Nous serions en période de plein emploi et nos rues seraient jonchées de déchets humains AYANT CHOISI de vivre une vie d’hippie, sans argent et drogués, je ne serais pas en train d’écrire cet article.
Il fut un heureux temps, préfiguré par l’acteur Philippe NOIRET dans un film célèbre intitué “Alexandre le Bienheureux”, film réalisé par Yves ROBERT et sorti en 1968 où le droit à la paresse était récompensé par la suractivité professionnelle d’un grand nombre de Français dits “actifs”.
Le “clochard” faisait partie du paysage français et chaque village avait son “Alexandre” alors que chaque ville, par quartier, avait sa “cloche”. Figure sympathique reprise par le dessin animé de Walt DISNEY, “La Belle et le Clochard”, le “vagabond” allait de ville en ville et d’errance en errance, une bouteille de pinard à la main et l’autre tendue vers son prochain, un “prochain” magnanime.
Pourquoi dans ce temps d’avant et ce “temps d’Avent”, du latin adventus, « venue, avènement »,
la figure du “clochard” était-elle en sympathie ? Autrement dit pourquoi ce qui provoquait de l’empathie chez les Français est-elle devenue une sorte de phobie nationale appelée “SDF” ?
Longtemps avant, au Moyen-Âge chrétien, au temps des Cathédrales, il existait des légendes et contes d’antan selon lesquels Jésus s’incarnait dans le “vagabond” à qui il fallait réserver une place à sa table de peur de se voir refuser le Paradis parce que vous auriez refusé de donner à manger à ce “clochard” divin.
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“Superstition !” jurent les “pas-francs” maçons devenus nos veuls et seuls élus républicains à décider de tout et de rien pour le bon peuple de France (moins de 300 000 “pas francs”-maçons gérant et trompant plus de 60 millions de Français !).
– “Superstition ?” Quoique…
Le CHRIST s’incarne dans l’Homme, et lorsqu’Il s’incarne, croyez-moi !, Il ne choisit pas d’être le Président de la République ou le Président Directeur Général de Renault.
Il choisit d’être un mendiant, un mendiant de l’Amour.
Et le CHRIST peut réellement s’incarner, sans que vous puissiez Le reconnaître.
Il a autant de visages qu’Il y a d’hommes sur cette terre.
Et Son visage est autant celui du “SDF” moderne que celui du “voyageur” moyenâgeux, tous les deux mendiant leur pitance quotidienne et incarnant la souffrance humaine, cette misère solitaire pire que toutes les guerres.
Mais ce mendiant de l’Amour était respecté car il servait à exorciser les peurs et les pleurs d’une humanité à la recherche du Graal.
Aujourd’hui le “SDF” sert à exclure le péché de notre société moderne. Le mendiant est devenu l’incarnation de toutes nos fautes, en particulier le pire péché pour les Capitalistes, le refus de l’Homme d’être exploité par les hommes.
Le “SDF”, c’est le parfait “Bouc Emissaire” d’une société qui se veut parfaite et exclut à tour de bras, avec une rare violence institutionnelle, toutes celles et tous ceux qui ne sont pas “cons-formes” au modèle du “Vivre Ensemble“.
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Curieux, non ?
Et c’est quoi, le modèle du “Vivre Ensemble” ?
C’est le “migrant”.
Lui a tous les droits.
La figure du “migrant” a remplacé celle du “vagabond” divin.
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Après tout, c’est un “voyageur” lui aussi !
Un voyageur du XXIème siècle qui incarne le rêve mondialiste, l’abolition de toutes les frontières et donc la satisfaction de tous les désirs, même les plus inavouables et surtout les plus irrémédiables.
Le rêve du Mondialiste est devenu le cauchemar du Nationaliste.
Et, entre ces deux modèles de “voyages”, d’incarnation du divin, la figure du “clochard” béni nous visite et celle du “SDF”, le “Sans Domicile Fixe” honni, nous habite comme une peur intime, celle de finir comme lui.
Le “SDF”, c’est la fin de la vie.
Le “migrant”, c’est le début de la vie, d’une nouvelle vie,
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le mythe américain avec ses cow boys et ses indiens,
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sauf que les indiens ont fini presque tous massacrés par les nouveaux arrivants,
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l’illustration parfaite du “grand remplacisme” devenu un masochisme européen.
Mais la figure du “migrant” nous invite à dépasser les frontières de nos limites et nous invite à “renoncer” à devenir nous-mêmes pour mourir à l’autre, n’est-ce pas ?
– Néanmoins est-ce chrétien de vouloir renoncer à soi-même,
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de renier son identité et sa culture, objet de la litanie religieuse de la messe CATHOLIQUE du dimanche 6 mai 2018,
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aux fins d'”accueillir” “l’autre” dans son acception entière et son altérité si fière,
-
un autre, cet “autre”, “l’étranger” applaudi pour qui s’applique d’autorité un principe de charité d’Etat refusé aux “SDF” maudits de la Nation française,
-
la fin d’une Nation française ?
– « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » Matthieu 22-39, a dit un certain Jésus-CHRIST.
Pour aimer son prochain, il faut d’abord s’aimer soi-même.
