
Tu peux dealer toutes les drogues en France sauf ta liberté :
- c’est une drogue dure interdite en France.
Par contre, les bureaux de tabac peuvent continuer à vendre leur drogue qui tue, ce qui est rappelé sur tous les paquets de cigarettes, sans présenter le Pass sanitaire qui protège les Français de l’affreux virus qui les décime, le Covid 19 .
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[ Dans les bureaux de tabac
[…]
Si vous allez acheter vos cigarettes, des timbres ou tout autre produit dans un bureau de tabac, vous n’avez pas besoin de votre pass sanitaire.
En revanche, s’il s’agit d’un bar-tabac, là, en l’occurrence, le pass est obligatoire. […]]
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Je serais curieuse de connaître le nombre de contraventions dressées contre les consommateurs de shit et de toutes autres drogues interdites en France mais en vente libre de fait dans notre beau pays qui se vante d’être le pays des Droits de l’Homme
- et de comparer ce chiffre avec le chiffre des contraventions dressées pour non port du masque,
- non respect du couvre-feu
- et non présentation du Pass Sanitaire dans des endroits publics autrefois ouverts à la libre circulation de tous, fumeurs ou pas.
Et je suis quelque peu perplexe sur la compassion d’un Président de la République qui autorise son peuple à se pourvoir en drogues sans Pass sanitaire mais leur interdit de boire un Vichy menthe sur la terrasse d’un bar à l’extérieur.
Quelques chiffres vous rendront peut-être aussi perplexes que moi si vos neurones ont encore le réflexe salutaire de se connecter au monde du réel :
–45000 décès dus au Covid 19 en 2020,
–plus de 75000 décès par an pour le tabagisme courant.
Dans le premier cas, les décès dus au Covid 19 sont souvent liés à des comorbidités telles que les cancers dus au tabac, tabac froid, humour froid.
- Je cite les sources pour les neurones givrés et les piqués du bulbe rachidien :
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Par Les Echos
Publié le 17 mars 2021 à 8:51
Mis à jour le 17 mars 2021 à 14:07
[ Le Covid n’aurait causé « que » 42.000 morts supplémentaires en France en 2020.
Selon une étude réalisée par l’Institut national d’études démographiques, une partie des personnes mortes du Covid en 2020 « seraient de toute façon décédées », soit d’une autre pathologie, soit de vieillesse. […]]
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Tabagisme en France : statistiques, évolution, mortalité
Article mis à jour le 20/01/21 15:41
[Responsable de plus de 75 000 décès par an, le tabagisme est courant en France. […]]
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– Qui aurait pu imaginer qu’un jour, en France, un peuple qui a coupé la tête de son Roi, accepterait d’être fiché comme du bétail, bientôt pucé comme des chiens et s’enorgueillirait d’avoir aboli la nuit du 4 août 1789, la nuit de l’abolition des droits féodaux et de divers privilèges seigneuriaux, pour rétablir des privilèges seigneuriaux par le décret du 7 août 2021 paru au J.O.R.F. le 08 août 2021 au nom du droit du sang
- un droit du sang vacciné, un nouveau sang bleu ?
- Un sang de mutant, sélection sans élection d’une nouvelle race vouée à la stérilité et à l’imbécillité.
Pourtant les Français ont connu une autre époque pas si lointaine où il était permis en France d’être en désaccord avec les autorités de l’État.
C’était l’époque glorieuse où manifester n’était pas interdit, période heureuse où les étudiants pouvaient aller jusqu’à séquestrer un président d’Université sans finir en détention provisoire ou définitive.
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Séquestration des membres de l’université de Picardie et manifestation d’étudiants
10 mars 1976
[ Résumé :
Les étudiants au bout de leur cinquième semaine de grève réclament la dissolution de l’association université de Picardie et patronat. C’est l’application de la réforme 2ème cycle. Les étudiants contestent la tenue du Conseil d’Université au moment des vacances. Roland Perez, président d’université explique que le conseil a été perturbé et après avoir levé la séance, il a été “retenu”. D’après lui, Le conseil ne pouvait pas modifier l’ordre du jour. Le 19 mars le conseil étudiera les modalités d’un conseil de développement qui rendra caduc l’association passée. Images de la manifestation pour l’abrogation de la réforme Soisson. […]]
Source :FR3 (Collection: JT FR3 Picardie )
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En ces temps-là pas si lointains, une distinction juridique s’opérait entre les crimes ou délits crapuleux et les actions politiques protestataires ou carrément révolutionnaires.
