Le 09 décembre 2017, j’avais écrit un article sur Johnny HALLIDAY, “à l’arrache”,
-
plus pour me débarrasser de lui que pour réellement l’écouter.
https://deuvosguard.org/2017/12/09/de-notre-jojo-national-johnny-halliday-pour-les-pas-intimes/
Du moins c’est ce que je pensais sur le coup, ignorant le futur et ce qui allait se jouer.
Il faut dire que “Jojo” n’est pas très loquace.
Donc c’est “pénible” de communiquer avec lui surtout quand vous avez d’autres visiteurs qui ont des révélations importantes à faire pour l’avenir de la France.
Le titre de mon projet d’article sur mon ordinateur était “Johnny revient“.
Car c’était son MESSAGE, sa PROMESSE écrite le 09 décembre 2017 sous la forme d’une illustration de photographie publiée en couverture de Paris-Match, photographie choisie par Johnny lui-même.
Sur cette photographie, on peut lire :
- “JOHNNY, je reviens sur scène !
- J’ai conjuré le sort pour l’amour des miens et du public.”
– “Je ne vous laisserais pas tomber !, même si je suis enterré à six pieds sous terre dans une tombe. C’est mal me connaître ! Je peux renaître, moi. “, répète-t-il aujourd’hui.
Dans ce premier article , j’avais VOLONTAIREMENT “censuré” une phrase,
– pour une fois, une VRAIE phrase entière de “Jojo” qui veut que je l’appelle ainsi,
-
une seule phrase, sur la seule femme qu’il avait aimée réellement dans sa vie de “Rocker”,
– phrase que j’avais “amendée” pour ne pas provoquer de chagrin,
-
ajouter de la peine à la peine de mort,
-
des blessures “inutiles” et difficiles à guérir car posthumes sur le cadavre d’un “mort”.
Un “mort” pour vous,
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mais un “Vivant” pour moi, un peu “casse-couilles”, au sens figuré du terme,
– oui, j’ose l’écrire ainsi, car, pour lui faire cracher sa “Valda”, il vaut mieux ne pas être pressée
-
et ne pas avoir, par exemple, un visiteur tel que le Général De GAULLE qui trépigne de “l’autre côté” parce que, lui, il vient parler de la France, pas de ses affaires personnelles !
L’intérêt général de la France doit primer sur les affaires de coeur et de famille.
– Oui, Mon Général !
Mais Johnny est “chagrin”.
-
Et là, je parle de son chagrin à lui, pas du chagrin de ses proches
-
ou de ses fans, qu’il considère comme étant SON AUTRE FAMILLE.
Et ses fans sont FRANCAIS, ajoute-t-il à brûle-pourpoint.
– Il ne les aurait pas trahis, ses fans français, à qui il doit tout !,
-
pas plus que ses enfants,
-
TOUS SES ENFANTS, ajoute-t-il, pressant et stressant.
Johnny se livre.
Il se délivre.
Il m’avait donné un article, en choisissant un article de presse comme un signe de lui,
- à ne pas exploiter immédiatement.
En fait, je cherchais une preuve que Johnny aimait bien se faire appeler “Jojo”
- car il voulait que je l’appelle ainsi,
- ce qui me semblait extrêmement familier, un tantinet vulgaire.
Donc le signe pour l’article important, c’était “Jojo”.
Je comprendrais plus tard.
Bah voilà, j’ai compris !
A cause du “faux” testament, puisque c’est ainsi que Johnny veut que je l’écrive.
Sur mon ordinateur, la date à laquelle j’ai copié cet article extrait du Parisien est aussi le 09 décembre 2017, en même temps que je créais l’article à publier sur son retour immédiat “dans cinq minutes”.
La date de création du fichier l’atteste, fichier qui est une copie de l’article pour prouver bêtement, au cas où, en cas de contestation, que Johnny aimait se faire appeler “Jojo”.
Johnny sait que j’aime “attester” car je suis quelqu’un qui doute perpétuellement.
-
Attester, comme “testament”.
Par conséquent c’est le signe que Johnny envoie aujourd’hui à ses enfants, ses quatre enfants :
- Ses deux enfants de sang qu’il n’a pas su aimer comme il aurait aimé pouvoir les aimer
- et ses deux enfants de coeur, qu’il a aimés de tout son coeur parce qu’il n’était pas de son sang.