Et pour s’aimer soi-même, il faut aimer tout ce qui est “soi”, ce qui constitue son “soi”,
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à moins d’être Bouddha et d’avoir atteint l'”En-Soi”, le “Nirvana”.
Le “Nirvana” est un concept philosophique de l’hindouisme, du jaïnisme et du bouddhisme qui signifie « extinction » ou « libération ».
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Voir sa définition sur WIKIPEDIA qui est une encyclopédie LIBRE “online” alimentée intellectuellement par de nombreux autistes passionnés de savoir,
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d’où leurs surnoms d’ “idiots savants”.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nirvana_(monde_indien)
- par des jaloux encore plus idiots !
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Nous pouvons dire, sans rire, que l’Europe, surtout la France, est très en avance sur le concept et va atteindre le “Nirvana” !
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Qui est l’extinction du “Soi” !
Mais chez les Chrétiens, la survie du “Soi” est essentielle à la poursuite de la Vie.
Encore faut-il savoir qui l’on est et qui est son “Soi” pour l’aimer et l’entretenir ?
Sinon le “Soi” va mourir et l’âme va partir rejoindre un vaste “Océan” qui est le début du monde dans sa virtualité.
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Le monde n’est pas né tant que l’Homme n’est pas né !
La question est d’importance que de choisir quelle vie nous voulons mener car il s’agit d’une question de Vie ou de mort.
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Etre remplacé-e, c’est vouloir mourir !
Or le “suicide” est INTERDIT dans le Christianisme.
Celui qui meurt en martyr, le Chrétien, ne se suicide pas. Il est TUE !
Nuance et différence avec l’Islam du Prophète Mahomet qui glorifie le martyr du “tueur” de Chrétiens, de Juifs, d’homosexuels, de femmes impures, d’enfants innocents, de mécréants, et j’en passe.
Le Seigneur ajoute qu’il peut être TUE, le Chrétien, à petits feux, petit à petit, peu à peu, comme quand vous voulez éliminer la mauvaise herbe dans votre jardin.
Rien de tel que d’y apporter une plante invasive pour détruire la mauvaise herbe autochtone qui vous empêche de réaliser du profit !, votre PROFIT, le “profit PERSONNEL”.
Or le “profit”, c’est le mot “divin” aujourd’hui, un mot en or, un mot tout en or.
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Celui qui ne profite pas des autres est NUL.
C’est un niais, un imbécile, pire, un débile !, c’est à dire un faible.
Comme les “SDF”.
Car un SDF, s’il tend la main, vous laisse le choix de lui donner ou pas de l’argent.
Enfin, “normalement”.
Peu de SDF s’attaquent à des piétons en hurlant “Vive Dieu !” et en plantant un couteau dans le dos d’un jeune homme qui s’enfuit ou en l’égorgeant comme un “mouton”,
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le “mouton” du “Vivre Ensemble”.
Pourtant, il aurait toutes les raisons du monde, le SDF, de vous en vouloir, vous qui passez sans le voir !
Il crève à petits feux sur un trottoir, sous vos yeux, le SDF, et vous marchez dessus, la “République En Marche”, “REM”, comme “res, rei”, la “Chose publique”, la “Res publica”
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ou pire, le “rem”, cette unité de mesure, en physique, de l’effet biologique d’un rayonnement radioactif qui vous menace comme une future guerre nucléaire déjà annoncée en Europe.
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https://www.youtube.com/watch?v=xwtdhWltSIg
R.E.M. – Losing My Religion (Official Music Video)
*remhq
Ajoutée le 1 juil. 2011
The GRAMMY Award-winning “Losing My Religion” from R.E.M.’s critically-acclaimed, 1991 album, “Out Of Time”
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[Un “hasard”, le choix de cet acronyme “REM” ?
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Non, une promesse gouvernementale !]
Vous préférez mourir plutôt que vivre ?
Il faut le croire, vous qui ne croyez plus en rien.
La vieille Europe renonce à se battre,
– les héritiers de “Mai 68, fais ce qu’il te plaît !” refusant les limites d’un monde qui s’appellerait “morale”,
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la “morale chrétienne”.
Quelle horreur !
Vous admettrez que la culture de l’excuse ne s’applique pas aux “SDF” français lesquels sont lourdement condamnés pour avoir volé de la nourriture dans les grandes surfaces, fût-ce une boîte de sardines !
Pourtant, autrefois, ce délit n’était pas retenu contre une personne mise dans la nécessité de se nourrir, donc de voler de la nourriture, pour ne pas mourir.
Des juges, aujourd’hui, considèrent qu’un SDF qui vole de la nourriture est un délinquant redoutable, puisqu’il vole les riches.
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Pauvres riches !
– Réduits à utiliser la Justice de leur pays, la France, pour se défendre
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contre un peuple réduit, lui, à la misère,
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et contre ceux qui s’appellent les “traîne-misère“, justement !
– “Justement ?”
– “Non, INJUSTEMENT !”
Les accidents de la vie, comme le chômage, condamnent à la mort sociale des femmes françaises et des hommes français qui avaient un avenir… avant !
Mais le chômage fait partie de la vie sociale comme la mort fait partie de la vie physique.
– “Il faudra s’y habituer !” dit doctement celui qui considère “normal” de mal payer un docteur
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et tout aussi “normal” de surpayer un vendeur de bagnoles !
