« Charlie’s Angel » : – quand Charles Pasqua frappe à ta porte et te donne ce surnom de « Drôle de dame » comme code de reconnaissance, c’est que l’heure est grave pour la Police Nationale.

EN IMAGES. La carrière politique de Charles Pasqua en dix citations

Il est 17H00.

– « Allume la télé, mets Cnews, la chaîne 16. »

Depuis quelques jours, j’ai la chance insigne d’avoir un nouveau visiteur qui s’appelle Charles Pasqua, pour moi, le plus grand ripoux que la Police Nationale ait jamais intégré dans ses égouts.

– Ok, il y a entre lui et moi un léger différend nommé Robert Pandraud dans le genre #metoo.

Je veux bien taire, ne pas énumérer les affaires du S.A.C. (Service d’Action Civique) et ne pas reprendre le casier judiciaire d’Interpol d’un ex-ministre de l’intérieur français issu du milieu corse.

Vous noterez que je n’ai pas ajouté « mafieux » au milieu corse :

  • in cauda venenum : parce que le lien maçonnique coule de source au Paradis mythique des Frangins.
Le monde politique salue la mémoire de Charles Pasqua - midilibre.fr

– Non, je ne suis pas rancunière, encore moins une cancanière, juste une louve solitaire parfois carnassière avec les fauves politiques qu’elle adore !

En tant que messagère, je me vois obligée de prendre sous la dictée un constat alarmant et désarmant de la part d’un homme politique qui restera un grand ministre de l’intérieur…, tant il est vrai que seul un mafieux séditieux peut maintenir l’ordre dans un pays bouffeur de rois où la loi règne de la pègre brigadière.

  • Tout baigne en France !

La preuve, le titre de l’émission « Punchline » de Cnews diffusée en direct  à 17H00 :

– « Policiers : quel dispositif pour leur venir en aide ? 

  • 50 policiers demandent de l’aide chaque jour »

Le « dieu-hasard » des « pas francs »-maçons fait bien les choses.

Ou Charles Pasqua était bien renseigné, ce qui était déjà sa marque de fabrique avant de partir au Paradis, tout au moins, de parvenir au seuil de ce nouvel état, devenir un ange, ou Dieu existe.

  • Et là, franchement, j’ai comme un doute, un très léger doute, léger doute sur le fait que “Charlie” puisse devenir “an angel”.

– « Dieu peut tout ! », me répond-il.

Décidément, il ne changera pas, toujours le même bagout jusqu’à l’accent de Marseille, qu’il prend plaisir à faire entendre, une pure merveille.

  • Il n’y a que la vérité qui puisse déranger l’État français.

Charles Pasqua ajoute, ultime arme de charme :

– « Je connais bien Nicolas…, Nicolas Sarkozy, bien sûr ! »

  • Traître !

Entre « Charlie’s Angel(s) » et Nicolas…, le premier flic de France n’a pas rompu avec les habitudes des « grandes oreilles ».

Au moins, lui, Charles Pasqua n’aurait jamais répondu comme Bernard Cazeneuve :

– « Je ne sais pas, je ne savais pas ! »

« Un ministre de l’intérieur se doit de tout savoir sinon il vaut mieux qu’il démissionne dans l’intérêt général de ses services », précise-t-il.

Alors, vous dire ce qu’il pense du « neuneu » Bernard Cazeneuve, « ex-sinistre de l’intérien » qui ne savait rien, puisqu’il ne savait pas que le marché de Saint-Ouen était le plus grand marché de stupéfiants en France et que des terroristes islamistes s’étaient infiltrés parmi les migrants sur le territoire français.

– Et quels terroristes !

Mais c’est m’exposer à un procès en injure publique avec l’accent marseillais en moinsse sur ce blog si je reprends ses propres termes.

Au sujet très polémique de l’expertise policière des Socialistes en matière sécuritaire, je me dois d’écrire ce que Charles Pasqua n’a cessé de me répéter, fulminant ces derniers jours contre un de ces élus socialistes, triste sire à la mine défaite, la défaite opportuniste des vendus, des déjà rendus à une guerre non livrée :

– « Jean-Christophe Lagarde, prends garde, mon lapin !

A force de vouloir tirer sur un meilleur que toi et de lui promettre des balles à blanc, tu risques de t’en prendre une, pour de vrai, une balle, une bastos ou une baston, panpan ! »

—————————————————————-

[En fait, Jean-Christophe Lagarde serait du Centre, de l’UDI.

Charles Pasqua me répond :

– “De quel centre, centre gauche ou centre droit ?

Pour savoir dans quel camp on est, il faut déjà savoir où est sa droite et où sa gauche. Sinon on tire contre son propre camp !

Si ce type est de droite, alors moi, je suis socialiste !”]

« Pour de vrai », Pasqua se serait exprimé plus… euh, comment l’écrire ?, de manière plus ordurière en des temps plus ordinaires, de son vivant, quand il ne croyait pas en la résurrection des morts.

– Là, il fait des efforts pour m’éviter la prison ou encore d‘autres procès à venir.

  • Môssieur est trop bon !

Il connaît bien les pièges de la Maison-Poulaga et son florilège de faux témoignages.

Pour ce qui est du message de Charles Pasqua, c’en est une, de bastos, une bastos envoyée dans une enveloppe fermée à destination des parlementaires de ce pays, la France, à l’attention de ces élus qui ne servent à rien.

L’ex-ministre de l’intérieur s’amuse :

– « Entre vos ministres qui ne savent rien et vos parlementaires qui ne servent à rien, vous, peuple de France, êtes mal barré ! 