– C’est difficile de s’aimer soi-même quand on n’a pas été aimé, dit Johnny,
- aimé par ses parents, ses propres parents.
On ne s’aime pas et on n’aime pas ce qui est de sa propre chair quand on n’a pas été aimé soi-même par ses parents.
C’est un rejet inconscient qu’il faut combattre sans cesse, comme lutter contre ses démons intérieurs.
Johnny HALLIDAY, abandonné par son père !
Mais Johnny affirme qu’il n’a pas DESHERITE ses propres enfants,
– enfants de coeur
- et enfants de sang, de sa chair, cette chair souffrante et sanguinolente.
Ses enfants de sang sont son jardin secret, ses “interdits” d’amour, ses blessures et sa force !
Et s’il revient, c’est pour se battre pour eux, pour répondre à l’attente de Laura et à l’amour resté sans réponse de David.
– “Je n’ai pas su t’aimer mon fils, parce que tu me ressemblais trop !
Tu étais un autre moi-même et je me fuyais moi-même en te fuyant, toi.
MAIS JE T’AIMAIS.
N’EN DOUTE PAS, JAMAIS !
Laura, petite perle, j’ai découvert que j’étais un père, grâce à toi. Mais je n’étais pas encore prêt pour tant d’émotions, pas assez fort.
Ton petit corps me bouleversait et me bouleverse encore ! De te tenir dans mes bras fut mon plus grand bonheur.
Comprends-moi, David, tu étais un autre moi-même et nous nous disputions l’amour d’une même femme, ta mère !
Je ne savais pas être un père alors.
Je n’étais qu’un amant.
Mais j’aimais VRAIMENT ta mère, trop et mal sans doute.
Aujourd’hui, je suis fier de toi, David !
Et tu es moi, mieux que moi.
Même si ta réussite n’est pas à la hauteur de ton talent.
Il fallait peut-être que je parte définitivement pour que tu arrives enfin à EXISTER.
Tu es trop comme moi, tu es trop “moi”, David !
Ne me juge pas !
Tu ne sais pas.
Combien je t’ai aimé, petit d’homme fait de moi, qui me prenait l’amour d’une femme que j’aimais tant !
Je n’ai jamais su partager l’amour.
Je n’en avais jamais assez.
Il me fallait tout pour moi !
-
Rien que pour moi !
Pour Laura, ce fut différent parce que c’était une fille.
Je t’ai voulu “UNIQUE”, fils unique, comme moi je suis unique.
Tu seras UNIQUE !
Car tu es mon FILS unique.
Bien encadrés par le couple présidentiel de la France,
Brigitte et Emmanuel MACRON,
- cet homme qui a su aimer si jeune
- et est resté, lui, fidèle à l’amour de sa jeunesse !, dit Johnny.
Je remercie la fille qui accepte de prendre le risque de rédiger “mon testament” posthume
- dans un pays où la liberté de la presse et d’écrire est de plus en plus restreinte.
Je sais.
Je ne pourrais même pas lui offrir de payer ses avocats ou son procès si cet article est attaqué.
Donc j’accepte sa proposition de VOUS CONTACTER directement, vous, mes enfants, par d’autres moyens qu’elle-même,
- et, si possible, si je le peux,
– car ce n’est pas moi qui choisis le “channel”,
- de trouver d’autres messagers pour confirmer la nature de ce message.
Si vous êtes médium, appelez-moi !
Ce sera sans doute le premier procès où la parole de médium sera la parole d’un mort qui revient se défendre et défendre ses enfants à titre posthume.
- J’ai fait beaucoup de conneries dans ma vie !
Mais cette connerie-là, de DESHERITER mes enfants, je ne l’aurais pas faite !
Ou alors j’étais saoul, en dessous-de tout.
Ou alors j’étais drogué.
Ou alors j’ai été trompé.
Je ne me souviens pas avoir lu un testament où je ne laissais rien à mes enfants.
Ce n’est pas, CE N’ETAIT PAS le projet de testament que j’ai lu d’abord ou qu’on m’a lu.
Je ne sais plus.
Je sais que j’ai signé par rapport à un projet de testament sans relire le testament qui m’a été tendu.
- JE L’AFFIRME !, explique Johnny.
