Non, l’article du 18 janvier 2018 adressé à Laurent WAUQUIEZ, Président des Républicains, n’était pas un “poisson d’Avril” !
Dans cet article, le Général De GAULLE avait pris date pour le mois d’avril 2018 avec Emmanuel MACRON, le Président de la République française. Comme toujours, Charles De GAULLE savait pourquoi, lui. Il avait prévu et vu juste.
Le mois d’avril 2018, qui part symboliquement de la date du printemps, le 21 mars 2018, annonce un “Printemps” français qui va secouer les instances politiques,
toutes les instances politiques.
Voici le lien sur lequel cliquer pour retrouver l’article publié à la demande du Général De GAULLE le 18 janvier 2018,
article adressé au Président des Républicains, Laurent WAUQUIEZ
et au Président de la République française, Emmanuel MACRON :
Du Général De GAULLE au Président Laurent WAUQUIEZ : – “Calme-toi ! Prends patience. Tout va se jouer sur la sécurité en 2018. Garde-toi d’ANNONCER. Il te suffira de COMMENTER, malheureusement, tout ce qui sera annoncé dans les médias. COMMENTER le “grand bordel” et l’impuissance des forces de l’ordre. Alors tu pourras ANNONCER ton programme politique et tes propositions de réforme.”
Par contre, moi, j’ai raté le rendez-vous que m’avait fixé le Général De GAULLE le 10 mars 2018 pour la publication d’un article qui devait s’intituler :
[Du Général De GAULLE : – « Est-ce qu’Emmanuel MACRON, votre Président de la République française , sait que l’Islam a déclaré la guerre à la France ? »
[Le pléonasme « République française-France » était voulu par le « grand homme ».]
J’ai raté le rendez-vous car le Général a voulu faire paraître cet article à 11H57 le 10 mars 2018 et qu’à 11H57, c’était juste avant l’heure du déjeuner.
Et le déjeuner, c’est le repas de midi, un rituel qui ne se sacrifie pas,
même pas à « l’esprit de résistance », surtout quand votre estomac crie famine.
Néanmoins, juste avant d’aller manger et pour faire plaisir au Général que j’allais abandonner pour une réalité charnelle, me nourrir,
j’ai été « vérifier » l’existence d’un fait corroborant cette annonce martiale de déclaration de guerre à la France par l’Islam.
C’est ainsi qu’à 12H03, le 10 mars 2018, guidée par le Général De GAULLE qui s’intéresse toujours à tout et principalement à notre pays, la France, sa « patrie en danger »,
– j’ai pu copier un article du blog « Actu17 » rapportant EFFECTIVEMENT une déclaration de guerre faite à la France, dont voici le lien :
[ Le chef d’Al-Qaïda enjoint les musulmans du Maghreb à combattre la France.
► 6 mars 2018 ● 21h44 par C. Laudercq et R. Lefras.
Ayman al-Zawahiri, chef d’Al-Qaïda.
[Moi, ce que j’aime bien, ce sont les tronches d’abrutis finis des Djihadistes qui se prennent pour des hommes de Dieu, laids à pleurer et manifestement frappés de débilité congénitale. Beurk !]
L’appel d’Ayman al-Zawahiri a été publié ce mardi.
Dans une vidéo de sept minutes, le chef d’Al-Qaïda Ayman al-Zawahiri a appelé les musulmans du Maghreb à combattre les forces françaises au Sahel,selon le centre américain de surveillance des sites djihadistes SITE. La France maintient environ 4000 militaires au Sahel à l’heure actuelle.
Il fait référence aux colonies
Dans son message, Ayman al-Zawahiri fait référence aux colonies françaises : « Ceux qui ont combattu, tué et pourchassé vos pères sont de retour pour tuer vos frères musulmans […] et vous rappeler que vous restez sous leur occupation et leur oppression ».
Les informations dont disposent les spécialistes ne permettent pas de dater l’enregistrement, relate France Info.
un harcèlement administratif, institutionnel et judiciaire remarquable,
à croire que c’est moi qui suis fichée S !, [et c’est peut-être le cas puisque je suis “dangereuse” selon la Présidente de la Cour d’Appel de Montpellier, affirmation existant dans un jugement regroupant trois procès, tous “cassés” par la Cour de Cassation, jugement encore publié dans la presse, comme MEDIAPART qui a oublié de faire part de la “cassation” du jugement à ses lecteurs !… Merci qui ? ]
d’autres nécessités, dont celle de me défendre, m’ont fait “oublier” que je devais publier cet article demandé par le Général De GAULLE le 10 mars 2018 et qui aurait dû s’intituler, je le rappelle pour faire vite :
– “Est-ce qu’Emmanuel MACRON est “au courant” que l’Islam a déclaré la guerre à la France ?“
Aujourd’hui nous connaissons tous la réponse : – “NON !”
Manifestement le Président de la République française devait être le seul à ignorer que le Chef d’Al-Qaïda demandait aux Musulmans du Maghreb de tuer des Français…
Le seul… ?
avec son Premier Ministre, Edouard PHILIPPE
et avec son Ministre de l’Intérieur, Gérard COLLOMB, qui affirme encore et toujours que “rien ne laissait présager un passage à l’acte chez le fiché S sous surveillance de la DGSI jusqu’au jour de l’attentat” [Lol – Franglais à la mode “macroniste” ] .
“Fernand”, ce n’est pas courant comme prénom, hein ?
“Fernandel”, pseudonyme adopté à partir du prénom “Fernand” associé à “elle”,
le “Fernand’elle”.
Moi aussi, j’ai mon “Fernand’elle” qui “veille sur” moi,
d’où l’inversion des normes, qui me “sur-veille”.
Proposition :
Et si la DGSI/PAF passait un peu moins de temps à fliquer les flics et autres agents de l’Etat,
anciens ou nouveaux syndicalistes
ou “résistants” potentiels au pouvoir en place,
opposants politiques pacifiques [MAIS plus dangereux que les Djihadistes, hein, Madame la Présidente de la Cour d’Appel de Montpellier !]
pour consacrer un peu plus de temps et de moyens à la surveillance des fichés S,
peut-être que ces attentats et d’autres attentats à venir auraient pu être évités et pourront être évités ?
“Pas suffisamment de moyens pour surveiller les “fichés S””, dit ce gouvernement macroniste,
mais suffisamment pour faire voter des lois contre les “Fake News”,
en mobilisant des fonctionnaires, juges et policiers,
aux fins de “surveiller” TOUS les citoyens français !?
CHERCHEZ L’ERREUR !
Combien d’hommes politiques en France pourraient ainsi faire l’objet d’un avis de recherche ?
“Même si le Sahel n’est pas en France, ajoute le Général De GAULLE,
– il n’en demeure pas moins que cette déclaration de guerre d’Al-Qaïda à la France, déclaration de guerrerendue publique le 6 mars 2018, augurait d’une prise de risques augmentée pour nos militaires et nos forces de l’ordre partout dans le monde
et même en France !
Surtout en France.
Un appel à tuer lancé
par le chef d’« Al-Qaïda » aux Musulmans du Maghreb ne pouvait que provoquer des tensions avec des Musulmans du Maghreb.
“Nous allons lancer des appels pour tuer n’importe quel civil !“
[“Lui gentil, moi méchante !”, selon certains magistrats français “éclairés” qui ont la “Lumière”]
Point besoin d’être un stratège militaire pour le comprendre !
Et surtout le prévoir.
Sachant qu’en France, nous avons « importé » [sic] des « chances » pour la France qui nous détestent mais veulent bien prendre la France, notre beau pays,
ce pourquoi ils nous délestent de nos biens matériels,
point n’est besoin non plus d’argumenter longtemps pour savoir
qu’ils veulent tous nous éliminer de ce pays qu’ils disent détester, la France.
“Le niveau de sécurité aurait dû être relevé par ceux qui vous gouvernent
et les fichés S d’origine maghrébine faire l’objet d’une « ré-actualisation » de leur niveau de dangerosité.
Sinon, à défaut d’un entretien d’embauche à Pôle-Emploi, emploi tout trouvé en tant que « bouchers », par exemple !”
[le Général plaisante…]
– “Il aurait fallu les « coffrer »,
les “mettre au frais”, les fichés Sd’origine maghrébine,
le temps que ces appels aux meurtres de Français se tassent et s’espacent.”
“Or, {IN CAUDA VENENUM -, ce qui est très « Scorpion »},
– le vendredi 23 mars 2018,
soit 13 (treize jours) après la publication de cette déclaration de guerre par le chef d’Al-Kaïda à la France,
un fiché S d’origine maghrébine, Radouane LAKDIM, a mené une série d’attaques terroristes à Carcassonne et Trèbes (Aude).
Le bilan sanglant de ces trois attaques terroristes s’élève à 4 Français morts et 15 autres blessés, dont la majeure partie sont des victimes sans défense.
Le Général De GAULLE demande la démission du Premier Ministre, Edouard PHILIPPE, « un incompétent cynique et imbécile » pour avoir sous-estimé le danger ou plutôt l’avoir ignoré.
Non parce qu’il s’en préoccupait un peu,
mais, à l’inverse, parce qu’il s’en contre-fiche « royalement » !
N’étant pas directement concerné par les menaces islamistes pour des raisons qui tiennent à son haut rang de Premier Ministre dans votre société devenue très inégalitaire devant le risque terroriste
– et pour d’autres raisons inavouables par le Premier Ministre Edouard PHILIPPE car moins glorieuses.
[Quand Les Versets sataniques sont publiés en 1988, personne ne perçoit encore la montée du fondamentalisme musulman ni ses conséquences . Pas même son auteur qui vit toujours sous la menace d’une fatwa prononcée voici vingt-cinq ans par l’ayatollah Khomeini. Salman Rushdie revient avec Paul Elie sur la portée prophétique d’un livre plus que jamais d’actualité.[…]]
comme l’a assuré publiquement Gérard COLLOMB, votre Ministre de l’Intérieur,
que rien ne laissait présager un passage à l’acte de la part d’un fiché S d’origine maghrébine,
– alors que le Chef d’Al-Qaïda venait à peine de déclarer la guerre à la France en demandant aux Musulmans du Maghreb de tuer des Français, c’est :
ou de l’incompétence
ou du « foutage de gueule » [sic]
ou pire encore, un « calcul politique » cynique,
– dans une période où la popularité croissante du Président de la République, Emmanuel MACRON, et de son Premier Ministre, Edouard PHILIPPE, connaissait une subite inflexion contrariante et contrariée,
sous forme de chute lente mais constante de leur « cote d’amour » dans les sondages populaires.
Rien de tel qu’une petite cérémonie mortuaire pour remettre de l’entrain dans la machine publique et de la gaieté dans les rapports humains avec le pouvoir politique.
D’ailleurs il suffisait de voir les ricanements d’hyènes de certains de vos parlementaires,
avant le lancement publique de l’hommage national au Colonel Arnaud BELTRAME,
car la dignité pour ces gens-là s’affiche sous l’oeil de la caméra, dit le Général,
– pour s’en convaincre.
Rien de tel en effet qu’un discours d’enterrement avec ses effets de manches pour faire remonter une cote de popularité en berne !
Voilà, “jeune demoiselle”, ce que j’avais à dire sur ces attentats PREVISIBLEs, les ATTENTATS de l’Aude,
car commis par un « fiché S »,
S comme « surveillé »
d‘origine maghrébine,
comme les Musulmans du Maghreb
appelés à tuer des Français par le Chef d’Al-Qaïda dans sa déclaration rendue publique le 10 mars 2018.
Comme le dirait un autre de vos ministres pitoyables, Laurent FABIUS,
– « Al-Qaïda fait du bon travail… » en France !
Oui, je sais que les attentats de l’Aude ont été revendiqués par Daech.
Mais je vous répondrais que c’est comme pour les « Rebelles Modérés » en Syrie :
– Al-Qaïda, Al-Nosra, Daech et les Casques Blancs, c’est du tout PAREIL au même !,
n’est-ce pas Monsieur FABIUS, ex-Premier Ministre ?
Le “sang contaminé” a un prix, celui du “terrorisme” international.
Sauf que ça se passe en France, cette fois-ci,
et que les « Rebelles Modérés » viennent égorger vos fils, vos compagnes
dans vos campagnes et vos petites villes de province.
– Allez, Monsieur le Président de la République, chantez-nous l’air de la Marseillaise !
Car enfin, Monsieur le Président de la France, vous n’allez pas nous faire le coup du footballeur d’origine maghrébine qui aurait eu une extinction de voix au moment de chanter l’hymne national ?
Une fois suffit !, avec le footballeur, la star des banlieues, Karim BENZEMA.”
Mais peut-être que le rendez-vous manqué, il est aussi pour MACRON ?
Sera-t-il au rendez-vous de l’histoire, de l’Histoire de France, Emmanuel MACRON ?
Attentats dans l’Aude : la marche blanche de Carcassonne annulée
Par CNEWS Matin avec AFP – Mis à jour le Publié le
[Une marche blanche prévue samedi et organisée à l’initiative de l’artiste carcassonnais Toon Mac Mullan en hommage aux victimes du terroriste islamique Radouane Lakdim, a finalement été interdite par la préfecture de l’Aude.[…]
Pas de grade, pas de héros.
Juste un homme “fou d’amour” qui crie sa douleur, sa délivrance impossible.
Je me dois d’envoyer ce “cri” à Marielle, son épousée qu’il n’a pas abandonnée et qu’il aime.
C’est un homme dévasté par le chagrin qui m’accompagne, prie et supplie que je lui envoie ce message à elle, l’amour de sa vie, cette chanson pour elle,
Marielle” la femme de sa vie, pas la femme de sa mort.
Il a été “fou”.
Fou d’amour.
Il est toujours fou d’amour pour elle.
[J’ai passé une nuit abominable et j’ai encore des larmes dans les yeux, le coeur empli de sa peine car la coupe de sa souffrance est pleine, archi-pleine.
Et vous, si lâches, vous qui annulez la Marche blanche contre les attentats de l’Aude !
Etonnez-vous ensuite que je reçoive pareil visiteur,
le “héros” TRAHI par les élus politiques de la France !]
Je vous préviens, n’approchez pas Que vous soyez flic ou badaud Je tue celui qui fait un pas Non, je ne ferai pas de cadeau Et éteignez tous ces projecteurs Et baissez vos fusils braqués Non, je ne vais pas m’envoler Sans elle
–——————————
Dites au curé, dites au pasteur Qu’ailleurs ils aillent se faire pendre Le diable est passé de bonne heure Et mon âme n’est plus à vendre Si vous me laissez cette nuit À l’aube je vous donnerai ma vie Car que serait ma vie sans lui[cetamour]?
–—————————————————
Je n’étais qu’un fou mais par amour Elle a fait de moi Un fou, un fou d’amour Mon ciel, c’était ses yeux, sa bouche Ma vie, c’était son corps, son corps Je l’aimais tant, oui que pour la garder, je l’ai tuée Pour qu’un grand amour (qu’un grand amour) vive toujours (oh, toujours) Il faut qu’il meure
Oui, qu’il meure d’amour
–————————————-
Le jour se lève, la nuit pâlit Les chasseurs et les chiens ont faim C’est l’heure de sonner l’hallali La bête doit mourir ce matin Oh, je vais ouvrir grand les volets Crevez-moi le cœur, je suis prêt Je veux m’endormir pour toujours Pour toujours, oh!
–———————————————–
Je n’étais qu’un fou (qu’un fou) mais par amour (par amour) Elle a fait de moi Un fou, un fou d’amour Mon ciel, c’était ses yeux, sa bouche Ma vie, c’était son corps, son corps Et je l’aimais tant Que pour la garder, je l’ai tuée
[J’ai tué cet amour, culpabilité… d’avoir abandonné Marielle] Je ne suis qu’un fou (oh, tu n’es qu’un fou) un fou d’amour (rien qu’un fou) Un pauvre fou Oui qui meurt D’amour (..)»
Vidéo choisie par… Johnny HALLYDAY qui est la France aussi !
Et qui nous a rejoints.
Pour Arnaud.
Et pour la France.
[Croyez-le ou non, peu m’importe ! C’est moi qui n’ai pas pu dormir cette nuit à cause d’un préfet pétochard qui a prévu d’interdire une “marche blanche” pour les victimes du terrorisme. Elle est belle, la Résistance de la République française !, cet “esprit de résistance français” tant vanté par un Président de la République cabochard qui plie sous l’Occupation “Islam-iste” et se plie aux demandes des “Frères Musulmans”. ]
C’est la dernière recommandation d’Arnaud BELTRAME.
Johnny sourit.
On dirait qu’il s’apprête à prendre sa guitare et à revêtir son costume de scène.
Une dernière fois, une toute dernière fois, pour accompagner la France dans sa “Marche blanche” pour les victimes du “terrorisme islamique”.
Une “Marche blanche” menacée d’annulation ?
[NON, ANNULEE, la “Marche blanche” est ANNULEE. Je viens de l’apprendre !]
– Par peur de…. ?
Des Islamistes ?
Eux qui occupent nos quartiers et se développent comme un cancer, une lèpre, en France.
– Ah, mais peut-être ne fallait-il pas le dire ?
Par contre, quand des “Musulmans” manifestent pour la Palestine contre Israël, avec une foule hurlant des slogans antisémites hargneux et haineux, le respect des règles administratives, nos autorités administratives… s’en fichent, elles aussi.
Jusques à quand les Français vont-ils supporter ce “deux poids, deux mesures” qui signe la lâcheté et la “soumission” de l’Etat français aux Islamistes ?
J’ai juste une question pour le Président de la République française, toujours la même question à poser au Président de la République, Emmanuel MACRON :
– “Après avoir pleuré nos morts
et ne pas avoir chanté la Marseillaise pour ne pas humilier et blesser les ennemis de la France
lesquels ennemis se réclament sempiternellement du même mot, le mot “respect”,
on fait quoi, Mon Général ? On faiblit.”
– C’est quoi, le titre militaire d’un Président de la France ?
Ah, il n’y en a pas.
Alors tout s’explique… peut-être…
La lâcheté, c’est aussi le terreau du “collaborationnisme”
[A celles et ceux qui ont voulu m’empêcher de publier cet article,
en espérant qu’ils ne fassent pas partie des forces de l’ordre, genre DGSI,
eux qui seraient la honte de notre beau pays, la France, par l’exercice de cette censure “indirecte et lâche”
mon blog “Dèu vos Guard” ayant été déconnecté d’Internet, UNIQUEMENT, le blog,
qu’ils soient maudits !
Comme le commande le Seigneur,
je secoue sur eux la poussière de mes sandales, même si ce ne sont que des pantoufles de salon.
C’est le geste qui compte contre ceux qui refusent d’accueillir la Parole du Seigneur.
Vous ne pourrez pas EMPECHER les Français, TOUS LES FRANCAIS, de S’EXPRIMER.
Vous ne pourrez pas “M’ARRETER d’ECRIRE”,
comme le hurlait l’avocate de Thierry ASSANELLI, Maître BUTHION-RIVIERE, lors d’une audience mémorable à la Cour d’Appel de Montpellier :
– “Arrêtez-là d’écrire !”
Soyez tous maudits, vous qui trahissez la France !
Amen]
N’oubliez jamais que, vous, Chrétiens, avez le pouvoir donné par Dieu de bénir…
mais aussi de maudire vos ennemis !
Il y a des guerres qui se gagnent par des ACTES DE FOI.
Jésus a demandé à Son Père de pardonner à ceux qui avaient voulu sa mort parce qu’ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient.
Mais Jérusalem, comme Lui-même l’avait annoncé aux Juifs, a été rasée, totalement rasée.
Le pardon n’appartient qu’à Dieu le Père !
[Luc 19, 41 à 48
Comme il approchait de la ville, Jésus, en la voyant, pleura sur elle, et dit: Si toi aussi, au moins en ce jour qui t’est donné, tu connaissais les choses qui appartiennent à ta paix! Mais maintenant elles sont cachées à tes yeux. Il viendra sur toi des jours où tes ennemis t’environneront de tranchées, t’enfermeront, et te serreront de toutes parts; ils te détruiront, toi et tes enfants au milieu de toi, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas connu le temps où tu as été visitée. Il entra dans le temple, et il se mit à chasser ceux qui vendaient, leur disant: Il est écrit: Ma maison sera une maison de prière. Mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs. Il enseignait tous les jours dans le temple. Et les principaux sacrificateurs, les scribes, et les principaux du peuple cherchaient à le faire périr;mais ils ne savaient comment s’y prendre, car tout le peuple l’écoutait avec admiration.]
“Ah ! si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix !”
Allez, encore un petit dernier pour la route vers le Paradis :
Marielle, IL T’AIME !
Les élèves de la 54ème promotion de l’Ecole Militaire InterArmes défilent en chantant SARIE MARES, Chant de tradition de l’EMIA. Film amateur réalisé le 15 novembre 2014 à Saint-Cyr Coëtquidan. Remise des Sabres.
Au Havre, la ville de Philippe, une école musulmane s’installe dans le presbytère
Par Auteur valeursactuelles.com / Vendredi 19 mai 2017 à 14:45
[ Coulisses politiques.
Le Havre, dont Édouard Philippe est le maire, devrait accueillir à la rentrée l’école Maurice-Bucaille, première école confessionnelle musulmane de Normandie.
À la recherche d’un terrain où construire l’établissement, la communauté musulmane du département a multiplié les contacts avec les élus du Havre, pour finalement obtenir de s’installer en lieu et place du presbytère de l’église Saint-Jean-Baptiste, rue Théophile-Gautier. La croix ornant l’édifice a d’ores et déjà été retirée et les travaux viennent tout juste de démarrer.
L’imam Aami Hassen.
Pour les financer, l’association en charge du projet peut compter sur l’appel aux dons des fidèles lancé par Aami Hassen (photo). Cet imam, dont la mosquée, à Aubervilliers, est connue pour être fréquentée par des groupes salafistes, a également créé la controverse pour ses positions à l’égard des mariages forcés. Menacé d’expulsion en 2013 par Manuel Valls pour avoir tenu des propos homophobes, il prêche toujours à Aubervilliers. Soutenu par la Mairie du Havre, son projet éducatif est d’offrir « le meilleur bagage, à travers une éducation complète alliant les apprentissages définis par le socle commun de compétences à ceux de l’islam ».]
Ce n’est pas moi qui le constate mais l’auteur d’un article publié sur le blog WIKISTRIKE à la suite d’un rapport de l’ONU constatant le traitement judiciaire pas très clair des affaires de pédophilie en France.
Si les réseaux pédophiles n’existent pas, à qui Nordahl LELANDAIS aurait-il pu vendre, s’il en a eu le temps, la vidéo de la “nuit de noces”, las “Bodas de Sangre”, avec, pour figurante, Maëlys,
et de qui, Nordahl LELANDAIS aurait-il pu obtenir de visionner des vidéos de pédophiles en action condamnable, se filmant en train de violer des enfants,
si les réseaux pédophiles diffusant des vidéos à contenu pédopornographique sur des sites Internet ou par tout autre moyen n’existent pas en France,
selon les autorités officielles qui dirigent ce pays devenu la “poubelle du monde” ?
Revenons d’abord sur l’affaire du gendarme JAMBERT,
puisque Maëlys m’a présenté ce gendarme à la retraite, pas “mort”, comme son “protecteur honoraire”,
homme honnête et scrupuleux, trop scrupuleux, qui s’appelle, s’appelait de son vivant, le gendarme Christian JAMBERT.
– Arrêtez de tuer les témoins gênants et les enquêteurs honnêtes !
Les “morts” parlent.
Eux aussi.
Car la “mort” n’est pas la fin de la Vie.
C’est juste la transformation de la vie sur terre en vraie VIE.
Pourquoi est-ce que les “morts” parlent ?
Posez-vous la question.
– Que se passe-t-il de si grave en France que les “morts” sortent de leurs tombes, les tombes du “silence” des morts ?
Je suis sûre que ces voix, ces “voix d’outre-tombe”, trouveront à s’exprimer, se faire entendre, même si, moi, je venais à mourir.
Je ne suis qu’un messager.
Mais je ne suis pas l’auteur des messages.
Tuer le ou les messagers ne vous servira à rien, vous qui terrorisez vos peuples et êtes en train de vouloir faire taire tous les vivants !
C’est pour cette raison que les “morts” parlent.
Parce que vous voulez réduire au silence tous les vivants,
tous les vivants qui s’opposent à votre pouvoir unique et inique !
PAR PHILIPPE POISSON · PUBLIÉ 30 OCTOBRE 2015 · MIS À JOUR 4 NOVEMBRE 2015
[ Ajoutée le 10 juil. 2015 – Non élucidé – L’affaire du gendarme Jambert
Le 4 août 1997, le corps de Christian Jambert, gendarme retraité, est découvert dans son pavillon d’Auxerre. Une carabine .22 Long Rifle est posée sur ses jambes. Le médecin appelé pour constater le décès conclut immédiatement au suicide. Aucune autopsie n’est demandée par le procureur. La victime est donc inhumée.