Les décisions contradictoires se succèdent au nom d’une ignorance globale devenue l’alibi normal des « cons » (sic), incompétence insigne et insouciance indigne d’une classe politique peu méritoire.

En fait, il s’agit de techniques de manipulations mentales appliquées à une masse informe de personnalités passives, injonctions paradoxales et lois abusives prises sans délai à courte vue pour tenir le petit peuple sous le coups d’amendes dissuasives qui pleuvent et de peines de prisons qui se veulent privatives des libertés individuelles.

Les manœuvres dilatoires gouvernementales se succèdent dans le seul but de réduire en esclavage ces « Gaulois réfractaires » qui s’opposent à la casse sociale voulue par ce gouvernement de ripoux notoires.

[J’aime bien quand c’est Charles Pasqua qui traite de ripoux d’autres ripoux :

  • Putaing, ils doivent être sacrément ripoux, ces ripoux,
  • pour être traités de ripoux par Pasqua !]

La volonté de nuire au peuple de France, de détruire la nation française, saute aux yeux des plus cons d’entre nous.

Seuls, les plus intelligents inventent des raisons imaginaires en lieu et place de mobiles crapuleux vieux comme le monde qui provoquent la commission d’actes purement et pénalement délictueux.

Mais comme tout ce beau linge se tient par la barbichette, ceux qui riront en dernier se verront décapités.

– «  Ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces ! », tonne Charles Pasqua.

Puis, il s’adresse solennellement à Emmanuel Macron, le jeunot qui prétend diriger la France et qui ne gère plus rien du tout, sauf la distribution de bonbons au bon peuple de France , en laissant crever la bête blessée qui trime pour lui :

– « T’es mort, Macron ! T’as trop joué au con. Laisse ta place et barre-toi !

La réforme de la Police Nationale, la suppression de la PJ, n’empêchera pas que le scandale de tes affaires te collera au cul comme les couches sales d’un bébé dont la merde ne peut pas être nettoyée et qu’elles te couleront quand tu essaieras de rejoindre une autre rive dans cette vie-là.

  • Tout arrive à point à qui sait attendre et même à qui ne veut pas se faire prendre !

Tu as passé ton temps à vouloir salir d’honnêtes hommes politiques, mille fois plus honnêtes que toi, qui ne s’enrichissaient pas personnellement alors que, toi, tu t‘en mets plein les fouilles.

– Tu pourras partir au bout du monde, rien n’y fera !

On te retrouvera partout.

  • Tu t’es fait plus d’ennemis en cinq ans que moi en trente ans !

Tu m’as battu au jeu du cyniquement plus correct que moi en politique.

Je te tire mon chapeau pour ton talent de comédien.

  • Mais il est temps que tu te tires, le beau parleur !

Quand on dépouille les pauvres pour donner aux riches, on triche.

– Tu as perdu, tout perdu.

Tu ne le sais pas encore, mais moi, je te le dis.

  • Tu as perdu ton honneur, mais ça, tu t’en fous !

Par contre, tu as perdu l’honneur de la France et ça, bah moi, je ne m’en fous pas.

Les policiers sont devenus des cibles ambulantes que tu as livrées à la juste colère de ton peuple pour faire diversion.

  • Tu te fous de tout, Macron !

– Des morts au Mali, des morts en France.

Et tu livres aux Français des Musulmans innocents que tu désignes à la vindicte populaire comme des Juifs, ces boucs émissaires des années noires, des années nazies, sous le régime « NATIONAL-SOCIALISTE ».

C’est toi qui as fait venir des terroristes islamistes et c’est toi qui les as laissé envahir le territoire français.

  • Non, Emmanuel Macron, le « NATIONAL-SOCIALISME », ce n’est pas l‘extrême-droite,
  • c’est TON PARTI à toi.

– Et mon parti à moi, c’est le parti de la France.

Et ma France, elle ne sera jamais d’extrême-droite, tu l’entends ça !

  • Ecoute ça, écoute-le bien !

– Tu connais ma réputation ?

  • Je n’avertis jamais pour rien !
  • Et je retiens tout, n’oublie pas ça, je retiens tout.

– Chaque policier qui tombe, c’est de ta faute à toi !

Et tu le sais.

Moi, j’ai toujours protégé mes hommes.

  • Toi, t’es un donneur, une donneuse, une balance !

– Et tu sais comment finissent les balances dans le milieu ?!

  • Bien sûr que tu le sais !

– Tu veux quoi, Macron, monter les Français les uns contre les autres, le peuple contre les flics, les flics contre le peuple de France  ?

Parce que tu as peur que les flics se liguent avec le peuple contre toi ?

  • C’est pour ça que tu détruis la Police Nationale, la dernière digue républicaine ?
Du Sénateur Charles Pasqua :
– “Il y a longtemps que M. Fabius a atteint son niveau d’incompétence.
Alors qu’il démissionne !
C’est le seul service qu’il puisse rendre à la République.”

– Car, oui, tu la détruis !

– Pour la remplacer par quoi, Macron ?

  • Pour remplacer la Police Nationale par quoi, Macron, je t’interroge, réponds !?
  • Par quoi ou par qui ?

– Des fonctionnaires extra-européens capables de tirer sur le peuple français,

  • une milice Europol composée de mercenaires sanguinaires ?

Ton règne aura été un long nécrologe, le fameux nécrologe des martyrs morts pour la France,

  • cette Nation que tu as enterrée vivante, secouée de spasmes douloureux et de soubresauts comateux. »
Liberté, liberté chérie !
EN IMAGES. La carrière politique de Charles Pasqua en dix citations

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