Et je suis très en colère.
Sinon pourquoi serais-je revenu ?
Je me suis fait avoir jusqu’au dernier jour de ma vie sur terre.
Je ne l’oublierai pas.”
– “Pas de “conditionnel”, précise Johnny, car l’enfer n’est pas au conditionnel pour ceux qui déshéritent leurs propres enfants et ceux qui les aident à le faire.
Et c’est pour ça que je suis là aujourd’hui !, devant vous, mes enfants,
-
et devant mes fans
-
pour répondre de mes actes !
Pas des actes des autres.
Je demande à mes enfants de retrouver celui qui m’a fait signer un testament qui ne correspondait pas à celui que j’avais lu quelques “mois” avant (?).”
[Johnny n’est pas content que je mette un point d’interrogation dans cette phrase qui est lourde de conséquences au niveau pénal. Mais moi, je ne peux faire autrement que de “m’interroger” sur ce que j’écris aujourd’hui. Suis-je manipulée ?]
Johnny me rappelle l’affaire Yves MONTAND et de sa fausse fille “Aurore”.
Il me demande de vous expliquer ce qui s’était passé et pourquoi Yves MONTAND
-
que je ne croyais pas,
-
ne me croyant pas moi-même être réellement “en contact” avec lui,
– pourquoi, donc, Yves MONTAND m’avait dit la VERITE, à moi seule, toute seule,
- alors qu’une presse déchaînée accusait Yves MONTAND d’être ce père infâme qui refusait de reconnaître sa fille.
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Le 03 Août 2011 – 11h52
[ Yves Montand : Aurore Drossart continue de clamer être la fille de la star…]
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L’expertise contredit les prétentions d’Aurore Drossart. L’ADN laisse Montand reposer en paix. Les examens génétiques pratiqués sur la dépouille du comédien concluent qu’Aurore Drossart n’est pas sa fille.
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Johnny, lui, a toujours reconnu ses enfants.
- “Ce qui est contradictoire, me fait-il noter, avec une volonté de ne pas vouloir assumer sa paternité,
- donc assurer leur avenir après sa mort.”
Non, Johnny ne voulait pas que ses propres enfants subissent ce qu’il a subi étant enfant,
- être abandonné et RENIE par son propre père.
Donc Johnny me RAPPELLE que je dois AIDER ses enfants,
-
les enfants de sa propre chair,
en livrant l’élément DETERMINANT, selon lui, élément ECRIT qui prouve qu’il n’a JAMAIS voulu établir sa résidence en Californie
-
ni JAMAIS voulu échapper à la loi française sur les successions,
-
pour empêcher ses enfants d’hériter de sa fortune en partie,
-
après avoir partagé comme prévu, entre ses enfants de sang, sa propre chair et ses enfants de coeur, enfants d’adoption.
“Autant se vider de son propre sang que de deshériter ses propres enfants !”, dit Johnny.
– “Ne pleure pas, Laura, papa est là !” me demande d’ajouter, la voix presque “cassée”, de Johnny.
[La voix de Johnny, c’est comme un chant antérieur qui pourrait être entendu de toutes celles et de tous ceux qui sont à l’écoute]
– “Ne crains pas, David, sois fort, mon fils !” Johnny regarde droit devant lui, tête haute.
Il se battra pour son fils.
Cet élément déterminant qui m’avait fait prendre son “annonce” pour une sorte de “Cocorico !” franchouillard, lancé à la cantonnade,
- est donc un article de presse, extrait du journal “Le Parisien“,
- lequel n’a pas la réputation de “truquer” et de “tronquer” les interviews de ses journalistes avec des vedettes.
“Jojo” qui veut que je l’appelle ainsi,
– “à la vie, à la mort”, m’annonce-t-il,
- si je fais ça pour ses enfants,
[la Vie, je la reçois d’un autre, Johnny, une vedette aussi à Sa manière !, le CHRIST.]
- c’est à dire accepter d’écrire pour qu’il soit entendu.
Donc je vous livre la DECLARATION PUBLIQUE faite devant un journaliste par Johnny HALLIDAY et imprimée dans la presse nationale le 03 avril 2015,
-
DECLARATION PUBLIQUE NON CONTESTEE, JAMAIS CONTESTEE,
– dans laquelle Johnny HALLIDAY déclare :
CADEAU POUR SES DEUX ENFANTS DE SANG, QUI SONT FRANCAIS :
- Et pour qui Johnny est revenu !
