Les procès sont des abcès qu’il faut savoir crever pour ne pas en crever.

Silence, disparition des écrans, … ?
– Non, des épreuves !
A chacun son sport favori.
Moi, si j’aime la danse classique et moderne, récemment le tango, danse de salon où l’homme et la femme s’enchaînent et se déchaînent, j’aime aussi les sports d’endurance et de combat comme les procès au long cours interminable, jamais lancés par moi qui préfère tourner rapidement la page du passé.
Mais mes adversaires, à qui je dois manquer pour qu’ils aient à ce point envie de me revoir, préfèrent me savoir devant un tribunal judiciaire ou devant un tribunal administratif, pour tenter de me faire mettre un genou à terre.
– Me poursuivront-ils jusqu’à l’heure de mon enterrement, la “ùltima hora” ?
Donc il faut bien relever le gant jeté à la figure comme un soufflet par un ou des chefs de service qui se disent offensés par mes écrits qu’ils triturent, lesquels ne reflètent pourtant que leurs actes mauvais.
Il faut leur donner le compte puisqu’ils le demandent si aimablement, ces railleurs.
– “D’ailleurs les bons comptes font les bons amis !”, dit un proverbe français.
Alors autant leur faire plaisir et établir le reçu pour solde de tout compte à ma manière plutôt qu’à la leur,
– sinon c’est vite galère quand les huissiers, lâchés comme une meute de chiens à vos trousses, vous déclarent la guerre.
S’ils ont espéré me foutre la frousse, c’est raté.
Entre la Bourse et la vie, moi, j’ai choisi :
– la Vie !
Et j’ai planté la meute de chiens policiers à l’arrêt devant un leurre de justice, la leur.
Courir derrière une touffe de poils, dans la moiteur de l’été, comme s’ils avaient tous le feu au cul, c’est leur sport favori.
Il a suffi d’un saut périlleux, un hourvari de louve traquée, pour provoquer ce grand charivari de diffamations et de calomnies dans un ministère grabataire qui cache honteusement ses mystères mortifères.
Mais la louve vient encore de gagner contre les chiens policiers :
– A chacun son animal-totem… !
Plutôt que crever de procès en procès, les abcès sont crevés, les uns après les autres.
Ce vendredi 03 juillet 2020, j’ai encore gagné un procès.
Du coup, indirectement et malgré moi, j’ai donné raison à une Présidente de la Cour d’Appel de Montpellier qui avait affirmé publiquement, lors d’une audience mémorable, devant un Vénérable, victime peu honorable, je vous l’accorde, que j’étais très dangereuse parce que…
– Véridique, mesdames et messieurs !
… parce que je gagne mes contentieux et mes procès.

Du moins ceux auxquels j’ai l’honneur de pouvoir participer quand j’y suis régulièrement convoquée pour le malheur de mes accusateurs.
Le seul qui a été audiencé en mon absence fera l’objet d’une procédure en son temps, à l’heure que j’aurais choisie, attitude conseillée par d’autres voix que celles entendues par le commun des mortels.
– Ce sera mon choix, comme d’habitude, pas le leur !
Cette assertion amère selon laquelle je serais très dangereuse, dite sur un ton sévère par une “soeur” de la “Grande Loge des Folles de France” et reprise dans un arrêt de la Cour d’Appel de Montpellier, m’assimilait à l’ennemie publique numéro un des Frères de la Côte du grand Sud.
Depuis, cette affirmation contestable, – je vais expliquer juridiquement pourquoi elle est contestable -, est régulièrement reprise par mes ennemis “fraternellements” liés.
En effet, cette affirmation est contestable puisque mes adversaires oublient de faire savoir qu’en 2016, la Cour de Cassation a cassé et annulé sans renvoi, fait rarissime, cet arrêt de la Cour d’Appel de Montpellier regroupant trois procès lancés contre moi par un Grand-Maître logé à la Police Nationale travaillant pour la P2 locale, cette mafia honoraire du Sud, repère de langues de vipères aux commanditaires peu recommandables et aux commentaires toujours monnayables en espèces sonnantes et trébuchantes ou en liquidités numéraires.
Sinon, en cas de refus d’une transaction insoupçonnable, disent-ils, ils se chargent d’organiser votre future cérémonie funéraire :
- “Un accident est si vite arrivé sur des voies ferroviaires… ou un suicide.”
Allez savoir qui trucide qui !
Le Grand-Traître, si Vénérable et véritable fasciste, avait initié contre moi toute une série d’affaires judiciaires sur la base de dénonciations calomnieuses, se défendant néanmoins d’être le commanditaire de ces scélératesses détestables et de ces bassesses méprisables mais accordant généreusement la protection fonctionnelle à qui voudrait bien m’accuser de n’importe quoi et n’importe comment, pourvu qu’elle ou qu’il ait été chef de service pour prouver le sérieux de l’affaire.
Le triste sire avait aussi persécuté Sihem Souid, auteure du livre “Omerta dans la police”.

