– “C’est rapport à la nouvelle loi SCHIAPPA, tu sais, sur le harcèlement sexuel de rue.
Faut comprendre les poulets aussi !
La drague, c’est le sport national du coq gaulois.
– Alors comment tu veux arrêter les coqs de chasser la poulette de Brest ?
Y faudrait d’abord que la Police Nationale, elle commence par s’arrêter elle-même !
Donc quand les minettes veulent déposer plainte contre les picorettes de rue et les “courettes” “brutes de coffre”, du genre pas transgenre :
– “Monte, ma poulette, j’vais t’faire visiter mon nid d’amour !”
Les poulets, y refusent de prendre les plaintes des poulettes qui s’plaignent d’être courtisées.
[COLUCHE explique : – “courette”, du substantif “cour”, comme -“faire la cour” -.
– Mais qu’y sont cons !
C’est simple, pourtant, le français.]
– C’est vrai, on est en France, merde !
On parle autant avec les mains qu’avec la langue,
parole de COLUCHE.
Et moi, COLUCHE, en plus-se, j’suis d’origine italienne.
– Alors, pas besoin d’te faire un dessin sur le Latin que je suis.
Et çui-là, d’latin, ,j’l’ai pas appris à l’école.
Mais grâce à Marlène, ça va changer :
– nos mioches, y s’ront mieux formés qu’leurs parents sur le sexe dans toutes les positions et à tous les âges.
Y z’auront même la trousse de secours avec le préservatif contre les MST pour les exercices à domicile et les gens de passage.
Nan, pas des violeurs !
On dit “pédophiles” comme amoureux d’enfants, – de tes gosses, oui !
-Mais bon, tant qu’c’est du latin, ça va !
– Tu peux rouler un patin, sans t’prendre un pain dans la gueule, à une belle blonde ou une belle brune qu’elle était, la décolorée, car tu partages les mêmes codes sociaux et la même langue que ta poulette.
– Ca veut dire que, nous, les Latins, quand on drague une fille,
on la déshabille pas tout d’suite
et on l’insulte pas, jamais,
même si elle veut pas de suite monter avec nous au septième ciel.
– “Même que j’en rêve encore !” pour reprendre une chanson entendue sur vos ondes, ici-bas.
Faut être patients, les mecs !
Et la patience, c’est la qualité première du bon chasseur.
Car la drague, c’est comme une partie de chasse, hein Jean-Marie (BIGARD) ?
Bon, donc j’termine, vite !
Quand la minette, elle rentre au Commissariat d’quartier
– qui vient d’se faire attaquer la nuit dernière par une bande de “sauvageons”
– qu’y faut pas traumatiser en utilisant
les flash-balls qui les éborgnent
ou les bombes lacrymos qui les font pleurer,
les pauvres chéris !
– faut comprendre la “Maison Poulaga” qu’en a marre de pas pouvoir arrêter les vraies crapules.
Alors, c’est pas pour les faire courir après des Latins comme nous,
ou plutôt comme eux aussi !
Sauf si on baise comme des lapins et qu’la dame voulait déposer plainte pour tromperie sur la marchandise.
La position qui vous sauv’ra toujours… du ridicule !
Sauf si votr’curé est pédophile.
– Par contr’si la p’tite dame, elle s’est faite violer par un “coureur” pas latin…
Suivez mon regard… !
Là, ça change tout !
– Bah non, ça change rien, rien du tout.
– Pass’que j’viens juste de te dire et de t’expliquer, Ducon, qu’en France aussi, on a notre caste des “Intouchables”.
Les “tous PAREILS” !
Enfin, presque.
-Pass’qu’en Inde, y z’ont aucun droit, les Intouchables.
Tandis qu’en France, y z’ont tous les droits, les Intouchables, tout misérables qu’y soient,
mêm’çui de violer la “Blanche”,
surtout la “Blanche” !
Car eux aussi, y préfèrent les blondes !
Et donc les Blanches.
– Bah non, c’est pas un scoop, les cons !
Les racistes, c’est quand même d’abord les Noirs qui veulent s’faire blanchir la peau, non ?
Et qu’y préfèrent les corps de Blanches !
– C’est eux qu’aiment pas les Noires et qu’y préfèrent les Blanches.
Lui aussi, Jean-Marie, comme les Noirs, y préfèrent les blondes !
La preuve qu’il est pas raciste, piss’qu’y l’est tout PAREIL.
Donc, si la minette, elle débarque de jour,
pass’que de nuit, y sont obligés de fermer les Commissariats de quartier pour pas s’faire attaquer,
les poulets !,
– bah, les flics, y f’ront PAREIL qu’avec les Latins,
y f’ront rien !
-Y sont PAS racistes les flics, aussi, et y t’le prouvent.
Par exemple, t’as une gonzesse qu’est rentrée de jour dans un Commissariat…
J’te réexplique pourquoi y faut pas y aller de nuit, dans un Bureau d’Police ?
Ou t’as compris, Ducon ?
– donc si t’as une gonzesse qu’est rentrée de jour dans un Commissariat pour se plaindre d’une claque sur les fesses donnée par une main en migration, elle aussi,
comme le migrant à qui la main appartenait,
bah, les flics y f’ront rien,
mais rien du tout, du tout !
-Et cett’fois-ci, c’est pour obéir aux ordres.
Même qu’y t’expliquent pourquoi aujourd’hui :
– “On n’a pas le droit de traumatiser les pauvres migrants qui n’ont pas les mêmes moeurs et la même culture que nous.”
– Mêm’toi, la gonzesse ouverte à toutes les circulations humaines, tu dois pas traumatiser les pauvr’s chéris qu’y s’sont égarés dans un pays qu’est pas PAREIL que le leur,
un pays, le sien, où les meufs, elles z’ont pas l’droit d’sortir seules dans la rue.
Donc question :
– Qu’est-ce que tu foutais seule dans la rue à 14H15 de l’après-midi sur les Champs-Elysées, avenue réservée aux hommes, même qui s’y promèn’raient tout nus ?
Tu cherchais à t’faire violer, hein ?
C’est fini, ça, l’époque où les filles, elles pouvaient sortir comme elles voulaient,
– et même en mini-jupes !
Donc tant qu’on les z’auras pas rééduqués
– et c’est pas gagné !,
vaut mieux qu’tu restes chez toi,
la gauchiasse féministe qu’a pas compris que, grâce à elle,
c’est fini, la liberté de circulation pour les femmes !
Même Marlène SCHIAPPA, elle a renoncé à circuler dans tous les quartiers de Mantes-La-Jolie quand elle a voulu faire une expérience d’immersion dans une zone de non-droit.
Le préfet, y l’a dit :
– “Stop ! Faut pas aller trop loin dans l’égalité “hommes/femmes”. On n’a pas fini d’les rééduquer !”
Moi, j’dirais plutôt qu’y sont pas finis, les mecs de la Mecque !
Il a ajouté, l’Préfet :
– “Y faut d’abord qu’y z’aient eu des cours d’éducation sexuelle pour prouver qu’y z’étaient pas ignorants d’la Loi française, si on veut pouvoir les faire condamner par nos juges “rouges”,
– déjà qu’y parlent pas l’français couramment, même s’ils courent couramment après les Françaises.”
– “Ce s’rait un crime contre l’Humanité”, qu’y l’a dit MACRON, l'”Emmanuel si belle”.
– “Bon, heureus’ment, Mamz’elle, Marlène SCHIAPPA, votr’Secrétair’d’Etat, elle s’est proposée volontaire pour accélérer les cours d’éducation sexuelle avec la langue.
A dix migrants par demi-journée, on devrait pouvoir atteindre le quota d’admissibles à l’épreuve de langue française rapidement !
En plus, “Emmanuel si belle”, elle aussi, s’est proposé-e volontaire pour les cours de savoir-vivre
ou plutôt de savoir-faire sexuel dans les deux langues,
euh… dans les deux genres, j’veux dire,
et même dans tous les genres !
Faut juste attendre un peu.
– Pour l’instant, évitez de sortir de chez vous, Mamz’elle. Faites comme nous, les policiers. Nous, on sort plus de nos commissariats.
C’est trop dangereux dehors !
Et puis, nous aussi, on n’a pas le droit de se défendre.
Alors évitez de vous défendre pour pas aller en prison.
– Pendant qu’y vous violent, pensez à autre chose,
j’sais pas, moi, imaginez que c’est “Emmanuel la Belle” !
Ou Georges CLOONEY”, conseille le policier fataliste. Inch’Allah !”
Moi, j’dis qu’la police,
elle devrait éviter le “corps à corps” avec “Emmanuel la Belle”
En fait, j’exagère…
Mais à peine, hein !?
– Tu veux savoir c’qu’y disent les flics,
quand tu vas les voir pour te plaindre que t’as des migrants aux fesses ?
– Y t’rpondent qu’y peuvent rien faire !
[Ca, c’est vrai !]
Et y z’ajoutent, fatalistes (ça, c’est vrai aussi) :
– “Le problème est “d’ordre politique”.”
La fuite du Roi à Varennes !
Je te traduis :
– “S’y a plus d’ordre, c’est à cause du politique car c’est lui qui donne les ordres !
ou plutôt les contrordres !”
Ce qui veut dire, en clair, Ducon, que :
– Si tu veux de l’ordre, y faut qu’t’arrêtes de voter comme un con, Ducon !
– Oui, si tu veux que la Police Nationale puisse servir la France
et pas les cons qu’y sont au pouvoir grâce à toi, Ducon !,
y faut voter pour les bons,
pas pour les mauvais, cette fois-ci.
– Et les mauvais, Ducon, c’est ceux qui protègent ceux qui sont mauvais avec toi
et qui violent les poulettes françaises
– quand vous, les coqs de villages, les pieds dans la merde, vous chantez :
– ” Cocorico !”
C’est pourtant simple à comprendre, non ?
– Vos policiers et vos gendarmes comptent sur vous pour les protéger avec votr’seule arme fatale, l’arme citoyenne,
quand vous arrêterez de voter comme des cons !
Sinon c’est vos femmes et vos filles qu’y vont pas arrêter… :
– d’en verser…
des larmes.
– Alors qu’allez-vous faire, les cons ?
– Allez-vous soutenir, oui ou non, vos forces de l’ordre en France pour ravoir de l’ordre en France ?
– Ou faire comme eux, les policiers d’aujourd’hui, rester calfeutrés comme des peureux chez vous pour pas avoir de problèmes avec ceux qu’ont pas compris vos moeurs, votr’culture et votre langage ?
Et qu’y préfér’raient vous faire mourir, les Français,
plutôt qu’d’avoir à apprendre le français, une langue réputée si difficile !
– Les pauvres !
– Vous vous rendez pas compte !
-Combien vous les faites souffrir en les forçant à apprendre une langue qu’y z’aiment pas, le français ?
C’est normal qu’y détestent la France !
Et l’école
Et le collège
Et le lycée
Et l’Université.
– Heureusement, moi, j’avais arrêté à l’école… primaire !
[Comme “par hasard”, ce matin du 20 août 2018, après la publication de cet article, nous apprenons qu’en Catalogne espagnol aussi, les “déséquilibrés” s’invitent avec des couteaux pour “tuer du flic”.
“Ce n’est qu’un début, que le début en Espagne”, promet COLUCHE.
“Tout PAREIL qu’en France avec les “Socialopes de l’Interlope” !”
-En France, les policiers, y z’auront bientôt plus que le droit de compter leurs morts !
Et les promotions ne se feront plus qu’à titre posthume, ce qui sera plus économique pour vos ENARques remarquables.
Vous verrez que le MONARC y va réussir à réduire la Dette publique, en agrandissant les cimetières publics.” ]
Rêvez pas, les mecs, je ne ressemble pas à la jeune fille du tableau !
J’ai fait ce rêve, tôt ce matin.
[Oups ! Hier matin, car j’ai dû faire passer en urgence un “redressement” fiscal pour de vrai,
un vrai “faux” en écriture publique,
un faux intellectuel ou une vraie débilité, au choix.]
Il a donc été interrompu, mon rêve, parce qu’il fallait se lever.
J’ai failli l’oublier mais c’était sans compter sur Son insistance.
Son insistance à Lui, Lui que certains disent être mort ou n’avoir jamais existé.
– Eh bien, heureusement qu’Il est mort, le Vivant !
Sinon qu’est-ce que ça serait s’Il était encore plus Vivant qu’Il n’est ?
– Oui, pour être Vivant, Il est Vivant !, “l’absent”.
Car la mort, c’est juste une absence sur une distance qui est soit celle du coeur, – le désamour -, ou celle du temps, – l’oubli -.
Quand on aime, il n’y pas de séparation possible, ni physique, ni géographique.
Pour en revenir à ce rêve, sincèrement, je ne l’ai pas trouvé extraordinaire, tant il traduit un quotidien déjà vécu dans certaines cités par trop de Françaises et de Français dont le ressenti est nié avec tant de force par d’autres Français privilégiés qui vivent, eux, dans de “beaux quartiers”.
Dans ce rêve, j’ai vu comment ils allaient s’organiser, ces Français d’une autre France, livrés à eux-mêmes, abandonnés, et jamais délivrés de la peur,
– de ce sentiment animal de l’homme qui se sait en danger
– un “ressenti” qui ne serait que “psychologique”,
selon les riches oligarques qui nous dirigent droit dans le mur,
le mur de l’apartheid social entre milliardaires et SDF.
L’absence de forces de l’ordre occupées ailleurs à faire semblant et à faire du “faux chiffre” oblige les citoyennes et les citoyens français à supporter de plus en plus cette occupation haineuse et hargneuse de lieux de vie autrefois pacifiques et bucoliques par des hordes de pauvres hères eux-mêmes prédateurs et victimes de prédation, la prédation mondiale des ploutocrates.
Je vais donc vous rapporter ce rêve entre banalités de notre quotidien et futilités de vos gardiens, ces gens, qui, pour la plupart, sont des vauriens parce qu’ils n’en ont à rien à faire de vos problèmes.
Mon rêve se déroulait dans une école primaire, pour ce que j’en ai vu.
Je suis présente physiquement dans une salle, comme d’habitude en éternelle formation, une “étudiante” quoi.
Au fond, la vie, ce n’est jamais qu’un long apprentissage.
– Est-ce moi ou une autre ?
Quelle importance ?
Rien ne laisse augurer de ce qui va se passer dans quelques instants.
Des professeurs sont réunis pour discuter des problèmes de la rentrée scolaire.
L’ambiance est détendue entre collègues et “camarades”.
Une femme semble diriger les débats et impose le tempo.
Le stage de formation doit durer une semaine.
– Pas un jour de plus !
Elle pose la question qui fâche :
– “Qui a un mandat syndical avec des jours de détachement supérieurs à14 jours ?”
Ajoutant immédiatement :
– “Ce qui posera un problème de disponibilité professionnelle parce qu’il ne faut pas compter sur les petits copains pour prendre leurs classes !”
Quelques uns osent lever la main et affronter sans vergogne l’ire de la formatrice, avec un regard goguenard et suffisant.
La femme, d’une quarantaine d’années, au ton méprisant, relève les noms des syndicalistes en formations dont le nombre de jours de détachement rendra la présence dans leurs futures classes plus qu’aléatoire.
Puis, elle se tourne vers moi.
Même si nous ne nous connaissons pas, elle semble déjà savoir que je suis aussi une “syndicaliste”.
Je la rassure :
– “Mon syndicat est minoritaire et, si je dispose de jours de détachement, ils ne devraient pas excéder une huitaine de jours.”
– “Quel est ton syndicat ?”
– “Je ne sais pas encore… d’habitude je suis “Solidaire”, peut-être “SUD Educ”.”
Sans doute des réminiscences d’une vie antérieure.
Puis, un homme rentre dans la salle de formation.
Il propose de faire une pause.
Comme des gamins, nous sautons sur l’occasion de sortir du cours pour aller en cour de récréation,
trop contents d’échapper aux contrôles de présence
et aux questions de “l’Inquisition Académique”.
Certains en profitent pour “cloper” en l’absence d’élèves dans la cour de récréation.
Observatrice de mon propre rêve, je suppose qu’il s’agit d’une pré-rentrée scolaire car les classes sont vides.
Je m’éloigne, c’est à dire que je prends de l’altitude et que je regarde la scène d’en haut.
L’homme qui doit être le directeur de l’école primaire nous surveille.
C’est presque rigolo !
Une déformation professionnelle qui l’amène à nous traiter comme des élèves.
– Ce n’est pas de l’espionnite, c’est entre la “bonne franquette” et le “bon père de famille”.
Alors que, redescendue sur terre, je papote avec deux autres collègues, le “directeur” vient vers nous et nous fait signe de revenir en classe, “fissa”.
Il tape dans ses mains et tente de nous regrouper, petit troupeau qui s’était éparpillé, qui, sous le préau pour téléphoner, qui, sous les arbres pour fumer tranquilles, ou qui, près de la machine à café pour partager l’odeur et la chaleur d’un moment de convivialité.
Je sais que cette école n’est pas en “zone sensible”.
Donc c’est peu que de dire que nous ne sommes pas pressés de rentrer en classe, la pause ayant à peine duré cinq minutes.
Mais le bruit de motos et la pétarade de scooters nous obligent à nous rabattre vers la salle de formation, en toute hâte.
Une crainte sans fondement, plutôt un réflexe de “mouton de Panurge” :
– “Ils fuient, donc je fuis.”
Nous comprenons alors pourquoi le “directeur” était venu nous chercher dehors. Il ne souhaitait pas que ses stagiaires reviennent éclopés de leur formation à l’enseignement “en toutes conditions”.
Moi, curieuse, je reste encore un peu en arrière pour voir ce qui se passe.
Des jeunes, adolescents pour la plupart, sont rentrés dans la cour de l’école.
Pour vous décrire les lieux plus précisément, c’est une école primaire organisée comme une “hacienda”, avec des bâtiments scolaires construits autour de la cour et un immeuble administratif donnant directement sur ce “patio” où nous nous trouvions.
Les jeunes tiennent des coktails molotov et autres projectiles qu’ils s’amusent à jeter un peu partout.
– Oui, c’est un jeu,
un jeu dangereux donc “excitant”.
Le “directeur” gueule, hurle qu’il a prévenu la police et tente de se faire entendre dans le brouhaha des moteurs et des explosions de pétards artisanaux, tout en se tenant prudemment en retrait derrière un muret, prêt à rentrer dans le hall de l’immeuble administratif si les jeunes venaient à l’agresser.
Les jeunes reculent, certains faisant carrément marche arrière, sans même vérifier s’il y avait derrière eux une personne ou pas.
D’autres cabrent leurs motos par provocation mais finissent par suivre leurs petits copains.
Le “directeur” appuie alors sur un bouton de commande électrique et des portiques sortent des murs pour fermer l’entrée de l’enceinte scolaire.
Ce sont des portiques de contrôle qui permettent seulement à des piétons de passer comme dans les métros ou dans les gares, lorsque ces portiques existent.
Ils ont deux fonctions :
– interdire aux véhicules de pouvoir pénétrer dans l’école pour éviter les attentats avec des véhicules-béliers
– et filtrer les élèves pour savoir s’ils sont armés d’un couteau ou d’une arme de poing ou, pire, d’une bombe, puisque ces portiques peuvent détecter des objets métalliques suspects.
En fait, ce type de portiques “mobiles” et encastrables dans un mur semblent ne pas exister encore. C’est l’image la plus approchante que j’ai pu trouver.
Si l’élève est armé, le portique de contrôle ne le laisse pas rentrer.
L’élève ou le visiteur est bloqué par un bras métallique qui l’enserre et lui barre le passage, l’empêchant de prendre la fuite et le forçant à reculervers la sortie car le but n’est pas de les capturer, mais de les dissuader de pénétrer dans un établissement scolaire.
Ces portiques sont pratiques car mobiles.
Ils s’intègrent parfaitement dans les mursde l’enceinte, à l’entrée de l’école, et peuvent laisser passer des voitures ou même des camionnettes de livraison, si le véhicule estidentifié et accepté.
La sécurité est donc gérée par l’établissement lui-même depuis que les portiques de contrôle sont devenus obligatoires.
Ces mesures sont nécessaires parce qu’il y a eu trois attentats dans des écoles primaires catholiques privées ayant provoqué la mort d’une centaine d’enfants et deux attentats dans des écoles publiques de quartiers pourtant pauvres qui se sont terminés par des prises d’otages spectaculaires, genre “Human Bomb”, mais sans l’intervention de Nicolas SARKOZY.
Alors il a fallu faire un choix budgétaire entre installer des portiques de sécurité ou recruter des vigiles pour l’année en cours, à cause de ces bandes de jeunes incontrôlables
puisque ce ne sont plus des élèves sous le contrôle de l’Etat, même s’ils sont tous mineurs.
Les prisons sont pleines à craquer et craquent régulièrement, comme lorsque vous faites craquer des allumettes, à coups de lance-rockets et de bombes fumigènes, tandis que des drones filment des évasions de plus en plus spectaculaires qui remportent un franc succès auprès des publics francophiles.
Ou serait-ce plutôt auprès des publics “francophobes” ?
Dans ce rêve, la France est devenue un immense jeu de “battlefront” à qui courra le plus vite pour sauver sa peau. La peau des fonctionnaires est très recherchée comme un trophée par les nouveaux Barbares qu’il nous faut pourtant chérir.
Et si l’agent de surveillance veut répliquer en utilisant la force, il est alors considéré comme un tortionnaire.
– “Il faut rééduquer, pas tuer !” expliquent ceux qui sont cachés dans leur bunker, à l’abri de ces violences faites aux personnes,
rubrique statistique tenue par les policiers et les gendarmes qu’ils doivent réduire au maximum,
quitte à tricher sur les chiffres, comme d’habitude,
le temps que la population française ne soit plus française de souche
remplacée par des ethnies habituées à vivre dans des pays du tiers-monde où la sécurité est un luxe et la liberté un mythe.
Les forces de l’ordre n’ont plus le monopole de la violence.
Et il n’y a plus d’ordre en France.
Ce sont les racailles des cités qui ont le monopole de la violence,
une violence légale
– légitimée par la déconsidération nationale et la condamnation collective de l’emploi de la force par les fonctionnaires de l’Etat français.
A chaque procès engagé contre les policiers ou les gendarmes, les délinquants des rues gagnent.
Il est expliqué aux victimes institutionnelles consentantes que c’est la seule solution pour maintenir le calme dans les cités françaises.
Il faut faire tomber quelques têtes de flics ou de pandores
et le bon peuple de France est content !
– En attendant de pouvoir faire tomber la tête du Monarque.
Mais le sait-il, ce Monarque, à l’abri dans son château élyséen ?
Les salaires des fonctionnaires ont été sensiblement augmentés mais l’Etat avait calculé son “coût/ coup”:
un “coup/coût” gagnant.
C’était :
– ou augmenter les salaires et accepter des contrats précaires renouvelés selon le bon vouloir de chefs de service incompétents
ou continuer à être employés à vie mais de plus en plus mal payés !
Les syndicats ont choisi le court terme qui enrichit mal et violemment,
– à la douceur d’une longue viequi vous permet de mourir dignement, mais pas de vivre dignement.
Les représentants du personnel devaient choisirentre deux options sans concession :
maintenir les agents de l’Etat dans une succession de galères à l’infini, les fins de mois difficiles, l’emploi à vie, une vie de misère jusqu’à leur pauvre mort,
ou leur offrir un emploi à court terme bien payé pour vivre pleinement les rares instants de bonheur dont les contractuels publics pourront profiter s‘ils acceptent de perdre “leur sécurité de l’emploi” et leur âme de citoyens volontaires.
Oui, les contrats temporaires d’embauche publique seront très bienrémunérés.
Et, victoire pour l’Etat français et les contribuables, il n’y aura plus à prévoir d’avancement à l’ancienneté, ni d’indexation de l’indice “trucnuche” sur la hausse du coût de la vie.
Que d’économies en perspective pour la République française !
Pendant ce temps, tout se casse la gueule en France.
Seuls s’en sortent les voyous de la République,
qu’ils soient ripoux à cols blancs ou chelous en burnous rayés.
Le directeur de l’école primaire m’explique que ce n’est même plus la peine de faire appel à la police. Ils ne se déplacent jamais. Les gens ont appris à faire “sans” et s’organisent, en s’attendant au pire et en sachant que rien ne leur sera épargné si jamais ils commettent une erreur ou pire une “bavure”,
– c’est à dire s’ils venaient à blesser ces “chances” pour la France,
ces jeunes en errance mentale et en complète déshérence nationale.
Ce sont eux, les personnels administratifs et techniques, non habilités à pouvoir assurer leur propre défense, qui iront en prison,
pas les voyous qui les terrorisent.
Les équipes pédagogiques doivent faire avec
– et se défendre a minima pour ne pas être accusés d’être des racistes
ou pire des fascistes.
Quitte à être blessés !, dans leur amour-propre d’abord, ou dans leur propre corps, toujours à leur tort.
Mais c’est mieux que d’aller en prison et de perdre son travail pour des voyous ayant prétendument perdu la raison,
voyousqui n’iront jamais au trou, eux.
Les politiques ont trop peur de les provoquer, ces jeunes qui ne savent pas quoi faire de leur vie.
La France des banlieues pourrait s’embraserà nouveau,
et menacer de monter sur Paris pour tout faire brûler
sans raison et en toutes saisons.
Paris se protège !
Mais Paris n’est plus la France.
Et la France, elle, elle se meurt.
Elle se meurt de peur.
Elle se meurt tout court, chaque jour un peu plus.
Les portillons se sont refermés et je comprends mieux comment fonctionne cette France qui a perdu ses services publics pour assurer sa sécurité.
