée d’une société française dite “assistée” par des fonctionnaires qui se sont désistés de leur obligation de redistribution des biens de l’Etat,
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fonctionnaires qui ponctionnent durement les plus pauvres des Français pour le profit d’un petit nombre de privilégiés, les plus riches qui ne sont plus Français mais apatrides,
– je vais devoir choisir les plus pauvres des plus pauvres, disons ceux qui peuvent le moins se défendre contre ces mesures financières iniques,
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les personnes handicapées mentales et/ou physiques,
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sachant que les plus fous d’entre nous ne sont pas toujours ceux qui sont diagnostiqués comme étant “fous” par des Docteur DIAFOIRUS encore plus fous qu’eux !
C’est souvent au détriment des plus précaires, de ces handicapés solitaires dans un monde de moins en moins solidaire, que s’opèrent les ponctions publiques et impudiques sur leurs maigres ressources de plus pauvres parmi les plus pauvres.
C’est LA SOLUTION “de facilité” des agents d’un Etat au service des plus puissants pour ne pas nuire aux plus riches, les “copains” de la bande de coquins qui spolient la France.
L’Etat français est devenu l’ennemi des personnes les plus fragiles :
– il plie le pays à l’aune de mesures anti-sociales et déplie le tapis rouge des finances pour attirer les vedettes du CAC 40,
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tous patrons ou rentiers apatrides, mondialistes et immigrationnistes,
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c’est à dire tous “anti-Français”
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comme les “chances de nulle part” que ces “patrons”, casseurs de salaires et destructeurs du Code du Travail, font venir en France, vaille que vaille, parce qu’ils détestent tout autant qu’eux la France
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pour accélérer la transformation d’une société française anciennement constituée de citoyens par une Constituante Révolutionnaire.
Cette société interlope de serfs et d’esclaves, rêvée par ces trafiquants d’êtres humains est la “main-d’oeuvre” future déjà présente sur le territoire NATIONAL qui sera mise en concurrence plus tard, elle aussi, avec des robots qui jamais ne boivent, ni ne mangent, ni ne dorment, donc qui seront opérationnels H24, eux.
Plus besoin de se poser la question des jours fériés chrétiens par une bande de crétins maçonniques !
Même les policiers, les gendarmes et les soldats, dont la plupart sont “pas francs”-maçons pour avoir des plans de carrière, promotions et mutations, gérés avantageusement en loges par des “cagoulés”,
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même les agents des forces de l’ordre pourront être remplacés par des robots INFATIGABLES qui ne revendiqueront pas leur droit à une vie familiale en pyjamas devant une Préfecture, eux.
Les différences sociales entre la caste des Maharadjas au style de vie mirifique et la caste des Intouchables au genre de vie horrifique sont causées par le circuit financier de l’argent,
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argent qui doit aller à l’argent, vous explique-t-on cyniquement,
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les pauvres n’étant plus que le cancer d’une société à l’humanité moribonde.
Or c’est oublier qu’un cancer peut détruire un corps vivant, surtout un “grand corps malade” comme celui de la France.
Plutôt que d’opérer la révolution fiscale tant attendue par des millions de Français démunis qui veulent voir diminuer ces écarts de revenus devenus intolérables et injustifiables,
– à défaut de pouvoir réduire ces injustices, Bercy propose de réduire le nombre de pauvres statistiquement existants,
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c’est à dire le nombre des bénéficiaires d’allocations.
C’est simple et efficace, c’est le même raisonnement que pour les chômeurs.
Du moment que des chômeurs n’existent plus statistiquement, ils n’existent plus officiellement.
Et automatiquement il y a moins de “chômeurs officiels”,
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mais de plus en plus de Français pauvres exclus du droit à exister en France, sans revenu déclaré, sans revenu du tout, même ceux de l’assistanat,
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sans toit, sans travail et sans papiers.
Oui, on peut être Français-e et ne pas avoir de papiers, surtout si l’on est S.D.F..
Perdre sa Carte Nationale d’Identité dans la rue est aussi courant pour un “sans abri” que retirer de l’argent avec une carte bancaire pour les Français-e-s qui ont un compte bancaire. La C.N.I. est le seul trésor de ces natifs français, un trésor très convoité par d’autres S.D.F. non français puisque ce “sésame”, la CNI, permet d’obtenir les précieuses allocations tant décriées dans nos médias.
Heureusement, de nos jours, un migrant demandeur d’asile – dossier déposé mais non traité – touche plus qu’un S.D.F. en France.
- A condition d’avoir déposé son dossier de demande d’asile !
Belle consolation pour les SDF qui sont moins attaqués par les migrants “officialisés” mais restent des cibles faciles pour les bandes de nouveaux arrivants qui doivent, eux aussi, étrangers ou pas, survivre dans la jungle administrative française.
– S’il existe des plaintes de SDF pour étayer ce constat ?
Pas plus qu’il n’en existe contre les policiers qui les font dégager d’un lieu public, en les menaçant de “shooter” leur chien et en les privant de leur maigre paquetage.
Mais il est possible de recueillir les témoignages des SDF, “Souches De Français”, surtout des femmes SDF, proies faciles des hommes,
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personnes vulnérables, majeures ou, pire, mineures, livrées à la rue et aux désirs “virils” d’une population sans ancrage géographique.
Aujourd’hui beaucoup de femmes SDF sont des femmes handicapées mentales, jetées à la rue par des familles brisées et éparpillées tandis que les hôpitaux psychiatriques deviennent des prisons réservées aux “déséquilibrés” dangereux.
Comme les migrants, ces SDF sont des “sans papier”.
Mais qui s’en préoccupe ?
Ces femmes SDF ne sont pas de la “bonne couleur” ni de la “bonne nationalité”, sinon elles auraient été prises en charge PRIORITAIREMENT avec ou sans papier par les ONG oeuvrant à détruire la Nation France.
Incapables de se gérer elles-mêmes, ces personnes vulnérables, majeures ou mineures, tombent dans “l’oubli administratif”. N’étant plus bénéficiaires d’aucune ressource, elles meurent “inconnues”, enterrées sous X, dans une quelconque fosse publique, alors que des enfants orphelins, placés d’office par un Etat qui, lui, pour le coup, est “autiste” au pire sens du mot, attendent d’avoir des nouvelles, au moins un signe de leurs mamans vulnérables, qui étaient aimantes
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mais PAUVREs, le pire péché pour les CAPITALISTES qui dirigent ce pays.
Oui, le pire, c’est l’ EXPLOITATION éhontée de cette population féminine en détresse, une population FRANCAISE.
J’ai ouï dire, témoignages à l’appui, que des assistantes sociales conseillent ouvertement à certaines mamans françaises de SE PROSTITUER, lorsqu’elles sont expulsées de leurs logements à cause d’une paie trop misérable pour un travail à temps partiel imposé par des patrons de grandes chaînes commerciales dont les salaires EXPLOSENT de manière indécente.
Ces patrons s’accordentà eux des centaines de milliers d’euros d’auto-rétribution mensuelle contre quelques centaines d’euros “donnés” du bout des lèvres et au bout du mois, avec une moue méprisante, à ces PAUVRES “MAMANS non voilées”, pour reprendre l’expression de la “pleureuse arabe” “Edwy PLENEL” plaignant les pauvres mamans voilées qui ne travaillent pas, elles, d’avoir à abaisser leur voile, signe ostentatoire religieux, quand elles souhaitent accompagner leurs enfants lors de sorties organisées par un établissement scolaire.
C’est ça, aujourd’hui, notre société française :
– plaindre celles et ceux qui profitent d’un système de redistribution social pour lequel ils n’ont jamais ou si peu cotisé
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et pourfendre hypocritement les chômeurs et les SDF qui, après avoir cotisé pendant vingt ans ou trente ans de leur vie de Français-e-s en travaillant à la dur, se retrouvent à la rue.
Il y a encore pire, le pire du pire !
N’oubliez jamais qu’aujourd’hui être pauvre ne veut plus dire être sans travail.
Beaucoup de jeunes et de mères de famille travaillent pour des salaires de misère et sont “à la rue”.
La perte d’un toit précède toujours la perte de son travail.
Le jeune ne peut plus être propre sur lui et se reposer dans un endroit sûr.
Il se retrouve confronté à la dure vie d’un “sans abri”, avec pour loi, celle du rapport du force, la loi de la jungle, celle de la rue,
– ou celle plus honteuse du “pas vu, pas pris”, des petits vols dans les grandes surfaces pour pouvoir vivre “proprement”, pas seulement se nourrir.
Ce sont les populations précaires des Nations perdues, au mieux logées dans des chambres d’hôtels misérables, ou cachées dans des voitures qui ne peuvent plus rouler, ou encore couchées par terre dans des cartons qui leur servent un peu de maisons,
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ces bivouacs que la “loi anti-bivouacs” permet de détruire sans pitié, malgré les cris de détresse des SDF qui sont dépossédés du peu qu’ils ont par un Etat français impitoyable avec “ses” pauvres,
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les Français pauvres.
Le travailleur pauvre doit se lever chaque matin, “cassé” par une nuit d’errance dans le froid, l’humidité, sous la pluie et exposé à tous les vents, à la recherche d’un endroit où pouvoir se laver alors que les Maires de France ont fixé comme priorité d’exclure les Français pauvres de leurs cités françaises,
– en supprimant tous les points d’eau gratuits, les bains et douches municipaux ou toutes autres haltes sanitaires pourtant nécessaires à la vie tant humaine qu’animale.
Seuls les rats survivent dans ces villes françaises de l’égoïsme extrème où il a été décidé que les grands arbres qui consomment de l’eau gratuitement sont aussi des “parasites”. Les oiseaux disparaissent et les moustiques pullulent avec d’autres insectes infects qui n’ont plus pour prédateurs naturels que les hommes aisés, les riches gens des mégalopoles aux visées salopes .
A Perpignan, le Maire a détruit toutes les végétations plantées par ses prédécesseurs, coupant les arbres, surtout les plus beaux, ceux qui sont irremplaçables, dépensant sans compter pour combler de terre le moindre bassin d’eau et désosser les fontaines, ces points d’eau offerts gratuitement aux enfants pour jouer, aux animaux pour s’y abreuver et aux PAUVRES pour s’y laver, quelle horreur !
A la place, le Sahara…
Des cailloux qu’il n’est point besoin d’arroser et du béton qu’il faut sans cesse réarmer parce qu’il se déforme sous l’action du soleil et de pluies de plus en plus violentes, que la terre privée d’herbe et de verdure n’absorbe plus.
Il a tout compris, le Maire de Perpignan, tout.
Il combat l’action du feu par une politique de la terre brûlée et s’en félicite.
Le feu n’aura plus rien à se mettre sous la dent ? Nous non plus !
Mais qu’importe !
La bêtise humaine est sans limites, elle, contrairement au feu.
