Je pourrais m’auto-glorifier et vous écrire que le Toulousain, Claude Nougaro, était venu me dire que Toulouse, sa « ville rose », allait gagner contre la ville de Nantes lors du match final de la Coupe de France de football organisé à Paris, le 29 avril 2023.
Mais je mentirais même si, quelque part, c’est quand même un peu ça.
NANTES-TOULOUSE: LE MYSTÈRE DU TROPHÉE DISPARU DE LA COUPE DE FRANCE 1957
Analie Simon avec NP
Le 28/04/2023 à 9:00
[Opposé à Nantes en finale de la Coupe de France ce samedi, Toulouse a l’occasion de remporter pour la deuxième fois cette compétition. La première pour le “nouveau” Tef, puisque celle glanée en 1957 était à mettre à l’actif de l’ancien club, dissout en 1967. Un trophée qui a mystérieusement disparu.[…]]
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Tu es un mec et tu te fiches comme de l’an quarante du sauvetage des dauphins dans l‘Océan Atlantique, et encore plus si c’est dans la Manche :
t’es pas Brigitte Bardot, sinon tes potes le sauraient.
Alors, tu vois, moi, je ne suis pas Zinédine Zidane et le football, c’est pas trop mon truc.
Voir des hommes se disputer un ballon comme des petits garçons dans une cour de récréation, ça me donne plutôt envie de siffler la fin de la récréation, surtout si je suis condamnée à les regarder se disputer la « baballe », aux côtés de mon mâle préféré qui est et restera, de toutes façons, toute sa vie que j’espère longue, un « petit garçon » :
– « Ah oui, il a marqué un but ?! Il est content, mon Doudou ?! Viens chercher susucre… ! » »
Le susucre, c’est quand même quelques millions d’euros de salaires, s’il vous plaît, les mecs… !?
Il faut vraiment être un homme pour payer des types à donner des coups de pied dans un ballon.
Bon, vous m’direz, pendant ce temps, au moins, ils ne se font pas la guerre !
C’est toujours ça de gagné pour les femmes qui, comme moi, ont horreur de la violence.
– Bah, oui, je suis banalement féminine et accessoirement féministe, en cochant tous les défauts de mon genre dont le principal, un sens de l’orientation infaillible du moment que vous ne me demandez pas de me repérer par rapport à des points cardinaux ou sur une carte routière genre rébus à mille cases.
Il suffit de m‘indiquer la bonne direction à prendre pour me rendre chez vous dans une ville qui me serait assez familière en fonction de mes goûts féminins : boutiques de lingerie fine, boulangeries-pâtisseries et librairies, car j’adore les livres.
C’est pourtant simple à comprendre, non ?
C’est pour ça que le GPS et moi, on ne se mariera jamais ensemble :
– « Tournez à droite à la prochaine »
La prochaine quoi, à droite de quoi ?
Au XIXème siècle, il était de bon ton de tomber dans les pommes devant l’homme désiré pour qu’il vous secourût. Au XXIème siècle, l‘humoriste tentée par l’amour improvisera une bonne “chute” : – “Oh pardon, Môssieur mon amour, vous m’avez fait perdre mon sens de l’orientation !”
Trop tard, la « prochaine droite » est passée.
– « Vous n’avez pas tourné à droite. »
[Non, c’est vrai, à l’extrême alors ?]
« Maintenant veuillez prendre la deuxième rue à gauche à partir du troisième rond-point. »
Crissement de pneus :
– « Allo, tu peux me dire à côté de quel magasin connu [de moi] tu habites ou grande surface ? Non, pas les magasins d’outillage ou de bricolage !»
[Soupirs à l’autre bout du fil]
Mieux qu’un GPS, ton mâle adoré :
– « Bouge pas, j’arrive ! »
Bah voilà, il suffisait de venir me chercher, c’est pas compliqué, quand même ?
– Rentrée mouvementée pour moi aussi, parfois, souvent, à la folie : “Je te hais-me !“
Donc, en attendant qu’un génie des ondes électro-magnétiques télépathico-métaphysiques veuille bien inventer le facilitateur de communication avec les visiteurs de l’au-delà, sorte de téléprompteur qui transcrirait l’échange entre ici-bas et là-haut, il faut bien faire avec les moyens du bord et mon cerveau de «blonde ».
– Oui, moi, je ne suis pas « Allison DuBois », héroïne de la série « Médium » qui est capable d’obtenir des renseignements d’une précision inouïe jusqu’à la plaque d’immatriculation de la voiture du tueur recherché par la police depuis seulement hier :
désolée de vous décevoir !
Car je pense que nous sommes toutes et tous médiums à des degrés divers et qu’il suffit de le savoir pour développer ce don, un peu comme d’apprendre à faire du vélo quand tu sais que les vélos existent.
Après, c’est une question d’interprétation et de compréhension des messages reçus avec des différences de perception et de culture, tu vois, quand tu es un homme ou quand tu es une femme.
– “Bah, ça marche comment alors ?”
Par exemple, tu es un homme et tu t’appelles Claude Nougaro.
Pour toi, la terre entière, au moins la France entière sait qu’il y a la Coupe de France de football organisée à Paris le 29 avril 2023.
Et tu viens frapper à la porte d’une femme pour lui demander de publier un article sur Paris ET Toulouse, ta « ville rose », au départ parce qu’il y a ce « foutu » match de football.
– Tu sais, – Cocorico !, que ta ville va gagner.
Mais tu viens aussi parler de la révolte qui gronde en France et de Paris, ville grise, « Paris, mai, mai, mai – Paris-, mai », – « Paris, 1er mai ».
Tu repars, assez content de toi !
– Sauf que la meuf, elle a fait sauter la mention « Toulouse », ne voyant pas [- bravo, la voyante !] le lien de Toulouse avec Paris et l’intérêt d’en parler dans son article sur « Paris, Mai ».
Je l’écris souvent, le pire défaut dans la voyance, c’est de vouloir comprendre et donc d’interpréter ce qui vous est « dit ».
Vous voudrez bien pardonner ma sincérité mais j’aurais aimé un jour, quand j’étais jeune, confrontée déjà à ces « perceptions » et « visites » inopportunes, pouvoir lire les « ratés » d’autres médiums.
Nos erreurs sont de véritables sources d’enseignements pour nous-mêmes et pour les autres si nous avons l’humilité de les reconnaître et surtout si nous acceptons d’en partager la honte avec eux.
D’ailleurs, pour ma part, c’est toujours la même erreur que je répète, une volonté de ne pas écrire « automatiquement », de contrôler l’événement, ou de refuser de l’écrire (reproches fréquents d’un de mes visiteurs célèbres, le Général de Gaulle) , quitte à m’en mordre les doigts une fois l’événement advenu :
oui, je suis une « désobéissante » !
Le 27 avril 2023, j’aurais juste ajouté la chanson « Toulouse, ville rose », lien voulu par Claude Nougaro, et aujourd’hui, je fanfaronnerais comme Allison DuBois en vous disant que j’avais prévu [alors que c’est Claude Nougaro qui le savait!] la victoire absolue de « Toulouse, ville rose » à Paris, lors de la Coupe de France de football… sauf que je n’aime pas le football :
patatras !
Néanmoins, j’en profite, – excusez-moi de cette longue introduction -, pour glisser une prédiction du chanteur maçonnique Claude Nougaro dans l’article de ce jour.
La prédiction est mise à la fin de cet article. Seuls, les « courageux-ses » qui auront été jusqu’au bout de ma galère de médium, pourront la lire telle une récompense offerte par Claude Nougaro :
la victoire de Toulouse est un signe.
Pour Claude Nougaro, ce n’est pas simplement un match de football gagné sur une autre ville de France.
c’est « Paris à l’avenir gris » qui s’efface peu à peu pour laisser place au soleil du Sud !
– Ôde au phallus, wokistes s’abstenir ! Pourquoile sport permet-il aux hommes de s’aimer enfin ? – Mais le plus beau de tous, c’est ? Le mien : “private property, don’t touch !“
Le chanteur « philosophe » affirme que, de plus en plus, le gouvernement centralisateur, jacobiniste de la France, laissera place au triomphe des grandes régions voulu par l’Europe.
Emmanuel Macron aura ainsi servi à démanteler cet État-Nation défaillant, la France, en la ligotant, en l’étouffant et en l’étranglant sous le joug germanique d’un esprit revanchard que personne ne veut voir et qui tue « Marianne ».
La révolte montera du Sud et elle gagnera les autres régions de France.
Paris sera la capitale du passé, une mégalopole de tous les vols qui aura réussi à unir contre elle tous ses vassaux dans une France en morceaux.
Le Président de la France ne sera plus que ce qu’il est aujourd’hui, le porte-voix d’une entité européenne en loques sous autorité amerloque qui nous vend ses breloques comme si nous étions des autochtones, nouveaux Indiens en voie de disparition, du sous-continent blanc :
le tiers-monde occidental avec ses super-milliardaires et ses super-bidonvilles !
Le Brésil deviendra une terre d’asile que les Français-ses envahiront à leur tour par la porte restée ouverte d’une Guyane offerte aux exilé-es qui retrouveront la savane arborée d’une Afrique redorée.
Car la forêt amazonienne sera dévastée par les appétits mondialo-industriels.
Claude Nougaro trouve même que c’était inutile de l’écrire :
– « Qui ignore encore que l’Amazonie ne sera bientôt plus qu’une terre de profits et de profiteurs ?
En France, les agriculteurs se meurent dans l’indifférence générale.
La France se meurt dans l’indifférence générale :
pourtant quelque part, sous le soleil, se prépare le réveil français ! »
– Petit clin d’oeil amical de Claude Nougaro à un accent du Sud chantant qui va reconstruire le pont d’antan entre l’Occitan renaissant et le Catalan fracassant, entre Toulouse et Perpignan, Toulouse, sa seconde ville de vie.
« Il y a ceux qui attendent que leur destin s’accomplisse et il y a ceux qui accomplissent leur destin.
La différence tient à peu de choses, tu oses ou tu n’oses pas ! », dit le troubadour de la « ville rose ». « C’est comme en amour quand tu crois l’avoir trouvé, quand tu sais l’avoir éprouvé avec elle ! »
[Je suis vraiment obligée de laisser la dernière comparaison, sachant que « comparaison n’est pas raison », surtout en amour ?]
– « C’est quoi, ton principal défaut en voyance, Véro, rappelle-moi ?
Ah oui, refusez d’écrire ce que nous te dictons…quand ça t’arrange ou plutôt quand ça te dérange.
Dis-toi que c’est pour la France et pas pour lui. »
Juste une présence, pas de message, et ce chant magnifique qui doit résonner puissant dans le coeur d’une France “en marche” :
[C’est vrai que Claude Nougaro ne manquait pas d’humour !]
INTRODUCTION
C’était à Paris, en Mai 1968, c’était le réveil de la France, cette belle endormie !
Chantons pour libérer la France avec Claude Nougaro, le “maçon” :
aux policiers qui sont rentrés dans la grande Fraternité pour défendre la veuve et l’orphelin, pas les immeubles de style haussmannien,
pour les policiers qui voulaient devenir des chevaliers, pas des assassins aux ordres d’un Grand-Maître qui les éliminera tôt ou tard en les faisant remplacer par l’Eurocorps :
Comprenant à ce jour 9 nations, le Corps européen basé à Strasbourg est un état-major multinational de niveau Corps d’armée (75 000 à 100 000 hommes), capable de se déployer en opération dans des délais très rapides.[…]]
[Participation du CEMA à la passation de commandement du Corps de réaction rapide européen (EUROCORPS)
Direction : État-major des armées / Publié le : 06 septembre 2021
Le 2 septembre 2021, le général d’armée Thierry Burkhard, Chef d’État-major des armées (CEMA), s’est rendu à Strasbourg où il a présidé la cérémonie de passation de commandement du Corps de réaction rapide européen (EUROCORPS).
Le lieutenant général belge Peter Devogelaere a succédé au général de corps d’armée français Laurent Kolodziej à la tête de cette entité unique en son genre1 dont l’état-major est localisé à Strasbourg. Cette cérémonie a permis de mettre en lumière le rôle particulier de cet outil européen. Au service de l’OTAN comme de l’Union européenne, l’EUROCORPS œuvre à la défense des Européens et de l’Europe. […]
Ce corps multinational est armé par 5 nations cadre (Allemagne, Belgique, France, Espagne et Luxembourg) et par 6 nations associées (Pologne, Italie, Roumanie, Grèce, Turquie et récemment l’Autriche).]
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Site Web d’Eurocorps ?
[Lien Internet officiel mis en ligne sur les sites institutionnels]
Ce site est inaccessible
Impossible de trouver l’adresse IP du serveur de wwww.eurocorps.org.
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“Mai, mai, mai, Paris mai
Mai, mai, mai Paris
[Refrain à répéter encore deux fois]
[Le casque des pavés ne bouge plus d’un cil
La Seine de nouveau ruisselle d’eau bénite
Le vent a dispersé les cendres de Bendit
Et chacun est rentré chez son automobile
J’ai retrouvé mon pas sur le glabre bitume
Mon pas d’oiseau-forçat, enchaîné à sa plume
Et piochant l’évasion d’un rossignol titan
Capable d’assurer le Sacre du Printemps
Mai, mai, mai, Paris mai
Mai, mai, mai Paris
Ces temps-ci, je l’avoue, j’ai la gorge un peu âcre
Le Sacre du Printemps sonne comme un massacre
Mais chaque jour qui vient embellira mon cri
Il se peut que je couve un Igor Stravinsky
Mai, mai, mai, Paris mai
Mai, mai, mai Paris
Mai, mai, mai, Paris mai
Mai, mai, mai Paris
Et je te prends Paris dans mes bras pleins de zèle
Sur ma poitrine je presse tes pierreries
Je dépose l’aurore sur tes Tuileries
Comme roses sur le lit d’une demoiselle
Je survole à midi tes six millions de types
Ta vie à ras le bol me file au ras des tripes
J’avale tes quartiers aux couleurs de pigeon
Intelligence blanche et grise religion
Mai, mai, mai, Paris mai
Mai, mai, mai Paris
Je repère en passant Hugo dans la Sorbonne
Et l’odeur d’eau-de-vie de la vieille bombonne
Aux lisières du soir, mi-manne, mi-mendiant
Je plonge vers un pont où penche un étudiant
Mai, mai, mai, Paris mai Mai,
mai, mai Paris
Mai
Paris
Le jeune homme harassé déchirait ses cheveux
Le jeune homme hérissé arrachait sa chemise
“Camarade, ma peau est-elle encore de mise”
“Et dedans mon cœur seul ne fait-il pas vieux jeu”
“Avec ma belle amie quand nous dansons ensemble”
“Est-ce nous qui dansons ou la terre qui tremble”
“Je ne veux plus cracher dans la gueule à papa”
“Je voudrais savoir si l’homme a raison ou pas”
“Si je dois endosser cette guérite étroite”
“Avec sa manche gauche, avec sa manche droite”
“Ses pâles oraisons, ses hymnes cramoisis”
“Sa passion du futur, sa chronique amnésie”
Mai, mai, mai, Paris mai
Mai, mai, mai Paris
Mai
Paris
C’est ainsi que parlait sans un mot ce jeune homme
Entre le fleuve ancien et le fleuve nouveau
Où les hommes noyés nagent dans leurs autos
C’est ainsi, sans un mot, que parlait ce jeune homme
Et moi l’oiseau-forçat, casseur d’amère croûte
Vers mon ciel du dedans j’ai replongé ma route
Le long tunnel grondant sur le dos de ses murs
Aspiré tout au bout par un goulot d’azur
Là-bas brillent la paix, la rencontre des pôles
Et l’épée du printemps qui sacre notre épaule
Gazouillez les pinsons à soulever le jour
Et nous autres grinçons, pont-levis de l’amour
Toutes les versions chantées sont différentes et poignantes tout autant
Tout d’abord, un petit rappel perso, un chouïa égoïste, je sais :
– même si l’agenda politique est très chargé, j’ai une vie avec des obligations familiales et « professionnelles », enfin, presque « professionnelles ».
Car, si ça continue, entre les tribulations d’une maman dans sa vie quotidienne et les apparitions élyséennes de mes « visiteurs », je vais moi aussi « revenir » à un état antérieur, celui d’une femme redevenue médium malgré elle et consacrant tout son temps terrestre à rendre visible un au-delà céleste.
Donc, non, mes vacances ne devraient pas être un temps exclusivement consacré à mes « visiteurs », aussi intéressants soient-ils :
sauf qu’il se passe toujours quelque chose et des choses graves… en France ou dans le monde !
Tony s’est présenté à moi, alors que, sortant d’une clinique, je revenais vers ma voiture. Honnêtement Tony m’a « saoulée », me mitraillant d’informations diverses sur l’état de la Police Nationale et prenant la défense de ses ex-collègues, policiers républicains devenus la viande hachée d’un pouvoir qui les envoie vers « l’équarrisseur » populaire :
L’État n’existe PLUS que grâce à la Police Nationale et à la Gendarmerie.
Ce n’est un secret pour personne.
Les gars sont rendus à l’os, épuisés physiquement et moralement.
Le corps des policiers, outil de travail et de résistance
Publié: 30 octobre 2019, 20:01 CET
auteur
Vanessa MontiesEnseignant-chercheur en Management, INSEEC Grande École
[Après des mois de confrontation dans les villes, émaillés par diverses affaires controversées, l’image des policiers est écornée auprès de la population française.
Entre répulsion et fascination, la profession a toujours généré des sentiments ambigus. Le métier porte aussi un paradoxe : la société lui a octroyé le droit d’utiliser des moyens coercitifs (la force physique) à l’encontre de personnes qui utilisent ce même moyen de façon illégale contre d’autres personnes. Nous avons récemment mené une étude sur un aspect permettant d’éclairer et de mieux comprendre les dilemmes moraux auxquels sont confrontés les policiers : leur corps.
Questions existentielles
Les questions « qui suis-je » et « quel est le sens de ce que je fais ? » sont d’autant plus importantes pour les policiers dans un contexte où les enjeux humains sont forts, les conditions de travail sont incertaines, voire dangereuses, comme l’ont montré différentes affaires récentes.
Les policiers font ainsi face à un nouveau paramètre lié directement à leur profession : ils sont devenus depuis quelque temps des « victimes » potentielles.
Or, cela est pour eux insupportable car ils se considèrent comme les seuls garants de la sécurité et de la protection des victimes.
Ce nouveau phénomène met d’autant plus en exergue des problématiques auparavant latentes.
Pour faire face à ces évolutions déstabilisantes, les policiers s’engagent dans une éthique du corps comme outil d’invulnérabilité et développent des compétences techniques, physiques et mentales de façon spécifique.
Ces évolutions ont profondément impacté le travail des policiers qui, pour beaucoup, ont du mal à accepter ces changements. Ils considèrent que cela les empêche de faire leur travail de façon efficace. Ces changements empiètent sur leur identité et sur la façon dont ils conçoivent le bon travail policier.