S’il n’y a plus de frontières, les murs de chaque maison, de chaque établissement, de chaque immeuble deviennent des frontières à l’intérieur desquelles se bâtissent les sottes solitudes et les mauvaises habitudesdes bottes qui frappent le sol au pas de l’oie.
Pour que la paix règne en France, c’est sur la voie publique qu’il faut faire régner l’ordre.
– Pas demander aux citoyennes et aux citoyens de France de devoir supporter la violence de la rue à cause de l’incapacité de l’Etat à savoir faire régner l’ordre en France !
– “Un chef d’Etat qui ne sait pas protéger sa population doit démissionner”, dit le Seigneur.
Quand je me suis réveillée, je savais que, dans l’avenir, la Sécurité Publique n’existerait plus.
Ce serait juste une part de marché, une prestation de service supplémentaire servant à enrichir les plus riches,
les encore et toujours plus riches.
Car c’est la nouvelle loi du marché, celle qui fait du malheur des hommes un simple besoin à satisfaire
– sachant que ce malheur a été provoqué par l’incompétence de chefs d’Etat se moquant comme de l’an quarante ou de l’an un du Christianisme du bonheur des Français.
Car le malheur des Françaises et des Français fait le bonheur et fera le bonheur des marchands d’armes en Europe !
Ainsi les plus riches auront leurs propres gardes du corps dans des demeures somptueuses, les administrations profiteront d’un budget complémentaire réservé spécifiquement à leur sécurité (vigiles et systèmes de protection) tandis que les pauvres gens se feront agresser, voler et tuerchez eux et à l’extérieur de leurs domiciles par des “sauvageons” qu’il faudrait appeler de fait des criminels et des délinquants.
Quand les rues ne sont plus gardées ni les existences sauvegardées,il ne reste plus au peuple que le droit de mourir pour ne pas se faire tuer.
Blancs et Noirs, Noirs et Blancs, seront traités comme des esclaves par leurs nouveaux Maîtres !
Mais, en France, même ce droit, le droit de se défendre, est refusé au peuple de France.
“Pour préserver la paix civile !”, affirment les imbéciles qui vous dirigent.
Quand les “criminels” auront exterminé le peuple de France, alors ils iront s’occuper de ceux qui n’ont pas su s’occuper des affaires de la France.
Et le Seigneur ajoute :
– “Je n’entendrais pas plus vos supplications que vous n’avez entendu les supplications de votre peuple.”
Pourquoi, pour ces enfants-là, faut-il mettre des policiers à l’école et les enseignants à la rue ?
Pour leur apprendre à vivre dehors, LIBRES, la vraie VIE,
tous LIBRES, enseignants et élèves.
Mais, pour être LIBRES de faire tout ce qu’on veut, à condition de ne blesser personne, il faut d’abord vivre soi-même en SECURITE.
Car la première des LIBERTES publiques en France, c’est de pouvoir y vivre en SECURITE.
C’est la jeune fille que j’avais vue dans mon rêve prémonitoire, celle qui est venue m’avertir de la disparition “future”d’une autre fille,
ce qui prouverait que Nordahl LELANDAIS aurait PREMEDITE son acte.
Celle que je voyais enterrée avec un chien blanc qui veillait sur elle, comme pris dans la pierre d’une tombe, sa tombe.
Encore une histoire de chiens ?
Je croyais à tort qu’elle avait dix-sept ans, me fiant à son apparence et ayant reçu plusieurs fois le chiffre “17”. En fait, elle est plus âgée. Elle a disparu à l’âge de 43 ans.
Néanmoins le chiffre “17”, flash télépathique en lien avec la jeune femme morte, doit avoir une signification, qui n’était donc pas son âge. Peut-être un numéro de rue, un numéro de chambre d’hôtel ou un numéro de studio dans un foyer ou encore une date ? Je l’ignore.
Mais le “17” est un indice important que m’a rappelée la jeune morte ce soir du 06 juin 2018.
Je la voyais comme une autre grande soeur de Maëlys, cette jeune fille “endormie” dans la mort et qui devait, elle aussi, aimer les chiens ou avoir eu un chien (?) puisqu’elle-même, dans la mort,
cet espace-temps où elle est emprisonnée par la cruauté de son destin
et l’IGNORANCE de sa mort, – votre ignorance à vous, une ignorance INSTITUTIONNELLE qui confine au mépris -,
était entourée de chiens, trois chiens, dans un cimetière abandonné, le chien blanc protégeant sa tombe et deux autres chiens bâtards de couleur sombre gardant l’entrée d’une sorte de caveau.
A-t-elle été enterrée sous X dans un vieux cimetière aux grilles hautes et vétustes ?
Chien, ange-gardien
Tout comme vous, je découvre peu à peu à quoi correspondent les images de mon rêve prémonitoire, ce rêve publié sur mon blog “Dèu vos guard” au début du mois d’août 2017.
Et surtout, je rattache les visages de mon rêve prémonitoire aux vivants et aux morts car j’avais vu la “vraie” et unique soeur de Maëlys, vivante, dans sa chambre à elle, bavardant avec une copine invitée dans sa maison.
Or il est vrai que je ne parvenais pas à trouver un “sens” à cette réunion d’adultes dans une salle associative, à ces deux parents rentrant chez eux avec moi (?), à cette présence pesante de l’absente, l’enfant disparu !, leur autre fille. Et si le Seigneur n’avait pas “insisté”, je n’aurais jamais publié ce rêve que j’ignorais être un rêve prémonitoire.
Je ne savais pas où situer, dans mon rêve qui devait se REVELER prémonitoire, cette jeune fille par rapport à ce qui allait se passer.
Une jeune fille déjà morte pour une petite fille qui allait mourir ?
La médiumnité, c’est l’amour, cette capacité d’être en relation avec les “autres”, les Vivants !
Nous sommes toutes et tous des médiums.
Pour la médium malgré moi qui le suis parce que je doute toujours, il semble possible,
que Lucie ROUX ait été tuée par Nordahl LELANDAIS
et qu’elle ait appelé “au secours” pour être retrouvée,
pour que son corps soit retrouvé,
que les restes de son corps soient retrouvés, m’oblige-t-elle à écrire,
mais surtout pour que les crimes de ce “fou furieux” s’arrêtent.
Car la mort de Lucie ROUX serait due à un déchaînement soudain de “folie furieuse” de la part de Nordahl LELANDAIS, incapable de se contrôler
et sourd à ses supplications de LA LAISSER EN VIE.
Elle serait morte dans une petite chambre, un studio.
17, comme “Allo, police-secours” ?
Existerait-il un enregistrement audio d’un appel à l’aide d’une jeune femme juste avant sa mort en septembre 2012 ?
C’est juste une hypothèse en espérant que les preuves existantes aient été conservées dans un pays, la France, où l’archivage des données est de plus en plus restreint.
Lorsque je “vois” Julie ROUX, je la vois beaucoup plus jeune que ses 43 ans “officiels” à la date de sa “disparition”.
Peut-être parce qu’elle est réellement belle, elle aussi,
et que, dans l’au-delà, le “corps” est un “corps” dit “glorieux”, rajeuni et parfait.
Le Seigneur remercie à nouveau les Gendarmes et les encourage, malgré les pressions qu’ils subissent, à poursuivre leurs investigations.
“La vidéo de l’affaire Maëlys va sortir, affirme le Seigneur.
Quelque part, un individu qui en a été rendu destinataire ne pourra pas longtemps résister à la tentation de “vendre” cette vidéo, le “Mariage de Maëlys” “sous le manteau” dans des sex-shops qui ont pour vitrines des pratiques “normales” entre adultes consentants mais qui ont pour arrière-boutique des salles de “shoot” (?) avec des snuff-movies dont les images devraient faire vomir ses tripes à n’importe quel être humain “normalement” constitué.
Il faut retrouver cette vidéo, la signature du crime.”
Le Seigneur me demande de mettre “l’audition” complète de Maëlys sur sa “nuit de noces”, “Las Bodas de Sangre”, maintenant qu’il est enfin confirmé ce qu’Allison BENITEZ, la première, avait dit sur l’existence de cette vidéo, Allison qui est devenue l’ange gardien de Maëlys.
Cette révélation avait été publiée sur ce blog ainsi que d’autres indices fournis par Allison BENITEZ qui considère que Nordahl LELANDAIS a le profil d’un serial killer comme son père qui était militaire, ce qui s’est avéré exact puisque Nordahl LELANDAIS est un ancien militaire. Vous pouvez relire, pour le vérifier, mes publications sur l’affaire Maëlys.
– “Nordahl LELANDAIS aime à se filmer en pleine action “érotique”,
[pas “héroïque”, oups ! Erreur d'”audition”, de pas “clair-audience”, pardon, Allison !],
comme un acteur, se voyant célèbre, déjà en haut de l’affiche”,
mais pas forcément comme “le” producteur qui commandite les actes du tueur .”
Ce goût pour la scénographie macabre montre la “monstruosité” (- “monstruosité”, étymologiquement “fait qui se voit bien”) d’un homme froid, un voyeur de la mort, addict aux émotions fortes et aux émissions “gore”, capable de se filmer en train de commettre ses propres crimes.
[Many believe that Jimmy Savile was just the tip of the iceberg… It is now well-known that highly organised, criminal paedophile rings have carried on with their sordid trade outside of the law for decades in Britain and Europe, but the full extent of their activities has still yet to be uncovered – partly due to the high-ranking names involved in this sordid underworld. No one knows just how far and wide these organised rings stretch, and what is the exact extent of their criminal activity. Beyond the ritual and sadomasochistic abuse, the lowest rung of this evil ladder is said to be the “snuff film” business, where paedophile network members capture their horrific fetishes on film or tape, before selling them through a lucrative distribution black market catering to wealthy network members around the globe – with a well-established customer base in the US, Italy, among others.]
(21stcenturywire)
[Cette PARTIE a été VOLONTAIREMENT BROUILLE par “BIG BROTHER”.
La superposition des textes, lors de la publication de l’article, rend ILLISIBLE cette partie de l’article qui vous aurait permis de trouver des liens “gênants”,
gênants pour ceux qui CENSURENT techniquement, sans assumer cette CENSURE indirecte,
ces informations données contre des réseaux pédophiles.
A vous d’en déduire la position actuelle des “gardiens de l’a-morale” en France.
J’aurais voulu techniquement superposer deux textes que je n’aurais pas pu le faire.
Vous retrouvez sur d’autres blogs luttant contre la pédophilie ces “stratagèmes” visant à rendre ILLISIBLE un article.
Par exemple, le blog francophone d’une avocate marocaine exposant des affaires “sensibles” sur la pédophilie est devenu une suite d’articles comprimés dans une colonne unique de cinq centimètres de large
avec la même technique de SUPERPOSITION de textes qui brouille la lecture,
à tel point que, par endroits, certaines parties sont “noircies”.
Evidemment, quand les éditeurs de blogs protestent, la faute est rejetée sur les auteurs et leur “incapacité” à présenter correctement leur article.
Prouvez-moi qu’un blogger peut publier des lignes de texte superposées les unes sur les autres,
et j’assumerais la faute que je n’ai pas commise !
Quel intérêt, pour le blogger, de rendre illisible un article publié sur son propre blog ?
Le Seigneur me demande ensuite de faire entendre la voix d’Allison pour communiquer ce qu’elle vous dit avec un certain humour noir, déclaration que je n’avais pas publiée encore,
– et ce, pour mettre fin à la défense impossible d’un criminel qui se présente toujours comme étant une “victime”…
LA victime…
de “lui-même” ? .:
– “C’est vraiment pas de chance pour Nordahl LELANDAIS, le mâl(e)chanceux ! Dit Allison [BENITEZ].
Chaque fois qu’il prend un passager ou une passagère en stop dans sa voiture, pour lui rendre service, celui-ci ou celle-là décède !
Décidément et définitivement il y a des permis de conduire qui devraient être enlevés à certains conducteurs de voitures, des conducteurs de “corbillards !“, ajoute l’éternelle jeune fille devenue une reine de beauté et de bonté, l’ange gardien de Maëlys.
Allison demande une reconstitution judiciaire pour le coup de poing fatal donné par Nordahl LELANDAIS qui aurait tué “accidentellement” Maëlys.
“Comment Nordahl LELANDAIS, le conducteur, a-t-il pu donner un coup de poing mortel à Maëlys, la petite fille assise à la place avant du passager,
à la “place du mort” ?”, ironise Allison.
En effet, frapper LATERALEMENT avec son poing (lequel, le droit ou le gauche ?) quand on est assis, le buste raide, coincé sur un siège devant un volant de voiture qui limite l’amplitude de vos gestes, même à l’arrêt, ce n’est pas facile.
S’ajoute la différence de taille entre la petite fille et son tueur qui, pour Allison, rend encore plus difficile le fait de cogner latéralement le visage de Maëlys, tout en conduisant.
La reconstitution du crime devrait permettre de vérifier s’il est “facile” et surtout “naturel”,
spontané puisque prétendument accidentel,
de tuer d’un coup de poing involontaire son passager ou sa passagère assis-e à l’avant d’une voiture , si l’on conduit ce véhicule.
L’angle du ou des coup-s porté-s sur la mâchoire de Maëlys devrait permettre de prouver ou pas le mensonge de Nordahl LELANDAIS
selon qu’il soit droitier ou gaucher.
Il est important de savoir aussi si Nordahl LELANDAIS prétendait conduire “en même temps” qu’il tuait la petite fille dans un accès de rage, pour plagier un certain Emmanuel MACRON
et toujours “accidentellement” selon les déclarations du dealer pédophile.
Allison, elle, se contente de souligner que le dealer pédophile n’a vraiment pas de chance puisque ses passagers meurent tous “accidentellement”.
– Pourquoi mon silence après les avertissements d’Allison et de Maëlys déjà publiés sur ce blog “Dèu vos guard”
avertissements de Maëlys et d’Allison
sur les blocages futurs d’une instruction en cours
et les fortes pressions qu’allaient subir les Gendarmes enquêteurs pour ne pas ouvrir d'”autres portes”,
sur d’autres “disparitions de personnes mineures ou majeures”
qui prouveraient que Nordahl LELANDAIS est un “serial killer” ?
Il y a un chemin qui mène à une affaire, l’affaire Maëlys, et un chemin qui conduit à bien d’autres affaires dont les cadavres sont déjà enterrés dans des placards judiciaires.
Il ne faut pas que l’enterrement de Maëlys devienne l’enterrement de l’affaire Maëlys et d’autres victimes non encore connues.
Mais il faut RESPECTER le chagrin d’une famille
et vu le succès de mes articles sur l’affaire Maëlys,
– j’ai “lâché prise” car je me refuse à EXPLOITER un DRAME pour me faire de la publicité,
alors que la maman et le papa de Maëlys devaient conduire leur petite fille, leur enfant, dans une “tombe”, un “trou”.
Il y a des douleurs qui méritent le SILENCE,
– le temps que le “trou” devienne un “couloir”,
un “couloir” de lumière vers le Seigneur.
[Je préfère l’image du “couloir” à celle du “tunnel” puisque j’ai rencontré le CHRIST, l'”Etre de Lumière”, dans un couloir, une nuit, où j’allais simplement au “petit coin”, pause technique.]
– Non, Maëlys n’est pas morte.
Neuf mois d’attente, le temps d’un accouchement, le temps de donner la vie à son enfant,
et neuf mois de plus, le temps d’une mort, le temps d’apprendre qu’un autre vous a pris la vie de votre enfant !
Mais il fallait la pleurer, lui faire savoir qu’elle est aimée, désespérément et douloureusement aimée par sa famille, ses proches
– ainsi que par toutes celles et tous ceux qui suivent “le chemin de la Vérité” sur cette affaire qui risque d’en révéler bien d’autres.
J’ai failli rompre mon voeu de silence,
voeu de me taire jusqu’à l’enterrement
– quand j’ai reçu Maëlys presqu’en larmes, des larmes de révolte et de honte
parce qu’un imbécile qui voulait se rendre intéressant l’insultait
et avait pris la défense de Nordahl LELANDAIS sur les réseaux sociaux,
en approuvant le meurtre de l’enfant sous le prétexte “fou” qu’elle aurait été laide.
– Alors, sache Maëlys, – je te l’ai dit et redit comme je te le redis encore !, que :
“Tu es jolie comme un coeur, mon coeur, et la preuve en est, ta nouvelle grande soeur, Allison, est une reine de beauté immortelle !
Comme elle, Allison, tu aurais pu le devenir, Maëlys, une reine de beauté,
– toi, ce petit “garçon manqué”, comme on dit,
“garçon manqué” mais petite fille très réussie et si belle !
Les moqueries sur le physique des filles sont la revanche des idiots et, pour tout te dire, Maëlys,
– les garçons sont bien souvent plus idiots que les filles, ma chérie.
Quand ils ne peuvent pas “avoir” une fille, ils disent qu’elle est moche
ou que c’est une pute !,
– alors que ce sont eux qui souillent le corps des filles avec leurs désirs impurs.
Ce sont les garçons les plus frustrés, – les mal baisés et les salauds -, qui se comportent ainsi envers les filles et qui parlent MAL des filles pour se venger de ne pas pouvoir les tuer,
eux qui auraient tellement voulu les violer !
Alors ces garçons les “tuent” symboliquement, les filles, en les traitant de tous les noms, en les traînant dans la boue,
eux qui n’ont pas d’honneur ni de valeurs.
La fille harcelée, la petite fille insultée, c’est l’innocence tuée par un garçon frustré et aigri, un homme malade mental.”
Il fallait que je l’écrive PUBLIQUEMENT pour venger l’honneur de Maëlys contre tous les autres cons, nés cons d’un con, qui voudraient faire du MAL à une autre fille, à une autre petite fille.
Maintenant je vais LIVRER, comme dans un “Livre”, le “Livre de la Vie”, les révélations, toutes les révélations communiquées par Maëlys sur sa “nuit de noces“, la nuit de sa mort, “Las Bodas de Sangre“.
Maëlys m’avait reproché de ne pas l’avoir fait.
Le temps est venu, maintenant que nous savons que Nordahl LELANDAIS “a répété” la scène de l’agression sexuelle dans la semaine précédant l’enlèvement de Maëlys avec une autre petite fille, sa cousine, comme un metteur en scène l’aurait fait.
Car Maëlys a toujours affirmé qu’il y avait eu PREMEDITATION de la part du dealer pédophile et que Nordahl LELANDAIS l’avait repérée, bien avant son intrusion à la cérémonie et fête du mariage, s’imposant au repas de noces sans qu’il y ait été invité officiellement.
Ce point est très important car il explique que cette préméditation a permis à Nordahl LELANDAIS de préparer la scène du crime, là où devait se jouer la “Nuit des Noces” qui fut sanglante, en ayant mis à sa disposition de quoi FILMER dans une pièce prévue à cet effet.
N’oubliez pas qu’Allison BENITEZ m’avait donné cette information très importante d’une vidéo qu’il fallait rechercher :
– “CHERCHEZ CETTE VIDEO qui était, qui est une “snuff-movie” et qui devait être VENDUE comme telle par Nordahl LELANDAIS, le pédophile, avec pour titre, “le Mariage de Maëlys” et sa “Nuit de Noces”.
La vidéo porte le prénom de “Maëlys”, la petite fille disparue, parce que c’est un élément “publicitaire” vendeur, un indicateur de valeur pour la “snuff-movie“,
la preuve que ce meurtre est REEL
pour les autres pervers qui se délectent avec ces mises à mort d’enfants disparus, enlevés ou “achetés” à des familles pauvres dans le tiers-monde ou dans notre quart-monde en France, “précise Allison.
– “Au fait, demande Allison, à brûle-pourpoint, qui souhaite que Nordahl LELANDAIS brûle en Enfer comme son père,
– qui PAIE les honoraires du très cher Alain JAKUBOWICZ,
l’avocat très connu, trop connu,
ex-Président de la LICRA
qui a démissionné de son mandat présidentiel pour aller défendre le pédophile Nordahl LELANDAIS ?
Il n’y a eu aucune réponse à la question aussi et déjà posée à cet avocat par une journaliste télévisée, Ruth ELKRIEF, – à savoir qui payait ses honoraires.
L’avocat célèbre, Alain JAKUBOWICZ, s’est dérobé à la question légitime de savoir qui payait ses honoraires.
Le “Maître” a esquivé le coup porté
qui aurait pu lui être fatal, sans doute,
vu son absence de réponse !
Allison BENITEZ ayant auparavant attiré mon attention sur ce point (interrogation d’Allison publiée sur ce blog avant l’interview d’Alain JAKUBOWICZ par Ruth ELKRIEF), moi, je n’ai pas oublié que la question de la courageuse et intelligente Ruth ELKRIEF est restée sans réponse à ce jour.
Nous ignorons tous, famille de Maëlys comprise, qui paie les honoraires du très cher Alain JAKUBOWICZ pour la défense du dealer et désormais confirmé pédophile Nordahl LELANDAIS.
– Est-ce normal ?
Dans une affaire où il n’est pas interdit de penser qu’il y a eu des “protections” institutionnelles au vu
des pressions subies par les Gendarmes,
des menaces exercées contre eux avec abus de pouvoir matérialisé par l’intervention de l’IGPN (Inspection Générale de la Police Nationale) “incompétente” dans ce champ de compétence, la Gendarmerie,
et enfin, par le peu d’empressement du pouvoir judiciaire à ré-ouvrir d’autres affaires de disparitions de personnes majeures ou mineures
puis à ne pas ré-enquêter, parfois même, ne pas vouloir débuter des enquêtes qui n’ont pas eu lieu… du tout, JAMAIS,
– la question de savoir qui paie les honoraires de Maître Alain JAKUBOWICZ, très cher avocat lyonnais peu connu pour travailler bénévolement,
Déclaration de Maëlys que j’avais VOLONTAIREMENT censurée, malgré la volonté contraire de Maëlys, lors de la publication de mon article affirmant l’existence d’une vidéo (lien que je mettrais en ligne, pour preuve de l’annonce antérieure de l’existence d’une vidéo faite par Allison BENITEZ comme d’habitude) :
[Attention, ce que je vais écrire risque de “choquer”.
C’est triste, l’exécution d’une enfant et c’est sordide, l’assassinat d’un-e enfant pour le plaisir de quelques adultes corrompus.]
A la demande de Maëlys : “Estelle MOUZIN – Affaire FOURNIRET”
Pour Estelle !
Maëlys dit :
[si je ne suis pas folle, moi, la médium malgré moi]
– “Ils avaient fini de jouer avec moi, alors ils ont voulu me faire mourir.”
Moi : – “Dois-je comprendre Maëlys qu’ils t’ont dit qu’ils allaient te tuer ?”
– “Oui”, répond Maëlys.
[Si c’est vrai, il y aurait eu un plaisir sadique à faire peur à la petite fille, à lui faire savoir qu’elle allait mourir pour jouïr de sa peur.]
Et c’est là que Maëlys s’est sentie trahie, “sale”, me dit-elle, et abandonnée, toute seule, seule au monde et sans ses parents pour la protéger.
“Sale”, se sentir salie, avilie par les mains de l’homme sur elle.
Mais l’adjectif de la petite fille, de la “petite Princesse”, c’est “sale”.
L’homme qui devait la protéger, son “premier et dernier amour, un amour d’homme, n’a rien fait pour la défendre.
C’était un jeu, mais ce n’était plus le même jeu.
Elle était devenue une proie, comme un “petit animal”, et elle devait courir.
Sinon elle allait mourir.
Je n’arrive pas à déterminer combien de temps ce “jeu” sadique a duré, ni où le situer dans le temps,
un jour, une nuit, deux jours ?
Maëlys ne sait pas.
Elle me répond comme me répondrait tout-e enfant,
– “Il n’y avait pas l’heure !”
Et elle m’envoie l’image d’une pendule ou d’une grosse montre qui lui aurait permis d’avoir l’heure et qu’il n’y avait pas dans la maison.
Là où elle se trouvait, il lui était impossible de savoir quelle heure il était.
Tout ce qu’elle sait, c’est que, par moments, elle avait faim.
Donc il devait être, des fois, l’heure de manger.
Mais quand ?
Maëlys me montre une autre scène.
Elle est assise sur une chaise ou sur le bord d’un lit, je ne sais pas.
Je la vois de biais.
Un homme lui saisit le bras pour l’obliger à se mettre à genoux.
Elle refuse car l’homme souhaite,
veut
– ce qu’il appelle “une friandise”.
Maëlys n’est absolument pas tentée par cette “friandise”.
L’homme dont je ne vois pas le visage la tire vers lui brutalement pour qu’elle tombe par terre, à genoux.
Maëlys se raccroche au bord du lit
[Donc c’était un lit]
– et tombe, non pas à genoux, mais mal assise sur son derrière, à terre, en criant et en se débattant,
et en tentant de protéger sa bouche de tout contact avec “l’objet de convoitise”.
Elle tourne la tête, dégoûtée par ce qu’elle voit de l’homme, à hauteur de son visage.
L’homme, frustré et en colère, lève alors la main
et son poing s’abat sur le côté du visage de l’enfant,
pour l’obliger à incliner davantage la tête vers “l’objet” .
Maëlys a si mal qu’elle perd conscience ou tout comme.
Car, en fait, elle a encore un peu conscience, à cause de la douleur si vive qui la maintient éveillée.
Mais elle préfère faire comme si elle était morte.
Elle se dit que, si elle fait la morte, l’homme la laissera tranquille.
Elle se retient de hurler tant elle a mal.
Elle a trop peur que l’homme n’en profite pour recommencer à vouloir d’elle ce qu’elle ne veut pas lui donner,
sa “sucrerie”, une “sucette”.
[Vocabulaire employé qui m’est envoyé tel que.]
