- “C’est pas gagné !”, dit Maëlys.
– “Et puisque les criminels ont le droit de mentir, eux !… ” me crie, dépitée et révoltée, Maëlys.
Je n’avais pas envie d’écrire.
Et Maëlys n’avait pas envie de venir.
Plutôt de fuir, très loin, loin, très loin de cette scène de crime où un drame va être rejoué,
-
celui de sa disparition, le début de l’affaire Maëlys.
-“Après tout sera faux !”, lance la petite fille qui devient une jeune fille.
Si elle avait pu fuir ce soir-là, cette nuit-là !,
– et peut-être un autre jour,
-
car le temps n’existe plus quand on est prisonnier et qu’on a faim…
– Très faim !
Il y a la cabane.
Maëlys s’en souvient.
Elle me demande d’écrire pourquoi j’étais malade comme elle, elle a été malade.
Là, je dois vous écrire comment j’étais malade juste avant de trouver le courage d’écrire cet article
– et comment elle, elle est malade de peur… et de honte,
-
juste avant de venir me crier que JAMAIS vous ne saurez la vérité vraie
-
la VRAIE vérité !
Juste avant d’écrire cet article, sachez que j’avais mal au ventre, très mal au ventre, comme lorsque vous avez très faim.
Avec des nausées et les tripes qui se nouent tandis que le corps se crispe sur lui-même, en position foetale d’épuisement et de renoncement.
Dans la bouche, j’ai encore ce goût salé du sang qui coule,
-
ce sang qui coule à l’intérieur de ma bouche
-
et qui m’aveugle, à l’extérieur, sur mon visage !
Car il pleut du sang sur ma figure et mon nez pisse le sang.
[Attention, ce n’est plus moi qui parle à partir de ce moment]
– “J’ai les cheveux détachés qui collent sur mon visage à cause du sang gluant.
Je n’ose pas les écarter de la main de peur de m’arracher la peau et que ça fasse mal !
Comme quand on arrache un pansement sur une coupure encore fraîche parce qu’il faut le changer.
Et puis, j’ai peur qu’ils m’entendent
[je maintiens le pluriel]
– et qu’ils recommencent.
J’ai faim, je voudrais manger et je cherche autour de moi une tablette oubliée, un morceau de chocolat ou de barre de confiserie.
Je sais qu’il y en avait dans la petite table de nuit qui est à côté du lit.
Nordahl [LELANDAIS] est gourmand et conserve à côté de son lit des tablettes de chocolat et des barres, genre “barres de Mars” ou ce genre, dit Maëlys qui a repris la communication.
[Facile à vérifier : – Nordahl LELANDAIS est-il gourmand et aime-t-il les barres de confiserie ? A moins qu’il ne les ait conservées pour les enfants ?
Là aussi le pluriel “les enfants”, est volontaire.]
Mais j’ai trop mal pour me déplacer.
[Je vous rappelle que c’est Maëlys qui s’exprime.]
Dès que je bouge un peu, la douleur me soulève le coeur.
Puis tout devient noir.
Je n’existe plus.”
Maëlys m’envoie une “information”, pas une vision, ni un ressenti physique.
Elle affirme que, lorsque Nordahl LELANDAIS est reparti à la salle des fêtes après son enlèvement pour se constituer un alibi, sans elle,
-
et faire acte de présence devant ses propres parents qui la cherchaient,
-
elle n’était pas morte.
Et, pour elle, elle n’était pas seule.
– Pas seule là où elle était !
Elle était “gardée” et “regardée“.
-
Elle en est sûre !
Maëlys m’explique qu’elle a pris le “vocabulaire des gendarmes” (“alibi”, “faire acte de présence”) mots utilisés par eux quand ils parlent de l’affaire et qu’ils tentent de reconstituer les faits.
Malgré leur volonté et leur ténacité, les gendarmes auront beaucoup de difficultés à obtenir la vérité.
[Fin de la communication avec Maëlys]
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Deuxième partie – Communication avec Allison BENITEZ sur l’affaire Maëlys
Allison semble apprécier l’intervention du frère de Nordahl LELANDAIS, Sven.