Plus d’arbres, plus de haies, plus d’herbes, mais du béton partout, des cailloux et des cactus, auxquels s’ajoutent des palmiers maigrichons et malades sous un climat catalan de plus en plus humide parce que la Nature se venge de la MALtraitance humaine, de cette MALfaisance municipale qui croit pouvoir transformer son milieu naturel comme un enfant qui joue avec de la pâte à modeler.
Il n’a jamais autant plu que depuis que Monsieur le Maire a cru pouvoir faire la pluie et le beau temps à Perpignan, en voulant faire de cette terre catalane autrefois si verte une terre arabe et aride, une terre marocaine.
- Il y a comme un cactus !
- Aïe !!!
A trop confondre Marrakech la Maghrébine, sa ville et terre de prédilection, avec Perpignan la Catalane, sa ville et terre d’élection, le Monsieur le Maire se retrouve avec un “désert” urbain envahi de zones dites constructibles,
– zones artisanales et commerciales se ressemblant toutes,
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c’est à dire ressemblant à s’y méprendre à ces villes mortes du Far West, où de grands cactus indiquent aux voyageurs égarés qu’ils… se sont perdus,
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bel et bien perdus, corps et âmes, dans un cimetière de sable et de rocaille
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où la racaille locale joue aux indiens et aux cow-boys avec les policiers du coin.
Il y a plus de commerces ouverts à Perpignan que de clients potentiels tant la population est pauvre.
Explication économique de nature “politique” (gestion de la “cité” “polis-police”) :
– Il faut bien blanchir l’argent des trafics de drogues.
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Perpignan : une PME familiale de trafic de drogues arrêtée
[Leur petite entreprise ne connaissait pas la crise. La brigade des stups de Perpignan à mis fin à un trafic d’héroïne, de cocaïne, de cannabis monté par un père et son fils.[…]]
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Perpignan est devenue la plaque tournante des trafics de drogues dans le Sud de la France, en particulier pour le shit marocain.
S’il n’y a plus de “ceinture verte” protectrice autour du village de Cabestany, à proximité de Perpignan,
– village naguère prospère sacrifié aux appétits des “Frères la Gratouille” pour servir leurs transactions immobilières et se remplir les poches, des poches sans fond, grâce à leurs magouilles financières,
– et ce, contre la volonté des villageois qui se sont opposés en vain à la disparition de leurs espaces verts,
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les Perpignanais et les Cabestanyencs peuvent se consoler en consommant à tire-larigo de la “beuh bien verte”,
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herbe verte, elle, qui pousse partout dans les quartiers urbains et envahit, comme les rats, les habitations de cette ville exemplaire !
“Exemplaire” s’entend comme “exemple à ne pas suivre”, bien sûr.
Vous avouerez que ce raisonnement qui consiste à vouloir faire pire qu’un feu de forêt en détruisant toute la végétation alentour pour qu’un incendie ne puisse pas s’entretenir avec les broussailles, les haies et parfois même les arbres restants, racines de tous nos maux, ayant échappé à la colère humaine voulant les détruire,
– raisonnement voulant démontrer que détruire nos espaces verts protégerait du feu qui, sinon, menacerait l’homme,
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vous avouerez que c’est un raisonnement humain très curieux, même quelque peu suicidaire.
- Détruire tous nos espaces verts pour que le feu ne puisse pas le faire, yes !
Je discutais avec des chasseurs, – lesquels ont la super-cote auprès d’Emmanuel MACRON -, sur le fait que les arbres plantés sur les bords des canaux centenaires des terres catalanes ont tous été coupés, à quelques très rares exceptions près.
La réponse des chasseurs fut aussi stupide que celle motivant la destruction des espaces verts sauvages ou urbains dans le Sud de la France.
Là, le motif de cette déforestation qui les prive de gibier n’est plus les incendies ou la sécheresse mais ce sont les inondations. Si vous ôtez tous les arbres des bords des canaux et des berges des rivières, plus de risque qu’en cas d’inondations, des troncs d’arbres puissent provoquer de graves dégâts sur des biens matériels humains, m’ont-ils assuré, répétant ainsi bêtement, eux aussi, les sottises apprises par des technocrates dont le seul but est d’obtenir plus de “terrain nu”, du foncier déforesté, pour faire construire du bâti et s’enrichir.
Alors, moi, je propose de pousser ce raisonnement parfaitement imbécile, car absurde, jusqu’au bout de sa logique :
– en cas de tempête ou de tornade, fût-elle “mini-me”, nous sommes bien d’accord que les toits des maisons résistent peu souvent à ce genre d’intempéries de plus en plus fortes ?
Aussi, si nous suivons le raisonnement de nos préventionnistes climatiques et autres technocrates, idiots utiles de la bétonisation du territoire français, je conseille tout simplement de construire des maisons sans toit.
Ou mieux !
De ne pas construire de maisons du tout,
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comme ça il n’y aura plus de risque que des habitations humaines soient détruites
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et que des “méchants” toits s’envolent,
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toits qui pourraient tuer des “innocents” humains.
Car enfin, c’est bien le même raisonnement qui prétend vouloir éviter le RISQUE NATUREL en SUPPRIMANT l’OBJET du RISQUE ?
– Ou me trompè-je ?
Notez bien que c’est extrémement astucieux, ce raisonnement de financiers et d’assureurs, même s’il est assez ridicule en soi.
En effet, si nous marchions tous à pied, il n’y aurait plus d’accidents de voitures !
C’est le raisonnement analogique ab absurdo par excellence,
– analogique comme “analogue” qui pourrait s’écrire autrement :
– “âne-alogue” -, le “raisonnement des ânes”.
D’ailleurs, Bernard CAZENEUVE en est un fameux exemple de ce raisonnement par excellence.
Car ce “fumeux” ex-Ministre de l’Intérieur, tant loué par ses frères trois-points aussi stupides que lui, avait préconisé l’arrachage de tous les platanes de France plantés en bord de route pour éviter les accidents dus à ces arbres majestueux, puisque multi-centenaires.
– La fronde des hommes chauves contre la frondaison des platanes !
- Arrêtez de donner à boire aux platanes, ça les rend fous !
Puisque c’était de la faute des platanes si des chauffards perdaient le contrôle de leur véhicule sur des routes secondaires, très secondaires pour l’Etat français, mais dites “routes nationales”, il fallait donc supprimer les platanes.
Se tuer contre un platane, c’est aussi stupide que de se tuer en tombant dans un escalier.
– Faudra-t-il supprimer tous les escaliers de France pour éviter les chutes dans les escaliers ?
Vous me direz que je m’égare et que cette digression ne me mène nulle part.
-
Faux !
Observez bien et écoutez bien vos élus politiques à l’intelligence si peu développée !,
– qu’elle fait honte au bon sens paysan de nos aïeux, aux yeux moins chassieux que les leurs, ces gouvernants “aveugles”,
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élus du peuple éblouis par l’éclat de l’or jaune et pourris par celui de l’or noir !
LA SOLUTION pour ces gens intellectuellement limités,
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les handicapés du coeur qui prétendent nous gouverner
– est de faire DISPARAITRE théoriquement les Français pauvres des statistiques officielles.
Après tout, les Maires ont déjà fait DISPARAITRE physiquement, de la vue d’autres Français privilégiés, ces Français nécessiteux des centres villes de nos cités de France, les SDF, nouveaux lépreux de ce siècle,
– soit en les éloignant géographiquement,
– soit en les éliminant par la faim, la soif et l’exposition aux risques naturels dans des conditions extrèmes
– comme ces chats abandonnés que le Maire de Perpignan INTERDIT de nourrir pour les faire mourir “naturellement” et si cruellement dans sa si charmante ville catalane qu’il préfèrerait voir marocaine.
Ce qui a été essayé avec un certain succès contre les SDF français, les faire disparaître, au moins de la vue des Français-e-s, est testé aujourd’hui contre les migrants avec un succès identique.
-
Vivre sans eau, sans nourriture et sans toit, quel être humain accepterait de subir “ça” ?
Pourtant, c’est chaque jour que Dieu fait que des Français SDF, de plus en plus jeunes et de plus en plus vieux, femmes, hommes, enfants, “survivent” dans la rue, pire, dans la forêt comme des bêtes, abandonnés à eux-mêmes,
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tant que dureront les arbres et qu’ils pourront les abriter !
Donc voilà notre gouvernement de bienfaiteurs qui s’attaquent à la principale cause du déficit français, les Français pauvres !
Il faut les faire disparaître, au moins les dissimuler dans la rubrique des “travailleurs pauvres”, lesquels, s’ils sont pauvres, ne sont plus comptabilisés en tant que chômeurs puisqu’ils travaillent.
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Alléluia !
Car, statistiquement, les pays riches sont ceux où le taux de chômage est au plus bas…, il paraît.
Tant pis si les travailleurs précaires de ces pays sont des “SDF”, PAUVRES gens aux salaires payés à coups de lance-pierres, par conséquent si pauvres qu’ils ne peuvent se payer un loyer, c’est à dire un foyer.
La logique est implacable, une logique de chiffres et des apparences “mondaines”,
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une logique issue d’une politique mondialiste et immigrationniste.
Logique de la Finance internationale qui s’affirme aussi dans cet adage, le leur :
- Un handicapé n’est pas un travailleur, c’est un profiteur !
Car il profite de son handicap.
Pour ces gens-là, il faudrait écrire un livre s’intitulant “Du bonheur d’être handicapé en France !”
J’invite chaque Français-e à perdre, un jour, qui, un bras, qui, une jambe ou la vue, pour pouvoir profiter de cet intense bonheur, au moins une fois dans leur vie, être handicapé-e.
Ce serait dommage de passer à côté d’une telle expérience, une expérience si riche !, pouvoir profiter de son handicap en France.
Moi, tous les matins, je prie Dieu pour être handicapée,
– tout comme vous, je présume ?
Quelle chance j’aurais, en France, si je pouvais être handicapée moi-même
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comme ces handicapés-moteur que je croise en fauteuil roulant, circulant péniblement sur nos trottoirs de France, bloqués dans leur progression mobile et sociale par le moindre obstacle administratif et matériel – et ils sont fréquents, ces obstacles ! -,
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ou comme ces adultes handicapés mentaux exploités dans des ESAT, ces centres de travail forcé où le rendement est devenu le maître mot d’associations gérés par des “pas francs”-maçons bien-portants, eux. En effet, la franc-maçonnerie s’est arrogée le droit social de récupérer les fonds publics associatifs pour les handicapés, en lieu et place des personnes handicapées que ces “handicapés du coeur” bien-portants prétendent aider !
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D’importants profits sous couvert de BIENfaisance sont réalisés par ces associations de la MALfaisance, au même titre que les ONG spécialisées dans la traite humaine des migrants, profits dont la non-redistribution aux victimes de la vie qu’ils prétendent protéger pose tout autant question que l’opacité de la gestion financière de leurs associations et ONG maçonniques.