Maëlys ne peut se défendre contre cet homme qui est devenu comme fou.
J’entends, elle me fait entendre la voix du violeur qui dit :
– “Filme, mais filme p..t.in !”
Ce qui confirmerait l’existence d’une vidéo.
La petite fille est choquée par le terme “p.t.in” qui résonne dans sa tête comme une triste vérité sur elle.
Elle sait ce qu’est une “p.t.in” (?).
L’homme qui l’a frappée s’adresse à quelqu’un d’autre qui doit filmer et le presse de le faire.
Il veut en finir !
Or je rappelle qu’Allison BENITEZ, la victime d’un autre meurtrier, lui aussi un ancien militaire, a toujours affirmé qu’il y avait une vidéo sur la mise à mort de Maëlys,
un “snuff-movie”
que le pédophile voulait vendre sur les réseaux spécialisés en pédopornographie.
Maëlys confirme l’existence de cette vidéo.
Pour elle, c’était une sorte de “sex-tape” pour filmer la nuit de ses noces.
Elle me dit qu’elle avait été d’accord pour filmer sa nuit de noces avec Nordhal LELANDAIS,
à condition que cette vidéo reste un secret entre elle et son “Prince Charmant”.
Il lui avait dit qu’ensuite, elle pourrait revoir autant de fois qu’elle le voudrait,
la vidéo de cette nuit de noces,
et même la montrer à ses petites copines, si elles ne la croyaient pas.
Maëlys ne souhaite pas qu’on retrouve cette vidéo.
Elle a honte !
Cette “nuit de noces”, c’était, pour elle, “caca, pipi”, se toucher le sexe, sous prétexte de caresses, et se faire mal, en disant que c’était du plaisir.
Mais non, ce n’était pas du plaisir.
Maëlys veut que toutes les petites filles le sachent !
Ce qu’un homme adulte appelle faire l’amour,
c’est juste se toucher les fesses
et s’enfoncer le doigt là où ça fait mal et d’autres choses encore dans le sexe.
C’est juste dégoûtant et douloureux.
– Même au derrière !
Maëlys a du mal encore, un mal physique, en elle,
et un autre mal, une honte qui lui colle à la peau,
même dans l’au-delà,
même si elle n’a plus de corps,
comme des salissures qui ne partent pas et qui lui collent à l’âme.
Et après, il y a eu l’autre qui voulait “jouer” aussi avec Maëlys.
[J’arrête la “prise de notes”.
– Donc ils étaient deux, Maëlys ?]
Maëlys ne sait pas, ne sait plus.
Elle avait fermé les yeux quand il(s) la touchai(en)t.
Elle ne voulait pas savoir.
Elle pensait que plus vite il(s) ferai(en)t d’elle ce qu’il(s) voulai(en)t, plus vite elle partirait.
Ou elle sortirait.
Elle ne pensait pas mourir.
Car Maëlys ne voulait pas mourir,
même si elle se disait qu’elle ne pourrait jamais expliquer à ses parents ce qu’elle avait vécu
et pourquoi elle avait si honte !
– Si honte d’elle, d’être une fille,
parce que, être une fille avec des hommes comme ça,
c’était juste être comme un morceau de bidoche
qu’il(s) tripotai(en)t comme des chiens jouant avec leur nourriture.]
FIN DE LA PARTIE QUE J’AVAIS CENSUREE DANS LA DECLARATION ANTERIEURE DE MAELYS.
J’ai oublié d’expliquer ce que j’ai “reçu” hier, occupée à illustrer l’article pour lui donner une forme plus agréable à lire, malgré la CENSURE indirecte.
Allison s’est indignée et amusée, tout à la fois, de la stupidité des arguments avancés par la défense de Nordahl LELANDAIS pour l’innocenter
arguments repris par les médias sans aucun esprit critique !
Ainsi, le fait que les vêtements retrouvés près du cadavre de Maëlys et portés par la petite fille lors de son enlèvement soient indemnes de toute trace ADN, donc de sperme,
– ce fait prouverait que Maëlys n’a pas été violée
et non pas que les vêtements aient pu être lavés au moment de leur dépôt autour du cadavre,
sachant que Nordahl LELANDAIS est un maniaque de la “propreté” post-crime
le nettoyage de sa voiture ayant prouvé qu’il avait tout fait pour effacer les traces du transport de Maëlys dans ce véhicule.
Or, c’est Allison qui m’a rappelé ce que le Seigneur avait voulu que j’écrive deux mois avant que Nordahl LELANDAIS conduise les enquêteurs à l’endroit où il avait “éparpillé” le cadavre de la fillette et ses vêtements :
le Seigneur m’avait demandé d’écrire que :
le corps de Maëlys serait bientôt retrouvé, dans deux ou trois mois [fait de voyance vérifié],
parce que, sans cadavre, et vu l’obstination des Gendarmes à rechercher la fillette,
ceux qui protègent leur “rabatteur” avaient peur que ces investigations ne finissent par les “mettre en difficulté”, “à découvert”.
Il fallait donc “sacrifier” le rabatteur et en faire un “tueur isolé”, un grand classique français.
“Dans ce cas, interroge Allison, n’est-il pas “normal”, logique du moins,
-une logique criminelle,
que les pièces à conviction retrouvées près du cadavre de Maëlys vers lequel Nordahl LELANDAIS a conduit lui-même les Gendarmes et les juges d’instruction,
que ces vêtements, principales pièces à conviction, comme “par hasard”, INNOCENTENT le dealer pédophile de toute suspicion de viol
puisqu’il NIAIT à ce moment-là être ce qu’il est,
un PEDOPHILE, c’est à dire un VIOLEUR d’ENFANTS.
Si vous vous débarrassez, dans la nature, du cadavre d’une victime, femme ou fillette, entièrement DENUDE,
est-il logique, oui ou non, de vous embarrasser des vêtements de cette personne pour les déposer auprès du cadavre,
sachant que vous avez réussi à faire disparaître votre propre bermuda,
pièce à conviction autrement COMPROMETTANTE,
puisque ce short, “sali par du vin” (!), qui aurait été jeté dans une poubelle
n’a jamais été retrouvé, lui.
Aveu tardif – Vrai, faux : – La scène du crime serait la voiture, selon les déclarations de Nordahl LELANDAIS.
Et Nordahl LELANDAIS serait REVENU sur les lieux de l’enlèvement, la salle des Fêtes,
avec “l’objet principal du crime”, sa voiture qu’il n’avait pas encore lavée,
alors qu’il venait de tuer la fillette ?
-Qu’un tueur transporte un cadavre qui saigne encore dans une voiture ne signifie absolument pas que la victime du tueur ait été tuée dans la voiture !
Mais le faire croire aux enquêteurs permettrait d’échapper à l’accusation de préméditation et d’éviter que d’autres preuves compromettantes soient retrouvées sur le VRAI lieu du crime,
comme une vidéo, genre “snuff-movie”, qui rapportera beaucoup d’argent à celui qui réussira à la vendre sur les réseaux pédophiles du DarkWeb ou par tout autre moyen de diffusion.
Pourquoi jeter le short et pas les vêtements de la fillette ?
-“Voilà un criminel, dit Allison, qui a su faire disparaître son short ou bermuda sans que JAMAIS les enquêteurs ne puissent le retrouver
et qui dispose ensuite PRECAUTIONNEUSEMENT les vêtements de Maëlys, alors dénudée, autour de son cadavre,
-[lui ou un complice, ce qui n’est pas à exclure…]
dans une mise en scène qui l’INNOCENTE, lui, Nordahl LELANDAIS,
de l’inculpation de viol ou d’agression sexuelle
parce que les sous-vêtements et vêtements sont “propres”, exempts de toute trace d’ADN ou de sperme, au moment de la découverte du corps.
-“OU EST PASSE LE BERMUDA DE NORDAHL LELANDAIS ?“, vous demande Allison, l’ange-gardien de Maëlys.
La conviction d’Allison BENITEZ, elle-même victime d’un “animal à sang-froid” (sic) qui avait su faire disparaître des preuves compromettantes contre lui, jusqu’aux corps de ses victimes, c’est que :
ce n’est pas “par hasard” si Nordahl LELANDAIS a laissé “sur place” des vêtements de la fillette “propres“
autour du cadavre de Maëlys.
– “Vous arrive-t-il parfois de réfléchir ?, demande Allison aux journalistes,
ou êtes-vous de connivence avec l’avocat de Nordahl LELANDAIS,
Maître, (Grand-)Maître, de la Loge des défenseurs de pédophiles ?”
[L’avertissement de redirection vers un autre site qui peut apparaître sur cette page est de la CENSURE indirecte. Cette redirection n’est pas voulue par moi. Merci de ne pas tomber dans le piège de “Big Brother” !]
Un singe en été, c’est quand même mieux qu'”Un singe en hiver” !
[- “Si je buvais MOINS, je serai un autre HOMME. Et j’y tiens PAS.”]
– Car je m’appellerais pas “COLUCHE” !
Bon, alors, démonstration :
Y’avait une fois, une fois de trop !, un pays où vivaient des babouins.
Quoi encore ?
Faut plus dire que les babouins, ça existe ?
Si, Môssieur !
Les babouins, ça vit dans des pays de riches, pas n’importe lesquels, d’abord.
Par exemple, des pays qui se trouvent dans la péninsule arabique.
Ou en Afrique Subsaharienne… Là, y sont plus pauvres, les babouins !
Pass’qu’y z’ont pas d’pétrole
et pas non plus trop d’idées !
Sinon y s’raient pas restés à l’état de babouins, les babouins, s’y z’avaient inventé la voiture qui roule au pétrole…, ça s’saurait, hein ?
Ce sont des hommes occidentaux qui ont inventé la voiture qui roule au pétrole, alors qu’y z’en avait pas, du pétrole !
La preuve qu’y sont encore plus cons que les babouins !
Tu vois, dans les années 70, même, pour tout te dire, en 1973/1974 pour être plus précis, années du premier choc pétrolier, on disait :
– “Les Français, y z’ont pas de pétrole, mais y z’ont des idées !”
Seulement voilà, les idées des Français servent à faire rouler les z’autres, avec la fuite des cerveaux de France hors de France et le vol des brevets des inventeurs français par des récupérateurs généralement anglo-saxons.
Au 31 décembre 2011, 1,6 million de français inscrits au registre officiel vivaient à l’étranger ; en 20 ans ce chiffre a quasiment doublé.
[Depuis le premier choc pétrolier de 1973, le slogan officiel national est que « la France n’a pas de pétrole mais elle a des idées ». Le problème majeur est que nos idées sont en grande partie développées et exploitées à l”étranger (soit par des français expatriés, soit par des concurrents étrangers) donnant naissance à des produits, des services voire des industries qui vont devenir nos plus redoutables concurrents. Ce mouvement est entretenu par la fuite des cerveaux, la diminution des dépôts de brevets français et la création de start-up françaises à l’étranger,notamment à la Silicon Valley.
Ce processus ne date pas d’aujourd’hui. La première machine à vapeur a été mise au point par le français Denis Papin, mais c’est l’écossais James Watt (1736-1819) qui déposa le brevet, lançant la révolution industrielle en Angleterre. Les Frères Lumières ont mis au point, à la fin du XIX° siècle, le procédé cinématographique, mais l’industrie du cinéma est née à Hollywood. Dans les années 60, l’entreprise française BULL était parmi les premières sociétés en pointe dans le secteur informatique mais la France est passée à côté de la nouvelle économie. C’est une des manifestations du « paradoxe français ».
Et cette situation est sans doute liée à la prise de conscience tardive de la nécessité de sensibiliser les acteurs économiques du pays (entreprises, universités, laboratoires de recherche, collectivités locales, Etat) aux pratiques d’intelligence économique (lobbies, réseau, renseignement, secret, espionnage) mises en oeuvre, depuis les années 70, par les japonais, les américains puis, plus récemment, les chinois. Pendant que les universités américaines ou chinoises sélectionnent scrupuleusement, et surveillent, aussi les étudiants en provenance de pays concurrents, nous finançons, au nom du social, les études d’étudiants étrangers dont certains n’ont pas toujours des intentions « pacifiques ». […]]
Oui, mon Général, les plus grands voleurs d’idées sur cette terre, ce sont pas les babouins, mais les Amerloques !
Pourquoi ?
Bah, d’abord, pass’que les babouins y sauraient pas trop quoi en faire !
Y faut déjà savoir lire et écrire le français pour être un savant français et, accessoirement, savoir compter sur ses dix doigts, pas des doigts de babouins, même si, chez le babouin, le pouce est opposable aux autres doigts de la main comme chez les hominidés.
Mais bon, soyez pas racistes avec les babouins qui vivent dans la Péninsule arabique et dans l’Afrique subsaharienne de préférence !
Besoin d’un gros câlin ?
Après tout, l’homme descend du singe et ça a été prouvé,
même s il manque le fameux chaînon pour le prouver.
Comme quoi l’esclavage mène à tout, à condition d’en sortir debout, en marchant sur ses deux pattes arrière plutôt que sur ses quatre pattes par terre.
La preuve, c’est qu’aujourd’hui, à cause de votre esclavage politique, ce sont les “Marche debout” qui gouvernent la France !
Pourtant, moi, je vais vous prouver que je l’ai trouvé, le chaînon manquant.
C’est le cousin babouin, hein mon cousin ?!, qu’est le chaînon manquant.
Pour ça, y faut connaître les moeurs et coutumes des babouins du désert d’Arabie et de l’Afrique aride subsaharienne.
C’qui explique qu’y soient mieux chez nous que chez eux, les babouins !
Ou qu’y z’envahissent d’autres pays, comme y z’ont envahi l’Inde devenue, pour une partie, le Pakistan, et ainsi de suite… même si, ces singes métèques, y s’font passer pour leurs cousins et qu’y s’font appeler les Macaques en Inde pour pas qu’on les reconnaisse.
Sauf que c’est du pareil au même, ou quasiment, sous le masque,
être un métèque macaque ou un babouin solaire,
à une différence près, le harem.
– Mais si, c ‘est ethnologique, mon beau, le harem !
Quoi, tu veux faire passer Véro au Tribunal pass’qu’elle t’explique par mon intermédiaire les moeurs des singes babouins de la Péninsule arabique et de l’Afrique subsaharienne ?
– Ecoute, Ducon, si t’es pas content, c’est qu’tu reconnais qu’tu descends du singe !
Y’a qu’la vérité qui fâche !
Alors, si tu veux mon avis, c’est pas le scoop scientifique du siècle, qu’tu descendes du singe,
pass’qu’on descend tous du singe, Ducon.
Moi d’abord, moi aussi !
Mais nous, les singes d’Europe, ça fait bien longtemps qu’on a fini de grimper aux arbres.
C’est pour ça qu’on les descend tous, les arbres !
C’est pass’que ça nous rappelle cette époque préhistorique où on était aussi des singes, époque dont on n’est pas tant fiers que ça !
On veut dissimuler nos origines simiesques, alors on prend des mesures grotesques.
On leur coupe la futaie, aux arbres !
Comme ça, y z’ont l’air moins futé, les arbres.
Et nous, on passe pour c’qu’on est, pour de vrai, de vrais cons !
Oui, nous, on devient les rois !, les rois des cons.
Mais les Français sont devenus les rois des rase-mottes avec port de menottes garanti pour toutes celles et pour tous ceux qu’oseraient dépasser d’une tête les têtes de cons qui les gouvernent !
Plus t’es con, moins tu supportes de voir qu’y en a un à côté de toi qui te dépasse d’une tête ou d’un cerveau !
Faut être aussi cons qu’eux si on veut rester dans la profession… leur profession de foi.
Donc j’vais te parler des moeurs et coutumes des babouins.
Et si tu trouves que les hommes, y ressemblent aux singes, t’étonne pas !
C’est déjà prouvé scientifiquement que l’on partage 93 % de nos gènes avec nos cousins, les babouins.
Allez, petite leçon d’ethnologie, ou plutôt d’éthologie piss’qu’on s’croit supérieurs aux z’autres, les z’autres singes qui sont pas encore tout à fait descendus de leur arbre, eux.
Mais qui font partie de notre arbre, l’arbre généalogique humain.
L’éthologie désigne l’étude scientifique du comportement des espèces animales, incluant l’humain, dans leur milieu naturel ou dans un environnement expérimental, à travers des méthodes biologiques précises d’observation et de quantification des comportements animaux.
Les Babouins (Papio) forment un genre de singes cynocéphales de la famille des cercopithécidés répandus en Afrique subsaharienne et au sud de la péninsule Arabique.
[…]
Vie sociale
[…]
Comme beaucoup de primates, les babouins vivent en bandes organisées.
[Le code pénal français définit la circonstance de “bande organisée” comme tout groupement formé ou toute entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d’une ou plusieurs infractions (article 132-71 du code pénal). Cette circonstance a pour conséquence d’aggraver les peines encourues, sauf pour les babouins dont il est admis qu’ils constituent une exception culturelle piss’qu’y sont pas considérés comme les égaux des hominidés.]
Le babouin ne se sent en sécurité qu’à l’intérieur de cette bande, dominée par quelques mâles puissants qui en assurent la défense ; ils sont aussi chargés de faire la paix à l’occasion de querelles intestines.
[…]
L’espérance de vie avoisine les 20 ans, mais le double peut être atteint en captivité.
L’enclos des babouins au Zoo de Vincennes, d’où y s’sont enfuis le 26 janvier 2018 !
[Comme quoi, la captivité sied mieux aux babouins que le régime de la liberté conditionnelle, même en semi-liberté !
Laissez les babouins dans les zoos, les zozos !]
[…]
La structure des groupes est très variable au sein de l’espèce hamadryas et des espèces proches (parfois collectivement dénommés « babouins de savane »). Les babouins hamadryas vivent en grands groupes comprenant plusieurs petits harems (un mâle pour environ 4 femelles).
[Le hasard veut qu’on retrouve ce chiffre, pas plus de quatre femelles pour un mâle, dans un livre qu’a été écrit dans la Péninsule arabique.
Comme quoi, c’est pas toujours le singe qui copie l’homme piss’que l’homme peut copier le singe !]
Les femelles intègrent le harem avant leur maturité sexuelle. Les groupes intègrent aussi de jeunes mâles, écartés de la reproduction tant que le mâle dominant est présent dans le groupe.
[Eh oui, la polygamie, c’est pas une invention humaine, mais un régime patriarcal inventé par les babouins hamadryas !
De là à prétendre que c’est une avancée sociologique pour les guenons, pourquoi pas ?
Pour les femmes, femelles de notre espèce, j’en suis moins convaincu, surtout si l’homme a fini de descendre de l’arbre d’où y descend d’son singe, son ancêtre “pas fini”, lui.
Tu sais, le fameux “chaînon manquant” !
On notera que, pour l’homme polygame comme pour le babouin, vaut mieux qu’les guenons intègrent le harem avant qu’elles soient en âge de penser et de procréer, pass’qu’après, p’t’êtr’bien qu’elles s’raient plus trop d’accord, hein, pour se marier avec le babouin d’âge mûr ?
Tu me suis, Ducon ?
C’est pour ça qu’y a des babouins qu’épousent des guenons à l’âge de six ans, avant même qu’elles puissent avoir un rapport sexuel.
Futés, les singes qui descendent des futaies !
Par contre, pour les singes qui “marchent debout”,
la femme est une et singulière !
Donc, épousée à l’âge adulte, c’est plus difficile de la convaincre de partager son mâle.
Faut comprendre aussi !
Les “Marche debout”, quand y s’mettent “En Marche”, s’y doivent porter leurs petites guenons, quatre par mâle, y z’iraient pas loin, les singes blancs.
Donc, y préfèrent s’mettre en couple avec une guenon adulte qui marche comme eux et même qui peut les faire courir : – “Plus vite, plus vite !”
C’est connu dans l’espèce humaine que, si tu veux faire marcher un homme et surtout le faire courir, faut lui mettre une femme devant !
“Tête à claques” !
Pourquoi “tête à claques” ?
Lis la suite, Ducon.]
[…]
Dans les harems de babouins hamadryas, les mâles surveillent leurs femelles, au point de les agresser si elles s’éloignent trop. Certains mâles arrivent également à s’approprier des femelles à partir d’autres harems.
Les comportements d’accouplement varient beaucoup en fonction de la structure sociale du groupe. Dans les groupes de babouins de savane, un mâle peut s’accoupler avec n’importe quelle femelle. La priorité d’accès aux femelles est déterminée partiellement par le rang social du mâle. Des combats entre mâles pour l’accès aux femelles peuvent avoir lieu. Il existe néanmoins plusieurs possibilités : certains mâles essayent de s’attirer l’amitié des femelles en les épouillant, les aidant dans les soins aux jeunes ou leur apportant de la nourriture.
Un métier d’homme !
[Les babouins, y l’invitent au resto, la guenon, pour la faire bouffer avant de lui bouffer le Q, un grand classique de la cuisine française.
Ou y deviennent “jeunes gens au pair” pour prendre la femelle du foyer qui les héberge.
C’est d’ailleurs prévu par la nouvelle loi d’immigration, le statut de “jeunes gens au pair” jusqu’à l’âge de trente ans, dis donc !
Pour l’épouillage, bien vouloir voir la partie “nettoyage” du futur contrat d’emploi pour le jeune homme au pair
surtout qu’y a de plus en plus de tics et de puces… électroniques.. dans les foyers français.]
“And the weather here is shit !”
Ouaip, mêm’que c’est un peu c’qu’y pensent les babouins, quand y débarquent en France !
“The weather here is shit !”
Et, en plus, les guenons, leurs cousines françaises, elles sont pas faciles d’approche.
– Non, en fait, c’est pire !
Elles montrent leur derrière comme en période d’oestrus chez les babouines, mais t’as pas le droit de leur mettre la main aux fesses.
L’enfer sur terre, moi j’te dis !
Pour nos cousins mâles, les babouins.
– “C’est quoi, la période d’oestrus ?”, qu’y demande l’autre.
Mais tu connais que dal aux moeurs et coutumes des babouins, toi ?!
Pour le quatrième dessin, et la mention sous astérisque *, “Chez les primates, aucune domination des mâles envers les femelles […], c’est évidemment FAUX pour les babouins de la Péninsule arabique et de l’Afrique Subsaharienne.
[La femelle initie l’accouplement en présentant sa croupe gonflée par l’œstrus au mâle. Néanmoins présenter sa croupe est aussi un signe de soumission et peut-être effectué aussi par les mâles. De faux accouplements entre mâles peuvent également faire suite à ce comportement pour symboliser la dominance.]
[Les babouins, y z’ont tout compris.
Y z’interdisent l’homosexualité pour de vrai et y s’sodomisent pour de faux, même que c’est vrai !
Alors, du moment qu’c’est faux, ça compte pas pour de vrai et y peuvent continuer à s’niquer entre eux, entre mâles… pour se dominer mutuellement.
Accouplement de singes babouins chacma, au Bostwana – Michel & Christine Denis-Huot / Biosphoto
C’est écrit dans leur livre qu’a été écrit dans la Péninsule arabique : – C’est permis de sodomiser un âne, si s’rappelle plus qu’tu l’as niqué, l’âne !
C’est la pratique de la sodomie qui marque pas la mémoire, donc qu’existe plus, mais qui t’nique pour de vrai.
T’as compris, j’espère, l’âne ?
Ce livre t’explique très bien c’que tu peux faire pour de vrai du moment qu’tu dis qu’c’est faux. Mais j’suis pas sûr qu’les babouins, y savent tous lire.
C’est bien la preuve, encore une fois, qu’en plus-se de la polygamie, la “taqiya” a aussi été inventée par les babouins, bien avant les hommes !
Même si eux, y z’ont pas besoin de jurer sur la tête de leur mère qu’y niquent aussi.
Je continue la démonstration scientifique pass’que j’ai peur que tu perdes le fil.]
[Les femelles donnent naissance en moyenne à un petit par an. À la naissance le babouin pèse en moyenne 1 kg et ses poils sont noirs. Les femelles sont les principaux individus à s’occuper des jeunes.
[- “Les guenons à la maison avec la marmaille !”, disent les babouins, eux aussi.
Tu vois, quand j’te disais que les babouins, y z’ont 93 % de gènes en partage avec les “hommes-singes”.
Alors, la femme au foyer avec des mioches, c’est pour te dire combien c’est à la mode chez les babouins d’aujourd’hui et pas tant que ça rétrograde, le plantigrade !
Piss’que des femelles hominidées dites féministes défendent, bec et ongles, cul et nichons, le droit des guenons à n’être plus que des ventres à procréer.
Au nom des Droits de l’Homme !
C’est sûr que c’est pas le droit des femmes, ça, on l’a bien compris.]
[La faune comprend des mammifères comme des loups, des hyènes, des mangoustes, des babouins, des lièvres, des rats des sables et des gerboises. Les plus gros animaux sont les gazelles, les oryx et les léopards qui, relativement nombreux avant les années 1950, sont actuellement des espèces en voie de disparition, à cause de la chasse en véhicules motorisés.]
[…]
[Les animaux domestiques sont les dromadaires, les moutons, les chèvres, les ânes et les poules.]
[Bon, j’vais t’apprendre quèque chose que tu sais pas et qu’explique que les babouins, y soient supérieurs aux hominidés de la Péninsule arabique par leurs capacités et facilités à se lier avec le autres espèces animales : lis, si tu sais lire, hein ?]
[Dans la péninsule arabique, où les chiens et chats vivent à l’écart de la société humaine, un nouveau comportement aurait été observé : les babouins adopteraient des chiens et des chats ].
En Inde aussi, les babouins se prennent d’affection pour les petits des chiens.
Reste à savoir si les babouins de la Péninsule arabique, y sont pas en train aussi de s’occidentaliser ?