L’échelle des salaires est telle que la France va rejoindre l’Inde sur le plan des inégalités sociales, certains de nos PDG, vendeurs de chaussettes, ayant des revenus équivalents à celui d’un Maharadja qui pourrait être le Maharadja du Jodhpur, tant leur train de vie est insolent car indécent.
Dans quel pays a-t-on vu un Président Directeur Général gagner plus qu’un Président de la République au nom des responsabilités qu’il assume ? La France !
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De qui se moque-t-on ?
– Du bon peuple de France, à coup sûr !
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Président de la République : 15 140 € bruts par mois
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Le salaire des politiques et des élus
Traitement mensuel : 15140,45 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (11 759,58 €), une indemnité de résidence (352,79 €) et une indemnité de fonction qui, elle, n’est pas soumise à l’impôt sur le revenu (3 028,09 €).
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Ghosn a gagné plus de 16 M€ en 2015/2016
Par Lefigaro.fr avec AFP Mis à jour le 22/06/2016 à 11:02 Publié le 22/06/2016 à 07:42
Le PDG du constructeur d’automobiles japonais Nissan, Carlos Ghosn, a reçu une rémunération de plus d’un milliard de yens (9 millions d’euros) en 2015/16, une somme qui s’ajoute à celle perçue pour Renault et qui a suscité la controverse en France. […]]
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La rémunération de Carlos Ghosn fait encore des vagues
Jean-Claude Bourbon , le 29/12/2016 à 8h58
[Le PDG de Renault pourrait toucher une plus-value de 6 millions d’euros en exerçant ses stock-options.
[… ]
Avalanche de réactions
À gauche, cette annonce a provoqué de nombreux commentaires. « Monsieur Ghosn se rémunère sur des efforts de salaires et de temps de travail de ses propres salariés, et c’est inacceptable », a affirmé la député socialiste Karine Berger sur LCI. « Il va de soi que c’est toujours moralement choquant de constater que l’on peut gagner comme ça, sur une manœuvre liée au capital », a affirmé Richard Ferrand, le secrétaire général d’En Marche !, et soutien d’Emmanuel Macron à la présidentielle, interrogé sur RTL.
La CGT évoque, quant à elle, une « rémunération indécente » et s’en prend au « cynisme exacerbé » de Carlos Ghosn. Le syndicat estime que le PDG de Renault est « récompensé » pour voir atteint « ses objectifs contenus dans l’accord de compétitivité 2013-2016 », en évoquant les 9 200 départs sur trois ans enregistrés dans l’entreprise pour seulement 3 000 embauches.
Une polémique récurrente
[…]
En avril, les actionnaires de Renault, dont l’État possède 20 % des droits de vote, avaient rejeté à 54 % une résolution portant à 7,251 millions d’euros la rémunération de Carlos Ghosn au titre de 2015. Mais le vote n’avait qu’une valeur consultative.
Un des patrons les mieux payés
Selon le classement annuel établi par le cabinet Proxinvest, le PDG de Renault a été l’an dernier le deuxième patron le mieux payé du CAC 40, derrière Olivier Brandicourt, le nouveau PDG de Sanofi, qui a touché 16,8 millions d’euros en 2015, dont 7,2 millions de primes de bienvenue.
Mais le numéro un de Renault a d’autres sources de rémunération. Il est aussi à la tête du constructeur japonais Nissan et a perçu à ce titre 9 millions d’euros en 2015. Aujourd’hui, il cumule aussi une autre casquette, celle de président du conseil d’administration de Mitsubishi Motors, qui vient d’ailleurs d’adopter une nouvelle grille de rémunération de ses dirigeants. Revues à la hausse, évidemment.]
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Donc il appert que diriger une multinationale qui fut autrefois française paye mieux que gouverner un pays comme la France.
-
Pourtant qui peut contester que si la multinationale Renault disparaît, c’est moins grave que si disparaissait la France ?
- Au lieu d’acheter des voitures “Renault”, les Français achèteront des voitures japonaises, comme aujourd’hui.
Si la France disparaît, c‘est l’équilibre du monde qui s’en trouverait renversé.
SOYONS RAISONNABLES :
Il ne s’agit pas de demander qu’un Président de la République gagne plus qu’un PDG, vendeur de voitures, non !
Mais il s’agit d’exiger que le travail des salariés soit rémunéré justement selon une échelle de salaires déjà établie
-
par le Décret n° 2012-983 du 23 août 2012 relatif au traitement du Président de la République et des membres du Gouvernement
- imitable par et chez un vendeur d’automobiles irritable au rôle sociétal non indispensable et qui se fiche de la France comme de sa première chemise.
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https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2012/8/23/PRMX1232759D/jo
Décret n° 2012-983 du 23 août 2012
-
relatif au traitement du Président de la République
-
et des membres du Gouvernement
NOR: PRMX1232759D
ELI: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2012/8/23/PRMX1232759D/jo/texte
Alias: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2012/8/23/2012-983/jo/texte
Publics concernés : membres de l’exécutif,
-
citoyens.
Objet : confirmation de la réduction du traitement du Président de la République et des membres du Gouvernement.