Mais au fil des années, les enfants du gendarme Jambert commencent à douter. Réfutant la thèse du suicide, ils demandent l’ouverture d’une enquête pour recherche des causes de la mort. Le corps est alors exhumé pour être autopsié à l’institut médico-légal de Paris. Le médecin légiste conclut alors queChristian Jambert a été tué. Comment expliquer le meurtre de ce gendarme retraité ?
Pour visionner l’intégralité de la vidéo You Tube , cliquez sur le lien ci-dessous :
L’affaire du gendarme Lambert
Adjudant-chef de la brigade de recherches d’Auxerre en France. Convaincu qu’il existe un lien entre la disparition, entre 1975 et 1979, de sept jeunes handicapées protégées par la Direction départementale de l’action sanitaire et sociale à Yonne et le présumé assassin Émile Louis, le gendarme dépose un rapport accablant en 1984. Le parquet classe le dossier sans donner suite, faute de preuves [?!]. En 1995, atteint de dépression*, Christian Jambert tente de se suicider en avalant des médicaments. Il survit et est mis à la retraite. Contacté par l’Association de défense des handicapés de l’Yonne, il se dit prêt à témoigner contre Émile Louis.Le 4 août 1997, alors que le dossier des «disparues» vient d’être officiellement rouvert et qu’il doit être entendu comme témoin par le juge Benoît Lewandoski, Christian Jambert est retrouvé mort dans son pavillon d’Auxerre. Il est décrit comme un homme psychologiquement démoli devant le mur d’indifférence concertée. En avril 2004, suite aux résultats d’une nouvelle autopsie qui sont peu compatibles avec la thèse retenue du suicide du fait de deux impacts de balle dans sa tête, le garde des Sceaux lance une enquête administrative pour «examiner les conditions dans lesquelles a été traité le dossier Jambert». Cette autopsie est à son tour remise en cause. En novembre 2005, la cour d’appel d’Aix-en-Provence condamne Émile Louis, délinquant sexuel, pour avoir torturé et violé sa deuxième femme Chantal et sa belle-fille Karine, mineure au moment des faits qui ont eu lieu entre 1992 et 1995. Le cas Jambert met en lumière la multiplicité de la fonction sociale de la mort volontaire. Il n’est pas rare dans les annales judiciaires que des meurtres soient convertis en suicides ou que des suicides passent pour des meurtres ou pour des accidents. Tantôt le suicide est jugé tabou, on le dissimule pour échapper à la honte*, tantôt on le postule afin de camoufler des actes criminels et d’innocenter des coupables. On taxe de maladie mentale* une personne qui cherche la vérité et qui a le courage de la dire, alors que des forces obscures s’évertuent à ternir son image afin de protéger des coupables et de désinformer l’opinion publique. La collectivité choisit Jambert comme bouc émissaire afin de venger le sang versé par sept de ses jeunes filles handicapées. Qu’il porte la main sur lui ou qu’il tombe sous la main de l’autre, il est la victime sacrificielle de la conspiration du silence. Isabelle, fille de Christian Jambert, s’est donné pour tâche de réhabiliter la vérité et de rétablir la réputation de son père.
Une partie du crâne du gendarme Jambert a disparu, a -t-on appris le 22 octobre 2008, ce qui rend le suicide peu probable. (Source : Encyclopédie sur la mort, 13 avril 2012). […]]
J’avais lu “vaguement” des articles sur l’affaire Emile LOUIS et, bien entendu, le ou les “questionnement-s” sur le suicide du gendarme Christian JAMBERT que je ne connaissais pas et qui était dit “dépressif” à l’époque.
Vous noterez que les “bons flics” sont généralement dépressifs, c’est à dire qu’ils sont “épuisés” de devoir se battre,
non pas POUR rechercher la VERITE,
mais CONTRE ceux qui ne veulent pas que les Français connaissent cette VERITE.
La cause de ces suicides est “le conflit éthique“, une forme de “burn out moral”, c’est à dire d’épuisement due à cette lutte déontologique et parfois physique de l’agent honnête qui veut démontrer une VERITE qu’il faut cacher au peuple de France et faire punir des coupables qui sont “intouchables”,
pas au “sens hindou” du terme.
Si être “intouchable” en France signifie appartenir à la caste supérieure,
en Inde, pays de la sagesse plusieurs fois millénaire, être “intouchable” signifie avoir lourdement péché dans une vie antérieure
et être condamné-e à devoir vivre une vie de paria, une fois “re-né-e”.
Seul contre tous, le gendarme ou le policier est isolé,
seul contre sa hiérarchie
et un entourage crapuleux
qui veulent sa “mort administrative” et parfois même sa “mort physique”.
Car certains suicides, encore aujourd’hui, interrogent tout autant que le suicide du gendarme JAMBERT.
Ce que je perçois de Christian JAMBERT :
– c’est un homme rigoureux, presque psychorigide qui en est fier.
Cet homme qui ne mentait jamais, pas même à lui-même, ne supporte pas les MENSONGES.
– “Ce sont les MENSONGES qui détruisent notre siècle !”, dit-il.
Et pas les “fake news” des médias.
– “Les mensonges sont “institutionnels” au service d’une “mafia” qui a pris le pouvoir.”, ajoute le gendarme.
– “C’est une “escroquerie” politique, dit le gendarme. Pas seulement MACRON, votre Président actuel. Tout le système politique actuel est une énorme ESCROQUERIE électorale et internationale.
Vous en êtes conscients mais vous refusez d’accepter cette évidence.
Il y a “belle lurette” [sic] que votre peuple, le peuple de France, a perdu le pouvoir.
Et s’est perdu.
Dans l’affaire Emile LOUIS, ce que je n’ai pas compris tout de suite, c’est qu’il n’y avait pas seulement la passivité du pouvoir judiciaire, mais plutôt sa COMPLICITE.
Les “filles”, ces filles de la DASS, étaient abandonnées à leur sort.
Et leur sort, c’était d’être de la chair à…
[J’ai du mal à “saisir” ce que me “dit” le gendarme JAMBERT. En plus, il est très “exigeant” sur la qualité des mots choisis. L’approximatif ne lui convient pas. Donc je dois trouver le bon terme, c’est à dire celui qui correspond EXACTEMENT à sa pensée qui n’est pas toujours “verbale”.
La communication ne s’effectue pas seulement sous forme de mots, ce serait trop facile !
Le médium doit transcrire parfois ce qu’il reçoit, des “concepts”. Donc j’explique, je tente, d’expliquer ce qu'”a trouvé” le gendarme JAMBERT, après sa “mort”, – ce que vous appelez “sa mort” -. Mais je rappelle que vous êtes déjà morts, pour la plupart d’entre vous, car vous avez perdu votre âme. Et que certains morts sont plus vivants que vous ne l’êtes !]
Le chauffeur Emile LOUIS “est” un pourvoyeur transportant et rapportant les jeunes filles enlevées sur leur lieu d’hébergement.
Le foyer de jeunes filles EST [présent imposé] une “source d’approvisionnement” pour des “soirées” privées.
[Le mot “source” ne convient pas au “gendarme” mais il serait le plus approchant de son “concept” ? “Magasin” serait mieux ? Car il y aurait des services sexuels payants mais non payés aux victimes elles-mêmes.]
Donc pourquoi ne se serait-il pas “servi” lui-même sur le “cheptel”, Emile LOUIS, le chauffeur qui les transportait ?
Peut-être même était-ce son rôle d’éliminer lui-même ces jeunes filles, après les “agapes” ?
Il est évident, aujourd’hui, qu’Emile LOUIS a profité d’appuis puissants pendant longtemps, pas seulement de l’indifférence du “système”, ni de l’incompétence des juges.
Cette évidence aurait dû sauter aux yeux des enquêteurs mais il est tout aussi évident que certains enquêteurs participaient du… [“système” ? “- Non !” – “du “complot” ?, du “réseau” ? “Réseau”, c’est mieux mais pas satisfaisant. Je n’arrive pas à trouver le terme, je vois un groupe de personnes, comme une “société”, une “société secrète”. Mais ça fait “complotiste”. Pourtant je crains que ce ne soit le mot exact et voulu par le gendarme JAMBERT, le mot “société” comme “société secrète”.]
J’interroge le gendarme JAMBERT :
– “Cette société secrète a-t-elle un lien avec la “pas franc-maçonnerie ?”
– “Pas seulement, me répond-il. La franc-maçonnerie, sous couvert d’agapes, c’est le “carnet d’adresses”. Il y a de tout dans cette société du “beau linge” [sic]. Ce qui les lie et les relie, un seul mot, la pédophilie. C’est la “lie” de la société, de la société française, cette société qui n’est pas tant secrète que ça, une société PEDOPHILEqui impose actuellement son diktat à la société française. Car les enfants du peuple et d’autres peuples, enfants de la migration et de l’adoption internationale, sont son terrain de chasse privilégié.”
[Le jeu de mots, “lie et relie” conduisant à “lie”, terme péjoratif désignant les rebuts de la société humaine, est “trouvé” par le gendarme JAMBERT.
– “Christian JAMBERT”, ajoute-t-il, avec un grand sourire.
Enfin un sourire !]
Il n’aurait pu imaginer de son vivant ce qu’il a découvert “après” et qu’il aurait pu et dû découvrir s’il n’avait pas été “suicidé” de deux balles dans la tête.
Le gendarme JAMBERT avait de plus en plus “conscience” que ce “mur” auquel il se heurtait n’était pas “normal”,
ni “explicable” par des raisons fonctionnelles et institutionnelles aussi simples que l’incompétence des juges ou l’insuffisance des moyens judiciaires.
Aujourd’hui, si tant est que la notion de “jour”, de “durée” dans l’au-delà ait un “sens”,
aujourd’hui le gendarme JAMBERT sait.
Il a vu, de ses propres yeux, VU ce qui se continue encore dans certains foyers d’handicapés mentaux.
C’est facile d’abuser de mineurs handicapés mentaux qui ne peuvent pas parler,
donc de mineurs qui ne peuvent pas dénoncer les mauvais traitements et les abus sexuels qu’ils subissent
mais dont le corps est “normal” avec un “fonctionnement sexuel” et des réactions érotiques excitantes puisqu'”humaines” pour les prédateurs sexuels qui profitent d’eux.
Never in France, NO !
Prédateurs qui ont perdu toute notion d’humanité et n’ont pas pitié des plus faibles qu’eux !
Car, oui, même des handicapés mentaux sont des êtres humains, mais pas pour ces gens-là.
Ces gens-là, les “prédateurs”, profitent de ces êtres faibles et sans défense qu’ils “dénaturent”.
Ils enlèvent des enfants orphelins ou en situation de rupture familiale, parce que dits “en fugue”, et abusent des mineurs handicapés mentaux.
D’où un fichier pour les personnes recherchées en France,
surtout les disparitions de mineurs et de personnes majeures vulnérables ,
redoutablement… inefficient et inefficace !
La chair est fragile et leur chair est faible.
Le gendarme JAMBERT dit et PREVIENT que les causes des révolutions ne sont pas toutes économiques.
Elles peuvent être aussi “morales” quand une partie de la “société”, une toute petite partie viciée et donc vicieuse de la société humaine, concentre tous les pouvoirs entre ses mains et joue à des jeux de mains vilains avec ses “vilains”,
les enfants des vilains qu’elle exploite et qu’elle méprise tant.
– “Et c’est pour cette raison, explique le gendarme, que les “hommes” sont réduits à l'”état” de “bétail”, travailleurs précarisés pour être esclavagisés,
sans droits ni lois,
tandis que leurs enfants sont détruits dans l’innocence de leur âge,
avant même d’avoir atteint la “fleur de l’âge“.
[J’ai dû rechercher pourquoi la “fleur de l’âge” revêt une telle importance pour le gendarme JAMBERT. Et j’ai trouvé grâce à lui,
la cause de SON choix, la “fleur de l’âge“,
si c’est bien le gendarme JAMBERT qui appelle ses pairs, ses compagnons d’armes à RESISTER pour sauver ses enfants et leurs enfants avant qu’il ne soit trop tard !
Mais il se peut aussi que ce soit un INDICE que le gendarme donne à ses compagnons d’armes tant il INSISTE sur ce groupe de mots, la “fleur de l’âge“. ]
Ce que mes “recherches” guidées donnent sur la “fleur de l’âge” :
Chasse à l’enfant[1] est un poème de Jacques Prévert qui évoque la mutinerie d’août 1934 de Belle-Île-en-Mer. Le poème, mis en musique par Joseph Kosma, a été interprété par Marianne Oswald et enregistré en 1936. C’est un poème tiré du recueil “Paroles”, publié en 1946.
Analyse
Effet immédiat
Tout d’abord, on s’interroge sur les raisons de la chasse, car l’auteur nous entraîne dans l’action dès le début du poème. En effet, le premier vers est : « Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! » Puis, on est indigné par cette mutinerie. L’enfant mérite-t-il vraiment ces mauvais traitements ?
Type, thème et propos
Les rimes et les vers permettent au lecteur d’identifier le genre poétique de ce texte. Le titre indique que le thème du poème est : « La chasse à l’enfant ». Le récit prend place sur une île. On perçoit des cris « d’honnêtes gens » qui poursuivent un enfant, échappé d’une maison de redressement où il était malmené. « Les gendarmes, les touristes, les rentiers, les artistes » le pourchassent en pleine nuit, ce qui le pousse à fuir à la nage. Des coups de fusil sont tirés. Ainsi le poème s’achève, sans que le lecteur sache si l’enfant est mort ou s’il survit. Ce dernier est parfois représenté par le pronom personnel il (vers 13) et les « honnêtes gens », par le pronom personnel ils (vers 11).
[…]
Contexte
Carte postale de la colonie pénitentiaire Haute-Boulogne de Belle-Ile – Le salut au drapeau
Dès 1902, le ministère de la Justice établit sur la Haute-Boulogne, une colonie pénitentiaire pour mineurs « délinquants » avec une école de matelotage : un bateau avec son gréement était placé au milieu de la cour, mais les détenus ne sortaient pas en mer.
Rapidement, le domaine de Bruté est acheté et transformé en Centre d’apprentissage agricole et aussi de mécanique, ce qui permet d’augmenter la capacité d’accueil des enfants et de diversifier leur formation. Une célèbre révolte des enfants a lieu en 1934 ; après que les moniteurs ont tabassé un pupille, les jeunes détenus se sont soulevés et enfuis.
Une prime de 500 francs a été offerte à quiconque capturerait un fugitif. Cette mutinerie a déclenché une campagne de presse faisant connaître au monde entier les conditions de détention, demandant la fermeture de bagne d’enfants. Ces conditions furent améliorées pour l’occasion mais la colonie ne fut définitivement fermée qu’en 1977.
Les bâtiments de la Haute-Boulogne, qui avaient été complètement rénovés, sont depuis utilisés comme locaux pour accueillir des colonies de vacances pour jeunes enfants[2]. Jacques Prévert et Marcel Carné (dans le film La Fleur de l’âge) ont rendu un vibrant hommage aux jeunes héros de cette période sombre de l’histoire de Belle-Île. Le film La Révolte des enfants s’est aussi en partie inspiré de ce fait.]
Ne croyez pas que le gendarme JAMBERT nous parle du passé.
Il “vous” parle de présent et d’avenir.
Maintenant je vais pouvoir mettre en ligne l’article de WIKISTRIKE sur le rapport de l’ONU qui pointe d’un doigt accusateur les dysfonctionnements français dans le traitement judiciaire des affaires de pédophilie.
Je rappelle que je re-publie l’article de WIKISTRIKE à la demande du Seigneur :
– “Je suis Vivant !, dit le Seigneur. Rien de ce que vous faites ne m’est caché à Moi.”
Et le Seigneur me montre les scandales de pédophilie dans Son Eglise, celle qui se réclame de Lui pour faire le MAL,
Opération anti-pédophilie en Espagne: 40 arrestations
[ AFP, publié le samedi 03 février 2018 à 12h46
Quarante hommes ont été arrêtés à travers toute l’Espagne pour avoir fait circuler sur internet du matériel pédophile “d’une extrême gravité”, a annoncé samedi la police.
Les suspects, parmi lesquels des enseignants, des ingénieurs, des fonctionnaires et des retraités, ont été appréhendés dans dix-sept provinces espagnoles, dont dix à Madrid et cinq à Alicante (sud-est). Un total de 42 domiciles ont été perquisitionnés et de nombreux ordinateurs et disques durs saisis.
Les personnes arrêtées sont soupçonnées d’avoir échangé des photographies et vidéos sexuelles montrant des enfants sur une plateforme internet d’échanges directs, a précisé la police dans un communiqué, affirmant qu’il s’agit “de matériel d’une extrême gravité”.
La majorité d’entre elles “utilisaient un logiciel spécial pour effacer les contenus pédophiles de l’archivage et des navigateurs permettant d’accéder au dark web”, dont le contenu n’est pas indexé par les moteurs de recherche habituels, selon le communiqué.
Un des suspects arrêtés à Alicante est par ailleurs accusé d’avoir obligé des mineurs à poser pour des images à caractère sexuel qu’il diffusait ensuite sur le web. Quatre fillettes victimes de ces pratiques ont été identifiées. ]
Mais jamais en France !
Car les réseaux pédophiles n’existent pas en France, n’est-ce pas ?
“Il vaudrait mieux pour vous être morts entre les mains de l’Egorgeur
que mourir gavés comme des oies pour les plaisirs de la chair.”, dit le Seigneur.
L’article de WIKISTRIKE est assez long du fait qu’il n’est pas possible d’affirmer ce qui est écrit dans cet article, sans donner les arguments juridiques et les preuves indiscutables d’une complicité institutionnelle française dans des affaires multiples de pédophilie.
Car, non seulement les plaintes des parents dénonciateurs sont classées sans suite sans toujours procéder à une enquête,
mais en plus, ces classements sans suite INJUSTES
permettent ensuite aux “mis en cause”, aux prédateurs présumés,
de faire persécuter les personnes qui OSENT dénoncer des actes de pédophilie et alerter l’opinion publique
par “l’in-Justice” française qui semble couvrir quasi systématiquement les pédophiles.
C’est un CRIME contre l’ENFANCE.
Enfin, avant de publier l’article de WIKISTRIKE, le Seigneur aborde le FAUX problème de la majorité sexuelle à 15 ans qui n’est pas l’âge de la majorité civile, 18 ans.
Donc il ne peut pas y avoir de majorité sexuelle à 15 ans !
Il s’agit pourtant de pouvoir donner la vie,
en tant que parent, enfant parent,
pouvoir donner la vie à un autre enfant.
– “Qu’est-ce que c’est que cette société,
notre société française !,
qui donne la majorité sexuelle à 15 ans à un-e mineur-e,
alors qu’une personne est majeure en France à l’âge de 18 ans,
mineur-e qui pourra devenir parent “naturel” d’un-e autre mineur-e ?
– Un-e mineur-e pourra-t-il avoir autorité sur son enfant mineur,
puisque le ou la mineur-e n’a pas autorité sur lui-même, sur elle-même,
la maman mineure qui donnera naissance à un-e autre mineur-e ?
La majorité sexuelle d’une personne tiendrait seulement à son bon vouloir de faire jouïr une personne civilement adulte qui voudrait profiter cyniquement de la jeunesse d’une personne civilement mineure ?
– “Hypocrites, dit le Seigneur, vous préparez l’esclavage sexuel de vos propres enfants et petits-enfants qui seront des victimes “abandonnées” par leurs parents mineurs
pour pouvoir être adoptés ensuite lucrativement par des “prédateurs sexuels”,
lesquels les prostitueront comme ils le voudront !
Accepter qu’il y ait un âge du consentement sexuel différent de l’âge de la majorité civile, c’est remettre en cause la majorité civile et intellectuelle d’une personne à 18 ans.
C’est petit à petit faire admettre que la sexualité ne dépend plus de la “majorité normale et légale”,
au lieu de pratiquer le sexe uniquement entre “adultes consentants”.
L’acte sexuel voulu par l’adulte dépendra de son ascendant sur un-e mineur-e “consentant-e” à subir ” un acte sexuel” qui sera toujours présenté comme un acte de “plaisir”, une initiation au “plaisir”.
Le ou la mineur-e de 15 ans supportera seul-e la culpabilité TERRIBLE de n’avoir pas su dire “expressément” “NON” à son prédateur sexuel,
souvent un-e proche que le ou la mineur-e connaît.
“Vous verrez, annonce le Seigneur,
qu’après avoir fait VALIDER cette SEPARATION juridique entre “majorité civile” et “majorité sexuelle”
l’âge du consentement sexuel sera peu à peu abaissé jusqu’à l’âge de 9 ans, sinon moins, pour couvrir les pratiques culturels dites islamiques et les mariages forcés,
renforcer les mouvements migratoires en favorisant le regroupement familial lors de mariages polygames et pédophiles
et couvrir aussi et ainsi les pédophiles d’autres religions et d’autres associations qui ont pignon sur rue aujourd’hui en France.
Bruno Mercier, ancien militaire, auteur de La Mafia Française :
Fiche de chantage – la Pédocriminalité
[ Un livre sur la mafia empêché de vente en France. Bruno Mercier, un ancien militaire qui a travaillé pour les services de renseignement, et qui vient de publier La mafia française, ses méthodes, ses réseaux, nous écrit
« Suite à la sortie de mon livre « La mafia française, ses méthodes, ses réseaux », mon éditeur Actania Presse a été menacé, le diffuseur DILISCO a été sommé de retirer le livre de la vente, j’ai été menacé à deux reprises physiquement, deux blogs que j’avais ouvert ont été fermés brutalement, AMAZON n’arrive plus à vendre en ligne le livre »
L’auteur, infiltré dans un réseaux de mafieux français en Asie du Sud-Est, montre qu’en France aussi il existe une mafia puissante et influente, comme en Italie, en Russie ou en Palestine occupée. Il décrit les dessous de ses méthodes et la composition de ses principaux réseaux, et montre comment elle est impliquée dans la plupart des grandes affaires qui ont défrayé la chronique ces quinze dernières années. Issus des organisations mises en place par les services secrets occidentaux pour constituer des réservoirs de combattants de l’ombre destinés à empêcher l’arrivée des communistes en France, des hommes se sont progressivement transformés en mafieux. Ils ont notamment infiltré tout le système dit de la » Françafri(c)que » avant d’étendre leur influence sur l’Asie et la corne de l’Afrique.
Livre « La mafia française / ses méthodes, ses réseaux » – Auteur : Mercier Bruno – Éditeur : Actania Presses [extrait PDF] [acheter]
Ce récit dévoile l’organisation tentaculaire qu’ils sont parvenus à mettre en place, les méthodes mises au point par eux ainsi que les liens les unissant à la plupart des affaires qui ont empoisonné les relations de la France avec l’Afrique et l’Asie. Ainsi sont révélés les dessous des affaires de la grotte d’Ouvéa en Nouvelle-Calédonie, du Juge Borrel à Djibouti, de l’infiltration de Canal +, des financements occultes de nombreuses Ong, et de bien d’autres encore…]
Ce sera le “Royaume des Pervers”, des pervers pédophiles.”
La pédophilie sera considérée comme un acte sexuel “normal”, car devenu LEGAL,
et vous trouverez des magazines et revues spécialisés dans la traite des enfants prostitués LEGALEMENT par leurs parents et/ou d’autres souteneurs publics.
C’est pour cette raison que les juges ne poursuivent guère ou avec si peu de détermination et de conviction les pédophiles en France et en Europe,
car vos magistrats savent qu’il est déjà PREVU de LEGALISER,
après les avoir NORMALISES,
les rapports sexuels “consentants” entre “enfants et adultes.”
Le Seigneur ne veut même pas de la majorité sexuelle à 15 ans.
La majorité d’une personne se détermine par sa capacité à gérer TOUS LES ACTES de sa vie,
dont ses choix sexuels,
une fois devenue majeure,
c’est à dire étant en capacité de se défendre soi-même et de défendre l’enfant qui naîtra de ce rapport sexuel.
Il n’est pas possible de décider que les pieds seront majeurs avant les mains du corps d’un enfant
ou que “ses fesses”
[Désolée, je dois l’écrire ainsi.]
ou que “ses fesses” seront majeures avant sa tête, c’est à dire, “son cerveau” !”