Pire de se christianiser ?
Pass’qu’y faut être un “sacré chien” de Chrétien pour vivre avec des chiens et des chats !
Quand babouins, chiens et chats sauvages vivent ensemble
Arte diffuse une série de 3 documentaires de 43 minutes véritablement passionnants sur des cas d’adaptation d’animaux peu communes dans leur milieu naturel, au point que les scientifiques parlent de nouvelle étape de l’évolution en ce qui les concerne.
Le premier épisode, « Quand les babouins adoptent des chiens« , est une ouverture en fanfare puisqu’il décrit une situation extrêmement étonnante et fascinante. En Arabie Saoudite, près de la ville de Taïf, des babouins nourris par les déchets des hommes, ont progressivement intégré des chiens sauvages, pourtant leurs prédateurs naturels, ainsi que des chats. A moins que ce ne soit les chiens et les chats qui aient rejoint la communauté des babouins parce qu’ils en tiraient un avantage… La nouvelle société composée de trois espèces qui d’emblée n’auraient rien à faire ensemble fonctionne à s’y méprendre comme une société humaine, avec ses chiens de garde, ses chiens adoptés…Et ses chats qui peuvent dormir dans la maison du maître tandis que les chiens restent dehors.
Ce documentaire extrêmement étonnant et instructif a été tourné par Jean-François Barthod, spécialiste du film animalier, qui a fait commenter ses images par un primatologue saoudien ainsi qu’un enseignant de l’Ecole Normale Supérieure de Paris, spécialiste de l’intelligence animale.]
[Quand WordPress se permet de remplacer une image par une publicité “Overblog”, malgré “Adblock”, j’aimerais pouvoir donner mon accord, capito ? Du coup, j’ai supprimé la publicité. ]
IMAGE MANQUANTE –
Et les chevaux sont devenus les amis des babouins ! Mais ça, c’est pas nouveau, hein ?
Moi, j’dis que les babouins, y sont plus intelligents qu’les cons d’hominidés qu’ont pas compris qu’les chiens, c’était les gardiens les plus sûrs des hommes, ces descendants des singes qui marchent debout, et les chats, leurs amis les plus étonnants.
Mais revenons à nos moutons,
ceux qu’aiment bien s’faire égorger dans un pays laïque qui prétend ne pas être gouverné par des religieux
et qu’y laissent ses “frères moutons”, comme dirait Frère “Saint” François d’Assise, s’faire égorger
pass’que c’est cultuel, donc culturel
même si c’est délictuel, pour pas dire criminel quand le mouton, c’est toi, Ducon !
Et accessoirement, pass’que, tout simplement, c’est cruel, non ?
Donc parlons des “faux Q”, ceux-là mêmes qui font un procès en discipline et morale à un gendarme pour avoir appelé un chat, un chat, un porc, un porc et un singe hurleur, un singe hurleur.
Même qu’il aurait dénoncé des eaux infestées de crocodiles mangeurs d’hommes !
Enfin, tu sais, Ducon, toutes ces bêtes à quatre pattes ou plus, qu’aiment pas les gendarmes, sauf quand ils veulent en croquer quelques-z-uns.
Là, c’est autorisé par la Nation française du moment qu’y disent pas du mal des gendarmes.
Si, aujourd’hui, t’as le droit de tirer sur un gendarme, mais pas de l’insulter !
[Hier matin, à la caserne Courrege à Toulouse, un hommage a été rendu aux gendarmes morts en service, sous la présidence de Pascal Mailhos, préfet de la région Occitanie, préfet du département de la Haute Garonne et en présence du général, Bernard Clouzot, commandant la région de gendarmerie d’Occitanie et commandant du groupement de la Haute-Garonne.
En 2017, huit gendarmes ont trouvé la mort en accomplissant leur mission dont l’adjoint volontaire Nathan Franchet, 19 ans, du peloton de surveillance et d’intervention gendarmerie de Castres (81), mort en service le 1er décembre 2017.
Pour rappel, en 1993, le ministre de la Défense a décidé d’instaurer une journée nationale d’hommage aux militaires de la gendarmerie décédés dans l’accomplissement de leur devoir. […]]
“Pour rappel, en 1993, le ministre de la Défense a décidé d’instaurer une journée nationale d’hommage aux militaires de la gendarmerie décédés dans l’accomplissement de leur devoir.”
Le Ministre de la Défense ?
Et le Ministre de l’Intérieur ?
Ah oui, lui, y chasse la virgule et les noms d’oiseaux dans les rapports des gendarmes !
Alors on comprend mieux pourquoi, au Ministère de l’Intérieur :
y’a plus du double de gendarmes qui se sont suicidés, soit seize gendarmes qui ont mis fin à leurs missions et leurs vies, chiffre donné par le “Colon” lui-même le 28 octobre 2017,
contre huit gendarmes morts en service, sans le vouloir, pour vous protéger, décès comptabilisés le 16 février 2018 !
Je vais me permettre un raccourci saisissant pour les “fils de la Veuve” qui dirigent ce “ministère de l’in-sécurité” :
Etre gérés par vous, les fils du Docteur GUILLOTIN, c’est pire qu’affronter des délinquants et des criminels sur la voie publique.
Ce sont les chiffres qui parlent d’eux-mêmes !
Le VRAI racisme, il est là, quand la Justice ne fait pas son travail même pour une femme gendarme.
Suicides de policiers et gendarmes: Collomb va recevoir les syndicats
Société
COLLOMB prie pour qu’il y ait un “miracle”,
pour que les Français soient tous des “soumis” !
[Edouard Philippe a annoncé lundi que le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb allait recevoir “l’ensemble des organisations représentatives de forces de l’ordre” à la suite de la vague de suicides ces derniers jours chez les policiers et gendarmes.
“Nous demandons énormément aux policiers, aux gendarmes, aux militaires, énormément”, a souligné le Premier ministre sur France Inter, affirmant qu'”on ne peut pas prendre à la légère” ces suicides.
“Nous en avons discuté” avec Gérard Collomb, a-t-il indiqué. “Il va recevoir l’ensemble des organisations représentatives des forces de l’ordre (…) pour faire le point sur les procédures qui existent, afin de déceler ceux qui, dans une situation de fragilité particulière, pourraient, le cas échéant, décrocher, voire passer à l’acte”.
“Il y a un travail très fin à réaliser, nous allons le faire”, a déclaré Edouard Philippe, affirmant prendre “personnellement très au sérieux ces chiffres et, au-delà de ces chiffres, les réalités individuelles qu’elles représentent”.
Huit membres des forces de l’ordre ont mis fin à leurs jours en une semaine. Ils font partie des 46 policiers et 16 gendarmes qui se sont donnés la mort depuis le début de l’année 2017, selon un décompte initial du ministère de l’Intérieur complété par l’AFP.
En France aujourd’hui, où l’on copie dans la loi républicaine les sourates du livre qu’ont pas lu les babouins, pas encore !,
même si ce livre s’est inspiré de leurs moeurs et coutumes, sauf pour l’adoption des chiens et des chats,
un mot blesse et tue davantage un hominidé qu’une arme blanche ou une arme à feu.
C’est peu dire sur la connerie ambiante de votre siècle !
“Mort aux flics !”, “Mort aux Juifs” contre “singes hurleurs, caïmans et paresseux” :
c’est quoi, le texte le plus violent qui incite à la haine ?
Et même si c’était écrit “Mort aux cons !” par un gendarme, je le défendrais !
Pass’que si j’écris :
“Pan, t’es mort !”
– T’en déduis quoi ?
– Bah, ouais, quoi !
– T’es toujours vivant, dis donc, Ducon.
Tu parles d’un scoop !
T’imagine si j’avais vraiment tiré sur toi, pour de vrai ?
Avec une vraie arme ?
Pas avec une arme de “fabuliste”, avec un mot ou une parole ?
C’est un peu comme la “sodomie des ânes”, ce procès en conseil de discipline contre un gendarme parce qu’il a raconté son quotidien, en s’inspirant d’une tradition littéraire bien française,
le genre fabuliste !
La “FABLE”.
Moi, COLUCHE, j’trouve que le coq qui est sur l’image et qui représente la France ,
c’est un peu comme les “singes hurleurs”,
sauf qu’aucun gendarme n’a encore déposé plainte contre lui
quand y chante “cocorico”, les pieds dans le fumier des paysans qui crèvent.
Si jvous comprends bien, les pieds nickelés du Ministère de l’Intérieur,
vous condamneriez aujourd’hui Jean De La FONTAINE pour avoir dénoncé les vices de son époque,
une époque de monarchie absolue qui vous épouvante, les “pas francs”-maçons, les destructeurs de cathédrales françaises,
pass’que vous supportez pas les comparaisons animalières entre les délinquants et les singes hurleurs ?
C’est vrai qu’c’est pas sympa pour les singes hurleurs.
J’m’étonne que la SPA ne se soit pas encore exprimée à ce sujet.
Je l’invite d’ailleurs vivement à se constituer partie civile… pour les singes, bien sûr !
OK, les cons !
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– C’est qui le “porc” ?
Personne ?
– Ou ce serait-y pas “une image” d’animal, le cochon, utilisée pour dénoncer les abus sexuels de certains hommes ?
C’est furieusement SEXISTE donc RACISTE, dans tous les cas hautement DISCRIMINATOIRE et probablement CONDAMNABLE que d’accuser un porc d’être un homme.
Ouais !
Nan, pas d’accuser un homme d’être un porc !
Pass’qu’un porc, y sait pas qu’y s’comporte comme un porc.
Mais l’homme qui l’imite, lui, y sait !:.
Bon, si vous préférez condamner les “faux mots” employés que de dénoncer les VRAIS délits et les VRAIS crimes commis sur le territoire français qui s’étend jusqu’à la Guyane des “singes hurleurs”, c’est votr’problème, bande de cons.
Comme y disent certains hominidés des banlieues qu’y veulent pas s’faire tutoyer par des flics
mais qu’y appellent aux meurtres des agents des forces de l’ordre régulièrement :
– faut le “respect“.
RESPECT !
Y’a juste un point que les babouins ont mieux compris que les descendants des singes, c’est que, pour exiger de l’autre son respect, y faut l’être, RESPECTABLE.
Et quand on se comporte comme un jeune con, on l’est plus, RESPECTABLE !
Moi, COLUCHE, j’avais demandé à Véro d’écrire cet article depuis au moins jeudi,
hein Véro ?
Seulement, la miss, elle a traîné… Si, si, t’as traîné, Véro !
Elle voyait pas l’intérêt d’écrire sur les babouins, Véro.
Et c’est juste quand elle a commencé à rédiger cet article que l’affaire du gendarme est tombée.
Guyane : procédure disciplinaire contre un chef d’escadron pour propos racistes
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 06/05/2018 à 11:32 Publié le 06/05/2018 à 11:25
[Un chef d’escadron de gendarmerie est visé par une procédure disciplinaire après avoir comparé la population guyanaise à des animaux dans un discours prononcé fin avril à l’issue d’une mission sur place, des propos qualifiés d’«inadmissibles» par le ministre de l’Intérieur.
» LIRE AUSSI – Plan de lutte contre le racisme : les associations saluent les mesures annoncées
Lors d’un discours prononcé le 21 avril à Saint-Laurent-du-Maronie , à l’issue d’une mission de trois mois et en présence notamment d’un sous préfet, le chef d’escadron s’était lancé dans ce qu’il appelle une «allégorie» sur la population locale : «Quelle faune exceptionnelle que tous ces singes hurleurs lançant autant de jurons que de parpaings pour marquer leur territoire, ces petits caïmans trempant jour et nuit dans l’alcool», avait affirmé le gradé, selon son discours révélé par Le Monde et LCI.
Il dit se réjouir «d’avoir pu aussi compter sur certains paresseux, très nombreux dans la région, dont la réactivité et l’envie de travailler n’ont d’égal que les résultats qu’ils obtiennent», selon une copie de son allocution qu’a pu lire l’AFP.
» LIRE AUSSI – Comment le racisme s’est déplacé sur Internet
Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a dénoncé «des propos inadmissibles et choquants» et rappelé «son attachement au strict respect des règles déontologiques et à l’exigence d’exemplarité» qui «doivent encadrer l’action des forces de sécurité dans l’accomplissement de leurs missions». La gendarmerie a, de son côté, qualifié ces paroles d’«intolérables».]
Le Figaro.fr avec AFP
COLUCHE ajoute :
Nique les singes hurleurs, les caïmans et les paresseux !
Espèces animales dont le rôle social n’est pas démontré ou que trop montré.
Tu vois, Véro, c’est comme dans l’affaire Maëlys, tous les moyens sont bons pour salir la Gendarmerie Nationale française, même envoyer l’IGPN enquêter sur des gendarmes, du “JAMAIS VU”.
La question que doivent se poser tous les Français, c’estPOURQUOI ?
Pourquoi que tous ces cons tirent à boulets rouges contre la Gendarmerie française ?
Donc, chaque fois que tu traiteras
ta femme de “petite chatte”, “ma poule”, “ma puce”,
ton homme de “porc”
et le criminel religieux qui va te tuer de “loup solitaire”,
– t’auras commis le délit singulier de ce siècle :
avoir osé appeler d’un nom d’animal l’homme qui n’est qu’un animal lui-même pour l’homme.
Pass’que, plus je vous regarde tous de là-haut (comme vous dites ici-bas, les cons !), plus je considère que c’est sûr :
– “L’homme est un loup pour l’homme !“
Mais comme je suis pas un gendarme, ça, je peux l’écrire, moi.
Bande de cons dégénérés !
C’est tellement plus facile de faire arrêter un gendarme
pour avoir écrit des noms d’oiseaux
et avoir décrit un univers inhumain de bêtise et de corruption,
l’univers fabuleux dans lequel évoluent ces gens d’armes qui vous défendent
et qui risquent leur vie tous les jours pour des élus politiques de m.. de,
– que d’arrêter la crapule qui leur crache à la gueule tous les jours.
Ces élus “ripoux” pour qui vous avez votés, bande cons, ne craignent qu’une seule chose,
fâcher la racaille qui agresse les honnêtes gens, dont leurs gens d’armes.
Et ces hommes d’Etat incompétents fliquent le mot et la virgule dans un discours de gendarme, à défaut de pouvoir faire respecter les lois françaises en France.
Ce n’est pas manquer de RESPECT que de ne pas respecter des “hominidés” qui ne se sont pas RESPECTABLES.
Depuis quand des délinquants méritent-ils d’être RESPECTES ?
– “Le respect, ça se mérite, mon Colonel !”
Oui, depuis quand doit-on respecter des truands et des bandits de grand chemin ?
Le loup, c’est celui qui enfreint la loi et poursuit l’agneau perdu pour se venger des bergers qui l’ont chassé parce que cette “bête cruelle” tue leurs brebis.
Il serait temps que chacun retrouve sa place dans notre société !
Et que le Ministre de l’Intérieur arrête de demander aux gendarmes et aux policiers, les bergers du troupeau, de respecter les loups solitaires ou en meute !
C’est pas vrai qu’vous êtes sodomisés, juste lobotomisés, c’est tout.
Avec votre acceptation, les intérêts à payer en plus !
Sinon y s’raient capables de dire, vos élus si nuls, que vous manquez de RESPECT aussi à “la fonction politique” qu’est un peu, beaucoup délinquante, ces temps-ci .
Vous verrez qu’on va y arriver, au “crime de lèse-majesté“,
l’interdiction de critiquer les hommes politiques !
Piss’qu’on a déjà intégré dans la Loi française le “délit de blasphème”,
l’interdiction de critiquer le “religieux”, sauf Jésus bien sûr.
Vous ne pourrez plus dire ces “pourris de politiques” ou ces “cochons de bourgeois” !
Et quand vous relirez cet article, ce s’ra déjà TROP TARD.
Tant pis pour vous, les “dindes de Noël” farcies à la daube “agnostico-politicarde”!
Fallait pas être des “agneaux”.
Faut devenir des loups, des loups pour l’homme, quand l’homme devient pire que le loup.
[L’avertissement de redirection vers un autre site qui peut apparaître sur cette page est de la CENSURE indirecte. Cette redirection n’est pas voulue par moi. Merci de ne pas tomber dans le piège de “Big Brother” !]
Flippant, ce rêve !
Et flippant d’apprendre que, ce matin, un individu aurait tenté de s’en prendre aux forces de l’ordre qui gardent le Mont Saint Michel, l’emblème de la France chrétienne, alors que je cauchemardais sur l’invasion de la France.
Car cette nuit, pour la première fois de ma vie, j’ai ressenti la présence d’un ange, un Archange, l’Archange Saint-Michel. C’était une nuit très particulière que cette nuit du 21 au 22 avril 2018. “L’Esprit du Mal” a rôdé comme une Bête aux abois dès que j’ai pris un stylo pour “fixer” mon rêve prémonitoire sur un cahier de notes. Et c’est ainsi qu’est venu, “tombé du Ciel”, une aide inattendue, l’aide d’un ange connu. Or j’apprends ce matin même qu’il y aurait eu une tentative d’attentat terroriste… sur le Mont Saint Michel !
La statue de Saint-Michel veille sur la France du haut du Mont Saint Michel
et l’Archange protège les forces de l’ordre françaises,
ses ORDRES HOSPITALIERS ET GUERRIERS,
les ordres chevaleresques de la France éternelle.
Et moi qui me disais, cette nuit :
– “Pour qui me “prenè-je” de croire que l’Archange Saint Michel puisse venir dans ma chambre pour chasser l’Esprit du Mal qui ne voulait pas que j’écrive et décrive mon rêve prémonitoire, cette nuit du 22 avril 2018,
moi qui ne suis plus rien,
comme le répète à l’envi un ancien Bâtonnier du Barreau de Perpignan chargé de ma défense (tu parles !) à qui veut bien l’entendre ?”
Pour ceux qui douteraient de qui conduit la main qui frappe la France, je peux affirmer que c’est Satan.
Pour moi, rien à voir avec Lucifer.
Mais qui suis-je pour l’affirmer ?
“L’Esprit du Mal” existe.
Ce n’est pas un ange, ce n’est pas un homme.
C’est une force aveugle et puissante, l’anti-matière qui détruit la matière et l’attire vers le néant, son anéantissement, l’anéantissement du monde.
Pour preuve de cette “coïncidence” troublante, le rêve prémonitoire, l’Archange Saint-Michel et la tentative d’attentat sur des représentants des forces de l ‘ordre,
coïncidence que je continue à qualifier de “flippante”,
– il y a les notes grattées à la va-vite sur le cahier de chevet, pour ne pas oublier mon rêve prémonitoire, y noter la présence de Satan,
cette force qui n’est ni une personne, ni ange, ni homme,
même si cette “force” est intelligente et rusée.
Oui, j’ai eu peur.
Si jécris “force mauvaise” pour le “MAL-in”, c’est un doux plénonasme.
Et ceux qui n’ont pas peur de cette force terrifiante sont “fous” à mes yeux.
Donc j’ai noté sur mon cahier cette “présence” qui envahissait la pièce comme le “sombre” tombe sur le monde au moment du crépuscule.
Evidemment j’ai prié et répété la formule incantatoire “Vade retro Satanas” comme vous répéteriez deux invocations familières à un pitbull déchaîné :
“Couché, le chien !
Ou
“A la niche !”,
– avec une voix tremblotante et l’envie de crier “maman !”
Sauf que “maman”, c’est vous et que vous êtes “devenu-e” trop “grand-e” pour pousser ce cri d’enfant, “appeler votre maman”.
Mais “appeler Dieu”, c’est encore et toujours possible.
Sauf si tu ne crois pas en Dieu.
Auquel cas, tant pis pour toi.
Donc j’appelle Dieu, comme lorsque j’étais enfant et que j’avais peur la nuit dans le noir.
J’ai eu l’impression d’être tout à coup infiniment seule et infiniment petite avec un monstre qui rôde autour de mon lit et qui voulait me dévorer.
S’ajoutait un réveil qui a été “difficile”, traumatique, à cause de ce rêve que JE SAIS être PREMONITOIRE, ce qui le rend encore plus effrayant.
Après avoir répété et écrit sur mon cahier “Vade retro Satanas”, tandis que “l’ombre” se rapprochait et planait comme l’ange de la mort au-dessus de moi, tout à coup, j’ai ressenti Sa présence.
Je mets un “S” majuscule car c’est comme un “morceau de Dieu”.
C’était une trouée de Lumière devant moi, une percée fulgurante dans le gros nuage sombre qui m’entourait.
Les ténèbres qui m’envahissaient se sont dissipées et j’ai su que c’était l’Archange Saint-Michel. Je ne peux pas expliquer comment j’ai su que c’était “lui”, juste une évidence vue par les yeux de l’âme.
C’était la première fois qu’il intervenait.
Je ne l’avais pas appelé car, dans ces moments-là, on ose à peine parler à voix haute de peur d’exciter la Bête qui rôde.
Et, pour tout dire, on devient “bête” soi-même, comme dans les films d’horreur, incapable de parler ou d’articuler un son audible.
Heureusement la prière délivre et permet de reprendre “ses esprits”, en chassant l’Esprit du Mal.
Mais c’est la première fois que je reçois,
si vous me permettez cette expression triviale,
– l’Archange Saint-Michel.
D’ordinaire, c’est entre Dieu et le “MAL-in” que se passe ce combat, un “MAL-in” qui finit toujours par partir.
Je ne me bats jamais avec le “Diable”.
J’appelle Dieu comme un enfant appelle son père.
Et je laisse “Mon père” se débrouiller avec la “chose” qui me fait peur.
Pour l’instant, c’est toujours Lui qui a eu le dessus !
Sinon je ne serais pas là en train de vous écrire sur le combat entre le Bien et le Mal,
le combat entre la Lumière du Ciel et les Ténèbres de la Terre.
Si Dieu avait perdu le combat contre le “MAL-in”, je le saurais car j’aurais été la première victime de cet échec.
Aussi, le fait que, cette nuit, j’ai ressenti la présence de l’Archange Saint-Michel et que la Bête ait été chassée par lui confirme que ce rêve est très important.
D’autant plus que j’ai fait ce rêve prémonitoire juste AVANT la tentative d’attaque terroriste contre les forces de l’ordre qui gardent le Mont Saint-Michel,
je le répète, Mont Saint-Michel qui est l’emblème de la France chrétienne.
[Il paraît que “non”, attaquer des forces de l’ordre, ce n’est pas terroriste, dit par le Préfet du lieu après 17H00. Non, c’est juste un mouvement d’humeur qui a déséquilibré un pauvre “souffre-douleur” maltraité par une société laïque ! Et puis, c’est ou ce sera encore et toujours de la faute des gendarmes ou de la police…]
La preuve de la tentative d’attaque “non” terroriste en est donnée par le lien ci-dessous :
DIRECT. Le Mont Saint-Michel évacué, un homme au comportement suspect activement recherché
Modifié le 22/04/2018 à 11:06 | Publié le 22/04/2018 à 10:36
[Les navettes du Mont Saint-Michel (Manche) ont été arrêtées ce dimanche matin et le Mont est en cours d’évacuation. Les gendarmes recherchent activement un individu qui, selon les premiers éléments, voulait s’en prendre aux gendarmes. Descendu de la navette, l’homme s’est volatilisé avant l’arrivée des gendarmes. Un hélicoptère est sur place. Une opération antiterroriste est en cours. La préfecture de la Manche n’a pas encore communiqué. Elle annonce une conférence de presse en fin de matinée.
Le Seigneur me demande de publier rapidement cet article même s’il n’est pas achevé.
JE DOIS TEMOIGNER.
D’autant plus que, cette nuit, Il m’avait déjà demandé de me lever très tôt pour publier l’article IMMEDIATEMENT sur l’ordinateur familial, vers 04H30 du matin,
alors que j’étais au lit, tremblante, traumatisée par ce rêve
et “agressée” par une “présence obscure et grondante”, peu rassurante, la présence du “MAL-in”.
– “Moi pas vouloir descendre du lit, Toi aller voir tout seul au bureau si “l’autre” y est aussi et surtout “encore”. L’ordinateur attendra.”
Pour “semi-obéir”, ma grande spécialité avec le Seigneur,
ne pas Lui dire “oui” mais ne pas Lui dire “non”,
donc faire à moitié les choses,
– j’ai pris mon cahier de notes nocturnes et j’ai commencé à raconter mon rêve prémonitoire sur des pages blanches, en baillant et en écrivant mal, mal réveillée, pour ne pas l’oublier ensuite.
Ce qui est aussi une de mes spécialités !
Si je me rendors, j’oublie mes rêves.
Pas vous ?
Car j’avais l’intention de me rendormir
et pas de veiller jusqu’à sept ou huit heures du matin pour faire plaisir au Seigneur.
J’ai besoin de dormir, moi !
I am a Christian who loves to love !
Not to be tortured and not to be killed,
nor to torture or nor to kill, even animals.
But you can ridicule me… if I can ridicule you.
Evidemment je ne pouvais pas savoir qu’un “c.n” tenterait de commettre un attentat au Mont Saint-Michel, tôt ce matin vers 07H00, ce qui expliquait l’urgence de publier mon témoignage AVANT 07H00 du matin.
Mais je suis “désobéissante”, à moitié, mais désobéissante quand même.
– “Demain, il fera jour !”, me suis-je dit.
OK, je publie cette première partie et ensuite, dans la seconde, je vous décris le rêve prémonitoire qui était “flippant”.
– “Le rêve prémonitoire” de la nuit du 22 avril 2018 :
L’Invasion expresse de la France.
Evidemment, le rêve ne commence pas par l’invasion.
Ce serait trop facile à comprendre.
Je vous ai donné la “clef du songe” parce que le rêve est d’une banalité affligeante…
au début !
