Article très très long, comme l’agonie d’une affaire.
Va m’chercher une bière et apporte le pack, on sait jamais !
PAF !
Alors, faut que j’te raconte l’histoire d’un mec qu’ose faire chier la hiérarchie policière dans un département où même les directeurs, y z’osent pas !
Pass’que la hiérarchie policière dans ce département, non, c’est pas le chef !
Nan !
C’est le sous-chef, çui qu’est tellement en-d’ssous qu’t’arrives pas trop à savoir qui c’est. Faut dire qut’es jamais descendu à la cave, t’as trop peur. Il y fait trop noir. Alors le cave se rebiffe !
Là, y’a des rats.
Tu sais, ceux qui fréquentent les caves. Et, pour les “dé-LOGER”, y’a du boulot !
Trop d’boulot, d’ailleurs.
Sont devenus gros comme des chats, les rats !
Des chats bien nourris par les subventions publiques, sauf que c’est des rats déguisés en chats.
Nan, les francs-macs qu’y sont aussi francs que moi j’suis une pute, et j’en suis z’une,
- donc y sont francs, les francs-macs…
– c’est une espèce à part dans une zone à part, très loin, à part de la France.
Oui, Véro, laisse le triangle.
Quoiqu’tu peux l’inverser, s’te plaît !
Debout, c’est pas “normal”.
Là, c’est mieux.
Quoique..
Y paraît qu’en France, aujourd’hui, y’en aurait partout, des francs-macs !
Plus le chat est gros et gras, plus le rat est triomphant !
C’est fatal. Les rats engrossent les chats pour qu’ils les tuent pas !
Cherchez l’erreur…
Note bien que j’ai rien contre les rats.
Paraît même qu’y sont meilleurs que les éboueurs pass’qu’y vivent de nos ordures.
Y font les poubelles, les rats !
Si, si !
Mêm’qu’y savent tout sur toi, ce qu’tu bouffes, ce qu’tu bouffes pas aussi, si tu baises, et avec qui !, et de quoi tu vas mourir.
Tout est programmé.
Faut dire que les rats, y sont renommés pour leur pouvoir de nuisance, “plus-se” que de bienfaisance.
Tu t’rends compte, en France, aujourd’hui, y z’ont réussi à faire prendre les chats pour des rats, les chats qu’on tue partout en France, pass’qu’y tuent les rats !, pauvr’bêtes…
Tandis qu’on, “on” qu’est toujours un “con”, le “con” des rats, laisse proliférer les rats.
Et les rats de légiférer !
Tu m’étonnes !
Y z’auraient tort de s’gêner, les rats, vu “qu’on”, qu’est toujours un “con”, les laisse faire.
Faudra bien choisir un jour entre les rats et les jihadistes, ceux qu’y sont les plus dangereux.
Quoique…
Les deux ont pour point commun de détester les Chrétiens.
On s’demande pourquoi !
Pas toi ?
Moi, j’dis qu’les deux, c’est du pareil au même quand y s’agit de tuer ceux qui pensent pas comme eux et qu’agissent pas “PAREIL” !
T’es PAREIL(LE), toi ou pas ?
Ah non, t’appartiens pas à’ “l’ap-PAREIL” d’Etat ?
Moi, j’aime bien les rats.
Si !
Y z’agissent en bandes,
– Zozo, va !, répète pour voir !? Qu’il est bête…
– et y sont vach’ment intelligents, plus-se que toi qu’y veux pas t’associer avec ton voisin qu’y subit la mêm’chose que toi.
Eux, y sont capables d’être “solidaires”, même des pires vampires, ceux qui sucent le sang des pauvres. Ce sont des vermines qui conspirent contre le peuple mais qui lui font bonne mine par devant.
Et quand le peuple les conspue, y disent qu’y z’existent pas !
Même pas responsables, piss’qu’y z’existent pas, et encore moins coupables.
Faut dire qu’y z’ont pas d’morale, donc ça aide.
Et toi, t’as plus l’moral !
Normal, dans une République de rats, que t’aies pas le moral, surtout si t’aimes les chats plutôt qu’les rats.
Les chats d’gouttière avant, y chassaient les rats !
Aujourd’hui, c’est interdit.
Y risquent leur peau, les chats d’gouttière, s’y vont chasser les rats !
T’imagine pas c’qu’y peut leur arriver, à ces pauvr’s chats…
Trois petits points… trois p’tits tours, y puis s’en vont !, comme les voitures de patrouille de la police nationale, à peine vues, déjà disparues.
Aujourd’hui y z’enterrent les poubelles, les rats, et dedans y z’enterrent les affaires qu’y puent, comme les cadavres, quand y les sortent des placards.
C’est rare, mais ça arrive !
Vite, vite !
Faut pas qu’ça s’voie !
Vite, vite !, faut pas qu’ça s’sache !
La pelleteuse, elle passe et elle enterre tout.
A force de vivre dans les poubelles, les rats y distinguent plus entre ce qui est déchets naturels et déchets artificiels, morts naturelles et suicides artificiels, morts naturelles et meurtres sacrificiels.
Tout est PAREIL !
Franch’ment, j’vous plains.
J’vois pas trop comment vous allez pouvoir continuer à faire respecter vos droits, les “cons”, pass’que, les rats, y z’ont vraiment réussi à vous boucher toutes les entrées et toutes les sorties !
Le Palais de Justice leur appartient.
Faudra quand même que j’vous raconte la “poubelle” histoire de Madame BATAILLE, figure allégorique de “l’in-Justice”, celle qui instruit contre une victime et qui ne connaît même pas l’identité exacte de sa victime, tout ça, tout c’tas de détritus, pour couvrir des rats de laboratoire, au nom du sacro-saint principe de l’autorité de l’Etat.