Il a livré un élément intéressant et ce n’est pas “par hasard” :
– son frère a, lui aussi, l’intime conviction que Nordahl LELANDAIS n’a pas agi seul.
Et, dit tout simplement par la douce Allison :
– “C’est plus qu’une intime conviction !”
– Si vous n’êtes pas complètement idiots, ni vous-mêmes pédophiles, vous comprendrez que le rabatteur a livré son gibier vivant,
-
ce qui est le rôle du rabatteur,
– et qu’il est revenu festoyer au banquet, comme si de rien n’était, ensuite.”
- Mode opératoire ?
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J’arrête là la communication.
-
J’ai faim comme si je mourais de faim !
Et je suis malade à en vomir.
Maëlys dit que ses parents n’auraient pas dû venir car ce sera trop dur pour eux,
-
cauchemardesque !
Elle a peur que sa maman craque et ne revive encore et toujours ce même cauchemar
– et ses cauchemars ! [?]
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Il y a une “présence” très noire, très très noire,
-
le “sombre” qui absorbe la lumière
-
sur et autour de cette reconstitution.
- Quand la nuit tombe sur une affaire,
- la disparition d’une enfant de neuf ans, appelée Maëlys !
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Le Seigneur me demande de rajouter l’heure de publication de cet article,
- publié/posté sur le blog “Dèu vos guard”,
- le 24 septembre 2018 à 20H53.
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Maëlys revient, tout à coup, maintenant vers 22H00 passées :
-“Si la peine de mort existait encore, Nordahl LELANDAIS n’aurait pas avoué avoir agi seul parce qu’il aurait eu trop peur de mourir !”
Il se fait tard et dans ce monde où l’injustice règne,
- je n’ai pas le courage,
-je n’ai plus le courage d’expliquer à Maëlys que tuer un homme parce qu’il a tué,
- ce n’est pas chrétien !
-Seigneur, pardonne-moi !
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C’est la première fois que je me casse une dent de devant partiellement et simplement en mangeant.
- Super pour le sourire !
-Me voilà une “sans dent”, l’amie de François HOLLANDE, le “Président des pauvres” qui veut remplacer le “Président des riches”, Emmanuel MACRON.
… A moins que ?
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L’enquête sur l’affaire Maëlys révélerait que sa mâchoire était cassée et qu’elle ne portait pas de sous-vêtements
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-Nordahl LELANDAIS aurait frappé Maëlys aussi à la mâchoire, disiez-vous ?
- Côté centre-droit ou côté centre-gauche ?
Et si, “par hasard”,
-juste par hasard, hein ?
- une “petite souris” vous ramenait une dent ou un morceau de dents,
- au cas où la petite fille aurait eu une dent cassée partiellement,
–alors vous sauriez OU Maëlys a été enfermée
- et surtout DANS QUEL LIEU la petite fille a été frappée et tuée
- peut-être à côté d’une table de nuit.
Mais je préfère supposer que mes dents sont trop fragiles et que je manque de calcium.
- Rappelez-moi combien ça coûte de se faire remplacer une dent de devant ?
-J’envoie la note à qui ?
- Maëlys est “morte” de rire !, la coquine.
Nous voilà bien, toutes les deux…, les “sans dent-s”.
- Maëlys avait-elle toutes ses dents, dents de lait et/ou dents définitives ?
-“Pourquoi est-ce qu’on met un “s” à “sans dents”, si on n’a plus de dent ?” me demande Maëlys qui réprime un autre accès de “fou-rire” en me regardant.
[Maëlys, c’est une petite fille très gaie naturellement et foncièrement courageuse.]
Jeunea60ans.unblog.fr
- Moi vue par Maëlys !
Ah, j’allais oublier !
Sur vos photographies, celles qui iront dans un album pour la reconstitution de la scène du crime et… la reconstitution du crime,
- si vous notiez une petite présence floue, un halo lumineux,
- comme une tache de lumière, un feu follet qui vous suit,
-merci de conserver précieusement ces photographies qui ne seront pas “voilées” malgré les apparences
- des apparences trompeuses !
- Le signe de Maëlys !
STOP ET FIN.
- 22H43, le 24 septembre 2018
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