Comme peut l’être la vie de beaucoup de Français, une vie sans histoire
– même si elle comporte de plus en plus de problèmes,
tracasseries administratives, dettes de trésorerie privée et publique, et j’en oublie.
Au début, je retrouvais des amis et des relations professionnelles du Club très private des anciens élèves du DU de Photojournalisme de Perpignan dans un Centre que je ne connais pas encore. C’était sympa et à mille lieues des scènes de guerre ou de thriller explosif que nous allions vivre. J’avais d’autant plus de plaisir à retrouver ce “milieu”, pour moi artistique, que j’avais fait les choses à moitié, comme d’habitude, harcelée par des procédures judiciaires en cours lancées par des chefaillons pour me faire taire :
– “Arrêtez-la d’écrire !”
Une obsession pathologique,
“m’arrêter d’écrire”,
obsession développéepar la hiérarchie policière locale, départementale, régionale, c’est à dire zonale, et même nationale aujourd’hui,
l’un des acteurs des “faux pas” passés et des “fausses accusations” ayant pris du grade, lui, jusqu’au niveau national.
Not in France ! The more complicated is, the more pretty is.
Bon, laissons tomber ces cons et poursuivons notre récit avant qu’ils ne réussissent à “m’arrêter d’écrire” !
Ce qui serait dommage pour ceux qui veulent connaître l’avenir.
Un peu, beaucoup ou pas du tout ?
Pour ma part, “pas du tout !
Car si c’est ça, l’avenir, ça craint.
Donc je me retrouvais avec des amis dans un Centre sans doute de “Photojournalisme”. Il y avait une salle de cours aménagée en atelier multimédias.
Un grand écran installé pour les projections des vidéos des “Photoreporters” juniors et seniors surplombait la salle de multimédias.
Accessoirement, comme ce jour-là dans mon rêve, sur le grand écran pouvaient défiler en boucle les informations du jour de chaînes de télévisions connues comme…
Non, pas de nom !
Il paraît que c’est interdit.
Nous papotions entre nous lorsque j’entendis “vaguement” que le présentateur des “news” (parlons “franglais”, le jargon de MACRON, l’actuel président de la France) disait :
– “La France est envahie. Tous ceux qui sont militaires, policiers, gendarmes et réservistes sont priés de regagner leurs bases et leurs casernes pour s’armer et se préparer au combat.”
Un truc comme ça…
Pourtant ce n’était pas le 1er avril.
Du coup, je lève les yeux vers l’écran et je vois, derrière le journaliste, en fond d’écran, des vidéos montrant des chars à la queue-leu-leu, un peu comme des chenilles processionnaires, qui roulaient sur des routes prétendument françaises.
C’était ENORME !
Donc faux.
Car “ça” ne pouvait être que faux.
Dans tous les cas, je n’étais pas concernée par cette annonce puisque je n’étais pas soldat, ni gendarme, ni plus employée dans la P.N..
Je m’explique :
– Si vous entendez à la télévision qu’un incendie est en train de ravager quarante hectares de pinède, vous ne vous sentez pas concernés car vous n’êtes pas pompier. Si vous étiez un soldat du feu, vous fonceriez rejoindre votre caserne.
[Le Seigneur m’a expliqué, après ce rêve prémonitoire, que nous étions toutes et tous conditionnés, en France, à la “non-résistance”.
Nous n’avions JAMAIS la bonne “casquette” pour pouvoir assister, secourir ou DEFENDRE d’autres Français.
C’était VOULU, tellement VOULU d’ailleurs que le DELIT d’ASSISTANCE est plus condamné par “l’in-Justice” française que celui de NON-ASSISTANCE A PERSONNE EN DANGER. Il suffit de voir le scandale autour de certaines condamnations dont récemment la condamnation de trois légionnaires qui ont eu le tort de “corriger” un jeune voleur lequel s’était défendu avec vigueur. Mais lui, il avait le droit de frapper, même frapper la victime du vol. Eux, les légionnaires, sans “CASQUETTE” officielle, ils n’avaient aucun droit. Il paraît !
Pourtant le droit d’arrêter un délinquant ou un criminel qui commet un acte répréhensible pénalement,
droit d’intervention, plutôt d’auto-défense collective,
ce droit est accordé LEGALEMENT à tout citoyen français.
Il est inscrit dans le code pénal… français.
En effet l’article 73 du code pénal stipule que,
dans “les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement,
toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur
et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche
Par contre il est INTERDIT de ne pas porter ASSISTANCE à une personne en danger !
Donc les juges ne respectent pas le droit français et préfèrent faire respecter un règne de la terreur, une terreur idéologique gauchiste,
en instillant la peur d’être condamné chez tout citoyen qui intervient pour sauver une personne en danger,
ou même tout simplement, pour assister une personne en souffrance physique ou morale.
Par exemple, avant de faire un signalement d’enfant qui serait en danger car maltraité, même et surtout le médecin de famille tournera son bic plusieurs fois dans sa main par crainte :
d’être accusé de dénonciation calomnieuse par les parents
et d’être radié de l’Ordre des Médecins par un Conseil de “l’Ordre” des Médecins aux ordres de la caste pédophile en place.
De toutes les façons, si l’enfant meurt sous les coups de ses parents, les services et les intervenants sociaux, dont le médecin taiseux, ne sont pas condamnés, JAMAIS en France.
La NON-ASSISTANCE à ENFANT en DANGER est devenue une règle institutionnelle qui explique que, tous les trois jours en France, deux enfants MEURENT des suites de MALTRAITANCE constatée et sue, mais non signalée.
Je l’ai déjà expérimenté à plusieurs reprises !
“De quel droit intervenez-vous ?”
C’est la rengaine du pouvoir totalitaire actuel :
– Interdiction d’aider et de s’entraider car ce serait le début de la “Révolution Nationale” si les citoyens défendaient eux-mêmes leur patrie ou se défendaient solidairement entre eux.
La culture du “non-interventionnisme” des citoyens français dans l’espace public est appelée à remplacer le Christianisme et ses “bons Samaritains” qui pourraient reprendre l’épée des Templiers pour sauver la France.
C’est ainsi, en interdisant aux Français de s’occuper des affaires de leur pays, que le gouvernement a soufflé peu à peu le poison de l’indifférence dans nos “esprits de moutons”.
Et là, force est de constater que “la technique de manipulation mentale” est très réussie.
Avant, dans les années 39/40, un journal annonçait que les Boches débarquaient et tout le monde levait le camp. C’était l’exode !
Dans mon rêve, aujourd’hui, en 2018, un journaliste annonce que la France est envahie, et personne ne bouge !
A peine si on se sent concernés.
C’est comme pour les voitures qui brûlent dans votre quartier, ou le quartier d’à côté, ou dans votre ville.
Ce “fait divers” ne vous concerne pas. Vous n’êtes pas pompier, ni policier. Vous êtes “passif” et vous acceptez de ne plus intervenir même si vous savez qu’il n’y a plus assez de pompiers, de policiers et de gendarmes pour assurer votre sécurité.]
Eh bien, moi, dans mon rêve, “la France envahie en H24”, ce “fait divers” ne me concernait pas.
Pas plus que les autres amis présents qui étaient pourtant des “journalistes” et qui, pour la plupart, se préparaient à devenir des photoreporters de guerre.
Certains, les plus curieux ou les plus avisés, dont nos formateurs, ont eu l’air inquiet. Ils ont parlé entre eux pendant que nous continuions à bavarder de choses et d’autres, en partageant nos expériences et nos quelques aventures.
Je pense que, plutôt que provoquer un mouvement de panique inutile et incontrôlé, ils ont choisi “d’assurer” et de rassurer les personnes présentes. Un peu comme sur les lieux d’un accident qu’il faut sécuriser, en interdisant l’accès des lieux aux plus curieux.
Sauf que c’est une “guerre”.
Mais, bien sûr, le mot “guerre” n’a jamais été prononcé par le journaliste de la chaîne de télévision trop connue.
L’horloge marquant bientôt 17H00, l’heure de sortie des enfants, je pris congé malgré les réticences des formateurs à me laisser partir ou sortir.
Je ne pouvais pas rester au Centre de Journalisme plus longtemps.
Et puis, ces chars envahissant la France, c’était loin.
Sur un écran blanc, tout devient presqu’irréel.
La guerre, c’est en Syrie, c’est pas en France !
Nous sommes la quatrième puissance mondiale ou la cinquième, je ne sais plus.
Qu’avons-nous à craindre ?
– “Tout !”, aurais-je dû me dire.
Même et surtout une guerre conventionnelle,
une “guerre-éclair” à la mode d’HITLER menée tambour battant en H24.
Je sors du Centre.
Il y a une cour à traverser et puis, ensuite, il faut remonter une rue qui mène à une Route Nationale.
D’un côté de cette rue, sur ma gauche, un champ s’étend, un champ en “rase-mottes”.
De l’autre côté, sur ma droite, je ne me souviens plus trop mais je crois que c’était un terrain vague entouré d’un muret le séparant d’un lotissement, si ma mémoire est bonne.
Cent mètres à parcourir dans un terrain vague pour sauter le muret et parvenir au lotissement.
Bref, rien d’inhabituel dans une ville, la ville de Perpignan et ses villages environnants, où planter un arbre est presque commettre un crime contre nature.
Sauf si on fait tout pour que l’arbuste crève !
L’image d’arbres abattus que j’avais publiée a été supprimée ET REMPLACEE par une publicité “overblog” (?) que, moi, je viens de supprimer.
Et, à la place, je publie, moi, cette publicité pour “la Promenade des Platanes” à Perpignan, ville moche, qui devrait s’appeler “la Promenade des Pendus”,
tant ces pauvres arbres, ceux non encore abattus, ressemblent à des gibets de potence avec leurs troncs mutilés et torturés à la tronçonneuse municipale locale.
“Arbres remarquables ?” Nom donné aux arbres vénérables très anciens par l’O.N.F. et abattus en France sur seule décision de “Mairdillons” incompétents.
C’est peut-être ces cons de Maires qui vont transformer le gaz carbonique en oxygène par l’opération du “saint-politique” ?
Le miracle de la “langue de bois” ?
Point d’arbres à l’horizon, pas un brin d’herbe vivant.
Rien à perte de vue, sauf la morne plaine, pleine de terre, de cailloux et de cactus,
sans le cri des corbeaux puisque, dans le Sud de la France, ils sont moins présents que dans les plaines du Nord-Est quand les Boches ont débarqué.
Au bout de la rue, je vois arriver vers moi une participante au stage ou au séminaire. Elle, elle revient vers le Centre. Elle marche difficilement car des escarpins à talons plats, tout neufs, lui font mal aux pieds. J’ai beau être pressée de rentrer à la maison
et surtout, j’ai beau “entendre” intérieurement qu’il vaudrait mieux que je quitte rapidement les lieux,
– je ne peux pas m’empêcher d’avoir pitié d’elle.
La fille “clopine” et a besoin de se tenir appuyée sur un bras ami ou sur une canne pour arriver à marcher longtemps.
Quand vous n’aurez plus que votre connerie à bouffer, les Maires, et que la Terre crèvera par manque d’oxygène, j’espère qu’on vous enlèvera vos poumons comme vous nous enlevez notre “poumon vert” !
C’est vous qu’il faudra pendre à la plus haute branche de ces poteaux d’exécution qui annonce la mort de notre civilisation.
[En novembre dernier, à Cépie, les platanes de la route ont été taillés pour des raisons de sécurité. Un professionnel conteste la méthode.
Xavier Dupire, qui dirige l’entreprise “Agrément Jardins”, à Carcassonne, critique la manière dont les platanes, à Cépie, ont été élagués au mois de novembre dernier. Il s’exprime donc en tant que professionnel tout en précisant qu’il ne pratique pas l’activité d’élagage de si grands arbres : “Mais mon métier me permet d’avoir un œil sur la question“, ajoute-t-il. Il explique que “le platane est un arbre très fragile” notamment “après les nombreuses attaques de Ceratocystis platini survenue dans le sud de la France, et responsable de la maladie du chancre coloré“. Selon, la taille “est une aberration sur le plan esthétique mais aussi sur le plan sanitaire de l’arbre. La taille affaiblit l’arbre et de nombreux parasites, ravageurs et maladies peuvent l’attaquer dans ces moments de faiblesse provoquant ainsi petit à petit le dépérissement de l’arbre, la pourriture du tronc et des charpentières. Il n’est pas nécessaire de rappeler le nombre d’accidents graves de la circulation qui ont eu lieu sur nos routes dus à la chute de grosses branches sur des voitures notamment après des pluies ou tempêtes”. Xavier Dupire rappelle qu’il existe un livre intitulé “La haine de l’arbre n’est pas une fatalité”, écrit par Alain Baraton, le chef jardinier du château de Versailles, et qui critique la pratique de l’élagage et de l’abattage des arbres multicentenaires.]
Donc je m’attarde, sans écouter les avertissements “intérieurs”, et lui propose mon aide.
Elle ressemble à une amie que j’ai connue lorsque je finissais mes études post-bac. Elle s’appelait Françoise.
Je l’invite à recommencer à marcher et à se dépêcher… un peu.
Elle refuse d’avancer car elle a trop mal.
Elle me demande de patienter un peu, le temps que ses pieds supportent de reprendre un peu la marche. Puis on s’arrêtera à nouveau.
Alors, tandis qu’elle me parle, moi, je vois arriver sur la Route Nationale, au fond de la rue, sur la gauche [oups !] , “les chars” annoncés et vus par la chaîne d’infos continues.
Oui, je voyais les chars montrés à la télévision,
chars qui venaient de nulle part…
arriver à Perpignan !
C’est l’image que j’ai trouvée la plus approchante de ma vision
Je suis “paralysée”, stupéfaite !
Je n’entends plus ce que la fille me dit.
Je regarde le champ à ma gauche [oups] pour savoir où me cacher, où nous cacher.
Rien !
– “Putain, ce con de Maire de Perpignan, (le Président de la Communauté d’agglomérations dont les services d’entretien des espaces verts saccagent tout ce qui est vert, justement), a réussi son coup !
Impossible de trouver un endroit où se cacher, tous les arbres ont été abattus jusqu’aux bosquets et aux talus ! Mais quel con, ce Maire !”
C’est un peu près exactement ce que j’ai pensé à ce moment-là.
Se mettre à plein ventre dans le champ ?
Trop tard.
Et puis, même l’herbe est “chassée” par ce con de Maire.
Il ne reste rien, de la terre et de la caillasse, comme d’habitude.
La mocheté absolue !
Avec, pour seul bouquet, la mocheté de la mort qui approche.
La fille ne semble pas avoir entendu les chars rouler sur la Route Nationale et ne peut pas les voir puisqu’elle leur tourne le dos.
Elle ne se préoccupe pas plus de mon changement d’attitude,
alors que je suis, pourtant bouche bée, regardant une partie de la file de chars se détourner de la Nationale pour pénétrer dans la rue où nous nous trouvons.
Non, elle a trop mal aux pieds, la fille, et le monde peut s’écrouler, ce n’est pas son problème.
Son problème, c’est un problème de “riches”, avoir mal aux pieds dans des chaussures neuves,
pas un problème de pauvres cherchant un abri avant que les bombes ne lui tombent dessus
ou que des snippers n’aient sa peau de vermine pendant qu’il essaie de trouver de quoi manger dans des ordures puantes.
Non, pas d’endroit où se cacher.
Pas de possibilité de fuite à pieds, non plus, vu la rapidité avec laquelle les chars ou les tanks progressent, facilement du 50 KM/H, à vue de nez.
Pas d’armes pour riposter ou pour bloquer l’avancée des chars, armes qui devraient être plus que défensives pour arrêter des chars.
Qui a des grenades sous la main, actuellement en France ?
Je ne parle pas des grenades assourdissantes lancées contre des manifestants pacifiques jugés quelque peu turbulents.
[Les citoyens sont DESARMES en France et c’est une VOLONTE gouvernementale, une VOLONTE dictatoriale de DOMINER le peuple français.
Un peuple armé est dangereux car il peut renverser le pouvoir en place.
Un peuple DESARME, c’est une PRISE d’OTAGES collective voulue par une DICTATURE FASCISTE qui n’assume pas son régime autoritaire.
Je ne sais pas si vous l’avez remarqué mais, chaque fois que l’Etat français se lance dans un projet HUMANITAIRE, chaque fois, c’est pour IMPOSER au peuple français un SUICIDE collectif sous prétexte de JUSTICE SOCIALE.
Les seuls qui sont armés sont les voyous, dealers et caïds des banlieues qui terrorisent les populations des cités françaises.
Ce qui est très bien TOLERE par l’Etat français !
A tel point que les policiers et les gendarmes aujourd’hui sont dans une situation de RISQUE LETAL quand ils interviennent dans ces cités.]
Bref, j’arrive à la fin de ce rêve prémonitoire.
Je fixe le premier char qui s’avance vers nous sur la route tandis que deux autres chars se sont éparpillés, l’un dans le champ à droite, l’autre sur le terrain vague, comme pour nous barrer le chemin.
Image de char ressemblant à celle de mon rêve prémonitoire.
La fille, enfin, semble comprendre que quelque chose d’anormal se produit. Derrière son dos, les moteurs des chars ou des tanks font un bruit épouvantable et le sol tremble. Elle se tourne à moitié.
Face à moi, dans le premier char, une sorte de trappe s’ouvre et il en sort un individu, non armé. Nos regards s’affrontent. Je sais que je vais mourir. Je le lis dans ses yeux. Puis, une seconde trappe s’ouvre en-dessous de la première. Un homme surgit, mitraillette à la main, à mi-corps.
Je n’ai plus peur. C’est trop tard pour avoir peur.
Mon regard ne quitte pas celui du premier soldat. Alors il se penche sur le côté, aboie quelque chose vers l’homme à la mitraillette et se relève avec une arme de poing.
J’ai compris.
Je reste immobile.
Il vise et tire en plein coeur.
D’une certaine façon, c’est presqu’une faveur de mourir ainsi, d’une balle en plein coeur.
Je le sais.
J’entends la mitraillette qui crépite en même temps que je tombe.
La mitraillette, c’est pour la fille, hélas.
Je l’entends crier alors que je m’éloigne de la scène de guerre, quittant mon corps allongé sur le sol, à moitié sur le champ et à moitié sur la rue.
Je sais qu’ils vont faire rouler le tank ou le char sur le corps de la fille.
C’est volontaire car elle est encore en vie.
Je ne peux rien faire.
Plus rien faire pour elle !
J’entends le Seigneur me dire qu’il ne faudra même pas 24H00 pour envahir la France, frontières ouvertes à tous les vents et à tous venants par un Adversaire dont j’ignore le nom et la nationalité, s’il en a une,
une seule, je veux dire.
La mode est aux coalitions internationales, non ?
Merci qui pour cette guerre ?
Je ne sais pas.
Il n’y aura pas besoin d’autre chose que ces chars.
Je n’ai pas vu qui nous envahissait, quelle armée ou quels soldats nous envahissaient.
Et, du coup, je me rappelle que le journaliste de la télévision, lui non plus, n’avait pas donné le nom du pays qui envahissait la France.
Il avait juste dit :
– “La France est envahie, etc..”
C’est une guerre conventionnelle, pas un acte de terrorisme.
“Pourquoi ne serions-nous pas envahis, nous qui n’arrêtons pas d’envahir d’autres pays au nom de la PAIX dans le monde ?”, me demande le Seigneur.
Mais d’où viennent-ils, ces militaires ?
Il n’y avait aucun insigne, aucun sigle, rien qui permette de les identifier.
Et si c’était fait exprès, cet “anonymat” ?
– Comment riposter contre un pays si vous ne savez pas qui vous envahit ?
Notre défense nationale repose essentiellement sur la dissuasion par la menace de notre armement nucléaire
A CONDITION de SAVOIR qui nous attaque.
Imaginons, comme dans ce rêve prémonitoire,
CAR IL EST PREMONITOIRE, n’en doutez pas !
– imaginons que “l’Adversaire” ait l’intelligence de ne pas s’identifier.
Quel pays la France va-t-elle frapper AVEUGLEMENT avec son arme nucléaire ?
Tout ce dont je me rappelle, ce sont les uniformes vert kaki, un vert clair, sans mouchetage.
Enfin, les hauts des uniformes !
Ah, flûte, l’uniforme est moucheté !
Imaginez un uniforme dans ses tons vert “kaki” non moucheté.
Je n’ai vu aucun soldat “en entier”, juste les bustes de soldats sortant de deux trappes, comme des diables surgissant de leurs boîtes, les trappes de ce char de guerre. Ces deux hommes habillés de vestes kaki étaient deux soldats appartenant à cette armée inconnue qui nous envahissait brutalement,
en s’attaquant à la population civile
que ces mêmes chars ou tanks éliminaient impitoyablement, quitte à leur rouler dessus.
Le bruit des moteurs était si fort que je n’ai pas pu reconnaître la langue qui était parlée.
Je ne pourrais émettre que des hypothèses mais, d’expérience, je sais que la réalité dépasse bien souvent la fiction, c’est à dire les suppositions que je pourrais faire.
Ma seule certitude, c’est que LA FRANCE, après cette invasion, N’EXISTERA PLUS.
Et je ne suis pas loin de penser que L’EUROPE aussi N’EXISTERA PLUS.
Trop de pays occidentaux vendent des armes à des “cinglés” sans réfléchir une seule fois que ces pays pourraient retourner leurs armes contre eux.
L’Europe et la France sont aujourd’hui INCAPABLES de SE DEFENDRE contre une GUERRE CONVENTIONNELLE.
Et nos alliés ne pourront pas bombarder Paris, Londres ou Berlin pour nous libérer de cette “guerre-éclair”.
Il y aurait trop de victimes civiles.
Ou, s’ils le feront, ce sera effectivement la fin de la civilisation européenne vu les dégâts occasionnés par des bombardements “alliés”.
Je ne serais pas étonnée d’apprendre que cette armée sera turque puisque l’OTAN héberge et nourrit le serpent Recep Tayipp ERDOGAN.
– Pourquoi ?
Il y a eu tant d’avertissements !
Même Adolf HITLER est revenu nous prévenir
contre OU pour
le Président turc, qui est son plus fervent admirateur à Adolf HITLER.
Pour HITLER qui vient de “s’inviter” de manière impromptue, “nous sommes foutus”.
En particulier, les Français sont foutus, car complètement inconscients et irresponsables,
trop occupés à faire la fête,
à faire la “teuf” , quelque soit leur génération.
HITLER ajoute que nos forces de l’ordre sont “trop” infiltrées au nom de la “diversité” et par CORRUPTION.
Nos élites ont vendu la France à l’islamisme.
– “Mais, ajoute HITLER, ils auraient mieux fait d’aller se pendre à la plus haute branche ! Beaucoup de peuples leur en veulent.
La mémoire de Saddam HUSSEIN et de Mouammar KHADAFI n’est pas morte, elle. Elle est plus vivace que jamais !”
Hautes-Alpes : des militants d’extrême droite grimpent le col de l’Echelle pour “barrer la route” des migrants
Le groupe Génération identitaire affirme qu’une centaine de ses membres “ont pris position” à la frontière franco-italienne.
[…]
[A coup de banderole géante affichant “No way” et de filets orange de sécurité, les militants d’extrême droit, qui se présentent comme les “défenseurs de l’Europe”, lancent ainsi leur “mission Alpes”. Selon son communiqué, Génération identitaire “exige l’arrêt de l’immigration massive et le blocage définitif du passage du col de l’Échelle” et demande l’augmentation du budget de la police aux frontières.[…]]
“Le Berger doit protéger son troupeau contre l’invasion des loups.”
que l’Eglise Catholique transforme en :
“les fidèles doivent accueillir les loups si ce sont de bons bergers”.
“Insensés que vous êtes, dit le Seigneur.
C’est vous, mes prêtres, qui êtes les Bergers de Mon troupeau
et c’est vous qui devez protéger le peuple de France, le peuple chrétien de France,
Mon peuple, contre les “loups” !
N’inversez pas le poids de votre charge pastorale sur le dos de Mes brebis sans défense que vous condamnez par votre lâcheté à la plus atroce des morts !“
Car Dieu a voulu que “ces manifestations” surviennent le Jour du “Bon Pasteur”.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 10,11-18.
[ En ce temps-là, Jésus déclara : « Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis.
Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse.
Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui.
Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent,
comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis.
J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur.
Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau.
Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. » ]
Jésus CHRIST a mis fin à tous les sacrifices animaux et humains.
Si vous pensez que cette Parole du Seigneur est tombée “par hasard”,
le quatrième dimanche de Pâques,
le dimanche du Bon Pasteur,
le 22 avril 2018,
– Jour du Seigneur où Sa Parole condamne les “faux bergers”, les bergers mercenaires, les élites corrompues qui laissent leur troupeau se faire dévorer
par les “loups”,
“par les envahisseurs”, comme les veut appeler le Seigneur,
– nuit du 22 avril où j’ai fait ce rêve prémonitoire vers 04H30 du matin sur une invasion de la France, genre “guerre-éclair” à la HITLER,
– nuit où l’Archange Saint-Michel s’est manifesté à ma grande surprise, pour chasser l’ombre obscure qui envahissait ma chambre,
– pour apprendre au petit matin qu’une tentative d’attentat a échoué “pour l’instant” (me commande d’écrire le Seigneur) au Mont Saint-Michel,
si vous pensez que c’est le fait du hasard, que ce Jour du Seigneur s’accompagne d’une action des Identitaires pour bloquer une frontière,
– c’est que vous êtes “VOLONTAIREMENT” des aveugles.
“Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut rien voir !“, dit le Seigneur.
Vous ne verrez rien venir car vous ne savez pas voir venir l’avenir.