Aussi je peux comprendre que les haut fonctionnaires de Bercy soient jaloux de ce statut privilégié qu’est le statut “RQTH”, la “Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé” qui vous permet de gagner chaque mois 800 euros
– et de n’en conserver que quelques centimes au début du mois,
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après ponction par la banque de toutes les pénalités dues aux incidents de paiement,
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le règlement de son loyer de plus en plus cher,
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le virement du salaire de son aide-ménagère de plus en plus bas, mais dont elle a besoin quand même pour vivre, elle aussi,
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le paiement de la location de son fauteuil roulant de plus en plus brinquebalant et irréparable,
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le montant de sa première et dernière commande “alimentaire” qui devra suffire un mois entier, sous peine d’être à découvert dès le 10 du mois courant et d’être jeté à la rue par les compatissants services sociaux de son “habitation à loyer modéré”.
Bref, c’est trop “cool” d’être un travailleur handicapé, avec ou sans travail, au XXIème siècle !
Je dois préciser :
– “un travailleur handicapé” FRANCAIS qui bénéficie de la SOLIDARITE NATIONALE,
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un devoir de SECOURS, il paraît.
Mais un travailleur handicapé, aujourd’hui, en France, ça rapporte moins qu'”un migrant”.
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“Le migrant”, c’est “la subvention publique” à coup sûr, le Loto gagnant des associations et des ONG gérées par les “pas francs”-maçons !
C’est mieux qu’être handicapé ou travailleur handicapé français en France, être un “migrant”.
Cette vague étrangère, cette manne maçonnique, permettra aux collectivités territoriales de s’enrichir, grâce à des fonds européens, en accueillant ceux qui ne travaillent pas et qui n’en ont pas forcément l’intention, ni encore moins l’envie
-
et en méprisant OUVERTEMENT la VOLONTE du PEUPLE de FRANCE, des millions de fois exprimée, de mettre fin à une “invasion” de personnes non handicapées,
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migrants traités comme du bétail par des esclavagistes pour servir les intérêts d’une caste oligarchique richissime qui n’en reçoit aucun, de ces migrants, dans ses châteaux,
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pour les faire travailler, au plus bas coût, en France,
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les exploiter sous les coups de ces patrons, anciens “colons”,
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en “cassant” les salaires des devenus précaires Français
-
après avoir cassé un Code du Travail trop “protecteur” pour ces nouveaux Maîtres de ce monde sans frontières, à l’image de leur argent sans couleur ni odeur.
Le rêve de ces patrons, fournisseurs d’esclaves marrons qui fuient la misère des guerres que ces ultra-libéralistes ont provoquées,
– c’est que les migrants deviennent des Français
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et que les Français deviennent des migrants
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– “TOUS PAREILS”, c’est le mantra de ce siècle d’esclavagistes.
- Au lieu de lui apprendre la TOLERANCE vis à vis des DIFFERENCES VISIBLES et INVISIBLES.
Pendant ce temps, nos structures “hospitalières”, du mot “hôpital”, périssent.
La santé publique de la France et la santé privée des Français sont en danger.
Paradoxalement, alors qu’il semble impossible que les hôpitaux publics puissent boucler leur budget, néanmoins des fortunes se sont bâties sur les secteurs privés de la médecine et des cliniques.
En période d’austérité, les fonds de pension s’engraissent
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tandis que l’austérité tue la charité publique.
La cure d’austérité, la potion du Docteur DIAFOIRUS, rend malade le peuple de France, ses médecins et ses personnels soignants.
-
A qui donc profite ce crime d’Etat ?
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Qui veut tuer la Sécurité Sociale et offrir son cadavre aux assureurs du Club privé, très privé, des “Bildeberg” qui doivent se réunir à Turin en Italie au mois de juin 2018 ?
Turin, la ville du Saint-Suaire, sera-t-elle la ville du calvaire des “Bildeberg” ?
Je vais donc vous expliquer la proposition de santé publique qui aurait été faite par les cerveaux malades des “Inspec-tueurs” de Bercy pour réduire le volume de l’AAH,
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cerveaux malades qui nous rendent malades
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malades d’une austérité politique qui désosse toutes nos structures sociales et ronge jusqu’à l’os le budget de l’Etat français.
Il s’agit de (citation) : – “réviser plus souvent (périodicité) le stock des dossiers des bénéficiaires de l’AAH, c’est à dire de “l’Allocation des Adultes Handicapés”.”
Or que signifie “révision plus périodique du stock de bénéficiaires de l”AAH” dont le montant mensuel d’environ 800 euros est fixé en-dessous du seuil de pauvreté établi à 1015 euros en France pour une personne vivant seule ?
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1015 euros, c’est le seuil de pauvreté, pas le seuil de richesse, entendons-nous bien !
Je rappelle pour ceux qui l’ont déjà oublié, non concernés par cette promesse, que le montant de l’AAH devait être revalorisé de 100 euros par Emmanuel MACRON, donc être fixé à 900 euros,
– donc rester en-dessous du seuil de pauvreté,
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une fois qu’il aurait été élu Président de la République française.
Cette promesse, faite par l’actuel Président de la République française, Emmanuel MACRON, lors de sa campagne présidentielle de 2017,
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quand il se la jouait “sport collectif” en fauteuil roulant parmi et avec de vrais handicapés-moteurs,
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vrais handicapés-moteurs à qui il va bientôt couper les vivres grâce aux “lumières” des “Inspec-tueurs” génocidaires de la Finance,
– cette promesse présidentielle n’a donc pas été tenue.
C’est vrai, quoi !, la solution existe contre le handicap.
Le problème devrait être réglé pour l’handicapé-e, dès sa naissance ou lors du moindre accident de parcours, accident de circulation ou accident de travail, peu importe l’âge de l’accidenté-e.
Oui, la solution existe.
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Elle a pour nom “EUTHANASIE” !
– Il suffirait d’euthanasier toutes les personnes handicapées.
Ce serait pour leur BIEN.
L’euthanasie doit être proposée à toutes et à tous, car il y va de la santé économique de notre pays !
Si j’ai bien tout compris, car tout le monde n’a pas le cerveau d’un “Inspec-tueur” des Finances,
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– Dieu soit loué !,
– il s’agirait rien moins que réduire le délai de réassort du stock des bénéficiaires de l’AAH,
– pour finir par réduire la quantité des bénéficiaires de l’AAH.
Vous noterez que c’est un langage comptable parfaitement adapté à la gestion INHUMAINE des allocations pour les personnes handicapés
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allocations gérées par les “handicapés du coeur” de Bercy.
Car, comme je l’ai toujours écrit, le pire handicap, en ce monde, c’est celui de la méchanceté.
C’est le plus répandu aussi.
Et là, franchement, je suis pour l’euthanasie.
En effet, réfléchissez :
– Si vous euthanasiez toutes les méchantes personnes sur cette terre, mais la vie sur terre deviendrait un Paradis !
Donc ces “Inspec-tueurs” auraient trouvé la solution pour résorber le déficit de l’Etat,
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récupérer de l’argent public sur le dos des personnes handicapées,
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gens les plus vulnérables de notre société !
Sinon que signifie dans leur jargon de “Doc-tueurs” DIAFOIRUS de la Finance, la “révision plus périodique du stock de bénéficiaires de l’AAH” ?
1) Raccourcir le temps de jouissance de l’AAH (puisque c’est jouissif d’être handicapé-e, selon eux)
2) Obliger les personnes handicapées à être prises dans l’éternel mouvement d’une demande de renouvellement de l’AAH,
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le mythe de l’éternel retour du dossier qui n’aboutit pas
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par manque de temps, manque de moyens et pire, par manque de volonté de l’administration.
Il suffit d’obliger les Handicapé-e-s à devoir déposer un dossier de demande de renouvellement de l’AAH plus souvent auprès de la MDPH, puis auprès de la CAF,
-
car il n’y a pas de guichet unique, contrairement à ce qui devait se faire au moment de la création de la MDPH
-
pour faire tomber cyniquement et mathématiquement le nombre des bénéficiaires de l’AAH.
Les “Inspec-tueurs” comptent bien (et ils savent compter !) transformer cette population indigente, mais pas suffisamment pauvre à leurs yeux, les Handicapé-e-s,
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en demandeurs perpétuels de renouvellement de leur ancienne, très ancienne AAH,
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pour ne bénéficier que de plus en plus rarement, très rarement même, de cette AAH qui pourra alors être revalorisée, comble du cynisme !
Puisque les bénéficiaires qui auront REUSSI à obtenir l’avis favorable de la MDPH,
-
puis l’accord de la CAF qui re-vérifie tout, encore une fois, malgré l’avis favorable de la MPDH,
-
seront de moins en moins nombreux.
Au fond, ces “inspec-tueurs” des Finances Publiques ont inventé l’épreuve :
– du “monter l’escalier” à pied pour les handicapés-moteur,
– de la traversée du boulevard des Champs-Elysées sans passage piéton aux heures de pointe pour les aveugles
– et du QCM à réponses multiples, toutes fausses, pour les handicapés mentaux.
Invention machiavélique de “la case à ne pas cocher”, sauf si vous voulez mettre fin à votre “vie de chien”,
-
une chiennerie de vie de personne handicapée avec un handicap PERMAMENT
-
et un dossier de demande d’allocation à RENOUVELER tous les deux ans comme si, tout à coup, vous pouviez guérir d’un handicap PERMANENT.
– Une honte !
Je vais vous le démontrer.
-
C’est “diabolique-ment” méchant !
Par conséquent je propose de surnommer le couple à la tête de nos Finances Publiques, les “Inspec-tueurs” “SATANAS” et “Diabolo”,
-
ces “Fous Volants” redoutables qui tentent d’ELIMINER sur leur passage tous les pauvres “pigeons” français, les gentils “Zéphyrin” handicapés.
Retour sur ce dessin animé, “Les Fous Volants” :
– SATANAS et Diabolo n’hésitent pas à intercepter les messages des personnes handicapées, leurs mails et leurs communications téléphoniques par tous moyens légaux et illégaux, justement et INJUSTEMENT.
Tous les coups sont permis, surtout les plus tordus.
Et c’est tordant de rire, pour SATANAS et Diabolo, que…
-
de voir les “Zéphyrin”, ces pigeons, voler entre les balles et tenter péniblement de déposer un dossier de demande de renouvellement de l’AAH,
-
dossier qui ne sera jamais traité à temps par la MDPH, sauf si le travailleur handicapé qui travaille n’a pas besoin d’une allocation,
-
auquel cas la MDPH garantit les délais de traitement en quatre mois maximum.
En clair, si vous êtes handicapé-e et que vous n’avez pas besoin d’argent pour vivre parce que vous gagnez déjà bien votre vie, votre dossier MDPH sera traité dans des délais raisonnables.
