Tout d’abord, un petit rappel perso, un chouïa égoïste, je sais :
– même si l’agenda politique est très chargé, j’ai une vie avec des obligations familiales et « professionnelles », enfin, presque « professionnelles ».
Car, si ça continue, entre les tribulations d’une maman dans sa vie quotidienne et les apparitions élyséennes de mes « visiteurs », je vais moi aussi « revenir » à un état antérieur, celui d’une femme redevenue médium malgré elle et consacrant tout son temps terrestre à rendre visible un au-delà céleste.
Donc, non, mes vacances ne devraient pas être un temps exclusivement consacré à mes « visiteurs », aussi intéressants soient-ils :
- sauf qu’il se passe toujours quelque chose et des choses graves… en France ou dans le monde !
Tony s’est présenté à moi, alors que, sortant d’une clinique, je revenais vers ma voiture. Honnêtement Tony m’a « saoulée », me mitraillant d’informations diverses sur l’état de la Police Nationale et prenant la défense de ses ex-collègues, policiers républicains devenus la viande hachée d’un pouvoir qui les envoie vers « l’équarrisseur » populaire :
- L’État n’existe PLUS que grâce à la Police Nationale et à la Gendarmerie.
Ce n’est un secret pour personne.
Les gars sont rendus à l’os, épuisés physiquement et moralement.
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https://theconversation.com/le-corps-des-policiers-outil-de-travail-et-de-resistance-123781
L’expertise universitaire, l’exigence journalistique
Le corps des policiers, outil de travail et de résistance
Publié: 30 octobre 2019, 20:01 CET
auteur
- Vanessa MontiesEnseignant-chercheur en Management, INSEEC Grande École
[Après des mois de confrontation dans les villes, émaillés par diverses affaires controversées, l’image des policiers est écornée auprès de la population française.
Entre répulsion et fascination, la profession a toujours généré des sentiments ambigus. Le métier porte aussi un paradoxe : la société lui a octroyé le droit d’utiliser des moyens coercitifs (la force physique) à l’encontre de personnes qui utilisent ce même moyen de façon illégale contre d’autres personnes. Nous avons récemment mené une étude sur un aspect permettant d’éclairer et de mieux comprendre les dilemmes moraux auxquels sont confrontés les policiers : leur corps.
Questions existentielles
Les questions « qui suis-je » et « quel est le sens de ce que je fais ? » sont d’autant plus importantes pour les policiers dans un contexte où les enjeux humains sont forts, les conditions de travail sont incertaines, voire dangereuses, comme l’ont montré différentes affaires récentes.
Les attaques peuvent venir de l’extérieur comme lors du double meurtre de Magnanville mais également de l’intérieur comme l’a montré la tuerie du 6 octobre.
Les policiers font ainsi face à un nouveau paramètre lié directement à leur profession : ils sont devenus depuis quelque temps des « victimes » potentielles.
Or, cela est pour eux insupportable car ils se considèrent comme les seuls garants de la sécurité et de la protection des victimes.
Ce nouveau phénomène met d’autant plus en exergue des problématiques auparavant latentes.
Pour faire face à ces évolutions déstabilisantes, les policiers s’engagent dans une éthique du corps comme outil d’invulnérabilité et développent des compétences techniques, physiques et mentales de façon spécifique.
Un environnement en profonde mutation
L’environnement de travail des policiers français a beaucoup changé ces dernières décennies, il a évolué notamment pour répondre aux normes de standardisation de l’Union européenne.
Ces évolutions ont profondément impacté le travail des policiers qui, pour beaucoup, ont du mal à accepter ces changements. Ils considèrent que cela les empêche de faire leur travail de façon efficace. Ces changements empiètent sur leur identité et sur la façon dont ils conçoivent le bon travail policier.
Pour cette étude, nous avons partagé le quotidien de policiers d’enquête et d’intervention de brigades spécialisées d’une grande métropole pendant un an.
Cela nous a permis d’observer chez ces policiers comment leur conception du travail bien fait passe en grande partie par une éthique du corps comme outil de travail « parfait et performant ». Le corps joue ainsi un rôle prépondérant dans l’identité des policiers de terrain et il participe également aux stratégies de contournement de certaines pressions institutionnelles qui affectent la conception de leur travail.
En mettant l’accent sur quatre pratiques corporelles, nous démontrons comment la forme physique, l’hygiène, l’endurance et le contrôle des corps et des espaces sont des éléments centraux de la construction de l’identité professionnelle de ces policiers et comment cela participe à leur éthique de travail. […]
Le corps s’abîme
Ces policiers doivent cependant faire face aujourd’hui à la fois à une plus grande médiatisation et visibilité de leurs actions mais également à des comportements plus violents et désinhibés de la part des potentiels suspects.
