Rêve prémonitoire non daté mais datant d’au moins d’un an, jamais noté nulle part pour ne pas en faire une prophétie auto-réalisatrice.
Je voulais encore moins publier ce rêve prémonitoire, sauf que… pas eu le choix.
- Voir encart explicatif à la fin du post.
Nous étions dans un immense bâtiment moderne ayant l’aspect d‘un énorme bunker, centre de conférences ou de concerts multiplex nouvellement construit dans un parc boisé magnifique.
Je regardais autour de moi les salles qui s’offraient à ma vue, toutes de tailles différentes et aménagées avec les dernières techniques de diffusion.
Au bout du grand couloir dans lequel j’errais et je m’étais égarée, pour m’éloigner de lui, être un peu seule, je pouvais encore voir la tribune d’où s’exprimaient des personnalités politiques et sportives très connues.
- Tout ce que je savais, intuitivement, était que ce centre se trouve en Catalogne espagnole. De toutes façons, la Catalogne française n’existe plus.
Sur des écrans intérieurs ou sur des télévisions disposées jusque dans les autres petites salles alentour, les invités suivaient les interventions des conférenciers.
Partout de vives discussions couvraient les discours très engagés des polémistes internationaux venus s’exprimer sur la plus grande des tribunes du monde catalan, affirmant sans concession aucune la nécessité de devoir reconstruire un monde sportif dégagé de toute contingence partisane ou idéologique, économique ou politique.
Celui que j’accompagnais dans ce qui n’était qu’un rêve participait à ce rassemblement indépendantiste et sportif festif.
Avec amusement, je voyais mon ami (- comment l’appeler ?) sympathiser ou renouer avec des sportifs connus qui l’appréciaient pour sa liberté de langage et son engagement sans faille dans ce combat indépendantiste.
Il était dans son élément, élégant, grand et brillant de ce feu intérieur qui le distinguait quand il défendait la cause indépendantiste, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, corollaire nécessaire de la liberté des hommes à pouvoir choisir eux-mêmes leur régime politique.
Dans mon rêve, celui que j’accompagnais incarnait l’esprit de Pierre de Coubertin, un Français comme lui qui représentait diplomatiquement cette France libre qui dev(r)ait (re)-devenir la locomotive de l’Europe pour la refonder.
Des financiers, banquiers catalans, espagnols mais aussi suisses, qu’ils connaissaient tous, affichaient leur soutien économique et rivalisaient de générosité entre eux pour permettre à un club sportif catalan de s’affranchir d’une dictature mondiale devenue insupportable.
La Catalogne devait ouvrir la voie et s’associer à d’autres régions ou pays pour quitter le CIO et la FIFA, je ne me souviens plus très bien des organismes cités en plus du CIO.
Je serais bien incapable de vous dire si c’était un club de rugby ou de football, le Barça par exemple.
– Pourquoi le Barça ?
Vague réminiscence ou souvenir médiatique, je ne sais.
J’avoue ne pas être passionnée par les jeux de ballons ronds ou ovales, sauf quand je lance une balle à mon chien :
– « Va chercher ! »
Et mon chien part chercher sa baballe, tout content, en frétillant de la queue comme les mecs qui courent après…, après quoi, d’ailleurs, la gloire, le plaisir, le fric et la frime ?
Evidemment, alors que j’avais enfin trouvé ma place dans un petit groupe de personnes sympathiques qui échangeaient des points de vue sur la qualité des interventions à la tribune catalane, je le vis arriver.
Il me cherchait.
En fait, dans mes rêves, juste dans mes rêves, comme au début quand je ne le connaissais pas, il me cherche toujours.
Et moi, je fuis toujours, même si je suis là, pas loin de lui, sans être collée à lui, sans être véritablement avec lui.
Je le vois venir vers moi, presqu’à l’instinct, comme un chien de chasse.
Il m’étonnera tout le temps.
– Comment fait-il pour savoir où je me cache ?
Je n’aime pas la foule, le bruit, les réceptions, les éclairages et les célébrités tout autant artificiels.
Comme je l’avais écrit à JJG quand je refusais de le rencontrer, j’aime rester dans l’ombre.
- Le monde des lumières artificielles, ce n’est pas mon monde à moi !
Je sais que l’homme que je suis, sans savoir pourquoi, s’inquiète de ne pas savoir, lui, où je suis.
Pourtant il ne se trompe jamais, je suis là où il me cherche :
– foutu lien entre nous deux !
Je me lève pour sortir de la petite salle où j’étais si tranquille et vais le rejoindre.
De toutes façons, il allait rentrer dans la pièce et saluer mes nouvelles relations.