Malheureusement, actuellement en France, contester le pouvoir politique en place est considéré par les gens bien-pensants comme étant aussi crapuleux que commettre des infractions pénales telles que vendre de la drogue ou violer une femme ou encore tuer une personne âgée :
- c’est ainsi que l’on peut reconnaître le régime politique d’un pays !
Puisqu’il y a les pays où il est permis de contester le pouvoir politique et les pays où contester le pouvoir politique, comme simplement caricaturer un chef d’État à la Pinochet, un Pinocchio au nez de menteur, conduit tout droit à la case prison réservée aux délinquants de droit commun.
Je parle d’expérience.
Recrutée à Amnesty International sur candidature spontanée, j’ai appris à distinguer les caractéristiques d’un régime autoritaire quasiment dictatorial, qu’il camoufle ses violences policières et ses décrets liberticides sous le déguisement perfide d’un intérêt général dévoyé ou qu’il les exhibe délibérément dans le but d’instaurer un régime de la terreur, donc de la peur terroriste,
- sous le vicieux et fallacieux prétexte de rétablir l’ordre, son ordre à lui,
- l’ordre d’un homme qui déclarerait : – « L’État, c’est moi ! »
- à l’égal d’un monarque absolu de droit divin.
Dans un régime démocratique, les signes distinctifs sont clairement identifiables et aisément vérifiables :
- la parole critique est libre,
- les manifestations spontanées de protestations sont tolérées,
- les citoyens sont autorisés à se déplacer sans être arbitrairement contrôlés par une police d’État devenue une milice privée au service des plus riches ripoux dirigeant une dictature de l’argent qui s’impose à tous
- mais pas aux privilégiés du XXIe siècle, les Parlementaires, les FdO ou les élus européens qui ne paient pas l’impôt, jamais aucun impôt :
– « J’impose au peuple, j’impose le peuple mais je m’exonère de tout impôt et du Pass sanitaire tant qu’à faire car autant bien le faire !».
– Ne cherchez pas mon nom parmi les adhérents d’Amnesty International ou les salariés de cette ONG internationale !
Dans les dictatures, une règle d’art pour échapper aux recherches des services tels que les ex-Renseignements Généraux en France consiste à ne pas adhérer officiellement à une association loi 1901 qui servira de couverture à vos activités politiques dites factieuses par des forces politiques plutôt facétieuses.
Pour ma part, « factieuses » est un adjectif que j’assume en l’occurrence quand il s’agit de déstabiliser une ploutocratie détestable parce qu’elle se transforme lentement mais sûrement en une tyrannie impitoyable.
Par conséquent, évitez de vous faire embaucher comme salarié-e dans l’ONG qui vous intéresse ou d’y travailler officiellement en tant que bénévole, si vous devez vous invisibiliser loin des radars de la Stasi.
- Oui, il faut s’invisibiliser,
- c’est à dire « servir » sans que vos services ne soient ni rémunérés ni récompensés narcissiquement de quelque manière que ce soit.
Ce qui implique injustement d’être riche, au moins indépendant financièrement ou dépendant d’un autre système de rémunération, familial par exemple, pour pouvoir faire éclater la vérité sur des affaires ignorées du grand public et devenir un lanceur d’alertes alors confronté au risque de tout perdre,
- un risque létal de disparition totale
- par la suppression radicale de tout moyen d’existence professionnel et de tout support communicationnel
- sur décision inique d’un pouvoir exécutif qui vous exécute.
Enfin, il est évident que la durée de cet emploi invisible doit être limitée dans le temps pour éviter de marquer la mémoire des personnes présentes sur les lieux de vie que vous fréquentez.
– Que les résistants actuels n’oublient jamais que la délation zélée fut le sport favori des Français
- et que cette pratique pathétique de la dénonciation tous azimuts est encouragée par des sites gouvernementaux fatidiques.
Dans mon cas, j’avais proposé d’assister gratuitement le Chef du Département d’Amérique du Sud dans le traitement des dossiers sensibles, prisonniers politiques connus, à la seule condition que je ne sois « personne » et en limitant ma période d’emploi sur un an maximum.
Un membre de ma famille ayant travaillé pour le « SDECE » (Service de documentation extérieure et de contre-espionnage devenu la « DGSE », Direction Générale de la Sécurité Extérieure), je savais comment ne pas me faire repérer, ni laisser de traces administratives et historiques de ma présence dans cette ONG.
Sinon je n’aurais pas pu, par la suite, intégrer la Police Nationale dans un but d’observation participante.
Car le champ d’expérimentation ethnologique ne doit pas se limiter seulement aux tribus indiennes d’Amérique du Sud mais pouvoir s’appliquer aux tribus non citoyennes des sauvages vivant dans les zones de non-droit françaises avec leurs partitionnements claniques, augure volcanique d’une future guerre civile.
