Le Général De GAULLE estime que le fonds de voix pour le “RN”, le “Rassemblement National”, repose sur un socle dur de 60 % de votants à ce jour.
- “Plus le temps passe, plus ce stock de voix augmente !
Il est inutile à Emmanuel MACRON de vociférer et de hurler dans des arènes où il se met en scène comme un toréador face à la bête immonde qui serait l’extrême-droite.
Lui-même, par sa manière de gérer et par son incapacité à entendre la voix de son peuple qui souffre, sert la soupe à l’extrême-droite,
– et peut-être volontairement”, estime, d’une voix grave, le Général De GAULLE.
Emmanuel MACRON nourrit la bête qu’il veut combattre comme, auparavant avant lui, un certain François MITERRAND.
A défaut de savoir gérer son pays devenu ingérable à cause de ses lois qui ont débridé le licol sur le cou des chevaux fous de la finance internationale permettant aux multinationales et aux grands groupes français de licencier par charrettes entières, Emmanuel MACRON fonce à corps perdu dans la bataille des “Européennes” pour obtenir de l’Europe son soutien féroce contre le peuple de France et faire valider des lois immondes et liberticides.
Les charrettes des salariés licenciés à tour de bras par des entreprises mondiales ou nationales qui ont compris qu’il n’y aurait pas de réélection pour Emmanuel MACRON, conduiront votre Président là où a déjà été conduit un certain Louis XVI, à l’échafaud de la honte et de l’échec populaire.
- Et encore, Louis XVI le débonnaire ne mérita point son sort !
Lui, il aimait son peuple.

- Emmanuel MACRON n’aime que les chiffres et l’argent !
Il confond la réussite sociale avec le montant des sommes accumulées frauduleusement par des crapules sur des comptes off-shore grâce à un système légal REPREHENSIBLE moralement [la défiscalisation] avant que d’être répréhensible pénalement, par lâcheté et par cupidité de vos dirigeants incapables et donc incompétents.
Votre Président, Emmanuel MACRON, veut un transfert des pouvoirs politiques nationaux sur l’Europe, l’Europe de la Défense, l’Europe de la Finance, l’Europe de la Protection sociale (contre le prolétariat en révolte), l’Europe des frontières externes, toutes folies …. et phobies souveraines justifiant la déresponsabilisation d’hommes politiques élus au niveau national pour exécuter des projets européens de dissolution des Etats-Nations.
Ainsi les futurs Présidents dont il serait ne pourraient plus se voir reprocher leur inactivité et leur incompétence puisque tout serait décidé au niveau européen.

- Blablabla, blablabla !
C’est une fumisterie qui profiterait aux théâtreux, l’élu politique n’étant plus qu’un bon ou mauvais comédien chargé de faire valider les décisions prises au niveau international et contre les peuples souverains, souverains dans la lettre mais en vain.
Emmanuel MACRON est dans une fuite en avant, une course pour échapper à ses propres responsabilités et obtenir le plus rapidement possible que la France puisse être dirigée conjointement avec l’Allemagne dont les intérêts nationaux lui sont et lui restent contraires, je l’affirme.

- Marine LE PEN aura une grande responsabilité dans la crise à venir.
Sur la scène du théâtre des ombres, chacun, chacune prend sa place et s’apprête à jouer son rôle, toujours le même depuis que François MITERRAND a fait naître le Front National.
- Préparez-vous à entendre votre Président pleurer,
- presque vous supplier de sauver la France du déshonneur national en votant “LR-EM” !
Laurent WAUQUIEZ a choisi “Bel Ami”, le représentant d’une droite conformiste et confortable dans ses charentaises du passé.
- Qui, dans le peuple, peut s’identifier à ce professeur de philosophie verbeux et trop vertueux pour être réellement honnête ?

- Le copié/collé de trop avec Emmanuel MACRON qui se dit “philosophe” comme Jourdain se disait poète !
- [Référence au “Bourgeois Gentilhomme” de MOLIERE.]
- J’t’en foutrais des parcours de golf ! [sic]
- Belle association du Figaro avec les classes bourgeoises supérieures.
Les Républicains vont se prendre une belle claque aux élections européennes.
– Mais, peut-être, là aussi, s’agit-il d’une énième partie d’une représentation purement théâtrale décidée entre les “LR” et les “ex-EM” devenus un seul parti, le “LREM” ?
- Qui peut croire que cet acronyme “LREM”, “LR-EM”, ait été choisi au hasard ?
Il y a un partage du gâteau européen qui pose question comme une duperie supplémentaire, une tricherie élémentaire dans la présentation du jeu de cartes, un jeu de faussaires, pour des électeurs considérés comme des amateurs par des menteurs professionnels habitués des tours de table et du grand “Blabla” national.
- Le poker-menteur prendra fin rapidement, beaucoup plus rapidement que ne le pense Emmanuel MACRON !
Avoir laissé l’Europe au parti présidentiel “EM” a été un choix sciemment mesuré par le leader du parti “Les Républicains”, le parti “LR”.
Il y a des dessous de tables qui se chiffrent en prises de postes et en conquêtes locales [les Municipales] pour ceux qui font de la politique un métier, et non plus une vocation.