Je lui évite cette corvée et nous remontons vers la grande salle de conférence où les gens tentent de se faire remarquer pour être immortalisés par des photographes qui flashent et des caméramen qui filment ce qui est un moment manifestement historique pour eux tous.
- Arrive au même moment une milliardaire blonde, sans doute catalane.
La foule l’acclame.
Elle est entourée par des gardes du corps en nombre impressionnant portant ostensiblement des armes lourdes.
Je sens que mon compagnon est inquiet.
Il regarde autour de lui et me tire vers une sortie latérale.
- Je ne saurais pas qui était cette blonde d’une quarantaine d’années environ, dommage !
Mon ami le sait, lui. Et, dans mon rêve, je sais aussi qu’il la connaît.
Mais il se refuse à me dire qui elle est.
– « Viens, allons voir le parc, il est très beau ! »
Lui dire « Non ! », c’est comme tenter de résister à un bulldozer, il faudrait raser toute notre histoire.
Je le suis, pas le choix, et lui me pousse vers la sortie car je ne peux pas m’empêcher de me retourner, regardant en arrière, hésitante, et m’interrogeant sur la brusque arrivée de cette milliardaire qui, – m’apprend-il enfin, serait la mécène du club sportif autour duquel est organisée cette manifestation spectaculaire.
A l’extérieur, nous arrivons sur une sorte de parvis, étendue bétonnée dominant une profonde vallée boisée. Devant nous, il y a un hélidrome, petit aéroport pour hélicoptères.
A ce moment-là, j’entends distinctement des tirs à l’intérieur du bunker.
Les visiteurs tentent de fuir comme nous.
Mais les portes du bunker se referment.
Des vigiles sortent du centre et nous appellent à nous regrouper car ils doivent protéger les Français.
Ils nous font signe de nous rendre tout de suite à l’hélidrome, de ne pas rester sur le parvis.
Dans le ciel, un hélicoptère apparaît.
D’autres personnes ont réussi à s’échapper du bunker, trois ou cinq, je ne sais plus, poussées vers l’hélidrome par la garde privée de la milliardaire.
L’hélicoptère est prévu pour les Français. Il doit leur permettre de refranchir la frontière franco-espagnole en toute sécurité, sans se faire prendre par la Guardia Civil.
- Sinon c’est la prison assurée pour les Indépendantistes !
Mon ami m’apprend alors que ce rassemblement était clandestin, interdit par l’état espagnol.
Il m’explique que quelqu’un a dû « nous » trahir et informer la Guardia Civil qui aurait attendu l’arrivée de la milliardaire pour tenter de l’interpeller en tant qu’organisatrice de cet événement quasiment mondial.
– D’où la rafle générale !
Je le regarde toujours égal à lui-même, déterminé et cependant inquiet, car il nous faut monter vite, très vite, dans l’hélicoptère, lequel tarde à atterrir sans que l’on sache pourquoi.
Il pose la question aux gardes qui surveillent les deux grandes portes arrière du bunker s’ouvrant sur le parvis bétonné. Ces hommes sont prêts à tirer sur des policiers espagnols s’ils essayaient d’empêcher la fuite des Français.
Je suis impressionnée par leur combativité et leur attachement à la Catalogne indépendante.
Il faut éviter tout incident diplomatique avec la France dont pourrait être rendue responsable la blonde milliardaire. Ainsi je comprends que cette femme a une stature iconique pour les Catalans. Mais j’ignore toujours qui elle est en ce temps présent.
L ‘hélicoptère se pose enfin et nous courons vers l‘appareil, tous ensemble.
Je ne peux pas m’empêcher de regarder ce qui se passe car, au même moment, les portes arrière du bunker s’ouvrent, ayant cédé sous la pression de béliers utilisés par la Guardia Civil. Effarée et effrayée pour eux, je vois les gardes catalans affronter les policiers, trois ou quatre gardes contre une dizaine de miliciens espagnols. J’ai envie de crier ma colère car ils tirent à balles réelles et le sang coule sur le parvis gris argent.
J’entends mon compagnon m’appeler pour que je monte dans l’hélicoptère. Mais, statufiée, je ne me retourne pas vers lui, les yeux fixés sur ce massacre. Alors il me happe par le bras, me tire vers lui si fort que je me retrouve dans l’hélicoptère en train de décoller avec lui et les autres Français.
- Il était juste temps !
La Guardia civil tire à vue sur l’hélicoptère mais il est trop haut dans le ciel.
Tous les gardes catalans ont été tués.
C’était un rêve, juste un rêve qui n’arrivera jamais.