La radicalisation des mouvements sociaux de ces derniers mois met à l’épreuve leur éthique et leurs stratégies, tant au niveau de l’endurance que du sentiment de « salissure » et de stigmatisation croissant.
Entre la sélection de l’information par les médias et les jeux de pouvoir politique, les policiers de terrain ont de plus en plus de mal à faire un travail sérieux tel qu’ils le conçoivent et qui correspond à leur vocation. Le corps comme dernier rempart contre la perte de sens commence à s’abîmer, à se fatiguer, à se salir. La fierté du métier et la confiance dans la mission s’effritent face aux déceptions récurrentes d’un système en saturation et des attentes de la société qui sont devenues trop divergentes et contradictoires.]
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- Mais « l’État, c’est moi » s’en moque !
Il se moque d’eux comme il se moque d’ailleurs des Français.
[Tony, le play-boy, ne veut pas de l’écriture inclusive. Désolée, je dois respecter sa volonté.
Ah, un instant, je réponds à Tony : – « Si ! Tony belle-gueule, tu étais un play-boy… »]
Tony se rengorge, un peu comme un coq.
- Après tout, le coq, c’est l’emblème de la France, non ?
Tony m’envoie alors les flashs du « futur » et, pour lui [d’ailleurs, il refuse le « pour lui » : – « c’est le futur » !], le futur, c’est :
– des policiers blessés, laissés sur la chaussée par leurs camarades débordés dans l’incapacité de leur porter secours ;
– des foules ivres de colère où il sera vain de chercher des meneurs, des leaders :
- c’est la France toute entière qui est en colère, Macron !
– des « politiques » [Tony rejette le terme d’«hommes »et emploie le neutre d’un adjectif non genré pour se moquer des « wokistes » progressistes], des personnages falots et ballots, gonflés de fatuité stupide et enflés d’une vanité avide, celle de l’argent :
- « L’arrrrrrgeeeeeeeeeeeennnnnnnnt, l’arrrrrrrgeeeeeeeeeeeeennnnnnnt ! » singe Tony en imitant un « Avare » à la Molière qui serait cauchemardesque, une sorte de « Freddy – Les Griffes de la Nuit ».
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Diffusée en direct le 19 mai 2021
Le Figaro
519 k abonnés
#police #justice #Darmanin
Des syndicats unanimes, des milliers de policiers mais aussi le ministre de l’Intérieur et des politiques de tous bords et de nombreux civils sont attendus mercredi devant l’Assemblée nationale.
Suivez notre direct, avec Brune Daudre, journaliste au FigaroLive et Guillaume Poingt, journaliste au Figaro.
POUR ALLER PLUS LOIN:
Les policiers meurtris appellent à l’union sacrée devant le Palais Bourbon https://www.lefigaro.fr/actualite-fra…
Rassemblement des policiers : Darmanin estime que sa «présence est un moyen de les soutenir» https://www.lefigaro.fr/politique/ras…
La présence d’un ministre dans une manifestation est-elle inédite ? https://www.lefigaro.fr/politique/la-…
Lettre de Valérie Pécresse aux policiers : «Il est temps de rétablir votre honneur» https://www.lefigaro.fr/vox/societe/l…
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La référence est volontaire, pas seulement symbolique.
Tony interroge :
– « Comment peut-on échapper à son pire cauchemar ? »
Tony vous répond :
– « En restant éveillés !
- Peuple de France, réveillez-vous, sinon vous allez tous finir, égorgés, dans votre sommeil par Macron, « l’escroc/les crocs » de la nuit ! »
[- « Joli, Tony, le jeu de mots ! »]
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explique Amine Kessaci (association “Conscience”)
BFMTV
il y a 2 heures
Marseille
Un homme de 63 ans a été tué et un trentenaire grièvement blessé dans une fusillade lundi soir dans une cité des quartiers nord de Marseille gangrénée par le trafic de drogues.
Le sexagénaire a reçu plusieurs impacts de balles au niveau du thorax et était déjà décédé à l’arrivée des secours près d’un établissement de restauration rapide situé à côté d’un point de deal au sein de la cité de la Busserine.
Il n’était pas connu de la police pour trafic de stupéfiants a précisé le parquet de Marseille.
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Il ne faut pas oublier que Tony était directeur de troupe artistique et qu’il le serait toujours (sic).
[ Il est vrai qu’ « Allan Kardec », pseudo de Hippolyte Léon Denizard Rivail, fondateur du spiritisme, prétend que, dans l’au-delà, les âmes continueraient de s’instruire et de cultiver leurs centres d’intérêts.