Pass’que les rats, y respectent l’autorité de l’Etat !
Y la respectent tellement qu’y supportent plus qu’on la critique et encore moins qu’on dépose plainte contre elle, l’autorité !
Pass’qu’elle existe, l’autorité !
Si !, j’l’ai vue.
J’te jure !
Là, dans l’couloir, elle marchait sur terre et elle a baisé le Q du Grand Cornu.
Ca, c’est d’l’autorité, d’la vraie autorité d’l’Etat, celle qui vous fait tous cocus, bande de cons !
L’autorité d’l’Etat, elle travaille à faire rej’ter les plaintes des citoyens ou soi-disant administrés, plutôt sinistrés qu’administrés si les plaintes sont déposées contre elle, l’autorité, ou contre toutes les rates et tous les rats qui prétendent en être les représentants.
Dès qu’un rat dit :
- “Je r’présente l’autorité d’l’Etat”,
- il a tous les droits en France, surtout le droit d’te faire taire.
S’y t’reste plus un radis, après qu’il ait déposé plainte contr’toi pass’que t’as osé déposer plainte contre lui, çui qu’est l’autorité d’l’Etat, te plains pas !
Ca pourrait être pire.
Y pourrait t’enterrer vivant, le rat !
C’est beau la servilité, ça rejoint un peu l’imbécilité, surtout quand la hiérarchie… des normes est inversée et que c’est le petit chef qui commande le grand chef.
Bon, faut dire qu’aujourd’hui les “Madame BATAILLE” sont bien entourées et protégées, elles.
A la tête du ministère de l’intérieur, y’a le plus connu des francs-maçons.
Et lui, c’en est franchement un !
Y s’en cache même pas.
Un culot qu’on peut lui reconnaître, sans coup férir.
Quoiqu’on peut en périr, aussi, sans en être ?
A voir la suite.
Paraît qu’il est très rancunier, y paraît.
Moi j’dis que l’imbécilité, c’est moins pire que la débilité.
La débilité, c’est génétique.
L’imbécilité, c’est politique.
Donc ça peut s’soigner, “ça” pourrait !
C’est qu’une question de volonté politique et de savoir qui gère l’Etat aujourd’hui.
Qui c’est qui veut quoi ?
Actuellement, personnellement et individuellement,
– mais pas égoïstement, hein, les gars ?,
j’aurais tendance à penser qu’c’est les rats qui dirigent l’Etat.
Y suffit d’voir les résultats.
Prolifération et surpopulation.
“On” qu’est toujours un “con”, “on” est débordés !
Y’a plus d’chats pour lutter contre les rats.
En plus-se, c’est les chats qu’on tue !
Pass’qu’y s’divisent, les chats.
Y savent pas s’unir, donc tenir sur la durée.
Les tigres, c’est le même problème.
Même si on les aime, on préfère les voir loin d’chez soi.
N’empêche que les tigres, pour chasser les rats, les gros et les gras, c’est super-efficace.
Mais ça fait peur !
Comme les justiciers solitaires.
Et si l’heure arrivait des justiciers solitaires ?
Les policiers d’aujourd’hui, y sont devenus des justiciers solitaires.
Très seuls !
“Lonesome cowboy !”
Rentrés dans la police par effraction pour faire régner l’ordre et faire respecter les lois, y s’retrouvent à faire respecter le désordre et à faire régner le non-droit, au profit des rats qui prolifèrent.
L’Etat opère par soustraction pour laisser les rats régner.
Y sont de moins en moins nombreux, les chiens policiers !
En plus, y z’ont plus trop le droit de monter dans les étages, les policiers.
La “lumière” artificielle est réservée aux Maîtres des rats, les grands-maîtres de la police nationale.
Les policiers d’la base, y végètent dans la vase, ceux qui risquent leur vie à eux, pour vous, bande de cons !
Y z’ont plus que la lumière naturelle pour tenter d’y voir clair, tant qu’y fait encore jour.
Et, en plus, étant au rez-de-chaussée, y respirent l’odeur de vos ordures toute la journée durant !
C’est qu’y faut être endurant, aujourd’hui, pour être gardien d’la paix, le gardien des très riches rats !
Tu veux faire carrière dans la police, mon pote ?
Rentre en “Loge”.
Et pas n’importe laquelle, surtout !
Celle du GOD of France, le nouveau “dieu” qui subventionne toutes les associations grâce à l’Etat français et à ses “cons-tribuables”.
Vous vous rendez compte, les “cons”, qu’y a jamais z’eu d’enquête judiciaire sur les fonds qui transitent,
- zone de transit “no border” fiscal, but “border line” pénal,
sous couvert des loges maçonniques ?
Lesquelles loges gèrent les trésoreries de toutes les associations “humanistes”, dont celle de la Croix-Rouge.
Autrefois chrétienne.
Dont celle du Secours Catholique.
Autrefois chrétien.
Dont celle des Libres Penseurs.
Autrefois comme y sont déjà, christianophobes.
Mais ça, vous le saviez déjà, hein ?, bande de cons !
Sans oublier la LICRA dont le dirigeant, un avocat, a accepté de défendre “l’innocent” mis en cause injustement dans l’affaire Maëlys, une présumée affaire de pédophilie.
Je rappelle ce que signifie étymologiquement le mot “pédophilie” :
– celui qui aime les enfants !
D’ailleurs, y’a des magistrats en France et d’ailleurs, d’ailleurs, qu’y t’expliquent qu’aimer les enfants, c’est pas un crime.