En effet, pour que ce rêve se produise, il faudrait que l’acteur principal acceptât son rôle.
Par conséquent je me dois d’expliquer pourquoi je publie ce rêve aujourd’hui, le 29 mars 2022.
- Voir encart ci-dessous à ne lire que si vous ne croyez en rien, comme lui, pour en rire !
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Encart – Avis posthume pour un amour défunt dans un avenir indéfini
- Synchronicité et perplexité ?
- Félicité promise outre-tombe, waouch !
Juste un hasard…
– Référence à un film « Ghost » que je ne voulais pas nommer sur une carte de voeux transitoire pour une histoire morte qui ne m’apporte plus qu’ennui-s au singulier comme au pluriel.
Malgré tout, j’avais accepté un dernier envoi, baroud d‘honneur pour couvrir un déshonneur et offrir le dernier signe, un dernier livre, le livre de Michel Houellebecq, « Anéantir », sans dédicace.
- Il m’était promis que l’actualité sagace suffirait en soi.
Je ne savais même pas, moi-même, ce que signifiait ce choix au moment où il m’était imposé, ni comment le transmettre, juste que je serais ridicule, encore une fois, ce qui demeure ma seule certitude :
– Le ridicule, avec lui, c’est devenu une habitude, une seconde nature.
- Car j’aurais dû mourir de ridicule un nombre incalculable de fois avec lui !
Cependant le contexte mondial en a décidé autrement.
Ce fut ma seule consolation, que le Ciel ait confirmé les signes annonciateurs d’un anéantissement futur, écriture prophétique pour le jour officiel de l’amour.
Je comprenais enfin le titre « Anéantir » et cette exception imposée de devoir rappeler à quelqu’un que son destin ne se jouait pas dans une cour d’école, fût-elle une école de haut niveau entre bagarres enfantines et jalousies mesquines.
Au moins, j’aurais fait mon devoir, un devoir qui me pèse, ma vie étant un non-sens dans sa vie, sa vie, une vie sans grand intérêt pour lui, sauf à vouloir engranger des intérêts grâce à des placements financiers juteux.
Aussi, lorsqu’il m’a été demandé de remettre le couvert pour ce jour-anniversaire et de décrire un rêve peut-être prémonitoire pour une histoire morte dans une vie où il n’est plus, la mienne et la sienne, lui étant sorti de sa vie en sortant de la mienne, il me paraissait futile, pour ne pas écrire débile d’obéir à ce commandement curieux.
Donc, j’ai posé mes conditions, à savoir que je voulais avoir un signe clair, le jour du 29 mars, sans aucune possibilité d’ambiguïté sur son interprétation, en quelque sorte une signature du divin, un signe que, moi, je reconnaîtrais, le signe du « Ghost » associé à ce jour-anniversaire, le 29 mars, puisqu’il fallait publier ce rêve prémonitoire le jour de son anniversaire et, si possible, avec un autre signe personnalisant « l’élu », je ne sais pas, moi, le prénom d’un héros connu, par exemple, « Le petit Nicolas », au hasard, bien sûr.
Stéphane PERES
http://www.npc-media.com
Film réalisé dans le cadre de l’Université de Marne-la Vallée, site de l’IUT de Meaux et du Festival SRC 2008.
Film disponible en Full HD.
http://www.npc-media.com
Un étrange homme s’apprête à passer à table. Il allume la télévision, tombe sur une scène d’amour… et c’est le choc. Il est temps pour lui de trouver son âme soeur et il va tout faire pour cela. Tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins, paraît-il.
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Voilà pourquoi je dois publier ce rêve prémonitoire sur une crise indépendantiste dans le monde sportif catalan parce que j’ai été exaucée, à ma grande… consternation.
Les deux signes m’ont été donnés, – toujours par hasard n’est-ce pas ?, le film « Ghost » et un autre film « Le petit Nicolas ».
J’espère qu’un jour, là-haut, Il comprendra, l’Homme qui veut sauver les hommes, tous les hommes, que le type en qui Il croit ne croit en rien, lui, et qu’il se trouve bien là où il vit, dans son bocal à cornichons, vie de routine, où seule la cocaïne pourrait encore produire quelques excitations sensorielles en lui laissant croire que c’est normal et que c’est « ça » la vie qu’il mène, la laisse du chien domestique au ventre repu :
– « Poubelle la vie ! »
OK, j’accepte encore une fois de publier un post qui parle de lui mais j’espère vraiment que ce sera la dernière fois qu’il me sera demandé d’écrire pour lui.
OK, son destin politique pourrait épouser le destin d’une Europe qui ne sait pas non plus ce qu’elle devient même si elle croit tout contrôler, comme lui dans sa vie actuelle.