Entrée en vigueur : les traitements fixés par le décret sont applicables depuis le 15 mai 2012.
Notice : le décret tire les conséquences de la décision du Conseil constitutionnel n° 2012-654 DC du 9 août 2012 en se substituant aux dispositions de la loi du 6 août 2002 déclarées contraires au principe de séparation des pouvoirs. Il confirme la réduction de 30 % des traitements du Président de la République et des membres du Gouvernement mise en œuvre depuis le 15 mai 2012.
Références : le décret peut être consulté, dans sa rédaction issue de cette modification, sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr).
Le Président de la République,
Sur le rapport du Premier ministre,
Vu la Constitution ;
Le conseil des ministres entendu,
Décrète :
Article 1
Le Président de la République et les membres du Gouvernement reçoivent un traitement brut mensuel calculé par référence au traitement des fonctionnaires occupant les emplois de l’Etat classés dans la catégorie dite « hors échelle ». Il est au plus égal au double de la moyenne du traitement le plus bas et du traitement le plus élevé de cette catégorie.
Ce traitement est complété par une indemnité de résidence égale à 3 % de son montant et par une indemnité de fonction égale à 25 % de la somme du traitement brut et de l’indemnité de résidence.
Article 2
Le traitement brut mensuel prévu à l’article 1er est fixé, pour les ministres et les ministres délégués, à 1,4 fois la moyenne du traitement le plus élevé et du traitement le plus bas perçu par les fonctionnaires occupant des emplois de l’Etat classés dans la catégorie « hors échelle ».
Article 3
Le traitement brut mensuel, l’indemnité de résidence et l’indemnité de fonction du Président de la République et du Premier ministre sont égaux aux montants les plus élevés définis à l’article 1er ci-dessus majorés de 5 %.
Article 4
Le présent décret s’applique aux autorités investies à compter du 15 mai 2012, à partir de leur prise de fonctions.
Article 5
Le décret n° 2002-1058 du 6 août 2002 relatif au traitement des membres du Gouvernement est abrogé.
Article 6
Le Premier ministre et le ministre de l’économie et des finances sont responsables, chacun en ce qui le concerne, de l’application du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 23 août 2012.
François Hollande
Par le Président de la République :
Le Premier ministre,
Jean-Marc Ayrault
Le ministre de l’économie et des finances,
Pierre Moscovici
____________________________________________________________
Donc l’avenir de la France dépend d’un “fonctionnaire” (grille des salaires), ou un Président assimilé à un fonctionnaire, qui est moins bien payé qu’un vendeur de voitures ?
-
Mais dans quel monde vivons-nous ?
C‘est tout simplement ABSURDE.
Si la rémunération doit être proportionnelle à la responsabilité qui découle de la fonction occupée, il apparaît nécessaire :
– soit de payer le Président de la République française PLUS QUE le Président Directeur Général de Renault, Nissan and co, etc.,
– soit de payer les PDG des multinationales MOINS QUE les Présidents qui gouvernent des pays.
Il faudra choisir pour que chacun-e retrouve sa place dans une économie REELLE qui tient compte du POUVOIR donné à chacun par la VOLONTE DU PEUPLE.
Le pouvoir économique ne doit pas être SUPERIEUR au pouvoir politique, sous peine de mettre à l’amende tous les pays et tous les peuples du monde.
Les Rois de France l’avaient bien compris.
Si nous voulons que le pouvoir politique EXISTE face à un pouvoir économique aux moyens démesurés, il va falloir INVERSER la place de ce pouvoir économique
-
et RENVERSER l’OLIGARCHIE mondialiste.
Sinon nos Présidents de la République resteront des pantins entre les mains de “fantômes”,
-
des “GHOSTS” qui ne sont invisibles que de ceux dont ils ne veulent pas se faire voir,
-
les peuples qui travaillent pour eux.
En conséquence, la pauvreté qui gangrène nos banlieues et nos campagnes se répand comme la lèpre de la corruption,
-
grâce à des salaires mirobolants qui n’ont aucune signification REELLE par rapport au travail accompli et aux responsabilités endossées.
Pour certains PDG, il est plus facile de s’acheter un Président de la République, vu son maigre salaire, que de s’acheter un marché aux USA, opportunité très protégée.
C’est dangereux, très dangereux pour l’indépendance de la France !,
- cette situation ETONNANTE
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mais qui n’étonne personne !?
– et qui explique qu’il ne puisse pas y avoir de “PREFERENCE NATIONALE” !
Si le Roi n’existe pas, son Royaume est “mort”.
Le Président de la République n’a pas les moyens matériels de s’opposer à la volonté de “DICTATEURS” marchands, des “acteurs économiques” qui pillent le monde et ses richesses, qui vandalisent les terres de notre Planète pour posséder des fortunes INCALCULABLES et, de toutes façons, INACCEPTABLES.
Vendre des voitures ne devrait pas permettre, moralement et LEGALEMENT, de s’enrichir plus qu’un Chef d’Etat.
Il serait temps de remettre en perspective cette société LIBERALISTE qui court à sa perte,
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payant ses soignants, ceux qui sauvent nos vies !, à coups de lance-pierre
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et enrichissant de manière éhontée les “épiciers” qui prétendent les diriger mais sans pouvoir jamais guérir les Français malades de cette dictature financière.