Pour cette étude, nous avons partagé le quotidien de policiers d’enquête et d’intervention de brigades spécialisées d’une grande métropole pendant un an.
Cela nous a permis d’observer chez ces policiers comment leur conception du travail bien fait passe en grande partie par une éthique du corps comme outil de travail « parfait et performant ». Le corps joue ainsi un rôle prépondérant dans l’identité des policiers de terrain et il participe également aux stratégies de contournement de certaines pressions institutionnelles qui affectent la conception de leur travail.
En mettant l’accent sur quatre pratiques corporelles, nous démontrons comment la forme physique, l’hygiène, l’endurance et le contrôle des corps et des espaces sont des éléments centraux de la construction de l’identité professionnelle de ces policiers et comment cela participe à leur éthique de travail. […]
Le corps s’abîme
Ces policiers doivent cependant faire face aujourd’hui à la fois à une plus grande médiatisation et visibilité de leurs actions mais également à des comportements plus violents et désinhibés de la part des potentiels suspects.
La radicalisation des mouvements sociaux de ces derniers mois met à l’épreuve leur éthique et leurs stratégies, tant au niveau de l’endurance que du sentiment de « salissure » et de stigmatisation croissant.
Entre la sélection de l’information par les médias et les jeux de pouvoir politique, les policiers de terrain ont de plus en plus de mal à faire un travail sérieux tel qu’ils le conçoivent et qui correspond à leur vocation. Le corps comme dernier rempart contre la perte de sens commence à s’abîmer, à se fatiguer, à se salir. La fierté du métier et la confiance dans la mission s’effritent face aux déceptions récurrentes d’un système en saturation et des attentes de la société qui sont devenues trop divergentes et contradictoires.]
Prisca Vicot, brigadier de PJ et championne de boxe.
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Mais « l’État, c’est moi » s’en moque !
Il se moque d’eux comme il se moque d’ailleurs des Français.
[Tony, le play-boy, ne veut pas de l’écriture inclusive. Désolée, je dois respecter sa volonté.
Ah, un instant, je réponds à Tony : – « Si ! Tony belle-gueule, tu étais un play-boy… »]
Tony se rengorge, un peu comme un coq.
Après tout, le coq, c’est l’emblème de la France, non ?
Tony m’envoie alors les flashs du « futur » et, pour lui [d’ailleurs, il refuse le « pour lui » : – « c’est le futur » !], le futur, c’est :
– des policiers blessés, laissés sur la chaussée par leurs camarades débordés dans l’incapacité de leur porter secours ;
– des foules ivres de colère où il sera vain de chercher des meneurs, des leaders :
c’est la France toute entière qui est en colère, Macron !
– des « politiques » [Tony rejette le terme d’«hommes »et emploie le neutre d’un adjectif non genré pour se moquer des « wokistes » progressistes], des personnages falots et ballots, gonflés de fatuité stupide et enflés d’une vanité avide, celle de l’argent :
« L’arrrrrrgeeeeeeeeeeeennnnnnnnt, l’arrrrrrrgeeeeeeeeeeeeennnnnnnt ! » singe Tony en imitant un « Avare » à la Molière qui serait cauchemardesque, une sorte de « Freddy – Les Griffes de la Nuit ».
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Manifestation massive des policiers à Paris : revivez notre direct Diffusée en direct le 19 mai 2021 Le Figaro 519 k abonnés #police#justice#Darmanin Des syndicats unanimes, des milliers de policiers mais aussi le ministre de l’Intérieur et des politiques de tous bords et de nombreux civils sont attendus mercredi devant l’Assemblée nationale. Suivez notre direct, avec Brune Daudre, journaliste au FigaroLive et Guillaume Poingt, journaliste au Figaro. POUR ALLER PLUS LOIN: Les policiers meurtris appellent à l’union sacrée devant le Palais Bourbonhttps://www.lefigaro.fr/actualite-fra… Rassemblement des policiers : Darmanin estime que sa «présence est un moyen de les soutenir» https://www.lefigaro.fr/politique/ras… La présence d’un ministre dans une manifestation est-elle inédite ? https://www.lefigaro.fr/politique/la-… Lettre de Valérie Pécresse aux policiers : «Il est temps de rétablir votre honneur» https://www.lefigaro.fr/vox/societe/l…
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La référence est volontaire, pas seulement symbolique.
Tony interroge :
– « Comment peut-on échapper à son pire cauchemar ? »
Tony vous répond :
– « En restant éveillés !
Peuple de France, réveillez-vous, sinon vous allez tous finir, égorgés, dans votre sommeil par Macron, « l’escroc/les crocs » de la nuit ! »
[- « Joli, Tony, le jeu de mots ! »]
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Fusillades à Marseille: “La CRS 8 ne rentre pas dans nos quartiers” explique Amine Kessaci (association “Conscience”) BFMTV il y a 2 heures Marseille Un homme de 63 ans a été tué et un trentenaire grièvement blessé dans une fusillade lundi soir dans une cité des quartiers nord de Marseille gangrénée par le trafic de drogues. Le sexagénaire a reçu plusieurs impacts de balles au niveau du thorax et était déjà décédé à l’arrivée des secours près d’un établissement de restauration rapide situé à côté d’un point de deal au sein de la cité de la Busserine. Il n’était pas connu de la police pour trafic de stupéfiants a précisé le parquet de Marseille.
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Il ne faut pas oublier que Tony était directeur de troupe artistique et qu’il le serait toujours (sic).
[ Il est vrai qu’ « Allan Kardec », pseudo de Hippolyte Léon Denizard Rivail, fondateur du spiritisme, prétend que, dans l’au-delà, les âmes continueraient de s’instruire et de cultiver leurs centres d’intérêts.
Le « Père Rivail », régisseur de spectacles d’illusion, a su intégrer dans son autre vie terrestre de « médium », les tours du physicien-prestidigitateur, Henri Lacaze, son directeur au théâtre Marigny à Paris :
– il n’y a pas que les morts qui font tourner les tables !
Pour le Seigneur, ces continuités d’activités terrestres dans l’au-delà sont des illusions entretenues par des esprits qui recréent leur temps antérieur, celui de leur vécu, à partir de leurs souvenirs passés, incapables de se détacher de leurs liens terrestres.
Explication donnée sans vouloir heurter la susceptibilité de Tony : – la “re-création” de son environnement terrestre est une étape transitoire nécessaire pour s’approprier les nouveaux pouvoirs d’un corps énergétique différent de celui du corps terrestre. Pour reprendre le concept évangélique de la résurrection tel que décrit par Jésus quand il répondait à la question des Saduccéens, il s’agit d’un corps “angélique”.]
Des sadducéens – ceux qui affirment qu’il n’y a pas de résurrection – viennent trouver Jésus. Ils l’interrogeaient :
« Maître, Moïse nous a prescrit : Si un homme a un frère qui meurt en laissant une femme, mais aucun enfant, il doit épouser la veuve pour susciter une descendance à son frère.
Il y avait sept frères ; le premier se maria, et mourut sans laisser de descendance.
Le deuxième épousa la veuve, et mourut sans laisser de descendance. Le troisième pareillement.
Et aucun des sept ne laissa de descendance. Et en dernier, après eux tous, la femme mourut aussi.
À la résurrection, quand ils ressusciteront, duquel d’entre eux sera-t-elle l’épouse, puisque les sept l’ont eue pour épouse ? »
Jésus leur dit : « N’êtes-vous pas en train de vous égarer, en méconnaissant les Écritures et la puissance de Dieu ?
Lorsqu’on ressuscite d’entre les morts, on ne prend ni femme ni mari, mais on est comme les anges dans les cieux.
Et sur le fait que les morts ressuscitent, n’avez-vous pas lu dans le livre de Moïse, au récit du buisson ardent, comment Dieu lui a dit : Moi, je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob ?
Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Vous vous égarez complètement. »
Mc 12,18-27]
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BFMTV [Si la Pravda macronesque le dit ?!!!!!!!!!!] il y a 4 heures Fusillades à Marseille: “Sur la semaine écoulée, il y a eu 7 règlements de compte” explique David Le Bars (SCPN) Marseille Un homme de 63 ans a été tué et un trentenaire grièvement blessé dans une fusillade lundi soir dans une cité des quartiers nord de Marseille gangrénée par le trafic de drogues. Le sexagénaire a reçu plusieurs impacts de balles au niveau du thorax et était déjà décédé à l’arrivée des secours près d’un établissement de restauration rapide situé à côté d’un point de deal au sein de la cité de la Busserine. Il n’était pas connu de la police pour trafic de stupéfiants a précisé le parquet de Marseille.
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– « Tony, tu n’es pas très optimiste pour l’actuel Président de la République ? »
Tony :
– « J’m’en fiche de lui, qu’il dégage !
Tu noteras, Véro, que je ne t’ai pas fait écrire : « qu’il crève ! ».
Pas envie, ni pressé de me retrouver de l’autre côté avec lui, si tu vois ce que je veux dire…
Alors, je vous l’laisse, le c.nnard !
J’ai un seul message pour les copains :
– Choisissez votre camp, camarades !
Et choisissez vite car, sinon, c’est le camp des « Fous le camp, Macron !» qui va vous dégommer.
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Les violences policières du 23 mars décryptées par Patrick … YouTube·L’Obs·24 mars 2023 Les violences policières du 23 mars décryptées par Patrick Bruneteaux L’Obs 331 k abonnés 500 154 vues 24 mars 2023 Matraquage de foule, tirs de grenades en cloches, charge en solitaire…. La manifestation du 23 mars contre la réforme des retraites a donné lieu à des scènes de violences policières. Certaines des vidéos qui ont circulé sur les réseaux sociaux ont particulièrement choqué. Patrick Bruneteaux, chercheur en sociologie politique au CNRS et auteur du livre “Maintenir l’ordre” (Presses de Sciences Po) les décrypte pour “l’Obs”.
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Et, croyez moi ou non, le peuple de France, c’est 60 millions d’individus très remontés contre Macron, la « petite bite ».
[- Tony, je suis obligée de noter la taille de sa bistouquette ?]
Ouais, faut comprendre aussi pourquoi Macron, il est à ce point hypertrophié du « moi » :
– il compense. »
[Au cas où vous l’ignoriez, je rappelle que la « maison-poulaga » s’honore d’avoir une culture virile qui dimensionne la bite des mecs à leur courage sur le terrain.
Or il faut bien reconnaître que le « Macron », dès que ça chauffe trop en France, il se trouve toujours une mission à l’étranger pour se faire la belle,
« oh, « Emmanuelle toute belle » ! », comme l’appelle Coluche.
« On est un homme ou on ne l’est pas. »]
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Michel Onfray : “Emmanuel Macron est sadomasochiste, il jouit dans la souffrance qu’il inflige” Europe 1 347 325 vues 24 avr. 2023 Michel Onfray dans Punchline sur Europe 1 et CNEWS : “Emmanuel Macron est sadomasochiste, il aime faire jouir et jouit dans la souffrance qu’il inflige” 1,31 M d’abonnés
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Tony ajoute :
– « Tu veux prouver que t’es un homme, Macron ?
Remets ton titre en jeu et organise un référendum.
– Au moins, si tu dois partir, fais-le avec panache, « R.I.P. » que tu peux écrire de deux manières :
« Requiescat In Pace »
ou
« Référendum d’Initiative Populaire » .
A mon avis, les deux font la paire qui te manquent au cul. »
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“LE VASE EST PLEIN, QU’IL DÉGAGE” : CASSEROLADE CONTRE MACRON, GROSSE FROUSSE POUR PAP NDIAYE Le Média 907 k abonnés 283 497 vues 25 avr. 2023 Pour tout nouvel abonnement, le premier mois est reversé à une caisse de grève. Soutenez-les, soutenez nous et abonnez-vous à partir de 5 euros/mois, pour faire un vivre la première chaîne TV vraiment indépendante ! 👉 https://www.lemediatv.fr/soutien Casseroles, clés, râpes, sonnettes des vélos, même si le président souhaite interdire les « dispositifs sonores amplificateurs de son » le peuple lui va continuer à se faire entendre. Lundi soir, à l’invitation de l’association Attac et relayée par de nombreux autres groupes d’action de gauche, les Français des quatre coins du pays se sont retrouvés devant leurs mairies pour une casserolade générale. À l’occasion du 6ème anniversaire de la prise de pouvoir d’Emmanuel Macron, plus de 400 rassemblements à travers la France ont chanté et joué, au son de leurs ustensiles métallique, leur mécontentement à l’égard du président, du gouvernement et de ses réformes. Et si le concert de casseroles devant l’Hôtel de ville d’hier a réussi à rassembler des centaines de personnes, ce n’était que la première partie de la soirée de contestation. C’est ensuite à la Gare de Lyon que se sont rendus les nombreux manifestants, pour accueillir comme il se doit, le ministre de l’Éducation nationale Pap Ndiaye a son arrivée. Et si ce comité d’accueil, qui s’inscrit dans la longue lignée des Intervilles du Zbeul, auxquelles ont droit tous les ministres du gouvernement Macron, n’a pas suffi à refroidir la foule, cette dernière s’est transformée en manifestation sauvage dans les rues du 12ème arrondissement de Paris. Journaliste et images : Cemil SANLI Montage : Arthur
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Dernier avertissement, [j’avais envie d’écrire : – “Dernière sommation !”] de Tony :
“Lors des futures manifestations de la France en colère, les lâches décideurs devront choisir entre la casse humaine ou la casse matérielle :
Le matos, ça se répare, pas les corps !
Les corps humains, c’est plus difficile de les remettre en état de marche entre les victimes d’amputations de membres et les grands brûlés qui souffriront toute leur vie durant.
Les points névralgiques à surveiller de préférence, pas seulement les grands boulevards des Bobos gauchos, qui sniffent la coc et méprisent les amateurs de crack, la drogue des pauvres gens, mais les gares surtout et les parkings souterrains aussi.”
Moi : – “Pourquoi les parkings souterrains ?“
Tony : – “Tu verras bien, enfin, ils verront bien s’ils ne font rien pour prévenir des dégâts prévisibles.
Moi, j’ai choisi de mourir pour que d’autres vivent ou plutôt pour que d’autres ne revivent pas ce que j’avais vécu en tant que policier, une descente aux enfers !”
– Pas eu le temps, jamais le temps, pas en ce moment !
Mes « visiteurs » passent et repassent, certains se lassent mais jamais ne trépassent :
ils sont déjà morts.
D’autres attendent patiemment leur tour, un jour, quand je pourrais, en faisant peut-être un détour chez un-e autre médium plus disponible.
L’éternité est une longue patience mais notre temps à nous, sur terre, est compté.
Je laisse la parole à Samuel, Samuel Paty.
Je l’ai trop fait attendre et j’ai raté, ou il a raté le coche à cause de moi
Avant que je ne décroche, j’aurais tant aimé que vous arrêtiez de « voter comme des cons » ! Malheureusement vous avez préféré encore une fois “voter comme des cons”, ce qui avait été prévu par Coluche.
Vous ne l’avez pas déçu : – les Français sont des « c.ns » et Macron est le « roi des c.ns ».
Maintenant je raccroche pour que Samuel se rapproche de vous :
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– « J’étais venu te parler de « Macron » cet « enc.lé ».
[pardon, je retranscris et tant pis pour les « lèche-c.ls du système », expression de Samuel, si je ne suis pas folle]
– « Sais-tu comment on peut se faire réélire trois fois, Véro ? »
– « C’est impossible, Samuel. »
– « A Macron, rien n’est impossible :
1) Après une guerre quasi mondiale qu’il a voulue du temps où il était président de l’Europe, principal instigateur pour sa gloriole et provocateur pour sa réélection en tant que chef de guerre,
– ces « c.ns » de Français qui adorent « Pétain » ! – l’ont réélu, leur Maréchal !
2) Après une crise sanitaire qui lui a servi à étouffer la révolte des « Gilets Jaunes », en confinant la France entière pour une grippette,
3) le morveux au nez sale, rempli de « coc », l’argent des trafics, prévoit de lancer sa troisième guerre, celle de l’intérieur, celle de la « haine ».
Tu as vu, Véro, comment il a décapité le “Conseil des Sages de la Laïcité” à l’Éducation Nationale pour décapiter tout mouvement de résistance à la montée du salafisme, après m’avoir FAIT décapiter par sa passivité devant la montée du salafisme ?
Le type, il a acheté la paix sociale en vendant aux caïds la France laïque à l’Islam terroriste. Il leur a fait une promesse, le vendu, les filles seront toutes voilées, qu’elles le veuillent ou non, que l’établissement soit religieux ou pas. Il n’y a plus de République, c’est fini !
Son problème à lui, c’est le fric, c’est tout.
C’est un « matouvu » [?], une ordure de première.
– Véro, m’enfin, tu sais pas écrire « m’as-tu vu ? » ?
T’aimes trop les chats, les matous surtout, normal pour une « aristochatte ».
– Bon, tu mets en ligne la citation de Georges Brassens ? Merci. »
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De la part de Samuel Paty, petite grivoiserie adressée à un “M’as-tu vu” à “Chanter in petto : [La femme qui possède tout en elle Pour donner le goût des fêtes charnelles, La femme qui suscite en nous tant de passion brutale, La femme est avant tout sentimentale. Main dans la main, les longues promenades, Les fleurs, les billets doux, les sérénades, Les crimes, les foli’s que pour ses beaux yeux l’on commet, La transporte, mais… […]]“
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« M’as-tu vu » ?
[Je reprends le micro.]
-Non, un “m’as-tu vu”, ce n’est pas de l’argot, comme je le croyais.
La définition et la citation valent le détour, effectivement :
bon choix de Samuel Paty en référence à un certain Georges Brassens qui serait un des auteurs ou l’auteur/chanteur préféré de Samuel ?
– Quelqu’un peut-il le vérifier ? Merci.
Moi, la « médium malgré moi », je doute toujours.
Citation :
« Ô, que renaisse le temps des morts bouffis d’orgueil
L’époque des m’as-tu-vu-dans-mon-joli-cercueil ! »
Georges Brassens, Les funérailles d’antan, 1960
Samuel Paty se moque, pour de vrai, de Macron, dans un cercueil, déjà mort, celui d’une République en perdition comme Macron s’est moqué de lui dans son cercueil, le reniant aujourd’hui en se reniant lui-même :
– heureusement qu’Emmanuel Macron, ce n’est pas Vladimir Poutine, hein ? !
[hein] Deux, information de BFMTV, la Pravda française :
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TROIS PERSONNES JUGÉES POUR AVOIR INSULTÉ EMMANUEL MACRON : CE QUE DIT LA LOI
Même séquence filmée cette fois-ci par CNews, autre angle de vue.
[Trois manifestants dovient être jugés en septembre après avoir fait des bras d’honneur et insulté le président pour outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique.
Mercredi dernier, à l’occasion d’un déplacement du chef de l’État à Sélestat en Alsace, trois personnes ont proféré des insultes et ont fait des bras d’honneur en direction du président de la République.[…]]
– Ce qu’il ne fallait jamais dire à un Président comme Emmanuel Macron !