« Viols d’enfants : La fin du silence »
(Elise Lucet, 1999, intégral)
« Viols d’enfants : la fin du silence“est un reportage présenté par Elise Lucet sur France 3 le 27 mars 1999. Ce reportage révèle l’existence d’un réseau pédo-satanique actif sur la France en dévoilant l’enfer vécu par plusieurs enfants qui expliquent avoir été abusé au cours de cérémonies très étranges qu’ils représentent sur des dessins. Dans ce reportage et au cours du débat qui s’ensuit, il est question de viols, de meurtres rituels, de têtes coupées, de charniers d’enfants (notamment en région parisienne selon les propos du substitut du procureur Bouillon), mais il est aussi question de l’attitude étrange de la Justice qui malgré les nombreux éléments à charge du père, dont les extraits de différentes conversations éloquentes provenant d’écoutes téléphoniques, oblige ces enfants à retourner chez leur père contre leur gré et malgré leurs larmes. Les témoignages des enfants sont discrédités sous prétexte qu’ils sont doués d’un imaginaire fantasmatique particulièrement fertile alors que plusieurs psychiatres et spécialistes affirment qu’ils ne peuvent pas avoir inventé ce qu’ils racontent avoir vécu. En visionnant cette vidéo sur Internet, vous percevrez à travers leurs témoignages, l’intensité de leurs souffrances, de leurs peurs lorsqu’ils expliquent avec leurs mots d’enfant ce qu’ils ont vécu et ne veulent surtout plus vivre. Ce genre de témoignages ne permets pas de douter de la véracité des faits. »
– “Ou alors vos législateurs sont des pédophiles !, dit le Seigneur. Il vous faudra alors les JUGER pour ce qu’ils sont et s’autorisent de faire sur vos enfants,
pour être et se comporter comme des parlementaires “pédophiles”.
Et Moi qui suis Vivant, Je vous jugeraispour ce que vous êtes et sur ce que vous faites à vos enfants !, en les laissant faire.
Comme de “vulgaires maquignons” marchandant sur le prix d’une vache à lait, vos actuels élus politiques vous ont proposé une marge de négociation entre l’âge de 11 ans et de 15 ans.
Ce qui revenait à faire passer de force et par rouerie politique un âge de consentement sexuel INFERIEUR (15 ans) à l’âge de la majorité civile (18 ans) !
Et vous vous êtes laissés prendre, comme des gens stupides et avides de plaisirs,
au faux discours de résistance présenté comme une décision politique victorieuse et courageuse par un gouvernement “libertaire”
qui serait d’abaisser l’âge de consentement sexuel d’un mineur à… seulement 15 ans.
Le fait d’abaisser l’âge de consentement sexuel d’un mineur par rapport à l’âge de sa majorité civile est un “piège” tendu par le “Diviseur”.
Dans ce cas de figure c’est du commerce, du trafic, car il y a des professionnels qui fournissent des enfants, vendus comme de la marchandise. Les professionnels s’approvisionnent en enfant dans les centres pour enfants handicapés, comme cela normalement il n’y a pas de problème policier et de justice! Cette pédophilie institutionnelle évite aux pédophiles d’aller en THAÏLANDE, par exemple, on leur fournit la marchandise sur place à ces dépravés!!!!! Ce commerce rapporte beaucoup, avec les vidéos, les CD, les partouzes, les sacrifices d’enfants, les tortures d’enfants et le massacre d’enfants.
Le procureur de la République de Nice a dit lui aussi qu’il y avait des réseaux de pédophiles sectaires structurés: c’est comme cela qu’a débuté les emmerdements,t pour lui, car il s’est attaqué aux francs-maçons sectaires de NICE!
Dans l’affaire OUTREAU, le juge BURGEAU a voulu s’attaquer aux réseaux pédophiles sectaires francs-maçonniques, il a été traduit par devant le CONSEIL SUPERIEUR DE LA MAGISTRATURE.
Le même conseil a muté LE PROCUREUR MARTINE BOUILLON de BOBIGNY en Province, dès qu’elle a déclaré qu’elle avait connaissance de charnier d’enfants dans la région parisienne. Le patron protecteur du C.S.M. est le Président de la République. Le haut-magistrat qui a muté MARTINE BOUILLON a été mis en examen par la suite pour pédopornographie mais a été blanchie. Martine BOUILLON se refuse désormais à tout commentaire sur cette affaire déclarant seulement qu’elle ” a des personnes à protéger “.
Gilbert Abas – Un ex-agent dénonce les réseaux pédo satanistes
MetaTV est allé à la rencontre de Gilbert Abas ancien membre des renseignements généraux (devenu la DCRI) dénonce les réseaux pédo-sataniste qui agissent en toute impunité en France. Son expérience au sein des services de police en tant qu’agent de renseignement l’a poussé à continuer son combat maintenant qu’il est à la retraite. Une entrevue explosive pour comprendre le problème de ces réseaux qui prolifèrent en toute impunité avec le consentement de certains membres de l’institution judiciaire (Partie 2 – Partie 3)
A noter que Gilbert Abas milite depuis longtemps; il a produit deux livres et quelques vidéos sur le sujet. Gilbert Abas présente son roman sur le satanisme : Qui veut encore tuer le Christ ? (entretien)
Un rapport de l’ONU sur les dérives de la Justice en matière de pédophilie
Publié par wikistrike.com sur 26 Décembre 2011, 08:26am
Catégories :#Social – Société
Un rapport de l’ONU sur les dérives de la Justice en matière de pédophilie
Pour les fêtes, revenons encore sur ce sujet préoccupant : les réseaux pédophiles en France. Et ailleurs aussi, mais d’abord en France.
Sur ce blog, j’ai repris un texte sur une affaire de pédophilie à Castres, dans laquelle on observe ce que l’on appelle un « déni de justice », répété même. C’est-à-dire que la Justice n’est pas rendue. Dans l’affaire du Var, c’est la même chose. Et on dirait que ce système est tellement répandu, comme dans l’affaire d’Outreau, par exemple, qu’il s’est carrément institutionnalisé. Sans vouloir être alarmiste.
C’est justement ce qui ressortait il y a huit ans déjà d’un rapport de l’ONU section droits de l’enfant demeuré au fond des tiroirs de la République.
En 2002, Juan Miguel Petit[1], Rapporteur spécial sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants auprès de l’ONU depuis 2001, a effectué une brève –mais intense- visite en France du 25 au 29 novembre 2002.
Le rapport qu’il a présenté à la commission des droits de l’homme de l’ONU en mars 2004 est évidemment succinct, mais il vaut son pesant de cacahuètes.
Le rapporteur est donc passé à Paris, à St Etienne et à Lyon, après avoir reçu des informations selon lesquelles « un certain nombre d’enfants français (…) seraient victimes de pédophilie et de pornographie », précise le rapport dans son introduction. En trois jours, il a eu le temps de rencontrer tout un tas de types du gouvernement et d’officiels, des flics spécialisés, des ONG, des experts, ainsi que des médias et des parents de victimes.
En 2002, Juan Miguel Petit a reçu à Genève des représentants d’ONG qui lui ont dit que des Françaises déménageaient en Suisse pour y vivre clandestinement avec leurs enfants. Ce qui est une réalité, puisque la Justice française a souvent retiré les droits de ces mères qui se battent pour que leurs enfants cessent d’être abusés et/ou violés par d’autres tous les jours. Mais, on aura l’occasion de reparler de tout cela en détail.
Petit, ancien sociologue et journaliste, a encore été surpris d’apprendre que des médecins étaient poursuivis pour avoir signalé des abus sur des enfants, et se retrouvaient avec des sanctions de l’ordre des médecins. C’est ce qui est par exemple arrivé à Catherine Bonnet, pédopsychiatre de son état, qui a eu le droit de fermer son cabinet pour avoir signalé des soupçons de viol en réunion sur des enfants comme la loi l’y oblige.
Quelques extraits du rapport du 14 octobre 2003, présenté à la 60e session de la Commission des droits de l’homme de l’ONU :
7. « Avant sa visite en France, le Rapporteur spécial avait adressé deux communications au Gouvernement concernant le cas de deux enfants qui seraient victimes de pornographie impliquant des enfants et d’abus sexuels. Après sa visite, il a porté un certain nombre de cas analogues à l’attention du Gouvernement et, au moment de la présentation du présent rapport, continuait d’être informé de nouveaux cas. Pour protéger l’identité des enfants concernés, leurs noms ne seront pas publiés dans le présent rapport mais, comme dans tous les cas portés à l’attention des gouvernements, les courriers qui leur ont été adressés contenaient les détails pertinents, y compris les noms des victimes ».
8. « Le Rapporteur spécial a reçu des informations détaillées concernant la traite d’enfants et la prostitution impliquant des enfants émanant, entre autres, de la Défenseure des enfants, de ministères du Gouvernement, de la police, notamment de l’Office central de répression du trafic des êtres humains et de la Brigade de la protection des mineurs, ainsi que de plusieurs ONG ».
12. « La plupart des enfants victimes de la prostitution ont généralement de 15 à 18 ans et sont aux mains de souteneurs et de réseaux qui les équipent de téléphones portables pour rester en contact avec eux et leur ordonner de retourner au travail s’ils tentent de se reposer. Aujourd’hui, un grand nombre de souteneurs et de proxénètes vivent dans des pays voisins, comme la Belgique et l’Allemagne, et chargent des prostitués plus anciens dans le métier de surveiller les enfants. Les enfants victimes de la traite sont généralement mis au travail à Paris pour commencer, puis souvent envoyés dans d’autres villes, comme Bordeaux et Marseille ». Le rapport est quand-même essentiellement axé sur les enfants venus des pays de l’Est, comme els Roumains par exemple. Ce qui permet de dédouaner un peu la France et son système judiciaire vérolé qui envoie des enfants bien de chez nous dans les réseaux pédos.
Au point 31, on peut lire que des opérations de police à partir de fichiers pédo pornographiques « ont permis d’identifier des enfants en Russie, aux États-Unis et aux Pays-Bas, dont certains avaient été photographiés dans des studios professionnels de photographie ».
32. « La Division reçoit chaque année des milliers d’adresses électroniques de localisateurs de ressources uniformes et réussit à en identifier quelques centaines. Chaque année, le travail de la Division permet de procéder à 40 ou 50 arrestations ». On mesure ici l’efficacité de nos forces de police en matière de traque des réseaux de pornographie infantile et ça se passe de commentaire.
34. « La Brigade des mineurs s’occupe également de la question de la pornographie impliquant des enfants mais n’est pas légalement habilitée à infiltrer les réseaux pédophiles et pornographiques. La Brigade a émis des doutes quant à l’existence de «réseaux» pornographiques impliquant des enfants en tant que tels, mais a reconnu que nombre d’adultes sur lesquels elle avait enquêté pour possession et distribution d’images pornographiques avaient des relations sociales très influentes ». Là, on est perplexe. Pour les flics, donc, il n’y a pas de réseaux, même si un paquet des gens qui se font attraper avec des images pédo pornos ont un carnet d’adresses impressionnant selon les mêmes flics.
35. « Avant et pendant son séjour en France, le Rapporteur spécial a reçu des informations selon lesquelles l’élaboration de matériel pornographique impliquant des enfants français était souvent liée à des abus sexuels infligés à des enfants au sein du foyer. Il a reçu des allégations selon lesquelles des parents et amis de la famille commettaient des abus sexuels sur des enfants et, parfois, confectionnaient du matériel pornographique à partir de ces actes ». Est-ce qu’on a déjà entendu parler de ces affaires dans les JT et les médias commerciaux, à la rubrique faits divers, ou même société ? Jamais. Y’a t –il des jugements, voir, on peut rêver, des condamnations dans ces affaires ? Pas en France puisque les réseaux n’existent pas. Et puis, les pédos, ils en font quoi de ces films ? Ils les revendent, sur Internet ou ailleurs. Et pourquoi pas vendre carrément ses enfants, pour des parties glauques dans les villas du coin ou d’ailleurs ?
D’autre part, qu’appelle-t-on un réseau ? En droit, une association de malfaiteurs c’est à partir de deux personnes. A priori un abuseur et un « proxénète » abuseur, c’est déjà un réseau, mais soyons large, considérons qu’un réseau c’est quand il y a plusieurs abuseurs ou plusieurs proxénètes. Comment se pourrait-il qu’en France, pays de près de 70 millions d’habitants, il n’y aurait a priori pas de réseau pédophile. Ce serait un véritable miracle si c’était vrai, et je parle en athée, car je ne risque rien tellement nous sommes loin, très très loin de la réalité. Bref, passons à la suite du rapport.
36. « Dans sa note préliminaire, le Rapporteur spécial a indiqué avoir été informé de l’existence d’un CD-ROM contenant 8 000 images pornographiques appelé CD-ROM «Zandvoort», du nom de la ville néerlandaise dans laquelle il a été découvert. Un certain nombre de parents français y auraient vu des images de leurs enfants. Les autorités françaises ont examiné le CD-ROM et l’ont transmis aux autorités des autres pays qui à leur avis étaient concernés, mais ont conclu que ces images dataient des années 70. Toutefois, certains parents contestent cette conclusion, faisant valoir que certaines des photos contiennent des preuves montrant clairement qu’elles ont été prises récemment. Le Rapporteur spécial a été informé que le CD-ROM n’avait pas été officiellement envoyé à Interpol pour être examiné par ses experts et comparé à des images de sa base de données, ce qui aurait vraisemblablement permis d’établir l’âge des photos. Dans sa réponse du 4 avril 2003 à la note préliminaire du Rapporteur spécial, le Gouvernement a indiqué que le CD-ROM avait été envoyé à Interpol en 1998 par les autorités néerlandaises. Toutefois, Interpol a indiqué qu’il n’en avait reçu qu’une copie provenant d’une ONG suisse et que les autorités néerlandaises l’avaient simplement envoyé aux pays qui lui paraissaient concernés.
En outre, Interpol a indiqué qu’il appuierait toute enquête nationale et que, s’il recevait le CD-ROM assorti d’une demande officielle émanant d’un organe national chargé de l’application des lois, il l’examinerait en se référant à sa base de données. En conséquence, le Rapporteur spécial recommande de nouveau que la police française adresse à Interpol une demande officielle de cette nature ».
L’affaire Zandvoort, on en a déjà parlé. Pour résumer, une association d’aide aux victimes belge, et son fondateur Marcel Vervloesem, ont réussi à mettre la main après moult pérégrinations sur une vingtaine de CD Roms refiléspar un vieux pédophile qui vivait à Zandvoort aux Pays Bas, impliqué –entre autres- dans un réseau hollandais de production de films pédopornos. Lesdits CD Roms, sur lesquels apparaissent plus de 80.000 enfants différents dans des scènes de viol ou autres vues pédopornos, ont été confiés aux flics belges et français ainsi qu’à la Justice, qui ont jugé urgent de ne rien faire. Soi-disant, donc, parce que les photos dataient des années 70. Ce qui est vrai pour une partie mais pas pour toutes, et en plus pourquoi cela nous empêcherait-il de retrouver d’éventuelles victimes française, ainsi que certains parents le demandaient ?
Encore une fois, on constate une obstruction totale de la part des services censés investiguer sur tout cela. On peut même ajouter que Vervloesem a fait des années de prison pour détention de matériel pédoporno, et pour cause : c’est lui qui a fourni le matériel en question aux autorités.
Passons aux différents cas d’enfants victimes de ces réseaux qui n’existent pas qui sont mentionnés dans le rapport.
40. « Le 26 avril 2002, le Rapporteur spécial a adressé au Gouvernement français une lettre concernant la situation de l’enfant S, né en 1998, qui, selon les informations reçues, avait été victime d’abus sexuels et utilisé pour la réalisation de films et photographies pornographiques.
Ses parents étaient séparés et les abus auraient été commis par le père dans le cadre de l’exercice de son droit de visite. En mars 1998, l’enfant a été examiné par un médecin qui a confirmé qu’elle avait été abusée sexuellement et, en juin de la même année, le juge aux affaires familiales du Tribunal de grande instance de Paris a réduit le droit d’accès du père à l’enfant à une visite, le samedi après-midi, une semaine sur deux, sous surveillance. Tout en reconnaissant que ces mesures avaient été prises sachant que l’enfant courrait le risque d’abus sexuels, le Rapporteur spécial restait préoccupé par le fait que l’enfant était apparemment forcée, contre son gré, à passer du temps avec son père. Apparemment, elle était très angoissée et perturbée avant chaque visite. En 2001, l’enfant S aurait été identifiée par la National Crime Squad britannique comme étant le sujet d’une photographie pornographique.
41. Le 24 septembre 2002, le Gouvernement français a répondu au Rapporteur spécial lui indiquant qu’une enquête avait été effectuée en 1998 à la suite des allégations d’abus sexuels et, qu’en 1999, le parquet de Paris avait classé les plaintes sans suite faute de preuves suffisantes.
Une enquête était en cours en vue d’établir si l’enfant était bien la personne qui figurait sur les documents pornographiques et le père était entendu en qualité de témoin mais n’était pas en examen. Le Gouvernement a indiqué en outre que la mère n’avait formulé aucune demande visant à modifier ou supprimer le droit de visite du père ».
Ce cas est assez révélateur car bien qu’un certificat médical réalisé peu après le ou les abus sexuels dise que l’enfant a bien été abusée, la Justice classe la plainte sans suite faute de preuves. Normal : les « preuves » sont très rares, surtout des mois après les faits. C’est donc parole contre parole, et en France la Justice nie complètement la parole des enfants, avec l’aide d’experts psy gavées de théories faites par et pour les pédophiles.
42. « Le 31 juillet 2002, le Rapporteur spécial a adressé au Gouvernement français un appel urgent concernant la situation d’une femme qui s’était rendue en Suisse avec son enfant, P, né en 1997. L’intéressée avait porté plainte contre son ex-compagnon, le père de l’enfant, pour abus sexuels sur l’enfant. Cette plainte avait été classée sans suite bien qu’un médecin lui ait apparemment confirmé que l’enfant avait été abusé sexuellement. Plutôt que de continuer de remettre l’enfant à son ex-compagnon conformément au droit de visite de ce dernier, l’intéressée s’est rendue en Suisse pour y demander l’asile politique. Peu après son départ de la France, elle a été condamnée par le Tribunal correctionnel de Paris à un an de prison ferme pour non-présentation de l’enfant à son père. Un mandat d’arrêt international a été délivré et elle a été arrêtée en Suisse en juin 2002. Son enfant a été placée dans un foyer d’hébergement spécialisé pour enfants de son âge. La mère aurait entamé une grève de la faim. Dans sa lettre, le Rapporteur spécial a demandé au Gouvernement français de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger l’enfant contre les abus sexuels et pour donner à la mère l’assurance que de telles mesures seraient prises.
43. Dans sa réponse, en date du 8 novembre 2002, le Gouvernement français a confirmé que la mère de l’enfant avait déposé une plainte en février 2000 contre son ex-compagnon pour abus sexuels à l’encontre de l’enfant P, mais que le certificat médical n’avait révélé aucune lésion traumatique gynécologique chez l’enfant.La Brigade des mineurs de Paris a procédé à une enquête et entendu le père de l’enfant. Ensuite, la mère de l’enfant a fait examiner l’enfant par un médecin différent après chaque visite avec le père sans qu’aucun traumatisme gynécologique ait pu être constaté. La plainte a été classée sans suite en juillet 2000. En novembre 2001, le juge aux affaires familiales a maintenu l’exercice conjoint de l’autorité parentale et fixé le droit de visite du père à une fin de semaine sur deux, un mercredi sur deux, la moitié des petites vacances scolaires et 15 jours durant les vacances d’été. Le Gouvernement a indiqué que la mère ayant refusé de se conformer à cette décision, le père avait déposé une plainte.
44. Le Gouvernement a indiqué qu’il considérait, vu l’enquête effectuée par la police, que les allégations d’abus sexuels n’étaient pas fondées, et qu’il convenait de noter que la mère, au lieu de faire appel de la décision rendue par le juge en novembre 2001, avait décidé de quitter la France ».
Là encore, la réponse de la Justice est de courir après la mère, jusqu’à la condamner à de la prison ferme. Même si dans certains cas, il est probable que des mères fabulent, la Justice réagit systématiquement de cette manière dans les cas qui nous concernent. On ordonne des expertises qui ne prouvent rien, voir nient les faits. Mais des études sérieuses menées au Canada et aux Etats Unis ont montré que dans 80% des cas de viols avérés, il n’y avait pas de trace du tout, ou pas de trace significative… Facile, alors, de dire que les « allégations » d’abus sont infondées.
Bref, la Justice fonctionne de manière binaire, sans même parler de corruption, dans des cas qui nécessiteraient de regarder les choses en profondeur. Au final, le père a obtenu un droit de visite la moitié du temps libre de l’enfant.
Encore pire :
45. « À la suite de sa mission, le 12 décembre 2002, le Rapporteur spécial a adressé au Gouvernement français un appel urgent, conjointement avec le Rapporteur spécial sur la liberté d’opinion et d’expression. Cet appel concernait la situation de l’enfant L, né en 1993. D’après les informations reçues, ce garçon avait été abusé sexuellement par son père dès l’âge de 3 ans.
Des abus sexuels auraient été confirmés en 1996 par des médecins et psychiatres spécialisés qui ont estimé que l’enfant souffrait d’une maladie sexuellement transmissible. L’enfant aurait affirmé que son père et d’autres individus avaient réalisé des films et des photographies pornographiques de lui. D’après les informations reçues, le garçon avait affirmé de façon constante qu’il ne voulait pas vivre avec son père à la garde duquel il avait été confié. Il subirait continuellement des agressions émotionnelles et physiques commis par son père et serait devenu suicidaire.
46. Dans sa réponse datée du 5 février 2003, le Gouvernement a indiqué qu’à la suite de la plainte déposée en 1996 par la mère de l’enfant L contre le père de l’enfant, le garçon avait subi un examen médico-psychiatrique qui n’avait pas confirmé qu’il était victime d’abus sexuels.
En conséquence, la plainte contre le père a été classée sans suite. La mère a alors saisi en référé le juge aux affaires familiales pour faire suspendre le droit de visite du père. Cette demande a été rejetée.
47. En 1998, la cour d’appel a fixé la résidence de l’enfant chez son père et a accordé à la mère un droit de visite et d’hébergement. Dans sa réponse, le Gouvernement a indiqué que les psychiatres et les psychologues qui avaient examiné l’enfant estimaient que ce dernier avait mal interprété des gestes tendres ou maladroits de son père et que la mère, qui avait été également examinée par un psychiatre, s’était persuadée que son fils subissait des abus. En 2000, la mère a de nouveau déposé une plainte contre le père pour abus sexuels, au vu d’une photographie extraite d’un CD-ROM contenant de nombreuses images pornographiques sur laquelle elle aurait reconnu son fils. Le juge aux affaires familiales a alors fixé la résidence de l’enfant chez la mère et accordé au père un droit de visite s’exerçant dans un lieu neutre. Cette décision a été réformée par la cour d’appel qui a estimé qu’il n’existait aucun élément nouveau permettant de modifier la décision initiale de fixer la résidence de l’enfant chez son père, et que l’enquête avait révélé que l’enfant représenté sur le CD-ROM n’était pas l’enfant L ».
Là, on atteint des sommets. Les certificats médicaux affirmant qu’il y a des abus n’ont pas été pris en compte, probablement en vertu du pouvoir d’appréciation des magistrats, mais les rapports qui disent que le gamin a halluciné sont pris au sérieux sans problème. On finit carrément par confier l’enfant à son père, qui abuse de lui en réunion et en fait des films, mais tout cela est écarté, l’enfant dit des conneries. On voit hélas cela dans de nombreuses affaires en France, et encore aujourd’hui : certains rapports médicaux, même réalisés des années après les faits, ont plus de valeur que d’autres pour la Justice. La parole d’un éventuel abuseur l’emporte aussi sur celle des enfants, c’est comme ça en France.
On regrette juste que le rapporteur Petit n’ait pas pris le temps d’examiner ces dossiers (au total il semble qu’il en ait vu une soixantaine) en profondeur, histoire de pouvoir affirmer certaines choses au lieu d’employer systématiquement un conditionnel qui nuit au propos. Mais, passons. Petit, qui a été frappé par « les similitudes entre de nombreuses allégations qui lui ont été présentées », et a soumis plusieurs cas au gouvernement français. Le rapport dit que tout cela suscite chez Petit « des préoccupations persistantes quant à la manière dont de telles situations sont traitées par la justice française ». On le serait à moins.
Petit a écrit au gouvernement français de l’époque à propos des « énormes difficultés auxquelles sont confrontées les personnes, en particulier les mères, qui portent plainte contre ceux qu’elles soupçonnent d’abuser de leurs enfants sachant qu’elles s’exposent à des mesures éventuelles pour accusations fallacieuses, mesures qui, dans certains cas, peuvent conduire à la perte de la garde de leur(s) enfant(s) ». De fait, la machine judiciaire s’apparente vite à une broyeuse pour les mères –ou les pères, ça arrive aussi- qui se battent pour protéger leurs enfants. Ils ont droit à des plaintes pour dénonciation calomnieuse et/ou mensongère, pour aliénation parentale, pour non représentation d’enfants etc. et bien sur ces plaintes-là ne sont pas classées sans suite. Peuvent également arriver des contrôles et autres problèmes fiscaux, des pertes d’emploi, des tracas administratifs divers et variés…
Le rapport poursuit, toujours au point 50, « Certaines de ces mères utilisent les voies de recours légales jusqu’à ce qu’elles n’aient plus les moyens de payer les frais d’assistance juridique; il leur reste alors seulement le choix entre continuer de remettre l’enfant à celui qui, selon elles, abuse d’elle ou de lui, ou de chercher refuge avec l’enfant à l’étranger.