Jésus CHRIST est le “Juif” qui a donné Sa vie pour sauver nos Vies.
Attentats dans l’Aude : la marche blanche de Carcassonne annulée
Par CNEWS Matin avec AFP – Mis à jour le Publié le
[Une marche blanche prévue samedi et organisée à l’initiative de l’artiste carcassonnais Toon Mac Mullan en hommage aux victimes du terroriste islamique Radouane Lakdim, a finalement été interdite par la préfecture de l’Aude.[…]
Pas de grade, pas de héros.
Juste un homme “fou d’amour” qui crie sa douleur, sa délivrance impossible.
Je me dois d’envoyer ce “cri” à Marielle, son épousée qu’il n’a pas abandonnée et qu’il aime.
C’est un homme dévasté par le chagrin qui m’accompagne, prie et supplie que je lui envoie ce message à elle, l’amour de sa vie, cette chanson pour elle,
Marielle” la femme de sa vie, pas la femme de sa mort.
Il a été “fou”.
Fou d’amour.
Il est toujours fou d’amour pour elle.
[J’ai passé une nuit abominable et j’ai encore des larmes dans les yeux, le coeur empli de sa peine car la coupe de sa souffrance est pleine, archi-pleine.
Et vous, si lâches, vous qui annulez la Marche blanche contre les attentats de l’Aude !
Etonnez-vous ensuite que je reçoive pareil visiteur,
le “héros” TRAHI par les élus politiques de la France !]
Je vous préviens, n’approchez pas Que vous soyez flic ou badaud Je tue celui qui fait un pas Non, je ne ferai pas de cadeau Et éteignez tous ces projecteurs Et baissez vos fusils braqués Non, je ne vais pas m’envoler Sans elle
–——————————
Dites au curé, dites au pasteur Qu’ailleurs ils aillent se faire pendre Le diable est passé de bonne heure Et mon âme n’est plus à vendre Si vous me laissez cette nuit À l’aube je vous donnerai ma vie Car que serait ma vie sans lui[cetamour]?
–—————————————————
Je n’étais qu’un fou mais par amour Elle a fait de moi Un fou, un fou d’amour Mon ciel, c’était ses yeux, sa bouche Ma vie, c’était son corps, son corps Je l’aimais tant, oui que pour la garder, je l’ai tuée Pour qu’un grand amour (qu’un grand amour) vive toujours (oh, toujours) Il faut qu’il meure
Oui, qu’il meure d’amour
–————————————-
Le jour se lève, la nuit pâlit Les chasseurs et les chiens ont faim C’est l’heure de sonner l’hallali La bête doit mourir ce matin Oh, je vais ouvrir grand les volets Crevez-moi le cœur, je suis prêt Je veux m’endormir pour toujours Pour toujours, oh!
–———————————————–
Je n’étais qu’un fou (qu’un fou) mais par amour (par amour) Elle a fait de moi Un fou, un fou d’amour Mon ciel, c’était ses yeux, sa bouche Ma vie, c’était son corps, son corps Et je l’aimais tant Que pour la garder, je l’ai tuée
[J’ai tué cet amour, culpabilité… d’avoir abandonné Marielle] Je ne suis qu’un fou (oh, tu n’es qu’un fou) un fou d’amour (rien qu’un fou) Un pauvre fou Oui qui meurt D’amour (..)»
Vidéo choisie par… Johnny HALLYDAY qui est la France aussi !
Et qui nous a rejoints.
Pour Arnaud.
Et pour la France.
[Croyez-le ou non, peu m’importe ! C’est moi qui n’ai pas pu dormir cette nuit à cause d’un préfet pétochard qui a prévu d’interdire une “marche blanche” pour les victimes du terrorisme. Elle est belle, la Résistance de la République française !, cet “esprit de résistance français” tant vanté par un Président de la République cabochard qui plie sous l’Occupation “Islam-iste” et se plie aux demandes des “Frères Musulmans”. ]
C’est la dernière recommandation d’Arnaud BELTRAME.
Johnny sourit.
On dirait qu’il s’apprête à prendre sa guitare et à revêtir son costume de scène.
Une dernière fois, une toute dernière fois, pour accompagner la France dans sa “Marche blanche” pour les victimes du “terrorisme islamique”.
Une “Marche blanche” menacée d’annulation ?
[NON, ANNULEE, la “Marche blanche” est ANNULEE. Je viens de l’apprendre !]
– Par peur de…. ?
Des Islamistes ?
Eux qui occupent nos quartiers et se développent comme un cancer, une lèpre, en France.
– Ah, mais peut-être ne fallait-il pas le dire ?
Par contre, quand des “Musulmans” manifestent pour la Palestine contre Israël, avec une foule hurlant des slogans antisémites hargneux et haineux, le respect des règles administratives, nos autorités administratives… s’en fichent, elles aussi.
Jusques à quand les Français vont-ils supporter ce “deux poids, deux mesures” qui signe la lâcheté et la “soumission” de l’Etat français aux Islamistes ?
J’ai juste une question pour le Président de la République française, toujours la même question à poser au Président de la République, Emmanuel MACRON :
– “Après avoir pleuré nos morts
et ne pas avoir chanté la Marseillaise pour ne pas humilier et blesser les ennemis de la France
lesquels ennemis se réclament sempiternellement du même mot, le mot “respect”,
on fait quoi, Mon Général ? On faiblit.”
– C’est quoi, le titre militaire d’un Président de la France ?
Ah, il n’y en a pas.
Alors tout s’explique… peut-être…
La lâcheté, c’est aussi le terreau du “collaborationnisme”
[A celles et ceux qui ont voulu m’empêcher de publier cet article,
en espérant qu’ils ne fassent pas partie des forces de l’ordre, genre DGSI,
eux qui seraient la honte de notre beau pays, la France, par l’exercice de cette censure “indirecte et lâche”
mon blog “Dèu vos Guard” ayant été déconnecté d’Internet, UNIQUEMENT, le blog,
qu’ils soient maudits !
Comme le commande le Seigneur,
je secoue sur eux la poussière de mes sandales, même si ce ne sont que des pantoufles de salon.
C’est le geste qui compte contre ceux qui refusent d’accueillir la Parole du Seigneur.
Vous ne pourrez pas EMPECHER les Français, TOUS LES FRANCAIS, de S’EXPRIMER.
Vous ne pourrez pas “M’ARRETER d’ECRIRE”,
comme le hurlait l’avocate de Thierry ASSANELLI, Maître BUTHION-RIVIERE, lors d’une audience mémorable à la Cour d’Appel de Montpellier :
– “Arrêtez-là d’écrire !”
Soyez tous maudits, vous qui trahissez la France !
Amen]
N’oubliez jamais que, vous, Chrétiens, avez le pouvoir donné par Dieu de bénir…
mais aussi de maudire vos ennemis !
Il y a des guerres qui se gagnent par des ACTES DE FOI.
Jésus a demandé à Son Père de pardonner à ceux qui avaient voulu sa mort parce qu’ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient.
Mais Jérusalem, comme Lui-même l’avait annoncé aux Juifs, a été rasée, totalement rasée.
Le pardon n’appartient qu’à Dieu le Père !
[Luc 19, 41 à 48
Comme il approchait de la ville, Jésus, en la voyant, pleura sur elle, et dit: Si toi aussi, au moins en ce jour qui t’est donné, tu connaissais les choses qui appartiennent à ta paix! Mais maintenant elles sont cachées à tes yeux. Il viendra sur toi des jours où tes ennemis t’environneront de tranchées, t’enfermeront, et te serreront de toutes parts; ils te détruiront, toi et tes enfants au milieu de toi, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas connu le temps où tu as été visitée. Il entra dans le temple, et il se mit à chasser ceux qui vendaient, leur disant: Il est écrit: Ma maison sera une maison de prière. Mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs. Il enseignait tous les jours dans le temple. Et les principaux sacrificateurs, les scribes, et les principaux du peuple cherchaient à le faire périr;mais ils ne savaient comment s’y prendre, car tout le peuple l’écoutait avec admiration.]
“Ah ! si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix !”
Allez, encore un petit dernier pour la route vers le Paradis :
Marielle, IL T’AIME !
Les élèves de la 54ème promotion de l’Ecole Militaire InterArmes défilent en chantant SARIE MARES, Chant de tradition de l’EMIA. Film amateur réalisé le 15 novembre 2014 à Saint-Cyr Coëtquidan. Remise des Sabres.
Au Havre, la ville de Philippe, une école musulmane s’installe dans le presbytère
Par Auteur valeursactuelles.com / Vendredi 19 mai 2017 à 14:45
[ Coulisses politiques.
Le Havre, dont Édouard Philippe est le maire, devrait accueillir à la rentrée l’école Maurice-Bucaille, première école confessionnelle musulmane de Normandie.
À la recherche d’un terrain où construire l’établissement, la communauté musulmane du département a multiplié les contacts avec les élus du Havre, pour finalement obtenir de s’installer en lieu et place du presbytère de l’église Saint-Jean-Baptiste, rue Théophile-Gautier. La croix ornant l’édifice a d’ores et déjà été retirée et les travaux viennent tout juste de démarrer.
L’imam Aami Hassen.
Pour les financer, l’association en charge du projet peut compter sur l’appel aux dons des fidèles lancé par Aami Hassen (photo). Cet imam, dont la mosquée, à Aubervilliers, est connue pour être fréquentée par des groupes salafistes, a également créé la controverse pour ses positions à l’égard des mariages forcés. Menacé d’expulsion en 2013 par Manuel Valls pour avoir tenu des propos homophobes, il prêche toujours à Aubervilliers. Soutenu par la Mairie du Havre, son projet éducatif est d’offrir « le meilleur bagage, à travers une éducation complète alliant les apprentissages définis par le socle commun de compétences à ceux de l’islam ».]
[Après la visite de COLUCHE du même jour (en fait, j’ai encore attendu avant de publier cet article !), je mets en ligne cet article écrit par une “médium”, moi-même,
médium malgré moi.]
Une petite fille demande à communiquer avec ses parents.
Je ne suis pas “preneuse” car le malheur me rend peureuse.
Pour l’heure, je n’ai pas le choix.
Son malheur me bouleverse.
Qui prend la ligne ?
Qui prend la communication ?
“Recherche médium honnête et désintéressé-e.”
La communication devra être GRATUITE et naturelle, sans utilisation du “oui-jà” ou autres ustensiles de sorcellerie dits “supports de voyance”, instruments pour des aveugles “non-voyants” :
– verres baladeurs, tables tournantes et enregistreurs de sons “paranormaux”,
tellement paranormaux qu’ils ne captent pas la Vie
mais les “morts”,
les ombres des cimetières qui errent désespérément à la recherche d’un corps à posséder.
Voilà, pourquoi je suis là, sans support de voyance autre que l’amour de Maëlys pour ses parents et son attachement posthume pour d’autres personnes.
Hélène BOUVIER, médium christique, m’avait dit, lors d’une rencontre en 1988, que je terminerais comme elle, quoique je fasse.
Je ne pourrais pas échapper à mon “destin”, c’est à dire à son destin à elle : – plein de chats autour d’elle, un appartement misérable, un simple deux-pièces, près du cimetière du Père Lachaise à Paris, avec sa soeur handicapée à charge !
Chouette, non ?
J’ai donc tout fait pour ne pas “finir” comme Hélène BOUVIER, “médium christique”.
J’étais venue pour lui demander comment aller se terminer un “léger” problème professionnel,
l’enfance maltraitée dans l’Aube et doublement maltraitée par leurs parents et les institutions,
et Hélène BOUVIER m’avait alors répondu : – “Quoique vous fassiez, “ils” vous mettront dehors car vous êtes une médium christique comme moi. Vous ne pourrez pas échapper à votre destin !”
Je n’ai pas osé demander à l’époque combien elle gagnait par mois. La réponse était aussi évidente.
Hélène BOUVIER ne s’enrichissait pas car le Seigneur donne gratuitement. Et ce qui est gratuit ne peut pas être vendu, comme l’air qu’on respire, l’eau qui tombe du ciel ou la chaleur du soleil.
Naturellement réfractaire à une “communication” conduite sous l’emprise de l’émotion, je me méfie de moi et de mes… émotions.
Le pire manipulateur de l’être humain, c’est l’être humain lui-même quand il est submergé par le flot de ses émotions.
J’aime Maëlys.
Qui n’aimerait pas cette petite fille courageuse, aventureuse et “coureuse” ?
– “Coureuse”, non pas dans le sens vulgaire attaché à ce terme, mais dans son sens premier, intenable et parfois “insupportable”, comme la vie peut l’être, bouillante et brûlante,
quand elle nous arrache à nous-mêmes,
ou quand elle nous arrache un être qu’on aime,
à nous-mêmes,
la chair de notre chair,
le coeur de notre vie !
Courir pour vivre, courir non pas pour mourir !
C’est Maëlys qui a choisi cette photographie un peu floue.
Il me semble que je reçois cet adjectif “coureuse“, avec insistance, de Maëlys.
“Courir” POUR VIVRE.
Donc je doute.
Je doute à l’avance de ce que je vais écrire.
Si le doute est le moteur de la foi, je doute d’abord de moi et de mes “communications”.
Maëlys a insisté…,
[Si je ne suis pas folle !?]
– pour que j’écrive, pour que je l’écrive et que je décrive ce qu’elle a vu.
Pour elle, c’est plus “simple” de le suivre pour rester “attachée” à cette terre qu’elle ne veut pas encore quitter.
Ses parents, ses propres parents, ont trop de chagrin et ce chagrin dévaste de remords la petite fille.
[Elle expliquera plus tard dans l’article pourquoi elle a des remords.]
Maëlys ne supporte pas de voir sa maman pleurer et son père aller de long en large, comme dans une quête désespérée et sans fin, à sa recherche, alors qu’il n’y a plus d’espoir,
à la recherche de la Vérité.
Donc Maëlys a choisi de rester “attachée” à un gendarme qui ressemble physiquement à son papa et qui est lui-même père de famille.
Grâce à ce gendarme, elle peut suivre son affaire et partager ses découvertes.
Elle sait qu’il ne lâchera pas l’affaire !
Et d’autres aussi autour de lui.
Elle se sent bien avec eux.
Comme “protégée” au-delà de la mort par ces hommes contre les ombres qui l’envahissent, par la peur de la Vallée de la Mort.
En parlant d’elle, ils “l’évoquent”.
Ils lui permettent d’être encore en vie, c’est à dire “rattachée” à cette terre qu’elle a peur de quitter.
Ils communiquent à la petite fille leur volonté d’aller jusqu’au bout et de trouver la vérité, toute la vérité.
Ils lui donnent leur force et leur énergie.
Maëlys sait qu’ils font plus que leur possible puisqu’ils sont prêts à faire l’impossible pour trouver… ce qui est impossible à trouver, la VERITE.
Alors Maëlys les remercie à son tour, comme Allison, Allison BENITEZ.
La petite fille les remercie surtout de ne pas avoir cédé à la FACILITE d’avoir trouvé un coupable et de s’arrêter là.
– “Ce n’est pas aussi simple !”, dit Maëlys.
Mais Maëlys a peur.
Elle voit aussi, autour de ces hommes valeureux, “d’autres”…,
[Maëlys ne veut pas ou ne peut pas préciser sa pensée sur “d’autres”. Elle dit qu’on ne la croira pas.]
qui se cachent, oeuvrent dans l’ombre et s’affairent à dresser des obstacles,
jusqu’à envisager de dessaisir certains gendarmes trop “actifs” sur cette affaire de meurtre d’enfant.
Les “autres”…,
[terme VOLONTAIREMENT indéfini communiqué ainsi par Maëlys]
– sont prêts à aller jusqu’à “tuer” le ou les gendarmes qui seraient trop “investigateurs” dans leurs recherches.
Car les “autres” se plaignent que le “périmètre” de recherches s’étende “trop loin” et que ces “investigations” puissent “faire tomber” un ou plusieurs des leurs.
Il faut ARRETER les RECHERCHES !
Les gendarmes, ces gendarmes qui cherchent la VERITE, doivent comprendre qu’ils ont un COUPABLE et que l’affaire DOIT s’arrêter, là.
Sinon “gare à eux” [“sic”, expression de Maëlys] !
Maëlys ne veut qu’il arrive quelque chose au gendarme qui ressemble à son papa.
C’est pour ça qu’elle est venue me voir, “me parler”.
Et pas seulement à celui-là !
Certains de ces “autres” parlent déjà de “mutations”, de “mouvements dans les effectifs”, sous prétexte de renforcer la Brigade avec des “spécialistes” qui seront des “taupes”.
Des “taupes” de ces “autres”.
Maëlys m’explique qu’elle reprend leur vocabulaire à eux, aux “autres”, mélangé à son vocabulaire à elle.
Elle sait que son langage est un langage d’enfant.
Mais elle tente de retenir des termes “techniques” pour montrer qu’elle sait et que ce n’est pas son vocabulaire à elle.
Pour prévenir !
C’est trop triste de voir, de là d’où elle est,
les gendarmes qui font du bon travail et veulent connaître la vérité,
– c’est trop triste de savoir que “d’autres”, ces “autres”, sont déjà prêts à faire de ces gendarmes des “exemples”,
des “exemples” de ce qui peut arriver à ces gendarmes qui s’obstinent
s’ils n’écoutent pas leur hiérarchie, une “certaine” hiérarchie,
et s’ils refusent de lâcher prise.
Maëlys les entend, “les autres”, s’inquiéter et “comploter” contre le groupe de gendarmes qui fait du bon travail, du trop bon travail, surtout du “zèle”, à leur sens.
Et faire du “zèle”, pour les “autres”, c’est, reprend Maëlys,
– “foutre la merde en France !” -,
ce que reprochent méchamment “ces autres”
aux gendarmes qui ne veulent pas arrêter de chercher la vérité.
– C’est leur expression à eux, aux autres, “foutre la merde”, dit Maëlys, qui répète cette expression vulgaire avec une certaine crânerie, comme pour montrer qu’elle n’a pas peur de “ces autres” et leur prouver qu’elle les entend.
Ils disent et n’arrêtent pas de dire, “ces autres”, que reprendre d’autres affaires, parfois anciennes, c’est pointer du doigt tout ce qui n’a pas été fait et aurait dû être fait.
Ou que, pire,
c’est les “découvrir”, “les autres”,
“ces autres” pour qui ces “erreurs de procédure” ne sont que des “stratagèmes” ou des “stratégies” [Maëlys hésite sur le terme], leur permettant d’être “à couvert”, justement, de se cacher quand ils “sabordent”, dit Maëlys, volontairement des PV d’auditions ou autre chose .
[Voulait-elle dire “sabotent” ?] .
La petite fille me montre le gendarme qui ressemble à son papa au volant d’une voiture. Il se fait doubler par une autre voiture et la seconde voiture l’envoie au fossé. Ce sera “un accident” sur une route glissante dans un virage, une route de montagne avec un grand fossé, un fossé d’où on ne remonte pas.
C’est la “vision” de Maëlys, je le répète.
Maëlys ne veut pas que “ça arrive” d’autant plus qu’elle culpabiliserait davantage !
[Je n’essaie pas de faire de belles phrases et d’éviter les répétitions. Je tente de “coller” à la pensée de Maëlys.]
Ce serait encore de sa faute si ce papa gendarme venait à mourir car il se serait trop occupée d’elle.
Car “les autres” ne veulent pas que “des gendarmes” continuent de s’occuper de cette affaire.
La famille, “Mafia II”
Maëlys est en colère contre cette “administration” [mot curieux dans la bouche de la petite fille].
Du coup, l’enfant m’explique :
– Ils disent qu’ils sont “l’administration” et qu’ils font ce qu’ils veulent en France ! Alors moi, je reprends leur mot, le mot “administration”.
[Le Seigneur m’envoie un autre mot, plus fort et plus significatif, “la Firme”, cette entreprise luciférienne décrite dans un film avec beaucoup de “réalisme”.]
Par conséquent, Maëlys accepte de parler pour dire… que Nordahl LELANDAIS n’était pas “isolé” selon elle.
La rencontre :
Il y a eu des tentatives d’approche AVANT le mariage.
C’est pour cette raison que Nordahl LELANDAIS voulait aller à ce mariage dans lequel il n’était pas invité.
Parce qu’il la “connaissait” de vue AVANT et l’avait déjà suivie, Maëlys.
[Le Seigneur m’envoie le mot adéquat “repérer”. Nordahl LELANDAIS avait repéré AVANT la petite fille, avant la date du mariage.]
– Tout était PREMEDITE, affirme Maëlys.
Elle le connaissait déjà et s’en souvenait.
Elle l’avait déjà vu et il avait déjà tenté de parler avec elle.
Et c’est pour ça que le lavage de la voiture était PREMEDITE sous prétexte de vente de son véhicule.
Tout avait été étudié pour que l’enlèvement se déroule sans que Nordahl LELANDAIS puisse être incriminé.
Maëlys l’affirme.
L’enlèvement :
C’était d’abord comme un jeu.
[Ca, je l’ai toujours écrit.]
Comme se cacher dans la cabane.
[En effet, il y a longtemps, dans les premiers temps de l’affaire, je l’ai écrit, ce jeu de cache-cache avec Nordahl LELANDAIS, le “dragueur” qui lui demandait de l’attendre, cachée dans une cabane, pendant que tout le monde la chercherait.
Je l’ai écrit sur Twitter lorsque j’échangeais des hypothèses sur cet enlèvement avec un radiesthésiste vivant en Belgique qui affirmait, lui, que Maëlys avait été tuée quasi immédiatement dans la salle des fêtes.
Moi, je voyais une cabane, avec Maëlys cachée à l’intérieur, attendant le retour de Nordahl LELANDAIS.]
Avant d’abandonner le corps de la petite fille dans une zone montagneuse sur la commune d’Attignat-Oncin, Nordahl Lelandais dit avoir dans un premier temps caché la dépouille de sa victimedans une cabane près du domicile de ses parents, à Domessin, en Savoir. Ces deux endroits vont être scrupuleusement quadrillés, scrutés et analysés notamment pour essayer de trouver le lieu où a été tuée Maëlys le 27 août dernier.
Maëlys, au départ, était consentante, ce qui la culpabilise beaucoup.
Maëlys demande pardon !, pardon à ses parents d’abord, de ne pas les avoir écoutés.
Mais surtout, la petite fille a du mal à se pardonner à elle-même sa “complicité” avec le… ?
Est-ce Nordahl LELANDAIS qui a tué Maëlys ?
Je ne peux pas écrire le “meurtrier”.
Même si Nordahl LELENDAIS dit l’avoir tué, lui-même, “par accident”.
Maëlys rechigne sur ce terme.
Elle préfère “assassin”.
Pas de fausse joie pour les défenseurs de tueurs d’enfants !
Pour faire peur à ses parents, être recherchée, jouer !, elle a accepté de partir avec Nordahl LELANDAIS.
Il ne l’a pas enlevée.
Elle voulait jouer.
Elle était d’accord.
Oui, jouer…, c’était un jeu, un simple jeu.
Après, il devait la ramener, peut-être ou pas, sauf s’il l’épousait.
Cependant, elle a des circonstances atténuantes :
– Nordahl LELANDAIS n’était pas tout à fait un étranger pour elle [voir supra].
Maëlys reprochait à ses parents de ne pas assez s’occuper d’elle durant cette trop longue soirée.
Elle s’ennuyait… “à mourir”.
[Le “jeu” de mots morbide vient de Maëlys elle-même,
qui se moque d’elle avec une certaine lucidité
et regrette tant sa bêtise que vous ne pouvez pas l’imaginer !]
Maëlys s’en veut beaucoup. Elle croyait que quelqu’un qui aime les animaux, et surtout les chiens, ne pouvait pas faire de mal à quelqu’un d’autre.
Et puis, c’est si beau, un mariage !
C’est le rêve d’une petite fille déjà habillée en blanc, déjà prête à aimer l’homme de sa vie.
Car son nouveau copain lui affirmait que, lui, il l’aimait vraiment et qu’il serait toujours là pour elle. Il était devenu son amour secret, eux qui, tous les deux, avaient un autre secret en partage, l’amour des chiens.
[D’où la possibilité de cette rencontre antérieure, avant l’enlèvement, tant l’attachement de Maëlys à Nordahl LELANDAIS était “profond”.]
– Il serait, pour elle seule, l’amour de sa vie, pensait-elle.
Maëlys n’aime pas employer ces mots “nunuche”, mais c’est elle qui “me souffle” cette expression “nunuche” :
– Comme un “Prince Charmant”, son “Prince Charmant”.
– Elle ne serait plus jamais seule à attendre qu’on l’aime, m’explique-t-elle.
[J’ai déjà écrit ce “ressenti” dans un échange sur Twitter avec un radiesthésiste vivant en Belgique.
Et, lors de cette conversation, nos hypothèses étaient adressées aussi à un co-destinataire, un “casque bleu”, un observateur neutre :
– @gendarmerie sur Twitter.
Durant cet échange sur Twitter, j’avais ainsi évoqué “l’affaire des disparus de Mourmelon” où, à cette époque, un autre radiesthésiste avait permis de localiser dans les bois, selon lui, les corps des jeunes gens recherchés par la Gendarmerie.
Aussi, sur Twitter, je proposais au radiesthésiste “belge” de procéder comme l’autre radiesthésiste qui, lui, consultait à l’époque dans la ville de Troyes, à l’aide d’une carte routière et de son pendule pour trouver où était Maëlys.
Mais le radiesthésiste belge disait rester “bloqué” sur la “salle des fêtes”, avait-il écrit,
ce qui fondait sa certitude que Maëlys avait été tuée quasiment de suite à cet endroit.