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Heureusement, en France, le Président et ses ministres sont mieux élevés que ce bas peuple même pas éduqué :
– Mais que fait l’Éducation Nationale ?
Ils donnent l’exemple, Macron, le sinistre, de mauvais augure pour l’avenir de la France, et ses ministres dont son irremplaçable Ministre de la Justice, ex-avocat et défenseur implacable des droits des pauvres gens pourvu qu’ils soient riches :
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[Emmanuel Macron assume la photo avec un jeune faisant un doigt d’honneur prise aux Antilles]
Avant de quitter les Antilles, Emmanuel Macron est revenu sur la polémique lors de son voyage. En cause : une photo avec un jeune faisant un doigt d’honneur.
[- Allo, BFMTV, vous pouvez rappeler le temps d’emprisonnement et le montant de l’amende, condamnation encourue par un “sans-dent” pour avoir fait un doigt d’honneur, à qui, d’ailleurs, à votre avis ?
Le plus beau doigt d’honneur, le plus drôle, votre Honneur, c’est le jeune repenti mais pas repentant du tout, qui, après le départ du Président de la République, a remis le couvert et repris de la « tôle » : – un Français comme les aime Emmanuel Macron !]
[Un jeune se permet de l’appeler “Manu” et c’est une atteinte à la représentation de la fonction, mais un doigt d’honneur et les cornes du diable sont certainement un exemple de bonne éducation pour notre macron !]
[Officiellement le doigt d’honneur est enfin dédiabolisé par ce gouvernement chacune des sorties de Manu,Marlène et consort sera donc accueillie par des majeurs levé bien haut . Le doigt d’honneur vient de devenir un signe de ralliement républicainLa classe]
[Les caméras du Palais-Bourbon ont capté les gestes du garde des Sceaux. La Première ministre Élisabeth Borne a dénoncé “un comportement qui n’a pas sa place dans l’hémicycle”. ]
[- Allo, BFMTV, vous pouvez rappeler le temps d’emprisonnement et le montant de l’amende, condamnation que risque un “sans-dent” de la République pour faire un bras d’honneur, à qui, d’ailleurs, à votre avis ?
– A des parlementaires, c’est à dire à des représentants du peuple français :
[Ce qui est cool c’est qu’on sait maintenant que les français pourront lui faire la même chose sans qu’il puisse se plaindre Il me semble que c’est un bien le même Ducon Moretti qui voulait présenter une modification de la loi pour “atteinte à un représentant de l’état”?]
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Finalement, lorsque j’ai appris que la sœur de Samuel Paty, Mickaëlle Paty, s’indignait à l’identique de son frère, Samuel Paty, de la décision de « dilution » du « Conseil (des Sages) de la Laïcité » prise par l’actuel ministre de l’Education sous l’autorité de son maître, le traître Président Emmanuel Macron, et sachant qu’elle avait fait paraître une Tribune dans le journal « Le Point » du 15 avril 2023, j’ai décidé de laisser Samuel, son frère, s’exprimer sur mon blog « Déus vos guard ».
Pour ceux qui s’indigneraient de la liberté de ton employé dans cet article, qu’ils se rassurent :
– Coluche pourra leur montrer s’ils le désirent qu’il peut faire pire, c’est à dire faire mieux, étant le meilleur dans le pire.
Rappelez-vous ce que disait cet ex-candidat à la présidentielle contre Valéry Giscard d’Estaing :
« Je suis capable du meilleur et du pire. Mais, dans le pire, c’est moi le meilleur. »
[En octobre 1980, COLUCHE se présente à l’élection présidentielle. Le 30 octobre 1980, il déclarait “j’ai peur que le régime de GISCARD soit appelé à prendre de l’ampleur et que tout le monde crie vive l’ampleur. Comme pendant 30 ans on a voté pour des gens compétents et intelligents, je propose aujourd’hui qu’on vote pour un imbécile qui n’y connaît rien, c’est à dire moi.” Romain GOUPIL explique qu’il avait poussé COLUCHE à se présenter, pour passer par dessus la censure et qu’on ne l’empêche pas de parler, donc éminemment politique. COLUCHE faisait campagne pour ceux qui ne pouvaient pas s’exprimer. Sa candidature remportait 15% des intentions de vote à l’époque, soit plus que certains candidats qualifiés de sérieux. Suite aux pressions, aux intimidations, à des menaces physiques, il se retire de la campagne présidentielle en avril 1981.[…]]
Heureusement, pour les « lèche-c.ls » et les « c.ns », Coluche patiente, le mors aux dents, même pas mort, prêt à reprendre la parole, si j’ai du temps pour lui et pour moi, dans un pays de trépanés du cerveau, pour ceux qui veulent ouvrir leur gueule et pas la fermer.
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Grâce à la publication de la Tribune de sa soeur, j’ai su que je n’étais pas folle et que cette colère de Samuel Paty était réelle, car ressentie aussi par Mickaëlla Paty. Alors j’ai fait une exception pour Samuel Paty, parce qu’il voulait que sa sœur qui ne lira peut-être jamais cet article sache qu’il est à ses côtés, lui aussi, pas mort, pour crier à Macron d’aller se faire “f…tre”, le foutriquet.
– « Certains iront cracher sur ma tombe. Mais moi, je crache sur eux, leur manque de courage, leurs trahisons au quotidien, leurs mensonges sur rien et sur tout.
Je ne sais plus ce qu’est le métier d’enseignant aujourd’hui en France.
Je ne sais même plus si c’est encore possible d’enseigner en France.
Moi, je propose d’ouvrir de suite des écoles coraniques pour toucher les backchichs kataris et saoudiens.
Il n’y a plus de hussards de la République, il n’y a plus que des froussards.
L’école est à l’image de son actuel ministre de l’Éducation Nationale, aussi hypocrite aussi que le Ministre de la Justice qui fait passer une loi pour faire condamner des outrages envers des élus politiques indignes de gouverner, lesquels font des bras d’honneur au peuple quand c‘est le peuple qui s’indigne et exprime haut et fort sa colère.
Votre petit fonctionnaire, le” Pape” des Wokistes , scolarise ses gosses dans une école privée et se permet de faire la leçon aux prolétaires qui n’ont pas d’autre choix que de laisser leurs mômes se faire frapper dans les écoles de la République à cause du « White Privilege » qui les favoriserait.
Quelle « c.nnerie et quelle chienne de vie pour les Français pauvres !
Le racisme anti-blanc porte un autre nom et ce nom est aussi celui donné par Samuel Paty à son assassinat : – un point c’est tout, un point commun. Le remède préconisé est le même pour Julien Rochedy et Samuel Paty.
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Tu parles d’un «White Privilege »…
– Va parler du « White privilege » aux descendants des mineurs, aujourd’hui sans travail, aux descendants des serfs blancs, les agriculteurs qui se suicident chaque semaine, aux employés de maison qui travaillaient jusqu’à pas d’heure pour des bourges assoiffés de fric, aux putes enfermées dans des maisons de passe et qui sont aujourd’hui interdites de tapiner sauf quand elles appartiennent à des réseaux de traite humaine internationaux, la traite des “blanches”…
– Tu veux que je continue sur le « White Privilege », les Poilus morts à la guerre de 14 pour que dal ? Puisque l’Allemagne détruit tout en France et supprime l’excellence française avec la complicité d’une racaille financière qui est pire que l’engeance étrangère.
Ce ne sont pas les étrangers qui menacent la France, ce sont ceux qui la dirigent.
Quand le comprendrez-vous ? Vous êtes trahis par vos élites françaises qui ne rêvent que d’exister à l’internationale.
Véro, dis-leur à cette bande de « c.ns » !
C’est fini, l’excellence française.
– Préparez-vous à la guerre !
Et cette guerre-là, ce sera la pire de toutes car, pour vos dirigeants, ce sera comme les jeux du cirque. Leurs gladiateurs, c’est et ce seront les flics, vos futurs tueurs. Et les Chrétiens massacrés ou les crétins de Français, c’est et ce seront les martyrs jetés aux bêtes sauvages, vous, croyants ou incroyants, mécréants incrédules vivant dans votre bulle de confort qui se rétrécit jusqu’à ce que vous en creviez.
Le « White Privilege » ! ?
C’est juste le droit de tuer des Blancs impunément.
– Pourquoi ?
Parce que les Blancs, les Occidentaux, ce sont les seuls peuples encore suffisamment éduqués aux valeurs républicaines égalitaires pour se révolter ou organiser une révolution qui menacerait les intérêts des élites mondialistes.
Les autres se soumettront à toutes les injustices, comme en Iran, comme en Afghanistan :
– « Inch’Allah » ! »
– Résistez tous à la « haine », renversez le pouvoir des « pourris », inch’Allah !
La pauvreté n’a pas de couleur.
La soumission aux valeurs républicaines, ce n’est pas la soumission à la terreur de la haine. »
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– « Tu sais quoi, Samuel l’Agnostique, personne ne t’a vu venir.
Tu restes un super-bon prof.
Continue à nous enseigner, la Vie et l’espoir, l’Amour jusqu’au revoir, à te revoir, mon frère, toi, le frère que j’aurais aimé avoir ! »
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Grand Corps Malade, Reda Taliani – Inch’Allah – Clip officiel
Vidéo originale publiée en juin 2022 par la photographe Isabelle Banco : – dernière visite du Monastir del Camp : – Amusante coïncidence ! Je n’avais pas vu cette vidéo avant ce jour. – Trouver le signe ? Peut-être dans la musique : – “No, I won’t forget you”… destinée à qui ? C’est lui, François Jaubert de Passa, “l’esprit des lieux” qui a choisi cette vidéo trop peu visionnée.
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C’était le 28 juin 2022.
J’avais été invitée par mon conférencier préféré à visiter, avec son groupe de chercheurs aguerris, le Monastir del Camp à Passa dans notre beau département des Pyrénées-Orientales.
Aimant aussi jouer au détective et trouvant amusant de déchiffrer des inscriptions en latin sur de vieilles pierres, j’avais accepté l’invitation avec enthousiasme et j’étais venue avec « ma » spécialiste en histoire médiévale, étudiante du Maître des Clefs symboliques et scripturales.
Le soleil brillait de mille feux et nulle ombre au tableau n’aurait pu venir gâcher cette promenade agréable aux côtés d’un enseignant réputé pour son érudition, tant le moindre coin et recoin du vieux monastère semblait baigné d’une lumière éclatante, quasiment éblouissante.
En fait, médium malgré moi, j’ai plutôt tendance à éviter les lieux anciens et, – encore plus !, les endroits où seraient enterrés des corps.
Je préfère rentrer, seule, chez moi que mal accompagnée.
– “Seuls les cailloux ignorent la peur ! ” Choix aussi de François Jaubert de Passa pour les commentaires historiques et poétiques de la vidéo, dits par une très jolie voix féminine à l’accent catalan chantant. Et puis aussi pour la référence à son ami Prosper Mérimée, écrivain, historien et archéologue .
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Donc, si celui qui est « aimé » de beaucoup de ses étudiants et très apprécié par ses pairs, ne me l’avait pas proposé, franchement, je ne serais pas allée voir ce monument impressionnant, forteresse encore bien conservée grâce à l‘investissement successif de mécènes qui tentent de sauvegarder ce patrimoine, sans aucune aide financière publique.
Car le monastère n’appartient plus à la famille de François Jaubert de Passa.
Par la suite, je l’aurais sans doute regretté.
Je ne m’étais même pas renseignée sur les lieux et l’histoire de cette bâtisse imposante.
– De toutes façons, à quoi bon ?
Je serais accompagnée par le dictionnaire ambulant le plus volumineux et le mieux renseigné qui soit, la mémoire de notre guide infatigable en matière d’histoire médiévale catalane concurrençant celle de l’Encyclopédie universelle.
D’ailleurs, je ne comprends pas comment de tels éminents Universitaires peuvent avoir le droit de prendre leur retraite ! La retraite devrait être interdite pour les Historiens. Après tout, l’Histoire ne s’arrête jamais. Elle ne finira que quand leur vie finira et, je le souhaite, le plus tard possible tant nous avons besoin d’eux pour comprendre ce que nous sommes et d’où nous venons.
Par conséquent, et pour faire économiser des milliards d’euros, si, si !, à Emmanuel Macron en pleine masturbation intellectuelle quand il contemple son projet de réforme sur les retraites, je propose au financier de de la Banque Rothschild d’interdire aux Historiens de prendre leur retraite.
– C’est un non-sens philosophique de mettre fin à une histoire quand l’Histoire se poursuit !
Vidéo humoristique acceptée par François Jaubert de Passa en solidarité des corps enseignants français, saignés aux quatre veines par un Etat ingrat : – mal payés, maltraités, mal aimés et sacrifiés à la “Rente”, sic.
Bref, je me suis retrouvée… un peu en d’autres temps.
Et pas seulement parce que mon Médiéviste préféré est un conteur hors pair !
Tandis que je flânais de ci de là, en suivant de loin le groupe mais en prenant soin d’être toujours à portée de voix de notre guide, une autre voix se fit entendre me proposant de m’accompagner dans ma visite. La voix prétendait bien connaître les lieux, mieux que personne !
Car les lieux lui appartenaient.
Il s’agissait d’un homme, c’était ma seule certitude, et il paraissait avoir vécu à une époque plus récente que le Moyen-Âge. Il se disait, lui aussi, Catalan très attaché à ses terres.
La preuve : – il ne les quittait pas !
Lui m’expliqua pourquoi il ne les quittait pas :
– son corps était enterré quelque part dans le Monastère.
Un frisson me parcourut l’échine…
J’espère qu’il n’était pas mort assassiné ?
Ce serait bien ma veine, encore, de tomber sur un esprit errant, désespéré et désespérant.
C’est le genre de rencontre qui vous gâche toute votre visite touristique et « historique », genre horrifique !
Vidéovalidée étonnamment par François de Passa malgré l’humour trash : – ce serait ce qu’il ressent parfois dans son monastère !
Il me rassura :
– « Non, il était mort « naturellement », enfin, si tant est que la mort est naturelle. »
Il avait un certain sens de l’humour.
Je l’aurais situé, à vue de nez, ou plutôt à vue d’oeil, enfin de « troisième oeil », comme ayant vécu à l’époque du XIXe siècle, maintenant qu’il se montrait davantage à moi, ayant eu le tort d’accepter sa compagnie par faiblesse, sotte gentillesse, je ne sais pas, moi !?
– Ah si : curiosité féminine…
– Je sais, ce n’est pas bien !
Tant pis, c’était « mâle » mais il était charmant et très bien éduqué, lui…
– Suivez mon regard !
Accepté du bout des lèvres pour la performance linguistique, litotes et allitérations se succédant heureusement dans une époque où le parler français se perd comme s’est perdu le Catalan.
Étant donc par nature féminine curieuse mais par culture citadine suspicieuse, je le mis au défi de me prouver son existence en me donnant des informations sur les lieux, informations que le conférencier ne connaîtrait pas.
Il releva le défi avec plaisir, trop content de pouvoir continuer à communiquer avec moi.
Il se comportait comme un gentilhomme, me précédant dans les couloirs du temps et me suivant dans les escaliers, au cas où je chuterais dans une oubliette de la quatrième dimension, je suppose.
Je le reconnus quand la guide officielle, engagée pour accueillir les touristes, et qui semblait ignorer que le lieu était hanté, nous proposa à toutes et à tous de visionner un film racontant l’histoire du Monastir del Camp.
Dès qu’il apparut sur l’écran en tant que personnage principal du film, je sus que c’était lui :
– longue silhouette élégante et brillant intellectuel, lequel commençait à me « casser les pieds » avec ses histoires d’eau :
décidément, j’ai un abonnement, moi, avec les hommes qui aiment les histoires d’Ô !
Le mot « abonnement » ne lui plaît pas.
Lui, il parle de « sentiment » : – c’est un galant !
[Ensemble de textes populaires de type érotique et burlesque du Roussillon de la première moitié du XIXe siècle en langue catalane.
Lire la Quatrième de couverture
Aquest volum conté l’edició de dos reculls de poemes rossellonesos pertanyents a la primera meitat del segle XIX, fins ara inèdits gairebé en la seva totalitat. El primer, les Obres de Fra Pere, prové d’un cercle d’amics lletraferits entre els quals destaca Pere Puiggarí. El segon, les Poésies catalanes écrites par Monsieur F. Jaubert de Passa, són poemes procedents de Prats de Molló (la majoria escrits per Bartomeu Xatart) i de Tuïr, probablement recollits per Francesc Jaubert de Paçà, però no pas escrits per ell, malgrat el títol que figura en el manuscrit.
Tots dos reculls tenen en comú el fet de ser mostres d’una poesia festiva i d’intenció local, en la qual predomina una visió burlesca de la sexualitat (motiu de sàtira de costums i de paròdia anticlerical). Són mostres de la pervivència de la llengua escrita a la Catalunya del Nord (reflex d’un català parlat encara riquíssim, on ressonen constantment occità, francès i castellà) i del conreu d’una tradició literària lligada amb la del Principat (amb la referència explícita al Rector de Vallfogona com a model).]
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Encore un HPI surprenant (surdoué, oui) qui ne renie pas ce qu’il est :
-un homme !
Ce n’est pas un “Tartuffe”, lui, ou un “Claude Frollo”.
[En Catalogne, le 23 avril, tout le monde offre une rose et un livre. Pourquoi ?] Presque trois ans après, je découvre que la Sant Jordi, c’est l’équivalent de la Saint-Valentin ! Et moi, je m’interrogeais à propos d’une image, une rose rouge posée sur un livre, postée par mon Catalan si beau ténébreux : – En quoi étais-je concernée par la Sant-Jordi ? Parce qu’il me considérait comme “seulement” une écrivaine ? – Pourquoi tant de haine ? En plus, à peine deux heures après, la rose rouge couchée sur le livreétait likée avec plein de petits coeurs par toutes ses autres fans et femmes, nombreuses, qui l’adorent, heureuses de son “cadeau”. – Rédhibitoire, sans espoir, au revoir, le beau Catalan ! Finalement, j’aurais dû rencontrer François Jaubert de Passa avant “lui”. Il m’aurait expliqué la valeur de cette démonstration publique, moi qui “lui” avais demandé un signe concret mais couvert par le charme discret d’un amour secret . Pour que le système de communication du “salon littéraire” fonctionne, il faut avoir les mêmes codes culturels :moi, je venais du nord, “lui”, il était du sud. Conseil à suivre pour “lui” ‘éviter des ennuis après cet écrit, à monchéri : – “Efface de ta page l’image de la rose rouge couchée sur le livre ocre des terres catalanes, image publiée “la Diada del Sant Jordi”, le 23 avril 2020.
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Donc c’est François de Passa, pas toujours sage comme un ange qui m’a guidée, jouant sur les jeux d’eaux/d’Ô et de mots, – “Osez/osés !” dit-il.