Il semblerait même que certains juges et avocats, conscients des faiblesses du système judiciaire, ont conseillé officieusement à certains parents d’agir de la sorte. Ces parents s’exposent à des poursuites pénales pour de tels actes en France et, souvent, dans le pays où elles se rendent ». Pourquoi une mère qui ment et manipule son enfant pour porter atteinte au père prendrait de tels risques ? Ce qui pousse ces mères à tout quitter, c’est la volonté de préserver leurs enfants. D’autres tentent jusqu’au bout de recourir à la justice, mais cela ne fait que les ruiner davantage. En général, elles perdent tout, et leurs enfants avec.
C’est la réalité de ce qui se passe en France en 2011. Et qui n’est pas près de s’arrêter tant la machine tourne à plein régime dans tous les coins du pays. Je ne dis pas que tous les pères accusés sont coupables, mais je dénonce le fait que dès que des enfants parlent de viols en réunion, et parfois même de simples viols, la Justice fait comme s’ils mentaient.
Plus loin, Petit répond à l’argument des pédophiles, développé par un certain Gardner qui était un pédophile : l’aliénation parentale, très en vogue en ce moment, c’est-à-dire quand la mère fait dire à son enfant qu’il a été violé par son père, durant une procédure de divorce, afin d’en obtenir la garde. Aucune étude sérieuse n’a été réalisée à ce sujet par les tenants de cette théorie, mais ce qui est sur, c’est que dans de nombreux cas les divorces interviennent après les faits de violence, sexuelle, physique et/ou psychique contre les enfants.
Passons à la suite :
52. « Dans plusieurs cas qui ont été communiqués au Rapporteur spécial, il a été signalé que les individus accusés de commettre des abus étaient étroitement liés à des membres de l’appareil judiciaire ou à des individus occupant de hautes fonctions dans l’administration publique, qui étaient en mesure d’influencer l’issue des procédures à leur détriment, argument qui avait été également formulé par la Division nationale pour la répression des atteintes aux personnes et aux biens ».
Comme c’est joliment dit. Oui, en France de nombreuses affaires sont étouffées, surtout en matière de réseaux pédophiles ; et ce n’est un scoop pour personne à part pour l’opinion publique, qui préfère dormir tranquille.
54. « Le Rapporteur spécial juge particulièrement préoccupantes des informations selon lesquelles l’enfant n’a pas le droit d’être automatiquement entendu dans le cadre des procédures civiles visant à fixer la garde de l’enfant. Quoique les tribunaux civils aient la possibilité d’entendre l’enfant lorsque le Président du tribunal le juge utile, il semblerait que l’enfant ne soit pas entendu dans la quasi-totalité des cas ». Oui, c’est une particularité française : avec la justice, le mineur subit et doit se taire.
55. « Dans sa note préliminaire, le Rapporteur spécial soulignait que le manque de ressources, de formation et de spécialisation dont souffraient les juges et les avocats s’occupant d’affaires de sévices sexuels contre des enfants faisait que les droits de l’enfant impliqué dans les poursuites judiciaires n’étaient parfois pas suffisamment protégés et qu’il s’ensuivait que les enfants concernés risquaient souvent de continuer à subir des sévices. Le Ministère de la justice a reconnu que la majorité des magistrats s’occupant de ce type d’affaires avaient été formés à une époque où l’on n’attachait pas l’importance voulue à la question des abus sexuels sur enfant et qu’une formation en la matière devait désormais faire partie intégrante de leur formation professionnelle supérieure. Le processus est engagé mais il est probable qu’un certain temps s’écoulera avant que ses résultats ne deviennent perceptibles ». Certes les magistrats et les avocats ne sont pas bien formés, mais les psychiatres etc. non plus. D’où une méconnaissance consternante du sujet, et des décisions aberrantes.
59. « Dans sa note préliminaire, le Rapporteur spécial constatait: «Les personnes qui soupçonnent et signalent des cas de sévices à enfant peuvent se voir accuser de mentir ou de manipuler les enfants concernés et risquent des poursuites ou des sanctions administratives pour diffamationsi leurs allégations n’aboutissent pas à des poursuites suivies de la condamnation de l’auteur présumé des sévices. En particulier, les professionnels de la santé encourent des risques dans ce domaine et rien n’indique que les médecins bénéficient de l’aide et du soutien du Conseil national de l’Ordre des médecins.» (par. 14). Le Rapporteur spécial tient à reformuler son constat pour préciser que les personnes se trouvant dans cette situation s’exposent à des poursuites non pas pour «diffamation» mais pour «dénonciation calomnieuse».Il a recommandé que le Conseil national de l’Ordre des médecins revoie de toute urgence ses procédures de façon à soutenir au lieu de les condamner les médecins qui font part de leurs soupçons de sévices à enfant». En 2011, rien n’a changé, bien sur, et peu de médecins osent dénoncer de tels faits lorsqu’ils sont rapportés par les enfants. De fait, quand les faits sont signalés à un Procureur, le médecin « ne peut signaler que les faits authentiquement constatés par lui et ne peut désigner le coupable présumé de la maltraitance que telle ou telle personne lui signale. Il ne peut que citer, comme lui ayant été rapportées et avec la prudence nécessaire, les déclarations de la victime ou d’un tiers». Sauf qu’à moins d’avoir suivi une formation juridique, un médecin qui relate de tels propos évoque aussi les abuseurs cités par les enfants. S’ils dénoncent les faits à la police, ils peuvent se voir accusés de dénonciation mensongère et calomnieuse, comme tout un chacun, si la Justice estime que les faits ne sont pas avérés.
Lors d’une visite dans un centre pour enfants placés, on explique à Petit que « Certains signalements s’étaient révélés fallacieux mais dans la majorité des cas ils ne l’étaient pas. Certains cas d’abus sexuels ne sont pas dépistés avant que l’enfant n’entre dans l’adolescence et commence à parler des abus dont il a été victime dans son enfance avant d’être placé au centre ». En effet, la réalité c’est que très peu d’abus sont dénoncés, et que parmi les abus dénoncés très peu s’avèrent faux. Mais en France, on ne dispose d’aucune étude sérieuse sur le sujet.
Un rapporteur choqué fait ses recommandations
Extrait des conclusions de ce rapport :
« 81. L’existence d’un lien entre sévices sexuels sur enfant et utilisation d’enfants aux fins de la production de matériel pornographique est une question particulièrement complexe et les personnes en faisant état sont bien souvent accusées d’allégations mensongères(…) Certaines mères, ONG et autres parties concernées sont quant à elles certes très promptes à imputer l’incapacité de certains éléments de l’appareil judiciaire à les aider au fait que ces éléments seraient eux-mêmes impliqués dans des réseaux pédophiles. Le degré de méfiance et de suspicion de part et d’autre est à l’heure actuelle tel que -même si le Rapporteur spécial a décelé une véritable volonté de la part de certains individus de répondre à ces préoccupations pour le bien des enfants- des progrès sensibles ne sont guère envisageables, à moins qu’une collaboration ne puisse s’instaurer entre le Gouvernement, l’appareil judiciaire, les ONG et les victimes». C’est étrange comme ces allégations au sujet de réseaux pédophiles se répètent en France. Il n’y aurait que la police à ne pas en avoir entendu parler ?
Continuons avec les recommandations du rapporteur de l’ONU, telles que :
– « appliquer «le principe de précaution» pour toutes les procédures judiciaires dans le cadre desquelles sont formulées des allégations d’abus sexuels sur enfant, la charge de la preuve devant reposer sur la partie qui entend démontrer que l’enfant n’est pas exposé à un risque d’abus »
– « Des enquêtes complètes et impartiales doivent être menées à l’encontre des auteurs présumés de sévices, en particulier lorsque les expertises médicales, les évaluations des psychologues et les rapports des travailleurs sociaux étayent les allégations de sévices sexuels ». Comme si les enquêtes sur le sujet étaient partiales et incomplètes…
– « Le Gouvernement français devrait transmettre officiellement le CD-ROM «Zandvoort» à INTERPOL aux fins d’examen et de confirmation de l’âge des photos qui y sont contenues ». Oui, pourquoi la France, qui refuse de tenir compte de ces CD Roms parce qu’ils sont trop anciens, ne veut-elle pas les faire expertiser par Interpol ? Tant qu’à faire, autant mettre toutes les chances de notre côté pour résoudre ces affaires, non ?
– « qu’un organe indépendant mène de toute urgence une enquête sur les carences de la justice à l’égard des enfants victimes de sévices sexuels et des personnes essayant de les protéger ».Un organe indépendant ? Tiens donc, la Justice et les experts français ne suffisent pas ? Manqueraient-ils d’indépendance, seraient-ils inaptes ou vérolés ?
Ca, c’était donc le rapport d’octobre 2003. Il est très similaire au premier daté du 27 janvier 2003, présenté devant la 59Quelques passages diffèrent, comme le point 17 de ce premier rapport, qu’on ne retrouve pas dans celui d’octobre :
17. « Il est certes possible que de fausses allégations de sévices sexuels contre des enfants aient été faites dans le cadre de procédures visant à attribuer la garde de l’enfant. Toutefois, le Rapporteur spécial, après avoir examiné les preuves concernant les affaires portées à son attention, a pu conclure que ces allégations étaient sérieuses et fondées et que la suite qui leur avait été donnée ne correspondait pas à l’intérêt supérieur de l’enfant».
24. « Étant donné le nombre de cas laissant apparaître un grave déni de justice pour les enfants victimes de sévices sexuels et les personnes qui tentent de les protéger, il serait bon qu’un organe indépendant, de préférence la Commission nationale consultative des droits de l’homme, mène de toute urgence une enquête sur la situation actuelle ». Là, on ne mentionne pas seulement une enquête sur les « carences » de la Justice en matière de protection des victimes, on demande une enquête sur « la situation actuelle », ce qui a été temporisé par la suite bien que les propos n’étaient pas vraiment alarmistes.
25. « Les services de la Défenseure des enfants devraient être dotés de moyens humains et matériels suffisants, qui leur permettront de recevoir des plaintes et de mener des enquêtes lorsqu’il y a des signes d’un déni de justice concernant les droits de l’enfant ».
Petit, après avoir remis son rapport, a expliqué à la presse : « Je me suis retrouvé face à des dossiers complexes, soixante au total, nécessitant la plus grande prudence. J’ai pu constater que des choses ne fonctionnaient pas. Dans plusieurs cas, avérés, des enfants ont été filmés ou photographiés dans des situations pornographiques. La justice française n’a pas enquêté ! Pour ces dossiers, un regard neuf et indépendant est absolument nécessaire ».
Au sujet du déni de justice, voir les statistiques du Collectif Féministe Contre le Viol, assez éloquentes : en 11 ans (1996 – 2007), le CFCV a recensé 266 dénis de justice concernant 339 enfants. Les cas évoqués par cette association ressemblent d’ailleurs largement à ceux repris dans le rapport de Petit.
Après tout cela, comme d’habitude à l’ONU, des débats stériles ont suivi et rien n’a été fait. Aucun état des lieux, aucune enquête n’ont été menés en France depuis bientôt huit ans. Alors évidemment, le commerce des gosses est florissant, et les pédos de tous poils se sentent pousser des ailes dans un pays aussi laxiste que la France. Dans la France de sarko, on préfère courir après les roms qu’après les pédos.
Pourtant, cela fait des années qu’en France, les associations pointent les dysfonctionnements de la Justice dans le cas de viols sur mineurs dénoncés durant une procédure de divorce. Ainsi, dès 1999 le Collectif Féministe contre le viol a publié un rapport sur le sujet, dans lequel il s’inquiète de la « hausse du nombre d’appels mentionnant des dysfonctionnements judiciaires concernant des agressions sexuelles sur mineurs dans un contexte de séparation parentale ». De plus le CLCV a examiné de près 190 situations de viols sur mineur lors d’une séparation, avec 130 plaintes pour viol ou agression sexuelle de déposées. Au final, 17 enquêtes préliminaires et 10 instructions seulement ont suivi ces plaintes, 57 ont été classées sans suite, on a aussi prononcé 18 non lieux, 4 relaxes, et une seule condamnation.
Voilà la réalité du traitement des abus sexuels par la Justice française. Ajoutons, au passage, que les agresseurs potentiels ont réagi par 30 plaintes contre les mères, dont 23 pour non présentation d’enfants.
Le CFCV avait également pointé les théories fumeuses de l’ « aliénation parentale » et des « faux souvenirs », qui nous expliquent que les enfants accusant leur géniteur d’abus sexuels mentent dans plus de la moitié des cas. Des types comme Gardner, Underwager ou van Gijseghem, des pédophiles notoires, ont propagé ces thèses qui sont très à la mode en France aujourd’hui. Des associations comme SOS Papas sont devenues des spécialistes de ces théories, sur lesquelles elles reviennent régulièrement quand il s’agit d’innocenter un père devant les tribunaux.
Pourtant, au Canada, où on a mené une étude sérieuse en 2001 sur le sujet, on sait que les fausses allégations tournent autour de 1,3% du total lors de séparations… En outre, d’après l’étude du CLCV, 88% des victimes d’abus sexuels ont moins de 7 ans, et 22% ont moins de 3 ans, et il semble que leur jeune âge leur enlève toute crédibilité aux yeux de la justice. 5% des plaintes au pénal pour agressions sexuelles sont classées sans suite par les parquets, sans qu’on cherche à mener une véritable enquête.
Ensuite, « Lorsqu’une information judiciaire est ouverte, une (contre-) expertise en défaveur de la mère et/ou de l’enfant est réalisée sans les avoir rencontrés ou trop peu de temps, et suffit à invalider le faisceau de preuves existantes (paroles, comportements et symptômes de l’enfant, certificats médicaux, expertises psychologiques, attestations de témoins de la parole de l’enfant, etc.). 9 % des plaintes aboutissent à des non-lieux ». Dans 22% des cas, les victimes et leur parent protecteur ne sont même pas mis au courant des suites judiciaires de leur plainte, si bien qu’au final, un agresseur sur 69 a été condamné, sur l’échantillon de 90 agressions sexuelles examinées par le CFCV.
En 2005, lors d’un sommet Europe – USA sur « les enfants disparus et exploités » du centre International pour les enfants disparus et exploités, on notait que « des enfants de plus en plus jeunes sont victimisés et que les images de pornographie enfantine deviennent de plus en plus explicites et violentes ». Pourquoi ? Parce que cela rapporte beaucoup d’argent : « Un article de presse récemment paru en Russie dénonce le fait que les organisations criminelles et extrémistes et les groupes terroristes utilisent de plus en plus le trafic d’enfants et la pornographie enfantine pour générer les revenus nécessaires à leurs activités. Cette tendance s’explique de plusieurs manières : les enfants sont nombreux et facilement accessibles, la pornographie enfantine est facile à produire, bon marché et bénéficie d’un marché énorme ; en outre, elle ne présente pratiquement aucun risque, contrairement au trafic de drogue, d’armes, de cigarettes, etc.».
Mais en France, nous serions épargnés par ce phénomène. Le seul pays sans réseaux pédophiles au monde… Comme pour le nuage de Tchernobyl ou celui de Fukushima, ou la crise économique des années 30…
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Bref, pour conclure il y a comme une odeur de souffre dans ces affaires de réseaux-qui-n’existent-pas. Et cela a été dit et redit d’abord au niveau national, puis au niveau international, puisque même l’ONU s’est penchée sur le cas spécifique de notre beau pays des Droits de l’Homme. Mais, rien ne se passe. Aucun politique n’ouvre la bouche sur le sujet, alors qu’il n’y a pas de sujet plus porteur que la défense des enfants, il me semble. Aucun média commercial n’évoque le problème, à part l’Humanité, mais il faut dire que les journalistes n’ont pas le droit de contester une décision de Justice, ce qui rend impossible d’ouvrir le débat sur des affaires déjà jugées.
La seule solution pour que ces crimes sur les enfants, qui se multiplient ces dernières années, s’arrêtent, c’est que l’opinion publique ouvre enfin les yeux sur la situation qui est catastrophique.
Car le risque avec tout cela, c’est qu’un seul pédo faisant parfois plusieurs dizaines de victimes, et certaines victimes qui ne sont pas aidées reproduisant parfois ces faits, on va se retrouver avec une multiplication exponentielle des affaires de pédocriminalité et d’exploitation sexuelle des enfants.
Ajoutons que cela rapporte énormément d’argent aux producteurs, aux sites d’échange, aux hébergeurs, aux revendeurs, et nombreux sont ceux qui se mettent à ce trafic juste pour le pognon, sans même être pédophile, juste pervers.
Enfin, on parle de réseaux pédophiles, parce qu’on est face à une vraie « association de malfaiteurs », organisée dans le but de produire et consommer les images pédopornos ou carrément les enfants (puisqu’on oublie consciencieusement de parler des enfants qui sont prostitués toute leur enfance par leurs parents ou quelqu’un d’autre, et cela arrive aussi partout en France en 2011), association à but lucratif dans la quasi-totalité des cas.
Le chemin est encore long pour qu’on écoute enfin la parole des enfants, sans la donner crédible automatiquement mais en tentant réellement d’établir ou d’infirmer les faits, et pas seulement avec des examens médicaux ou psychiatriques archaïques.
Ceri pour WikiStrike
et Donde Vamos
[1] Cet uruguayen a débuté sa carrière pendant la dictature en tant que journaliste puis rédacteur en chef dans des journaux d’opposition. Il devient ensuite membre du conseil d’administration de l’Institut national de l’enfance en Uruguay.
Qui a choisi et qui paie les honoraires du très cher avocat de Nordahl LELANDAIS,
Maître Alain JAKUBOWICZ ?
Certainement pas Nordahl LELANDAIS.
On parie ?
La preuve en est,
Maître Alain JAKUBOWICZ évite soigneusement de répondre à cette question,
même quand elle est posée par une journaliste de la “trempe” de Ruth ELKRIEF et répétée avec insistance par cette journaliste à l’avocat “fuyant”, lors d’une interview sur BFM-TV.
[Après la visite de COLUCHE du même jour (en fait, j’ai encore attendu avant de publier cet article !), je mets en ligne cet article écrit par une “médium”, moi-même,
médium malgré moi.]
Une petite fille demande à communiquer avec ses parents.
Je ne suis pas “preneuse” car le malheur me rend peureuse.
Pour l’heure, je n’ai pas le choix.
Son malheur me bouleverse.
Qui prend la ligne ?
Qui prend la communication ?
“Recherche médium honnête et désintéressé-e.”
La communication devra être GRATUITE et naturelle, sans utilisation du “oui-jà” ou autres ustensiles de sorcellerie dits “supports de voyance”, instruments pour des aveugles “non-voyants” :
– verres baladeurs, tables tournantes et enregistreurs de sons “paranormaux”,
tellement paranormaux qu’ils ne captent pas la Vie
mais les “morts”,
les ombres des cimetières qui errent désespérément à la recherche d’un corps à posséder.
Voilà, pourquoi je suis là, sans support de voyance autre que l’amour de Maëlys pour ses parents et son attachement posthume pour d’autres personnes.
Hélène BOUVIER, médium christique, m’avait dit, lors d’une rencontre en 1988, que je terminerais comme elle, quoique je fasse.
Je ne pourrais pas échapper à mon “destin”, c’est à dire à son destin à elle : – plein de chats autour d’elle, un appartement misérable, un simple deux-pièces, près du cimetière du Père Lachaise à Paris, avec sa soeur handicapée à charge !
Chouette, non ?
J’ai donc tout fait pour ne pas “finir” comme Hélène BOUVIER, “médium christique”.
J’étais venue pour lui demander comment aller se terminer un “léger” problème professionnel,
l’enfance maltraitée dans l’Aube et doublement maltraitée par leurs parents et les institutions,
et Hélène BOUVIER m’avait alors répondu : – “Quoique vous fassiez, “ils” vous mettront dehors car vous êtes une médium christique comme moi. Vous ne pourrez pas échapper à votre destin !”
Je n’ai pas osé demander à l’époque combien elle gagnait par mois. La réponse était aussi évidente.
Hélène BOUVIER ne s’enrichissait pas car le Seigneur donne gratuitement. Et ce qui est gratuit ne peut pas être vendu, comme l’air qu’on respire, l’eau qui tombe du ciel ou la chaleur du soleil.
Naturellement réfractaire à une “communication” conduite sous l’emprise de l’émotion, je me méfie de moi et de mes… émotions.
Le pire manipulateur de l’être humain, c’est l’être humain lui-même quand il est submergé par le flot de ses émotions.
J’aime Maëlys.
Qui n’aimerait pas cette petite fille courageuse, aventureuse et “coureuse” ?
– “Coureuse”, non pas dans le sens vulgaire attaché à ce terme, mais dans son sens premier, intenable et parfois “insupportable”, comme la vie peut l’être, bouillante et brûlante,
quand elle nous arrache à nous-mêmes,
ou quand elle nous arrache un être qu’on aime,
à nous-mêmes,
la chair de notre chair,
le coeur de notre vie !
Courir pour vivre, courir non pas pour mourir !
C’est Maëlys qui a choisi cette photographie un peu floue.
Il me semble que je reçois cet adjectif “coureuse“, avec insistance, de Maëlys.
“Courir” POUR VIVRE.
Donc je doute.
Je doute à l’avance de ce que je vais écrire.
Si le doute est le moteur de la foi, je doute d’abord de moi et de mes “communications”.
Maëlys a insisté…,
[Si je ne suis pas folle !?]
– pour que j’écrive, pour que je l’écrive et que je décrive ce qu’elle a vu.
Pour elle, c’est plus “simple” de le suivre pour rester “attachée” à cette terre qu’elle ne veut pas encore quitter.
Ses parents, ses propres parents, ont trop de chagrin et ce chagrin dévaste de remords la petite fille.
[Elle expliquera plus tard dans l’article pourquoi elle a des remords.]
Maëlys ne supporte pas de voir sa maman pleurer et son père aller de long en large, comme dans une quête désespérée et sans fin, à sa recherche, alors qu’il n’y a plus d’espoir,
à la recherche de la Vérité.
Donc Maëlys a choisi de rester “attachée” à un gendarme qui ressemble physiquement à son papa et qui est lui-même père de famille.
Grâce à ce gendarme, elle peut suivre son affaire et partager ses découvertes.
Elle sait qu’il ne lâchera pas l’affaire !
Et d’autres aussi autour de lui.
Elle se sent bien avec eux.
Comme “protégée” au-delà de la mort par ces hommes contre les ombres qui l’envahissent, par la peur de la Vallée de la Mort.
En parlant d’elle, ils “l’évoquent”.
Ils lui permettent d’être encore en vie, c’est à dire “rattachée” à cette terre qu’elle a peur de quitter.
Ils communiquent à la petite fille leur volonté d’aller jusqu’au bout et de trouver la vérité, toute la vérité.
Ils lui donnent leur force et leur énergie.
Maëlys sait qu’ils font plus que leur possible puisqu’ils sont prêts à faire l’impossible pour trouver… ce qui est impossible à trouver, la VERITE.
Alors Maëlys les remercie à son tour, comme Allison, Allison BENITEZ.
La petite fille les remercie surtout de ne pas avoir cédé à la FACILITE d’avoir trouvé un coupable et de s’arrêter là.
– “Ce n’est pas aussi simple !”, dit Maëlys.
Mais Maëlys a peur.
Elle voit aussi, autour de ces hommes valeureux, “d’autres”…,
[Maëlys ne veut pas ou ne peut pas préciser sa pensée sur “d’autres”. Elle dit qu’on ne la croira pas.]
qui se cachent, oeuvrent dans l’ombre et s’affairent à dresser des obstacles,
jusqu’à envisager de dessaisir certains gendarmes trop “actifs” sur cette affaire de meurtre d’enfant.
Les “autres”…,
[terme VOLONTAIREMENT indéfini communiqué ainsi par Maëlys]
– sont prêts à aller jusqu’à “tuer” le ou les gendarmes qui seraient trop “investigateurs” dans leurs recherches.
Car les “autres” se plaignent que le “périmètre” de recherches s’étende “trop loin” et que ces “investigations” puissent “faire tomber” un ou plusieurs des leurs.
Il faut ARRETER les RECHERCHES !
Les gendarmes, ces gendarmes qui cherchent la VERITE, doivent comprendre qu’ils ont un COUPABLE et que l’affaire DOIT s’arrêter, là.
Sinon “gare à eux” [“sic”, expression de Maëlys] !
Maëlys ne veut qu’il arrive quelque chose au gendarme qui ressemble à son papa.
C’est pour ça qu’elle est venue me voir, “me parler”.
Et pas seulement à celui-là !
Certains de ces “autres” parlent déjà de “mutations”, de “mouvements dans les effectifs”, sous prétexte de renforcer la Brigade avec des “spécialistes” qui seront des “taupes”.
Des “taupes” de ces “autres”.