Carlos GHOSN ne pourra jamais sauver une vie humaine, d’autant plus que par sa gestion de l’entreprise Renault, il a plutôt été responsable d’une vague de suicides, vite oubliée aujourd’hui,
– tant il est vrai que ce monde devenu fou
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récompense les criminels
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et assassine les “vertueux”.
Le mot “Vertu” fait trembler de peur tous ces “seigneurs de paie” qui se payent la tête des Français – – mais savent, en retour, qu’ils risquent aussi, un jour, d’y perdre la leur,
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un jour de colère du peuple,
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un jour de colère du Seigneur,
– car “Vox Populi, Vox Dei“.
Il reste à déterminer dans ces responsabilités si mal payées, celle réservée constitutionnellement à la protection du peuple français, pour faire disparaître la “discrimination anti-française” qui frappe tous les Français de plein fouet !
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Découverte des institutions
Comprendre les institutions
Le fonctionnement des institutions
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Pourquoi parle-t-on d’”irresponsabilité politique” du président de la République ? |
La tradition institutionnelle française a consacré l’irresponsabilité politique du président de la République. […]
Tout est dit, c’est ECRIT en toute clarté et toutes lettres sur un site OFFICIEL du Gouvernement français :
– non seulement le Président de la République est mal payé,
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mais, en plus, quoiqu’il fasse, il est “IRRESPONSABLE” politiquement !
La seule manière, pour le Président français, d‘être RESPONSABLE
-
et d’avoir donc l’OBLIGATION de REPONDRE de ses ACTES (du latin “respondere” d’où est tiré le mot “RESPONSABILITE”)
– est d’utiliser la voie du référendum pour savoir si le peuple l’approuve.
Car gouverner, sans l’accord du peuple, c’est le trahir, son peuple.
Un homme qui gouverne un pays, selon sa propre volonté et contre la volonté du peuple qui l’a élu, est un “DICTATEUR“.
Le site “républicain” de “vie publique” expose fort bien cette problématique et le fait qu’aucun Président de la République n’a voulu se soumettre à la volonté du peuple par un référendum pour en tirer ensuite les conséquences politiques,
-
malgré l’exemple donné par le Général De GAULLE, le concepteur de la Constitution de la Vème République, qui avait renforcé le pouvoir présidentiel au détriment du pouvoir parlementaire.
Pourtant, si le Général De GAULLE faisait approuver ses décisions par le peuple de France, se soumettant à sa volonté en cas de désapprobation, c’est à dire en démissionnant de son mandat présidentiel, le moins qu’on puisse dire, c’est que “la place est bonne” à voir comment les “morpions” au pouvoir s’accrochent à leur siège présidentiel,
-
eux qui ne sont que les pions des multionationales françaises ou étrangères
-
et les “espions” de puissances étrangères qui continuent de coloniser la France grâce à l’ARGENT, en particulier grâce aux “pétrodollars”.
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[…]
Cette procédure [d’irresponsabilité] apparaissait tout à fait adaptée dans des régimes où le rôle du président de la République était finalement assez réduit. Mais, dès lors que les rédacteurs de la Constitution de 1958 ont fait de celui-ci la « clef de voûte » des institutions, l’irresponsabilité apparaît en décalage avec l’importance des pouvoirs présidentiels, et ce en dépit de l’existence d’exceptions à l’apposition des contreseings du Premier ministre et des ministres (ex : pour dissoudre l’Assemblée nationale).
Cette irresponsabilité politique a été en quelque sorte accrue par la pratique institutionnelle des présidents qui ont succédé au général de Gaulle. Ce dernier utilisait le référendum pour tester la confiance que lui portaient les électeurs. Il a, à chaque référendum, remis son mandat en jeu, reconnaissant par ce geste sa responsabilité politique. D’ailleurs, lorsque le résultat fut négatif (en 1969), il démissionna immédiatement.
Ses successeurs n’ont jamais adopté cette lecture de la procédure référendaire et ont, au contraire, toujours annoncé que le résultat du référendum ne pouvait pas avoir d’effet sur leur mandat (ex : en mai 2005, lors de la victoire du « non » et du refus de ratifier le traité établissant une constitution pour l’Europe). De même, aucun président de la Ve République n’a cru devoir démissionner lorsque les élections législatives étaient défavorables au camp qui l’avait porté au pouvoir (François Mitterrand en 1986 et 1993), même lorsque le Président avait lui-même provoqué le retour aux urnes (Jacques Chirac en 1997).
[…]]
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Par conséquent, si le peuple de France s’estimait DISCRIMINE par une politique SYSTEMATIQUEMENT menée en faveur des “étrangers”, au point de se servir de l’argent public comme d’un vecteur de CORRUPTION pour payer les Collectivités Territoriales par tête de migrant accueilli chez elles CONTRE LA VOLONTE DU PEUPLE FRANCAIS,
-
le Président de la République française devrait se soumettre
-
à un REFERENDUM
-
pour savoir si cette DISCRIMINATION ANTI-FRANCAISE est soutenue par le peuple qui l’a élu.