[Répétition imposée par COLUCHE, j’ignore encore pourquoi, mais je pense que nous saurons pourquoi dans quelque temps.]
C’est vrai, quoi, c’est plus marrant de jouer à la poupée avec de vraies poupées, des gamines, qu’avec des poupées en plastique.
“Tupperware” devrait se recycler dans la dînette pédophile.
– “Comment jouer avec vos enfants pour de vrai à leur faire faire la vraie cuisine, votr’cuisine d’adultes à l’oignon !”
N’empêche que vous z’êtes mal barrés, les Français !
Policiers, gendarmes, militaires et surtout, vous, les cons, qu’y laissez faire !
Si vous défendez pas vos policiers, vos gendarmes, vos militaires qu’en ont marre et qu’y savent mieux que vous c’qui s’passe et c’qui s’trame, vous risquez de terminer à la poubelle, celle des déchets non recyclables.
Car y z’ont pas envie d’vous ressusciter, les rats !
Eux, y sont pas Jésus.
Jésus, y voulait être le maître de personne.
Et eux, y veulent être les Maîtres du monde !
– Mon Maître !
– Mon Vénérable Maître !
– Mon Grand-Maître !
– Mon Grand-Maître du Grand Ordre de l’Oignon de France !
Ca frise la mégalomanie, leur jeu du Monopoly.
Ils le sont déjà, d’ailleurs, d’ailleurs mégalomanes, pas mélomanes !
Non, eux, y z’aiment pas la musique.
Y préfèrent le chant et te faire “chanter”, surtout !
HISTOIRE DU MEC QU’EST PAS LE MEC DE L’HISTOIRE
Tu me suis ?
Non ?
Tant pis.
J’raconte quand même, pour Véro.
Alors, faut qu’j’texplique, sinon Véro, elle ira encore devant la XVIIème Chambre Correctionnelle de Paris, à caus’de moi, qu’y diront !
Alors que c’est à cause d’eux, piss’que j’les dénonce !
C’est le premier qu’a fait qu’est fait… çui qu’est pris la main dans le sac !
Ou dans ta culotte, parole de calotte !
Et çui qui défait le sac, c’est pas lui le malfaiteur, c’est çui qu’a pris la cagnotte dans l'”SAC”.
Si ce qu’est écrit dans cet article est faux, et que Madame BATAILLE, la bien-nommée, rapport au nom allégorique choisi par Véro pour dénoncer les “Madame BATAILLE” qui polluent l’administration française par leur combat d’arrière-garde et leur petites querelles de personnes, alors l’ordonnance de non-lieu qui dit qu’y a pas lieu de poursuivre celui qui poursuit le mec qu’est victime, sera maintenue par la Chambre d’Instruction de Montpellier.
Par contre, si l’ordonnance de non-lieu est annulée :
– même si la victime est devenue le coupable idéal grâce à Madame BATAILLE, bien que ce soit pas çui qu’est né là où il est pas né, ni dans le temps, ni dans le lieu, prototype idéal du “con” marqué à vie par cette ordonnance,
faudra admettre que c’était vrai, qu’une juge, elle peut mêm’pas “remettre” sa propre victime pour qui elle instruit !
Y’en a qui vont avoir mal à l’anus, aïe, ouille, le cactus !
Moi, j’te l’dis, les adorateurs d’ANUBIS !
Vous z’allez voir qu’y vont encore nous faire le coup de l'”horreur” de plume, l’erreur qui leur permet d’vous enterrer vivants, genre “responsables mais pas coupables”.
Pass’que quand c’est pas toi, c’est un autre, non ?
Ca me rappelle une certaine fable, j’sais plus laquelle, d’ailleurs.
[d’ailleurs, en gras surligné, à la demande de COLUCHE]
Elle disait quoi, la fable déjà ?
Ah oui :
– “Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.”
C’est un extrait de la fable, “Les animaux malades de la peste” de l’inestimable Jean De La FONTAINE.
Et qui c’est qui répand la peste parmi les animaux ?
Les rats.
Les rats de caves et d’égoûts qui me dégoûtent aussi.
Nan, j’rigole !
Véro, elle aime bien les souris.
C’est compliqué, les bonn’s femmes, j’te jure !
Pourtant, moi, j’jure de rien, jamais, surtout en Justice.
Bon, j’continue ou on fait une pause ?
Allez, c’est ça, va pisser !
Prends-toi encore une bière au passage et reviens !
N’oublie pas d’m’en prendre une, à moi aussi.
Pass’que ça va être long, long comme un jour sans pain et sans vin.
Surtout sans vin.
Si tu savais le nombre de conneries que font les juges en France !!!!!!!
Heureusement que la Compagnie des Rats les couvre, la Confrérie des Cagoulés !
Donc, où j’en étais ?
Ca y est, t’as pris ta bière ?
On peut y aller ?
Mais non, reste assis.
C’est allégorique, pas réel !
Comme la Justice en France.
______________________________________________________________________________
Alors c’est l’HISTOIRE D’UN MEC QU’EST PAS NE LA OU Y FAUT ET PAS AU MOMENT VOULU, c’qui correspond avec l’ordonnance de non-lieu, le fait qu’a rien qui corresponde.
PREMIER POINT
Mon poing dans la gueule, tu l’veux aussi, toi qui veux me faire taire ?
Je parle si j’veux !
Et j’t’emmerde.
Si j’veux !
Donc j’t’emmerde.
C’est prouvable et c’est trouvable sur l’ordonnance de non-lieu.