Maëlys m’explique qu’elle reprend leur vocabulaire à eux, aux “autres”, mélangé à son vocabulaire à elle.
Elle sait que son langage est un langage d’enfant.
Mais elle tente de retenir des termes “techniques” pour montrer qu’elle sait et que ce n’est pas son vocabulaire à elle.
Pour prévenir !
C’est trop triste de voir, de là d’où elle est,
les gendarmes qui font du bon travail et veulent connaître la vérité,
– c’est trop triste de savoir que “d’autres”, ces “autres”, sont déjà prêts à faire de ces gendarmes des “exemples”,
des “exemples” de ce qui peut arriver à ces gendarmes qui s’obstinent
s’ils n’écoutent pas leur hiérarchie, une “certaine” hiérarchie,
et s’ils refusent de lâcher prise.
Maëlys les entend, “les autres”, s’inquiéter et “comploter” contre le groupe de gendarmes qui fait du bon travail, du trop bon travail, surtout du “zèle”, à leur sens.
Et faire du “zèle”, pour les “autres”, c’est, reprend Maëlys,
– “foutre la merde en France !” -,
ce que reprochent méchamment “ces autres”
aux gendarmes qui ne veulent pas arrêter de chercher la vérité.
– C’est leur expression à eux, aux autres, “foutre la merde”, dit Maëlys, qui répète cette expression vulgaire avec une certaine crânerie, comme pour montrer qu’elle n’a pas peur de “ces autres” et leur prouver qu’elle les entend.
Ils disent et n’arrêtent pas de dire, “ces autres”, que reprendre d’autres affaires, parfois anciennes, c’est pointer du doigt tout ce qui n’a pas été fait et aurait dû être fait.
Ou que, pire,
c’est les “découvrir”, “les autres”,
“ces autres” pour qui ces “erreurs de procédure” ne sont que des “stratagèmes” ou des “stratégies” [Maëlys hésite sur le terme], leur permettant d’être “à couvert”, justement, de se cacher quand ils “sabordent”, dit Maëlys, volontairement des PV d’auditions ou autre chose .
[Voulait-elle dire “sabotent” ?] .
La petite fille me montre le gendarme qui ressemble à son papa au volant d’une voiture. Il se fait doubler par une autre voiture et la seconde voiture l’envoie au fossé. Ce sera “un accident” sur une route glissante dans un virage, une route de montagne avec un grand fossé, un fossé d’où on ne remonte pas.
C’est la “vision” de Maëlys, je le répète.
Maëlys ne veut pas que “ça arrive” d’autant plus qu’elle culpabiliserait davantage !
[Je n’essaie pas de faire de belles phrases et d’éviter les répétitions. Je tente de “coller” à la pensée de Maëlys.]
Ce serait encore de sa faute si ce papa gendarme venait à mourir car il se serait trop occupée d’elle.
Car “les autres” ne veulent pas que “des gendarmes” continuent de s’occuper de cette affaire.
La famille, “Mafia II”
Maëlys est en colère contre cette “administration” [mot curieux dans la bouche de la petite fille].
Du coup, l’enfant m’explique :
– Ils disent qu’ils sont “l’administration” et qu’ils font ce qu’ils veulent en France ! Alors moi, je reprends leur mot, le mot “administration”.
[Le Seigneur m’envoie un autre mot, plus fort et plus significatif, “la Firme”, cette entreprise luciférienne décrite dans un film avec beaucoup de “réalisme”.]
Par conséquent, Maëlys accepte de parler pour dire… que Nordahl LELANDAIS n’était pas “isolé” selon elle.
La rencontre :
Il y a eu des tentatives d’approche AVANT le mariage.
C’est pour cette raison que Nordahl LELANDAIS voulait aller à ce mariage dans lequel il n’était pas invité.
Parce qu’il la “connaissait” de vue AVANT et l’avait déjà suivie, Maëlys.
[Le Seigneur m’envoie le mot adéquat “repérer”. Nordahl LELANDAIS avait repéré AVANT la petite fille, avant la date du mariage.]
– Tout était PREMEDITE, affirme Maëlys.
Elle le connaissait déjà et s’en souvenait.
Elle l’avait déjà vu et il avait déjà tenté de parler avec elle.
Et c’est pour ça que le lavage de la voiture était PREMEDITE sous prétexte de vente de son véhicule.
Tout avait été étudié pour que l’enlèvement se déroule sans que Nordahl LELANDAIS puisse être incriminé.
Maëlys l’affirme.
L’enlèvement :
C’était d’abord comme un jeu.
[Ca, je l’ai toujours écrit.]
Comme se cacher dans la cabane.
[En effet, il y a longtemps, dans les premiers temps de l’affaire, je l’ai écrit, ce jeu de cache-cache avec Nordahl LELANDAIS, le “dragueur” qui lui demandait de l’attendre, cachée dans une cabane, pendant que tout le monde la chercherait.
Je l’ai écrit sur Twitter lorsque j’échangeais des hypothèses sur cet enlèvement avec un radiesthésiste vivant en Belgique qui affirmait, lui, que Maëlys avait été tuée quasi immédiatement dans la salle des fêtes.
Moi, je voyais une cabane, avec Maëlys cachée à l’intérieur, attendant le retour de Nordahl LELANDAIS.]
Avant d’abandonner le corps de la petite fille dans une zone montagneuse sur la commune d’Attignat-Oncin, Nordahl Lelandais dit avoir dans un premier temps caché la dépouille de sa victimedans une cabane près du domicile de ses parents, à Domessin, en Savoir. Ces deux endroits vont être scrupuleusement quadrillés, scrutés et analysés notamment pour essayer de trouver le lieu où a été tuée Maëlys le 27 août dernier.
Maëlys, au départ, était consentante, ce qui la culpabilise beaucoup.
Maëlys demande pardon !, pardon à ses parents d’abord, de ne pas les avoir écoutés.
Mais surtout, la petite fille a du mal à se pardonner à elle-même sa “complicité” avec le… ?
Est-ce Nordahl LELANDAIS qui a tué Maëlys ?
Je ne peux pas écrire le “meurtrier”.
Même si Nordahl LELENDAIS dit l’avoir tué, lui-même, “par accident”.
Maëlys rechigne sur ce terme.
Elle préfère “assassin”.
Pas de fausse joie pour les défenseurs de tueurs d’enfants !
Pour faire peur à ses parents, être recherchée, jouer !, elle a accepté de partir avec Nordahl LELANDAIS.
Il ne l’a pas enlevée.
Elle voulait jouer.
Elle était d’accord.
Oui, jouer…, c’était un jeu, un simple jeu.
Après, il devait la ramener, peut-être ou pas, sauf s’il l’épousait.
Cependant, elle a des circonstances atténuantes :
– Nordahl LELANDAIS n’était pas tout à fait un étranger pour elle [voir supra].
Maëlys reprochait à ses parents de ne pas assez s’occuper d’elle durant cette trop longue soirée.
Elle s’ennuyait… “à mourir”.
[Le “jeu” de mots morbide vient de Maëlys elle-même,
qui se moque d’elle avec une certaine lucidité
et regrette tant sa bêtise que vous ne pouvez pas l’imaginer !]
Maëlys s’en veut beaucoup. Elle croyait que quelqu’un qui aime les animaux, et surtout les chiens, ne pouvait pas faire de mal à quelqu’un d’autre.
Et puis, c’est si beau, un mariage !
C’est le rêve d’une petite fille déjà habillée en blanc, déjà prête à aimer l’homme de sa vie.
Car son nouveau copain lui affirmait que, lui, il l’aimait vraiment et qu’il serait toujours là pour elle. Il était devenu son amour secret, eux qui, tous les deux, avaient un autre secret en partage, l’amour des chiens.
[D’où la possibilité de cette rencontre antérieure, avant l’enlèvement, tant l’attachement de Maëlys à Nordahl LELANDAIS était “profond”.]
– Il serait, pour elle seule, l’amour de sa vie, pensait-elle.
Maëlys n’aime pas employer ces mots “nunuche”, mais c’est elle qui “me souffle” cette expression “nunuche” :
– Comme un “Prince Charmant”, son “Prince Charmant”.
– Elle ne serait plus jamais seule à attendre qu’on l’aime, m’explique-t-elle.
[J’ai déjà écrit ce “ressenti” dans un échange sur Twitter avec un radiesthésiste vivant en Belgique.
Et, lors de cette conversation, nos hypothèses étaient adressées aussi à un co-destinataire, un “casque bleu”, un observateur neutre :
– @gendarmerie sur Twitter.
Durant cet échange sur Twitter, j’avais ainsi évoqué “l’affaire des disparus de Mourmelon” où, à cette époque, un autre radiesthésiste avait permis de localiser dans les bois, selon lui, les corps des jeunes gens recherchés par la Gendarmerie.
Aussi, sur Twitter, je proposais au radiesthésiste “belge” de procéder comme l’autre radiesthésiste qui, lui, consultait à l’époque dans la ville de Troyes, à l’aide d’une carte routière et de son pendule pour trouver où était Maëlys.
Mais le radiesthésiste belge disait rester “bloqué” sur la “salle des fêtes”, avait-il écrit,
ce qui fondait sa certitude que Maëlys avait été tuée quasiment de suite à cet endroit.
Je ne partageais pas son avis et voyais Maëlys attendre dans une cabane, participant à un jeu dangereux qui n’était pour elle qu’un jeu de cache-cache.
L’affaire des “disparus de Mourmelon” “me hantait”, sans pouvoir donner de raison à cette “obsession” et je ne cessais pas d’évoquer cette affaire lors de cet échange ECRIT sur Twitter.
Je revoyais en boucle les jeunes pris “en stop” par l’adjudant Pierre CHANAL qui s’est suicidé par la suite.
L’Etat français a été condamné pour faute lourde dans cette affaire.
Et alors ?
Rien.
Aucune leçon n’en a été tirée et, comme d’habitude, personne n’a été sanctionnée, même administrativement, malgré les énormes bourdes accumulées dans cette autre affaire de disparition.
Aujourd’hui l’affaire Arthur NOYER rappelle effectivement l’affaire des “disparus de Mourmelon”, surtout si d’autres jeunes gens ont été en contact proche avec Nordhal LELANDAIS peu de temps avant leur disparition.]
Et aujourd’hui, acculé par les preuves accumulées, Nordahl LELANDAIS “menace” de se suicider.
En fait, par “télépathie”,
si je ne suis pas folle,
– je dirais et j’écris que Nordahl LELANDAIS a prétendu vouloir se suicider pour ne pas être “suicidé” par d’autres prisonniers.
Ses aveux font de lui un “tueur d’enfants” et, en prison, ceux que vous considérez, vous, comme des rebuts de la société, ont une morale bien plus dure que la vôtre avec les tueurs d’enfants :
– ils considèrent que tuer un enfant ne peut être puni que par la même peine, la peine de mort !
Qui l’ignore ?
Et d’ailleurs qui leur donnera tort parmi vous, vous qui vous pensez parfois être supérieurs à eux ?
Avouez que beaucoup d’entre vous pensent de la même manière, de manière identique.
Eux, ces prisonniers de l’ombre, qui sont si souvent condamnés plus durement pour un vol alimentaire que d’autres, des “cols blancs”, ne le sont pour des vols de sommes d’argent bien supérieures en numéraires ou sur des comptes bancaires,
eux, les délinquants de la rue, ont leur “morale” !
Et leur sens moral n’est pas “dépravé” par le luxe et la luxure comme les gens de la “haute société” qui n’en ont pas, eux, de morale.
Donc Nordahl LELANDAIS “feint”.
Comme à son habitude !
Il a été “encouragé” à le faire, à feindre la dépression, pour tenter d’apitoyer la presse d’abord, les jurés ensuite et parvenir à les convaincre qu’il est un garçon “sensible” :
– pas le “monstre de cruauté” que voudraient décrire certains médias,
– pas non plus un “psychopathe” antipathique distillant à doses homéopathiques sa vérité pour échapper à la réclusion perpétuelle.
Je l’écris selon ce que je “reçois” de lui,
pas ce que je “perçois”.
De plus, s’il se tait,
aucune preuve tangible n’étant apportée d’une VOLONTE de sa part de tuer Maëlys,
il sait qu’il pourra échapper à la prison à perpétuité.
[Je viens de découvrir, sur le journal Point, la publication d’un article qui défend le silence de Nordahl LELANDAIS et le système de défense adopté par lui-même et son avocat,
ne parler qu’en cas de découverte d’un indice probant car concordant,
sinon se taire !
Autrement dit ne pas concourir à la RECHERCHE de la VERITE.
Cet article du Point explique que le droit “maçonnique” pénal en France autorise les mensonges,
tous les mensonges,
dont le mensonge par omission, le silence du mis en cause,
qu’importe la souffrance des familles des victimes
et des victimes elles-mêmes, si elles sont encore en vie !
Par contre, si une vraie VICTIME dépose plainte contre un-e “mis(e)-en-cause”, il suffit que l’instruction démontre,
instruction diligentée par des magistrats “fraternellement” liés à la bande des coquins,
instruction diligentée de plus en plus contre des victimes vulnérables
ayant pour aboutissement le classement sans suite de la plainte de la victime
et, si saisine d’un-e juge d’instruction avec constitution de partie civile, ayant aussi pour aboutissement la notification d’une ordonnance de non-lieu,
que le VRAI COUPABLE est “innocent” sur la base de faux témoignages et de faux documents AUTORISES par la Justice !?, qui plus est !,
pour que le VRAI coupable puisse DEPOSER PLAINTE contre la VICTIME.
Ah enfin, le 20 mars 2018, j’ai retrouvé le gendarme, le héros de la petite fille, dont Maëlys m’envoyait l’image avec force et qu’elle voulait voir figurer dans “son” article,
[ Après près de 20 ans d’enquête, la vérité éclate enfin : Emile Louis avoue avoir tué 7 jeunes femmes, mettant fin à la tristement célèbre affaire des ” Disparues de l’Yonne “. S’il a fallu près de 20 ans aux enquêteurs pour confondre le chauffeur de bus, un homme, l’adjudant Christian Jambert, était convaincu de la culpabilité d’Emile Louis et ce dès le début des années 80. Christian Jambert décède en 1997, bien avant la conclusion officielle de l’enquête et l’on conclut rapidement à un suicide. Mais sa fille refuse cette conclusion et plusieurs autopsies seront pratiquées, les résultats restant flous. Aujourd’hui, l’affaire est toujours en cours d’instruction pour assassinat.]
Un des seuls réseaux avec de belles connexions parmi les VIP qui a falli être révélé est celui de l’Yonne, auquel on doit diverses disparitions, dont certaines sont encore ignorées de tous. On a pris soin dans cette affaire, comme dans beaucoup d’autres, de protéger ceux qui avaient le pouvoir, ceux qui devaient rester planqués.➤➤➤ http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/10/13/28201550.html
Le gendarme JAMBERT [qui me fait remarquer qu’un nom propre prend une majuscule au début, et non pas sur l’ensemble des lettres du nom, de son nom] lance un appel à ses “compagnons d’armes” :
“Il est temps d’arrêter ceux qui se prennent pour des aristocrates, cette caste privilégiée qui échappe à la Justice française !
Même Gilles de RAIS, héros de guerre, Maréchal de France, ex-compagnon de Jeanne d’Arc, a été condamné à mort pour pédophilie, tout Seigneur qu’il était à son époque”, me demande-t-il d’écrire.
“Cette référence historique, rajoute le gendarme Christian JAMBERT, devrait nous faire réfléchir sur ce qu’est devenue la République française, incapable de rendre justice aux pauvres de son pays, la France. [Je rappelle que les victimes du pédocriminel Emile LOUIS étaient des jeunes filles mineures, handicapées mentales, placées dans un foyer.]
Mais, pour Maëlys, c’est aussi une manière de prévenir les gendarmes qui enquêtent sur son affaire, de me présenter le gendarme Christian JAMBERT qui a aussi une fille.
“Tout sera fait pour que l’affaire s’arrête à l’arrestation du “rabatteur, tout“, avertit le gendarme JAMBERT. “Ils” ont trop peur que vous [ses collègues, les gendarmes] “remontiez” les réseaux de pédophilie !”
Qui paie les honoraires de l’avocat de Nordahl LELANDAIS, Maître Alain JAKUBOWICZ ? J’attends toujours de connaître la réponse.
Ainsi, se voit PUBLIQUEMENT l’effet pervers et logique des MENSONGES dans une procédure judiciaire,
mensonges couverts par des auxiliaires de justice,
des avocats.
Le VRAI COUPABLE peut à son tour déposer plainte contre sa VRAIE VICTIME pour DENONCIATION CALOMNIEUSE,
laquelle victime devient DOUBLEMENT VICTIME,
victime d’un COUPABLE, innocenté injustement, qui poursuit sa propre victime en justice,
victime qui devient doublement VICTIME de la Justice française qui lui a refusé Justice pour protéger un coupable et autoriser le COUPABLE, de manière inique et cynique, à faire taire définitivement la VRAIE victime,
ce qui est un DENI de JUSTICE.
C’est en France, c’était en 2013, c’était hier ! Trois jeunes femmes kurdes sont mortes assassinées sous les balles d’un ou plusieurs tueurs dans le quartier de la Gare du Nord. Elles se croyaient “protégées” en France.
Ainsi fonctionne actuellement la Justice française sur un DENI de JUSTICE profitant aux riches COUPABLES, ou aux COUPABLES appartenant à des réseaux pédo-maçonnico-mafieux qui ont les moyens de se payer des avocats “véreux”,
dits “auxiliaires de justice”
avocats “im-moralement” prêts à tout pour faire innocenter des COUPABLES,
prêts à sacrifier la VERITE et les victimes de ces mensonges.
La Justice française actuellement est bâtie sur un tissu de mensonges qui profite à une caste sociale bien en place.
Ce dépôt de plainte pour DENONCIATION CALOMNIEUSE d’un-e VRAI-e coupable contre son ex-victime, devenue très vulnérable, est l’arme de la “bande des coquins” avec un effet boomerang à l’efficacité mortelle contre des victimes sans défense,
déjà “cassées” par tout ce qu’elles ont subi.
Ce VRAI coupable, non seulement échappera à la Justice, mais il pourra faire aussi CONDAMNER sa victime pour avoir osé s’être attaqué à lui,
lui qui est devenu encore plus puissant, car réputé “être innocent”.
C’est un système judiciaire, en VERITE, MAFIEUX.
Le VRAI coupable aura utilisé tous les expédients AUTORISES par le droit français pour échapper à la Justice,
avec l’appui de ce système d'”in-Justice”
cette fausse Justice maçonnique qui finit par FAIRE CONDAMNER la victime d’un VRAI coupable
pour avoir osé déposer plainte contre un coupable menteur et dissimulateur.
Nous retrouvons ici la preuve de l’inversion maçonnique des valeurs morales et juridiques,
cette inversion qui fait du Bien le Mal et du Mal le Bien,
dans un monde diabolique où n’existent plus ni bien ni mal
un monde sans dieu.
De qui les parlementaires, pouvoir législatif, et les juges, pouvoir judiciaire, se moquent-ils en France ?
Des VICTIMES.
C’est un DENI de JUSTICE pour les victimes en France.
Sur l’article du journal en ligne le POINT, je découvre aussi que Nordahl LELANDAIS doit être entendu AUJOURD’HUI par les juges d’instruction, le 19 mars 2018 !
Un hasard ?
Les “visites” de Maëlys, présente depuis au moins la semaine dernière, s’expliquent.
Je sais maintenant pourquoila “petite Princesse” voulait que je rédige cet article à tout prix, malgré mes doutes, et dans l’urgence.
C’est une preuve de plus d’une “communication” post-mortem qui ne doit rien au “hasard” puisque Maëlys suit son affaire et la procédure judiciaire avec beaucoup d’attention, elle aussi.
Sa maman a raison !, la maman de Maëlys.
Maëlys ne laissera pas faire une justice qui n’est qu’injustice en France,
car c’est une justice maçonnique conçue pour défendre les coupables CONTRE leurs victimes.
Je mets en ligne l’article du Point publié ce jour, le 19 mars 2018, article du Point qui est peut-être à l’origine de mon article du 18 mars, puisque les révélations de Maëlys le précèdent d’un jour, grâce à l’insistance pressante de COLUCHE,
article publié le 18 mars 2018 à la demande de Maëlys, pour pouvoir faire entendre la “voix de la petite VICTIME”, sa VERITE à elle,
et dénoncer justement le silence de Nordhal LELANDAIS
et les stratagèmes de son avocat pour lui permettre d’échapper à la Justice “humaine”.
Le “hasard”, le dieu des Francs-Maçons qui ne savent rien et ne voient pas l’avenir, a voulu que :
mon article “CROIX-se” l’article du Point qui met en exergue pudiquement et prudemment
les contradictions d’une Justice française qui travaille avec des “auxiliaires de justice“, des avocats, pour concourir tous ensemble à la recherche de la VERITE
mais autorise ces mêmes avocats à utiliser tous les moyens, fussent-ils les plus immoraux !, pour faire innocenter des coupables,
fussent-ils aussi, dans le cas présent, des “tueurs d’enfants” !
Et des dealers,
n’est-ce pas Maître Alain JAKUBOWICZ qui prétendiez ne jamais vouloir défendre ni un dealer ni un tueur d’enfants ?!
La Belgique, une petite France, la France, une grande Belgique !
Au fait, rappelez-moi !, qui paie les frais d’avocat, du très “cher” avocat, Alain JAKUBOWICZ,
dont on sait de lui qu’étant un avocat franc-maçon réputé, Maître JAKUBOWICZ ne travaille pas “gratuitement” pour défendre la Veuve et l’orphelin,
ainsi que la plupart des autres avocats, “fils de la Veuve”, avides de pouvoir et d’argent !
[Affaire Maëlys : le droit au silence coûte que coûte ?
Nordahl Lelandais a attendu d’être confronté à des preuves irréfutables avant d’avouer partiellement. Une attitude défendue par son avocat.
Source AFP
Modifié le – Publié le | Le Point.fr
Nordahl Lelandais a rendez-vous ce lundi avec les juges : en dira-t-il plus sur la mort de Maëlys, lui qui n’a avoué qu’en étant confronté à des preuves irréfutables ? Les parties civiles en doutent. Elles fustigent depuis le début de l’affaire son attitude, qui ravive le débat sur les droits et le rôle de la défense. « Qu’on ne vienne pas nous dire que le mis en cause œuvre à la manifestation de la vérité », a lancé le 8 mars Me Fabien Rajon, l’avocat des parents de la fillette, reprochant au conseil du suspect, Me Alain Jakubowicz, de l’avoir soutenu dans ses dénégations.
« En mentant à tout le monde, il m’a menti à moi aussi », s’est justifié ce dernier après le revirement de son client et la découverte du corps de l’enfant, tout en soulignant que ce n’était pas un délit : Nordahl Lelandais avait le droit d’« exprimer une vérité qui s’est avérée inexacte », a dit Me Jakubowicz. Une position « inacceptable » face à la douleur des parents, rétorquent les parties civiles, pour qui la famille de Maëlys a été « prise en otage » durant six mois par la défense alors que le dossier aurait dû l’inciter à « coopérer ».
La vérité n’est pas leur souci premier.
Mais est-ce là son rôle ? « Pas du tout, cela ne ressort d’aucun texte. C’est le devoir du juge de découvrir la vérité ; celui de l’avocat est de défendre son client. Ce qui n’empêche pas de l’inciter à avouer quand les preuves sont là », répond à l’AFP Me François Saint-Pierre, pénaliste lyonnais connu notamment pour avoir défendu Maurice Agnelet dans l’affaire Agnès Le Roux. Le mot « vérité » ne figure en effet ni dans le décret du 12 juillet 2005 relatif aux règles de déontologie de l’avocat, ni dans le règlement intérieur national de la profession, pas plus que dans le serment prêté par ses membres.
Les pénalistes le reconnaissent : ils « disent tous qu’elle n’est pas leur souci premier », constate Edwige Rude-Antoine, directrice de recherche au CNRS (Centre national de la recherche scientifique), qui a suivi de nombreuses robes noires dans les prétoires de l’Hexagone, plusieurs années durant, pour son livre L’Éthique de l’avocat pénaliste, paru en 2014. Beaucoup d’entre eux estiment qu’il vaut même mieux « avoir un doute sur la culpabilité », souligne cette juriste : pour bâtir sa défense, l’avocat s’interroge sur « la crédibilité de la parole de son client » par rapport aux éléments du dossier, à charge et à décharge ; il est « à la recherche du vraisemblable » et « libre de discuter les preuves adverses ».
[…]]
Mais le silence de Nordahl LELANDAIS prouve au contraire son indifférence totale et fatale envers ses victimes et l’entourage de ses victimes.
Cependant, je n’ai pas de Maëlys que ce serait lui seul le coupable ?
Car la petite fille n’est pas en accord avec cette écriture : “le crime qu’il a commis”.
Dois-je comprendre qu’il y avait ou qu’il y aurait un complice ?