OK, j’entends bien que ce rêve publié ce jour ne parle pas seulement de lui et que le sport sera le révélateur de graves tensions internationales, ce qui lui avait été annoncé dans un message évoquant un curieux lien Internet entre « les loups sont entrés dans la cité » et un sportif du même nom que lui, signes envoyés et reçus par lui avec le même dédain souverain que celui qu’il affiche ostensiblement pour la plupart de mes écrits.
– Donc à quoi bon vouloir que je continue d’écrire sur une histoire qui ne sera pas la sienne ?
- S’il veut devenir le Roi des cornichons dans son bocal à cornichons, grand bien lui fasse !
La seule grâce que je demanderais au Seigneur, c’est qu’Il arrête de vouloir le guider en lui fermant au nez les portes locales de son bocal pour l’obliger à partir sur un destin international.
Le pauvre type risque même de croire que c’est à cause de moi que plus rien ne lui réussit localement :
- car si les hommes ne croient pas en Toi, Seigneur, ils croient plus sûrement au Diable.
Pour ma part, j’aimerais en finir avec cette histoire, ne représentant rien sauf pour ceux qui Te cherchent.
Je laisse volontiers ma place à un autre médium christique, ou mieux, satanique :
– qu’il prenne le relais !
Ma foi n’est pas la sienne.
- Ta loi n’est pas la sienne, la voie du renoncement aux richesses matérielles, Toi qui veux sauver les hommes !
Je trouve insensé de publier des rêves qui n’ont plus d’utilité puisque leur vitalité future dépend d’un choix humain et que tout est vain pour cet homme sauf la vanité de ce monde.
- En plus, je risque d’être accusée de vouloir instrumentaliser son avenir,
- me rendre intéressante et que sais-je encore !
Enfin je me méfie des prophéties auto-réalisatrices.
Entouré de belles intellectuelles castratrices, ce n’est pas la peine d’en rajouter pour ce pauvre type qui ploierait sous le poids des écrits d’une magicienne évocatrice d’un avenir auquel il ne croit pas, pire, d’une sorcière conspiratrice qui ne le laisserait libre que de T’obéir, à Toi, au nom du Diable !
- Le comble de l’hypocrisie, non ?
Dans le Christianisme, Tu as voulu que les hommes ne soient pas soumis.
Tu les as voulus ainsi, libres, hommes libres de choisir leur destin, pas soumis à une fatalité divine « Inch’Allah » qui expliquerait commodément qu’ils ne soient responsables en rien de leurs actes.
Rappelle-toi que je ne l’ai pas voulu dans ma vie.
– Libère-le, que les portes natales de son bocal s’ouvrent à nouveau pour lui et qu’il puisse redevenir le Roi des cornichons !
- Sur terre, les hommes trouvent enviable ce qui est infernal.
Mes rêves prémonitoires qui lient le sort du monde à son destin resteront des secrets, un univers parallèle en-dehors de sa vie réelle dont il n’aura pas connaissance.
Pour lui, je resterais cette femme fatale qui a bousculé une existence banale, la sienne, chienne de vie à laquelle il est trop attaché pour casser sa laisse !
A ta demande que je souhaite être la dernière de ce genre, cependant, je mets en ligne les preuves de cette synchronicité répétitive, comme un appel à accomplir un destin, un appel vain qui résonne dans le vide d’une vie instinctive qui est son choix, pas Ton choix pour lui.
- Un autre prendra sa place ou le monde évoluera autrement, qu’importe, l’homme est libre !
A mon avis, il ne Te lira même pas.
– Et puis, mets-Toi à la place de ce pauvre diable qui ne T’a rien demandé, enfin, me semble-t-il, surtout à Toi, le Dieu chrétien, l’Homme-Sauveur.
- Il va finir par avoir peur de Dieu et préférer aller au Diable !
Signes demandés, signes reçus, synchronicité d’un jour-anniversaire aisément identifiable et vérifiable :
– Diffusions sur les chaînes publiques et gratuites du 29 mars 2022
- « Ghost » sur la chaîne gratuite TV W9
- « Le petit Nicolas » sur la chaîne gratuite TV Gulli.
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Programme TV TNT de ce soir
Ce soir [29 mars 2022]
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chaîne 9 Programme W9
21:0577
Ghost
Film fantastique (2h05mn)
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chaîne 18 Programme Gulli
21:0577
Le petit Nicolas
Film pour la jeunesse (1h35mn)
22:40
La grande histoire du Petit Nicolas
Culture (1h05mn)
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Publié à 19H49 le 29 mars 2022.