En plus, c’est divulgable, pass’que tant que l’ordonnance de non-lieu n’est pas frappée d’appel, un vrai appel, pas un appel raté, elle reste valable.
Donc les éléments de l’affaire deviennent COMMUNICABLES.
Y’A PLUS D’INSTRUCTION, pauvr’CONS.
Alors j’continue.
Le premier qui moufte…
Tu m’as compris, hein ?
J’y viens, j’arrive, j’accours…
Y sont contents, hein ?!
Laisse, je jouis…
A chacun son tour, quand même !
Et les rats, j’te dis pas !
En plus-se, comme s’y suffisait pas que ce soit pas la bonne identité qui rende nulle l’ordonnance de non-lieu pour la victime qu’est pas la même que celle marquée dessus,
– c’est bon, t’as pigé cette fois ?
- la juge d’instruction a refusé de retirer un document du dossier d’instruction, un faux “intellectuel”, comme y disent, c’est à dire, un vrai extrait d’un fichier de police pour un coupable qu’a changé de nom !
C’EST ENCORE L’HISTOIRE DU MEC QU’ETAIT FICHE POUR UNE INFRACTION A LA LEGISLATION SUR LES ETRANGERS SAUF QUE C’ETAIT TOUJOURS PAS LUI.
Piss’qu’y s’appelait pas comme la victime, l’autr’victime, çui qu’est fiché pass’que,
- si fichent les mecs comme y z’instruisent l’affaire du fonctionnaire ci-devant vous présumé coupable, les juges, je l’présume innocent, moi, le coupable !
Nan, y porte pas le même nom, non.
Pas tout à fait.
Tout à fait pas comme le nom ni comme le prénom.
Donc même pas du tout.
Cui qu’était pas né là où est née la victime et pas des mêmes parents.
Si, si, messie !
Rebelote, tu vas m’dire !
Elle le fait exprès, la juge ou quoi ?
A ton avis ?
Elle botte en touche, pis elle mégote !
– “Oh my GOD, cette affaire, je n’y comprends, rien, mais rien du tout.”
GOD of the France, of course !
Elle fait sa bigote avec les vraies preuves de l’innocence de la victime.
Pas question qu’elle ôte la fausse preuve de la vraie culpabilité d’un autre qu’est pas la victime, nan, nan et nan !
Tiens, ça m’fait penser, va m’chercher une autr’bière.
Malgré la demande de retrait de la victime qu’est pas le mec…
Bref t’as compris, toi, j’espère ?
T’as compris que ce document n’avait rien à voir dans le dossier du fonctionnaire qu’y travaille, lui, dans la “peau lisse”,
– mêm’qu’y faut plus l’appeler ainsi, “la peau lisse”, piss’que les Barbus, s’y z’ont droit d’cité dans la police,
- par contre, la police, tu not’ras bien, qu’elle, elle a toujours pas l’droit d’cité chez les Barbus !
Bref, malgré la demande de retrait qu’a été adressée à Madame BATAILLE,
- piss’que la victime n’est pas le type qu’a commis le délit contre la législation sur les étrangers,
- que la victime n’est pas le coupable, pas encore !
- et que la copie de l’extrait d’un fichier de police, obligeamment transmis par un “mis en cause”, un chef de service jamais entendu d’ailleurs, d’ailleurs, est un délit,
je le répète, malgré ces trois évidences qui tombent sous le sens, à condition d’avoir du bon sens, Madame BATAILLE a conservé précieusement le faux intellectuel dans le dossier d’instruction.
C’est vrai, si tu fais pas gaffe, tu lis “HURTADO” entre deux noms, donc c’est lui, le coupable.
Pourquoi qu’t’irais vérifier s’il existe un autre HURTADO ?
Même si çui-là, y l’a pas le même prénom et qu’il est pas né où ni né de, des mêmes, pas PAREIL du tout, ni le même lieu, ni les mêmes parents.
J’sais bien qu’pour les “pas francs-macs”, “on” “qu’est toujours un con” est PAREIL et qu’on est tous PAREILS !
Hein les cons ?!
Alors faut pas chipoter pour une date de naissance, un lieu de naissance, un nom composé et un prénom qui sont pas les mêmes.
Surtout si c’est un cadeau du Vénérable “adorable”…
C’est beau, la justice en France, non ?
Plutôt l’injustice.
Trois petits points, j’vous fais un dessin ?
– “Oh, qu’il est adoo^^oo^^ra^^^ble, mon Vénérable !”
Tous d’accord sur ce point, pas de “Bataille” au sein des adorateurs du “Grand Oignon de France” !
Donc j’reprends, faut suivre, m…de !
– Sachant que la victime, la “vraie”, le “pauvr’con de service”,
– et bientôt toi, si tu laisses faire, pass'”qu’on”, qu’est toujours un “con”, laisse faire,
la victime, encore appelée ainsi pour pas longtemps, piss’que devenue coupable d’être un autre, n’a jamais aidé à faire entrer des étrangers en séjour irrégulier.
C’est même le contraire, vu que c’fonctionnaire travaille dans un service, la PAF, un service réputé méchant avec des policiers qui sont méchants et qu’y renvoient les gentils étrangers en séjour irrégulier voir s’y peuvent s’faire voir ailleurs, d’ailleurs.
Donc, à la PAF, y font plutôt le contraire de ce dont le Vénérable accuse fauss’ment la victime, Vénérable qu’a livré le faux intellectuel et une victime à “l’in-Justice”, en toute connaissance de cause, lui-même travaillant à la PAF et sachant pertinemment que c’est faux, que son accusation est fausse.