– “Oui”, me dit Maëlys, sans vouloir ou pouvoir m’en dire plus.
Je continue sur ma lancée sur la psychologie de Nordahl LELANDAIS.
Son insensibilité par rapport au chagrin immense des parents de Maëlys,
parents qu’il a laissé vivre dans la torture du silence et des jours qui passaient sans nouvelles de leur enfant
me fait fortement douter de la “fragilité” psychologique de Nordahl LELANDAIS.
Si Nordahl LELANDAIS était doux et gentil, il “craquerait”, fondrait en larmes, le corps secoué de vrais sanglots d’homme trouvant abominable son acte.
Et donc, se repentant publiquement, il soulagerait sa conscience en décrivant ce qui s’est passé avec Maëlys.
Il serait horrifié par la mort “accidentelle” de cette enfant et expliquerait, accablé par son geste, comment et pourquoi ce ne fut qu'”un accident”.
Là aussi, Maëlys n’est pas d’accord avec mon écriture.
Elle réfute “l’accident”, la thèse de l’accident.
J’en profite pour tenter d’avancer,
ou plutôt reculer dans le temps,
ce temps si pesant pour elle de cette fuite, car elle fuyait avant de mourir.
– “Non, maintient Maëlys, ce n’était pas un accident.”
L’enfant ne sait pas quand elle est morte.
C’était :
– “Cours, Maëlys !”
Avec des rires gras.
C’était :
– “On va t’avoir, petit animal”.
Pour Maëlys, Nordahl LELANDAIS n’était pas seul.
Et elle refuse de me dire qui lui a donné le coup de poing au visage, mais, par moments, je distingue, me semble-t-il, la tête de Nordahl, l’homme de sa vie, penché au-dessus du corps de la petite fille et la tirant violemment par le bras pour l’obliger à se mettre à genoux,
une fois que celle-ci est tombée à terre du lit où elle était assise.
Ce lit d’où elle venait de…
Comment l’écrire ?,
– avoir sa “nuit de noces”.
[Attention, les défunts ne sont pas des “saints” ni des “dieux tout-puissants”.
Ce que je veux dire, c’est qu’ils peuvent ne pas tout dire, mentir par omission pour se protéger ou protéger même un salaud ou une salope qu’ils aiment encore,
– ou tout simplement ne pas savoir ce qui s’est réellement passé et ne pas pouvoir décrire, sauf à leur manière, par “reconstruction de souvenirs fictifs”, une scène qui pourra s’expliquer “rationnellement” tout à fait autrement.
Ainsi quelqu’un qui est noyé dans vingt centimètres de hauteur d’eau, l’eau d’une mare, après avoir été assommé, ne pourra JAMAIS vous dire qui l’a tué. Pas encore mort, s’il a été inconscient avant sa mort, il “reconstituera” une histoire de sa mort, comme vous-même pourriez le faire, à l’aide des informations qui lui sont données ou qu’il a trouvées. Il pourra prétendre que celui qui l’a assommé est son assassin, ce qui paraît logique pour lui mais peut être absolument faux.
Les gens crédules qui font la “table tournante” en demandant aux morts de leur dire la vérité sur tout et rien sont stupides. Les morts sont des “vivants”, comme vous et moi. Ils ne savent pas tout.
Et si vous “tombez” sur tante Germaine qui sait tout et connaît même l’avenir, soyez sûr que… ce n’est pas un “fantôme”, l’esprit d’un être humain, mais plutôt un “aimable” diablotin qui fait tout pour se faire “aimer” de vous. Jusqu’au jour où… tante Germaine fera tout pour vous faire peur !, par jeu. Car les démons sont très joueurs, au début, surtout avec vos peurs. Et il est vrai que le Diable, notre Accusateur devant Dieu, connaît tout de nous. Donc, lui, “l’esprit” de papy Mougeot ou de tante Germaine, il sait et peut répondre sur tout, sans oublier que, pour jouer, il pourra mentir ensuite sur tout,
jamais sur le passé, votre passé qu’il connaît si bien,
mais mentir sur votre avenir pour vous manipuler et vous pousser à commettre des erreurs.
Vous ne serez plus libres de vivre votre vie, de “choisir” votre voie, vous serez “sous emprise”.]
Allison BENITEZ, “l’ange-guide” de Maëlys, l’a affirmé, la première, et le Seigneur me l’avait confirmé.
Il faut TROUVER la vidéo, peut-être copiée sur une clef USB.
Dans un coffre de voiture ?
Pas celle de Nordahl LELANDAIS.
Peu à peu, les informations que j’avais reçues, trouvent “sens” :
– l’affaire des “disparus de Mourmelon” avec la disparition d’Arthur NOYER et d’autres jeunes gens,
– ainsi que les réseaux de pédophilie puisque des preuves de consultations de sites pédophiles ont été retrouvées sur le disque dur de l’ordinateur de Nordahl LELANDAIS.
Il faut aussi tracer les mouvements bancaires suspects, en dépassant la simple sphère familiale.
Le complice peut être étranger à la famille.
“Les complices”,
car le pluriel n’est pas à exclure.
Même si et surtout si Nordahl LELANDAIS se terre dans son silence et s’enferre dans sa défense doublement “suicidaire”.
Ce qu’il ignore, malgré toutes les promesses qui lui ont été faites, s’il ne parlait pas,
ce qu’il ignore,
c’est qu’il sera perdant,
le seul perdant dans cette affaire sordide.
Moi, je maintiens que Nordahl LELANDAIS a joué à un jeu sexuel avec Maëlys, un faux mariage qui a mal tourné,
après un jeu de cache-cache qui devait emporter l’adhésion de la fillette à son propre enlèvement.
Un jeu qui ne pouvait que mal tourner.
Je maintiens qu’une vidéo a été tournée lors de cette partie de “touche-touche” et de “tourne-fesses”
et que cette vidéo est actuellement en vente sur des réseaux spécialisés
même si le réseau de diffusion, genre “Société DEFI” de Rivesaltes, village proche de Perpignan,
société qui avait servi dans l’affaire DUTROUX à vendre des “snuff-movies”,
même si ce réseau de diffusion, cette société de diffusion ne sont pas “encore” connus des enquêteurs mais “ça ne saurait tarder”, selon le Seigneur.
Le lanceur d’alerte, Marcel VERVLOESEM, est en prison mais les pédophiles, eux, continuent leur “commerce” lucratif et morbide.
Sans que je puisse savoir pourquoi, sur la fin…, je voyais avec entêtement,
Maëlys “déguisé” en petit garçon, cheveux coupés court, habillé comme un travesti.
Etait-ce le fantasme de Nordahl LELANDAIS ?,
un petit garçon.
Cette image n’a pas cessé de me “hanter” pendant quelques semaines.
A l’époque, la presse n’avait pas éventé les liens de Nordahl LELANDAIS avec des sites de rencontres homosexuelles.
Aujourd’hui, j’avoue que je me trouve “moins folle” d’avoir capté ces images de Maëlys déguisée en petit garçon, vision qui s’imposait à moi, jusqu’à être réveillée le matin avec la “photo” de ce “petit garçon”, ressemblant tellement à Maëlys !
Mais qui serait-ce ?
Je ne dis pas que c’est ce petit garçon qui est une autre victime. Lui est mannequin professionnel. C’est juste une “image” approchante de ma vision.
Allison BENITEZ est venue me le demander aussi, en me montrant ce qui se allait se passer si je ne l’écrivais pas.
Mais peut-être ne pourrons-nous pas l’éviter ?, même si je l’écris “avant”.
Allison suit aussi l’affaire, elle piste les “chercheurs de vérité”, elle survole les scènes de crime, visite les cellules de prison et les bureaux des avocats.
Elle veut SAVOIR.
Comme les gendarmes qui recherchent la VERITE.
Pas seulement un “coupable”.
Connaître la VERITE.
Car le “coupable” va se suicider.
Lui, il pense que “non”.
Moi, j’écris que “oui”.
Ce suicide ne sera pas “VOLONTAIRE”.
Et si je l’écris, c’est pour l’éviter.
C’est là qu’Allison intervient.
Elle est allée chercher dans la tête de ceux qui ont peur que leurs projets criminels soient découverts et qui veulent rester “cachés”.
Quitte à faire mourir d’autres innocents !
Et c’est Allison elle-même qui prévient aussi de ce “faux suicide” à venir,
comme dans l’affaire de son père, “retrouvé” pendu à la rambarde d’une fenêtre de la caserne des Légionnaires, une cagoule noire sur la tête !
Un commentaire de légionnaire, suffisamment explicite sur cette pendaison, avait été publié dans un journal local, commentaire non relevé par le Parquet de Perpignan, semble-t-il :
– “Justice a été faite par la Légion. L’honneur de la Légion Etrangère a été lavé dans le sang, comme c’est d’usage. La famille, c’est sacré pour les Légionnaires.”
Mais qui a enquêté sur le “suicide” de Francisco BENITEZ dont le corps a été incinéré RAPIDEMENT ?
Personne.
– “Mon père ne se serait JAMAIS suicidé dans des “sanitaires”, quelle honte !, affirme Allison. Il aurait choisi un endroit “propre et beau” lui faisant “honneur”.
Et la cagoule noire, c’est la “cagoule/preuve” d’une EXECUTION à la mode franquiste.”
[Les mots “cagoule/preuve” se bousculent et se chevauchent dans ma tête comme si Allison ne pouvait pas choisir ou m’envoyait avec FORCE sa conviction.]
Allison m’a demandé de mettre en ligne au moins un article prouvant ce fait, un simulacre d’exécution à la franquiste qui n’avait pas échappé à des journalistes “intelligents”.
[Avec l’accord d’Allison, j’ai choisi un article du journal gratuit “20 mm” parce que ce journal met souvent le doigt sur ce qui pose question,
sur ce qui est “le problème”.
Le mépris de ce siècle, “siècle des marchands”, pour tout ce qui est gratuit provoque le dédain des “bobos” et des “intellos” envers ce journal GRATUIT parce qu’ils craignent la clarté de langage et la simplicité de la VERITE.
Il faut beaucoup de talent pour dire en peu de mots “l’essentiel”, l’essence de la Vie.]
– “Comment n’avez-vous pas pu voir une telle EVIDENCE ?, s’interroge Allison. La cagoule, c’est la cagoule du condamné à mort en Espagne. Or Francisco BENITEZ, mon père, ce salaud, est un Espagnol.”
[Allison prononce le nom de son père, Francisco BENITEZ, dit “Paco” “à l’espagnol”, comme si elle l’imitait encore, allant jusqu’à mimer son comportement martial, buste avantageux et sourire de séducteur prédateur. ]
Disparues de Perpignan: La macabre mise en scène du suicide de Francisco Benitez
FAITS DIVERS – Le légionnaire ne s’est pas suicidé discrètement, à l’abri des regards…
W. M.
Publié le 13/09/13 à 00h00 — Mis à jour le 29/01/14 à 15h07
[ Selon un policier, dont les propos sont rapportés par le quotidien régional, «il a accroché une corde avec un mousqueton à la rambarde d’une fenêtre du premier étage, donnant sur la cour intérieure de la caserne, il a recouvert sa tête d’un foulard sombre, qui lui masquait le visage, du front au menton. […] Et puis il s’est jeté dans le vide, à travers la fenêtre».
Exécution publique
Les policiers en charge de l’enquête s’interrogent. Pourquoi cette mise en scène théâtrale? Cette dernière rappelle la mise à mort publique, telle qu’elle était pratiquée sous l’Espagne franquiste jusqu’en 1974, caché sous une cagoule à l’aide d’un garrot. Références à un passé caché?
Midi Libre explique que les légionnaires entendus dans le cadre de cette enquête «semblent avoir été peu loquaces face aux policiers». A-t-il bénéficié de l’aide d’un complice pour cacher les corps, toujours introuvables? Les enquêteurs ne l’excluent pas.
Quoi qu’il en soit, les questions autour de cette macabre mise en scène restent sans réponse.]
De même que l’on ignore “publiquement” le nom de la juge d’instruction qui s’est distinguée par sa “compétence” sur ce dossier.
Vous noterez en effet que, contrairement à toutes les affaires judiciaires “rapportées” par la presse, la juge d’instruction n’est pas nommée.
Cette incompétence pourrait-elle expliquer l’acharnement judiciaire de certain-e-s juges d’instruction du Palais de “l’in-Justice” de Perpignan à vouloir me faire condamner dans des affaires ubuesques !,
pour assistance syndicale apportée à des agents vulnérables et sans défense,
contre des chefs de service, eux très protégés, à la fois “fraternellement et politiquement” ?
A Perpignan, c’est un crime d’Etat pour ces magistrats
que de s’opposer “aux chasses des Comtes Zaroff”
in english, “The most dangerous game”,
loisirs très prisés par certains chefs de service qui doivent s’ennuyer dans le lointain département des Pyrénées-Orientales !
A défaut de traquer les dealers, les voleurs et les violeurs, ces “Maîtres” si “grands” chassent le gibier local sur leurs terres, celles de la Police Nationale.
De temps en temps, abattre un agent de la Police Nationale, for the fun,
ça remotive les troupes !,
à défaut de savoir les gérer par la motivation de la recherche de la VERITE
et par un esprit de corps qui soude la troupe dans les épreuves les plus dures.
La Police Nationale n’est pas “militaire”, c’est sûr.
Elle est devenue l’antichambre des Loges maçonniques et sert les intérêts particuliers des copains de la bande de coquins qui dirigent ce pays.
Je rajoute un autre article d’un journal LIBRE, le “Midi Libre”, le si bien-nommé,
puisqu’un courageux journaliste OSE rappeler
que le Parquet de Perpignan AVAIT MENTI sciemment
sur la mise à mort de Francisco BENITEZ,
en prétendant que le Légionnaire se serait suicidé dans des toilettes de la caserne “private closet”.
D’où les protestations d’Allison BENITEZ qui affirme que son père était un maniaque de la propreté et qu’il n’aurait pas supporté de mourir dans un pareil endroit.
Ma conviction est la suivante
et je la maintiens car je l’ai “reçue” “avec une certaine violence” comme telle :
– Francisco BENITEZ devait “se suicider” pour l’honneur de la Légion Etrangère.
En clair, pour parler sans hypocrisie, la Légion Etrangère savait.
Elle a lavé son linge sale “en famille” parce que, dans la Légion Etrangère,
“la famille, c’est sacré”, comme l’avait écrit un Légionnaire dans un commentaire.
Vous noterez d’ailleurs, à la suite de cet article, que les commentaires sont non seulement fermés aujourd’hui à l’ajout d’autres commentaires, ce qui est normal, mais que les commentaires publiés ne sont plus “lisibles”, pas accessibles à la lecture.
La Légion Etrangère a voulu faire passer un message :
– Justice a été rendue !
Les Légionnaires ont vengé Allison et sa maman, en exécutant le coupable qui était pourtant l’un des leurs,
et parce que Francisco BENITEZ était un des leurs.
Le Palais de Perpignan avait failli, ce “Palais de l’in-Justice” où les coupables sont protégés s’ils sont copains avec la bande de coquins locale et nationale.
La vidéo, avec un Francisco BENITEZ en larmes, a été tournée juste avant son suicide pour cautionner le futur “geste de désespoir” du Légionnaire.
Et si le père de famille meurtrier était en larmes dans cette vidéo, c’est parce qu’il se savait condamné à mourir
par les siens, sa famille,
son autre et seule famille, la Légion Etrangère.
Si Francisco BENITEZ avait été innocent, il aurait remué ciel et terre pour retrouver sa fille chérie, Allison.
Un père ne se suicide pas quand sa fille unique disparaît !
Et un père éploré n’invite pas sa maîtresse espagnole dans l’appartement où il vient de tuer son épouse, la mère de sa fille unique, Marie-José et sa fille unique, Allison. Laquelle maîtresse témoignera par la suite, comme certains voisins, de la prégnance d’odeurs répugnante, “d’odeurs de cadavres”. Francisco BENITEZ lui aurait répondu qu’il devait s’agir de rats morts dont les corps pourrissaient dans les canalisations du petit immeuble.
Je rajoute un lien vers un autre article d’un journal connu pour son sérieux, l’Express,
prouvant qu’une semaine à peine après avoir tué son épouse et sa fille,
Francisco BENITEZ copulait gaiement avec sa maîtresse espagnole
sur le lieu même de ses deux crimes, l’appartement familial à Perpignan.
[ Perpignan – Un an après leur disparition le 14 juillet 2013 à Perpignan, Allison Benitez, 19 ans, et sa mère Marie-Josée 53 ans, demeurent introuvables. Les pistes pour retrouver leurs corps se raréfient.
Ainsi, les enquêteurs ont pu déterminer que la maîtresse de Benitez au moment des faits, une Espagnole installée à Barcelone, s’était rendue à Perpignan une semaine après la disparition d’Allison et Marie-Josée et qu’elle y avait rencontré le légionnaire. […]]
Francisco BENITEZ, dès le départ de l’affaire, n’a pas arrêté de mentir,
inventant cyniquement la “fugue” d’Allison à Toulouse avec sa maman, son ex-épouse
alors qu’il venait de les tuer, toutes les deux.
Le veuf éploré versait des larmes sur son futur sort peu enviable.
La lettre d’adieu a été écrite sous contrainte pour la même raison que la vidéo a été diffusée :
– faire croire au suicide POUR QUE LES INVESTIGATIONS S’ARRETENT !
Ne pas salir l’honneur de la Légion Etrangère,
mais peut-être pas seulement.
Et toutes les émissions télévisées sur l’affaire Francisco BENITEZ reprennent, comme les “médias imbéciles”, la version du “suicide”.
Posez-vous la question de savoir pourquoi le Parquet de Perpignan A MENTI sur le lieu du suicide et les modalités d’une mise à mort singulière ?
Parce que le mode d’exécution est CLAIREMENT, comme l’affirme Allison, une condamnation à mort par pendaison ou garrotage.
Au moment du lever du drapeau, vers 06H00 du matin,
[information donnée par Allison et retrouvée dans un journal anglais qui lançait un appel à témoins],
la Légion Etrangère a rendu VOLONTAIREMENT cette exécution PUBLIQUE pour que les habitants de Perpignan sachent que justice avait été rendue à la mère de famille et à sa fille.
D’ailleurs des témoins sur place ont raconté avoir été choqués par le spectacle macabre de ce pendu qui se balançait au bout d’une corde contre un mur de la caserne militaire, alors que la caserne de la Légion Etrangère se trouve à proximité immédiate d’un établissement public d’enseignement du secondaire, un collège.
Pourquoi le corps de Francisco BENITEZ a-t-il été incinéré aussi rapidement ?
Et si, aujourd’hui, il m’est demandé par Allison, victime d’un père “suicidé”
– et par la courageuse petite Maëlys qui veut protéger le gendarme qui ressemble à son papa,
de rappeler et “revenir” sur ces “suicides” qui n’en sont pas
et de vous remémorer le “suicide de Francisco BENITEZ qui n’en était pas un,
soyez sûrs qu’il y a une bonne raison !
POSEZ-VOUS LES BONNES QUESTIONS !
Je mets l’article du “Midi Libre”, aux commentaires CENSURES, en ligne pour apporter une autre preuve de ce fait, l’exécution publique de Francisco BENITEZ :
Disparues de Perpignan : l’ultime mise en scène macabre de Paco Benitez
il y a 1647 jours 43 FRANÇOIS BARRÈRE
Contrairement à ce qui avait été affirmé dans un premier temps, le légionnaire soupçonné d’avoir tué son épouse et sa fille Allison ne s’est pas suicidé à l’abri des regards, dans les sanitaires de la caserne, mais s’est jeté à travers une fenêtre après avoir passé une corde autour de son cou.
“La scène était hyper impressionnante. Ce type en uniforme, avec ses rangers, ses décorations et son foulard autour de la tête, accroché au bout d’une corde, sur le mur de la caserne…” Plus d’un mois après le suicide Francisco Benitez, dit “Paco”, les témoins qui se sont rendus ce matin-là sur place peinent à effacer cette image de leur esprit. Car contrairement à ce qu’avait indiqué en conférence de presse le parquet de Perpignan le 5 août dernier, le légionnaire soupçonné d’avoir tué son épouse et sa fille Allison ne s’est pas suicidé à l’abri des regards, dans les sanitaires de la caserne. Selon plusieurs sources policières, il a même fait tout le contraire.
Une scène hyper impressionnante
Un policier allé sur place “Il a accroché une corde avec un mousqueton à la rambarde d’une fenêtre du premier étage, donnant sur la cour intérieure de la caserne, il a recouvert sa tête d’un foulard sombre, qui lui masquait le visage, du front au menton”, indique l’une de ces sources. “Et puis il s’est jeté dans le vide, à travers la fenêtre.”
Pourquoi cette mise en scène macabre et théâtrale, qui rappelle une scène du film “Hannibal”, où un personnage est ainsi mis à mort, au fronton d’un palais florentin ?
Pourquoi cet homme a-t-il absolument tenu à mettre fin à ses jours au cœur de cette institution militaire à laquelle il appartenait depuis 27 ans ?
Enfin, pour terminer cet article qu’il m’a coûté d’écrire,
particulièrement à cause d’attaques informatiques sur lesquelles je reviendrais rapidement à la demande du Seigneur,
– car je dois faire savoir ce qui se passe en France contre les “chercheurs de VERITE”
ou les lanceurs d’alerte si détestés,
je vous fais savoir aussi que j’ai volontairement,
et sans l’accord de Maëlys,
censuré la partie “nuit de noces” que j’intitulerais volontiers “Las bodas de sangre” pour reprendre le titre d’une oeuvre célèbre écrite par le poète Federico Garcia LORCA.
Parce que je ne voulais pas nourrir les “goules”,
tous ceux qui sont à l’état de larves mentales,
et qui se plaisent à lire des horreurs
dont ils peuvent même s’inspirer par la suite pour commettre à leur tour d’autres crimes.
Ensuite, la raison principale est que j’imagine sans trop d’efforts, étant moi-même “maman”, ce que cette lecture pourrait provoquer comme souffrance chez des parents déjà dévastés par le chagrin et par l’injustice “de ne pas savoir”.
J’écris ” souffrir de ne pas savoir”
et, dans le même temps, je me rends compte que c’est contradictoire avec ma décision de taire ce que j’ai cru “percevoir” à travers un brouillard d’émotions humaines “insurmontables”, tant c’était dur à “contrôler”.
Mais, pour l’instant, c’est IMPROUVABLE !
Attendez… J’ai bien lu “Jacques TOUBON”, l’actuel “Défenseur des Droits” en France ?!
Tant que les gendarmes n’ont pas retrouvé la vidéo de “Las Bodas de Sangre”.
Or la recherche de la VERITE implique de douter et de toujours tout VERIFIER.
Pas de “croire” de prime abord
parce que ce serait du domaine du “paranormal”.
Auquel cas, ce serait alors de la “superstition” et non plus de la “raison”.
Maëlys mérite mieux qu’un réflexe superstitieux !
La VERITE doit être protégée
et ceux qui recherchent la VERITE,
les gendarmes, les militaires et les policiers honnêtes, doivent être protégés des “prédateurs” qui sont en place,
prédateurs trop “bien-placés”, très haut placés, dans notre société de loisirs où tout plaisir est autorisé aux plus riches et aux plus puissants,
puisque l’argent, vecteur de corruption des âmes et du corps, est actuellement le seul signe de puissance dans ce siècle de vices, de sévices et de supplices en tous genres.
“Car tel est mon bon plaisir ” pourrait être la devise de ces gens qui se croient au-dessus de toute loi humaine, pas faite pour eux,
et qui placent leurs désirs au-dessus des lois divines !
Actuellement je suis plus “fliquée” que ne l’est un-e djihadiste portant un bracelet électronique,
ce qui revient à fliquer et à ficher ceux qui cherchent à entrer en contact avec moi,
sachez-le !
Qui sont mes “garde-chiourmes”, “surveillants pénitentiaires” puisque je suis en pénitence ?
Tout ce que je sais, c’est que le Seigneur s’en amuse et éclate de rire à chaque fois que je me et Lui pose la question.
Lui, ça l’amuse,
que ces petits hommes puissent ainsi croire qu’ils vont pouvoir jouer avec Lui !
Qui peut tuer Dieu ?
“Pourquoi ne vous réjouissez-vous pas de savoir qu’il y a,
non pas une autre vie après la mort,
mais la Vie ?”
– “Auriez-vous peur de Moi ? demande encore le Seigneur.
Auriez-vous peur de Mon jugement, juges iniques et policiers corrompus ?”
– “Vous pourrez effacer tous les fichiers, toutes les vidéos, tous les mails du “messager”, vider son ordinateur comme vous le faites régulièrement par intrusion, détruire tous ces contacts,
vous n’arriverez pas à effacer la Mémoire de la Vie,
ce que vous appelez ici-bas, dans vos écritures sacrées, le “Livre de la Vie“.
Vos pensées, vos moindres pensées, vos actes, vos velléités d’actes, tout est marqué.
