… Et c’est tout comme !
– J’ai gagné mon pari, les filles !
C’est un homme à poigne et “à poils”.
– Bon, Sylvie, tu me dois 50 € et toi, Cathy, 20 €.
Quant à toi, Emilie jolie, n’oublie pas !
– Tu nous dois une bouteille de champagne à toutes.
– Emma, la paëlla géante, ce sera pour toi.
– De quoi passer une bonne soirée entre copines à se raconter nos histoires de mecs !

Il paraît que les hommes n’ont pas l’habitude d’être l’élément désiré.
Socialement, ils sont l’élément désirant et érotiser le corps masculin les émasculerait.
– Bon, au moins, il ne me violera pas, mon mâle préféré, moi qui dévoile son corps adoré, ce qui le laisse sans voix et sans mots :
– “Je ne sais pas quoi dire… ou écrire.”
– “Alors, sois beau et tais-toi, mon chéri ! Laisse-toi aimer.”
Parce que, oui, les hommes sont beaux et si beaux, les filles, qu’il faut le leur répéter souvent comme une leçon mal apprise.
Dans l’Antiquité, les statues grecques des “Adonis”, pénis au vent, n’affolaient personne , qu’ils aient ou non une relation “personnelle” avec elle ou avec lui.
La représentation du sexe phallique n’était point une offense métaphysique aux yeux des dieux et surtout des déesses.
– Ce n’est pas Aphrodite qui me contredira, elle qui aima si follement Adonis !
Car, dès sa naissance, Adonis fut d’une telle beauté qu’il fut directement aimé d’Aphrodite, la déesse de la Beauté, donc la plus belle de toutes .
Ovide écrivait et décrivait ainsi Adonis :
– “Il est si beau “qu’il pourrait plaire même aux yeux de l’Envie. » (Ovide, les Métamorphoses)

The Kneeling Adonis is, it suggests his body language, an adoring and equally adorable handsome youth, which was designed by the Spanish artist Cezaro.
Adonis, in Greek mythology, is the god of beauty and desire, and is a central figure in various mystery religions.
He is described as a beautiful youth.
On the left he is designed as a wellformed, although not too youthful male figure.
Montrer des fesses masculines ne blesse que ceux qui ne savent regarder le corps qu’avec leur pudibonderie de frustrés mal baisés, au lieu de voir, simplement avec les yeux de l’amour, un élément physique caractéristique du genre viril qui permet à l’espèce humaine de se reproduire et aux femmes qui les choisissent de jouir et de s’épanouir entre leurs bras “poilus”, de préférence pour moi.
“Personnellement”, dans une relation “personnelle”, garçonne et sauvageonne, j’aime inverser les rôles comme vous le savez déjà.
– Tant qu’à être convoitée, autant convoiter le sujet qui fait de vous l’objet de sa convoitise !
Au moins, c’est plus drôle que de subir les regards salaces.
Et la parole qui se libère est la meilleure des thérapies contre la glace qui nous renvoie le reflet d’un désir, à l’envers comme à l‘endroit, de face comme de dos, impropre à l’hypocrisie, désir qui est parfois aussi le nôtre :
– ton désir, mon désir, cette trace fugace que n’efface pas le temps trop court de ton passage,
– au masculin comme au féminin, ma vie que tu ravages presque sans le vouloir…
Va savoir !
– CASSER LA GLACE !
Le désir partagé est la friandise de l‘amour, une gourmandise pas seulement réservée aux déesses appréciant à leur juste valeur ces contacts charnels occasionnels avec des créatures éphémères qui se croient pourtant encore éternelles et se prennent toujours pour des dieux à l’époque du transformisme cybernétique.
Je suis dérangée par l’hypocrisie de ce siècle et ses cris de vierge effarouchée à la vue de tout corps nu :
– “Couvrez ces jambes nues que je ne saurais voir sous cette robe portée par cette fille qui se dérobe à mon désir de viol que rendrait légitime sa nudité à elle !”
– “Mais, Monsieur, couvrez ces bras nus que je ne saurais voir et sur lesquels court adorablement une légère et si fine toison noire !”
– N’est-ce pas cette même toison noire qui se laissait deviner, dépassant, affriolante et aguichante, du poignet d’une manche de votre chemise traçant, dans l’imaginaire féminin, la “carte du tendre” sur votre corps d’homme ?
Des manches de chemise ainsi retroussées sur vos avant-bras sont une pure provocation !”
– “Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées !”
“Le Tartuffe”, III, 2 (v. 860-862) – Molière

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7 raisons pour lesquelles les hommes poilus font de meilleurs amoureux
Rédaction Affaires de Gars 30/03/2015
Hé ! Les gars ! Vous pensez qu’avoir le torse, les jambes et le reste du corps rasé va plaire aux femmes? Peut-être que oui, dans certaines situations, mais selon la science, les hommes poilus feraient de bien meilleurs amoureux que les autres !
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Les filles, si certains hommes ont fantasmé sur la robe excitante d’une femme à leurs yeux bandante, et se sont vus la trousser pour la détrousser de sa vertu lors de pulsions érotiques,
… qu’ils sachent, ces mêmes mâles incorrigibles, qu’il nous arrive, à nous aussi, les femelles si sensibles de leur espèce, de rêver à la géographie secrète de leurs corps virils révèlée à nos yeux par ces petits poils noirs soyeux, trop visibles, qui s’exhibent à notre vue, sans aucune pudeur, sur leurs avant-bras,
– cibles inaccessibles en d’autres endroits car impossibles à atteindre sans heurter leur pudeur masculine !
– Dis-moi, mon chéri, mon tendre, mon merveilleux amour, si ces petits poils noirs forment autour de ton phallus la couronne de l’amour,
… ou s’ils batifolent, sans ordre, sur ta peau d’homme, au plus près de l’objet du désir féminin, prêts à frémir sous la caresse d’une main aventureuse ?
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7 raisons pour lesquelles les gars poilus sont les «best chums ever»
Une Fille 02/05/2016
Est-ce qu’on te considère comme LE gars poilu de ta gang? Est-ce que tes amis rêvent tous secrètement de t’épiler le poil sur ton chest? Si c’est ton cas, tu seras heureux d’apprendre que dans le fond, ils sont tous jaloux de ton beau corps poilu, car les femmes tripent sur toi. Tu ne t’attendais pas à ça en? Eh bien, aujourd’hui, j’ai décidé de te remonter le moral en te disant que ton poil de chest (et de poche) est probablement la chose la plus précieuse sur ton corps de mâle alpha.
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Les paris sont à prendre à partir de ce soir.
– Pour le savoir, les filles, que la meilleure d’entre nous le gagne !
Et si c’était moi, je gagnerais plus qu’un pari.
– Mais serait-ce bien sage, dis-moi, Tartuffe ?