Le “Vénérable”, y livre un homme pour se délivrer d’une vraie accusation et pour le faire passer pour un coupable, c’est à dire qu’y fabrique un faux intellectuel pour se couvrir, avec l’approbation et la protection de la juge d’instruction, dans le seul but de faire douter de la probité de la victime.
Tu vois le genre ?
Le genre Vénérable détestable.
Et tout ça pour pouvoir dire :
– Allez, tous en choeur, faisons-le “chanter” ensemble !
- “Monsieur Robert HURTADO déjà connu des services de police pour...”
Mais piss’que j’vous dis qu’c’est pas moi !, qu’c’est pas lui !
C’est toi, alors ? Nan ? T’es sûr ?
Va m’chercher ma bière, au lieu d’te marrer comme un bossu, Ducon !
Non, c’est pas lui dans l’extrait de fichier, pas même un homonyme, s’agissant d’un nom composé, sans erreur possible sur l’identité du “gus” qui déguste actuellement.
Ce que sait parfaitement, OUI !, le “chef de sévices” qu’a monté le dossier d’instruction contre lui, pour “aider” la juge non Instruite à influencer, “trafic d’influences”, les autres rats des “caves”.
Ca tombe bien !
Sur le fonctionnaire.
Piss’qu’ça tombe sur lui, le “pauvr’con de service”, qu’aurait pu êtr’ “l’Arabe de service”, piss’qu’il est né en Algérie, et Véro au Maroc, c’qu’est suspect…
Tu savais pas ?
Aujourd’hui, en France, vaut mieux être voleur et avoir volé des millions,
– Que dis-je ?
[La voix de COLUCHE monte dans les aigus, “jusqu’aux cieux !”, me demande-t-il d’ajouter.]
- des milliards, oui !
– qu’être né(e) au Maghreb.
Un banquier qui vole les pauvres a tous les droits en France.
Un Français né au Maghreb est suspect de tous les crimes qu’il n’a pas commis.
Et pourtant, ce sont eux, les Maghrébins, les Kabyles et les Berbères, qui, le plus souvent, refusent de perdre cette France éternelle qui leur appartient, cet idéal révolutionnaire, celle des coupeurs de têtes, qui fait trembler les rats d’égouts et des caves.
Vous z’avez vu la gueule de vos syndicalistes ?
La plupart, s’y sont maghrébins, hein ? Bah, y sont pas soumis.
C’est même plutôt le contraire.
La vieille France s’essouffle et souffre.
La Nouvelle France reçoit le sang de ces nouveaux Français qu’ont pas l’intention du tout de se laisser “ré-islamiser” pour se soumettre à une bande de rats corrompus, celle qu’y vous dirigent.
– Qu’est-ce qu’y disent les frères du Bled, aujourd’hui ?
Y disent que la France, elle est devenue pire que l’Algérie, pass’qu’y a plus d’ordre public, ni de justice.
Y disent aussi que les “soumis”, ce sont vous, les “souris”, des “souris” dominées par des gros et gras rats, petites et fragiles souris qui font les poubelles pour pouvoir vivre, de plus en plus chichement et difficilement.
Y sont pas devenus Français pour devenir plus cons que c’qui z’étaient avant !
Aussi cons que c’que vous z’êtes devenus, vous, les Français qu’ont oublié ce qu’est la France.
Français qui s’extasient devant les actes des prédateurs, leurs envahisseurs, envahisseurs repoussés par les Maghrébins.
Pass’qu’eux, y z’ont pas peur de vous dire – “OUSTE, DEHORS !”
Et ils vous le diront.
Y vous regrett’ront pas, croyez-moi !
La résistance, elle viendra autant, sinon “plus-se”, du Maghreb français, des Kabyles francophones, des Berbères francophones et des Arabes francophones qui parlent mieux le Français que vous qui avez refusé d’l’apprendre pass’que c’est pas “mondialiste”.
Vous prétendez être Français mais vous savez même plus pourquoi vous l’êtes, bande de cons !
Les Kabyles, les Berbères et les Arabes francophones, y s’font trucider et crucifier à votre place, pass’que vous z’êtes trop cons en France.
TROP CORROMPUS !, par l’argent des Saoudiens et des Qataris.
Bon, revenons à Robert qu’est né en Algérie, avec un nom espagnol, peut-être un terroriste ?, et Véronique qu’est née au Maroc.
Vous savez, Véro, celle dont la juge “Bourrée” disait qu’elle est “dangereuse”.
Pour les “pas francs”-macs, j’suppose ?
Pass’qu’y sinon, Véro dangereuse, y’a tout l’monde qui s’marre !
Au moins, s’y la trouvent dangereuse, c’est qu’y la lisent.
Tu vois, Véro, t’as quand même des lecteurs !
Elle m’croit pas.
Mais si, plus c’est long, plus c’est bon !
Comment y z’ont fait ? J’sais pas.
J’parle de Véro et Robert pour être ensemble.
Pass’qu’entre l’Algérie et le Maroc, c’est pas vraiment le grand amour.
Alors, si l’ordonnance de non-lieu est maintenue par la Chambre d’Instruction de Montpellier, il faudra l’appeler la “Chambre à coucher”, à se coucher devant les autorités policières et la hiérarchie invisible des “Trois-Points”, celle des “faux-frères” qui se prétendent les rédacteurs des lois républicaines pour mieux les enfreindre aujourd’hui !
C‘qu’y prouve qu’y sont “hors-la-loi”, ces magistrats d’la religion du “dieu sans nom”.
Pourquoi tant de haine ?
Pass’qu’y sont à la peine !