Le Catalan assume son attirance pour les belles femmes et confirme qu’il reste bien un homme. Parce que trouver ses oeuvres érotiques sur Google, si vous n’avez pas le lien Internet et l’aide trans-temporelle de l’auteur, je vous souhaite bien du courage !
J’ai même cru qu’il n’existait plus ou pas, qu’il n’était plus qu’une projection de “l’homme catalan” idéalisé, puisque je n’arrivais pas à retrouver ses poèmes érotiques sur le Net. Sans lui, pas de preuve de la survie de son esprit après sa mort et pas de preuve de l’existence du poète catalan érotique dans sa vie d’avant.
Donc il est avec moi, sans l’être tout à fait, sans l’être pour de vrai.
Bah ouais, quoi, si vous croyez que c’est facile de vous débarrasser d’un « visiteur », même si c’était lui, l’hôte, et que vous visitiez les lieux où il habitait : – détrompez-vous !
– Car, depuis la dernière visite du 28 juin 2022, il ne m’a pas vraiment quittée.
En fait, pour tout vous avouer, je devais écrire cet article à sa demande expresse.
Après, normalement, s’il respecte sa parole, il devrait repartir, en tous cas, ne plus rester avec moi trop souvent ou trop longtemps chez moi.
Bref, François de Passa ne veut pas passer à autre chose tant que je n’aurais pas écrit sur la Catalogne et sur…
– C’est là où le bât blesse !
Nous en reparlerons plus tard.
– OKi, c’est moins rigolo que la vidéo mise en ligne avant par moi-même, petite ignorante, lors de la première publication de mon article. – Mais ce n’est pas moi qui décide ! François Jaubert de Passa veut profiter de ce temps de parole qui lui est offert : – “pour vous instruire sans vous ennuyer”, ajoute-t-il.
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Lorsque François se présenta à moi, peu de temps après notre premier contact, comme pour me rassurer, il me dit qu’il était comme « lui ».
– « Qui, « lui » ? » Ai-je demandé, surprise.
– « « Lui », il est comme moi, c’est un chercheur, un Catalan qui aime son pays ! Et lui aussi, il fera comme moi. »
– « Et vous avez fait quoi ? »
C’était avant de voir le film sur le monastère sinon je n’aurais pas posé la question.
Après, j’avoue avoir ressenti un sentiment d’irritation, une sorte de sentiment de persécution, vous savez, quand vous êtes suivie toujours par la même personne, même quand elle n’est pas là :
– ce qui est un comble !
Lorsque j’ai vu le film et que j’ai appris qui était “François de Passa”, immédiatement, j’ai protesté :
– « Je ne sais pas à qui vous faisiez allusion, mais si c’est celui à qui je pense, non, il n’est pas du tout comme vous ! Lui, il n’est pas agronome. »
Réponse du haut fonctionnaire :
– « Vous devriez mieux connaître ses publications. Comme moi, il s’est intéressé à l’eau, à l’hydrographie ! »
Jeudi 16 septembre 2021 à 7:20 – Mis à jour le vendredi 17 septembre 2021 à 15:07
Hélène Legrais nous raconte le parcours de François Jaubert de Passa.
[L’homme dont je vais vous parler aujourd’hui et qui a quitté ce monde le 16 septembre 1856 à Perpignan était, disons-le, un surdoué. Jugez-en par vous-même : après des études dans des établissements militaires dont il sort sous-lieutenant, ce cérétan aux talents multiples poursuit simultanément à Paris des études de droit et de médecine tout en fréquentant l’Académie des Beaux-Arts dirigée par le peintre David. Le voilà avocat tout en recevant la médaille d’artiste de l’Académie de dessin et il n’a pas 21 ans quand il devient auditeur au Conseil d’Etat. Revenu dans les Pyrénées-Orientales pour aider son père malade il est nommé sous-préfet à Perpignan puis conseiller de Préfecture neuf ans plus tard. Une carrière fulgurante, non ? C’est alors qu’il décide de se pencher sur une ressource particulièrement précieuse dans notre région méditerranéenne : l’eau.
Cet homme, ce surdoué, c’est François Jaubert de Passa. Il améliore le système d’arrosage et organise le Syndicat de la Têt dont il rédige le règlement. Dans la foulée, il écrit deux ouvrages sur l’irrigation, dans les Pyrénées-Orientales et en Catalogne Sud, à la demande du ministère de l’Intérieur. Ce dernier traduit en espagnol et en allemand. Il écrit aussi sur la culture de l’olivier et du chêne- liège, sur les gitans, sur l’histoire, la linguistique, l’archéologie …Tout l’intéresse. Membre de la Société Royale d’Agriculture, de la Société Royale des Antiquaires et des sociétés savantes de Toulouse et Valence en Espagne, puis de l’Institut de France, chevalier de la légion d’Honneur il met un point d’honneur à faire profiter son Pays Catalan natal de bon nombre de découvertes techniques et de solutions économiques ébauchées lors de son parcours national. C’est lui qui sert de guide à Prosper Mérimée dans sa tournée d’inspection des monuments et sites remarquables du département en 1843 et c’est grâce à son enthousiasme et sa magnifique érudition que Mérimée ordonnera le classement de plusieurs d’entre eux alors qu’il se désintéressera totalement du reste de la chaîne pyrénéenne.
Jaubert de Passa dont la renommée est internationale décline des offres de postes du Jardin des Plantes à Paris, de Crimée ou d’Afrique pour rester au pays. Président du Conseil général de 1848 à 1853, il est élu du canton de Vinça jusqu’à sa mort. Il accompagne aussi l’arrivée du chemin de fer dans les Pyrénées Orientales. Il ne verra pas, hélas, le premier train entrer en gare de perpignan en février 1858 puisque cet esprit brillant et universel s’éteint donc le 16 septembre 1856 à 71 ans au Monastir del camp près de Passa que Louis XVI avait vendu à sa famille.]
“cet esprit brillant et universel [François Jaubert de Passa] s’éteint donc le 16 septembre 1856 à 71 ans au Monastir del camp près de Passa”
Hélène Legrais est écrivaine, journaliste et historienne. Elle travaille à l’Université de Perpignan où elle forme les générations futures à devenir des penseurs libres. C’est une femme belle et extraordinaire en qui j’ai vu l’âme d’une pharaonne, lionne d’Egypte, revenue s’incarner parmi nous, pauvres mortels.
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Lui, c’est celui qui parle et que je nomme “François de Passa”, au lieu de François Jaubert de Passa, inculte que je suis :
– « Dites-lui de reprendre la carte des réseaux des canaux qui irriguent les terres catalanes. Il va y avoir une grande sécheresse. Il faut arrêter de détruire les “couloirs d’irrigation “. Il suivra mon parcours. Il a un destin politique comme moi. Il partira de Catalogne ! Mais il restera toujours un Catalan. »
– Mais qu’est-ce qu’ils ont tous avec « lui », l’autre déjà mort politiquement pour moi ?
Moi, encore plus “agaçassée” :
– « Dites-le « lui », vous-même ! Moi, je ne suis plus en relation avec “lui” (l’autre). »
Lui :
– « La Catalogne se reconstituera et se reconstruira. Il faut qu’il persiste dans sa voie, qu’il ne doute pas. Il y aura une frontière commune, c’est à dire qu’entre les deux Catalogne-s, il n’y aura plus de frontière française, dites-le lui. Ce sera une exception régionale qui intéressera les Basques aussi et Barcelone sera la capitale de cette nouvelle Catalogne. Perpignan deviendra une ville-rempart qui se développera en tant que marche-pied du contrefort pyrénéen. Il y aura un couloir de circulation international qui permettra à des « sans-statut » (?) de pouvoir traverser l’Europe sans subir de contrôle.
La Catalogne sera une sorte de Suisse méditerranéenne, pratiquant l’ouverture au monde à la fois culturelle et commerciale, une terre d’asile qui prospérera malgré une Europe qui se désagrégera ou à cause d’une Europe qui ne sera plus. »
Moi :
– « M’en fiche… Et puis, qu’est-ce qui me dit que vous êtes réellement ce que vous prétendez être ? Peut-être même que vous n’existez que dans mon imagination ?»
François Jaubert de Passa me rappela une discussion que nous avons eue dans ma maison sur la réunification future de la Catalogne du Sud avec la Catalogne du Nord. En même temps que je préparais une pâte à crêpes, j’avais exprimé mon scepticisme sur cette prédiction géopolitique. L’élu politique m’obligea à me souvenir que j’avais connu le même rejet d’une de mes prédictions fondées sur un rêve prémonitoire.
J’étais alors adolescente et j’avais “vu” la réunification de l’Allemagne, à une époque où ce pays était encore divisé en deux parties, la RFA (République Fédérale Allemande) et la RDA (République Démocratique Allemande). La séparation symbolique du monde capitaliste d’avec le monde soviétique était matérialisée par le mur de Berlin, réalité que j’ignorais étant trop jeune et insuffisamment instruite. Or, dans ce rêve étrange, sorte de prophétie où une voix me montrait l’avenir tandis que des images défilaient comme dans un film, un mur s’effondrait et provoquait, sans que je comprenne bien pourquoi, la Troisième Guerre Mondiale. Le trou du mur s’était agrandi pour devenir une brèche béante par laquelle suintait le sang des peuples affamés se tuant et s’entretuant dans des guerres civiles interminables et épouvantables.
Lorsque j’ai vu réellement le mur de Berlin s’effondrer en direct à la télévision, le 09 novembre 1989 j’ai compris que c’était le mur de mon rêve. Il n’y aurait plus jamais la paix dans le monde. Avant la réunification de l’Allemagne, l’URSS obligeait les USA à se contenir, deux mondes s’affrontaient comme les deux forces du Bien et du Mal, ce qui créait un équilibre planétaire.
Les Russes l’avaient compris, les pays du Tiers-Monde aussi, mais pas les Occidentaux aveuglés par leur matérialisme triomphant : – leur niveau de vie technologique supérieur était confondu à tort avec un très haut niveau intellectuel et, pire, comme la preuve d’une réussite démocratique alors que le consumérisme qui satisfait les instincts les plus vils abrutit les gens et les réduit à l’état de bêtes d’abattoir.
Avant l’effondrement du mur de Berlin, j’avais tenté de prévenir mes enseignants, principalement des professeurs d’histoire et de géographie. A chaque fois, ils m’opposaient un scepticisme rationnel basé sur leurs connaissances géopolitiques du moment :
-“Non, l’Allemagne ne pourrait pas se réunifier ! La RFA avec la RDA, c’était vraiment du grand n’importe quoi… J’avais vu ça dans un rêve ? Hilarant. Quoi, j’avais vu aussi des “néo-nazis” ? Mais il n’y avait plus de Nazis. Et d’ailleurs qui oserait se prétendre Nazi après ce qui s’était passé durant la Seconde Guerre mondiale ? C’était la honte pour eux ! Bon, on continue le cours et j’arrête avec mes questions stupides. Non, on ne pose plus de question, Véronique !”
5 nov. 2019
Trente ans après la chute du mur de Berlin, où en sont les habitants de l’Est ? L’euphorie semble avoir fait place à un certain désenchantement dans l’ancienne RDA. Beaucoup se sentent encore comme des citoyens de seconde zone. Ils ont le sentiment, non pas d’avoir été réunifiés, mais annexés, par la puissante Allemagne de l’Ouest. Un ressentiment qui profite à l’extrême-droite. Le reportage de Céline Galipeau, qui est allée sur place .http://rc.ca/RHd5Fg
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Plus de dix ans après, le 9 novembre 1989, le mur de Berlin s’effondrait. Je savais, horrifiée, qu’il n’y aurait plus jamais la paix en Europe et que le monde deviendrait un champ de batailles avec des êtres humains déplacés ou se déplaçant comme du bétail, poussés par la faim et des dictatures qui se multiplieraient comme des champignons vénéneux sur toute la surface de la planète.
Par conséquent, François Jaubert de Passa me prouvait que je reproduisais l’erreur de mes professeurs férus de certitudes géopolitiques actuelles, en oubliant que le monde était changeant comme les sables mouvants terrestres, que les frontières se faisaient et se défaisaient perpétuellement comme des glissements de terrain cauchemardesques entraînant dans l’abîme des flancs de montagne entiers, et que l’Union Européenne qui n’est pas l’Europe mais un sous-marin américain chargé de torpiller le continent européen allait disparaître comme l’Atlantide dans un tsunami ou, pire, une guerre nucléaire voulue par elle pour tester les nouveaux joujoux de l’ armement militaire américain .
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Les déchirements d’une famille roussillonnaise devant les crises franco-espagnoles de 1793 à 1808, d’après les « Souvenirs » inédits de François Jaubert de Passa (1785-1856)
Jacques Saquer
[Voilà en quels termes, avec un recul d’un demi-siècle, François Jaubert de Passa se penche sur ses souvenirs de l’hiver 1793-94, après la victoire française de Peyrestortes, et sur ceux de la mi-mars 1808 qui précèdent de quelques jours l’émeute d’Aranjuez. L’abdication de Charles IV et l’avènement de Ferdinand VII qui devaient précipiter « la guerre del Francès ». Originaux et intéressants ces témoignages d’un homme dont la vie active fut illustrée de preuves nombreuses d’attachement au Roussillon, sa « petite patrie », à la France sa « grande », et à l’Espagne à laquelle l’agronome et l’historien qu’il fut voua un culte intellectuel profond1. Ces dispositions d’esprit, il les avait trouvées dès l’enfance, dans sa famille de vieille aristocratie catalane, tantôt robine, tantôt militaire, et toujours enracinée dans le terroir tout en cultivant de fortes relations avec les élites contemporaines de ces trois nations. La tradition chez les Jaubert de Passa n’était pas tièdement vécue et les situations peu ordinaires dans lesquelles les plongèrent les événements de la frontière des Pyrénées-Orientales entre 1793 et 1808 peuvent nous aider à mieux approcher les liens de « l’Internationale aristocratique » et la complexité des attitudes des « ci-devant » face à la tentation d’émigrer. Nous citerons longuement ces évocations extraites des deux premiers tomes d’une œuvre inédite qui en comporte six et dont nous préparons une édition critique. Les « Souvenirs » de François Jaubert de Passa furent écrits tardivement, entre 1848 et 1856, dans les dernières années d’une vie riche d’engagements dans le service public, depuis 1806, et particulièrement voués, dans ce domaine, au Roussillon et aux relations franco-espagnoles.]
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Sauf que la Russie gagnera !
Car l’Union Européenne a sabordé toute sa capacité autarcique à survivre pour devenir un sous-continent africain livré aux appétits des rentiers de la Dette.
Les régions les plus riches subsisteront tandis que les Etats-Nations disparaîtront de par la volonté même de leurs élus au service d’intérêts dits européens mais contraires à l’intérêt général des peuples européens.
Que vous le croyez ou pas, l’Histoire reprendra ses droits, les frontières se redessineront et les Catalans auront un pays, comme les Basques, les Bretons, les Corses, etc., qui “dé-bordera” les frontières nationales de l’Espagne et de la France, deux nations trop affaiblies pour résister à ces mouvements indépendantistes.
Quand les Catalans du Sud sauvent le patrimoine culturel des Catalans du Nord, – c’est aussi un signe fort pour François Jaubert de Passa ! Non, la Catalogne n’a pas été divisée, elle n’ a pas disparu en France engloutie par l’Occitanie, trahie par un autre Catalan que le “Maître des lieux” et que les Catalans du Nord n’apprécient guère : – le politicard Manuel Valls.
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Lui :
“Vous verrez et vous saurez. “
La visite s’anima davantage.
Mon « guide » me montrait tout ce qui était laissé à l’écart de la visite, particulièrement certains quartiers, dortoirs où dormaient les moines qui avaient habité dans le monastère. Ensuite il m’indiqua le puits central du jardin qui abriterait un tunnel permettant de sortir du monastère quand il était assiégé. A chaque fois, je posais la question à la guide, Nicole, qui me répondait :
– « Oui, c’est le bâtiment réservé aux moines de l’autre côté. Oui, ils y dormaient. Là, vous voyez le réfectoire à travers les grilles. Il est interdit d’accès au public. Et les chambres à l’étage non visibles d’ici ne peuvent pas être visitées, c’est aussi interdit d’accès ! Non, on ne peut pas aller les voir. »
– « Ah, la légende du tunnel sous le puits ?! Effectivement, il paraît qu’il y a un tunnel qui permettait de sortir du monastère à partir du puits. Il faudrait sonder le sol et tout retourner mais jusqu’à quelle profondeur ?
Personne n’a jamais cherché à vérifier si c’était vrai. En plus, il y des corps enterrés dans le monastère. C’est compliqué de vérifier si c’est vrai et ça coûterait cher en fouilles archéologiques. »
Moi, à mon « visiteur » :
– « Vous voyez, vos informations ne prouvent rien. Après tout, j’aurais pu obtenir ces renseignements par télépathie. Les personnes qui font visiter votre monastère connaissent qui, la légende du puits avec le tunnel, qui le bâtiment abritant des lits pour des moines. Donc, ce n’est pas probant ! Vous n’existez peut-être pas et vous n’êtes sans doute que le fruit de mon imagination. Peut-être que, moi, je suis juste « branchée » sur la guide et mon conférencier. »
Le savant et homme politique catalan :
– « Ah, parce que la télépathie, c‘est scientifique ? Il n’y a qu’une femme pour croire à la transmission de pensée ! »
Moi :
– « Non mais, je rêve ! Vous êtes mort et vous niez la télépathie ? »
Lui :
– « On peut être mort, Madame, et rester un scientifique. »
Incroyable ce que les hommes peuvent être de mauvaise foi !
– Exemple de mauvaise foi illustrée brillamment par Emmanuel Macron, le Président du siècle de l’obscurité élu par des Français qui ne votent jamais plus “pour” mais toujours “contre”, ce qui est la plus grande escroquerie politique de la Vème République selon François. – Bravo à Naïm qui rappelle quel pays était et devrait être la France ! Humour admis par François de Passa qui le considère comme étant “thérapeutique” : – la comédie, par le rire, corrige les vices démocratiques du faux-vote majoritaire !
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Alors que nous visitions l’église du Monastir del Camp, une petite église magnifique abandonnée et délaissée, « mon » conférencier nous conduisit jusqu’à une chapelle et nous expliqua que cette chapelle avait été construite… Oups, il faudra que je regroupe mes notes !
Là, je publie l’article pour me débarrasser… – Euh, pardon !, pour respecter l’engagement pris envers François de Passa, le Baron François Jaubert de Passa, s’il vous plaît.
Mais, sincèrement, j’exagère, il n’a jamais fait péter son « grade » ni « la particule ». Il est très humble malgré son statut social et malgré une aura internationale ignorée en France, pays d’ignares tout comme moi.
Donc, reprenons le fil de l’histoire dans l’Histoire, en vous priant de bien vouloir excuser mon ignorance impardonnable puisque je l’ai su et puis… :
– Flûte, j’ai oublié !