Je me suis permis d’ouvrir un fichier sur l’ordinateur de la jeune demoiselle…
- [Le Général me voit dans un autre temps, c’est sûr ! ]
-pour qu’elle publie un article de Nicolas BONNAL, un journaliste d’investigation comme il en existe encore trop peu, bien trop peu.
Cet article reflète bien ma pensée actuelle et passée.
- Méditez-le avant de voter pour l’Europe macronienne !
L’Europe ne doit pas servir de faire-part de décès aux Etats-Nations.
Sinon vous serez tous enterrés dans le même cimetière, le cimetière des illusions du “Bien Universel”, ce totem babélien condamné par le Dieu du Livre.
– Vous êtes tous UNIQUES et tous DIFFERENTS !
- Un Français ne sera jamais un Allemand
- et j’en suis fier, moi qui ai combattu les Allemands !
Il faut une Allemagne en Europe mais il faut aussi et surtout une France forte en Europe.

- “Il n’y a jamais eu de couple franco-allemand !”
Et parce que vous avez réunifié l’Allemagne, la France se doit d’être encore plus forte qu’avant, avec l’appui de son allié russe.”
Le Général De GAULLE salue Vladimir POUTINE, son allié de toujours.

[- Que vous le croyez ou non, peu m’importe ! J’écris ce qui m’est dicté.
Ce qui est sûr et certain, c’est qu’effectivement mon ordinateur a ouvert un fichier que je n’ai plus consulté depuis au moins un an, fichier non contenu dans la partie sur laquelle je travaillais alors que je commençais à prendre en note l’article que le Général De GAULLE voulait publier depuis hier déjà.
– Oui, je sais, je suis toujours en retard !
Cette fois, d’un seul jour, ouf.]
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De Gaulle face à la doctrine Hallstein
Par Nicolas Bonnal − Août 2017
[J’ai évoqué dans plusieurs textes la résistance du général de Gaulle à l’empire mondial américain. Aujourd’hui on va évoquer le Saroumane allemand qui prépara sa défaite au cours des années soixante. Je n’use pas du nom Saroumane par hasard. Comme je l’ai expliqué par ailleurs, Tolkien haïssait leur Europe comme le Commonwealth britannique.
Je le cite dans mon livre à ce propos : « For I love England (not Great Britain and certainly not the British Commonwealth » (grr!). Le grand homme ajoute : « I do find this Americo-cosmopolitanism very terrifying ».
Walter Hallstein, pour ceux qui ne le sauraient pas encore (malgré François Asselineau ou Etienne Chouard), est un ancien juriste nazi devenu patron de la première commission européenne. C’est lui qui a fait de notre Europe un Lebensraum germano-américain à la solde du mondialisme et du déracinement. Comme disait mon ami John Laughland dans son livre publié il y a déjà vingt ans, les origines de leur Europe ne sont pas démocratiques. Leur source est pourrie (« tainted »). L’involution satanique de l’institution n’a rien pour nous surprendre.
On va se documenter sur Wikipédia, qui est d’ailleurs assez aimable et même instructif avec moi. Alors pourquoi s’enquiquiner avec la propagande de la presse mainstream ?
Sur l’ex nazi Walter Hallstein (faisons-leur plaisir : pas un assassin de masse, un simple bureaucrate nazi), sa conception de l’Europe à la botte des Américains, en guerre éternelle avec la Russie soviétique et post-soviétique, et son conflit avec de Gaulle, que le Général devait finalement perdre (il le savait, comme tous les grands pessimistes, il était extra-lucide), on trouve ces instructrices lignes :
Alors qu’Hallstein avait une vision fédérale de l’Europe, et percevait la Commission comme un organe quasi-fédéral, la vision de De Gaulle était celle d’une confédération. Dès le début, Hallstein ne croyait pas que l’approche de De Gaulle quant à la coopération d’États-nations souverains serait capable de créer une Europe puissante qui pourrait jouer un rôle à part sur la scène internationale.
Hallstein se fout du monde à la manière juriste. Ils vous promettent une chose pour la détruire en fait. L’Europe puissante, aux nations dissoutes, à la remorque des USA, serait puissante ? On est typiquement dans le « doublespeak » orwellien.
Le rédacteur de Wikipédia rappelle courageusement à tous les Barbier et Attali qui nous informent :