Mais si vous êtes trop handicapé-e pour pouvoir travailler, la MDPH prendra son temps,
– le temps qu’il faut pour retrouver votre demande d’allocation qui aura été égarée entretemps
– le temps qu’il faut pour vous envoyer une demande de reconstitution du dossier perdu par courrier ECOPLI, s’il vous plaît,
– le temps de re-perdre la deuxième demande, ainsi de suite,
– puis le temps de vous demander un énième justificatif pour la troisième ou quatrième demande d’allocation, justificatif non exigé lors du dépôt du premier dossier,
-
pour finalement… oublier votre troisième ou quatrième demande d’allocation dans un fond de tiroir, en attendant que vous vous décidiez :
– soit à menacer de faire sauter la banque et son banquier, vous trouvant sans ressource aucune depuis plusieurs mois
– soit à menacer de faire sauter la MDPH, cette “Maison Départementale”,
-
votre Maison, celle des Personnes Handicapées, si vous êtes handicapé-e,
-
cette “Maison Départementale des Personnes Handicapées”, la “MDPH” qui était censée vous permettre de vivre “décemment” et “dignement” en France, malgré votre handicap PERMANENT.
Au cas où vous auriez survécu à votre handicap, sans aide-ménagère, sans possibilité de pouvoir vous nourrir et vous loger, puisque sans argent,
– et au cas où vous auriez enfin obtenu l’avis favorable de la MDPH uniquement valable pour une durée de deux ans, c’est à dire arrivant à expiration dans l’année qui suit la décision enfin obtenue en votre faveur, vu le retard pris dans l’octroi de vos droits renouvelables, mais non renouvelés automatiquement,
-
la CAF se charge de vous donner le compte au nom du déficit public
-
ou pour régler d’autres comptes “personnels”, sous couvert de fraternité dévoyée,
-
s’octroyant le droit de REVISER l’avis de la MDPH, à partir de considérations purement financières,
-
qu’importe si votre handicap est REEL et PERMANENT.
La déclaration de ressources de la personne reconnue handicapée devient une déclaration de guerre au Ministère des Finances,
– déclaration de guerre qui soumet le pigeon handicapé à un parcours du combattant
-
lequel ne prend fin qu’à la mort d’un des protagonistes,
-
le plus souvent la personne handicapée qui se suicide
-
ou meurt d’inanition de la faute de l’inaction des services publics.
Parce qu’il est rare de voir mourir une “personne morale” en France.
- Et c’est bien dommage !
Rien ne semble vouloir et pouvoir limiter l’appétit de la CAF pour les justificatifs injustifiables rationnellement et réglementairement.
Si les données des fichiers peuvent être croisées, il est plus amusant et vivement conseillé pour la CAF de contrôler fiscalement des personnes vulnérables et sans défense, des personnes handicapées, en leur demandant des papiers et encore des papiers, toujours plus de papiers… papiers qui sont déjà en possession des services demandeurs de ces papiers.
Puisque les papiers sont conservés ou devraient l’être par les services des Impôts, de Pôle Emploi ou de la Sécurité Sociale, archives qui rendent inutile d’exiger ces papiers de la part de contribuables handicapés, mal organisés, en situation précaire et soumis à un arbitraire fiscal inadmissible.
Mais c’est tellement plus amusant de faire contrôler fiscalement et quasi systématiquement des handicapés mentaux et physiques plutôt que de contrôler fiscalement les patrons du CAC 40,
-
les spécialistes de l’évasion fiscale qui se chiffrent à des milliards d’euros de perte pour la France.
Ce serait grand dommage de priver de pareille jouissance intellectuelle nos “inspec-tueurs” des Finances Publiques et de ne pas gratifier les directeurs de la CAF d’une récompense substantielle chaque fois qu’ils font économiser de l’argent à l’Etat sur le dos des plus pauvres et des plus vulnérables, les personnes handicapées.
Ainsi, exemple-type de ces stratagèmes méprisables, en janvier 2018, le directeur de la CAF de Perpignan a osé demander à une personne handicapée de produire la copie de son ancienne carte d’invalidité pour pouvoir faire bénéficier à la personne qui l’assiste, de l’allocation PCH,
– alors que la copie de la nouvelle carte d’invalidité a bien été transmise à ses services avec l’avis favorable de la MDPH pour l’octroi de la PCH à cette assistante de vie.
- PCH non attribuée à toutes les personnes handicapées,
- même et surtout quand elles y ont droit, avec avis favorable de la MDPH !
Sachant que la demande de renouvellement de l’AAH avait été déposée par la personne handicapée atteinte d’un handicap permanent en janvier 2017,
– que l’avis favorable de la MDPH a été délivré seulement en août 2017,
– et sachant que la CAF elle-même a mis trois mois à accorder l’AAH
-
pour bloquer l’autre allocation, la PCH qui permet d’employer, donc de payer la personne assistant le travailleur handicapé,
-
sous prétexte de “contrôler” (?) la copie de la nouvelle carte d’invalidité,
-
puis, après un nouveau mois de silence, sous le même spécieux prétexte de devoir contrôler, cette fois-ci, la copie de l’ancienne carte d’invalidité datant de 2014, pour une personne handicapée FRANCAISE de naissance,
– il appert clairement qu’au mois de juin 2018,
- soit presqu’un an et demi après le dépôt de la demande de renouvellement de l’AAH en janvier 2017,
- la PCH n’est toujours pas versée à la personne handicapée pour cause de non production d’un document qu’il n’est pas NECESSAIRE,
- ni encore moins LOGIQUE de réclamer à cette personne handicapée
- pour l’aider à payer le salaire de son assistante de vie.
A l’heure où j’écris cet article, le problème n’est toujours pas réglé.
Par conséquent, il y a deux victimes dans cette affaire malheureusement courante d’abus de pouvoir commis par la CAF :
- la personne handicapée elle-même qui ne peut pas être aidée
- et son assistante de vie non payée depuis janvier 2017.
Etonnez-vous ensuite que des pères de famille désespérés s’aspergent d’essence dans un hall d’accueil d’une CAF, faisant craquer l’allumette fatale qui mettra fin à leur pauvre vie à cause de directeurs qui s’autorisent à rajouter de la bêtise aux bêtises déjà consternantes commises par les agents territoriaux de leur administration !
Soit ce directeur de la CAF est lui-même un idiot congénital,
-
ce qui n’est pas à exclure,
-
auquel cas il devrait demander l’AAH et démissionner,
– soit c’est un pervers ou un “pas franc”-maçon, – quoique c’est un pléonasme que de l’écrire ainsi -,
-
puisqu’un “pas franc”-maçon est toujours un pervers
-
qui règle des comptes sordides au profit de ses “frères la Gratouille” sur ce département, les Pyrénées-Orientales,
-
département infesté par ces fripouilles qui souillent les droits sociaux des personnes vulnérables à protéger.
Oui, l’actuel directeur de la CAF de Perpignan a bien demandé à une personne handicapée détentrice d’une carte d’invalidité VALIDE de lui envoyer la copie de son ancienne carte d’invalidité,
– sachant qu’il est vivement recommandé de détruire ses anciennes cartes, qu’importe la carte délivrée, CNI, carte bancaire, etc., pour éviter toute fraude en cas de perte de cette ancienne carte remplacée par une nouvelle carte.
-
Quel est l’intérêt de demander la copie d’une ancienne carte que l’on sait être probablement détruite ?
-
Pour prouver quoi ?
-
Et quel est le rapport entre l’ancienne carte d’invalidité de 2014 et l’attribution de l’AAH et de la PCH en 2017,
-
la MDPH ayant délivré un avis favorable pour l’attribution de la PCH en août 2017,
-
le handicap de la personne handicapée étant PERMANENT depuis la naissance de cette personne handicapée
-
et la nouvelle carte d’invalidité dont la copie a été envoyée à la CAF étant VALIDE, tout comme l’ancienne carte d’invalidité l’était déjà ?
-
Quel intérêt à part “enquiquiner” une personne handicapée et la priver de ses moyens de subsistance ?
Les Anglo-Saxons qualifient ce type de stratégies, – pour tout dire “dégueulasses” – :
-
demander des papiers pour rien, juste pour ennuyer un citoyen
-
ou bloquer l’octroi de ses droits
– le “RED PAPER“.
Si les “Inspec-tueurs” des Finances Publiques chassent le “gaspi” contre les pauvres gens, ils n’ont aucun scrupule à fermer les yeux sur les abus de pouvoir exercés par des fonctionnaires territoriaux ABUSANT de leur POUVOIR administratif à l’encontre des personnes les plus vulnérables.
-
C’est tout simplement inadmissible dans un pays “civilisé” et dans un état démocratique !
– Faudra-t-il payer un backchich à des fonctionnaires comme ce directeur de la CAF à Perpignan pour pouvoir obtenir de recevoir les allocations auxquelles des personnes handicapées ont droit ?
La CPAM de Perpignan est aussi minée par ces pratiques honteuses chez des gestionnaires et autres conseillers de “clientèle” à l’empathie très limitée, demandant eux aussi des justificatifs sans rapport avec le dossier traité.
– Pourquoi ?
-
Pour gagner du temps ?
-
Pour se moquer des assurés sociaux ?
-
Pour faire économiser de l’argent public sur le dos des plus pauvres ?
– Ou pour faire plaisir aux “cafards alimentaires” des placards FM,
-
personnels affidés aux Loges qui dirigent ces structures dites sociales
– et qui ont pour instruction “occulte” d’interdire aux personnes handicapées “blacklistées” qu’elles puissent “s’en sortir”, sauf les deux pieds devant,
-
en les poussant à mourrir,
-
après avoir laissé “pourrir” leur dossier au fin fond d’une armoire,
-
pour le seul plaisir “DIABOLIQUE” de frères “pas francs”-maçons, ni francs du collier ?
Les victimes handicapées, éliminées par sorties de route, sont laissées pour compte dans un ravin ou dans des sables mouvants.
Donc, en fin de parcours, après avoir traversé le désert de la MDPH et ses mirages, les “pigeons” handicapés peuvent aussi être explosés, pas de rire, mais à la dynamite, en terrain miné, par la CAF,
-
“rite sacrificiel” habituel pour le couple maudit, SATANAS et Diabolo,
-
si réel aujourd’hui, selon l’humeur de nos “spécula-tueurs” en série, qu’il est difficile d’en rire.
Car ce n’est plus drôle, c’est tout simplement tragique.
Mais il est vrai que nourrir les pigeons en France, dans ce pays dit “évolué”, c’est interdit.
Alors, leur accorder une allocation, à ces “Zéphyrins” volants, handicapés ou pas, ce ne pouvait être qu’interdit.
Nos Inspecteurs des Finances, qu’on ne peut soupçonner d’être des imbéciles même s’ils s’attaquent aux plus “débiles”, au sens “faible” du mot, savent pertinemment combien il est difficile pour des personnes handicapées de faire valoir leurs droits auprès des institutions publiques françaises.