Simone Weil appliqua cette méthode, l’immersion brutale dans le milieu prolétaire du machinisme industriel et du machisme résiduel,
- pas la femme politique, l’ex-ministre Simone Veil avec un « V »
- mais la philosophe avec un « W », double « V »,
- toutes deux juives, toutes deux figures admirables d’une France judéo-chrétienne.
– Saviez-vous que Simone Weil s’est faite embaucher dans des usines françaises de fabrication d’automobiles pour y subir in concreto les conditions de travail des ouvrières à la chaîne, esclavagisées, déshumanisées, soumises aux cadences automatisées d’un productivisme infernal, à des rythmes de montage abrutissants et ahurissants qui zombifient les êtres humains.
Charlie Chaplin, un autre « Juif » célèbre, l’a bien compris et représenté dans son film-culte, « Les Temps Modernes » (1936).
[ Charlie Chaplin, un de mes “visiteurs”, aime à se jouer des rumeurs et assume cette judéité médiatique.
La preuve : ]
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[- Charlie Chaplin, alias Israel Thornstein
Les rumeurs qui courent sur les origines juives de l’acteur ont été largement propagées, tant par des antisémites que par la communauté juive américaine, une encyclopédie juive datant de 1948 citant déjà ce nom d’Israel Thornstein comme le « vrai » nom de Chaplin. Ce dernier a par ailleurs toujours délibérément entretenu la légende, estimant que réfuter la rumeur de sa judéité revenait à faire le jeu des antisémites qui la propageait, et ajoutant, selon ses propres mots, qu’il aurait considéré être juif «comme un honneur».] ]
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Les écrits de Simone Weil, la philosophe française d’origine juive, ont rejoint ceux de Georges Friedman, philosophe et sociologue français, dont le livre le plus connu « Le travail en miettes » (1956) confirmait les observations de la philosophe recueillies in vivo. Lui aussi s’était immergé dans la condition ouvrière, en se formant à la mécanique par la voie de l’apprentissage.
C’est pourquoi j’ai souhaité m’inspirer de leur démarche empirique pour tenter de comprendre comment des Français devenus policiers pouvaient se transformer en bourreaux de leurs concitoyens dès lors qu’ils pensaient bénéficier d’un statut privilégié et savaient qu’eux seuls possédaient le monopole de la force, c‘est à dire le monopole de la violence, celui de la violence des armes.
Les FdO (Forces de l’Ordre), armés contre le peuple de France par un État devenu tyrannique, bénéficient largement d’un statut d’exception qui les protège des potentielles représailles de la part d’un peuple français légalement et définitivement désarmé.
Il semble que personne en France n’ait encore réfléchi à cette expression « les Forces de l’Ordre », expression fasciste choisie préférentiellement à d’autres qui auraient pu être :
- « les forces du peuple »
- du moment que la volonté politique qui les commande aurait été celle du peuple.
C’est pour cette raison que les FdO sont et seront plus durs avec des Français-e-s prétendant se défendre par eux-mêmes que contre les racailles qui pullulent dans notre beau pays, la France.
Pourtant l’auto-défense est la résistance ultime d’un pays en déliquescence,
- le sursaut vital de l’animal pris au piège qui se sent faiblir et ne veut pas mourir.
La police s’encanaille aimablement avec les délinquants et les criminels mais la police ne supporte pas que le peuple se révolte contre elle,
- elle, la police qui prétend incarner l’autorité de cet État ploutocratique et despotique.
– Oui, la police française a plus peur des justiciers que de n’importe quel autre malfaiteur sur cette terre de France !
Et c’est aussi pourquoi, quand les Français veulent se faire justice par eux-mêmes, les juges prononcent des peines toujours plus sévères envers nos concitoyens abusés et blasés par les promesses d’hommes politiques retors.
L’inversion des valeurs morales est telle que certains élus politiques comme Bernard Cazeneuve, toute honte bue, ont proclamé que justice et morale ne font pas bon ménage, provoquant envers eux l’aversion d’un peuple dont la colère monte, un peuple qui grogne et qui gronde contre ces Sages sans vergogne.
Si la “Bête” réapparaît en France, ces élus cyniques et sardoniques en seront les premiers moralement ET politiquement responsables, même s’ils admettent parfois être responsables, soit, mais jamais coupables.
Ces cloportes rampants, Bourgeois décadents, ouvrent les portes de la France aux pires racailles et osent ensuite expliquer aux Français en fuite que le vice est naturel, fatalité d’un animal humain qui ne saurait exister qu’à l’état brut.