Par conséquent, la jeune femme a accepté de témoigner en ma faveur sur les stratégies de diffamation du Vénérable assassin de l’honneur de la police qui se vantait opportunément et imprudemment de ses coups de putes, à l’identique du criminel qui revient sans cesse sur les lieux de son crime.
Le Vénérable commissaire, donc non-commanditaire selon lui de ses propres exactions, larbin de profession et porte-couteau de ladres atrabilaires, saluait le Führer en hurlant dans son bureau, bras tendu vers l’enfer :
– “Heil Hitler !”
Digne héritier d’une tradition maçonnique qui aime à ficher les profanes, il s’identifiait ainsi à une autre célébrité, Albert Pike, cet insigne fondateur des loges maçonniques américaines et du Ku-Klux-Klan, lequel n’est plus indéboulonnable à Washington :
… trois petits points, chapeau pointu, turlututu !
Or c’est un haut fait d’armes dans la Police Nationale que de clamer son appartenance à la mouvance néo-nazie, ce qui a valu au Vénérable Grand-Maître qui m’a traînée en justice, ayant bien mérité de la Nation germanique, de finir sa carrière exemplaire à la tête de services remplis de fonctionnaires tout aussi exemplaires,
– les promus et les vendus qui dirigent actuellement le “Paradis des Frangins”.
Car si, moi, je ne fais plus partie de cette boîte, la “maison-poulaga”, boîte à produire des sosies d’Adolf et à récompenser les chiens allemands, rassurez-vous :
– le Vénérable ex-chef de service, lui, déjà épinglé par l’ex-Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité dans un avis publié au Journal Officiel en 2009 pour des violences policières commises à Toulouse et restées impunies à ce jour, a quand même fini promu “Contrôleur Général” par l’extra-lucide frère “Bernard Cazeneuve”.
Il faut savoir que la nomination de “frère Bernardo”, en tant que Ministre de l’Intérieur, avait ravi tous les Frères de la Côte du grand Sud.
Il est vrai que rechercher la Lumière peut en aveugler plus d’un, surtout si cette lumière artificielle jaillit du plafonnier d’un bureau ministériel.
Pour l’heure, j’abats un par un tous ceux qui me défient en duel devant un tribunal judiciaire ou devant un tribunal administratif dans ce pays, la France, plus occupé à faire taire les lanceurs d’alerte qu’à juger impartialement les affaires de violences policières.

La violence institutionnelle qui frappe les agents harcelés par des chefs de service incompétents, donc incapables de se faire obéir autrement qu’en soudoyant et en effrayant leurs effectifs, se reflète dans le comportement imitatif et répétitif des policiers actifs envoyés sur la voie publique.
Ces agents de la base, maltraités car méprisés, n’ont pas plus de respect pour la populace qu’ils ne sont respectés par leur hiérarchie policière salace.
Et s’il n’existe plus de respect public envers les policiers chargés de faire respecter les lois de la République française, c’est qu’eux-mêmes, les agents, en majorité des “ripoux”,
– sinon ils seraient exclus du pacte corruptif interne très abrasif -,
… ne croient plus dans cette République se proclamant “égalitaire”.
Un policier, non respecté dans sa personne humaine, ne saura pas respecter une autre personne humaine.
Pressé de recevoir le “susucre”, de percevoir 50 euros de prime en plus ajouté à sa gamelle de fin du mois, le policier est dressé comme un chien à courir après des esclaves marron dans une plantation de cannes à sucre par des Maîtres bien “logés”, tandis que les esclaves, eux, sont prêts à mourir sous ses coups pour (re-)devenir des hommes libres.
Cependant tous les procès auxquels j’ai pu participer de plein droit, diligentés contre ma petite personne de rien du tout, moi qui ne suis personne, je les ai gagnés.
Il est vrai qu’il eût été grand dommage pour ma réputation professionnelle qu’il pût en être autrement.
En effet, lors de mes dernières fonctions, j’exerçais dans la Police Nationale comme chargée de mission en tant que consultante juridique auprès de directeurs, chefs de services départementaux.
Si j’avais une arme à feu, comme les pistoleros, je ferais une entaille sur sa crosse pour marquer le nombre de “morts” symboliquement éliminés par leurs propres procédures, victimes de leurs présomptions, prétentions et fausses accusations.
Obnubilés par leur propre orgueil, écueil des manipulateurs et des menteurs, les prédateurs ou assimilés “faisant fonction de” sont aveuglés par leur certitude que le trafic d’influences maçonnique dans le monde judiciaire et dans la “Françafric” des narcotrafiquants pourraient faire gagner aux délinquants du crachoir et aux criminels notoires n’importe quel procès en France.
Mais la modestie sied aux plus sages.