Ces privilégiés de la Fonction Publique d’Etat n’ignorent pas que beaucoup d’handicapés adultes sont tout simplement incapables de déposer à temps leur demande de renouvellement de leur AAH, au vu du nombre de certificats médicaux, expertises et devis de soins exigés pour un seul dossier, HANDICAP PERMANENT ou pas.
En effet les personnes handicapées sont les plus vulnérables des Français-e-s, soit intellectuellement, soit physiquement, soit les deux à la fois.
-
Qui peut le contester ?
Aussi, il serait temps que vous connaissiez le parcours du combattant que doivent effectuer ces personnes handicapées, en rampant sous les balles, pour obtenir de vivre avec une allocation fixée en-dessous du seuil de pauvreté et non revalorisée à ce jour, malgré les promesses présidentielles d’un certain Emmanuel MACRON :
D’abord prendre rendez-vous auprès de médecins spécialistes pour obtenir des certificats médicaux, vieux de moins de six mois à la date de dépôt de leur dossier AAH,
-
sachant que les délais d’attente chez ces spécialistes en France sont de l’ordre d’un an à un an et demi
-
et que la durée d’octroi d’une AAH est de deux ans seulement, même pour un handicap PERMANENT.
Car il faut RECONSTITUER UN DOSSIER DE DEMANDE DE RENOUVELLEMENT DE L’AAH ET PROUVER SON HANDICAP TOUS LES DEUX ANS !, même si ce HANDICAP est PERMANENT.
Puis se déplacer chez ces médecins spécialistes qui n’habitent pas forcément, et de moins en moins, à proximité des domiciles de leurs patients,
-
ce qui implique de réserver à l’avance des transports adaptés
-
et de pouvoir se faire accompagner par une personne valide et apte à gérer un suivi médical
-
pour ensuite pouvoir constituer un autre dossier, le dossier d’admission aux soins (vive la France !) dans n’importe quel service médical, pour avoir la joie de “se frotter” à la CPAM locale de Perpignan.
-
Or qui s’y frotte, s’y pique, à la CPAM de Perpignan !
- c’est à dire les abus de pouvoir de la CAF et de la CPAM qui condamnent à l’exclusion sociale les personnes handicapées ?
Ensuite, si vous avez la “chance” d’être handicapé-e, il vous faudra remplir, pour la énième fois dans votre vie de “Personne Handicapée”, et de manière fort cruelle, des imprimés pour la MDPH, formulaires Cerfa dites “attestations médicales” indiquant que :
– “Oui, vous n’êtes pas allé-e à Lourdes”,
– “Oui, vous êtes toujours tétraplégique” ou “handicapé-e de naissance”,
– “Non, votre jambe n’a pas repoussé”,
– ou encore que : – “Vous êtes toujours aveugle”, etc..
Enfin vous pourrez déposer, – si vous avez tenu les délais, vous !, votre demande de renouvellement de l’AAH, au moins six mois avant la fin de la date d’expiration de la période de “jouissance” de l’AAH, période s’achevant au bout de deux ans,
-
pour obtenir l’octroi d’une allocation de solidarité nationale qui relève du DEVOIR de SECOURS d’un Etat français,
-
lequel confond l’AAH avec un privilège indû,
-
le PRIVILEGE d’être HANDICAPE-E à VIE
-
parce que vous vivez parfois d’une allocation dont le montant est inférieur au seuil de pauvreté fixé en France pour pouvoir y vivre dignement.
Si et seulement si la personne handicapée à vie a réussi à prouver aux experts médicaux qu’elle n’est pas miraculée de Lourdes et qu’elle a toujours besoin du secours de l’Etat français
– et si la personne handicapée a réussi à déposer son dossier à la MDPH six mois avant la fin de sa période de jouissance de deux ans d’une vie de “chien maltraité”,
-
il lui reste maintenant à attendre l’avis de la commission de cet organisme déclaré vivant, la MDPH,
-
mais en fait moribond, au bord de l’agonie sociale, lui aussi,
-
car au bord de l’asphyxie administrative, le “MAL français”.
Ne vous illusionnez pas !
Il n’existe pas de moyen de réanimer un “grand corps malade” en France.
Tôt ou tard, l’Etat laïque et christianophobe le rebaptisera d’un autre nom par un acronyme encore plus barbare que celui de la “MDPH”,
-
réformette d’organigramme, la “spécialité-maison” des technocrates de la Maison-France.
Pour rappel , la “Maison Départementale pour les Personnes Handicapées” devait être un guichet UNIQUE qui traitait tout, du début jusqu’à la fin
-
exorcisant ainsi la peur de la “possession”,
-
la peur de l’Etat français que les pauvres gens deviennent des “possédants”, eux aussi.
– Si les pauvres gens deviennent riches, quelle horreur !
– “De quel droit les plus pauvres des pauvres parmi les Français et les plus vulnérables d’entre eux, les personnes handicapées, recevraient-ils de l’argent donné par la France,
-
c’est à dire accordé par des contribuables français remontés comme les horloges du temps passé contre les “assistés” sociaux du XXIème siècle ?”
Les bien-portants critiquant les “assistés” semblent oublier qu’il leur suffit de traverser une rue pour être renversés par une voiture,
- ou que n’importe qui peut avoir un AVC et se retrouver paralysé-e, “cloué-e” dans un fauteuil roulant.
Quant à la générosité du système public, il semble plus rationnel d’attendre un signe de Dieu dans notre ère d’agnostiques que d’attendre la notification d’un avis de la MDPH pour un énième dossier déposé près de ce “grand corps malade” qui agonise,
– secoué par d’horribles spasmes chaque fois qu’il est obligé de donner un avis favorable pour l’octroi d’une allocation de misère à un-e handicapé-e qui n’a pas été à Lourdes.
Je le répète :
– L’Etat y gagnerait, à accorder gratuitement des billets SNCF aux personnes handicapées, pour aller à Lourdes.
-
Une guérison = une solution !
-
Et une solution définitive.
– C’est mieux que l’euthanasie, non ?
Parce que l’euthanasie à grande échelle, moi, j’appelle ça, un génocide.
Que sont devenus les témoignages des handicapés “naïfs” qui ont confié les difficultés rencontrées dans le parcours d’un demandeur d’AAH ne travaillant pas,
- car atteint d’un HANDICAP PERMANENT ?
Si la MDPH n’a pas égaré votre dossier, mal digéré entre deux hoquets de rejet, rassurez-vous :
– son temps de retard pour le traitement de votre demande de renouvellement de l’AAH sera moindre que votre temps pris à devoir reconstituer un autre dossier, si le premier dossier s’est perdu !
Avec des certificats qui doivent être récents, je vous le rappelle expressément.
Et tant pis pour vous si votre premier, second ou troisième dossier MDPH “égaré” ou “perdu” contenait des certificats médicaux “récents”, devenus du coup trop vieux.
Vous reprendrez rendez-vous avec les médecins spécialistes dans un an et demi, deux ans
-
et, en attendant, vous vivrez d’amour et d’eau fraîche, en tendant la main dans la rue,
-
comme un SDF parce que vous serez un-e devenu-e SDF.
– Comment vivre sans allocation et tendre la main dans la rue quand on est une personne handicapée, par exemple un manchot ?
Oh pardon, c’est de l’humour noir, très noir.
– Achtung !
Il est vrai qu’en France,
-
il n’est plus permis de se moquer les uns des autres
-
même s’il est toujours autorisé de les “TUER” administrativement et physiquement.
Beaucoup de personnes handicapées mentales sont des SDF, tuées administrativement par des institutions “psychopathes”.
Josef SCHOVANEC, philosophe, écrivain et militant pour la dignité des personnes avec autisme, explique que des autistes “Syndrome Asperger”, au QI normal sinon supérieur à la moyenne, titulaires d’un doctorat, dorment à la rue, “désintégrés” par une société normative et MALadive.
Je n’ai pas la réponse “institutionnelle” pour expliquer ces terribles “errements” administratifs et ces horribles “enterrements” expéditifs.
– Bon, alors qu’elles meurent, ces personnes handicapées mentales !
De faim, de soif et de froid,
– dans la rue, comme de nombreux autres SDF handicapés,
-
victimes de ce même type d’erreurs administratives à répétition.
Si erreurs il y a !
– Qui contrôle les contrôleurs de l’Etat ?
Il n’y a pas qu’au Burkina Faso que la Justice ne traite pas de manière égale les citoyens d’une “République bananière” .
Les Ministères se refusent à intervenir dans les affaires courantes de leur administration, laissant leurs “petits” chefs imprimer leur pouvoir personnel et déprimer les agents de l’Etat mis sous une tutelle fraternelle et démis par la “cooptation des trois points”, “s’ils n’en sont pas”.
Si les erreurs de gestion se multiplient, c’est au profit de cette République maçonnique, la “France à fric”, qui oeuvre au noir contre les Français-e-s les plus faibles, les personnes vulnérables “qui n’en sont pas”.
Car les “impayés” de l’Etat que sont ces allocations bloquées, suspendues ou indûment supprimées,
-
ne donnent droit à aucune indemnité ni compensation financières pour les bénéficiaires de l’AAH, PCH et autres allocations
-
dommages et intérêts qui seraient moralement et logistiquement nécessaires quand les personnes handicapées arrivent au bout de leurs droits, au bout de leurs ressources, au bout de leur vie.
Entretemps, les banques participent à la curée et font payer à ces personnes handicapées des agios, des commissions d’intervention et autres inventions juteuses, pour pouvoir appauvrir davantage ces petits clients, clients encore une fois vulnérables et sans défense que sont les personnes handicapées.
Ainsi le Crédit Agricole a bien su profiter de la “dent creuse”, la rémunération des comptes inactifs mais qui seraient gérés (?) par les banques, – comptes inactifs MAIS gérés ? Bonjour l’arnaque ! -,
- pour “sanctionner” les personnes handicapées “incapables” de gérer ce qui n’est plus à gérer
- comme tout un chacun sait puisque même vous, la personne “bien-portante”, vous ne pourriez gérer un compte bancaire que vous avez fermé.
Montant du RSA pour une personne seule, 551 euros si pas d’APL.
- Avec APL (aide au logement) 485 euros.
- Seuil de pauvreté en France, pour une personne seule, 1015 euros.
DEMONSTRATION :
Malgré des demandes de fermetures de comptes bancaires par lettre recommandée avec AR, le Crédit Agricole “feint” habilement de ne pas savoir que le compte est fermé et continue de réclamer indûment, toujours et toujours, le paiement des frais de gestion pour comptes inactifs, alors que le compte de la personne handicapée est fermé parfois depuis plusieurs années.