Voici le lien pour “l’article/cadeau” fait à ses deux enfants de sang,
- où Johnny qui aime se faire appeler “Jojo” ou “mon pote”
- déclare que son pays d’ELECTION, c’est la FRANCE.
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[…]
[– “Vous vivez à présent aux Etats-Unis.
Pourquoi ?
Johnny Hallyday L’Amérique fait partie de ma culture. De plus, ici, je suis tranquille : je peux sortir dans la rue, mes filles vont à l’école normalement. C’est un endroit où je peux me ressourcer, penser et écouter la musique américaine. Et puis je travaille ici : j’y enregistre mes albums.
Vous êtes aujourd’hui un monument de la chanson française mais vous étiez au départ l’ambassadeur de la musique américaine en France…
J’ai grandi là-dedans. J’ai été élevé par Lee Hallyday (à qui il doit son nom de scène, NDLR), le mari de ma cousine Desta. C’était un danseur américain. Ses parents m’envoyaient les premiers disques de Gene Vincent et d’Elvis. Il avait ses entrées dans les bases américaines en France, alors je chantais pour eux contre des jeans Levi’s. Ils me payaient avec des 501.
Vous êtes né d’un père belge mais avez choisi la nationalité française par la suite… Quand j’ai fait mon service militaire, j’avais le choix entre la Belgique et la France.
J’ai choisi la France.
C’est mon pays.]
Johnny Hallyday : «On m’appelle Johnny, Jojo ou mon pote»
>Le Parisien>Week-End|Lucas Bretonnier| 03 avril 2015, 9h28 |
Dans le jardin de sa maison de Pacific Palisades, à Los Angeles, Johnny Hallyday pose pour notre magazine avec une guitare Martin, la marque fétiche d’Elvis Presley.
(Dimitri Coste pour Le Parisien Week-End)
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Johnny me demande d’ajouter :
– “Pour ce qui est de la résidence fiscale et de la résidence à laquelle je suis le plus attaché, elle dépend de mon libre choix.
Et mon choix, c’est et c’était la France, mon pays d’ELECTION.
[Johnny insiste beaucoup sur le mot “ELECTION” et, à mon humble avis, ce n’est pas par hasard. Mais j’ignore toujours humblement et pour l’instant “pourquoi”. Un juriste pour nous “éclairer” ?]
MON CHOIX A TOUJOURS ETE
LA FRANCE.
C’est MON PAYS.
- “Et, en 2015, j’avais toute ma tête, Laetitia, et je n’étais pas “drogué” au moment de l’interview.
Mon choix, c’était et c’est la FRANCE, pas la Californie !
-
Californie, comme “Californiquer”, j’ai compris, dit Johnny.
-
Forniquer, niquer !, j’ai été “niqué”.
– Passe encore que je sois niqué…, c’est pas la première, ni la dernière fois que je me serais trompé.
-
Mais pas mes enfants !
Je me suis trompé sur moi et j’ai trompé d’autres personnes.
- Oui, c’est ma vie, l’histoire de la vie d’un raté qu’a réussi sa vie en public.
La vie d’un homme qu’a raté sa vie d’homme mais qui a réussi sa vie de chanteur.
Je veux pas rater ma mort !
Oui, je sais, c’est un peu ridicule.
Mais c’est partir pour toujours, sans pouvoir réparer le mal qu’on a fait.
- Et ne pas réparer le mal qu’on a fait, c’est mourir deux fois !
Déjà y’a le mal qu’on fait, sans le faire exprès ou bêtement, alors…
Sans réfléchir, avant de mourir.
Mais assumer le mal qu’on n’a pas fait, comme abandonner ses enfants, ne pas les reconnaître et ne pas leur transmettre ce qu’on a de plus cher, c’est mourir deux fois et me faire mourir dans leur coeur.
- Avant de mourir, il faut se préparer à ne pas mourir deux fois.
Ce sont les enfants de ma chair, une chair que j’ai moi-même martyrisée par mes conneries.”
“JE VEUX LEUR DONNER UNE PREUVE D’AMOUR !
– Mieux, ajoute Johnny, une preuve de l’existence,
-
de mon existence !