Les jugements qui me sont favorables pris en premier ressort comme celui rendu vendredi 03 juillet 2020 par le Tribunal Administratif de Montpellier ou en dernier ressort, comme celui de la Cour de Cassation à Paris en 2016,
– je les dois d’abord à la conscience professionnelle exigeante de magistrats qui ont pris le risque assumé de rechercher la vérité plutôt que de se laisser aveugler par la lumière éclatante (point d’ironie à inventer) d’un Vénérable rendu “vénère” par mes succès judiciaires.
– “La charité, mon bon juge, rendez-moi la justice !”

Couvrir les mensonges institutionnels des copains de la bande de coquins exerçant comme des voyous leurs fonctions d’agents d’Etat dévoyés n’a pas tenté ces femmes et ces hommes, malgré les pressions harcelantes exercées à leur encontre et les promesses mirobolantes de commanditaires ordinaires pour qui l’argent des contribuables sert à répartir une prévarication généralisée au sein de l’Etat français et à entretenir une corruption banalisée dans cette République bananière qu’est devenue la France, arrière-pays d’une Afrique qui vomit sa jeunesse.
Ainsi, vendredi, le rapporteur du Tribunal Administratif a rappelé que le SGAMI de Marseille, organe de gestion régional des services de police du grand Sud, avait demandé, avec insistance, que mes écritures soient rejetées purement et simplement.
– Ce qui a été refusé aimablement mais fermement par les magistrats dudit Tribunal Administratif de Montpellier lesquels ont déclaré recevable ma requête !

C’est sûr que les seuls procès que l’on perd sont ceux pour lesquels il n’est pas possible de se défendre contradictoirement.
D’autres lanceurs d’alerte ont été victimes de décisions abusives de rejets de leurs requêtes ou de refus de leurs prises de plainte auxquels s’ajoutent des non-notifications de LRAR, Lettres Recommandées avec Accusé de Réception, courriers postaux devenus introuvables à cause de numéros non identifiables contenant des convocations jamais parvenues à leurs destinataires, malgré leurs réclamations à la Poste.
Ces moyens spécieux et procédés douteux prouvent à quel point la Justice française est tombée bien bas, jusqu’à ne pas vouloir rendre justice dans les Cours de Justice nationales,
– en supprimant purement et simplement, par ces stratagèmes inacceptables, l’accès à la Justice aux victimes qui n’ont pas les faveurs de la mafia judiciaire en place.

Cette confluence des incapables majeurs, appelés “notables” sur le sol national par quelques MALins et leurs larbins, constitue le carnet relationnel des “pas francs”-maçons grégaires et alimentaires, malheureusement de plus en plus nombreux, rejoints par des affairistes, carriéristes, arrivistes en tous genres et sans scrupule, pour qui l’excellence philosophale est un non-sens dans leur existence si médiocre.
Ne peuvent être victorieux que les estomacs sur pattes, ces médiocres imbéciles qui refusent de cracher dans la soupe tant est délicieux leur sort de débiles mentaux.

– Oh rassurez-vous !
Un jour, je serais brûlée comme une sorcière sur la place de Catalogne, prédiction d’une soeur-commissaire de police qui s’appelait aussi “Véronique”.
Et si nous étions revenus à l’époque du Moyen-Âge, ce serait déjà fait… selon elle.

Personne n’échappe à la mort.
– Après, c’est encore une autre histoire… l’histoire de la Vie !
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Réminiscence d’une autre vie comme un “Tango à Paris”,
…. cet air de tango qui me chavire le coeur et me rappelle de l’aimer toujours
[[… ] J’aime…
Dire “je vous aime”
Même…
Si c’est un blasphème
J’aime dire
“Je t’aimerai toujours”
Même si…
Ça ne dure qu’un jour
Même si…
Je n’ai jamais eu d’humour
Il ne m’en faut pas
Pour te faire l’amour
Je te serai
Toujours fidèle
Comme je le suis
A Carlos Gardel
[…]]
Astor Piazzolla ( Guy Marchand) Moi, je suis tango, tango – Libertango (1975)