Le « Père Rivail », régisseur de spectacles d’illusion, a su intégrer dans son autre vie terrestre de « médium », les tours du physicien-prestidigitateur, Henri Lacaze, son directeur au théâtre Marigny à Paris :
– il n’y a pas que les morts qui font tourner les tables !
Pour le Seigneur, ces continuités d’activités terrestres dans l’au-delà sont des illusions entretenues par des esprits qui recréent leur temps antérieur, celui de leur vécu, à partir de leurs souvenirs passés, incapables de se détacher de leurs liens terrestres.
Explication donnée sans vouloir heurter la susceptibilité de Tony : – la “re-création” de son environnement terrestre est une étape transitoire nécessaire pour s’approprier les nouveaux pouvoirs d’un corps énergétique différent de celui du corps terrestre. Pour reprendre le concept évangélique de la résurrection tel que décrit par Jésus quand il répondait à la question des Saduccéens, il s’agit d’un corps “angélique”.]
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[…]
[LE TEXTE BIBLIQUE
Des sadducéens – ceux qui affirment qu’il n’y a pas de résurrection – viennent trouver Jésus. Ils l’interrogeaient :
« Maître, Moïse nous a prescrit : Si un homme a un frère qui meurt en laissant une femme, mais aucun enfant, il doit épouser la veuve pour susciter une descendance à son frère.
Il y avait sept frères ; le premier se maria, et mourut sans laisser de descendance.
Le deuxième épousa la veuve, et mourut sans laisser de descendance. Le troisième pareillement.
Et aucun des sept ne laissa de descendance. Et en dernier, après eux tous, la femme mourut aussi.
À la résurrection, quand ils ressusciteront, duquel d’entre eux sera-t-elle l’épouse, puisque les sept l’ont eue pour épouse ? »
Jésus leur dit : « N’êtes-vous pas en train de vous égarer, en méconnaissant les Écritures et la puissance de Dieu ?
Lorsqu’on ressuscite d’entre les morts, on ne prend ni femme ni mari, mais on est comme les anges dans les cieux.
- Et sur le fait que les morts ressuscitent, n’avez-vous pas lu dans le livre de Moïse, au récit du buisson ardent, comment Dieu lui a dit : Moi, je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob ?
- Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Vous vous égarez complètement. »
Mc 12,18-27]
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[Si la Pravda macronesque le dit ?!!!!!!!!!!]
il y a 4 heures
Fusillades à Marseille: “Sur la semaine écoulée, il y a eu 7 règlements de compte”
explique David Le Bars (SCPN)
Marseille
Un homme de 63 ans a été tué et un trentenaire grièvement blessé dans une fusillade lundi soir dans une cité des quartiers nord de Marseille gangrénée par le trafic de drogues.
Le sexagénaire a reçu plusieurs impacts de balles au niveau du thorax et était déjà décédé à l’arrivée des secours près d’un établissement de restauration rapide situé à côté d’un point de deal au sein de la cité de la Busserine.
Il n’était pas connu de la police pour trafic de stupéfiants a précisé le parquet de Marseille.
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– « Tony, tu n’es pas très optimiste pour l’actuel Président de la République ? »
Tony :
– « J’m’en fiche de lui, qu’il dégage !
Tu noteras, Véro, que je ne t’ai pas fait écrire : « qu’il crève ! ».
Pas envie, ni pressé de me retrouver de l’autre côté avec lui, si tu vois ce que je veux dire…
- Alors, je vous l’laisse, le c.nnard !
J’ai un seul message pour les copains :
– Choisissez votre camp, camarades !
Et choisissez vite car, sinon, c’est le camp des « Fous le camp, Macron !» qui va vous dégommer.
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YouTube·L’Obs·24 mars 2023
Les violences policières du 23 mars décryptées par Patrick Bruneteaux
L’Obs
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24 mars 2023
Matraquage de foule, tirs de grenades en cloches, charge en solitaire….
La manifestation du 23 mars contre la réforme des retraites a donné lieu à des scènes de violences policières.
Certaines des vidéos qui ont circulé sur les réseaux sociaux ont particulièrement choqué.
Patrick Bruneteaux, chercheur en sociologie politique au CNRS et auteur du livre “Maintenir l’ordre” (Presses de Sciences Po) les décrypte pour “l’Obs”.
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Et, croyez moi ou non, le peuple de France, c’est 60 millions d’individus très remontés contre Macron, la « petite bite ».
[- Tony, je suis obligée de noter la taille de sa bistouquette ?]
Ouais, faut comprendre aussi pourquoi Macron, il est à ce point hypertrophié du « moi » :
– il compense. »
[Au cas où vous l’ignoriez, je rappelle que la « maison-poulaga » s’honore d’avoir une culture virile qui dimensionne la bite des mecs à leur courage sur le terrain.