- C’est à la personne handicapée de PROUVER qu’elle a bien envoyé une LRAR demandant la fermeture de son compte bancaire, et ce plusieurs fois antérieurement,
-
LRAR envoyée tous les ans précédant les relances du Crédit Agricole pour régler les frais de gestion de COMPTE INACTIF (?!!),
-
et ainsi de suite, sans fin…
JPMorgan, HSBC, Credit Agricole “Bank Cartel” Fined $521 Million For …
Socio-Economics History Blog – WordPress.com
Si jamais la personne handicapée commet l’erreur de perdre un seul accusé de réception ou tout autre justificatif, malgré les contentieux antérieurs établissant les “fausses” erreurs de gestion du Crédit Agricole gérant non seulement un compte bancaire INACTIF mais un compte bancaire CLÔTURE,
- le client handicapé “malheureux” peut s’attendre à devoir payer des années de retard pour des frais de gestion d’un compte inactif qui était FERME de fait,
– ce que le Crédit Agricole n’a JAMAIS nié les années antérieures !
Il faudra expliquer au peuple de France comment un compte bancaire fermé a pu se rouvrir tout seul cinq ou dix ans après, simplement parce qu’une année, une personne VULNERABLE n’a pas conservé un accusé de réception pour une LRAR,
- à cause d’une énième demande de fermeture de compte bancaire,
- imposé par cette banque, le Crédit Agricole, qui pratique autant l’usure bancaire que l’usure des nerfs.
Il est si facile de “pigeonner” les “pauvres” Français pauvres en France.
Aussi, comme la répétition est la base de toute bonne pédagogie, au vu du pauvre niveau intellectuel de ces “Inspec-tueurs” de la Finance, je vais reprendre l’exercice précédent.
L’agent de la MDPH qui aura égaré le dossier de la personne VULNERABLE à PROTEGER, n’aura pas eu le temps de le traiter au vu des demandes grandissantes d’attribution de l’AAH qui lui sont soumises et de l’absence de moyens matériels, sans oublier la réduction des effectifs.
Cependant, pour un Etat avare de son argent et refusant la redistribution des richesses financières, c’est toujours plus intéressant de culpabiliser les Français handicapés et de rejeter la faute sur ces vilains profiteurs, les “assistés” !
-
Que de donner à la MDPH le budget nécessaire à son bon fonctionnement.
La Dette publique est mieux partagée entre tous les Français que la richesse nationale et il n’y a pas de petites économies pour parvenir à la réduire.
Tous les Français, riches et pauvres, contribuent à rembourser la Dette de l’Etat français !
Et davantage les pauvres que les riches.
Car, au-delà des dysfonctionnements locaux et du fait qu’en France, les personnes handicapées sont des “pigeons” payeurs pour les crapules en tous genres,
– force est de constater que le concept du “GUICHET UNIQUE” est aujourd’hui complètement annulé par la “tutelle” financière de la CAF sur les décisions médico-administratives de la MDPH.
La MDPH, ex-autorité indépendante devenue personne morale “vulnérable”, se retrouve elle-même placée de fait sous la tutelle de la CAF.
On retrouve le même système français de chevauchement législatif qui consiste à faire voter une loi pour protéger les citoyens contre des escrocs, les banques, par exemple,
- pour ensuite faire voter une autre loi qui la contredit sans l’annuler,
- ou pour faire passer un “cavalier” dans une autre loi sans rapport avec l’objet de la première, dans le seul but d’annuler une protection accordée “démagogiquement” aux plus pauvres que soi,
- ce qui n’est plus “supportable” pour l’oligarchie régnante qui refuse le partage.
A quoi bon “partager” les richesses, “redistribuer” le patrimoine quand il suffit de “ruisseler” de bonheur pour faire pleuvoir de l’argent comme vache qui pisse en France ?
Le Code Civil contient un florilège de ces privilèges “nobiliaires” réservés à certaines classes sociales loin d’être les plus défavorisées dans la société française actuelle,
-
privilège unique de pouvoir déroger à la Loi française,
-
et privilège de ne pas être poursuivi-e en justice, “si l’on en est”,
-
si l’on est PAREILLEMENT un riche bourgeois jouant dans un club de golf,
-
sport qui a été “popularisé” dans les pays latins par la “pas franc”-maçonnerie anglo-saxonne “spéculative”.
Trop de lois tuent la Loi.
L’esprit des lois républicaines n’est pas l’esprit de la Loi française traditionnelle.
Instinctivement, les Français savent que la défiscalisation, les niches fiscales et les autres “faveurs” accordées aux plus riches d’entre eux, prouvent qu’il n’est plus vrai de dire que tous les Français sont égaux devant la Loi française.
-
Certains Français sont plus égaux que d’autres !
Tandis que d’autres Français sont moins égaux, comme ces personnes handicapées “nécessiteuses” en France,
- personnes handicapées considérées comme des rebuts de la société française par les rentiers de la Dette publique, ces “parasites” imbus d’eux-mêmes.
Le nécessiteux, celui a qui a nécessité de VIVRE, un peu quand même !, doit MERITER sa pitance en supportant sa souffrance,
- tel est le prix du mépris social OUVERTEMENT exprimé par la manière dont est traitée la personne handicapée en France.
Rien n’est dû au hasard dans ce délai de carence administratif de la MDPH augmenté par celui de la CAF, laquelle “Caisse des Allocations Familiales” n’est pas “tenu” par l’avis de la MDPH (euh ?) !?
- Alors à quoi ça sert de faire remplir un dossier par une personne handicapée à envoyer à la MDPH si c’est la CAF qui décide d’attribuer ou pas une allocation à cette personne handicapée,
- et ce malgré l’avis favorable donnée par une commission d’experts siégeant à la MDPH ?
Ce n’était pas le cas au moment de la création de ce “GUICHET UNIQUE” que devait être la “Maison Départementale des Personnes Handicapées”, leur “Maison”.
- ...Elli, …Elli, lama sabachthani !
- “Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?“
- “A cause des “…Elli” justement, Alain !”
- Quel technocrate VICIEUX et “MAL-in” a rajouté une couche au stratus administratif pour COMPLIQUER ce qui devait être SIMPLIFIE,
- – les démarches administratives des personnes handicapées – ?
Ce qui implique, pour la personne handicapée, de devoir à nouveau remplir une nouvelle demande d’octroi de l’AAH pour la CAF, après avoir obtenu pourtant l’avis favorable, – je le réécris -, d’une commission d’experts siégeant à la MDPH,
- la CDAPH, “Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées”.
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https://travailleur-handicape.ooreka.fr/comprendre/cdaph
Délais de décision de la CDAPH : 4 mois maximum
[La CDAPH rend sa décision dans un délai maximal de 4 mois à compter du dépôt du dossier de demande. L’absence de réponse de la CDAPH au-delà du délai de 4 mois équivaut à un rejet de la demande.
2 semaines avant la séance, le demandeur est informé de la date et du lieu de délibération de la commission : il peut assister à la séance et se faire assister ou représenter.
-
Les décisions de la CDAPH ne sont pas définitives, elles sont valables entre 1 et 5 ans. La RQTH est valable pendant 5 ans. Au-delà, la personne handicapée doit renouveler sa demande.
L’allocation aux adultes handicapés (AAH) attribuée au titre d’une incapacité d’au moins 80 %, ou comprise entre 50 et 79 % en cas de restriction substantielle et durable d’accès à un emploi reconnue par la CDAPH, et le complément de ressources sont accordés par la CDAPH pour une période allant de 1 à 5 ans. Si le handicap n’est pas susceptible d’une évolution favorable, la durée d’attribution peut aller jusqu’à 20 ans (depuis le 3 février 2017). […]]
____________________________________________________
Question :
La présidente de la MDPH et le directeur de la CAF de Perpignan savent-ils que, pour les handicaps PERMANENTS, la durée d’attribution peut aller jusqu’à 20 ans ?
Ce qui limiterait la “controlite” aigue des services sociaux contre les personnes majeures VULNERABLES…
Et libérerait leurs services de taches indues et ridiculement répétitives.
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Pourtant, INEXPLICABLEMENT, la CAF de Perpignan, et d’autres CAF peut-être, exige des justificatifs de tout et de rien, comme dans l’exemple donné précédemment,
- la demande d’envoi de la copie de la nouvelle carte d’invalidité pour une personne atteinte d’un handicap PERMANENT,
- puis, la demande de la copie de son ancienne carte d’invalidité probablement détruite depuis 2014,
- provoquant ainsi le BLOCAGE ( volontaire ?) de l’ATTRIBUTION de la PCH.
Je vous ré-explique pourquoi une telle vaine demande de “justificatif” supplémentaire “irréaliste” et confondante de bêtise humaine est intéressante “si” VOLONTAIREMENT méchante :
– pour retarder l’octroi de l’AAH et décourager la personne handicapée de persister dans sa demande d’octroi de la PCH, même si elle est en droit de réclamer cette allocation et qu’elle a le devoir de VIVRE, malgré son handicap.
Il s’agit d’une entrave VOLONTAIRE de la CAF à l’OCTROI de DROITS sociaux, les droits sociaux des personnes handicapées.
Car si la MDPH a donné son accord pour la délivrance d’une nouvelle carte d’invalidité, la personne handicapée doit constituer un NOUVEAU dossier de demande, cette fois-ci pour sa carte d’invalidité,
- donc remplir encore et toujours de NOUVEAUX PAPIERS,
- pour recevoir “seulement et uniquement” sa nouvelle carte d’invalidité à son domicile, après seulement avoir déjà transmis un dossier à la CAF.
Pourtant la MDPH a tous les renseignements nécessaires pour éviter à la personne handicapée cette démarche supplémentaire, le remplissage d’une demande de carte d’invalidité.
C’est un “doublon de cellule de gestion” parfaitement inutile et coûteux… pour la personne handicapée.
Ce n’est donc qu’une fois son dossier traité par la MDPH avec avis favorable que la personne handicapée peut recevoir sa nouvelle carte d’invalidité,
-
et à la condition EXPRESSE qu’elle ait rempli à nouveau un autre dossier pour pouvoir recevoir cette carte !
-
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué en France ?
Les personnes handicapées, rebutées et fatiguées, finissent bien souvent par renoncer à bénéficier de leurs droits,
- ce qui est tout bonus pour l’Etat français qui “économise” de l’argent
- en “privant” de leurs droits des personnes handicapées
- par accumulation VOLONTAIRE de démarches administratives de plus en plus compliquées et farfelues.
Donc, si la personne handicapée a rempli un second dossier pour l’octroi de sa carte d’invalidité, après avoir ENFIN reçu l’avis favorable de la MDPH,
- c’est alors la REDOUTABLE CAF qui prend le relais du système DISSUASIF mis en place
-
et demande à la personne handicapée de remplir un énième dossier avec d’autres justificatifs à présenter, en plus de la déclaration de ressources IMMEDIATEMENT transmise aux services du fisc,
- surtout quand la personne handicapée est PAUVRE.