Lisez et relisez les Evangiles.
La “Bonne Nouvelle” est pour celles et ceux qui Me suivent !
Pas “les autres”.”
[Le Seigneur semble reprendre volontairement l’expression de Maëlys, “les autres”.]
“Vous êtes LIBRES, “les autres”, de vous damner “si tel est votre bon plaisir”.
Profitez bien de votre séjour sur terre, de cette vie de plaisirs pour des désirs éphémères qui ne sont jamais assouvis tant votre faim grandit de sensations physiques et d’émotions psychiques négatives !
Car c’est une Eternité qui vous attend en Enfer.
Et Satan a déjà hâte de vous accueillir pour se nourrir de vous et de vos énergies négatives,
vous-mêmes qui, comme la Bête, vous nourrissez des peurs et des malheurs des pauvres gens que vous tuez ou que vous acculez au suicide.”
You are the winner for the moment until you die and then :
Pour relire l’article du 07 septembre 2017 qui est l’une des preuves de la communication médiumnique avec Allison BENITEZ sur l’affaire de la disparition de la petite Maëlys De ARAUJO, il suffit de cliquer sur ce lien ci-dessous,
lien d’un article de mon blog faisant lui-même référence à un premier article du 02 août 2017 sur la disparition annoncée d’une jeune fille :
Voyance – Affaire “Maëlys” – Mon rêve du 02 août 2017, AVANT L’ENLEVEMENT DE LA JEUNE FILLE : – des tables de banquets, une réunion avec les parents de la jeune fille dans une salle communale, des parents en souffrance à la sortie de cette réunion, une jeune fille enlevée à sa vie de famille, la soeur de la jeune fille dans sa chambre avec une amie, une petite maison au bord d’une étendue d’eau, et surtout, les chiens, indice étonnant. D’où la question posée sur l’intérêt porté “au-x” “chien-s” par la jeune fille enlevée. Vérifiable sur le lien de l’article
Allison veut que je commence par remercier la Gendarmerie française pour le travail remarquable qu’elle a réalisée en un temps records,
élucider un meurtre d’enfant en six mois !
– temps comparé, hélas, à son affaire restée une énigme, avec deux disparitions sans corps et sans meurtrier,
à cause des multiples “ratés” qui peuvent être constatés objectivement par n’importe quel citoyen dans l’enquête diligentée par la Police à Perpignan,
– enquête aux “ratés” nombreux qui n’ont jamais donné lieu à un aucun audit mené par l’IGPN pour trouver les responsables de ces ratés
et éviter que ces faits ne se reproduisent à l’avenir pour d’autres victimes qu’elle et sa mère,
ces “disparu-e-s” que le temps et le silence tuent dans la souffrance de leurs proches.
Ils n’ont jamais été sanctionnés, eux !, ces policiers et ces magistrats responsables de cette “injustice”, puisqu’ils n’ont même pas été auditionnés pour leur incompétence par l’IGPN,
ou pire… pour leurs négligences à répétition, volontaires semble-t-il à force de tant de réticences à vouloir instruire comme il le fallait.
Par contre, dans l’affaire Maëlys, les Gendarmes,
accusés d’être à l’origine de “fuites dans la presse” dès qu’ils cernaient de trop près le mis en cause principal,
se voyaient ciblés par les défenseurs de tueurs d’enfants
et criblés de questions, “passés à la question” par l’IGPN, Inspection Générale de la Police Nationale
– corps d’inspection de la Police Nationale, nullement et jusqu’à présent JAMAIS chargé d’inspecter la Gendarmerie Nationale !,
laquelle a son propre corps d’inspection, l’IGGN, l’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale.
Pourquoi cette différence de traitement entre la Police Nationale et la Gendarmerie Nationale, l’IGPN étant autorisée INEXPLICABLEMENT par le Ministre de l’Intérieur à “inspecter”, donc contrôler l’activité de la Gendarmerie Nationale, ce qui était impensable un mois avant ?
Pourquoi, en France, le Ministère de l’Intérieur pénalise-t-il l’excès de zèle dans la Gendarmerie Nationale et couvre-t-il le manque de potentiel dans la Police Nationale ?
– Auraient-ils peur, ces ministres, interroge Allison, que les forces de l’ordre fassent trop bien leur travail et ne révèlent au peuple de France des vérités dérangeantes pour ceux qui dirigent ce pays ?
N’oublions pas que les Gendarmes sont d’abord des “Militaires”, intégrés depuis peu et de force, au sein d’un Ministère de l’Intérieur,
un état dans l’Etat, dont le rôle semble plus être de protéger les notables et les haut fonctionnaires, qu’importe et surtout si leur comportement est répréhensible,
plutôt que de protéger le peuple de France contre des criminels qui les menacent et des réseaux mafieux qui gangrènent ce pays autrefois si sûr.
Pourquoi des policiers choisissent-ils de se suicider devant des Brigades Territoriales de Gendarmerie et non pas devant leurs services de police ?
Parce qu’ils seraient “déboussolés” juste avant de mourir ?
[Allison revient sur une discussion engagée avec elle au sujet des différences existant entre ces deux “corps”, la Gendarmerie et la Police,
discussion dont elle partage avec vous quelques réflexions qui reflètent, à son avis, l’état pitoyable de notre pays.
Car Allison pense ! Ce n’est pas seulement une “jolie fille” qui aurait pu devenir Miss Roussillon.]
Le père d’Allison, lui, l’assassin de sa propre fille Allison, a été pendu, retrouvé pendu, dans sa caserne militaire, la Légion Etrangère.
– Alors pourquoi des policiers choisissent-ils de se donner la mort devant une Brigade Territoriale de Gendarmerie ?
Réponse :
– Parce que les policiers espèrent que :
l’acte de suicide étant commis sur un territoire où la Gendarmerie est compétente,
s’agissant d’un flagrant délit,
ce sont les Gendarmes, réputés plus rigoureux et plus compétents en droit, qui diligenteront l’enquête préliminaire,
sans se laisser intimider par la hiérarchie policière et maçonnico-JUDICIAIRE.
Car les policiers, eux aussi, sont aujourd’hui menacés, dès qu’ils veulent mener à terme des enquêtes “sensibles”,
sauf si elles servent l’intérêt partial d’un gouvernement qui veut faire abattre ses opposants politiques.
Oui, les Gardiens de la Paix sociale sont “priés” de se taire et de laisser faire.
Ils doivent clore les affaires “sensibles” le plus rapidement possible
et fermer le plus de “portes” ,
quitte à “oublier” de mentionner des noms de témoins et l’existence d’indices graves et concordants ou pire quitte à supprimer des preuves factuelles et objectives,
et ce, avec l’appui de juges d’instruction qui deviennent les “fossoyeurs de la République française”.
La France et certains Palais de Justice, comme celui de Perpignan, deviennent des cimetières d’affaires.
Et, me rappelle Allison, si certains citoyens obtiennent justice aujourd’hui, c’est encore et toujours parce que la Gendarmerie Nationale mène sa contre-enquête… quand elle le peut !
Sauf si elle-même, la Gendarmerie, est arrêtée brutalement dans ses investigations par un Procureur ou un adjoint au Procureur peureux et diafoireux, qui la freine dans son zèle jusqu’à la dessaisir de l’affaire si les Gendarmes s’obstinent à vouloir chercher et rechercher la vérité, envers et contre tout, envers et contre tous, sensibles à la peine des proches de la victime.
Il leur est difficile, aux gendarmes comme aux policiers autrefois des limiers, d’être aux ordres d’un Etat inique dont la gestion cynique tue plus de Français que ne pourrait le faire la “mafia des jeux et des putes” (sic).
Laquelle mafia gangrène aussi le département des Pyrénées-Orientales,
en plus des trafics de drogues qui ne sont même plus “illicites” à Perpignan,
petits commerces prospères qui se multiplient sous l’oeil bienveillant de Big Brother parce qu’ils ne sont jamais en faillite, eux !,
avec presque l’aide des caméras municipales vidéo-surveillant leurs environs.
Si les petits commerçants français paient rubis sur ongles taxes et impôts jusqu’à la ruine, d’autres commerçants, les trafiquants bi-nationaux ou étrangers, vendent leurs marchandises illégales, tranquilles, sur un bout de trottoir national ou dans des appartements qui sont de véritables échoppes de la drogue, sans jamais avoir à payer d’impôts, ni de cotisations sociales.
Au contraire, trafiquants bi-nationaux ou étrangers sans papiers, dits en situation irrégulière, ils vivent des cotisations sociales payées par les autres Français honnêtes.
et disposent toujours de cash et “coc”, avec classe faisant troc et affaires.
Car, désormais, ils sont une nouvelle classe sociale, ces trafiquants ayant pignon sur rue, la caste des “frimeurs” et des fumeurs de shit ou autres substances illicites
dont la réussite s’affiche avec arrogance ,
et dont les signes extérieurs de richesse reviennent à la mode “macronesque”,
sans crainte, eux, d’avoir à subir des contrôles fiscaux .
Surtout depuis que l’INSEE a accepté de comptabiliser comme richesse nationale dans le P.I.B. français le chiffre d’affaires colossal de ces marchands de la mort.
Le chef de la PJ de Grenoble et son adjoint mis en examen Deux responsables de la PJ de Grenoble sont soupçonnés d’avoir détourné des scellés pour leurs indics
Même si cette richesse ne profite pas à la Nation, les trafiquants ne payant aucune cotisation sociale, ni aucun impôt à l’Etat français.
Leurs contributions financières profitent au commerce de luxe et aux affaires immobilières car il faut bien blanchir l’argent sale, mes braves dames !
Mais ces trafiquants vivent, eux aussi, des cotisations sociales payées par les Français honnêtes.
Puisqu’ils sont déclarés être “sans ressources”.
Quel rapport avec l’affaire Maëlys ?
Allison vous répond :
– Quel était le VRAI métier de Nordahl LELANDAIS ?
DEALER.
C’est à dire que l’ancien militaire traficote et “vivote” plutôt bien,
tandis que d’autres Français crèvent d’être trop honnêtes et, pour tout dire,
d’être un peu bêtes, non ?
– Le milieu de la drogue et des putes, le milieu des jeux et des putes, le milieu des putes, c’est tous des putes !
[Vocabulaire d’Allison, désolée ! Je l’écris aussi et ainsi en “cash brut”.]
– Comment pouvez-vous laisser se développer en France ce qui est interdit, sans envoyer un message d’impunité à tous ceux qui trafiquent ?
Le trafic de drogues, c’est la porte ouverte à tous les trafics !
A toutes les prostitutions !
Dont la première des prostitutions est la CORRUPTION PUBLIQUE.
– “Pourquoi mon père n’a-t-il pas été inquiété ? Demande Allison. Parce qu’il rendait des “services” à toute une classe pourrie, une classe de gens qui se prennent pour l’élite sociale, alors que ce ne sont que des crapules notoires.
De plus en plus et de mieux en mieux identifiés par les citoyens de Perpignan et des Pyrénées-Orientales.
– “Classement des affaires contre parties de jambes-en-l’air ! Qui dit mieux ? Si tu n’as rien à m’offrir, passe ton chemin, condamne le juge. Et si tu es innocent, alors tu as encore moins quelque chose à m’offrir !”
Ce n’est pas plus différent dans la France d’En Bas que dans la France d’En Haut !
“Monnayer ses charmes” est devenu en France une monnaie de ministre,
acceptable en cash et payable en nature de suite, affirme Allison.
– Mon père m’a tuée, mais ça n’intéresse personne.
Moi vivante, j’aurais au moins pu monnayer la recherche de la vérité !, dans cette société de ‘”putes”.
Nordahl LELANDAIS dit qu’il a tué “par accident” ?
Et moi, je dis que j’ai été conçue, toute nue et déjà née, par la Vierge Marie !
La crédibilité de mon discours est à la hauteur de la crédibilité de celui du dealer de stups et coureur de jupons !, une pute.
Mais vous préférez les putes aux honnêtes gens, vous, les magistrats.
Vous avez peur de l’honnêteté.
Il n’y a pas moyen de monnayer avec les honnêtes gens.
Tout leur prendre, oui, pour les faire taire !
J’ai vu comment faisait mon père et ce qu’il faisait,
ce que vous lui faisiez faire pour vos affaires !
Parce que c’était un Militaire, un Légionnaire, un “homme de mains”.
Vous employez souvent des anciens Militaires pour faire vos sales coups en douce !
Je me demande même si vous ne le faites pas exprès de ne pas leur donner des contrats à vie, aux Militaires de l’Armée de Terre, principalement pour les obliger ensuite à se “recaser” dans ce genre de boulots pas très propres.
C’est comme une armée de l’ombre qui serait à votre entière disposition.
La France, elle est devenue comme l’Afrique, pire que l’Afrique !
Parce que la France, elle se permet, elle, de donner des leçons de morale au monde entier !
Alors que ses hommes politiques sont des “putes”, de vraies putes, eux,
pires que les putes des rues qui font ça par nécessité pour survivre et mal vivre dans un monde où il faut faire la pute pour être “reconnu-e” comme étant “l’un-e” des leurs !
La France, la “France à fric” qui n’en a jamais assez, sadique et phallique !
Nordahl LELANDAIS, dealer et “ravisseur d’enfants”, comme ils disaient autrefois, appartient à ce milieu,
la faune de la nuit,
qui sévit partout en France,
où se mélangent faux honorables et vrais Vénérables, partouzards et banlieusards,
lesquels viennent habiter leur ennui dans les jouissances de la chair, s’habiller d’indolence
et tuer l’innocence de l’enfance dans les transes de danses indigènes et hallucinogènes.
– Pourquoi, interroge Allison, oui, pourquoi un avocat comme Alain JAKUBOWICZ, a-t-il été choisi et par qui ?
– Et surtout, demande Allison, pourquoi cet avocat pénaliste qui aurait dû achever son mandat à la tête de la LICRA jusqu’en 2019 a-t-il démissionné de son mandat à la mi-octobre 2017
et accepté de prendre la défense d’un dealer et tueur d’enfants comme Nordahl LELANDAIS,
contrairement à ses engagements publics de ne JAMAIS défendre ce type d’individus ?
Il défend l’Association des familles des victimes au procès de la catastrophe du tunnel du Mont-Blanc. Sa réussite et son penchant pour les médias séduisent ou agacent
LE MONDE | 19.04.2005 à 13h48 • Mis à jour le 19.04.2005 à 18h19 | Par Sophie Landrin
[…]Son cabinet, Jakubowicz et associés, qui emploie 25 personnes dont 13 avocats, ne traite que marginalement d’affaires pénales.“Je ne fais pas de pénal crapuleux, affirme-t-il. C’est un autre métier. Moi, je ne peux pas défendre un pédophile ou un dealer.“]
[…]
L’actuel maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb, lui a confié en 2001 la présidence de la commission extramunicipale du respect des droits. Le ministre de la justice, Dominique Perben, futur candidat de la droite à la mairie, le courtise. Alain Jakubowicz affirme qu’il ne fera partie d’aucune équipe : “Si je devais me réinvestir un jour en politique, ce ne serait plus pour jouer le second rôle, mais plutôt pour un rôle à la Coluche.”
– «Si Nordahl LELANDAIS n’est pas un dealer ni un pédophile,alors, moi je suis la Reine des Neiges !», s’exclame Allison BENITEZ.
– Pourquoi Nordahl LELANDAIS a-t-il été protégé à ce point ?
Et pourquoi Nordahl LELANDAIS est-il défendu aujourd’hui par un avocat lyonnais qui avait déclaré qu’il ne défendrait JAMAIS un dealer ni un pédophile ?
Lequel avocat lyonnais a démissionné de son mandat NATIONAL à la tête de la LICRA à la mi-octobre 2017 pour pouvoir reprendre sa robe d’avocat pénaliste et défendre Nordahl LELANDAIS ?
Posez-vous la question !
C’est la bonne question.
Nordahl LELANDAIS a été protégé au point de mettre la Gendarmerie Nationale sous la coupe réglée d’une Police Nationale et de son corps d’inspection, l’IGPN, actuellement gérés par le Ministre de l’Intérieur, Gérard COLLOMB.
Or Gérard COLLOMB a été le Maire de Lyon et ce ministre connaît bien l’avocat lyonnais Alain JAKUBOWICZ devenu le très cher défenseur de Nordahl LELANDAIS.
Fin octobre 2017, à peine mandaté pour défendre le dealer et le pédophile Nordahl LELANDAIS, Maître,
doublement maître car FM, tout comme l’est Gérard COLLOMB,
– Maître Alain JAKUBOWICZ dépose une requête en nullité examinée le 21 novembre 2017 par la chambre d’instruction de la cour d’appel de Grenoble visant à faire annuler les trois premières auditions de son client, l’EX-MILITAIRE de Domessin.
Il s’agit des trois auditions effectuées lors de sa première garde à vue le 31 août 2017, soit quatre jours après la disparition de la petite Maëlys à Pont-de-Beauvoisin. Ces auditions n’avaient pas été filmées comme l’exige le code de procédure pénale en matière criminelle.
Le 12 décembre 2017, la chambre de l’instruction avait donné raison à l’avocat Alain JAKUBOWICZ et l’annulation des trois auditions avait provoqué le procès des gendarmes par des médias tout dévoués à la cause… du dealer et du pédophile que n’aurait jamais dû défendre l’avocat, ex-Président de la LICRA… SELON SES PROPRES DECLARATIONS, puisqu’il refusait de défendre des dealers et des pédophiles [sic].
Magré ce revers, les parents de Maëlys avaient, eux, REFUSE de retirer leur confiance aux gendarmes de leur « pays » et souhaitaient qu’ils restent saisis de cette affaire, l’enlèvement de leur petite fille,
parents conscients des efforts des militaires
et confiants dans l’issue de l’enquête si elle leurétait laissée,
CE QUI ETAIT LA DEMANDE LEGITIME DES PARENTS DE MAELYS.
La Gendarmerie Nationale a bien mérité de la patrie
et de la reconnaissance du peuple français.
Allison BENITEZ tient, elle aussi, à les REMERCIER, de tout son coeur, pour cette petite fille qui n’errera plus dans les limbes à la recherche de ses parents.
Car maintenant Maëlys sait…
Elle sait qu’elle est morte !, et qu’elle n’est plus toute seule.
Allison est avec elle.
Elles se ressemblent, malgré l’écart d’âge, étant toutes les deux de très jolies brunes aux yeux pétillants de vie et de malice, de joie d’être en VIE.
Maëlys s’en veut encore… d’avoir suivi ce « maître-chien ».
Après elle ne veut pas et ne peut pas se souvenir.
Elle souhaite garder une place dans le coeur de ses parents, pour être au chaud, près d’eux.
Elle n’est pas encore prête à partir « loin ».
Elle va « grandir » pour rejoindre Allison qui la guide et la soutient.
[Personnellement je ne suis pas en lien direct avec Maëlys. C’est Allison, le médium. Donc je ne peux pas donner de messages de la part de Maëlys.]
Et, à franchement parler, Allison préfère que Maëlys soit tenue à l’écart de cette « horreur », scène du crime, etc., pour ne pas lui faire revivre ces instants qui furent trop longs.
Allison pense que Maëlys doit d’abord « accepter » ce qui est le plus douloureux pour elle :
– être séparée de ses parents, de sa soeur,
– être coupée de sa « vraie » vie d’avant, comme arrachée à la terre , déracinée.
Car, pour Allison, Maëlys est une petite fleur arrachée à la terre par un ou des sadiques et Allison ne veut pas que la petite fleur se flétrisse de chagrin et de peur.
Quand Maëlys sera plus forte, elle pourra se « manifester » à ceux qui l’aiment.
Et il ne sera pas utile de faire tourner des tables et autres fariboles.
Il suffira d’écouter la voix de l’amour puisque l’amour est intemporel, dit Allison.
C’est la langue du monde que tout le monde comprend car elle est parlée sans langage, explique Allison.
Aimer, c’est déjà prier et partager !, sans avoir besoin de savoir prier.
L’amour est la vraie prière.
Aimer :
– ouvrir simplement son coeur et sortir de son corps à soi pour aller à la rencontre de l’autre.
Reine de beauté, reine de coeur !
Donc, conclut Allison, Maëlys ne donnera pas beaucoup d’éléments pour aider à la compréhension de ce crime.
Ce serait trop cruel de lui demander de « revivre » sa mort.
Allison ne veut pas, pas pour l’instant, qu’on « cuisine » l’infante, la et sa « petite princesse ».
– Elle aime bien, Maëlys, qu’on l’appelle comme ça, « petite princesse » ! dit Allison.
Allison veille sur Maëlys comme si elle était son ange-gardien.
Puisque c’est elle son « ange-gardien ».
Et, à la moindre alerte, au moindre faux pas, elle reviendra demander justice pour la petite fille.
– « QUE PLUS JAMAIS D’AUTRES ENFANTS NE SOIENT VICTIMES D’ADULTES PERVERS ! »
Des « pervers narcissiques » au profil facilement repérable.
– « Non, ce n’était pas un accident ‘ », martèle, en colère, Allison BENITEZ.
car des relations m’ont avertie que Google leur jouait des tours.
Même en donnant le lien complet de l’article, bizarrement, Google ballade et promène les lecteurs sur d’autres articles de mon blog.
J’ai moi-même pu constater ces “fausses directions” ou “redirections” vers d’autres articles de mon blog, sans lien aucun avec l’affaire Maëlys.
Décidément donner la preuve d’une Vie après la mort,
simple continuité de la VIE,
prévoir l’avenir,
semblent en terrifier quelques uns !
Comme dirait COLUCHE, “je suis dangereuse” !,
désignée “ennemie numéro un” de la franc-maçonnerie et crapulerie en tous genres par des policiers et des magistrats qui ont oublié qu’ils étaient… de simples mortels !
Ou serait-ce justement parce qu’ils le comprennent qu’ils sont si effrayés à l’idée d’être éternels et que Dieu puisse exister qu’il ne faut surtout pas LE PROUVER ?
BOUH !!!!!!, bougadi, bougada !
“Idée-idéal”
Mais il est vrai que tout le monde ne va pas au Paradis, hein ?]
[Des ossements d’enfants détruits, pas même restitués aux familles ?
Normal ?
La présence d’Allison BENITEZ a été déterminante pour moi dans la rédaction de l’article sur “Manon”.
Allison a été doublement victime d’un meurtre, tuée par un “militaire”, me force-t-elle à écrire, un militaire qui était son père, qui est son père !,
– et “re-tuée” par une justice lui refusant justice, à elle et à sa mère.
Car Allison veut qu’on sache, que vous sachiez
[- A qui s’adresse-t-elle ?]
qu’elle ne laissera plus faire.
Elle ne vous laissera plus faire ce que vous voulez.
– “Interrogez-vous sur la disparition de vos enfants !”, dit encore Allison.
Image rajoutée ce jour ne correspondant pas à l’article d’origine
Et interrogez-vous sur la lenteur des procédures judiciaires et les erreurs commises par leurs “complices”.
– “Car ne pas résoudre un crime, dit Allison, un crime dont l’auteur était si facilement identifiable, c’est être complice des criminels.”
“Faute d’Etat dans l’Etat, les criminels ont pris le pouvoir.”, ajoute-t-elle.
– “”Faute d’Etat“, explique Allison, parce que ne pas rendre justice est une faute de l’Etat.”
[ – “Faute d’Etat”, dans le sens absence de l’Etat. Allison me remercie de préciser sa pensée]
– “faute d’Etat dans l’Etat”, car il n’y a plus de représentants de l’Etat au sein de l’Etat français pour rechercher la vérité, mais des associations de “MAL-faisants”, ceux qui font MAL leur travail, et des associations de “MAL-faiteurs”, ceux à qui profitent les crimes qu’ils couvrent !”
– “Retrouvez Maëlys !“
Vous qui n’avez jamais retrouvé Allison.
Ni les autres victimes de son père.
FAITES VOTRE TRAVAIL.
Retrouvez les enfants, nos enfants, et même les enfants du monde qui n’ont pas demandé à venir en France et à être abandonnés par les braves gens que nous prétendons être.
Qui sont les voleurs d’enfants en France ?
Et que vaut la vie d’un enfant en France quand les autorités françaises vous expliquent qu’il est impossible de donner des chiffres exacts sur les disparitions d’enfants ?
Mais il est possible de donner à l’heure près le nombre de grosses berlines de luxe volées et “assurées” par de riches patrons.
Si la vie de nos enfants était assurée comme le sont les berlines de luxe, croyez-moi, vous qui ne croyez pas en Dieu, pas un seul enfant ne disparaîtrait sans être retrouvé sur le territoire français.
Parce que ça coûterait trop cher aux assureurs français et à l’Etat français s’il fallait verser aux familles le prix d’une vie, d’une vie d’enfant qui aurait pu devenir adulte, et pourquoi pas, millionnaire ?
Ce qui signifie de devoir indemniser la famille à la hauteur du préjudice subi.