De Gaulle envisageait un partage de souveraineté dans certains domaines, tels que la défense extérieure, l’harmonisation de la production industrielle, les affaires étrangères, la monnaie, l’exploitation des ressources dans les territoires d’outre-mer et le développement scientifique et culturel, mais dans le même temps il développait la force de frappe qu’il percevait comme une capacité de défense européenne indépendante des États-Unis. L’indépendance vis-à-vis des États-Unis était l’un des principaux objectifs de de Gaulle. Il était contre une intégration poussée de l’Europe dès lors qu’elle se faisait sous le chapiteau de l’intégration transatlantique.
De Gaulle comprend que la grosse Allemagne pointe le bout de son nez. Il cite d’ailleurs dans ses mémoires de guerre la lettre d’Himmler qui lui propose déjà le couple franco-allemand. L’assassin de masse SS n’était pas si fou !
Je cite Himmler et sa lettre au Général :
« En vérité, le seul chemin qui puisse mener votre peuple à la grandeur et à l’indépendance, c’est celui de l’entente avec l’Allemagne vaincue. Proclamez-le tout de suite ! Entrez en rapport, sans délai, avec les hommes qui, dans le Reich, disposent encore d’un pouvoir de fait et veulent conduire leur pays dans une direction nouvelle…
Ils y sont prêts. Ils vous le demandent… Si vous dominez l’esprit de la vengeance, si vous saisissez l’occasion que l’Histoire vous offre aujourd’hui, vous serez le plus grand homme de tous les temps. »
En réalité comme l’a montré Annie Lacroix-Riz, la plupart des chefs nazis qui avaient trahi le Reich étaient déjà à la solde des Américains. On les recycla gentiment après la guerre pour la énième croisade russophobe.
De Gaulle donc refuse la montée de la technocratie euro-teutonne et la création d’un État supranational, entité néo-totalitaire sans fondement organique :
De Gaulle reconnaissait les services d’Hallstein à l’idée européenne, mais l’attribuait davantage au patriotisme allemand servant les intérêts de l’Allemagne afin qu’elle retrouve le respect et un statut en Europe. De Gaulle n’appréciait pas le statut que Hallstein, pour lui un simple technocrate, se voyait accordé par des États étrangers.
C’est que la commission européenne se considère déjà comme un État supranational, et le vieux Hallstein se voit comme le néo-gauleiter de l’Europe américanisée.
Le rédacteur de l’encyclopédie poursuit avec force références :
« Hallstein, de son côté, était attentif à ce que, lorsqu’il représentait la Commission, il se voie accorder le statut normalement accordé au chef d’État. De Gaulle se plaignait du fait que, selon lui, la Commission usurpait le rôle politique réservé aux gouvernements et qu’Hallstein usurpait le rôle réservé aux chefs de gouvernement ou aux chefs d’État. Il attaqua Hallstein personnellement, déclarant qu’il essayait de transformer la CEE en un super-État, avec Bruxelles comme capitale tandis que lui essayait de défendre la démocratie française contre un aréopage technocratique, apatride et irresponsable. »
Dans ses mémoires publiés chez Plon en 1971, de Gaulle écrivait :
« Hallstein épouse ardemment la thèse du super-État et emploie toute son habile activité à obtenir que la communauté en prenne le caractère et la figure. De Bruxelles, où il réside, il a fait comme sa capitale. Il est revêtu des aspects de la souveraineté, dirigeant ses collègues entre lesquels il répartit les attributions, disposant de plusieurs milliers de fonctionnaires qui sont nommés, affectés, promus, rétribués, en vertu de ses décisions, recevant les lettres de créance d’ambassadeurs étrangers, prétendant aux grands honneurs lors de ses visites officielles, soucieux, d’ailleurs, de faire progresser l’assemblage des six dont il croit que la force des choses fera ce qu’il imagine. »
On imagine la grosse tête de ce machiniste avec trente nations sous ses ordres… L’article ajoute :
« D’après Der Spiegel, les plaintes de de Gaulle concernaient :
• Le fait que Hallstein était fréquemment reçu par les présidents américains, bien que la Commission n’ait alors pas eu de mandat explicite en termes de relations extérieures ;
• Le fait que Hallstein revendiquait un rôle de « Premier ministre européen »,
• Le rang d’Ambassadeur détenu par les représentants des 65 États accrédités auprès de la Commission européenne,
• La présentation des lettres de créance des ambassadeurs (représentant permanent) à Hallstein,
• La participation de l’équipe de la Commission au Kennedy Round à Genève, aux négociations avec l’AELE et aux négociations avec les États non-européens, en particulier latino-américains. »
Hallstein savait ce qu’il faisait :
Le rôle politique de la Commission, Hallstein déclara dans un entretien au Der Spiegel :