Au-delà de cette vie de paillettes et d’artifices, il y avait aussi une vie d’amour.
D’abord pour mes enfants, mon secret à moi, ma souffrance de père,
-
sans enfants, parce que j’étais perdu pour moi, j’étais perdu pour eux !,
-
et une vie d’amour pour mes fans, devant qui je ressuscitais à chaque fois.
Sans l’amour de mes fans, je serais mort mille fois !
Je leur dois la vie et je les en remercie.
-
C’est aussi mon testament pour eux !, à mes fans, mon autre famille.
Ils m’ont aidé à me relever et à vivre, à choisir de vivre, de me lever le matin pour vivre, vivre pour eux.
Maintenant je leur demande de ne pas croire tout ce qu’on va raconter sur moi,
- de me juger sur mes actes !”
“J’ai aimé mes enfants.
Je les ai reconnus !
Je les ai reconnus jusqu’au bout, au bout de la vie, jusqu’à ma mort.
Deshériter ses enfants, c’est comme ne pas les reconnaître.
Et ça, ce n’est pas moi.
CE N’ETAIT PAS MA VOLONTE.
– Oui, Véro, je te le promets, parole de Johnny !
Je vais aller trouver d’autres mediums pour qu’ils confirment ce message, s’ils veulent bien m’entendre.
- Et je me montrerais à mes enfants pour leur prouver que je les aime
- et que je réponds à leur appel.
D’ailleurs, tu en es le TEMOIN.
– Grâce à Véro, vous en êtes les témoins !
Je peux et j’ai pu leur prouver, à mes enfants et à vous, mes fans, que j’avais prévu de REVENIR.
J’avais donné à Véro l’article de presse sous le nom de code “Jojo”
- ce qu’elle a pris pour une “connerie” franchouillarde,
- à cause de la cérémonie nationale organisée par le président MACRON en France.
Elle ne m’a pas pris au sérieux.
Mais elle a quand même noté l’article parce que je lui demandais de m’appeler “Jojo”.
Elle pouvait pas savoir.
Mais moi, je savais déjà.
Dès que je suis mort, j’ai entendu et j’ai vu, donc j’ai su.
JE SUIS REVENU POUR MES ENFANTS !
Pour eux !
Je voulais juste voir et savoir
- si le pire scénario allait se dérouler sous mes yeux,
- et pas des yeux d’homme impuissant !
C’est pour ça que je m’étais MANIFESTE avant, en disant que JE REVIENDRAIS.
JE PREVENAIS.
Faut pas jouer avec moi, pas à ce jeu-là !
N’oubliez pas que le titre de mon dernier album, c’est :
“RESTER VIVANT”
Le quartier où j’habitais à Los Angeles ressemblait au quartier des “Desperate Housewives”, a écrit le journaliste.
– C’était prémonitoire, comme dirait Véro.
-
Desperate du vivant de leurs maris !
-
Moins à leur mort.
-
Dans la série télévisée, hein ?!
Mais j’comprends.
J’ai pas toujours été là quand il fallait, au moment où il le fallait.
Alors, tu vois, Laetitia, là, je suis là au moment où il le faut.
-
Pour mes enfants.
Croire au “pardon” d’une femme, c’est comme croire en Dieu.
IL N’Y A QU’APRES SA MORT
- QU’ON PEUT SAVOIR.
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[Johnny HALLIDAY, de son vrai nom qu’il n’aimait pas, Jean-Philippe SMET, est plus « apaisé ».
– Va t-il pouvoir enfin partir en paix ?
N’oublie pas, Jojo, de te « manifester » à tes enfants
-
et de « communiquer », toi qui aimes si peu parler de toi,
-
avec d’autres mediums !
-
S’il te plaît.»]
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– Merci d’EXISTER, “Jojo”, comme dirait Eric CELERIER, un grand « communicant »
-
et d’avoir apporté cette preuve de ton EXISTENCE à tes enfants,
-
à tes fans
-
et à tous ceux qui t’aiment et ne te connaissent pas encore pour ce que tu es,
– un écorché vif avec un coeur qui bat !, encore.
Laura, écoute !
Fais silence… TON PERE TE PARLE.
David, lEVE-toi !
N’attends plus pour EXISTER.
E X I S T E !