Je ne partageais pas son avis et voyais Maëlys attendre dans une cabane, participant à un jeu dangereux qui n’était pour elle qu’un jeu de cache-cache.
L’affaire des “disparus de Mourmelon” “me hantait”, sans pouvoir donner de raison à cette “obsession” et je ne cessais pas d’évoquer cette affaire lors de cet échange ECRIT sur Twitter.
Je revoyais en boucle les jeunes pris “en stop” par l’adjudant Pierre CHANAL qui s’est suicidé par la suite.
L’Etat français a été condamné pour faute lourde dans cette affaire.
Et alors ?
Rien.
Aucune leçon n’en a été tirée et, comme d’habitude, personne n’a été sanctionnée, même administrativement, malgré les énormes bourdes accumulées dans cette autre affaire de disparition.
Aujourd’hui l’affaire Arthur NOYER rappelle effectivement l’affaire des “disparus de Mourmelon”, surtout si d’autres jeunes gens ont été en contact proche avec Nordhal LELANDAIS peu de temps avant leur disparition.]
Et aujourd’hui, acculé par les preuves accumulées, Nordahl LELANDAIS “menace” de se suicider.
En fait, par “télépathie”,
si je ne suis pas folle,
– je dirais et j’écris que Nordahl LELANDAIS a prétendu vouloir se suicider pour ne pas être “suicidé” par d’autres prisonniers.
Ses aveux font de lui un “tueur d’enfants” et, en prison, ceux que vous considérez, vous, comme des rebuts de la société, ont une morale bien plus dure que la vôtre avec les tueurs d’enfants :
– ils considèrent que tuer un enfant ne peut être puni que par la même peine, la peine de mort !
Qui l’ignore ?
Et d’ailleurs qui leur donnera tort parmi vous, vous qui vous pensez parfois être supérieurs à eux ?
Avouez que beaucoup d’entre vous pensent de la même manière, de manière identique.
Eux, ces prisonniers de l’ombre, qui sont si souvent condamnés plus durement pour un vol alimentaire que d’autres, des “cols blancs”, ne le sont pour des vols de sommes d’argent bien supérieures en numéraires ou sur des comptes bancaires,
eux, les délinquants de la rue, ont leur “morale” !
Et leur sens moral n’est pas “dépravé” par le luxe et la luxure comme les gens de la “haute société” qui n’en ont pas, eux, de morale.
Donc Nordahl LELANDAIS “feint”.
Comme à son habitude !
Il a été “encouragé” à le faire, à feindre la dépression, pour tenter d’apitoyer la presse d’abord, les jurés ensuite et parvenir à les convaincre qu’il est un garçon “sensible” :
– pas le “monstre de cruauté” que voudraient décrire certains médias,
– pas non plus un “psychopathe” antipathique distillant à doses homéopathiques sa vérité pour échapper à la réclusion perpétuelle.
Je l’écris selon ce que je “reçois” de lui,
pas ce que je “perçois”.
De plus, s’il se tait,
aucune preuve tangible n’étant apportée d’une VOLONTE de sa part de tuer Maëlys,
il sait qu’il pourra échapper à la prison à perpétuité.
[Je viens de découvrir, sur le journal Point, la publication d’un article qui défend le silence de Nordahl LELANDAIS et le système de défense adopté par lui-même et son avocat,
ne parler qu’en cas de découverte d’un indice probant car concordant,
sinon se taire !
Autrement dit ne pas concourir à la RECHERCHE de la VERITE.
Cet article du Point explique que le droit “maçonnique” pénal en France autorise les mensonges,
tous les mensonges,
dont le mensonge par omission, le silence du mis en cause,
qu’importe la souffrance des familles des victimes
et des victimes elles-mêmes, si elles sont encore en vie !
Par contre, si une vraie VICTIME dépose plainte contre un-e “mis(e)-en-cause”, il suffit que l’instruction démontre,
instruction diligentée par des magistrats “fraternellement” liés à la bande des coquins,
instruction diligentée de plus en plus contre des victimes vulnérables
ayant pour aboutissement le classement sans suite de la plainte de la victime
et, si saisine d’un-e juge d’instruction avec constitution de partie civile, ayant aussi pour aboutissement la notification d’une ordonnance de non-lieu,
que le VRAI COUPABLE est “innocent” sur la base de faux témoignages et de faux documents AUTORISES par la Justice !?, qui plus est !,
pour que le VRAI coupable puisse DEPOSER PLAINTE contre la VICTIME.
Ah enfin, le 20 mars 2018, j’ai retrouvé le gendarme, le héros de la petite fille, dont Maëlys m’envoyait l’image avec force et qu’elle voulait voir figurer dans “son” article,
[ Après près de 20 ans d’enquête, la vérité éclate enfin : Emile Louis avoue avoir tué 7 jeunes femmes, mettant fin à la tristement célèbre affaire des ” Disparues de l’Yonne “. S’il a fallu près de 20 ans aux enquêteurs pour confondre le chauffeur de bus, un homme, l’adjudant Christian Jambert, était convaincu de la culpabilité d’Emile Louis et ce dès le début des années 80. Christian Jambert décède en 1997, bien avant la conclusion officielle de l’enquête et l’on conclut rapidement à un suicide. Mais sa fille refuse cette conclusion et plusieurs autopsies seront pratiquées, les résultats restant flous. Aujourd’hui, l’affaire est toujours en cours d’instruction pour assassinat.]
Un des seuls réseaux avec de belles connexions parmi les VIP qui a falli être révélé est celui de l’Yonne, auquel on doit diverses disparitions, dont certaines sont encore ignorées de tous. On a pris soin dans cette affaire, comme dans beaucoup d’autres, de protéger ceux qui avaient le pouvoir, ceux qui devaient rester planqués.➤➤➤ http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/10/13/28201550.html
Le gendarme JAMBERT [qui me fait remarquer qu’un nom propre prend une majuscule au début, et non pas sur l’ensemble des lettres du nom, de son nom] lance un appel à ses “compagnons d’armes” :
“Il est temps d’arrêter ceux qui se prennent pour des aristocrates, cette caste privilégiée qui échappe à la Justice française !
Même Gilles de RAIS, héros de guerre, Maréchal de France, ex-compagnon de Jeanne d’Arc, a été condamné à mort pour pédophilie, tout Seigneur qu’il était à son époque”, me demande-t-il d’écrire.
“Cette référence historique, rajoute le gendarme Christian JAMBERT, devrait nous faire réfléchir sur ce qu’est devenue la République française, incapable de rendre justice aux pauvres de son pays, la France. [Je rappelle que les victimes du pédocriminel Emile LOUIS étaient des jeunes filles mineures, handicapées mentales, placées dans un foyer.]
Mais, pour Maëlys, c’est aussi une manière de prévenir les gendarmes qui enquêtent sur son affaire, de me présenter le gendarme Christian JAMBERT qui a aussi une fille.
“Tout sera fait pour que l’affaire s’arrête à l’arrestation du “rabatteur, tout“, avertit le gendarme JAMBERT. “Ils” ont trop peur que vous [ses collègues, les gendarmes] “remontiez” les réseaux de pédophilie !”
Qui paie les honoraires de l’avocat de Nordahl LELANDAIS, Maître Alain JAKUBOWICZ ? J’attends toujours de connaître la réponse.
Ainsi, se voit PUBLIQUEMENT l’effet pervers et logique des MENSONGES dans une procédure judiciaire,
mensonges couverts par des auxiliaires de justice,
des avocats.
Le VRAI COUPABLE peut à son tour déposer plainte contre sa VRAIE VICTIME pour DENONCIATION CALOMNIEUSE,
laquelle victime devient DOUBLEMENT VICTIME,
victime d’un COUPABLE, innocenté injustement, qui poursuit sa propre victime en justice,
victime qui devient doublement VICTIME de la Justice française qui lui a refusé Justice pour protéger un coupable et autoriser le COUPABLE, de manière inique et cynique, à faire taire définitivement la VRAIE victime,
ce qui est un DENI de JUSTICE.
C’est en France, c’était en 2013, c’était hier ! Trois jeunes femmes kurdes sont mortes assassinées sous les balles d’un ou plusieurs tueurs dans le quartier de la Gare du Nord. Elles se croyaient “protégées” en France.
Ainsi fonctionne actuellement la Justice française sur un DENI de JUSTICE profitant aux riches COUPABLES, ou aux COUPABLES appartenant à des réseaux pédo-maçonnico-mafieux qui ont les moyens de se payer des avocats “véreux”,
dits “auxiliaires de justice”
avocats “im-moralement” prêts à tout pour faire innocenter des COUPABLES,
prêts à sacrifier la VERITE et les victimes de ces mensonges.
La Justice française actuellement est bâtie sur un tissu de mensonges qui profite à une caste sociale bien en place.
Ce dépôt de plainte pour DENONCIATION CALOMNIEUSE d’un-e VRAI-e coupable contre son ex-victime, devenue très vulnérable, est l’arme de la “bande des coquins” avec un effet boomerang à l’efficacité mortelle contre des victimes sans défense,
déjà “cassées” par tout ce qu’elles ont subi.
Ce VRAI coupable, non seulement échappera à la Justice, mais il pourra faire aussi CONDAMNER sa victime pour avoir osé s’être attaqué à lui,
lui qui est devenu encore plus puissant, car réputé “être innocent”.
C’est un système judiciaire, en VERITE, MAFIEUX.
Le VRAI coupable aura utilisé tous les expédients AUTORISES par le droit français pour échapper à la Justice,
avec l’appui de ce système d'”in-Justice”
cette fausse Justice maçonnique qui finit par FAIRE CONDAMNER la victime d’un VRAI coupable
pour avoir osé déposer plainte contre un coupable menteur et dissimulateur.
Nous retrouvons ici la preuve de l’inversion maçonnique des valeurs morales et juridiques,
cette inversion qui fait du Bien le Mal et du Mal le Bien,
dans un monde diabolique où n’existent plus ni bien ni mal
un monde sans dieu.
De qui les parlementaires, pouvoir législatif, et les juges, pouvoir judiciaire, se moquent-ils en France ?
Des VICTIMES.
C’est un DENI de JUSTICE pour les victimes en France.
Sur l’article du journal en ligne le POINT, je découvre aussi que Nordahl LELANDAIS doit être entendu AUJOURD’HUI par les juges d’instruction, le 19 mars 2018 !
Un hasard ?
Les “visites” de Maëlys, présente depuis au moins la semaine dernière, s’expliquent.
Je sais maintenant pourquoila “petite Princesse” voulait que je rédige cet article à tout prix, malgré mes doutes, et dans l’urgence.
C’est une preuve de plus d’une “communication” post-mortem qui ne doit rien au “hasard” puisque Maëlys suit son affaire et la procédure judiciaire avec beaucoup d’attention, elle aussi.
Sa maman a raison !, la maman de Maëlys.
Maëlys ne laissera pas faire une justice qui n’est qu’injustice en France,
car c’est une justice maçonnique conçue pour défendre les coupables CONTRE leurs victimes.
Je mets en ligne l’article du Point publié ce jour, le 19 mars 2018, article du Point qui est peut-être à l’origine de mon article du 18 mars, puisque les révélations de Maëlys le précèdent d’un jour, grâce à l’insistance pressante de COLUCHE,
article publié le 18 mars 2018 à la demande de Maëlys, pour pouvoir faire entendre la “voix de la petite VICTIME”, sa VERITE à elle,
et dénoncer justement le silence de Nordhal LELANDAIS
et les stratagèmes de son avocat pour lui permettre d’échapper à la Justice “humaine”.
Le “hasard”, le dieu des Francs-Maçons qui ne savent rien et ne voient pas l’avenir, a voulu que :
mon article “CROIX-se” l’article du Point qui met en exergue pudiquement et prudemment
les contradictions d’une Justice française qui travaille avec des “auxiliaires de justice“, des avocats, pour concourir tous ensemble à la recherche de la VERITE
mais autorise ces mêmes avocats à utiliser tous les moyens, fussent-ils les plus immoraux !, pour faire innocenter des coupables,
fussent-ils aussi, dans le cas présent, des “tueurs d’enfants” !
Et des dealers,
n’est-ce pas Maître Alain JAKUBOWICZ qui prétendiez ne jamais vouloir défendre ni un dealer ni un tueur d’enfants ?!
La Belgique, une petite France, la France, une grande Belgique !
Au fait, rappelez-moi !, qui paie les frais d’avocat, du très “cher” avocat, Alain JAKUBOWICZ,
dont on sait de lui qu’étant un avocat franc-maçon réputé, Maître JAKUBOWICZ ne travaille pas “gratuitement” pour défendre la Veuve et l’orphelin,
ainsi que la plupart des autres avocats, “fils de la Veuve”, avides de pouvoir et d’argent !
[Affaire Maëlys : le droit au silence coûte que coûte ?
Nordahl Lelandais a attendu d’être confronté à des preuves irréfutables avant d’avouer partiellement. Une attitude défendue par son avocat.
Source AFP
Modifié le – Publié le | Le Point.fr
Nordahl Lelandais a rendez-vous ce lundi avec les juges : en dira-t-il plus sur la mort de Maëlys, lui qui n’a avoué qu’en étant confronté à des preuves irréfutables ? Les parties civiles en doutent. Elles fustigent depuis le début de l’affaire son attitude, qui ravive le débat sur les droits et le rôle de la défense. « Qu’on ne vienne pas nous dire que le mis en cause œuvre à la manifestation de la vérité », a lancé le 8 mars Me Fabien Rajon, l’avocat des parents de la fillette, reprochant au conseil du suspect, Me Alain Jakubowicz, de l’avoir soutenu dans ses dénégations.
« En mentant à tout le monde, il m’a menti à moi aussi », s’est justifié ce dernier après le revirement de son client et la découverte du corps de l’enfant, tout en soulignant que ce n’était pas un délit : Nordahl Lelandais avait le droit d’« exprimer une vérité qui s’est avérée inexacte », a dit Me Jakubowicz. Une position « inacceptable » face à la douleur des parents, rétorquent les parties civiles, pour qui la famille de Maëlys a été « prise en otage » durant six mois par la défense alors que le dossier aurait dû l’inciter à « coopérer ».
La vérité n’est pas leur souci premier.
Mais est-ce là son rôle ? « Pas du tout, cela ne ressort d’aucun texte. C’est le devoir du juge de découvrir la vérité ; celui de l’avocat est de défendre son client. Ce qui n’empêche pas de l’inciter à avouer quand les preuves sont là », répond à l’AFP Me François Saint-Pierre, pénaliste lyonnais connu notamment pour avoir défendu Maurice Agnelet dans l’affaire Agnès Le Roux. Le mot « vérité » ne figure en effet ni dans le décret du 12 juillet 2005 relatif aux règles de déontologie de l’avocat, ni dans le règlement intérieur national de la profession, pas plus que dans le serment prêté par ses membres.
Les pénalistes le reconnaissent : ils « disent tous qu’elle n’est pas leur souci premier », constate Edwige Rude-Antoine, directrice de recherche au CNRS (Centre national de la recherche scientifique), qui a suivi de nombreuses robes noires dans les prétoires de l’Hexagone, plusieurs années durant, pour son livre L’Éthique de l’avocat pénaliste, paru en 2014. Beaucoup d’entre eux estiment qu’il vaut même mieux « avoir un doute sur la culpabilité », souligne cette juriste : pour bâtir sa défense, l’avocat s’interroge sur « la crédibilité de la parole de son client » par rapport aux éléments du dossier, à charge et à décharge ; il est « à la recherche du vraisemblable » et « libre de discuter les preuves adverses ».
[…]]
Mais le silence de Nordahl LELANDAIS prouve au contraire son indifférence totale et fatale envers ses victimes et l’entourage de ses victimes.
Cependant, je n’ai pas de Maëlys que ce serait lui seul le coupable ?
Car la petite fille n’est pas en accord avec cette écriture : “le crime qu’il a commis”.
Dois-je comprendre qu’il y avait ou qu’il y aurait un complice ?
– “Oui”, me dit Maëlys, sans vouloir ou pouvoir m’en dire plus.
Je continue sur ma lancée sur la psychologie de Nordahl LELANDAIS.
Son insensibilité par rapport au chagrin immense des parents de Maëlys,
parents qu’il a laissé vivre dans la torture du silence et des jours qui passaient sans nouvelles de leur enfant
me fait fortement douter de la “fragilité” psychologique de Nordahl LELANDAIS.
Si Nordahl LELANDAIS était doux et gentil, il “craquerait”, fondrait en larmes, le corps secoué de vrais sanglots d’homme trouvant abominable son acte.
Et donc, se repentant publiquement, il soulagerait sa conscience en décrivant ce qui s’est passé avec Maëlys.
Il serait horrifié par la mort “accidentelle” de cette enfant et expliquerait, accablé par son geste, comment et pourquoi ce ne fut qu'”un accident”.
Là aussi, Maëlys n’est pas d’accord avec mon écriture.
Elle réfute “l’accident”, la thèse de l’accident.
J’en profite pour tenter d’avancer,
ou plutôt reculer dans le temps,
ce temps si pesant pour elle de cette fuite, car elle fuyait avant de mourir.
– “Non, maintient Maëlys, ce n’était pas un accident.”
L’enfant ne sait pas quand elle est morte.
C’était :
– “Cours, Maëlys !”
Avec des rires gras.
C’était :
– “On va t’avoir, petit animal”.
Pour Maëlys, Nordahl LELANDAIS n’était pas seul.
Et elle refuse de me dire qui lui a donné le coup de poing au visage, mais, par moments, je distingue, me semble-t-il, la tête de Nordahl, l’homme de sa vie, penché au-dessus du corps de la petite fille et la tirant violemment par le bras pour l’obliger à se mettre à genoux,
une fois que celle-ci est tombée à terre du lit où elle était assise.
Ce lit d’où elle venait de…
Comment l’écrire ?,
– avoir sa “nuit de noces”.
[Attention, les défunts ne sont pas des “saints” ni des “dieux tout-puissants”.
Ce que je veux dire, c’est qu’ils peuvent ne pas tout dire, mentir par omission pour se protéger ou protéger même un salaud ou une salope qu’ils aiment encore,
– ou tout simplement ne pas savoir ce qui s’est réellement passé et ne pas pouvoir décrire, sauf à leur manière, par “reconstruction de souvenirs fictifs”, une scène qui pourra s’expliquer “rationnellement” tout à fait autrement.
Ainsi quelqu’un qui est noyé dans vingt centimètres de hauteur d’eau, l’eau d’une mare, après avoir été assommé, ne pourra JAMAIS vous dire qui l’a tué. Pas encore mort, s’il a été inconscient avant sa mort, il “reconstituera” une histoire de sa mort, comme vous-même pourriez le faire, à l’aide des informations qui lui sont données ou qu’il a trouvées. Il pourra prétendre que celui qui l’a assommé est son assassin, ce qui paraît logique pour lui mais peut être absolument faux.
Les gens crédules qui font la “table tournante” en demandant aux morts de leur dire la vérité sur tout et rien sont stupides. Les morts sont des “vivants”, comme vous et moi. Ils ne savent pas tout.
Et si vous “tombez” sur tante Germaine qui sait tout et connaît même l’avenir, soyez sûr que… ce n’est pas un “fantôme”, l’esprit d’un être humain, mais plutôt un “aimable” diablotin qui fait tout pour se faire “aimer” de vous. Jusqu’au jour où… tante Germaine fera tout pour vous faire peur !, par jeu. Car les démons sont très joueurs, au début, surtout avec vos peurs. Et il est vrai que le Diable, notre Accusateur devant Dieu, connaît tout de nous. Donc, lui, “l’esprit” de papy Mougeot ou de tante Germaine, il sait et peut répondre sur tout, sans oublier que, pour jouer, il pourra mentir ensuite sur tout,
jamais sur le passé, votre passé qu’il connaît si bien,
mais mentir sur votre avenir pour vous manipuler et vous pousser à commettre des erreurs.
Vous ne serez plus libres de vivre votre vie, de “choisir” votre voie, vous serez “sous emprise”.]
Allison BENITEZ, “l’ange-guide” de Maëlys, l’a affirmé, la première, et le Seigneur me l’avait confirmé.
Il faut TROUVER la vidéo, peut-être copiée sur une clef USB.
Dans un coffre de voiture ?
Pas celle de Nordahl LELANDAIS.
Peu à peu, les informations que j’avais reçues, trouvent “sens” :
– l’affaire des “disparus de Mourmelon” avec la disparition d’Arthur NOYER et d’autres jeunes gens,
– ainsi que les réseaux de pédophilie puisque des preuves de consultations de sites pédophiles ont été retrouvées sur le disque dur de l’ordinateur de Nordahl LELANDAIS.
Il faut aussi tracer les mouvements bancaires suspects, en dépassant la simple sphère familiale.
Le complice peut être étranger à la famille.
“Les complices”,
car le pluriel n’est pas à exclure.
Même si et surtout si Nordahl LELANDAIS se terre dans son silence et s’enferre dans sa défense doublement “suicidaire”.
Ce qu’il ignore, malgré toutes les promesses qui lui ont été faites, s’il ne parlait pas,
ce qu’il ignore,
c’est qu’il sera perdant,
le seul perdant dans cette affaire sordide.
Moi, je maintiens que Nordahl LELANDAIS a joué à un jeu sexuel avec Maëlys, un faux mariage qui a mal tourné,
après un jeu de cache-cache qui devait emporter l’adhésion de la fillette à son propre enlèvement.
Un jeu qui ne pouvait que mal tourner.
Je maintiens qu’une vidéo a été tournée lors de cette partie de “touche-touche” et de “tourne-fesses”
et que cette vidéo est actuellement en vente sur des réseaux spécialisés
même si le réseau de diffusion, genre “Société DEFI” de Rivesaltes, village proche de Perpignan,
société qui avait servi dans l’affaire DUTROUX à vendre des “snuff-movies”,
même si ce réseau de diffusion, cette société de diffusion ne sont pas “encore” connus des enquêteurs mais “ça ne saurait tarder”, selon le Seigneur.
Le lanceur d’alerte, Marcel VERVLOESEM, est en prison mais les pédophiles, eux, continuent leur “commerce” lucratif et morbide.
Sans que je puisse savoir pourquoi, sur la fin…, je voyais avec entêtement,
Maëlys “déguisé” en petit garçon, cheveux coupés court, habillé comme un travesti.
Etait-ce le fantasme de Nordahl LELANDAIS ?,
un petit garçon.
Cette image n’a pas cessé de me “hanter” pendant quelques semaines.
A l’époque, la presse n’avait pas éventé les liens de Nordahl LELANDAIS avec des sites de rencontres homosexuelles.
Aujourd’hui, j’avoue que je me trouve “moins folle” d’avoir capté ces images de Maëlys déguisée en petit garçon, vision qui s’imposait à moi, jusqu’à être réveillée le matin avec la “photo” de ce “petit garçon”, ressemblant tellement à Maëlys !
Mais qui serait-ce ?
Je ne dis pas que c’est ce petit garçon qui est une autre victime. Lui est mannequin professionnel. C’est juste une “image” approchante de ma vision.
Allison BENITEZ est venue me le demander aussi, en me montrant ce qui se allait se passer si je ne l’écrivais pas.
Mais peut-être ne pourrons-nous pas l’éviter ?, même si je l’écris “avant”.
Allison suit aussi l’affaire, elle piste les “chercheurs de vérité”, elle survole les scènes de crime, visite les cellules de prison et les bureaux des avocats.
Elle veut SAVOIR.
Comme les gendarmes qui recherchent la VERITE.
Pas seulement un “coupable”.
Connaître la VERITE.
Car le “coupable” va se suicider.
Lui, il pense que “non”.
Moi, j’écris que “oui”.
Ce suicide ne sera pas “VOLONTAIRE”.
Et si je l’écris, c’est pour l’éviter.
C’est là qu’Allison intervient.
Elle est allée chercher dans la tête de ceux qui ont peur que leurs projets criminels soient découverts et qui veulent rester “cachés”.
Quitte à faire mourir d’autres innocents !
Et c’est Allison elle-même qui prévient aussi de ce “faux suicide” à venir,
comme dans l’affaire de son père, “retrouvé” pendu à la rambarde d’une fenêtre de la caserne des Légionnaires, une cagoule noire sur la tête !
Un commentaire de légionnaire, suffisamment explicite sur cette pendaison, avait été publié dans un journal local, commentaire non relevé par le Parquet de Perpignan, semble-t-il :
– “Justice a été faite par la Légion. L’honneur de la Légion Etrangère a été lavé dans le sang, comme c’est d’usage. La famille, c’est sacré pour les Légionnaires.”
Mais qui a enquêté sur le “suicide” de Francisco BENITEZ dont le corps a été incinéré RAPIDEMENT ?
Personne.
– “Mon père ne se serait JAMAIS suicidé dans des “sanitaires”, quelle honte !, affirme Allison. Il aurait choisi un endroit “propre et beau” lui faisant “honneur”.
Et la cagoule noire, c’est la “cagoule/preuve” d’une EXECUTION à la mode franquiste.”
[Les mots “cagoule/preuve” se bousculent et se chevauchent dans ma tête comme si Allison ne pouvait pas choisir ou m’envoyait avec FORCE sa conviction.]
Allison m’a demandé de mettre en ligne au moins un article prouvant ce fait, un simulacre d’exécution à la franquiste qui n’avait pas échappé à des journalistes “intelligents”.
[Avec l’accord d’Allison, j’ai choisi un article du journal gratuit “20 mm” parce que ce journal met souvent le doigt sur ce qui pose question,
sur ce qui est “le problème”.
Le mépris de ce siècle, “siècle des marchands”, pour tout ce qui est gratuit provoque le dédain des “bobos” et des “intellos” envers ce journal GRATUIT parce qu’ils craignent la clarté de langage et la simplicité de la VERITE.