Il faut dire que la visite au monastère date du mois de juin 2022, sans oublier que la fonction première de la mémoire est l’oubli, surtout quand il s’agit d’une personne à oublier prioritairement dans ma vie pour ne pas finir enterrée vivante par elle dans un cimetière catalan déserté, à coups de pelletées de médisances aux seules fins de se faire bien voir de ses confrères et valoir auprès de ses “c.ns” de Frères.
– Non, pas François Jaubert de Passa !
La preuve, lui, François de Passa est toujours là, dans ma vie, rencontre inoubliable.
– Question de François de Passa : – “Savez-vous si vous rêvez ?” Et il me demande : – “Savez-vous quand “il” (l’autre qu’il dit lui ressembler) est vrai, en réalité, dans vos rêves ou dans sa vie ? – Qui est-il vraiment, celui que vous voyez en lui ou celui que les autres voient et qu’il s’oblige à être conformément à leurs attentes déprimantes et stérilement contraignantes ?” Ma réponse : – “Posez-lui la question, vous-même ! On juge l’homme à ses actes et l’arbre à ses fruits. Il n’est jamais en vérité avec lui-même.” Réponse étonnante du savant (qui me tue) : – “Donc, s’il n’est pas en vérité avec lui-même dans la réalité, c’est qu’il est vrai dans une autre réalité, celle de vos rêves. – Madame, tel que vous le voyez dans vos rêves, il est. Et il le sait.”
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Je reprends, c’est très important et c’est sans doute pourquoi j’ai oublié le nom des bienfaiteurs qui ont laissé ce signe « inconnu » pour moi et « introuvable » pour le conférencier dans la chapelle de la petite église du monastère. C’est la preuve indéniable et insupportable pour moi que François Jaubert de Passa me guidait lors de cette visite du 28 juin 2022 au Monastir del Camp.
Cette preuve d’une survivance de l’esprit, devenu “esprit des lieux”, m’oblige aujourd’hui à réécrire un article en lien avec le destin d’un autre “vivant” que celui du défunt François de Passa, -un “burro catalàn” qui rue au lieu d’avancer sur le chemin de son destin et tue toutes ses chances de pouvoir réussir politiquement.
Que se passa-t-il dans cette chapelle au sein de l’église du Monastir del Camp ?
Le conférencier médiéviste, éminent historien et talentueux épigraphe, perplexe, cherchait dans cette petite chapelle la preuve que ce sont bien les « …. » (j’ai oublié, rappelez-vous!) qui avaient aménagé cet endroit. Il s’étonnait de ne pas trouver un signe important, leur blason ou leurs armoiries.
Car un autre chercheur lui avait affirmé que la preuve existait bien, que les bâtisseurs avaient « signé » leur don, c’est à dire la construction ou l’aménagement de ce lieu (je ne m’en rappelle plus, rappelez-vous).
Là, tandis que l’expert médiéviste explorait le lieu de culte, j’entends la voix de François de Passa :
– « Il faut sortir !»
Moi, surprise :
– “Sortir ? Mais où ? »
Réponse un peu agacée :
– « Sortir de la chapelle. »
Tout le groupe était à l’intérieur de la petite chapelle.
Je sortis, un peu gênée de me singulariser.
Enfin, j’étais de retour dans l’église où j’entendis.
– « En haut ! »
Je levai la tête. Le plafond de l’église aurait mérité d’être restauré, sans oublier les fissures qui lézardent les murs anciens du lieu de culte.
– « Mais non ! En haut de la chapelle, à l’extérieur, mais en haut de la chapelle ». »
Je retournai vers la petite chapelle.
Je m’apprêtais à y rentrer à nouveau pour regarder son plafond, en reprochant à mon « visiteur » de m’avoir fait sortir de cet endroit pour y retourner :
– « Non, arrêtez-vous ! Levez la tête, ici, devant la chapelle. »
Je suis devant l‘entrée de la chapelle qui forme un arc de voute. Il n’y a pas de porte. Je dois regarder quoi ?
– « Là-haut, regardez ! »
Je regarde, je ne sais pas ce qu’il faut regarder.
La communication avec les « Vivants » de l’autre côté, ce n’est pas toujours très clair.
En plus, moi, j’ai un sens de l’orientation très féminin.
Je ne vois rien.
– « Si, regardez bien ! C’est comme des marques sur la maçonnerie en hauteur. »
J’ironise :
– « Si j’avais su, j’aurais apporté mes jumelles d’exploration pour observer les oiseaux dans la nature ! »
Et, tandis que je continue de scruter la façade, l’arc de voute qui surplombe l’espace de séparation, au-dessus d’une porte inexistante entre la chapelle et la petite église, je distingue loin au-dessus, presqu’au centre de l’arc de voute, une sorte de tout petit triangle avec des traits horizontaux le traversant, deux, trois traits de mémoire, à peine visibles (- n’oubliez pas, j’ai un peu oublié les détails !), comme des sortes de rainures dans le plâtre.
– « C’est ça, vos armoiries ? »
– « Oui, c’est ça, comme vous dites, mais ce ne sont pas « mes » armoiries. Justement, ce sont les leurs, celles que recherchent votre ami si érudit ! »
Je me rapproche du conférencier qui a renoncé à chercher le blason ou les armoiries des « … » qui ont construit cette petite chapelle, en hommage à « … », je ne sais plus qui.
Cependant j’hésite.
Je lui dis ou je ne le lui dis pas que je pense avoir trouvé le symbole ?
Je me décide et ose passer pour la dernière des imbéciles :
– « Je crois que j’ai trouvé ce que vous cherchiez, si ce sont bien des armoiries. »
Vidéo pédagogique remplaçant celle humoristique choisie par moi lors de la publication de l’article. CarFrançois Jaubert de Passa souhaite que mon article serve à vous éviter les confusions commises par moi-même entre blasons et armoiries et à vous faire comprendre aussi qu’il ne s’agit pas seulement de décorations pour enjoliver des armures ou des murs.
Il me regarde, un peu surpris, et demande simplement :
– « Où ? »
Je lui indique la sortie de la petite chapelle et je me plante, pas très fière, devant l’arc de voute qui surplombe l’entrée.
Si “je me plante”, au sens figuré du terme, cette fois-ci, c’est que je serais vraiment folle, à finir mes jours serrée dans une camisole de force, internée de force à l’hôpital de Thuir, hôpital psychiatrique des Pyrénées-Orientales, qui n’est pas loin de Passa justement.
Mais je dois et je veux savoir !
Si c’est François de Passa qui me l’a réellement indiqué, alors ce sera le signe que recherche « mon » conférencier, un signe jamais trouvé.
– Et ce sera surtout, pour moi, le signe que je ne suis pas folle !
Car, moi, je doute toujours de moi.
L’homme le plus érudit que je connaisse lève la tête et contemple l’arc de voute.
Il est dubitatif et il examine attentivement l’arche tout en haut.
Il remarque alors plus rapidement que je ne l’avais fait le triangle avec les traits horizontaux qui le traversent :
– « Mais oui, c’est bien cela ! Mais qui se serait douté qu’il soit là ? Moi-même qui ai l’habitude d’explorer ce type de lieux, je ne l’avais jamais vu. Eh bien, voilà, c’est la preuve que ce sont eux, les « …», (oups, rappelez-moi de demander à mon ami, sans le vexer, de répéter ce qu’il avait expliqué ce jour-là sur la construction de la petite chapelle) qui ont laissé cette marque pour qu’on se rappelle qu’ils étaient les bâtisseurs ! »
C’est un peu raté, pour moi, le devoir de mémoire.
Tout content, le chercheur ajoute :
– « C’est bien leur armoirie, oui ! L’histoire dit vrai. »
En moi-même :
– « Comme la légende du puits, dommage qu’il n’y ait pas eu de fouille ! »
Mais je n’ose formuler à haute voix ce regret.
Je ne sais pas pourquoi François de Passa souhaite prouver qu’il y a un tunnel.
– Oui, je l’ignore et il ne répond jamais à cette question.
Y aurait-il un cadavre caché dans le puits, puits complètement scellé ?
Puis, tout à coup, je réalise que si c’est vrai, si c’est bien lui, François de Passa, le propriétaire des lieux qui m’a indiqué où se trouvait le blason, alors ce qu’il m’a dit… ?
– Ah non, alors !
Je vais devoir respecter mon engagement et publier un article sur François de Passa,
et surtout, sur l’avenir de la Catalogne !
Et sur l‘avenir de… ?
Je ne sais plus, j’ai oublié, oups.
N.B. :
Je compléterais l’article avec les informations redonnées par mon ami conférencier dès qu’il aura répondu à la question que je ne lui ai pas encore posée :
– « Vous rappelez-vous la séance d’épigraphie au Monastir del Camp ?
C’était les armoiries de qui ?
Sur l’arc de voûte à l’entrée de la petite chapelle, vous savez, le signe que vous cherchiez ?
J’aurais dû le noter mais je suis si étourdie ! »
Je suis si étourdie que j’oublie tout.
Néanmoins, avec ou sans trou de mémoire, ce que je viens de publier est la plus stricte vérité :
François de Passa n’est pas mort et il reste le propriétaire du Monastir del Camp.
Si j‘étais à la place des mécènes qui tentent de valoriser, à raison, ce magnifique monastère, j’exploiterais la hantise des lieux pour attirer les amateurs de paranormal et offrir à François Jaubert de Passa un auditoire digne du Maître des lieux .
Et si je m’appelais celui que JE NE CONTACTERAIS PAS et à qui est adressé ce post par l’élu politique de Catalogne le plus respectable qui fut, je me déplacerais en personne physiquement pour rendre son salut à François Jaubert de Passa qui l’attend dans sa demeure, au Monastir del Camp.
– Ma vidéo préférée pour savoir de quoi on parle ou de qui : “HPI” ?! Exposé pédagogique des compétences et aussi des incompétences psychologiques des HPI, pas seulement pour les enfants, objectivées par un professeur avec modestie et… talent. Et puis, j’aime bien, sémiologiquement, le clin d’oeil du “Grand Méchant Loup” !
Fin du premier semestre.
L’amour est sous séquestre.
– Me reviennent sans cesse des airs d’opéra, de comédie musicale, je ne sais pas pourquoi, airs de détresse, fantômes pas en fête, qui traînent dans ma tête et me retiennent comme la nostalgie d’une autre vie jamais connue, d’envies si peu vécues, la nostalgie d’un je-ne-sais-quoi, sans foi ni loi, ni joie aucune qui m’entraîne vers nulle part.
Peut-être même que ces : – « Je t’aime ! » ne m’appartiennent déjà plus ?
« Notre Dame de Paris » résonne et réclame son dû tandis que tout déraisonne autour de moi.
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Pourtant, je n’ai jamais entendu ni vu la comédie musicale « Notre Dame de Paris ».
– Si j’aime Victor Hugo ?
Il m’arrive parfois de m’asseoir sur ses genoux comme une enfant jamais défunte, l’ombre de sa fille Léopoldine, pour l’écouter me raconter la « Légende des Siècles », dans laquelle il inclut à l’avance, prophétique et plasmatique, charismatique et fantomatique, la légende divine d’un siècle à venir, de notre siècle si barbare qui débute dans la guerre, peut-être celle fatidique de la Troisième Guerre Mondiale.
Mais ce n’est pas lui, le poète romantique et mythique, qui me prend la tête actuellement.
J’ignore qui, d’ailleurs, fredonne ces airs si doux, si durs, chansons retrouvées par hasard en allumant une radio de bazar dans une chambre trop silencieuse pour pouvoir y travailler.
Je voulais du bruit pour couvrir mes pensées devenues des notes de musique qui s’enfilaient comme des perles mélodiques sur un collier magique, litanies fluides d’une nuit non-endormie.
Je reconnus les airs de « Notre Dame de Paris » fredonnés il y a quelques années par une collègue de bureau déchaînée qui n’arrivait plus à s’en défaire. Cette comédie musicale avait secoué le monde entier d’un frisson d’espoir hugotique et révolutionnaire.
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– Pourquoi, tout à coup, étais-je comme possédée, envoûtée par ces chansons qui tournaient en rond, formant une ronde obsédante de figures légendaires, le beau et traître capitaine Phoebus, beau comme un dieu, le dieu Apollon, beau comme un soleil, le soleil de la vie de tout être humain, le soleil de l’amour, le soleil de la vie d’une femme qui illuminait son coeur, celui de la belle Esmeralda, la bohémienne, cette chienne de païenne pendue pour l’avoir aimé, l’avoir tenté, l’avoir ensorcelé.
Nous sommes toutes des sorcières, porteuses d’un désir interdit, jeteuses de sorts ayant le seul tort d’être convoitées par des hommes irresponsables et veuls, jamais coupables de leurs actes.
Rien d’inédit dans cette histoire de femme, « Notre Dame de Paris », vouée aux flammes de l’Enfer parce que pécheresse qui allume des feux de détresse dans le coeur sain d’hommes épris, si peu saints qu’ils caressent toujours l’espoir vain de rencontrer la “flamme/femme” qui changera les couleurs ternes de leur vie
pour se charger de toutes leurs envies,
qu’importe le prix à payer pourvu que le feu qu’elle rallume et qui brûle en eux s’éteigne vivement, fatalement, de sa plus belle mort,
la mort de la belle.
– N’est-ce pas qu’il est mignon, l’archidiacre et alchimiste Claude Frollo vu par Walt Disney ?
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Situation reprise autrement dans la comédie musicale de « Notre Dame de Paris », chanson interprétée par Daniel Lavoie incarnant l’archidiacre Claude Frollo :
– Je ne vais pas te détruire, homme de loi et de peu de foi, homme de savoir sans rien devoir. Et à qui le devrais-tu ? Je t’abandonne à ton choix de vie domestique. Je n’aime pas avoir un collier autour du cou.
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« HPI », « Hautement Putain Incendiaire », lire de préférence pour l’acronyme officiel :
– « Haut Potentiel Intellectuel », je suis, il paraît.
Traduction pour les édiles et autres imbéciles :
– « Chieuse puissance dix mille » !
– “Conchita la ménagère” salue bien le Capitaine Phoebus et tire à vue sur l’archidiacre Frollo !
Je m’identifie assez bien à l’héroïne de la série télévisée « HPI », un peu physiquement, très beaucoup psychologiquement, à la différence près que j’attire suffisamment l’attention des mâles pour en finir avec les tenues extravagantes :
car je suis d’une nature extravagante de toutes les façons que je m’habille, et, même nue, parmi d’autres milliers de femmes nues, je ne passerais jamais, hélas, inaperçue.
Souvent, adolescente, je m’interrogeais sur cette attention perturbante que me portaient les mâles au point de devenir leur centre d’intérêt privilégié et de me voir, ensuite, reprocher par eux leur affection délirante envers moi, sans pouvoir prendre la fuite et les quitter, puisqu’ils étaient alors mes professeurs.
Après avoir été ménagère dans l’imagination délirante des frustrés, j’ai pris du grade : – pour les nuls, j’étais secrétaire, sans doute en bas résille et mini-jupe ! – Moi, secrétaire, tu m’as bien regardée ? Jamais de la vie ! J’étais une “fonctionnaire atypique”, écrit noir sur blanc dans mon dossier individuel.
En première, au lycée, j’arrivais sanglée dans un long imperméable beige que je portais toujours, même en cours, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, pour me protéger du regard avide des mal-baisés et des mâles non baisés car non baisables.
Mais le sexe fort a des yeux pervers semblables à des rayons lasers qui vous déshabillent le corps, qu’importe le vêtement que les filles portent, même si elles filent doux et loin d’eux, se cacher dans un coin de leur mémoire, pour qu’ils ne les emportent pas, qu’ils ne les soulèvent pas et qu’ils ne les enlèvent pas, lors d’un rituel de rut brutal, sur la croupe d’une monture phantasmatique imaginaire.
Plus tard, j’en ai pris mon parti.
J’ai décidé que je ne serais plus la victime anonyme de leurs assauts verbaux, cavaleurs après moi qui font flèche de tout bois, mais que je deviendrais Diane la chasseresse poursuivant les impudiques hâbleurs de mes flèches humoristiques jusque dans l’abîme de la honte publique :
l’humour peut tuer l’amour, j’en suis convaincue,
surtout quand cet amour n’est que le réflexe de « Popaul »,
le poulpe à une seule tentacule qui se branle en rêvant de cul
et en crevant de ne pas pouvoir assouvir ses envies physiologiques dont Bobonne se fout éperdument.
En clair, pour eux, ces lutteurs de foires d’empoigne sexuelle, j’incarne dans ma chair l’air d’une autre chanson classique, celle d’un non-dit freudien incarné par l’héroïne de « Notre Dame de Paris » et de son nom maudit, presque le mien, couvrant le non-dit vulgaire du tout « ça » masculin qui se veut viril :
– « Elle est trop bonne, j’vais m’la faire… « la cochonne » ! »
– Pourquoi est-ce que les Préfets m’aimaient bien ? Parce qu’avec moi, ils ne s’ennuyaient pas ! Leur vie administrative n’était plus un long fleuve tranquille et, eux, ils avaient le sens de l’humour.
Mais, messieurs, il faut se méfier des truies et des truismes car les apparences sont trompeuses et les paroles frauduleuses dangereuses.
La bête reste sauvage et l’enfilage fort improbable pour le mâle irréprochable qui risquerait de finir à l’étalage, sa tête mise à prix lors d’un déballage indécent entre ordures ménagères et procédures viagères.
– Non, s’il faut me prononcer sur la question de l’union sexuelle, moi, la bohémienne, la chienne de païenne, l’indomptable louve solitaire, je dirais que l’homme ordinaire doit renoncer.
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– Je préfère, “lui ” ! Tant qu’à aimer un homme imaginaire, qu’ il soit au moins HPI, lui aussi, et complètement barré pour bien se marrer ensemble et peut-être même se marier, en réinventant le mariage pas sage à la folie.
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Aussi, je lance un appel à mon ami « lou-p », à mon incroyable protecteur,
– toi qui erres par monts et par vaux, sans attache et sans tache, au-delà de l’au-delà,
trouve-moi mon « Balthazar »,
qu’il s’appelle comme l’ange « Raphaël » ou d’un autre prénom porteur de sens,
beau ainsi que le comédien Tomer Sisley qui incarne follement un HPI inspiré aussi barré que moi,
un insurgé qui parle avec les morts,
un résistant qui sort de l’ordinaire et que nul ne peut rembarrer,
un aventurier amarré dans une vie impréparée qui n’est pas celle de tous les jours, de vos jours si ennuyeux qui passent et trépassent,
pour que, tous les deux réunis, lui uni avec moi, aucun jour ne soit plus jamais pareil à celui d’hier et que notre existence devienne une merveille !
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Je laisse à leurs déboires conjugaux, les capitaines Phoebus, et, à leurs frustrations démentielles, les archidiacres Frollo, eux qui tuent les belles rebelles si chères à leurs coeurs, elles, ces femmes si réelles, trop réelles qui ne les font jouir que dans leurs rêves pas dans leur chair.