Bah, si l’ordonnance de non-lieu n’est pas annulée, alors vous saurez ce que savent déjà toutes les victimes du Ministère de la Justice, que c’est le Ministère de l’In-justice.
C’est un MAGISTERE, çui des “pas francs”-maçons” où se passent les mystères de l’initiation en loges, ces mystères qui transforment les victimes en coupables et les méchants en gentils.
Very, very mysterious, indeed…
Ni bien, ni mal !
Abracadabra !
Les coupables peuvent alors déposer plainte contre leurs victimes, leurs proies, si c’est leur choix, aux coupables, enfin j’veux dire aux victimes, les nouvelles victimes qu’étaient des vrais coupables, sauf qu’y sont innocentés par la justice de ton pays.
Tu me suis ?
Comme ça, y peuvent continuer à “casser” des victimes jusqu’au bout, pass’que, tant qu’elles remuent, ça veut dire qu’elles sont vivantes ; et tant qu’elles sont en vie, ça veut dire qu’elles sont dangereuses.
Faut arrêter d’remuer ciel et terre quand on est une victime, surtout la terre, pour s’faire entendre et avoir justice, pour faire respecter son bon droit, en FRANCE, c’est suspect.
A force de remuer la terre, on creuse sa tombe, moi, j’te l’dis !
Victimes qui sont réduites à rien, comme y z’ont dit à Véro :
– “Vous n’êtes plus rien.”
C’est peut-êtr’là qu’on devient tout, d’ailleurs, d’ailleurs, quand on est plus rien,
– vous croyez pas ?
Ah non, vous, les rats, vous croyez en rien.
Donc vous devriez croire Véro.
C’est un leurre, la justice française, pire, un piège !
Les seuls qui font leur beurre dans ce piège à cons, c’est les avocats.
Faudrait publier la liste, une liste des noms qu’y faut pas contacter, surtout pas !
Et surtout n’expliquez pas pourquoi, non plus.
Sinon la XVIIème Chambre Correctionnelle va encore permettre à ces avocats véreux de faire leur beurre sur votr’dos quand y’en a un qu’a rien foutu pour vous sauver mais qui déposera plainte lui aussi contre vous, la victime devenue coupable.
Faut intituler votre liste :
– APPELEZ-MOI POUR SAVOIR !
Pis vous mettez les noms qui posent problème, des gros problèmes, comme les gros et gras rats d’égouts en France.
Là, si y’en a un qui vous appelle, un Français pass’qu’y l’a pas envie de s’faire plumer, “alouette”, par un avocat véreux, le fruit étant dans le verre, vous lui dites :
– APPELEZ-MOI POUR SAVOIR… pourquoi y faut surtout pas le prendre, çui-là, d’avocat !
Rien d’écrit, que du verbal !
Comme ça, si vous étiez moins cons, bah, les avocats qui sont bons, pass’que ça existe !,
- si, si, des fois, c’est rare, mais ça existe !,
ces avocats honnêtes et méritants, au moins, y pourraient tirer bénéfice de leur talent.
Ca s’mérite plus d’être payés grass’ment en France.
Suffit d’plumer le pigeon français pour ensuite s’endormir durant l’audience sur un dossier même pas lu !
Faut savoir aussi que, si vous gagnez votr’procès en France, vous l’perdrez de toute façon.
Piss’qu’y z’ont changé la loi et qu’aujourd’hui, si vous gagnez un procès, cette réussite ne vous permet plus d’avoir le remboursement automatique et systématique de vos frais d’avocats.
Sauf si vous êtes riches.
C’est le même principe partout :
– Faut appauvrir les pauvres et enrichir les riches !
Un principe dissuasif, la spoliation maçonnique en gang organisé !
Faut tout prendre à ceux qu’ont rien pour qu’y deviennent encore “moins que rien”, ces “moins que rien”.
Mais si la “Chambre à coucher” de Montpellier,
- celle qu’instruit à charge contre les victimes qu’osent déposer plainte contre leurs chefs, surtout s’y sont des grands-maîtres,
- celle qui couvre et protége les juges de non-instruction,
– si la “Chambre à coucher” se voit obligée d’annuler l’ordonnance de non-lieu pass’qu’y a erreur sur l’identité de la victime devenue coupable, mais pas encore reconnue coupable, pas encore !
– Abracadabra !, zut, raté !
Bah, on verra bien si ça mérite ou pas un procès en dénonciation calomnieuse de dire juste la vérité.
Ah, au fait, vous saviez pas la dernière ?
Ou la première, piss’que vous en parlez jamais entre vous et que vous trouvez ça “normal”, les cons ,
- y paraît que l’exception de vérité, ça ne marche plus !
Y suffit pas de prouver que vous avez raison, non, non et non !
Trois fois dit, t’as vu !?
Plutôt entendu.
Nan !
Les magistrats qui siègent sur leur Q davantage qu’ils ne siègent avec leur QI, bah, c’est eux qu’y choisissent si telle ou telle preuve est recevable.
Et la vérité, manifestement, elle est pas recevable pour défendre un profane. Ou alors, c’est pour lui défendre justement de dire la vérité !
– “Oh, bah non, celle-ci, de pièce, “on” la veut pas !
Ah, pass’qu’elle prouvait que le chef de service a vraiment menti ?
Bah, raison de plus-se alors pour la retirer et fissa !
Comment ? C’est quoi encore ? Quoi ???
Vous osez présenter une preuve que vous pouviez pas être muté sur un poste qu’existait pas, pass’qu’il existait pas ?
Mais de quel droit, mon p’tit bonhomme ?
Refusé, la présentation de la preuve, retiré !