De fait, Emmanuel MACRON est bien trop intelligent pour se servir d’un référendum exploitable contre lui. S’il propose un référendum, ce sera pour diviser le peuple français comme il sait si bien le faire,
– en proposant de réduire le nombre des Parlementaires qui vivent grassement de leurs primes et indemnités parlementaires.
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[…]
Cependant, la révision constitutionnelle du 23 février 2007 en réformant le statut du président a introduit un mécanisme de responsabilité politique (art. 68 de la Constitution). Elle a mis en place une procédure très encadrée de destitution qui sanctionne les atteintes que le comportement du chef de l’État pourrait porter à la fonction présidentielle.
La destitution est prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour. Elle ne constitue donc pas une sanction pénale, mais une sanction politique, dont la conséquence est de mettre un terme au mandat du chef de l’État et à l’inviolabilité qui lui est reconnue par l’article 67 de la Constitution pour la durée de ses fonctions. La mise en cause de la responsabilité du Président par cette procédure est toutefois très restrictive.
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Or, à l’heure actuelle, le Parlement français est majoritairement constitué des Députés “LREM”, l’actuel Parti du Président de la République française.
Ainsi les Français ont signé un “chèque en blanc” à leur Président de la République qui refuse et refusera, comme ses prédécesseurs, de se soumettre à la volonté du peuple de France par la voie référendaire.
Etant “MAL-in”, s’il le fait, ce sera uniquement et seulement parce qu’il sait que les Français approuveront une de ces décisions qui pourrait être la réduction du nombre de Parlementaires avachis par les tournées de bars et blanchis par “l’in-Justice” de la France quand ils doivent répondre très exceptionnellement de leurs actes.
-
Et encore faut-il ajouter qu’il y a fort à parier que ces Parlementaires, s’ils sont inquiétés par le pouvoir judiciaire, le sont car ils seraient des opposants politiques au “camp MACRON” !
Néanmoins il existe une exception, celle de l’hypothèse de la “haute trahison” devant la Haute Cour de Justice. Mais le Président ne peut être mis en accusation que par les deux assemblées parlementaires, “tautologie” de la mauvaise foi, cercle vicieux des parangons de justice qui ne sont que des “Harpagon” tentant de marier la France avec l’Islam pour protéger leur cassette d’or.
-
Le peuple français n’a pas d’autre solution que la Révolution !
Puisque c’est la seule solution qui s’offre au peuple de France, les élus de la République maçonnique ayant renoncé à protéger ceux qui les avaient élus pour favoriser ceux qui haïssent la France et ses valeurs chrétiennes.
La preuve en est, le nombre de SDF français blessés ou tués dans la rue, nombre inconnu de corps enterrés ou incinérés sous “X”, un “X” qui défie la mémoire du temps dans des fosses communes puant la mort,
-
la mort de la France !
Quand le pouvoir politique n’a plus suffisamment de pouvoir pour protéger les plus faibles des Français, il doit répondre de cette grave défaillance,
-
et ce, d’autant plus, qu’a contrario, il loge gratis des “étrangers en situation irrégulière”
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car rentrés clandestinement,
-
c’est à dire ILLEGALEMENT sur le territoire NATIONAL.
En droit pénal, il est nécessaire de prouver que cette DISCRIMINATION ANTI-FRANCAISE est voulue.
L‘acte de diffusion de la circulaire du 4 mai 2018 le prouve aisément.
Cette circulaire est adressée aux Procureurs de la République par le Directeur des Affaires Criminelles et des Grâces (DACG) du Ministère de la Justice, Rémy HEITZ, qui réprimande les “Identitaires”, postés en tant que lanceurs d’alerte à une frontière française dans le seul but de dénoncer l’absence de policiers lors du franchissement ILLEGAL de cette frontière par des étrangers en situation irrégulière.
L’accusation du DACG est pour le moins “tendancieuse”. Il s’agit ni plus ni moins d‘un acte d’allégeance de “l’in-Justice” française envers une autorité européiste et immigrationniste, l’Europe criminelle des marchands et trafiquants d’êtres humains.
Cette oligarchie mondialiste du “PROFIT” reste cachée pour mieux contrôler les “pantins” gouvernementaux qui doivent détruire au plus vite les “Etats-Nations”, à cause de la montée des populismes en Europe.
C’est ainsi qu’un banal acte de protestation IDENTITAIRE à une frontière française devient criminel alors que le fonctionnaire d’Etat qui commet cette “circulaire” donne PUBLIQUEMENT des instructions ECRITES à des Procureurs pour contrecarrer les décisions de classements sans suite d‘un Procureur par faute de pouvoir qualifier pénalement ces faits.
Ce qui devait ne plus JAMAIS se reproduire :
- qu’un “Garde des Sots” ou son représentant donne des instructions écrites à un ou des Procureurs de la République pour une affaire en cours,
- à cause du respect de l’indépendance des Parquets.
Il en ressort,
-
ce que tous les Français savent déjà
– qu’il est désormais INTERDIT au peuple de France de s’opposer à l’immigration clandestine,
-
sous peine d’être lourdement et PENALEMENT condamné.
Le désordre intérieur est VOULU.
L’immigration CLANDESTINE est VOULUE.
La destruction des “Etats-Nations” de l’Europe est VOULUE.