A vous, hommes frustrés qui crevez d’envie de connaître un amour exceptionnel ,
à vous, hommes délabrés qui dépérissez de ne pas vivre une passion incasable dans votre vie si casanière,
à vous, êtres sans raison d’être qui chérissez votre existence vénale, sans espérance,
à vous, heureux propriétaires de biens matériels qui tuent à petits feux votre liberté, chacun à votre tour, chaque jour,
liens d’argent qui ne vous nourrissent plus mais vous corrompent au point que vous pourrissez sur pied et laissez entrer la mort carnassière chez vous
par peur de perdre votre vie si banale remplie de certitudes et d’habitudes fatales,
par peur de vivre une autre vie qui serait comme renaître sur terre,
enfin libres de tout lien !
Il ne faut pas avoir peur de mourir :
– il faut surtout avoir peur de ne pas avoir vécu
et d’être morts bien avant que vos yeux ne se ferment,
quand votre coeur a cessé de battre par amour.
« Jacques a dit » : (jeu de mots autorisé)
– « Vivez libres ! »
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Pour celles et ceux qui, comme moi, n’auraient jamais vu et/ou entendu la comédie musicale “Notre Dame de Paris”,
je mets en ligne deux vidéos leur permettant d’apprécier le message humanitaire et révolutionnaire que porte le chef d’oeuvre littéraire de Victor Hugo,
chef d’oeuvre qui nous transporte au “Temps des Cathédrales” et des bâtisseurs de cathédrales (une des magnifiques chansons de cet opéra dansé),
artistes anonymes capables de produire gratuitement pour donner témoignage universel d’une foi éternelle en l’Homme,
maçonnerie opérative latine aujourd’hui remplacée par la maçonnerie spéculative anglo-saxonne qui détruit toute la spiritualité chrétienne.
Victor Hugo a adossé son livre à un chef d’oeuvre d’architecture gothique mondiale :
la Cathédrale “Notre Dame de Paris” qui a été incendiée sous le règne d’un “Emmanuel”, Emmanuel Macron,
actuel Président français dont le prénom “Emmanuel” ne signifie plus, dans son cas, pour les Chrétiens : -“Dieu avec nous” !
mais plutôt, hélas : – “Ni dieu ni maître, seul moi, le Président “Emmanuel” qui règne” omnipotent sans être omniscient, homme si suffisant dans le pire sens du terme “orgueilleux” et propagateur d’une religion, une seule, celle de l’Anti-Christ !
A Victor Hugo, le résistant qui n’a jamais voulu plier genoux devant aucune autorité de ce monde,
la seule autorité légitime à respecter étant celle des lois, à condition qu’elles soient réellement l’expression publique de la volonté générale du peuple
et non plus la confiscation du pouvoir populaire par une oligarchie capitaliste prédatrice !
– If I prefer light to darkness, what did you propose my diabolical angel so sexy to your girlfriend ?
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– « Retiens-moi où je vais faire… une bêtise ! »
Après tout, mon si bel amour, mon « killer » adoré à qui je pardonne tout, après tout, toi aussi, tu en fais… des bêtises ?
Donc, pourquoi, toi, tu aurais le droit de faire des bêtises et pas moi ?
– Pourquoi tu aurais le droit d’agir à ta guise et pas moi ?
De toutes façons, pas besoin que je déguise mes sentiments pour te faire plaisir !
– Que j’aiguise la jalousie des autres t’est complètement indifférent, du moment que je t’aime, toi !
Souviens-toi, mon si beau mâle, de cette fois où, t’expliquant que je préférais éviter toute rencontre dans ton milieu professionnel, tu m’avais dit, la voix rauque et le souffle court :
– « J-e n-e peux pas … être discret ! »
Si je mens, j’irais en enfer… te rejoindre.
Molière de l’humour : Blanche Gardin Comment Blanche Gardin règle ses comptes et se retrouve à se remettre elle-même le Molière de l’humour 2018?
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Le ton dans lequel tu avais prononcé le « Je ne peux pas... » signifiait plutôt que tu ne voulais pas être discret.
Tu rejetais le secret et la discrétion, la tradition des salons littéraires dans lesquels des amants pouvaient exprimer leur amour sans jamais trahir le nom de la personne aimée pour ne pas faire souffrir d’autres prétendants.
– Tu voulais quoi, dis-moi ?
– Que la terre entière sache que je t’aime ?
• L’anonymat de l’amour, c’était – « Non ! ».
– Aurais-je dû en conclure que tu avais donné à lire, à d’autres hommes moins heureux, des écrits aventureux qui ne s’adressaient qu’à toi, désir d’amour ou délire tout court ?
Sur ce point, mon voyou si mal élevé et pas du tout éduqué, il faudra que nous ayons une explication de textes.
Du coup, voyant mon grand filou si peu regardant dans la cour de l’amour courtois se comporter comme un chien fou renversant les règles d’une étiquette peut-être désuète, j’avais décidé de ne pas être plus discrète qu’il ne l‘était, lui, puisque tous ses pairs paraissaient au courant qu’il me ou que je lui… courait-s après :
– merci pour l’impair !
– “Oui, la chipie est une chieuse !”
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– « Chipie »
[« Je suis maleuleu,
J’ai l’oeil qui pleut
T’es bien trop loin
Reviens
—————–
Quand tu rappliques
C’est la panique
Hors du dodo
Bobo
[…]
Chipie casse-toi, reviens
Chipie t’es loin, fous le camp
Chipie tire-toi, tu crains
Chipie, Chipie reviens, va-t-en ]
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– Chipie était partie, chéri, dans un autre département !
Maintenant, j’ai très envie de faire une grosse bêtise…
– Sinon je ne serais pas une chipie !
Puisque tu ne veux pas être discret, alors je ne serais pas discrète.
– Non, rassure-toi, je ne vais pas me jeter sur toi et te déshabiller en public comme une rock-star !
Même si j’adore « Little Nicholas »…
– Je serais sage, promis, comme une image !
Je ne serais même pas là pour te couvrir de caresses et de câlins dans un moment de liesse sexuelle.
– Nous nous contenterons d’un débordement de tendresse, mon amour unique, à distance !
Mais je veux pouvoir offrir à mon « killer » un cadeau digne de lui, du mâle Alpha qu’il est, mi querido devenu soudainement un héros… pour les autres !
… Puisque plus aucun-e étudiant-e de Sociologie n’est fébrile devant l’échéance semestrielle, bien qu’il-elle n’ait pu assister à aucun des cours requis, ne sera sanctionné-e pour cet absentéisme involontaire… de leur part à eux…, je fêterais Noël avec toi… virtuellement !
En effet Saint-Nicolas qui se célèbre le 6 décembre a sauvé les étudiant-e-s en sociologie d’un échec certain qui aurait rendu vains tous leurs efforts en d’autres matières.
Les dernières modalités imprévues leur permettront de réussir l’examen sans avoir assisté aux cours et sans léser les autres étudiant-e-s.
Il n’y aura pas ou plus de rupture d’égalité pour cause d’autre rupture.
– N’est-ce pas qu’il est admirable en toutes choses, mon doudou d‘amour devenu si favorable à la Sociologie ?
Il n’y a que lui pour opérer pareil revirement surprenant du fait du chavirement de mon coeur abstinent, parce qu’il est tellement, tellement, tellement… lui :
– si redoutablement conquérant et si irrémédiablement attirant !
Sans lui, le diagnostic final des docteurs et autres doctorants aurait dû être fatal aux jeunes sociologues en herbe, sauf qu’il y a eu un miracle sous le sapin, le miracle de Noël.
– Donc comment pourrais-je rester insensible à de tels faveurs inattendues vainquant les peurs répandues avant chez les étudiant-e-s ?
De toutes façons, j’ai des excuses :
– toutes les femmes t’adorent !
– “From Russia with love !“
Dès qu’une autre femme me parle de lui, elle ajoute quasi-systématiquement :
– « Nicolas “X” » [secret, un peu, non, quand même ?], j’l’adore ! »
• Rien que de plus normal anthropologiquement :
– Une professeure de sociologie a rendu compte du résultat d’une enquête de terrain sur les rencontres en ligne visant à déterminer les profils préférés des femmes et des hommes, donc ceux ayant le plus de chance d’obtenir un premier RDV, après prise de contact sur le site Internet, selon des caractéristiques socio-déterminées à trouver et prouver surtout.
L’aspect physique idéal et le capital social du mâle le plus recherché par les candidates à l’amour sur Meetic correspondent parfaitement au profil de mon magnifique « killer » :
– grand, mince, brun méditerranéen, genre beau ténébreux, appartenant à la classe supérieure intellectuelle, ce qui fascine les femelles les plus instinctives captives de son regard ombrageux au premier contact visuel !
– “Same place, another time : toutes se précipitent, mais pas toujours moi…, pas toujours !”
Marie Bergström : Sexualité, couples et rencontres au temps du numérique
Publié le 13/11/2020
Auteur(s) – Autrice(s) : Marie Bergström, Emmanuelle Santelli
Anne Châteauneuf-Malclès
[ Les services de rencontres connaissent un succès inédit depuis l’apparition des sites et applications mobiles spécialisés dans les rencontres en ligne. Depuis dix ans, Marie Bergström, sociologue à l’Ined, enquête sur ces nouveaux espaces dédiés à la rencontre, qui bousculent les pratiques amoureuses et sexuelles ainsi que les représentations de l’amour. S’intéressant à la fois à la production de ces sites et à leurs usages, elle analyse le processus de privatisation de la rencontre auquel ils contribuent, ses implications sur la vie intime, et ce qu’ils nous révèlent sur les rapports sociaux de classe et de genre.
Marie Bergström, chargée de recherche à l’INED, était l’invitée du séminaire Re/lire les Sciences Sociales, à l’ENS de Lyon, en février 2020. Spécialiste en sociologie du couple et de la sexualité, et notamment des rencontres amoureuses en ligne, elle a publié en 2019 Les nouvelles lois de l’amour. Sexualité, couple et rencontres au temps du numérique aux éditions La Découverte (présentation éditeur). Cet ouvrage est tiré de sa thèse de sociologie, dirigée par Michel Bozon et portant sur la production et l’usage des sites de rencontres en France, qu’elle a complétée par une enquête empirique sur les applications de rencontre. La sociologue Emmanuelle Santelli, directrice de recherche au CNRS au Centre Max Weber, également spécialiste du couple et de la sexualité, était présente pour discuter de cet ouvrage. ]
Intervention de Marie Bergström : Les nouvelles lois de l’amour
Marie Bergström : Sexualité, couples et rencontres au temps du numérique — Sciences économiques et sociales
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• Tu vois, mon chéri, c’est bien, la Sociologie!
De plus, elle est très jolie aussi, Marie Bergström, comme la plupart des professeures de sociologie, ce que tu n’ignores pas.
En clair, malgré mes prétentions à être une louve solitaire, je suis une femelle banale aimant le même type d’hommes que les autres femmes correspondant à ces critères “sociologiques“, – eh oui !, c’est à dire un homme comme lui peu ordinaire, profil extraordinaire le plus cher en valeur marketing, produit le plus vénal :
• « The Most Wanted » !
Rien d’original en moi.
Par conséquent, je suis toute excusée d’être tombée… amoureuse de toi, comme toutes les autres.
Et il faudra bien que tu t’habitues à être « adoré », mon cher « killer », puisque c’est le terme qui revient le plus souvent dans toutes les bouches féminines qui me parlent de toi, toi qui existes en chair et en os pour leur plus grand bonheur ou… malheur :
– « Oh, Nicolas, j’l’adore ! »
Moi aussi…
-Respecte ces femmes qui t’aiment et te donnent leur coeur !
Je ne suis pas meilleure qu’elle. Elles sont mes soeurs de souffrance et je les aime en toi !
Dans leur attirance de “l’homme génial”, il y a l’espérance d’une humanité idéale qui nous rendrait toutes et tous meilleur-e-s.
“L’hypocrisie des féministes qui préfèrent les hommes grands !“ Et pas seulement pour leurs tailles physiologiques… à ne pas oublier, Môssieur mon Amour : – Un grand homme, ce qui fait sa grandeur, c’est sa hauteur de vue spirituelle et sa vision politique infinie mais bien définie au seul intérêt collectif !
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THE MOST WANTED MAN
[ L’homme Azzaro The Most Wanted est mystérieux, charmeur, incroyablement charismatique en toutes circonstances. Qui, mieux que Jon Kortajarena, pour incarner cet homme magnétique à la personnalité singulière ?
Conçu pour les hommes qui aiment marquer les esprits, le parfum Azzaro The Most Wanted est symbole de réussite personnelle et de charisme.
L’homme Azzaro a le goût du risque et n’a rien à prouver.]
– “Chut ! Silence,please… it’s our secret, no ?”
[ Avec son accord de Fougère Ambrée sublimé de fraîches notes boisées, la fragrance magnétique de la nouvelle Eau de Parfum Azzaro Intense vous incite à suivre ses pas, à respirer sa peau et à vous laisser séduire par son charme.
Un parfum pour homme qui reflète le jeu de la vie, avec des règles spécialement conçues pour être transgressées et le succès à portée de main.
Eau de Parfum puissante et charismatique, The Most Wanted vous offre la vie dont vous rêvez.
Parfum Azzaro The Most Wanted, parce que l’avenir vous appartient. ]
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A un détail près, mon grand fauve a le tort d’être complexé par un excès de testostérone qui le rend pourtant encore plus beau, sculptant son visage d’Adonis aux traits si fins dans un marbre impeccable qui met en valeur ses yeux immenses.
–Oui, le tort d’être complexé, lui qui est si beau !
– Comme un air de ressemblance, avec ce geste de la main si doux, si caressant, auto-protecteur… presque maternel sur lui-même, souvenir d’un petit garçon adoré ?!
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THE MOST WANTED
[ Parfum, disponible en format 50ml et 100ml.
Encore plus joueur. Encore plus intense.
L’homme Azzaro Wanted est de retour, plus joueur que jamais.
Son arme redoutable ?
Une fragrance épicée et terriblement addictive : le nouveau Parfum Azzaro ]
The Most Wanted.
– “If you prefere french kiss, so me… !“
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– Une balle en plein coeur !
-A offrir à l’homme que vous aimez !
–Car l’homme idéal, Mesdames, n’est-ce pas l’homme qui vous aime vraiment ?
Et comment savoir s’il vous aime vraiment, votre homme ?
Réponse… par un beau brun aussi !
Quid du troisième signe : – c’est quand la femme aimée est morte qu’elle sait que c’était “trop” ? -Remember, my adorable “killer”, I said to you : – “Kill me softly not badly !”
Et puis, aie une pensée charitable, mon amour inébranlable aux actions inénarrables, pour tes étudiants à toi qui ont choisi l’option « sociologie » !
– Ce ne sont pas des traîtres à ta cause.
D’aucuns osent dire que ce serait une affaire de Q qui aurait mal tourné pour toi ?
… Affaire qui expliquerait que tu leur fasses vivre à toutes et à tous un enfer, mon amour ?
– Comment « se fesse » puisque tu n’as nul besoin d’aller à confesse, mon amour, notre amour n’ayant jamais été qu’imaginaire ?
« Une ex-prof de sociologie (sic) serait partie en… sociologie !???!!! » racontent tes pairs et leurs filles et fils, filiation par adoption culturelle :
… La belle affaire !
– Rumeur « historique » due à l’humeur détestable de mon killer devenu soudainement allergique à la Sociologie ?
J’avoue n’avoir pu m’empêcher de rire en entendant les exploits de mon killer,
– mâle alpha,
– manifeste anti-wokisme à lui tout seul
… éliminant sans pitié ses rivaux et ceux qui les soutiennent !
– Tout le monde puni et tous les sociologues à la peine !
– Chéri, si tu veux ma peau parce que tu m’as dans la peau,
… alors ne fais pas la peau aux sociologues !
– Si tu veux des caresses, des câlins, viens…
Je te consolerais du mal que tu m’as fait, mon mâle, non pas pour moi, mais pour éviter aux autres de se retrouver lacérés par les griffes de mon grand fauve et de tomber sous ses crocs redoutables.
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– S’il est apprivoisé , mon si beau fauve catalan aux grands yeux ambrés, mon voyou, mon filou, mon trésor adoré ?
Je ne le sais pas moi-même.
• Je sais juste que… – « Oui, j’l’adore ! »
Et c’est plus fort que moi tant il est trop, trop, trop… :
– mâle, si mâle, terriblement mâle, torridement mâle !
J’l’adore, encore et toujours, habillé enfin dans ses tons d’automne qui lui vont à ravir quand les terres catalanes se parent de couleurs sang et or.
Mais le sombre l’emportait sur les couleurs chaudes et ensoleillées de sa région de naissance quand je l’ai croisé par hasard (- pas sûr, ce hasard…), son ample veste brune trois-quart en cuir, matière que j’aime, l’enveloppant superbement et supérieurement tandis que je pensais mourir sous le feu de ses yeux aimantés.
J’aurais souhaité une touche dorée comme le bronze sacré d’un pull ou d’un pantalon venant contraster avec l’ombre qui l’enveloppait, le coeur d’un astre mystérieux, celui d’un amour pas éteint :
– le mien ou le sien ?
– Que j’aime, mon unique adoré, cette lueur qui s’allume dans tes yeux ambrés quand la flamme mordorée du désir s’éveille en toi !
• Faisons la paix, mon chéri, pour que tu ne leur fasses plus la guerre, aux Sociologues !
Et promets-moi de te nourrir à ta faim sans dévorer les autres, mon grand fauve sauvage au ventre creux !
Car il paraît que tu as beaucoup maigri, famélique comme les fauves qui rôdent en grondant autour de leurs futures proies.
• Je serais ta proie pour apaiser ta faim… si tu manges plein !
Et surtout, reviens-moi repu et un peu ventru, avec ce petit ventre dodu d’enfant-roi qui te sied si bien…
Sinon je serais obligée d’aller réclamer un bon d’adoption auprès de ton actuelle propriétaire pour pouvoir te recueillir dans mon refuge : – « SPH » (Société Protectrice des Hommes).
– Sauf que personne ne pourra t’adopter… que moi, na !
Chanson serinée doucement à mon oreille par un de mes visiteurs, un certain Jacques Brel, l’été durant
– Je l’ai rendu à sa propriétaire encore plus beau et plus attirant qu’avant !
Non, Madame, je ne l’ai pas castré, un si beau mâle…
Je n’aurais jamais osé :
– C’eûsse-été très mal, quasiment suce-pet.
– Il aurait pu m’en être redevable, l’animal !
Mais, pensez-vous, deux ou trois fois ramené à qui de droit, sa propriétaire officielle, l’heureuse bénéficiaire d’un contrat de mariage en bonne et due forme, puisque je ne suis pas une voleuse d’hommes, l’animalito à la libido éclectique sur vibrato électrique a rapporté qu’il avait été maltraité, ce qui est légalement condamnable, je vous l’accorde.