Vous vous rendez compte si Angela MERKEL avait enlevé Emmanuel MACRON ? Mais que ferions-nous aujourd’hui sans ce président que le monde entier nous envie ?
Chaque fois qu’un enfant disparaît, c’est MOZART ou MACRON qu’on assassine.
Posted on September 7, 2017 ]
Allison BENITEZ, l’ANGE GARDIEN de Maëlys De ARAUJO
[Pas vraiment… Mais le Général le pensait vraiment, avant d’avoir fini de dicter.]
Car tu es jeune, du moins en vie politique.
Comme ton rival, Emmanuel MACRON.
La France s’est choisi deux hommes,
un plan A et un plan B.
J’ignore qui sera le plan A du plan B ou le plan B du plan A.
Car rien n’est encore joué.
Ce que je sais, par contre, c’est que la mafia est partout sur fond de trafics de drogues et d’armes, d’immigration clandestine et de corruption généralisée.
Je fais écrire à la “demoiselle” “mafia”,
terme global et général à prendre dans son sens générique
désignant toutes organisations secrètes qui fonctionnent sous le serment du mensonge et se développent “grâce” à la propagation de leurs vices.
Quoique le mot “grâce” me paraisse inapproprié en la circonstance !
Sois moins disert, Laurent !
Surtout avec les médias.
Attends ton heure !
Elle ne saurait tarder car le ministre de l’intérieur raisonne à l’ancienne avec des schémas territoriaux qui ne peuvent pas convenir au temps présent :
un temps d’occupation de terres françaises déjà envahies et, pour certaines portions du territoire, déjà colonisées,
c’est à dire administrées avec levée d’impôts (rackets divers)
et sécurisation des terres conquises ( guerres des gangs),
guerres de gangs interprétées à tort comme des règlements de comptes entre trafiquants de drogue, par la police nationale qui veut minimiser cette situation.
La conquête territoriale est terminée.
Il s’agit non pas de prendre un immeuble à un autre dealer, un point de vente,
mais, pour le Grand Maître local et territorial, de faire justice contre ceux qui ne respectent pas les règles imposées par les mafieux qui règnent en “maîtres” justement.
“La France d’en-bas”, pour reprendre l’expression d’un ministre aussi roué qu’un “MAZARIN”, n’est plus gouvernée.
Elle est “dominée” et il lui est demandé de plus en plus de “se soumettre”.
Des Emirs arabes envisagent sereinement la partition du territoire français comme une option politique sensée dans un monde chrétien athée et dépolitisé.
Princes et Rois, pas seulement arabes, veulent jouer leur partition,…
C’est le cas de le dire !
Les banques musulmanes défendent l’option de la “dhimmitude”, c’est à dire faire payer aux Français que vous appelez de souche un impôt pour l’occupation de terres qui seront devenues musulmanes et que d’aucuns espèrent pouvoir appeler un jour des “sharia zones”, zones si possible réunies dans un “Califat” saoudien ou qatari ou tout autre.
Pourquoi “taliban”, dites-vous ?
Ne riez pas !
Que savez-vous de qui se trouve actuellement sur votre territoire français,
vous qui refusez leur enregistrement,
enregistrement des empreintes digitales et de l’identité nationale d’étrangers se trouvant sur votre territoire français ?
Tout dépend qui gagnera la guerre du pétrole qui se profile au Moyen-Orient.
C’est la vérité, une vérité proclamée publiquement par vos adversaires,
plutôt vos ennemis :
une vérité qui vous est cachée.
Et vous, Françaises, Français, qui me lisez ce jour, vous vous souviendrez de ce que je viens de dicter.
Ecrivez, “jeune demoiselle”, pour moi à Laurent WAUQUIEZ !
La France n’est plus gouvernable.
C’est trop tard.
Les élus politiques ont trop accepté de compromissions au nom d’un relativisme culturel qui n’était que de la lâcheté et/ou de la cupidité.
Ce sera le “challenge” 2018 !
Restaurer l’ordre partout en France.
Et ce ne sera pas possible.
Pourquoi ?
Parce que c’est la Fraternité dévoyée qui gère les forces de l’ordre.
Et cette Fraternité qui se veut athée et le proclame s’est alliée aux ennemis de la France judéo-chrétienne.
Ces gens-là n’ont jamais ouvert un Coran, ni une Bible, bien que baptisés à leur naissance pour la plupart,
mais ce sont eux qui viennent nous faire des leçons de théologie et prétendent que toutes les religions se valent !
Bande d’imbéciles heureux !
Vos prisons explosent
et ce sont, non pas les prisonniers qui sont en danger dans vos prisons,
mais ce sont les surveillants pénitentiaires chargés de les garder et de les protéger qui sont en danger.
– Allez protéger des gens !,
qui veulent votre peau et ne reconnaissent pas devoir une dette à la société,
une société française qu’ils veulent détruire au nom d’ALLAH
puisque c’est une société judéo-chrétienne, une société de mécréants, qu’ils détestent !
– Il n’est point besoin d’avoir fait des études de médecine, jusqu’à se spécialiser en psychiatrie, pour le comprendre !, tonne le Général.
Donc les surveillants pénitentiaires seront de plus en plus en danger,
sauf à admettre qu’appartenir à une certaine religion pose une grave question de sécurité à la France et aux établissements pénitentiaires dans lesquels est incarcérée cette population qui déteste les autres peuples.
L’année 2018 sera la confirmation de toutes les craintes exprimées par les plus sages,
ces intellectuels français régulièrement vilipendés sur les médias par la masse bêlante et lénifiante des “gauchos-bobos islamo-collabos”.
Il faudrait les envoyer travailler dans un établissement pénitentiaire,
ces islamo-collabos !,
avec l’uniforme du surveillant et l’obligation déontologique de “protéger” ceux qui les insultent et veulent les frapper et qui parfois les frapperont !
Je suis sûr qu’ils perdront rapidement la maîtrise des lieux et la maîtrise de leur gestes confrontés à tant de haine.
Ils n’auront plus de peine pour les “pauvres” prisonniers maltraités,
radicalisés malgré eux à cause d’une société qui les aurait stigmatisés.
Pour l’heure, ce sont vos élus politiques qui se sont ridiculisés !
Car, partout, en France, policiers et gendarmes sont usés, agressés et blessés, avec interdiction de pouvoir utiliser des armes contre ceux qui veulent les tuer.
Toujours les mêmes “gens” qu’il ne faut SURTOUT PAS nommer !
Jamais.
“Avez-vous humé l’air du fumier dans vos banlieues ?, demande le Général De GAULLE. Il sent l’herbe, ce fumier, et la bonne !
Celle qui coûte cher aux contribuables français,
lesquels travaillent honnêtement et paient leurs impôts à l’Etat français,
pour permettre à des “assistés” de s’enrichir outrageusement et victorieusement contre l’Etat français, en France, dans un pays dit “Etat de droit”.
– Emmanuel MACRON, si tu veux faire régner l’ordre partout en France, comme le prétend ton “colon”, je te donne rendez-vous en avril 2018.
A cette date que j’ai fixée en connaissance de cause, nous reparlerons de l’Etat de droit en France.
Et des finances de la France !
Entre catastrophes naturelles et chaos social…
Tous les autres pays ont décidé de récupérer l’argent de la drogue, le cannabis, au profit de leurs états.
Ils ont dépénalisé le cannabis et mis fin à une prohibition qui enrichissait les mafias.
Et le TERRORISME !
Et les terroristes !
Je crains que ne fleurissent beaucoup d’autres actions violentes contre l’Etat français en 2018,
– faits de délinquance avec actes de vandalisme, dégradations des biens publics et privés, etc.,
– crimes contre les représentants de l’autorité française,
– et peut-être, vu le maillage des services de renseignements et leur baillonnage,
des actes de terrorisme qui ne s’arrêteront pas à l’utilisation de voitures-bélier ou de camions fous !
Puisque c’est toujours la faute de la voiture ou du camion qui n’a pas voulu freiner et a même voulu accélérer pour écraser un maximum de personnes sur un trottoir ou dans une rue piétonne.
– Oui, en France, l’air restera empuanté par le fumier du “shit”.
[Jeu de mots sur “shit”: – voir traduction du mot anglais “shit” en français]
Et vos élus politiques n’auront pas le courage de mettre fin à tous ces trafics de drogue pour ne pas se fâcher avec les pays étrangers pourvoyeurs de drogues et préserver la PAIX sociale, leur paix à eux.
Tant pis pour vous, habitants honnêtes des cités autrefois ouvrières et travailleuses !
Les habitants des cités conquises n’en peuvent mais.
Ces pays étrangers, connus de vous tous, s’enrichissent illégalement et pourrissent la France en répandant un “opium”, l’opium des peuples,
qui est la religion dite “de paix et d’amour”,
religion des petites frappes en prison et des criminels de guerre dans l’Etat Islamique,
– religion qui achève de détruire et de destructurer la nation française.
L’année 2018 apportera son lot de révélations parce que les forces de l’ordre n’en peuvent plus de devoir supporter l’insupportable.
Et je compte, dans ces forces de l’ordre, les pompiers et les ambulanciers à qui l’Etat français refuse toujours la reconnaissance du caractère dangereux de leurs métiers devenus à risques,
pour ne pas avoir à leur payer ladite prime de risques.
Pourtant la prise de risques qu’ils assument, seuls, dans le vécu d’un quotidien devenu cauchemardesque est là et bien réelle.
C’est sur ce chantier-là, prioritairement, que les Républicains devront se positionner avec fermeté et refuser toute concession “religieuse” d’aucune sorte,
tant celle voulue par une Eglise Catholique qui est devenue tout, sauf catholique,
que celle exclue par l’Islam dite “religion de paix et d’amour”, religion qui est tout, sauf la paix et l’amour de son prochain si ce prochain est un mécréant ou si ce prochain est un sunnite pour un chiite et un chiite pour un sunnite.
– “Shit !”, jure le Général.
Même entre eux, ces religieux n’ont de cesse de s’entretuer, après s’être hués mutuellement, sans doute pour faire baisser le nombre important de sacrificateurs qui les égorgent, après avoir voulu eux-mêmes les égorger et éventuellement nous égorger aussi, à leurs heures perdues.
Le plan A, ce sera un “Emmanuel MACRON”
restaurant d’abord l’ordre en France, avant d’en restaurer la grandeur.
Sinon il ne servira à rien d’habiter un pays riche si sa population est misérable et soudoyable comme toute population venue des pays du Tiers-Monde.
Ensuite, le Président de la France pourra restaurer la Monarchie qu’il habillera habilement d’une constitutionnalité à l’anglo-saxonne,
par référendum populaire, avec l’appui du peuple devenu “Son Peuple”,
comme il se plaît à le dire, de droit et à raison, s’il prouve au peuple de France être en capacité d’incarner l’Etat français.
Les Français sont fatigués d’élections suivies par d’autres élections
et de ces “remue-ménages/ remue-méninges” perpétuels qui visent à défaire ce qui a été fait auparavant par les prédécesseurs.
Cette insécurité juridique et administrative doit cesser !
Les Français aspirent à retrouver la sérénité et le calme dans un pays apaisé.
Mais, sans autorité forte de l’Etat, la France éclatera et disparaîtra.
Le plan B, ce sera toi, Laurent WAUQUIEZ
réhabilitant la République française par ta capacité à t’entourer de talents nouveaux et de ministres inconnus.
Sinon tu ne pourras pas gouverner avec des gens compromis et salis par des affaires judiciaires et financières suspectes.
Fussent-ils blanchis !
Etre “blanchis” par une justice maçonnique qui noircit les citoyens qui osent déposer plainte contre ses “frères” ripoux n’est plus un gage de vertu.
C’est plutôt la confirmation devenue redoutable d’un entresoi fraternel qui contamine toutes les décisions judiciaires et tue la confiance du peuple dans les institutions républicaines.
Ensuite tu pourras modifier la Constitution pour allonger OBLIGATOIREMENT la durée des mandats présidentiels,
sous état d’urgence, qu’il ne sera pas difficile de faire constater.
Crois-moi sur parole !,
– la parole d’honneur d’un militaire engagé qui sait ce que veut dire le mot “guerre”.
Je te propose un décennat au minimum, renouvelable par voie de référendum.
Pourquoi ?
Face à des multinationales dont les objectifs ne varient pas et face à des monarchies indéracinables ou face à des dictatures implacables,
aucun “Etat/Nation” ne peut plus se permettre d’organiser des élections “chamboule-tout” tous les cinq ou sept ans qui mettent et remettent régulièrement en péril son pays et son peuple.
C’est à cause de ce “mouvement perpétuel” que la corruption règne en maître dans vos pays européens,
n’importe qui pouvant se faire renverser n’importe comment,
par l’achat de voix clientélistes ou par l’achat d’élus corrompus.
Ce n’est plus possible de continuer ainsi, alors que les bruits des guerre se rapprochent de l’Europe.
Toi et Emmanuel MACRON n’êtes pas des ennemis.
Vous êtes le plan A et le plan B d’une France qui n’a pas d’autre solution que de s’en sortir.
Si l’Etat-Nation “France” ne veut pas disparaître.
Inutile de te dire où va ma préférence, toute à la fois républicaine et nationale.
Si Emmanuel MACRON échoue à restaurer l’ordre en France, il le devra davantage à des conseillers pusillanimes,
“fraternellement” liés au sein d’administrations dont la force d’inertie est remarquable,
qu’à sa propre incapacité à gouverner.
Il n’a pas manqué de courage.
Ce sont ceux qui l’entourent qui en manquent.
Que la France gagne !
Tel est mon souhait.
Le peuple devra choisir entre un Roi,
peut-être un futur Empereur si l’Europe s’effondre,
et un Président,
le vrai Président d’une vraie République représentant enfin le vrai Peuple de France et défendant ses intérêts,
– pas les intérêts particuliers et méprisables des petits copains de la bande de coquins “fraternels” qui dirigent actuellement, et fort mal, la France d’aujourd’hui.
Nous sommes tous LIBRES de réaliser ou pas notre destin national.
Rien n’est encore écrit.
Tout reste à écrire.
Sans sécurité, votre destin sera écrit sur le sable d’une plage que les vagues successives de migration viendront effacer.
Si le Président de la France protège cette jeunesse qui veut préserver l’avenir de leur terre, l’avenir de la Planète-Terre et refuse la bétonisation des terres de leurs pays et la mort de l’agriculture vivrière :
alors que vont survenir les grandes famines de ce nouveau siècle
et advenir les catastrophes écologiques qui cloueront au sol les avions dans les aéroports et briseront les amarres des bateaux dans les ports maritimes,
quand il ne sera plus possible aux hommes
[neutre masculin]
– de voyager dans le monde,
alors l’Homme redécouvrira qu’il est attaché à la terre de sa naissance.
Défendre à l’internationale l’accord de Paris, les accords de la COP21, c’est devenir le Président d’une jeunesse mondiale éprise d’un idéal écologique et lui préparer un avenir sûr.
Car là où l’homme est né, il a le droit de rester et d’y vivre, de vivre de la terre qui l’a vu naître.
Nul n’a le droit de chasser de son propre pays l’homme qui est né dans ce pays, son pays de naissance.
Ce serait rendre un émouvant et dernier hommage à Rémi FRAISSE qui ne serait pas mort pour rien que de dire “non” à la bétonisation des terres agricoles en France :
Rémi FRAISSE, fils de cette France nourricière,
– France qui nourrit ses enfants avec les fruits de sa terre,
pourrait partir en paix.
Ce serait tourner la page sur le chapitre d’une histoire de béton, en béton sauvage, des tonnes de béton sous lequel serait coulé et enterré Rémi FRAISSE une deuxième fois,
si était construit cet aéroport prétendument international qui détruira son environnement et finira comme ces aéroports fantômes en Espagne,
désert car déserté,
“Aéroport fantôme de Ciudad Real” entre autres…
– image cruelle mais réelle du vide, de la vanité,
vanité, orgueil de ces potentats espagnols qui se prenaient pour le “Centre del Mom” (le “Centre du Monde”).
Ce serait reconnaître le prix, le prix du sang, pour la défense des terres de France.
Et rejeter le prix de la prévarication et de la corruption qui gangrènent ces immenses marchés du BTP où le seul argent qui coule à flots est l’argent sale,
– réinvesti et blanchi dans des espaces commerciaux rutilants et affriolants dont les galeries marchandes, sans originalité aucune, se ressemblent et se confondent toutes dans une même similitude mercantile avec leurs clients aux habitudes débiles,
centres commerciaux construits dans le monde entier, en Espagne comme en France, au Portugal comme en Italie.
A la gloire de la P2 maçonnique et de son universalisme mondialiste, celui du fric !
Ce serait tourner la page sur le chapitre de cette histoire en France, l’Histoire de France du béton et en béton, ce béton qui fige tout et détruit la faune et la flore de la France, chaque jour un peu plus, au nom d’intérêts privés mercantiles.
Oui, ce serait aussi rendre un vibrant et dernier hommage au jeune Rémi FRAISSE,
– à cette jeunesse de France qui se bat pour vivre,
– pour avoir un avenir alimentaire en France
– et non pas devenir un travailleur précaire,
un pauvre hère condamné à vivre dans la pauvreté et à demander la charité pour pouvoir se nourrir et ne pas mourir de faim.
A l’image de la France, une France autrefois rurale et agraire, aujourd’hui usurière et vénale qui, en plus du pétrole, devra importer ses bols de riz et ses quintaux de blé, elle qui était le grenier à blé de l’Europe et cultivait son propre riz dans la fière et solaire Camargue aux espaces sauvages et si vastes.
Les communautés de vie s’organisaient auprès des points de vie, l’eau et sa proximité, la terre et sa fertilité, autrefois.
Aujourd’hui les mégalopoles aspirent tout, comme un trou noir, dévorant l’espace rural et agricole, dénaturant et destructurant les espaces vitaux français, là où la vie pourrait naître et renaître.
Sauf si la terre fertile est bétonnée car abandonnée aux appétits des négriers industriels et l’eau empoisonnée et emprisonnée, car conditionnée pour les plus riches quand elle est pure ou purifiée !
Non, définitivement NON !
La justice enterre l’affaire Rémi Fraisse avec un non-lieu
La France ne peut pas construire sur la mort de Rémi FRAISSE.
On ne construit pas des lieux de vie sur un lieu de mort, un lieu de vie à trépas.
Seule la Nature sauve l’homme et reprend ses droits sur la terre des morts,
ultime loi que vont subir les fous qui croient pouvoir dompter le climat et continuent de piller la terre et ses ressources naturelles.
Seule la pluie du ciel lave la terre et efface les larmes de sang des hommes en pleurs qui ont tout perdu.
Parfois la pluie du Ciel, dans Sa colère, va jusqu’à effacer l’Homme, les hommes, de la face de la Terre et de sa surface bétonnée.
Ce qui n’est pas exclu.
Qu’un arbre s’élève là où est mort Rémi FRAISSE, pour que la vie reprenne !
Explication donnée par Rémi FRAISSE, pour sa demande de planter “OFFICIELLEMENT” un “arbre citoyen du monde et de la terre-patrie“, lui qui n’était pas un “patriote” au sens politique du terme et ne veut se réclamer d’aucun parti, encore moins se faire récupérer par un parti de droite ou pire, d’extrême-droite.
C’est ce qu’aurait voulu Rémi FRAISSE, n’être pas mort pour rien.
N’être pas mort en vain, vanité des vanités, vanité que cet argent qui veut tout prendre aux gens et aux paysans de la terre de France pour de l’argent vain !
Qui peut se nourrir avec de l’argent, des billets de banque, des bitcoins ou une carte bleue quand la terre ne produira plus rien ?, nous demande-t-il.
Je vais ajouter ce que je reçois de Rémi FRAISSE, ce que je perçois de lui :
– “Il n’en veut pas à celui qui l’a tué “accidentellement”.
Il était là pour occuper la terre, comme tout homme sur cette terre, trouver sa place sur la Terre-Mère, et s’occuper de la défendre, notre planète, unique et organique.
– “Car un organe, c’est vivant, c’est ce qui rend vivant un corps terrestre“, me dit-il.
Il était là, juste là, pacifiquement.
La violence ne résout rien.
Il dit, pour défendre la terre, notre Terre à tous :
– “Juste être là, être le témoin du siècle.“
Il demande pardon à ses parents pour le chagrin qu’il leur a causé.
Mais il devait être là, se trouver là pour défendre une terre que plus personne ne défend.
Car qui va défendre la Terre muette qui ne peut s’exprimer ?
Non, Rémi FRAISSE n’était pas un “violent”.
Il l’assure.
Il aimait regarder la Nature et se perdre dans sa beauté et sa pureté.
Il pardonne, oui, à celui qui l’a tué accidentellement.
Mais il ne pardonnerait pas d’être mort pour rien.
Il remercie le Président Emmanuel MACRON pour avoir ce courage qu’aucun Président français avant lui n’a jamais eu.
D’avoir le courage de prendre une décision nécessaire !,
_ décision non prise par ses prédécesseurs pendant plus de 40 ans…
Et enfin, il remercie le Président Emmanuel MACRON d’avoir le courage de prendre la bonne décision.
Rémi FRAISSE aimerait, dans ce cas, si Emmanuel MACRON ne cède pas aux lobbyistes du béton qu’une plaque commémorative rappelle son sacrifice,
Car ce fut un sacrifice.
Le sacrifice de sa vie qui ne devrait pas être un sacrifice humain
“pour une cause perdue à l’avance”, “disaient-ils”,
ceux qui l’ont tué en demandant aux forces de l’ordre de charger les jeunes qui occupaient la terre de France, pour la défendre, sur le barrage de Sivens le 26 octobre 2014.
– N O N A L A V I O L E N C E !
Rémi FRAISSE reçoit la souffrance et les doutes du gendarme qui l’a tué accidentellement et sur ordre, à cause d’un ordre d’intervention non assumé par l’autorité en place.
Il le répète :
– Il ne lui en veut pas.
Il regrette lui aussi d’être parti plus tôt, trop tôt, lui qui était à l’aube de sa vie.
Mais il sait que ce n’était pas intentionnel.
Et il sait que le coupable est celui qui a donné l’ordre d’intervenir contre les jeunes, sans en mesurer les conséquences meurtrières pour des raisons purement financières.
– “Que la même erreur ne se répète pas deux fois !“, prévient Rémi FRAISSE.
Sinon ce sera l’explosion sociale.
Et la Terre donnera raison aux défenseurs de la vie sur terre.
Rémi FRAISSE a sacrifié sa vie pour sauver cette terre.
Il voudrait, non pas une plaque commémorative “macabre”, mais,
s’il est écouté et entendu,
une plaque “triomphante” qui salue le triomphe de la VIE et de la JEUNESSE.
Par exemple,
– “Ici a triomphé la jeunesse de France ! Là où est tombé Rémi FRAISSE, le 26 octobre 2014, sur cette terre qui est sauvée par la décision du Président de la République française, Emmanuel MACRON, en date du... “
– “Ou “un truc” comme ça”, me dit Rémi FRAISSE.
[ – “Heureux les doux car ils recevront la Terre en héritage”, disait le Seigneur.
Rémi FRAISSE ne L’a pas connu… de son vivant sur cette terre.]
Rémi FRAISSE était “un doux”, un jeune homme de PAIX et veut rester dans la mémoire de notre pays, la France, comme un homme de PAIX.
Il saura donner un signe à Emmanuel,
– “Emmanuel MACRON qui est resté un jeune homme, lui aussi”, dit Rémi FRAISSE,
– en remerciement pour ce qu’il a essayé de faire,
– et surtout pour ce qu’il réussira à faire, s’il réussit à le faire,
à agir, lui, contrairement à tous les autres qui n’ont rien fait.
Rémi FRAISSE est confiant.
[ – Est-il conscient, Rémi, de toutes les difficultés auxquelles devra faire face Emmanuel MACRON, s’il veut plaire au peuple et donc prendre le risque de déplaire aux édiles imbéciles et aux notables incompétents ? ]
Rémi FRAISSE me répond qu’ :
– “Emmanuel MACRON ne cherche pas à faire plaisir.
Il n’appartient à personne.
Il n’appartient qu’à lui-même.
Il a déjà pris sa décision, du reste.
Et il a raison.
Et si Emmanuel MACRON prend cette décision, c’est pour rester dans l’histoire,
dans l’Histoire de France et la mémoire des hommes,
comme le président d’une France unie qui est au-dessus des intérêts partisans et au-delà des intérêts particuliers des castes en place.“
[ Le Seigneur sourit.
Un ange passe.]
Rémi, lui, ne croyait pas en l’Homme, mais il croyait en l’homme.
Il manquait juste le “H” majuscule à l’homme qu’il était.
Ce “H” de l’homme qu’il est devenu enfin et qui demande la PAIX sur cette terre et pour la terre de France.
– “Sauver la terre de France, c’est sauver la France !“, ajoute Rémi FRAISSE, avant de me quitter.
Image choisie par Rémi FRAISSE : – “Pas deux fois !“