En clair, il s’agit d’une forme de génocide des populations blanches européennes, “génocides des Blancs” qui se répètent dans des pays africains comme l’Afrique du Sud
- sans que l’ONU n’en fasse toute une affaire d’Etat !
Pire, l’Australie qui se proposait d’accueillir des fermiers blancs, chassés de chez eux et menacés de mort, a dû faire marche arrière à cause des pressions exercées contre son propre pays qui n’est plus souverain dans le choix des populations à accueillir sur ses terres.
Car il est permis de “DISCRIMINER” “ANTI-BLANCS’, de “CASSER DU BLANC” sur les réseaux sociaux et de “CHASSER LES BLANCS” en vrai et pour de vrai,
- même s’ils sont sur leurs terres d’origine en Europe.
C’est très grave ce qui se passe parce que les premiers Français qui subissent les discriminations racistes de nos gouvernants sont les plus faibles d’entre nous, SDF blancs, jeunes “précaires” blancs et paysans blancs livrés à la concurrence sauvage des Mondialistes sur un ring où la vie d‘un Blanc ne vaut plus rien.
J’accuse le gouvernement français de laisser mourir notre jeunesse française qui n’est plus prioritaire, si elle est à la rue, dans l’attribution publique des logements et dans la recherche d’un emploi correctement rémunéré.
J’accuse le gouvernement français de laisser mourir nos SDF français à la porte des villes d’où ils sont de plus en plus chassés avec une dureté sans égal, jamais atteinte à ce jour !
- The future of the France, too !
La corruption a atteint tous les niveaux d’une administration française qui tourne sur elle-même dans le vide comme une toupie folle. Les rares fonctionnaires intègres qui résistent sont ostracisés. La population est esclavagisée à coups de lois qui cassent les protections sociales du peuple français,
-
un peuple invité à se diviser chaque jour davantage,
-
en montrant du doigt les avantages différents de chaque corporation pour attiser la haine entre les Français.
Pendant que les Français se déchirent, le gouvernement tire les marrons du feu en bons larrons qui soutient “les copains de la bande de coquins”, les PDG du CAC40.
Vous devez choisir maintenant entre :
– “tuer” les “SDF” et les “précaires” français, boucs émissaires de la politique asociale de ce gouvernement,
– ou renverser un pouvoir qui n’est que l’écran d’un autre pouvoir,
-
un rideau de fumée chargé de faire diversion pendant que les marchands d’armes préparent la Troisième Guerre Mondiale
-
pour éviter une crise économique qui les plongerait, à leur tour, dans… la misère humaine.
Le Seigneur veut que je termine cet article par le rappel du devoir de protection de la République envers les citoyens français,
-
sous peine de commettre un crime de haute trahison !
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[ Constitution du 24 juin 1793
Décret du 21 septembre 1792
La Convention nationale déclare :
1° Qu’il ne peut y avoir de Constitution que celle qui est acceptée par le Peuple ;
2° Que les personnes et les propriétés sont sous la sauvegarde de la Nation.
Décret des 21-22 septembre 1792
La Convention nationale décrète à l’unanimité que la royauté est abolie en France.
Déclaration du 25 septembre 1792
La Convention nationale déclare que la République française est une et indivisible.
- Continuité de la même politique et permanence de l’Etat français !
Constitution du 24 juin 1793
DECLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN
Le peuple français, convaincu que l’oubli et le mépris des droits naturels de l’homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie ; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le législateur l’objet de sa mission. – En conséquence, il proclame, en présence de l’Etre suprême, la déclaration suivante des droits de l’homme et du citoyen.
Article 1. – Le but de la société est le bonheur commun. – Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Article 2. – Ces droits sont l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété.
Article 3. – Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi.
Je confirme : – Si les fichés S étaient surveillés comme je suis surveillée, ils n’auraient pas le temps de passer à l’acte !
Article 4. – La loi est l’expression libre et solennelle de la volonté générale ; elle est la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ; elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à la société ; elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible.
Article 5. – Tous les citoyens sont également admissibles aux emplois publics. Les peuples libres ne connaissent d’autres motifs de préférence, dans leurs élections, que les vertus et les talents.
[Pas de discrimination positive en fonction de la race et d’une religion, toujours la même, d’ailleurs ! C’est ANTI-CONSTITUTIONNEL.]
Article 6. – La liberté est le pouvoir qui appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui : elle a pour principe la nature ; pour règle la justice ; pour sauvegarde la loi ; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu’il te soit fait.
Article 7. – Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s’assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits. – La nécessité d’énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Article 8. – La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés.
Article 9. – La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l’oppression de ceux qui gouvernent.
Article 10. – Nul ne doit être accusé, arrêté ni détenu, que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrites. Tout citoyen, appelé ou saisi par l’autorité de la loi, doit obéir à l’instant ; il se rend coupable par la résistance.
Article 11. – Tout acte exercé contre un homme hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique ; celui contre lequel on voudrait l’exécuter par la violence a le droit de le repousser par la force.
Article 12. – Ceux qui solliciteraient, expédieraient, signeraient, exécuteraient ou feraient exécuter des actes arbitraires, seraient coupables, et doivent être punis.
Les Français ont toujours adoôôôré ceux qui les haïssaient et exécuté ceux qui les comprenaient !