Car, même s’il ne s’était jamais plaint à la dame de coeur qui l’avait accueilli puis recueilli sans pour autant lui ouvrir son lit, ne voulant lui offrir que sa tendresse platonique sans caresses physiques, il a préféré aller aboyer contre elle auprès d’autres mâles pour la faire gronder et s’assurer surtout que sa réputation de mari honorable ne serait pas atteinte, sachant la romance déjà éteinte.
“Se damner pour l’or d’un mot d’amour… Je ne sais si je serais ce héros !“
Mal en a pris au marri malapris :
Le juge a tranché comme Salomon, l’aîné des sages, un Doyen dans son genre fort rusé qu’il était dur d’abuser :
– « Elle ( vous, Madame ou moi-même) ira où elle veut sauf là où vous (lui, la bête de sexe) exercez votre emprise, l’empire du mâale. »
Que d’histoires pour une Histoire terminée dans un département qui n’était pas ma destination première, encore moins voulue, ce qui était connu de tous.
Avant de dire « Adieu ! » à votre bête de sexe, pensez, mesdames, à faire établir un constat de bien-portance pour l’animal que vous rendez à sa propriétaire, votre sœur d’amour dont vous avez partagé, non pas l’homme, mais le sort commun à toutes les femmes :
– « C’est pas moi, c’est pas de ma faute, j’t’y jure !
C’est elle, sur la tête de mes enfants, (de nos enfants), j’te jure, elle faisait rien que me tenter. »
“– Pour atteindre l’inaccessible étoile !“
Les apparences sont parfois si trompeuses.
Et « sincères condoléances » à Dame Vérité qui restera toute nue au fond de son puits, à se mourir d’ennui, ne pouvant en ressortir pour animer ou réanimer les momies de l’Histoire.
Tonton, tantine, juste une comptine d’enfant, d’infante trompée par un mâle dont le courage labial n’a eu d’égal qu’une rage létale incompréhensible… :
tuer la femme seule coupable, c’est à dire la faire huer !
– N’est-ce pas à hurler de rire, singe hurleur imitant l’Homme qu’il n‘est pas encore devenu, si tard dans sa vie, sans plus d’envie ?
Pourtant ne vous avais-je pas dit « Adieu », mon bel animal, en un seul mot comme je vous l’avais précisé, ce qui n’était pas répréhensible, l’histoire prenant fin sans votre dédicace, même si l’adieu fût inaudible pour le chien fugueur que vous étiez ?
« A D I E U »
Et d’autant plus compréhensible vu la suite donnée à cette histoire en fugue, non pas en chute mineure mais en lutte pour personnes majeures, fuite en avant de mon chien aboyeur voulant mordre la main qui lui avait écrit des mots d’amour devenus ses maux du jour.
J’ai fait une bonne action.
L’amour conjugal renaît de ses cendres, l’animal adverbial ayant été restitué à sa propriétaire légale.
– La vie n’est-elle pas merveilleuse sans plus d’autre envie pour moi que d’aimer un autre que lui ?
Madame, ma sœur de genre, a raison :
– dans les saisons de l’amour, il n’y a de temporalité que pour le coeur.
Tant que votre coeur bat, aimez, aimez, aimez-vous et, sous aucun prétexte, ne doutez de votre fringant mâle à la fringale sexuelle duelle!
– Puisqu’il vous dit qu’il vous aime et qu’il n’aime que vous… croyez-le !
FERMEZ LES YEUX
Conseillé par lui…malgré moi
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– Non, tu ne lui ressembles pas !
Lui était capable d’être en vérité et d’assumer les ruptures, des ruptures qui lui ont permis de devenir ce qu’il devait être :
un aventurier, un véritable aventurier quittant tout pour retrouver la vraie vie
un homme célèbre pour ce qu’il était pour de vrai, pas pour de faux !
Il me répond que c’est moi qui suis distante et qui rechigne à publier cet article, donc, en premier lieu, à prendre des notes sous sa dictée.
Pourtant, il suffit, selon lui, « de s’informer sur l’actualité contemporaine pour constater que s’enflamment les vives revendications et autres antiennes d’indépendance de régions à forte connotation identitaire, telles que la Bretagne que tout le monde semble oublier en France sauf les Bretons, la Catalogne qui vient d’obtenir le droit d’enseigner le catalan dans une région qui a perdu le droit de s’appeler la « Catalogne », la Corse qui avait déjà rejoint le combat insurrectionnel des Basques contre la cherté des logements, spéculation immobilière entretenue par des « étrangers » très riches annexant à leurs profits des propriétés foncières grâce à la complicité d’un État qui ne protège plus ses populations autochtones.
L’incendie régionaliste gagne toute la France !,
… donnant raison à votre philosophe préféré, le girondin Michel Onfray, « grand effrayeur » et contradicteur des élites jacobines françaises.
L’association Bake Bidea et le mouvement des Artisans de la Paix avaient annoncé vouloir “bloquer totalement” le Pays basque ce samedi, en dépit de l’interdiction de manifester émise par la préfecture. Aéroport, gares, autoroutes… revivez la journée de blocage samedi avec France Bleu Pays Basque. […]]
À Biarritz, les manifestants @Artisans_Paix chantent "Bagare" sur le point de blocage entre la gare et l'aéroport.
— France Bleu Pays Basque (@Bleu_Basque) July 23, 2022
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Le pompier incendiaire Emmanuel Macron et sa clique de marchands internationaux continuent leur politique de vente d’une France à la découpe dans le marché mondialiste du moins-disant, pourvu que le bakchich soit à la hauteur de leurs appétits mercantiles :
– France industrielle, déjà vendue,
– France agricole, bientôt perdue,
– France culturelle en voie de disparition pour ne pas irriter les nouveaux propriétaires des lieux, aliborons sans instruction,
– et la France historique, dont la destruction systématique fait la joie d’un nouveau corps politique macronesque et cauchemardesque.
Tout n’est que manigances pour attirer ceux qui détestent la France et leur offrir la Nation sur un plateau d’argent,
aux frais des contribuables français payant pour les erreurs volontaires d’une classe politique française corrompue,
à l’identique d’EDF rachetant à prix d’or la branche énergie nucléaire d’Alstom concédée en 2014 au groupe américain GE (General Electric) dans des conditions litigieuses et scandaleuses,
accord franco-américain profitant personnellement à Emmanuel Macron qui sera ensuite élu Président de la République française en 2017, sous l’effet d’une providence non divine.
Le Roi du Monde, c’est celui qui a le pouvoir de faire et défaire vos élus politiques français et européens :
ce Roi a un nom et il est américain.
Conséquence logique pour les Français, les gras et trop dodus dindons de cette farce écologique planétaire :
– EDF sera bientôt renationalisée avec perte et fracas, surtout avec les pertes, dans le seul but d’effacer les déficits abyssaux d’une compagnie internationale française à la direction calamiteuse.
L’abandon de la souveraineté énergétique de la France a surtout fait plaisir à l’Allemagne revancharde qui ne supporte pas la supériorité nucléaire française.
Les Allemands ont eu la peau des Français sans troisième guerre mondiale, du moins pour ce qui est d’anéantir la puissance continentale française, leur plus grande rivale, leur pire ennemie dans une mémoire germanique « résiliente » [“résiliente”, mot prononcé sur un ton ironique par le Général de Gaulle].
Les Boches ont pris leur revanche en se servant du point faible des élites françaises :
– leur fort taux de corruptibilité qui explique sans aucun doute l’empathie hypocrite de votre président de la France, ex-président de l’Europe pour l’Ukraine,
Ukraine, pays le plus corrompu de la vieille Europe.
Fait constaté entre autres par un agent de renseignements, Marc Eichinger, donc fait non contestable et incontesté jusqu’à aujourd’hui : – l’Ukraine est le pays le plus corrompu d’Europe, votre sainte Ukraine ! A noter en contrepartie que l’agent bien informé s’est trompé dans ses prédictions contrairement à moi : – la guerre de l’Ukraine dure au-delà du mois de mai 2022 ; – Poutine n’a pas “encore” épuisé toutes ses ressources. Et j’ajouterais : – la Russie ne perdra pas sa ou SES guerre-S [pluriel imposé]. Conclusion : – pour entendre la voix de l’Histoire et suivre la voie d’un destin hors-normes, il faut voir au-delà de ce qui est donné par l’homme aux hommes et recevoir ce qui est donné par l’Homme. _________________________ – Mais que font les historiens contemporains ? Ils défont et refont l’histoire à taille humaine, leur petite histoire gentillette des hommes vus par le petit bout de la lorgnette. Chercheurs sans courage, il cherchent d’abord à éviter toute accusation d’outrage contre les autorités de ce monde auxquelles ils se soumettent par adoration du veau d’or et goût du confort, de leur confort moyennement intellectuel et purement matériel .
_________________________
Si le président de l’Ukraine a refusé que son pays soit neutre, ce n’est pas par héroïsme mais pour servir les intérêts des marchands d’armes et des blanchisseurs d’argent sale américains et européens,
lesquels font les poches des peuples blancs du vieux continent chrétien depuis la fondation des États-Unis d’Amérique.
Les médias américains, français et européens ne pourront pas toujours mettre sous le tapis des bombes l’affaire « Hunter Biden », le fils prodigue du président actuel des USA, Joe Biden, un prodige de corruption étatique et publique.
« Pendant ce temps », en bon bwana blanc, Emmanuel Macron, le néo-colon, se paie en Afrique le culot royal de donner une leçon tribale francophone à ses homologues noirs, les présidents des états africains, chefs d’État qu’il traite comme des sous-fifres avec la condescendance ahurissante d’un mégalomane paranoïaque.
Notre « Bibi Fricotin » national n’a même pas pour ses pairs le respect qu’avait le vrai « Bibi Fricotin », héros français de bande dessinée, pour son camarade noir, Razibus Zouzou :
– « Toi n’avoir pas compris : Russie être ton ennemie ; moi, être ton ami !
C’est pourtant simple à comprendre, le petit noir, si on est blanc. »
Ce pâle paltoquet, votre petit coquelet et roquet ridicule, président des cocus, a été engagé par des oligarques mondialistes pour être leur VRP multicartes multipartis. Le petit perroquet prétentieux, le blondinet irrévérencieux, répète à l’envi aux peuples crédules les poncifs capitalistes d’un libéralisme sauvage qui pulvérise tous les garde-fous de l’économie mondiale.
Ce toqué est le représentant de commerce le mieux payé du monde, banal emploi d’un président ubérisé créé au profit d’oligarques racistes et esclavagistes qui propagent le mythe hollywoodien d’un immigrationnisme fatal à tous les peuples de la terre, sous les oripeaux d’une charité internationale et interlope bien ordonnée qui commence par servir leurs seuls intérêts,
– c’est à dire les intérêts carnassiers des grands prédateurs de ces multinationales.
Puisque, comme chacun sait, « charité bien ordonnée commence par soi-même».
BlackRock : ces financiers qui dirigent le monde | ARTE 740 760 vues 13 juin 2022
ARTE 2,51 M d’abonnés Très discret, BlackRock est pourtant le plus puissant gestionnaire d’actifs de la planète. Enquête sur l’omniprésence préoccupante et indécente des grands argentiers de BlackRock dans la vie politique et économique mondiale. Si l’argent ne fait pas le bonheur, il ouvre sans nul doute les portes du pouvoir. Une maxime que le groupe de gestion d’actifs Blackrock, avec ses 6 000 milliards de dollars américains passés, soit plus de deux fois le PIB de la France, connaît bien. Sociétés, gouvernements et banques centrales : l’entreprise tentaculaire ne cesse d’étendre son influence dans toutes les directions, depuis sa création, en 1988, par Larry Fink. La force de ce géant américain de la gestion réside dans les milliards de dollars que lui confient ses clients, pour la plupart des gros poissons de la finance : multinationales, institutions financières et fonds d’investissement ou de pension. Grâce à cette manne financière, le groupe a mis le grappin sur de nombreuses multinationales. Actuellement, Blackrock est entre autres présent dans le capital d’Apple, de Microsoft, de Facebook, de McDonald’s, de Siemens, ainsi que de nombreuses entreprises du CAC 40. Non content d’investir dans les entreprises les mieux cotées du monde, le gestionnaire d’actifs est aussi dans les petits papiers de gouverneurs de banques centrales, de ministres des finances et même de chefs d’État, à qui il prodigue de précieux conseils. Et pour cause : il dispose non seulement des meilleurs experts financiers, mais aussi d’un algorithme de prévision conjoncturel sans égal, Aladdin. Lors de la crise financière de 2008, de nombreux gouvernements proches du naufrage avaient fait appel au groupe de Larry Fink, ce qui lui a permis de renforcer son emprise sur l’économie mondiale et de présenter à tous le visage d’une entreprise providentielle… Empire tentaculaire Dans la société civile, d’aucuns s’inquiètent de la position ultradominante du groupe, désormais capable d’influer sur l’économie mondiale et de souffler à l’oreille des décideurs. Son outil phare, Aladdin, représente également une source d’inquiétude : il pousse à une uniformisation de l’investissement mondial, ce qui pourrait amplifier l’effet domino à la prochaine crise financière. Cette enquête choc de Tom Ockers dénonce l’omniprésence préoccupante et indécente des grands argentiers de Blackrock dans la vie politique et économique mondiale. Menée dans cinq pays différents, elle brosse le portrait fouillé d’un des groupes financiers les plus influents au monde, parfaitement inconnu du grand public. Documentaire de Tom Ockers (Allemagne, 2019, 1h30mn) Rediffusion disponible jusqu’au 07/09/2022 ______________
– A qui profite le crime de la destruction de la Sécurité Sociale et du secteur public de la Santé en France ? – Pour quels profits extérieurs vos retraites seront-elles capitalisées, donc sacrifiées par Emmanuel Macron, votre factice et fautif président de la République, homme de paille de BlackRock ? Contrairement à l’avenir de la France, l’avenir du bellâtre blondinet est assuré financièrement, à condition de provoquer la fin du régime de retraites par répartition, l’actuel régime obligatoire de base qui a permis à la République française de sauvegarder un énorme pactole, 61 milliards d’Euros préservés des aléas du CAC40 en cas de krach boursier (source du chiffre pour le budget des retraites : “Avis n° 4598 enregistré à la Présidence de l’Assemblée Nationale le 20 octobre 2021, au nom de la Commission des Affaires Sociales sur le projet de Loi de Finances pour 2022). Il suffit pour vous en convaincre de vous informer sur ce qui s’est passé suite au krach boursier de 2008 pour les retraites capitalisées. Des retraités américains, investisseurs et actionnaires obligataires ou autres de Blackock, fortunés ou pas, se sont retrouvés à la rue, SDF. Voir et revoir les reportages à sensation sur les nouveaux sans abris californiens, ces petits vieux errants qui ont perdu toutes leurs économies et leurs biens immobiliers à cause du krach boursier de 2008 ou autres coups du sort. Car jouer en Bourse, c’est comme jouer au Casino. Tous les numéros ne sont pas gagnants, avec ou sans martingale, surtout dans un Casino qui revoit les règles du jeu et de la répartition des joueurs au niveau mondial.
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[C’est pour cette raison que le Général de Gaulle ne veut pas que j’écrive « leurs propres intérêts » mais leurs « seuls intérêts ». Car les intérêts de ces « salopards » (sic) n’ont rien de propre.]
– L’Europe périra, oui.
Personne ne la sauvera des sauvages à qui elle a été livrée par l’OTAN sous le prétexte fallacieux d’être délivrée de ses vieux démons nationalistes.
Cependant des régions résisteront parce qu’elles sont le moteur économique et seront le bastion politique de nations en grand danger d’effritement comme l’Espagne, la France ou le Royaume-Uni.
J’exclus les nations des pays balkans aux contours fragiles redessinés par le Congrès des Nations à Berlin en 1878. Dans leur cas, il ne s’agit plus de danger intérieur mais de terrorisme extérieur, un terrorisme fertile car orchestré par un État puissant qui se déguise sous le costume de « sauveur du monde » et qui mène à sa guise les pays de l’Europe vers leur perte futile puisque l’Europe est seulement devenue une plate-forme économique actuellement inutile.
Ainsi, comme vous le savez tous, l’Union Européenne est incapable aujourd’hui de jouer aucun rôle diplomatique mondial :
elle n’a aucune vision stratégique autre que servir le monopole américain de l’étalon- dollar.
Or, c’est fini pour l’étalon-dollar :
« the game is over ».
– L’heure est grave.
L’État français étant baillonné par ceux qui sont censés le servir, ses haut serviteurs d’État tous encanaillés,
[Le Général de Gaulle prononce « tous » avec une force de conviction qui n’admet pas l’exception autant que la contradiction : – oui, « haut serviteurs d’État tous encanaillés »]
Désolée de supprimer les douces illusions du consciencieux journaliste Vincent Jauvert sur la belle intention présidentielle d’Emmanuel Macron de supprimer les différents grands corps de la haute fonction publique de l’État français : – même constat que pour le courageux agent de renseignements, Marc Eichinger ! Ce qui est factuel est de l’ordre de l’incontestable mais ce qui est hypothétique relève d’une subjectivité candide pour le moins surprenante de la part de ce journaliste d’investigation remarquable, – à moins que le journaliste nous la joue “Candide” avec une plume voltairienne. Le vrai mobile de la suppression des corps des haut fonctionnaires est d’ ouvrir à l’international les postes des “grands commis de l’État“, directeur d’administration, directeur général des services d’une grande collectivité, chef d’un grand service déconcentré de l’État, dans le but déjà connu de détruirela Nation française, en éliminant ses élites. Ce sera la fin de la préférence française dans les concours de la haute fonction publique. Cette volonté présidentielle d’éradiquer tout ce qui est français transparaît sans équivoque puisqu’une toute récente injonction culturelleimpose aux présidents des Universités autrefois françaises de ne plus parler que l’anglais dans les formations universitaires supérieures tels que les cursus de Masters, réforme linguistique débutant par des cours uniquement dispensés en anglais un semestre sur deux. La licence devient le nouveau Bac des pauvres avec son franglais à la Macron. – Que les professeurs des Universités françaises ne se réjouissent pas trop vite de cette ouverture à l’international ! La concurrence internationale ne leur sera pas favorable, la France stagnant dans le classement PISA. Et, de toutes façons, malgré leurs efforts comiques d’intégration idéologique “universelle” en collaborant à leur propre disparition, ils seront remplacés sans pitié comme le peuple français. L’objectif avoué avec cynisme par Emmanuel Macron, votre actuel président Européen anti-français, est de remplacer les haut fonctionnaires français par des Américains, Canadiens ou Britanniques : – à l’identique du poste de directeur général du groupe Air “FRANCE”-KLM offert en 2019 à un dirigeant canadien, Benjamin Smith, dont le premier geste fort, en pleine période de grève des salariés d’Air France pour obtenir une hausse de leurs salaires, a été de tripler son salaire à lui de nouveau patron, soit de le faire passer à 4,25 millions d’euros par an contre 1,122 millions d’euros pour celui de l’ancien patron français, Jean-Marc Janaillac, avec la bénédiction du président prétendument français, Emmanuel Macron, que les contribuables français, éternel peuple de cocus, ont réélu. – T’en souvient-il ?