Or il faut bien reconnaître que le « Macron », dès que ça chauffe trop en France, il se trouve toujours une mission à l’étranger pour se faire la belle,
- « oh, « Emmanuelle toute belle » ! », comme l’appelle Coluche.
« On est un homme ou on ne l’est pas. »]
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Europe 1
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24 avr. 2023
Michel Onfray dans Punchline sur Europe 1 et CNEWS :
“Emmanuel Macron est sadomasochiste, il aime faire jouir et jouit dans la souffrance qu’il inflige”
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Tony ajoute :
– « Tu veux prouver que t’es un homme, Macron ?
- Remets ton titre en jeu et organise un référendum.
– Au moins, si tu dois partir, fais-le avec panache, « R.I.P. » que tu peux écrire de deux manières :
- « Requiescat In Pace »
ou
- « Référendum d’Initiative Populaire » .
A mon avis, les deux font la paire qui te manquent au cul. »
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CASSEROLADE CONTRE MACRON, GROSSE FROUSSE POUR PAP NDIAYE
Le Média
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25 avr. 2023
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Casseroles, clés, râpes, sonnettes des vélos, même si le président souhaite interdire les « dispositifs sonores amplificateurs de son » le peuple lui va continuer à se faire entendre.
Lundi soir, à l’invitation de l’association Attac et relayée par de nombreux autres groupes d’action de gauche, les Français des quatre coins du pays se sont retrouvés devant leurs mairies pour une casserolade générale.
À l’occasion du 6ème anniversaire de la prise de pouvoir d’Emmanuel Macron, plus de 400 rassemblements à travers la France ont chanté et joué, au son de leurs ustensiles métallique, leur mécontentement à l’égard du président, du gouvernement et de ses réformes.
Et si le concert de casseroles devant l’Hôtel de ville d’hier a réussi à rassembler des centaines de personnes, ce n’était que la première partie de la soirée de contestation.
C’est ensuite à la Gare de Lyon que se sont rendus les nombreux manifestants, pour accueillir comme il se doit, le ministre de l’Éducation nationale Pap Ndiaye a son arrivée.
Et si ce comité d’accueil, qui s’inscrit dans la longue lignée des Intervilles du Zbeul, auxquelles ont droit tous les ministres du gouvernement Macron, n’a pas suffi à refroidir la foule, cette dernière s’est transformée en manifestation sauvage dans les rues du 12ème arrondissement de Paris.
Journaliste et images : Cemil SANLI Montage : Arthur
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Dernier avertissement, [j’avais envie d’écrire : – “Dernière sommation !”] de Tony :
- “Lors des futures manifestations de la France en colère, les lâches décideurs devront choisir entre la casse humaine ou la casse matérielle :
- Le matos, ça se répare, pas les corps !
Les corps humains, c’est plus difficile de les remettre en état de marche entre les victimes d’amputations de membres et les grands brûlés qui souffriront toute leur vie durant.
Les points névralgiques à surveiller de préférence, pas seulement les grands boulevards des Bobos gauchos, qui sniffent la coc et méprisent les amateurs de crack, la drogue des pauvres gens, mais les gares surtout et les parkings souterrains aussi.”
Moi : – “Pourquoi les parkings souterrains ?“
Tony : – “Tu verras bien, enfin, ils verront bien s’ils ne font rien pour prévenir des dégâts prévisibles.
Moi, j’ai choisi de mourir pour que d’autres vivent ou plutôt pour que d’autres ne revivent pas ce que j’avais vécu en tant que policier, une descente aux enfers !”
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La policière en colère s’est suicidée – C à Vous – 13/11/2018
YouTube· C à vous· 13 nov. 2018
Avant que Tony ne parte rejoindre les gars quelque part sur le terrain en France ou à Perpignan, j’ajouterais :
“Tony, tu es mort de cette “déshumanisation policière”, de cette robotisation fascisante.
Tu as rejeté l’abrutissement servile, tu as refusé de perdre ta dignité d’homme et de créateur.
Tu voulais rester libre et maître de toi-même, ne pas finir comme un esclave.
Le maître dispose du corps de son esclave, il a sur lui droit de vie ou de mort.
Emmanuel Macron traite ses serviteurs, les serviteurs de l’Etat français, comme ses esclaves :
- le grand-maître Macron estime avoir sur eux un droit de vie ou de mort.
- C’est un tyran, prêt à verser le sang du peuple et le sang des policiers républicains!
Je regrette sincèrement de n’avoir pas su t’apprécier à ta juste valeur de ton vivant.
- Pardonne-moi !“