Article 13. – Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Article 14. – Nul ne doit être jugé et puni qu’après avoir été entendu ou légalement appelé, et qu’en vertu d’une loi promulguée antérieurement au délit. La loi qui punirait les délits commis avant qu’elle existât serait une tyrannie ; l’effet rétroactif donné à la loi serait un crime.
Exemple de restriction judiciaire de la liberté d’expression du citoyen français !
Article 15. – La loi ne doit décerner que des peines strictement et évidemment nécessaires : les peines doivent être proportionnées au délit et utiles à la société.
Article 16. – Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Article 17. – Nul genre de travail, de culture, de commerce, ne peut être interdit à l’industrie des citoyens.
Article 18. – Tout homme peut engager ses services, son temps ; mais il ne peut se vendre, ni être vendu ; sa personne n’est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité ; il ne peut exister qu’un engagement de soins et de reconnaissance, entre l’homme qui travaille et celui qui l’emploie.
Article 19. – Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n’est lorsque la nécessité publique légalement constatée l’exige, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.
[ RENDEZ La FRANCE AUX FRANCAIS PARCE QU’ILS EN SONT LES PROPRIETAIRES]
Article 20. – Nulle contribution ne peut être établie que pour l’utilité générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir à l’établissement des contributions, d’en surveiller l’emploi, et de s’en faire rendre compte.
Article 21. – Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d’exister à ceux qui sont hors d’état de travailler.
[Je demande que ceux qui nous gouvernent répondent de leurs actes devant une assemblée citoyenne chaque fois qu’un SDF meure dans la rue, qu’un paysan se suicide, qu’un père de famille tue ses enfants, son épouse et se tue par impossibilité de pouvoir leur assurer un avenir digne. Ces péquins qui nous gouvernent ont gravement failli à leur devoir de secours. Les traîtres à la patrie française se préparent à donner de l’argent à des communes qui accueilleraient des migrants mais laissent mourir dans l’indifférence générale ceux qui les ont élus pour les protéger.]
Article 22. – L’instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l’instruction à la portée de tous les citoyens.
Article 23. – La garantie sociale consiste dans l’action de tous, pour assurer à chacun la jouissance et la conservation de ses droits ; cette garantie repose sur la souveraineté nationale.
Article 24. – Elle ne peut exister, si les limites des fonctions publiques ne sont pas clairement déterminées par la loi, et si la responsabilité de tous les fonctionnaires n’est pas assurée.
Article 25. – La souveraineté réside dans le peuple ; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable.
Article 26. – Aucune portion du peuple ne peut exercer la puissance du peuple entier ; mais chaque section du souverain assemblée doit jouir du droit d’exprimer sa volonté avec une entière liberté.
Article 27. – Que tout individu qui usurperait la souveraineté soit à l’instant mis à mort par les hommes libres.
Article 28. – Un peuple a toujours le droit de revoir, de réformer et de changer sa Constitution. Une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures.
Article 29. – Chaque citoyen a un droit égal de concourir à la formation de la loi et à la nomination de ses mandataires ou de ses agents.
Article 30. – Les fonctions publiques sont essentiellement temporaires ; elles ne peuvent être considérées comme des distinctions ni comme des récompenses, mais comme des devoirs.
Article 31. – Les délits des mandataires du peuple et de ses agents ne doivent jamais être impunis. Nul n’a le droit de se prétendre plus inviolable que les autres citoyens.
Article 32. – Le droit de présenter des pétitions aux dépositaires de l’autorité publique ne peut, en aucun cas, être interdit, suspendu ni limité.
Article 33. – La résistance à l’oppression est la conséquence des autres Droits de l’homme.
Article 34. – Il y a oppression contre le corps social lorsqu’un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.
Article 35. – Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.]
{Nous sommes un journal de l’ANTIFRANCE subventionné par vous, les Français, sinon nous aurions fermé notre gueule depuis longtemps !
- Merci, les cons !}
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Quand un Etat se dit français et ne protège plus les citoyens français contre des étrangers,
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cet Etat est ANTI-CONSTITUTIONNEL.
Quand un Etat se dit français et pousses ses citoyens au suicide, de la même manière qu’il pousse au suicide la Nation française,
-
cet Etat est ANTI-CONSTITUTIONNEL.
Quand un Etat se dit français et pratique la DISCRIMINATION ANTI-FRANCAISE dans l’attribution des logements comme dans l’octroi des emplois,
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cet Etat est devenu l’ENNEMI de la NATION FRANCAISE.
Le Président de la République doit organiser un REFERENDUM sur l’acceptation des Français à laisser rentrer des “immigrés clandestins” sur le territoire français et sur la non-protection des frontières nationales, cause de cette immigration ILLEGALE.
Si NECESSITE fait loi pour des étrangers, alors cette règle ETATIQUE doit pouvoir s’appliquer pour les Français NECESSITEUX :
– que les SDF français viennent se nourrir dans les grandes surfaces,
– que les SDF français viennent squatter les logements vides non loués par de riches financiers,
– que les SDF français viennent se faire soigner gratuitement dans les cabinets médicaux,
– et que les SDF français puissent enfin TROUVER DU TRAVAIL DIGNEMENT REMUNERE en France.