« En principe, nous n’avons pas de compétences politiques (…) parce qu’il n’y a rien de cette nature dans le traité de Rome. Mais nous avons une responsabilité politique parce que nous sommes une entreprise politique – pas économique. Le marché commun a pour but d’unifier politiquement l’Europe. »
Le retors technocrate teuton pousse même le culot jusqu’à insulter personnellement le général en le comparant à Hitler :
Sur la plupart de ces questions, De Gaulle voyait Hallstein comme un opposant. La réponse de Hallstein aux attaques de De Gaulle était également agressive, comparant les actions de de Gaulle à celles de Hitler.
« Or on sait, Dieu sait si on le sait !, qu’il y a une conception différente au sujet d’une fédération européenne dans laquelle, suivant les rêves de ceux qui l’ont conçue, les pays perdraient leur personnalité nationale − et où, faute d’un fédérateur, tel qu’à l’Ouest tentèrent de l’être, chacun d’ailleurs à sa façon, César, et ses successeurs, Charlemagne, Orthon, Charles Quint, Napoléon, Hitler, et tel qu’à l’Est s’y essaya Staline − ils seraient régis par quelque aréopage technocratique, apatride, et irresponsable. »
Comparer Hitler à César, Charles Quint ou Napoléon, c’est se foutre du monde. Cela permet après aux antifas de tout détruire, les églises chrétiennes (Charles V nazi, Charlemagne nazi, etc.), le tombeau de Napoléon, qui ne fera pas de vieux os. Et cela confirme que les antifas-PC se tiennent aux côtés des nazis relookés façon Hallstein. Ils veulent détruire le passé pour construire l’homme nouveau à usage mondialisé, lyophilisé, consommateur et numérisé.
Sous le super-État, le super-État façon Merkel montre le bout de son profil d’aigle. De Gaulle encore :
« Mais, le voyant, le revoyant attentif à son action, je pense que si Walter Hallstein est, à sa manière, un Européen sincère, c’est parce qu’il est d’abord un Allemand ambitieux pour sa patrie. Car dans l’Europe telle qu’il la voudrait, il y a le cadre où son pays pourrait, gratuitement, retrouver la respectabilité et l’égalité des droits que la frénésie et la défaite d’Hitler lui ont fait perdre, puis acquérir le poids prépondérant que lui vaudra sans doute la capacité économique, enfin obtenir que la querelle de ses frontières et de son unité soit assumée par un puissant ensemble d’après la doctrine à laquelle, comme ministre des Affaires étrangères de la République fédérale, il a naguère donné son nom. »
Une autre source a confirmé que bien entendu, comme tous les sbires rebaptisés pères de l’Europe, Hallstein était à la solde de la CIA :
« Walter Hallstein fait ainsi partie de ceux qui autrefois étaient au service de l’aigle hitlérien et qui deviennent serviteurs de l’aigle américain. Il deviendra président du mouvement européen dont on sait de façon certaine que c’était un mouvement soutenu et financé par la CIA à partir des années 1950 comme le prouve l’article du Daily Telegraph datant du 19 septembre 2000. On retrouve dans des documents déclassifiés des personnages comme Walter Hallstein, Jean Monnet ou encore Robert Schuman considérés comme des employés par la CIA. »
On laissera Tolkien conclure (lettre du 9 décembre 1943) :
«
May the curse of Babel strike all their tongues ! »
« Que la malédiction de Babel frappe toutes leurs langues ! »
Or comme on sait leur Europe luciférienne s’honore de ses origines babéliennes. Voyez le monument de Strasbourg tel qu’il s’est construit avec vos dettes. Une chose est claire pour conclure : leur Europe s’écroulera dans quelque temps, et en même temps que les États-Unis d’Amérique.
Je rajoute cette pièce qui montre que le régime de Vichy avait des idéaux euro-œcuméniques :
Dès 1941 les journaux français titrent « 1941 sera la grande année du regroupement de l’Europe a déclaré le führer » (Paris soir publié le 1Une petite déclaration du général à Alain Peyrefitte pour terminer (je sais, je sais, il a tout inventé, d’ailleurs de Gaulle était un hologramme) :
« L’Europe intégrée, ça ne pouvait convenir à la France, ni aux Français… Sauf à quelques malades comme Jean Monnet, qui sont avant tout soucieux de servir les États-Unis. Ou alors à tous ces personnages lamentables de la IVe République. Ils trouvaient ainsi un moyen de se décharger de leurs responsabilités ! »]
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[Article de Nicolas BONNAL publié à la demande du Général De GAULLE lui-même !
Je le répète… à sa demande, bis repetita.]