Dans ces demandes de justificatifs insensés que les Américains qualifient à bon droit de “red paper“, figure donc le vilain “coup” de la nouvelle carte d’invalidité qui n’est envoyée à la personne handicapée que si elle en fait la demande,
- demande à REMPLIR A PART de son dossier MDPH
- et après avoir reçu le droit d’en faire la demande grâce à l’avis favorable de la MDPH.
Il y a toujours un loup dans ces démarches qui est un “vilain coup” parce que la CAF demande ensuite la production d’un justificatif, – la copie de la carte d’invalidité pour l’attribution de l’AAH, à condition d’avoir la nouvelle carte d’invalidité
- que la CAF sait ne pas être immédiatement en possession de la personne handicapée au moment du dépôt de son dossier à la CAF,
- c’est à dire au moment de la notification de l’avis favorable de la MDPH pour l’octroi de de l’AAH,
- avis favorable de la MDPH, je le répète, transmis directement à la CAF pour faire gagner du temps (- “Ah ah ah !”, je rigole.)
- Car, pour avoir sa nouvelle carte d’invalidité, il faut avoir rempli ENCORE un autre dossier qui ne dépend pas de la CAF ni tout à fait de la MDPH !
Si vous n’arrivez pas à suivre et que vous êtes perdu-e dans toutes ces formalités pour la plupart inutiles, alors imaginez ce que peut ressentir un handicapé mental et/ou un handicapé-moteur, confronté à la complexité de ces démarches usantes physiquement et pénalisantes financièrement pour lui,
- puisque, pendant tout le temps des démarches, il ne peut pas recevoir d’allocation, même avec un avis favorable de la MDPH.
La CAF sait que cette personne handicapée VULNERABLE ne peut pas être en possession immédiate de la copie de la carte d’invalidité car, souvent, en plus, la personne handicapée ne sait pas ou n’a pas encore compris que la MDPH ne se chargeait pas, à sa place, de lui faire établir sa nouvelle carte d’invalidité.
C’est tout bonus pour la CAF !
Pendant ce temps, la personne handicapée désespère car, depuis presqu’un an ou plus, elle vit, ou plutôt ne vit plus, avec ZERO, 0, euro par mois.
Je ne sais pas qui de l’Etat français ou de la personne handicapée peut être considéré-e comme un “profiteur”.
A votre avis ?
Oui, c’est tout bonus pour l’Etat français, parce qu’entre-temps, une personne handicapée, découragée, aura renoncé à faire valoir ses droits d’octroi de l’AAH sur une durée de deux ans, puisque le délai de carence administratif usuel à Perpignan est de deux ans, lui aussi, handicap PERMANENT ou pas.
-
Quels sont les moyens de recours des personnes handicapées pour protester contre de pareils abus de pouvoir,
-
puisqu’elles vivent avec zéro euro par mois depuis un an,
-
risquent de se retrouver à la rue, expulsées de leur logement,
-
et sont, parfois, sans moyens de communications pour pouvoir joindre leur famille, si ces personnes handicapées ont encore un soutien familial ?
Le directeur de la CAF sait que la demande abusive en droit de la production de la copie d’une ancienne carte d’invalidité périmée implique, pour la personne handicapée aux droits sociaux plus fictifs que réels, vulnérable et sans défense, de se retrouver dans une situation très critique qui est l’absence TOTALE de ressources financières pendant plus d’une année.
Si faire du social consiste à dépouiller les plus pauvres des Français, alors la CAF de Perpignan ne démérite pas !
C’est ainsi que la population des SDF français est de plus en plus composée de Français qui n’ont pas pu bénéficier de leurs minima sociaux, à cause de la complexité des démarches à effectuer et de la MALIgnité d’un système prévu pour décourager les démarches des plus vulnérables d’entre eux, les personnes handicapées.
Parce que, que je sache !, il n’est pas prévu que,
- pendant que la MDPH oublie de traiter le dossier de la personne handicapée, l’égare ou le rejette,
- quatre mois de silence étant considéré comme un rejet !, sans aucune motivation pour ce rejet, ce qui est interdit en droit administratif, il paraît !,
-
et que la CAF ajoute des demandes de justificatifs ubuesques, genre exiger la copie d’une ancienne carte d’invalidité établie il y a quatre ans ! donc périmée,
-
tout en transmettant aux services fiscaux toutes les erreurs commises par des handicapés dans leurs déclarations de ressources,
-
erreurs de bonne foi donc RECTIFIABLES pour la plupart
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si la personne handicapée avait pu être aidée dans le remplissage de sa déclaration de ressources – que de “red paper” ! -, plutôt que de subir a posteriori un contrôle fiscal
– il n’est pas prévu pendant tous ces temps VOLONTAIRES ou pas de carences de l’Etat dans son devoir de secours,
- que la personne handicapée bénéficie d’une compensation financière couvrant les bugs administratifs d’un Ministère de l’Economie qui se moque éperdument des personnes handicapées.
C’est sûr que, pour des handicapés-moteur, il sera difficile de manifester dans les rues de France,
- hein, Monsieur le Ministre de l’Economie des riches ?!
Qui va payer le loyer de la personne handicapée qui se retrouve sans ressource DU TOUT pendant plus de trois mois et bien au-delà de huit mois, souvent un an et parfois plus, hélas ?
Qui va régler à la banque de l’handicapé-e les agios, les frais d’intervention, d’incident et de gestion d’un compte bancaire ouvert sur INJONCTION d’un Etat imbécile,
- au service de banques justement qui sont INJUSTEMENT au service des plus riches,
- et qui détournent comme des voleurs les quelques centaines d’euros d’AAH virés chaque mois sur le compte bancaire d’une personne handicapée ?
Car, en France, les citoyens sont OBLIGES d’ouvrir des comptes bancaires, quelque soit leur revenu, ce qui est un SCANDALE national.
Ce n’est pas le cas en Allemagne.
C’est un DOUBLE SCANDALE, puisque les banques font leur beurre sur la misère de cette population VULNERABLE, dans l’incapacité de se défendre !
-
Comme l’Etat français d’ailleurs fait son beurre avec leur malheur, et je le prouve à nouveau.
“REVISER DE MANIERE PLUS PERIODIQUE LE STOCK DE BENEFICIAIRES DE L’AAH ?“, qu’est-ce à dire ?
Je vais l’écrire de la manière la plus directe qui soit et la plus objective aussi,
-
partant du vécu de ces personnes handicapées que nul ne défend en France :
– IL FAUT VRAIMENT ETRE LE DERNIER DES CONS POUR AVOIR PROPOSE CETTE “REVISION PLUS PERIODIQUE DU STOCK DES BENEFICIAIRES DE L’AAH“
-
QUAND ON SAIT QUE LE TEMPS DE BENEFICE DE L’ALLOCATION AAH POUR UN-E HANDICAPE-E EST DE DEUX ANS !, GENERALEMENT ET SEULEMENT,
-
sauf pour les personnes handicapées reconnues comme “travailleurs handicapés” qui ne bénéficient pas de l’AAH parce qu’ils ont un salaire égal ou supérieur à l’AAH.
Il est TOUT SIMPLEMENT IMPOSSIBLE, en FRANCE, d’IMPOSER un DELAI PLUS COURT que DEUX ANS pour pouvoir vivre avec l’AAH,
Puisque ce délai de deux ans pendant lesquels la personne handicapée peut bénéficier de l’AAH,
-
est un délai déjà trop court qui provoque des ruptures dans le suivi social.
Je répète :
-
LA MDPH PREND UN DELAI DE 6 A 12 MOIS POUR RENDRE UN AVIS
-
ET LA CAF PREND AUTANT DE TEMPS, 6 A 12 MOIS, POUR SIMPLEMENT VERIFIER QUE LA MDPH AVAIT RAISON DE RENDRE UN AVIS FAVORABLE ET DECIDER A SON TOUR D’OCTROYER OU PAS L’AAH, MALGRE L’AVIS FAVORABLE de la CDAPH DE LA MDPH !
De qui se moque-t-on en France ?
- Si ce n’est des personnes handicapées !
Il est déjà stupide de demander à un tétraplégique de reconstituer un dossier d’expertises médicales tous les cinq ans ou même tous les dix ans.
-
Par conséquent c’est encore plus stupide de le lui faire faire tous les deux ans !
Quant à réduire le délai de révision de l’octroi de l’AAH à un an, c’est MISSION IMPOSSIBLE vu le nombre de tracasseries administratives inventées par la CAF,
- CAF jamais contrôlée ?,
- pour multiplier les obstacles administratifs et entraver l’exercice d’un droit,
- le droit à toute personne handicapée à pouvoir bénéficier d’une aide sociale,
-
cette personne n’ayant pas choisi d’être handicapée
-
et de vivre en-dessous du seuil de pauvreté avec l’AAH.
L’administration française a beaucoup d’humour !
Pour les handicaps dits “invisibles”, le parcours du combattant est au moins aussi difficile, sinon pire.
Car, à chaque demande de renouvellement de l’AAH, dans un pays soumis à la tyrannie psychanalytique du “désir-roi”, l’autiste adulte, exemple de handicap mental, doit PROUVER qu’il est bien autiste,
-
ce qui implique de COMMUNIQUER et de savoir COMMUNIQUER avec un monde médico-administratif encore plus “autiste” que lui.
-
Or, ce qui est très difficile pour un autiste, c’est justement de justifier l’injustifiable et, en particulier, de parler de “soi” à un “autre” inexistant, au sens propre comme au sens figuré du terme.
- Réponse à la hauteur de la “monstruosité sociale” du handicap invisible.
Le saviez-vous :
– Beaucoup d’autistes, titulaires d’un doctorat, se trouvent à la rue.
C’est un gâchis de compétences dont la France dite républicaine est responsable à cause de sa politique d’exclusion qui ressemble à s’y méprendre à une forme d’élitisme eugénique,
- enfermement social par l’exclusion systématique,
- dite “inclusion” pédagogique, CLIS, ULIS, etc..
En plus de ces suspicions INJUSTEs d’escroquerie à la Sécurité Sociale (fausse déclaration de handicap) et de fraude fiscale,
- la personne née handicapée,
- ou se retrouvant handicapée à cause d’un accident ou d’un AVC ou d’une longue maladie comme la sclérose en plaques,
- personne handicapée ne pouvant pas ou plus travailler
- n’a plus le droit d’avoir des ressources personnelles par l’octroi de l’allocation AAH
- si elle a la chance ou la malchance de ne pas vivre seule, c’est à dire de vivre en couple.
Parce que “conjointe”, la personne handicapée tombe en état de DEPENDANCE affective et financière. L’handicapé-e devient la personne “mineure” du foyer conjugal. Enfant parmi les autres enfants du couple, la personne handicapée adulte qui vit en couple doit attendre de recevoir son argent de poche de son ou sa conjoint-e selon son bon vouloir.