Les incultes sont allergiques à tout ce qui est académique :
- C’est un problème sans solution sauf à supprimer la culture pour plaire aux incultes.
L’Éducation Nationale n’arrive plus à recouvrir de vernis culturel les bêtes qui vivent dans nos cités et qui s’attaquent aux Français dont les ressources vitales et cérébrales sont de plus en plus précaires.
Quand des têtes tombent, ce ne sont plus celles des aristocrates mais celles d’innocentes victimes offertes aux nouveaux arrivants par le Despote comme autant de sacrifices expiatoires pour les péchés de la Nation française.
- La solution unique proposée par ces ploutocrates qui commandent au Despote, leur pote, est de ne pas agir.
- Car “ne pas agir, c’est encore agir !“, affirment-ils sans rougir.
La loi du plus fort est la seule loi démocratique qui vaille, la loi des canailles.
Le seul tort politique des Français, c’est d’être devenus des êtres faibles.
La loi des “voyous-crates”, les technocrates de la faillite bureaucratique, s’appuie sur un non-interventionnisme philosophique de bon aloi et une mauvaise foi maçonnique submergeant l’univers médiatique du Net de moins en moins net et de plus en plus sale avec des injonctions paradoxales qui rendent fous les citoyens français.
Le gouvernement censure les critiques des victimes non consentantes offertes en expiation des péchés de leurs ancêtres, novlangue des prêcheurs de la division.
Les citoyens râleurs doivent arrêter de communiquer sur leurs peurs, de critiquer leurs kidnappeurs de vie pour si peu…, se faire voler, se faire violer ou se faire tuer :
- quand tu es un voleur, tu voles !
- quand tu es un violeur, tu violes !
- quand tu est un tueur, tu tues !
- – « C’est une vérité physiologique qui explique tout », selon nos philosophes fatalistes de ce vingt et unième siècle, glissant un “Inch’Allah” pour montrer qu’eux se sont assimilés facilement à leur nouvelle culture.
- A croire qu’ils en rêvent, d’avoir une France “Orange Mécanique” pour mieux se défouler en organisant des jeux du cirque grandeur nature !
- La jet-set des très hautes sphères a dû se lasser de l’atmosphère des clubs libre-échangistes et des partouzes sado-masochistes : – “Tout lasse, tout casse, tout passe !”
Heureusement la solution gouvernementale est toute trouvée pour répondre aux angoisses des non-assimilés à la débâcle ambiante :
– « Il faut s’habituer à être tué-e ! »
Si le risque de se faire tuer par un tueur dans son propre pays dit civilisé, tueur qui ne peut que tuer puisqu’il est un tueur, sert de baromètre démocratique à nos élus ploutocratiques, il ne reste plus qu’à voir jusqu’à combien la température extérieure pourra monter pour savoir quand la cocotte-minute de la « Ripoux-blique », la République des Ripoux, explosera.
Moi, je réponds :
– « bientôt ! »
Les ploutocrates ne l’ignorent pas.
D’ailleurs il n’est plus besoin de s’interroger sur la motivation politique d’une décision présidentielle telle que supprimer le service militaire
- sachant combien est forte cette volonté totalitaire de mettre à terre le peuple de France
- et, pour cette raison, de le désarmer
- en lui interdisant d’acquérir des armes de défense
- et en le privant de formation militaire sur le maniement des armes de guerre.
De facto le peuple de France ne peut plus s’insurger contre un pouvoir tyrannique.
Pourtant le droit de posséder des armes et d’apprendre à s’en servir est, était !, un droit constitutionnel,
un droit insurrectionnel !
Un droit révolutionnaire…
Source historique :
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[ Décret du 21 septembre 1792
La Convention nationale déclare :
1 ° Qu’il ne peut y avoir de Constitution que celle qui est acceptée par le Peuple ;
2 ° Que les personnes et les propriétés sont sous la sauvegarde de la Nation
Décret des 21-22 septembre 1792
La Convention nationale décrète à l’unanimité que la royauté est abolie en France.
Déclaration du 25 septembre 1792
La Convention nationale déclare que la République française est une et indivisible.
Constitution du 24 juin 1793
Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen
Le peuple français, convaincu que l’oubli et le mépris des droits naturels de l’homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie ; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le législateur l’objet de sa mission. En conséquence, il proclame, en présence de l’Etre suprême, la déclaration suivante des droits de l’homme et du citoyen.
Article 1. – Le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Article 2. – Ces droits sont l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété.
Article 3. – Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi.
Article 4. – La loi est l’expression libre et solennelle de la volonté générale ; elle est la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ; elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à la société ; elle ne peut défendre [interdire] que ce qui lui est nuisible. […]
[…]
Article 35. – Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
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