Ah, là !, je vois, par contre que GONZALEZ y HURTADO de la MANCHA a commis un délit dans le cadre d’infractions à la législation sur les étrangers en France, très intéressant.
Comment !, c’est pas vous ?
De quel droit, c’est pas vous ?
Parce que vous vous prénommez Robert et pas “Augusto” ?
Et que vous n’êtes pas né là où il est né, ni né des mêmes parents ?
Que nenni !
Mais quel ennui, cette affaire, je n’y comprends plus rien.
Oh, ma pauvre tête !
Cette preuve-là est irréfutable, que ce soit vous ou pas, puisqu’elle est la preuve de votre mauvaise foi.
De toute façon, quand on est nés au Maghreb, on ne peut qu’être coupables !
– Qu’on lui coupe la tête !”
Tranche de vie pour une tête coupée.
Faudra juste me dire pourquoi la victime devenue coupable, le fonctionnaire noirci, y travaille encore dans la police nationale s’il a aidé des étrangers en séjour irrégulier.
C’était le DEUXIEME POINT.
Mon poing dans la gueule !
Si tu veux m’faire taire.
Un point, c’est tout
L’ordonnance de rejet qui prouve que Madame BATAILLE a conservé un faux intellectuel dans son dossier d’instruction existe.
Pour quelle raison ?
J’te parle même pas du trafic d’influence et de la divulgation du secret de l’instruction, une instruction diligentée contre la victime qu’a déposé plainte, diligentée par les mis en cause qui décident c’qui faut mettre dans l’dossier d’instruction pour rendre coupable la victime.
TROISIEME POINT.
Le motif de la plainte en dénonciation calomnieuse du fonctionnaire.
La plainte de la victime devenue coupable d’avoir déposé plainte,
- inversion des valeurs et des rôles, qui reste le plus grand mystère de la justice maçonnique française
- leur spécialité-maison, qu’est magique !, abracadabra !
j’vous explique.
Oui, va t’chercher une bière, pas un couffin d’enterrement pour Robert, s’te plaît.
On ira au cimetière quand y z’y s’s’ront !, les autr’s, pour les voir descendre sous terre.
Pas monter au ciel !
Non, on l’enterre pas tout d’suite, Robert, pas encore.
Ah, n’oublie pas d’m’en ram’ner une, à moi aussi !, de bière, j’t’ai déjà dit.
Merci.
Ca donne soif de parler tout l’temps.
En effet, tu penses bien qu’c’est pas la première fois qu’y z’essaient d’se débarrasser d’Robert, les Frères “Trois Points”, le “degré zéro” de la pensée humaine.
Y z’avaient déjà traduit Robert devant un conseil de discipline en 2009 et demandé sa révocation professionnelle,
– non pas pour avoir fait rentrer des étrangers en France,
– mais pour être rentré, lui, au service avec dix minutes de retard.
En plus-se, tu t’rends compte !, y l’avait demandé la permission par écrit, ce con !, permission jamais accordée officiellement, d’arriver en r’tard.
Y l’aurait mieux fait d’arriver en r’tard, comme tous les autres, qu’arrivaient même à la demie, sans rien dire, en rasant les murs et en s’rendant invisibles, comme les rats, les rats d’égouts.
Car c’est dans les caniveaux qu’on trouve les meilleurs, d’la lie humaine.
Ah, elle est belle, la justice de France !
Le lit de la Justice.
Tout ça pour te dire qu’y z’ont essayé de licencier Robert et que l’administration centrale à Paris a pas compris pourquoi y fallait révoquer, licencier un fonctionnaire qu’y demandait par écrit la permission d’arriver en retard et expliquait poliment pourquoi, par rapport à sa fille handicapée. S’y z’avaient accepté, à Paris, de le licencier, y l’aurait fallu licencier tous leurs fonctionnaires, avec tous les trains et les métros qu’arrivent en r’tard tous les matins.
Franchement, les “pas francs”-maçons, les Frères de la Côte, pour une fois, y z’ont raté leur coup.
Y z’ont pas pensé qu’à Paris, les trains arrivaient rar’ment à l’heure.
Mais bon, y croyaient qu’y pouvaient tout s’permettre, comme tout l’temps, comme aujourd’hui.
Y z’avaient d’autr’s z’accusations, là carrément fausses, des vraies de vraies fausses accusations.
Genre :
– Le fonctionnaire, y refuse de saisir les contraventions sur un logiciel informatique qu’il aurait pu
installer lui-même, piss’qu’il était informaticien, de son vrai métier !
Refus d’obéir ?
Sanction demandée, la porte !
Sauf que c’est pas lui qu’a pris la porte dans la gueule…
Faudra expliquer aux génies d’l’informatique comment saisir des contraventions sur un logiciel qu’avait pas été installé sur son ordinateur, ni sur d’autres à la DDPAF de Perpignan, pass’que les informaticiens, qu’étaient des policiers pour de vrai, donc de faux informaticiens, y savaient pas l’faire !
Donc y l’a fallu attendre que des informaticiens, des vrais, y viennent installer le logiciel pass’que l’informaticien qu’aurait pu le faire et qu’aurait pu alors saisir les contraventions, y l’avait pas l’droit.
Donc y z’ont fait venir de vrais informaticiens de loin !
Mêm’s’y z’ avaient un “vrai” informaticien sous la main.
Mais c’est pas du harcèlement moral, NAN !
L‘informaticien, Robert de son vrai prénom, était devenu un simple opérateur de saisie pass’qu’il avait l’INTERDICTION FORMELLE de faire de l’informatique.