Un seuil d’attribution de l’AAH est fixé en fonction du salaire du ou de la conjoint-e et ce seuil semble avoir été déterminé par rapport à l’appétit d’une personne handicapée ANOREXIQUE,
- qui ne coûte rien en nourriture à son conjoint parce qu’elle ne mange pas.
– DEPENDRE – de quelqu’un d’autre qui vous entretient par amour, c’est bien.
- C’est un retour au XIXème siècle !
- “Un retour vers le futur”.
Il est psychologiquement déplorable pour une personne handicapée de devoir dépendre de son ou de sa conjoint-e. Elle devient sa “chose” et ne peut plus apporter aucune valeur ajoutée à sa propre vie, ni contribuer modestement aux besoins du couple et de ses enfants ou quitter celle ou celui qui l’entretient, sous peine de se retrouver à la rue sans ressources.
C’est terriblement humiliant et dévalorisant pour les personnes handicapées.
Malheur à elle, la personne handicapée dépendante, le jour où elle voudrait divorcer ou se séparer d’un-e conjoint-e pour cause de maltraitance physique ou psychique,
- maltraitance fréquente même chez les bien-portants !,
- puisqu’en France, tous les trois jours, une femme meurt sous les coups de son conjoint.
La misère des pauvres excuse toutes les saloperies des riches !
Alors, Messieurs les têtes pensantes de Bercy,
– têtes bêlantes d’une politique d’austérité qui s’attaque aux plus faibles dans notre société, les personnes âgées et les personnes handicapées,
-
permettez-moi de vous dire :
– “M..de”, le mot de “CAMBRONNE”,
- censé porté chance lorsqu’on lui marche dessus,
- à condition que ce soit du pied gauche.
Si vous vous attaquiez aux revenus non déclarés, Messieurs les “Inspec-tueurs” des Finances Publiques,
– ces revenus exempts de tout “Impôt sur le Revenu” et affranchis de toute taxe fiscale,
– revenus provenant du grand banditisme et de la petite délinquance urbaine qui corrompent la France d’aujourd’hui ?
-
Mais la France serait riche, Messieurs les “Gens si Intelligents”,
-
les “G.I.” de l’armée des “Clones” fiscaux,
-
si vous osiez demander aux dealers de payer des impôts, la TVA par exemple, sur leurs “commerces” de drogues devenus de fait LEGAUX en France !
Des fois, on préférerait que l’administration française nous oublie, pour de bon !
Cependant Messieurs les “Inspec-tueurs” des Finances publiques évitent soigneusement d’embêter ces “pauvres” dealers
– lesquels par contre n’ont aucune honte à “embêter” les autres Français,
- même et surtout s’ils sont policiers ou gendarmes,
- pompiers ou ambulanciers,
- pourvu qu’ils soient “Céfrans” !
Oui, si on faisait payer, – si VOUS, Monsieur le Ministre de l’Economie -, vous faisiez payer des “Impôts sur le Revenu” à nos “très chers” dealers des banlieues, trafiquants de stups,
-
dont le commerce quoiqu’ILLEGAL n’est pas INTERDIT par l’Etat français
-
puisqu’il est AUTORISE de fait par une police et une justice
-
au service des “trois singes” en “trois points” semblables à leur médiocrité intellectuelle,
- mais vous seriez riche, Monsieur le Ministre des Finances Publiques,
- et la France aussi depuis longtemps.
– Stupéfiant que vous n’y ayez pas déjà pensé, non !?
-
Ils vous font peur ou quoi, ces “dealers de rue”, ces “petites frappes”, ces caïds de banlieue ?
Les pouvoirs publics refusent d’intervenir contre ces délinquants de droit commun même quand ce sont des présidents de syndics, des proviseurs de lycées et des principaux de collèges qui les alertent sur la “LIBRE” vente de drogues dans leur environnement immédiat,
– A L’INTERIEUR même de leur établissements scolaires.
Demandes EXPRESSES pourtant expressément exprimées auprès d’autorités publiques telles que :
- Monsieur le Procureur de la République de Perpignan, – aux abonnés absents !
- Monsieur l’ex-Préfet du département des Pyrénées-Orientales, demeuré quelque peu silencieux malgré ces SOS académiques, parfois maçonniques,
- – le nouveau Préfet étant du signe du “Scorpion”, faut-il y voir un espoir ?
- et enfin Monsieur le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, enfermé dans une impuissance qui n’est peut-être que psychologique ? Vous le savez et vous l’avez déjà éprouvé, ce fameux “sentiment d’insécurité” qui n’est que psychologique.
Il paraît.
Puisque, de toutes façons, vendre de la drogue à des mineurs, AUTOUR des établissements scolaires, dans le périmètre extérieur des Ecoles Primaires, est devenu un commerce “banal”, donc “LEGAL” à Perpignan, et peut-être en France, partout “ailleurs d’ailleurs”.
Ils ne sont pas prêts d’être inquiétés , ces “LIBRES” commerçants, commerçants FRANCHISES en “zones de LIBRE ECHANGE”, c’est à dire en “zones franches” de tout impôt et de tout flic, dans les “ZND” ou “Zones de Non Droit”, qui se gagnent (et se gavent) entre vingt mille (20 000) et soixante mille (60 000) euros par jour,
-
soit 25 fois plus d’argent minimum collecté en un jour par des “délinquants” qu’en un mois par une personne handicapée
-
ou 75 fois plus d’argent collecté au maximum en un jour toujours par ces mêmes “délinquants” qu’en un mois par la même personne handicapée, sachant qu’un mois contient seulement 30 jours et non pas 75 jours.
Ce montant affiché des gains quotidiens d’un trafiquant de drogue dans une cité de banlieue dite “normale” en France est le montant déclaré par la plupart des dealers eux-mêmes quand ils cèdent LIBREMENT et PUBLIQUEMENT leur ” fonds de commerce” à d’autres “racailles de banlieues” par petites annonces ou dans des transactions commerciales négociées “tranquillement” dans nos villes de France,
- à l’insu du plein gré d’un Etat français gangrené par la corruption institutionnelle.
-
Enquêtes fiscales ? Que nenni !
20 000 à 60 000 euros reçus chaque jour par des délinquants
-
à comparer aux 800 euros mensuels d’allocation AAH virés ou pas sur le compte bancaire d’une personne handicapée,
– sur un compte bancaire de personne handicapée grevé de frais bancaires et de pénalités financières diverses,
-
compte bancaire ponctionné par les fournisseurs d’énergie et les prestataires de services informatiques,
-
connexion Internet indispensable aux handicapé-e-s pour pouvoir communiquer avec d’autres personnes pour briser leur isolement !
800 euros d’AAH sur lesquels la personne handicapée doit payer en outre son aide ménagère et le moindre transport pour pouvoir se déplacer à un RDV médico-administratif ou “fiscal”.
Monsieur le Président de la France, appelé Emmanuel MACRON,
-
“Emmanuel”, “Dieu avec nous !”
– c’est sûr que cette PROPOSITION DE BERCY de s’attaquer aux personnes handicapées VA REDORER VOTRE BLASON PRESIDENTIEL, Monsieur “Emmanuel” MACRON !
La lâcheté est la caractéristique des dictateurs.
-
Seuls les grands Rois qui aimaient leur peuple se préoccupaient de savoir si les paysans de France avaient une poule au pot chaque dimanche que Dieu fait !
- De quoi vivre décemment, pas chichement, à défaut de pouvoir vivre richement en France,
- la France, ce pays où les paysans travaillent pour nourrir ceux qui les font mourir.
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Seuil de pauvreté 2017 en France : 1.015€ pour une personne seule, 1.523€ pour un couple
Publié le jeudi 9 novembre 2017 par FranceTransactions.com, mis à jour le vendredi 10 novembre 2017 à 06 h 47
Le seuil de pauvreté est de 1.015€ pour une personne seule, 1.523€ pour un couple sans enfant, ou une famille monoparentale.
En France, le seuil de pauvreté adopté, pour un individu est considéré comme pauvre, est quand ses revenus mensuels sont inférieurs à 1.015 euros (soit l’application du seuil à 60 % du revenu disponible national médian). Un autre seuil à 50% du salaire médian existe, utilisé en France jusqu’en 2008, mais n’est plus considéré au niveau européen. Par ailleurs, ne percevoir que 60% du salaire médian est d’ores et déjà dans les faits être en situation de pauvreté dans notre société.
Ce seuil de 1.015€ est pour une personne seule. Selon la composition du foyer, le seuil de pauvreté varie. Ainsi, pour les familles monoparentales, avec un enfant de moins de 14 ans, le seuil de pauvreté est de 1.320€. Avec un enfant de 14 ans ou plus, le seuil de pauvreté est alors de 1.523€
Pour tenir compte de la composition des ménages, on élève le seuil de pauvreté en fonction du nombre de personnes du foyer. Vivre avec 1 015 euros ne représente pas la même chose pour une personne seule que pour une famille avec des enfants. L’Insee utilise pour cela un système de parts. Le premier adulte vaut une part entière, toutes les personnes de plus de 14 ans qui vivent dans le logement comptent pour une demi-part et les moins de 14 ans pour 0,3 part.
“Totalement” comme le totalitarisme des pauvres.
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1 commentaire
Seuil de pauvreté 2017 en France : 1.015€ pour une personne seule, 1.523€ pour un couple
9 mars 02:37, par H.Sylv.
Je vis en couple, non marié, non pacsé, mon ami n’a plus aucun revenu et je suis seule à subvenir au besoin du ménage, nous avons déjà demandé des aides qui nous ont été refusés, mon revenu étant de 1245 E (retraite+retraite complémentaire) mon ami s’est vu supprimé son rsa, il a 57 ans, est demandeur d’emploi, j’ai vu sur votre site que nos revenus étaient inférieurs au seuil de pauvreté, or les associations que nous avons contacté nous disent que nous avons droit à rien... doit-on se pacser ? Pour faire un couple ? Mon ami a récemment eu un problème de santé, il a la CMU et n’avait pas de complémentaire, j’ai du en prendre une qui me revient très cher car moi je suis au régime local Alsace/Moselle et lui au régime général, cela me coà »te 164 E mensuel pour les 2, ce qui est énorme (ACM), sans compter que j’ai tous les frais annexes à charge, ENGIE, charges appartement, téléphones, prêt, les assurances auto, habitation, nourriture etc… j’ai un volet cassé depuis 2 ans que je ne peux réparer, chaque imprévus et une source de tracas financier, sans compter que j’ai personnellement d’impo Problème de santé qui nécessiterait souvent des actes non remboursables, ou des cures que je ne peux me payer
Pourriez-vous me conseiller
Avec mes remerciements
En savoir plus sur https://www.francetransactions.com/le-saviez-vous/seuil-de-pauvrete-2017-en-france-1-015eur-pour-une-personne-seule-1-523eur-pour.html#dPtB4gBtP0eg34PM.99
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