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… le réveil ne peut venir que des peuples enracinés dans leurs terroirs et menacés d’être renvoyés de chez eux comme des voyous, expulsés de leurs maisons comme des squatters,
voyous et squatters étrangers qui, eux, sont chez eux chez vous, rarement condamnés par une justice française inexistante plus que laxiste
puisque la justice se refuse à juger le migrant bénéficiant d’un statut protecteur à l’internationale,
statut privilégié exceptionnel accordant à tout étranger sur votre territoire quasiment l’équivalent d’ une immunité diplomatique
et sans avoir jamais consulté les citoyens français ou les peuples européens sur cette immigration invasive car agressive.
Sous peu, il y aura encore quelques secousses sismiques, les derniers sursauts de la Bête occidentale hystérique refusant de crever et qu’il faudra achever pour éviter aux peuples blancs une agonie étiologique trop longue.
Si les Français veulent sortir de cette crise mondiale, il va falloir faire l’inverse de ce qu’ont voulu faire leurs ancêtres :
– il va falloir revenir au régime féodal des vassalités régionales, peu importe que le chef, la tête du Royaume de France, s’appelle Hugues Capet, premier Roi des Francs, ou Emmanuel Macron, dernier Président plénipotentiaire des Français.
– Oui, ce sera la fin du régime théocratique, la fin de « Jupiter » ou de « Vulcain »,
une fin qui risque d’être aussi violente que celle du bon Roi Louis XVI et pour les mêmes raisons :
– la déconnexion totale du monarque Macron d’avec une réalité vulgaire, le vécu des pauvres gens, de ces gueux qu’il déteste.
Car Emmanuel Macron préfère encore la racaille qui tue la flicaille aux « Gilets Jaunes » et autres protestataires besogneux,
ces gagne-petit qu’il méprise souverainement. »
MACRON ET LES GILETS JAUNES : L’INTÉGRALITÉ DU DOCUMENTAIRE CENSURÉ95 025 vues Sortie le 6 mars 2022 Le Média 759 k abonnés Vous allez regarder un documentaire qui a été censuré par Youtube. Censuré, c’est-à-dire “réservé aux plus de 18 ans”, c’est-à-dire non accessible à des personnes qui ne peuvent pas prouver, en divulguant leur identité voire leurs pièces d’identité, qu’ils sont majeurs. “Réservé aux plus de 18 ans”, c’est-à-dire non suggéré par l’algorithme de Youtube. Littéralement invisibilisé. Nous le diffusons ici en Première dans un esprit militant. Regardez-le vite, partagez-le vite avant qu’il soit une deuxième fois censuré. Ce documentaire est d’un média indépendant qui mérite votre soutien. C’est un tout nouveau média, Off Investigation, spécialisé comme son nom l’indique dans l’investigation. Nos confrères de Off ont lancé leur première série de documentaires, sous le titre “Emmanuel, un homme d’affaires à l’Elysée”. Le documentaire que vous allez regarder est de Yanis Mhamdi. Son titre ? “Gilets jaunes, le maintien du chaos”. Vous pourrez y entendre des témoignages inédits de victimes, de policiers et même de l’ancien préfet de police de Paris, Michel Delpuech, qui exprime ses regrets. Un ami historique d’Emmanuel Macron avoue aussi son malaise face à l’irascibilité de l’actuel locataire de l’Elysée. Regardez ici, mais n’oubliez pas de vous abonner à la newsletter de Off Investigation, pour être informé des nouvelles sorties. Abonnez-vous aussi à leur chaîne Youtube, à leurs comptes Facebook et Twitter. Et si vous le pouvez, soutenez-les, soutenez-nous. Soutenez la presse indépendante. ___________________________
Mon visiteur hautain reprend, après un moment de réflexion pesant, paraissant conscient que ce qu’il allait me dicter surprendrait sinon scandaliserait mes lecteurs et accessoirement moi-même :
– « Citez Maurice Barrès, la citation que je vous ai aidée à trouver « par hasard », en vous demandant de rechercher la définition du mot « théocratie » sur Internet :
« Il se constitue dans notre Université une sorte de théocratie. Vous avez des professeurs qui se comprennent comme des prêtres de la science. »
Barrès, Cahiers, t.8, 1910, p. 54. »
Moi :
– « Mais c’est l’extrême-droite, « ça » ? »
[Mot neutre « ça » qualifiant pour moi l’extrême-droite, une forme de « caca » politique, le « ça » freudien d’une France en dérive.]
Lui, le Général : »
– « Non, c’est du bon sens, un simple constat encore d’actualité.
Rappelez l’oeuvre majeure de Maurice Barrès, s’il vous plaît !»
Moi, après recherche tatillonne et bougonne sur Wikipédia :
– « Les Déracinés ?
Sérieux, vous lisiez Maurice Barrès, mon Général ?»
Lui, le Général [De Gaulle] :
– « Je préfère passer pour un fasciste que devenir un Nazi en servant des intérêts contraires à ceux de la Nation française.
Veuillez écrire aussi la citation qui me convient en ce moment même :
« Certaines personnes se croient d’autant mieux cultivées qu’elles ont étouffé la voix du sang et l’instinct du terroir. Elles prétendent se régler sur des lois qu’elles ont choisies délibérément et qui, fussent-elles très logiques, risquent de contrarier nos énergies profondes. Quant à nous, pour nous sauver d’une stérile anarchie, nous voulons nous relier à notre terre et à nos morts. »
Maurice Barrès, Amori et Dolori Sacrum, 1903
C’est parce qu’il est catalan que votre « Chéri Bibi » à qui vous manquez souvent de respect, me semble-t-il, et qui est d’une patience infinie avec vous, marque, – croyez-le bien !, d’une forme d’amour viscéral qui l’attache à vous,
c’est donc parce qu’il est catalan que votre « Chéri Bibi » est capable de comprendre ce qu’il a exprimé fort bien lors d’une conférence sur l’indépendantisme catalan.
Moi :
“Si son destin se joue à l’internationale, alors l’échelle locale reste la plus petite unité territoriale de base et l’échelle nationale n’est qu’un tremplin pour lui.
J’ai d’ailleurs le même questionnement avec un autre de mes « visiteurs », un Catalan tellement attaché à son domaine qu’il passe sa mort dans et sur sa terre de Catalogne.
Laura Borràs : “J’espère la Catalogne indépendante dans 10 ans” 2 juin 2021 Equinox Barcelone Pour les 10 ans d’Equinox, la rédaction reçoit plusieurs personnalités de premier plan en Catalogne. Première invitée : Laura Borràs, présidente du parlement catalan, interviewée en français par Nico Salvadó. Laura Borràs revient sur les dix dernières années marquées en Catalogne par le conflit entre Madrid et Barcelone, l’évolution du mouvement indépendantiste, la situation actuelle et évoque les dix prochaines années de la scène politique catalane. Francophone et francophile, l’ancienne professeure de littérature évoque aussi pour Equinox ses liens personnels et politiques avec la France.
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Si j’en crois un extrait de la citation de votre choix :
« nous voulons nous relier à notre terre et à nos morts »
… et sans vouloir vous manquer de respect à vous aussi, donc sans vouloir me moquer de vous, il est certain que quiconque lit Maurice Barrès est relié à sa terre et à ses morts,
donc à vous-même puisque vous êtes mort . »
Le Général de Gaulle reste de marbre :
– « Véronique, soyez gentille ! Combien d’hommes vous l’ont demandé en vain ?
-Arrêtez de vous défendre contre l’amour et nous gagnerons du temps, en particulier sur la rédaction de cet article.
Racontez-moi plutôt ce que « Chéri Bibi » a dit durant cette conférence, en synthétisant ce dont nous avons déjà discuté ensemble, objet de cet article et fruit de longues négociations,
c’est important ! »
Moi rappelant un fait simple et déterminant pour ce compte-rendu :
– « Je suis arrivée très en retard. »
Le Général :
– « On s’en fiche ! »
– « OK, à la question de savoir comment définir l’Europe, le conférencier a répondu par un seul mot :
– « Traduire !».
Pays Basque : se loger, une mission impossible 9 déc. 2021 Public Sénat 273 k abonnés Avec en moyenne une offre de location pour 30 à 50 demandes, louer à l’année au Pays Basque s’avère être quasi mission impossible. D’autant que la région attire 20 000 nouveaux habitants l’année dernière. Entre les résidences secondaires et les 13 000 meublés touristiques loués à prix d’or en haute saison, difficile de trouver des places. Une situation critique pour 24 communes. Un reportage de Jonathan Dupriez.
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Le spécialiste des crises indépendantistes du Nord Est de l’Espagne a rappelé que c’était une citation d’un autre que lui qui définissait ainsi l’Europe, ce qui impliquait :
– une construction fédéraliste de l’Europe contraire à la vision « doloriste »,
“correction ! Pas “doloriste” mais contraire à la vision « deloriste », ” a-t-il rectifié avec un petit sourire d’excuse,
mettant en valeur le jeu de mots, « doloriste/deloriste » pour moi, volontaire.
Ensuite, il a expliqué, pour les nuls, l’adjectif « deloriste », c’est à dire tiré d’une conception de l’Union Européenne défendue par un de ses pères fondateurs, Jacques Delors. »
L’autonomie au sein de la République ? Un tabou est tombé 24 mars 2022 Union démocratique bretonne – UDB Extrait de l’émission “Bonjour Bretagne” de Tébéo avec la présence de notre conseiller régional Christian Guyonvarc’h. L’autonomie de la Corse est à l’ordre du jour. Et pour la Bretagne ?
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Du Général :
– « Ḉa va, vous ne vous êtes pas trop fatiguée, Véronique, à prendre des notes ? »
Moi :
– « J’étais placée devant, arrivée très en retard, après 19H00 passées, vers 19H10-15.
Vous vouliez quoi, que je sorte le bloc-notes (pas pris d’ailleurs) ou un dictaphone qui aurait été caché dans mon petit sac à mains en me donnant davantage en spectacle ? »
Lui :
– « Si vous rappeliez l’objet de cette conférence, d’abord ? »
Moi :
– « Autant donner son nom.
Est-ce bien utile, maintenant ?
Les catalans 18 févr. 2020 FLODAMA 15,3 k abonnés c’est quoi un catalan français? je reviens sur le sujet !
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Nous dirons, si vous le voulez bien, qu’il s’agissait d’une conférence sur les velléités indépendantistes d’une région du nord de l’Espagne, voir supra, objet déjà indiqué.
Lors de cette conférence à laquelle vous assistiez, invisible, à mes côtés, vous m’avez fait remarquer qu’il était le seul à avoir analysé « les jeux d’échelle » qui permettraient d’inclure dans l’Europe ces identités régionales,
lesquelles existent au sein d’identités nationales,
jusqu’à constituer une Europe véritablement fédérale,
coopération de pays et de régions au sein d’une entité politique européenne [inclusive et non plus exclusive].
La mise entre crochets est ma façon à moi de formuler ce qu’est votre pensée et la sienne, sauf erreur de ma part.
A un certain moment, le conférencier s’est heurté à la question du « Nationalisme », mouvement d’extrême-droite issu étymologiquement du mot « nation », que la nation soit espagnole ou française,
[mais tendance politique facho-fâcheuse qui serait à abolir.
Là, c’est moi qui ajoute le jeu de mots !]
Tourisme dans le 66 23 nov. 2021 FLODAMA 15,3 k abonnés Iuuu! Petit coup de gueule sur le tourisme dans le département
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– La question a été posée par un spectateur manifestement engagé politiquement.
L’orateur a rappelé que le mot « national » n’était pas [un gros mot] et que, par exemple, personne n’était choquée par le nom donné à « l’Assemblée « Nationale » ».
La mise entre crochets souligne qu’il y a reformulation ou pas de sa réplique selon mes souvenirs.
Dans tous les cas, l’historien fin lettré a su patiemment relativiser l’emploi du mot « national » pris dans un contexte politique objectivé et neutre, désarmant ses interlocuteurs, ou devrais-je plutôt écrire :
les désintoxiquant d’une propagande médiatique simpliste et réductrice anti-indépendantiste donc anti-régionaliste.
quand on dit que l’on est de PERPIGNAN 18 oct. 2016 FLODAMA 15,3 k abonnés Quand on dit que l’on est de Perpignan… on a souvent les mêmes réflexions.
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Vous étiez fier de lui, Mon Général, je le sais et vous m’avez même dit :
– « Ah vous voyez qu’il sait tenir son auditoire en haleine !
Il est sans doute l’un des rares érudits de France à avoir déjà conçu idéellement [non pas « idéalement », je le précise] et politiquement cette Europe qui libérera les nations d’un joug mondialiste mercantiliste pour permettre à toutes les identités linguistiques de s’exprimer sans heurt et surtout sans guerre ! »
Enfin, une phrase comme ça, retranscrite de mémoire…
– Pas de protestation de votre part ?
C’est bon, je peux continuer ?
Le Général [de Gaulle] :
– « Veuillez ajouter, s’il vous plaît, votre sentiment sur la manière dont s’est tenue cette conférence ? »
Moi, ironiquement :
– « « Sentiment » ?
Oui, j’ai compris, OK, je réponds sérieusement. »
Le Général de Gaulle s’en amuse, presque rieur :
– « C’est le coup de sabot tueur de l’âne catalan, ça, Véronique, le « burro d’amour », le bourreau des coeurs ! »
Moi, donnant le coup de grâce :
– « Vous le trouviez prêt à entrer dans les arènes politiques et vous vous impatientez de ne pas le voir s’engager davantage publiquement alors que le temps presse et passe très vite, selon vous.
Vous m’aviez demandé de le lui rappeler sous la forme d’un « Sursaut » attendu par vous.
Sinon je ne me serais pas déplacée pour aller le voir et surtout l’entendre. »
Histoire de la Catalogne 17 nov. 2011 Brice L Mettre en plein écran pour lire. Vidéo pour enseigner au plus grand nombre possible de personnes l’histoire de la Catalogne en seulement 10 min avec un focus sur a Catalogne Nord. Merci à tous ceux qui m’ont aidé, notamment J.P., historien, pour ses vérifications et compléments apportés.
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Le Général de Gaulle développe les attendus de son projet commun européen :
– « Les régionalismes sont l’avenir de la France mais aussi de l’Europe.
Les régions les plus riches serviront de locomotives au lent train de cette nouvelle Europe qui s’étire jusqu’aux Balkans au risque de tout casser.
J’espère que l’actualité contemporaine permettra à ce singulier et attachant personnage d’une histoire qui se cherche de se rendre compte que, comme vous le lui aviez souvent écrit, il avait raison avant tout le monde :
c’est un visionnaire qui s’ignore, intuitif et original,
brillant intermittent d’un spectacle qui, parfois, l’ennuie à force d’être rejoué dans sa vie ordinaire chaque année !
Alors, puisqu’il s’ennuie visiblement sur scène et qu’il en a marre, Chéri Bibi, de répéter tout le temps le même numéro devant des publics de plus en plus attardés, qu’il parte…
à l’aventure !
Je suis Catalan – FLODAMA 23 juil. 2019 FLODAMA 15,3 k abonnés Un petit clip pour changer ! Ne vous inquiétez pas c’est surement la dernière fois que je chante !
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Il est plein de ressources.
Il est à lui-même sa principale ressource :
– à lui de ne pas se faire polluer par la médiocrité des esprits de ce temps !
Et dites-lui aussi qu’il arrête d’excuser son immobilisme par ce mot « fatalitas » réservé au héros imaginé par l’écrivain Gaston Leroux, Chéri Bibi, devenu un caïd redoutable des suites d’une erreur judiciaire jamais réparée.
– Véronique, s’il ne s’appelle pas « Chéri Bibi », votre Catalan, il pourrait devenir un caïd redoutable, un “killer” comme vous dites,
donc un homme politique respectable car craint par ses pairs,
lui qui est déjà craint par ses pairs ! »
Français et Catalans – L’info du Vrai du 16/10 – CANAL+ 16 oct. 2017 L’info du vrai 124 k abonnés Retrouvez Yves Calvi tous les jours à 18h20 en clair et en direct sur Canal+.
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Moi :
– « Rideau ! On ferme. Le spectacle est terminé.
Je ne vous sens pas très satisfait, mon Général ? »
Le Général de Gaulle :
– « Mademoiselle, la prochaine fois, devant, derrière, au milieu ou n’importe où, dès que vous trouvez votre place auprès de lui, prenez des notes, s’il vous plaît ! »
Moi :
– « Je ne sais pas si je trouverais jamais ma place auprès de lui ou ici, mon Général !
Je suis tentée par là-bas. »
Pour un catalan 10 janv. 2017 FLODAMA 15,3 k abonnés Le vent, le nord, et la neige pour un catalan !
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Geste agacé du Général de Gaulle comme s’il chassait une mouche, moi-même, je suppose, et qui poursuit :
– « Il aurait été important dans cet article de mettre en exergue ce qui se passe actuellement pour les prisonniers politiques des pays basques, catalans et corses.
Mais nous y reviendrons par la force des choses.
Les incendies régionalistes calcineront la France et l’Europe.
Pour toute réponse aux manifestations des peuples des régions en colère, heureusement, Macron a trouvé le bon remède.
Il leur offre leur autonomie :
– « Démerdez-vous !» [sic]
Alors, peuples corse, caldoche, catalan, basque et breton, profitez-en !
Le président Macron, Emmanuel de son prénom, « Dieu avec nous », rase gratis tout ce qui dépasse et efface la carte de France. »
Moi :
– «Avant que vous ne partiez quelque temps, peut-être, en vacances, ce qui me ferait des vacances à moi aussi, mon Général, expliquez-moi dans quel mouvement politique cet intellectuel « à nul autre pareil » [c’est moi qui l’ajoute, un plaisir personnel que je m’offre] pourrait s’engager pour devenir celui qu’il doit être ? »
Le Général [de Gaulle :
– « La réponse est en lui, du ex nihilo au in concreto :
la confiance en soi, ce n’est pas de la présomption.
– Qu’il arrête de se la jouer faussement modeste, lui qui connaît très bien sa valeur personnelle !
Se connaître soi-même, c’est le commencement de la sagesse, oui !
Mais aussi l’aboutissement d’une vie de recherches et pas seulement sur les autres.»
Moi :
– « Sursaut ou pas sursaut ? »
Lui, le Général de Gaulle, presque rêveur :
– « Alors, au pied du lit, un matin…
car on fait sa vie comme on se couche et avec qui on se couche !
Frantz-Olivier GIESBERT : “De Gaulle n’en avait rien à foutre d’être réélu” 9 nov. 2021 L’invité 396 k abonnés Tous les jours, à 18h50 (heure de Paris), Patrick Simonin reçoit les personnalités qui font l’actualité sur TV5MONDE.
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– Il n’y a rien de pire, pour enterrer sa vie, que de vivre avec ceux qui prétendent vous connaître le mieux :
l’enterrement de première classe est garanti !
La routine tue les grands hommes tandis que la guerre grandit les petits hommes.