La seule chose qu’il a pu faire, c’est de demander, à son Vénérable Directeur, de faire installer le logiciel WINAF sur son ordinateur. Le Directeur de l’époque, c’est évidemment l’même que çui qui, aujourd’hui, envoie des documents à la juge d’instruction pour faire accuser la victime de dénonciation calomnieuse envers un vrai coupable…
Vous vous en doutiez, les Sherlock HOLMES !
La Juge d’Instruction, Madame BATAILLE, a dit qu’elle savait pas d’où venaient les documents en sa possession dans le dossier d’instruction.
Las, trois fois las, une autre juge d’instruction, plus honnête, a donné, elle, le nom de la “source”.
Et l’avocate d’une autre Madame BATAILLE, figure allégorique, elle, a clairement nommé son “indic”, le même sur les trois procédures, trois petits points.
Mais ça, “on” s’en doutait, hein !?
“On” n’est plus un con.
Donc j’réexplique :
C’est lui, la victime, l’informaticien interdit d’faire d’l’informatique, qui dépose plainte pour avoir été calomnié dans une procédure disciplinaire dont j’voudrais même pas pour me torcher le Q.
- Cui-là qu’avait été choisi par l’actuel Directeur Central de la PAF qui veut aujourd’hui sa “peau-lisse”,
- lui qu’avait été choisi pour être en 2003 le directeur d’un projet informatique à vocation nationale, l’application “ELOI”, application conçue pour ELOIGNER les étrangers en séjour irrégulier,
- pas pour les faire rentrer en France, les étrangers, hein, Madame BATAILLE ?
J’suis pas sûr qu’elle ait tout compris…
C’est trop compliqué.
C’est trop “complexe”.
Moi, c’que j’comprends surtout, c’est que le ministère de l’intérieur, y remercie le chef de projets informatiques, comme y remercie ses meilleurs fonctionnaires, en le traitant comme y traitent les agents qui font chier des sous-chefs.
Pas de promotions ni de mutations en CAP.
De toute façons, tout est traité avant, dans les loges maçonniques.
– Mais va baiser le Q du “Grand Cornu”, si tu veux avoir de l’avancement ! Qu’est-ce t’attends ?
Arrête d’espérer que ton mérite soit reconnu !
L’espoir tue dans la “peau-lisse”.
Sinon tu seras mort avant, crois-moi.
A titre posthume, t’as plus-se de chances aujourd’hui d’avoir de l’avancement, si t’es profane, que de ton vivant.
Faut pas être trop méritant dans c’ministère, ça dérange les incompétents !
Et un con qui pète, ça peut enfumer beaucoup de monde, moi, j’te l’dis !
En plus, ça lui apprendra, à Robert, à s’être marié avec une bonne femme qui passe son temps à faire chier les “chefs de sévices”, les harceleurs dans la police nationale.
Y l’aurait suffi qu’elle accepte d’arrêter les agents qui pouvaient pas s’défendre et qu’elle défendait trop bien, et surtout d’arrêter d’vouloir arrêter les “chefs de sévice”, pour que Robert, y r’trouve un poste comme çui d’avant.
Mais Madame la juge d’instruction, elle a considéré, elle, que les menaces adressées à l’époque et à l’épouse du mari ne concernaient pas le mari, ni son affaire.
Faut croire qu’y z’avaient divorcé entretemps ou qu’elle s’était encore trompée sur l’identité du mari.
J’veux dire du “pauvr’con” dont la plainte vient d’être classée sans suite par cette juge d’instruction, Madame BATAILLE, laquelle n’a jamais daigné recevoir en audition sa victime…
Trois petits points…
Pour écrire ensuite dans son ordonnance de non-lieu :
- “que les explications de Monsieur HURTADO sont très confuses !
(Sic).
Tant pis pour l’éthique !
Prends-moi pour une conne piss’que j’te prends pour un con.
Non, sans blagues !!!!!!!!!!
Et qu’elle ne comprend rien à ce dossier.
Non, sans blagues !!!!!!!!!!
Ca, on est tous d’accord, là-dessus, même vous, les cons.
Cette juge d’instruction n’a rien compris à cette affaire et elle l’écrit.
Alors “on”, “qu’est toujours un con”, en conclut quoi ?
Pass’que rédiger une ordonnance de non-lieu, sans évoquer une seule fois le motif principal de la plainte qui est la tenue d’un conseil de discipline n’ayant abouti à aucune sanction disciplinaire, ce qui prouve les dénonciations calomnieuses, ECRITES, REELLES et MENSONGERES, date à laquelle court la prescription, il faut le faire !
Il faut le faire, Madame la juge, Madame BATAILLE, qui n’avez jamais reçu en audition la victime et qui vous plaignez ensuite par écrit de ne rien comprendre à cette affaire qui est “confuse”.
Pour motiver votre non-lieu, y vaudrait mieux avouer, toute honte bue,
– tiens apporte-moi une autr’bière !,
- que deux chefs de service, et pas n’importe lesquels !, pourraient être inquiétés par cette affaire et que le “hasard”, le “dieu-hasard” des “pas francs-maçons” a voulu qu’ils occupent tous deux, ACTUELLEMENT, des places éminemment importantes au sein de la Police aux Frontières sous ce gouvernement.
Ce qui autorise tous les abus de pouvoir !
C’est sûr qu’aucun commissaire de police ne souhaiterait que l’on sache qu’il est allé rendre visite, armé, à son domicile, à un vieil homme de 76 ans, pour l’intimider et le faire renoncer, lui aussi, à défendre une majeure protégée dont il était le curateur.
Dieu vous guarde !
La justice indépendante sous le gouvernement d’Emmanuel MACRON ?
La preuve en est que “NON”.