Il faut beaucoup de talent pour dire en peu de mots “l’essentiel”, l’essence de la Vie.]
– “Comment n’avez-vous pas pu voir une telle EVIDENCE ?, s’interroge Allison. La cagoule, c’est la cagoule du condamné à mort en Espagne. Or Francisco BENITEZ, mon père, ce salaud, est un Espagnol.”
[Allison prononce le nom de son père, Francisco BENITEZ, dit “Paco” “à l’espagnol”, comme si elle l’imitait encore, allant jusqu’à mimer son comportement martial, buste avantageux et sourire de séducteur prédateur. ]
Disparues de Perpignan: La macabre mise en scène du suicide de Francisco Benitez
FAITS DIVERS – Le légionnaire ne s’est pas suicidé discrètement, à l’abri des regards…
W. M.
Publié le 13/09/13 à 00h00 — Mis à jour le 29/01/14 à 15h07
[ Selon un policier, dont les propos sont rapportés par le quotidien régional, «il a accroché une corde avec un mousqueton à la rambarde d’une fenêtre du premier étage, donnant sur la cour intérieure de la caserne, il a recouvert sa tête d’un foulard sombre, qui lui masquait le visage, du front au menton. […] Et puis il s’est jeté dans le vide, à travers la fenêtre».
Exécution publique
Les policiers en charge de l’enquête s’interrogent. Pourquoi cette mise en scène théâtrale? Cette dernière rappelle la mise à mort publique, telle qu’elle était pratiquée sous l’Espagne franquiste jusqu’en 1974, caché sous une cagoule à l’aide d’un garrot. Références à un passé caché?
Midi Libre explique que les légionnaires entendus dans le cadre de cette enquête «semblent avoir été peu loquaces face aux policiers». A-t-il bénéficié de l’aide d’un complice pour cacher les corps, toujours introuvables? Les enquêteurs ne l’excluent pas.
Quoi qu’il en soit, les questions autour de cette macabre mise en scène restent sans réponse.]
De même que l’on ignore “publiquement” le nom de la juge d’instruction qui s’est distinguée par sa “compétence” sur ce dossier.
Vous noterez en effet que, contrairement à toutes les affaires judiciaires “rapportées” par la presse, la juge d’instruction n’est pas nommée.
Cette incompétence pourrait-elle expliquer l’acharnement judiciaire de certain-e-s juges d’instruction du Palais de “l’in-Justice” de Perpignan à vouloir me faire condamner dans des affaires ubuesques !,
pour assistance syndicale apportée à des agents vulnérables et sans défense,
contre des chefs de service, eux très protégés, à la fois “fraternellement et politiquement” ?
A Perpignan, c’est un crime d’Etat pour ces magistrats
que de s’opposer “aux chasses des Comtes Zaroff”
in english, “The most dangerous game”,
loisirs très prisés par certains chefs de service qui doivent s’ennuyer dans le lointain département des Pyrénées-Orientales !
A défaut de traquer les dealers, les voleurs et les violeurs, ces “Maîtres” si “grands” chassent le gibier local sur leurs terres, celles de la Police Nationale.
De temps en temps, abattre un agent de la Police Nationale, for the fun,
ça remotive les troupes !,
à défaut de savoir les gérer par la motivation de la recherche de la VERITE
et par un esprit de corps qui soude la troupe dans les épreuves les plus dures.
La Police Nationale n’est pas “militaire”, c’est sûr.
Elle est devenue l’antichambre des Loges maçonniques et sert les intérêts particuliers des copains de la bande de coquins qui dirigent ce pays.
Je rajoute un autre article d’un journal LIBRE, le “Midi Libre”, le si bien-nommé,
puisqu’un courageux journaliste OSE rappeler
que le Parquet de Perpignan AVAIT MENTI sciemment
sur la mise à mort de Francisco BENITEZ,
en prétendant que le Légionnaire se serait suicidé dans des toilettes de la caserne “private closet”.
D’où les protestations d’Allison BENITEZ qui affirme que son père était un maniaque de la propreté et qu’il n’aurait pas supporté de mourir dans un pareil endroit.
Ma conviction est la suivante
et je la maintiens car je l’ai “reçue” “avec une certaine violence” comme telle :
– Francisco BENITEZ devait “se suicider” pour l’honneur de la Légion Etrangère.
En clair, pour parler sans hypocrisie, la Légion Etrangère savait.
Elle a lavé son linge sale “en famille” parce que, dans la Légion Etrangère,
“la famille, c’est sacré”, comme l’avait écrit un Légionnaire dans un commentaire.
Vous noterez d’ailleurs, à la suite de cet article, que les commentaires sont non seulement fermés aujourd’hui à l’ajout d’autres commentaires, ce qui est normal, mais que les commentaires publiés ne sont plus “lisibles”, pas accessibles à la lecture.
La Légion Etrangère a voulu faire passer un message :
– Justice a été rendue !
Les Légionnaires ont vengé Allison et sa maman, en exécutant le coupable qui était pourtant l’un des leurs,
et parce que Francisco BENITEZ était un des leurs.
Le Palais de Perpignan avait failli, ce “Palais de l’in-Justice” où les coupables sont protégés s’ils sont copains avec la bande de coquins locale et nationale.
La vidéo, avec un Francisco BENITEZ en larmes, a été tournée juste avant son suicide pour cautionner le futur “geste de désespoir” du Légionnaire.
Et si le père de famille meurtrier était en larmes dans cette vidéo, c’est parce qu’il se savait condamné à mourir
par les siens, sa famille,
son autre et seule famille, la Légion Etrangère.
Si Francisco BENITEZ avait été innocent, il aurait remué ciel et terre pour retrouver sa fille chérie, Allison.
Un père ne se suicide pas quand sa fille unique disparaît !
Et un père éploré n’invite pas sa maîtresse espagnole dans l’appartement où il vient de tuer son épouse, la mère de sa fille unique, Marie-José et sa fille unique, Allison. Laquelle maîtresse témoignera par la suite, comme certains voisins, de la prégnance d’odeurs répugnante, “d’odeurs de cadavres”. Francisco BENITEZ lui aurait répondu qu’il devait s’agir de rats morts dont les corps pourrissaient dans les canalisations du petit immeuble.
Je rajoute un lien vers un autre article d’un journal connu pour son sérieux, l’Express,
prouvant qu’une semaine à peine après avoir tué son épouse et sa fille,
Francisco BENITEZ copulait gaiement avec sa maîtresse espagnole
sur le lieu même de ses deux crimes, l’appartement familial à Perpignan.
[ Perpignan – Un an après leur disparition le 14 juillet 2013 à Perpignan, Allison Benitez, 19 ans, et sa mère Marie-Josée 53 ans, demeurent introuvables. Les pistes pour retrouver leurs corps se raréfient.
Ainsi, les enquêteurs ont pu déterminer que la maîtresse de Benitez au moment des faits, une Espagnole installée à Barcelone, s’était rendue à Perpignan une semaine après la disparition d’Allison et Marie-Josée et qu’elle y avait rencontré le légionnaire. […]]
Francisco BENITEZ, dès le départ de l’affaire, n’a pas arrêté de mentir,
inventant cyniquement la “fugue” d’Allison à Toulouse avec sa maman, son ex-épouse
alors qu’il venait de les tuer, toutes les deux.
Le veuf éploré versait des larmes sur son futur sort peu enviable.
La lettre d’adieu a été écrite sous contrainte pour la même raison que la vidéo a été diffusée :
– faire croire au suicide POUR QUE LES INVESTIGATIONS S’ARRETENT !
Ne pas salir l’honneur de la Légion Etrangère,
mais peut-être pas seulement.
Et toutes les émissions télévisées sur l’affaire Francisco BENITEZ reprennent, comme les “médias imbéciles”, la version du “suicide”.
Posez-vous la question de savoir pourquoi le Parquet de Perpignan A MENTI sur le lieu du suicide et les modalités d’une mise à mort singulière ?
Parce que le mode d’exécution est CLAIREMENT, comme l’affirme Allison, une condamnation à mort par pendaison ou garrotage.
Au moment du lever du drapeau, vers 06H00 du matin,
[information donnée par Allison et retrouvée dans un journal anglais qui lançait un appel à témoins],
la Légion Etrangère a rendu VOLONTAIREMENT cette exécution PUBLIQUE pour que les habitants de Perpignan sachent que justice avait été rendue à la mère de famille et à sa fille.
D’ailleurs des témoins sur place ont raconté avoir été choqués par le spectacle macabre de ce pendu qui se balançait au bout d’une corde contre un mur de la caserne militaire, alors que la caserne de la Légion Etrangère se trouve à proximité immédiate d’un établissement public d’enseignement du secondaire, un collège.
Pourquoi le corps de Francisco BENITEZ a-t-il été incinéré aussi rapidement ?
Et si, aujourd’hui, il m’est demandé par Allison, victime d’un père “suicidé”
– et par la courageuse petite Maëlys qui veut protéger le gendarme qui ressemble à son papa,
de rappeler et “revenir” sur ces “suicides” qui n’en sont pas
et de vous remémorer le “suicide de Francisco BENITEZ qui n’en était pas un,
soyez sûrs qu’il y a une bonne raison !
POSEZ-VOUS LES BONNES QUESTIONS !
Je mets l’article du “Midi Libre”, aux commentaires CENSURES, en ligne pour apporter une autre preuve de ce fait, l’exécution publique de Francisco BENITEZ :
Disparues de Perpignan : l’ultime mise en scène macabre de Paco Benitez
il y a 1647 jours 43 FRANÇOIS BARRÈRE
Contrairement à ce qui avait été affirmé dans un premier temps, le légionnaire soupçonné d’avoir tué son épouse et sa fille Allison ne s’est pas suicidé à l’abri des regards, dans les sanitaires de la caserne, mais s’est jeté à travers une fenêtre après avoir passé une corde autour de son cou.
“La scène était hyper impressionnante. Ce type en uniforme, avec ses rangers, ses décorations et son foulard autour de la tête, accroché au bout d’une corde, sur le mur de la caserne…” Plus d’un mois après le suicide Francisco Benitez, dit “Paco”, les témoins qui se sont rendus ce matin-là sur place peinent à effacer cette image de leur esprit. Car contrairement à ce qu’avait indiqué en conférence de presse le parquet de Perpignan le 5 août dernier, le légionnaire soupçonné d’avoir tué son épouse et sa fille Allison ne s’est pas suicidé à l’abri des regards, dans les sanitaires de la caserne. Selon plusieurs sources policières, il a même fait tout le contraire.
Une scène hyper impressionnante
Un policier allé sur place “Il a accroché une corde avec un mousqueton à la rambarde d’une fenêtre du premier étage, donnant sur la cour intérieure de la caserne, il a recouvert sa tête d’un foulard sombre, qui lui masquait le visage, du front au menton”, indique l’une de ces sources. “Et puis il s’est jeté dans le vide, à travers la fenêtre.”
Pourquoi cette mise en scène macabre et théâtrale, qui rappelle une scène du film “Hannibal”, où un personnage est ainsi mis à mort, au fronton d’un palais florentin ?
Pourquoi cet homme a-t-il absolument tenu à mettre fin à ses jours au cœur de cette institution militaire à laquelle il appartenait depuis 27 ans ?
Enfin, pour terminer cet article qu’il m’a coûté d’écrire,
particulièrement à cause d’attaques informatiques sur lesquelles je reviendrais rapidement à la demande du Seigneur,
– car je dois faire savoir ce qui se passe en France contre les “chercheurs de VERITE”
ou les lanceurs d’alerte si détestés,
je vous fais savoir aussi que j’ai volontairement,
et sans l’accord de Maëlys,
censuré la partie “nuit de noces” que j’intitulerais volontiers “Las bodas de sangre” pour reprendre le titre d’une oeuvre célèbre écrite par le poète Federico Garcia LORCA.
Parce que je ne voulais pas nourrir les “goules”,
tous ceux qui sont à l’état de larves mentales,
et qui se plaisent à lire des horreurs
dont ils peuvent même s’inspirer par la suite pour commettre à leur tour d’autres crimes.
Ensuite, la raison principale est que j’imagine sans trop d’efforts, étant moi-même “maman”, ce que cette lecture pourrait provoquer comme souffrance chez des parents déjà dévastés par le chagrin et par l’injustice “de ne pas savoir”.
J’écris ” souffrir de ne pas savoir”
et, dans le même temps, je me rends compte que c’est contradictoire avec ma décision de taire ce que j’ai cru “percevoir” à travers un brouillard d’émotions humaines “insurmontables”, tant c’était dur à “contrôler”.
Mais, pour l’instant, c’est IMPROUVABLE !
Attendez… J’ai bien lu “Jacques TOUBON”, l’actuel “Défenseur des Droits” en France ?!
Tant que les gendarmes n’ont pas retrouvé la vidéo de “Las Bodas de Sangre”.
Or la recherche de la VERITE implique de douter et de toujours tout VERIFIER.
Pas de “croire” de prime abord
parce que ce serait du domaine du “paranormal”.
Auquel cas, ce serait alors de la “superstition” et non plus de la “raison”.
Maëlys mérite mieux qu’un réflexe superstitieux !
La VERITE doit être protégée
et ceux qui recherchent la VERITE,
les gendarmes, les militaires et les policiers honnêtes, doivent être protégés des “prédateurs” qui sont en place,
prédateurs trop “bien-placés”, très haut placés, dans notre société de loisirs où tout plaisir est autorisé aux plus riches et aux plus puissants,
puisque l’argent, vecteur de corruption des âmes et du corps, est actuellement le seul signe de puissance dans ce siècle de vices, de sévices et de supplices en tous genres.
“Car tel est mon bon plaisir ” pourrait être la devise de ces gens qui se croient au-dessus de toute loi humaine, pas faite pour eux,
et qui placent leurs désirs au-dessus des lois divines !
Actuellement je suis plus “fliquée” que ne l’est un-e djihadiste portant un bracelet électronique,
ce qui revient à fliquer et à ficher ceux qui cherchent à entrer en contact avec moi,
sachez-le !
Qui sont mes “garde-chiourmes”, “surveillants pénitentiaires” puisque je suis en pénitence ?
Tout ce que je sais, c’est que le Seigneur s’en amuse et éclate de rire à chaque fois que je me et Lui pose la question.
Lui, ça l’amuse,
que ces petits hommes puissent ainsi croire qu’ils vont pouvoir jouer avec Lui !
Qui peut tuer Dieu ?
“Pourquoi ne vous réjouissez-vous pas de savoir qu’il y a,
non pas une autre vie après la mort,
mais la Vie ?”
– “Auriez-vous peur de Moi ? demande encore le Seigneur.
Auriez-vous peur de Mon jugement, juges iniques et policiers corrompus ?”
– “Vous pourrez effacer tous les fichiers, toutes les vidéos, tous les mails du “messager”, vider son ordinateur comme vous le faites régulièrement par intrusion, détruire tous ces contacts,
vous n’arriverez pas à effacer la Mémoire de la Vie,
ce que vous appelez ici-bas, dans vos écritures sacrées, le “Livre de la Vie“.
Vos pensées, vos moindres pensées, vos actes, vos velléités d’actes, tout est marqué.
Lisez et relisez les Evangiles.
La “Bonne Nouvelle” est pour celles et ceux qui Me suivent !
Pas “les autres”.”
[Le Seigneur semble reprendre volontairement l’expression de Maëlys, “les autres”.]
“Vous êtes LIBRES, “les autres”, de vous damner “si tel est votre bon plaisir”.
Profitez bien de votre séjour sur terre, de cette vie de plaisirs pour des désirs éphémères qui ne sont jamais assouvis tant votre faim grandit de sensations physiques et d’émotions psychiques négatives !
Car c’est une Eternité qui vous attend en Enfer.
Et Satan a déjà hâte de vous accueillir pour se nourrir de vous et de vos énergies négatives,
vous-mêmes qui, comme la Bête, vous nourrissez des peurs et des malheurs des pauvres gens que vous tuez ou que vous acculez au suicide.”
You are the winner for the moment until you die and then :
Pour relire l’article du 07 septembre 2017 qui est l’une des preuves de la communication médiumnique avec Allison BENITEZ sur l’affaire de la disparition de la petite Maëlys De ARAUJO, il suffit de cliquer sur ce lien ci-dessous,
lien d’un article de mon blog faisant lui-même référence à un premier article du 02 août 2017 sur la disparition annoncée d’une jeune fille :
Voyance – Affaire “Maëlys” – Mon rêve du 02 août 2017, AVANT L’ENLEVEMENT DE LA JEUNE FILLE : – des tables de banquets, une réunion avec les parents de la jeune fille dans une salle communale, des parents en souffrance à la sortie de cette réunion, une jeune fille enlevée à sa vie de famille, la soeur de la jeune fille dans sa chambre avec une amie, une petite maison au bord d’une étendue d’eau, et surtout, les chiens, indice étonnant. D’où la question posée sur l’intérêt porté “au-x” “chien-s” par la jeune fille enlevée. Vérifiable sur le lien de l’article
Allison veut que je commence par remercier la Gendarmerie française pour le travail remarquable qu’elle a réalisée en un temps records,
élucider un meurtre d’enfant en six mois !
– temps comparé, hélas, à son affaire restée une énigme, avec deux disparitions sans corps et sans meurtrier,
à cause des multiples “ratés” qui peuvent être constatés objectivement par n’importe quel citoyen dans l’enquête diligentée par la Police à Perpignan,
– enquête aux “ratés” nombreux qui n’ont jamais donné lieu à un aucun audit mené par l’IGPN pour trouver les responsables de ces ratés
et éviter que ces faits ne se reproduisent à l’avenir pour d’autres victimes qu’elle et sa mère,
ces “disparu-e-s” que le temps et le silence tuent dans la souffrance de leurs proches.
Ils n’ont jamais été sanctionnés, eux !, ces policiers et ces magistrats responsables de cette “injustice”, puisqu’ils n’ont même pas été auditionnés pour leur incompétence par l’IGPN,
ou pire… pour leurs négligences à répétition, volontaires semble-t-il à force de tant de réticences à vouloir instruire comme il le fallait.
Par contre, dans l’affaire Maëlys, les Gendarmes,
accusés d’être à l’origine de “fuites dans la presse” dès qu’ils cernaient de trop près le mis en cause principal,
se voyaient ciblés par les défenseurs de tueurs d’enfants
et criblés de questions, “passés à la question” par l’IGPN, Inspection Générale de la Police Nationale
– corps d’inspection de la Police Nationale, nullement et jusqu’à présent JAMAIS chargé d’inspecter la Gendarmerie Nationale !,
laquelle a son propre corps d’inspection, l’IGGN, l’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale.
Pourquoi cette différence de traitement entre la Police Nationale et la Gendarmerie Nationale, l’IGPN étant autorisée INEXPLICABLEMENT par le Ministre de l’Intérieur à “inspecter”, donc contrôler l’activité de la Gendarmerie Nationale, ce qui était impensable un mois avant ?
Pourquoi, en France, le Ministère de l’Intérieur pénalise-t-il l’excès de zèle dans la Gendarmerie Nationale et couvre-t-il le manque de potentiel dans la Police Nationale ?
– Auraient-ils peur, ces ministres, interroge Allison, que les forces de l’ordre fassent trop bien leur travail et ne révèlent au peuple de France des vérités dérangeantes pour ceux qui dirigent ce pays ?
N’oublions pas que les Gendarmes sont d’abord des “Militaires”, intégrés depuis peu et de force, au sein d’un Ministère de l’Intérieur,
un état dans l’Etat, dont le rôle semble plus être de protéger les notables et les haut fonctionnaires, qu’importe et surtout si leur comportement est répréhensible,
plutôt que de protéger le peuple de France contre des criminels qui les menacent et des réseaux mafieux qui gangrènent ce pays autrefois si sûr.
Pourquoi des policiers choisissent-ils de se suicider devant des Brigades Territoriales de Gendarmerie et non pas devant leurs services de police ?
Parce qu’ils seraient “déboussolés” juste avant de mourir ?
[Allison revient sur une discussion engagée avec elle au sujet des différences existant entre ces deux “corps”, la Gendarmerie et la Police,
discussion dont elle partage avec vous quelques réflexions qui reflètent, à son avis, l’état pitoyable de notre pays.
Car Allison pense ! Ce n’est pas seulement une “jolie fille” qui aurait pu devenir Miss Roussillon.]
Le père d’Allison, lui, l’assassin de sa propre fille Allison, a été pendu, retrouvé pendu, dans sa caserne militaire, la Légion Etrangère.
– Alors pourquoi des policiers choisissent-ils de se donner la mort devant une Brigade Territoriale de Gendarmerie ?
Réponse :
– Parce que les policiers espèrent que :
l’acte de suicide étant commis sur un territoire où la Gendarmerie est compétente,
s’agissant d’un flagrant délit,
ce sont les Gendarmes, réputés plus rigoureux et plus compétents en droit, qui diligenteront l’enquête préliminaire,
sans se laisser intimider par la hiérarchie policière et maçonnico-JUDICIAIRE.
Car les policiers, eux aussi, sont aujourd’hui menacés, dès qu’ils veulent mener à terme des enquêtes “sensibles”,
sauf si elles servent l’intérêt partial d’un gouvernement qui veut faire abattre ses opposants politiques.
Oui, les Gardiens de la Paix sociale sont “priés” de se taire et de laisser faire.
Ils doivent clore les affaires “sensibles” le plus rapidement possible
et fermer le plus de “portes” ,
quitte à “oublier” de mentionner des noms de témoins et l’existence d’indices graves et concordants ou pire quitte à supprimer des preuves factuelles et objectives,
et ce, avec l’appui de juges d’instruction qui deviennent les “fossoyeurs de la République française”.
La France et certains Palais de Justice, comme celui de Perpignan, deviennent des cimetières d’affaires.
Et, me rappelle Allison, si certains citoyens obtiennent justice aujourd’hui, c’est encore et toujours parce que la Gendarmerie Nationale mène sa contre-enquête… quand elle le peut !
Sauf si elle-même, la Gendarmerie, est arrêtée brutalement dans ses investigations par un Procureur ou un adjoint au Procureur peureux et diafoireux, qui la freine dans son zèle jusqu’à la dessaisir de l’affaire si les Gendarmes s’obstinent à vouloir chercher et rechercher la vérité, envers et contre tout, envers et contre tous, sensibles à la peine des proches de la victime.
Il leur est difficile, aux gendarmes comme aux policiers autrefois des limiers, d’être aux ordres d’un Etat inique dont la gestion cynique tue plus de Français que ne pourrait le faire la “mafia des jeux et des putes” (sic).
Laquelle mafia gangrène aussi le département des Pyrénées-Orientales,
en plus des trafics de drogues qui ne sont même plus “illicites” à Perpignan,
petits commerces prospères qui se multiplient sous l’oeil bienveillant de Big Brother parce qu’ils ne sont jamais en faillite, eux !,
avec presque l’aide des caméras municipales vidéo-surveillant leurs environs.
Si les petits commerçants français paient rubis sur ongles taxes et impôts jusqu’à la ruine, d’autres commerçants, les trafiquants bi-nationaux ou étrangers, vendent leurs marchandises illégales, tranquilles, sur un bout de trottoir national ou dans des appartements qui sont de véritables échoppes de la drogue, sans jamais avoir à payer d’impôts, ni de cotisations sociales.
Au contraire, trafiquants bi-nationaux ou étrangers sans papiers, dits en situation irrégulière, ils vivent des cotisations sociales payées par les autres Français honnêtes.
et disposent toujours de cash et “coc”, avec classe faisant troc et affaires.
Car, désormais, ils sont une nouvelle classe sociale, ces trafiquants ayant pignon sur rue, la caste des “frimeurs” et des fumeurs de shit ou autres substances illicites
dont la réussite s’affiche avec arrogance ,
et dont les signes extérieurs de richesse reviennent à la mode “macronesque”,
sans crainte, eux, d’avoir à subir des contrôles fiscaux .
Surtout depuis que l’INSEE a accepté de comptabiliser comme richesse nationale dans le P.I.B. français le chiffre d’affaires colossal de ces marchands de la mort.
Le chef de la PJ de Grenoble et son adjoint mis en examen Deux responsables de la PJ de Grenoble sont soupçonnés d’avoir détourné des scellés pour leurs indics
Même si cette richesse ne profite pas à la Nation, les trafiquants ne payant aucune cotisation sociale, ni aucun impôt à l’Etat français.
Leurs contributions financières profitent au commerce de luxe et aux affaires immobilières car il faut bien blanchir l’argent sale, mes braves dames !
Mais ces trafiquants vivent, eux aussi, des cotisations sociales payées par les Français honnêtes.
Puisqu’ils sont déclarés être “sans ressources”.
Quel rapport avec l’affaire Maëlys ?
Allison vous répond :
– Quel était le VRAI métier de Nordahl LELANDAIS ?
DEALER.
C’est à dire que l’ancien militaire traficote et “vivote” plutôt bien,
tandis que d’autres Français crèvent d’être trop honnêtes et, pour tout dire,
d’être un peu bêtes, non ?
– Le milieu de la drogue et des putes, le milieu des jeux et des putes, le milieu des putes, c’est tous des putes !
[Vocabulaire d’Allison, désolée ! Je l’écris aussi et ainsi en “cash brut”.]
– Comment pouvez-vous laisser se développer en France ce qui est interdit, sans envoyer un message d’impunité à tous ceux qui trafiquent ?
Le trafic de drogues, c’est la porte ouverte à tous les trafics !
A toutes les prostitutions !
Dont la première des prostitutions est la CORRUPTION PUBLIQUE.
– “Pourquoi mon père n’a-t-il pas été inquiété ? Demande Allison. Parce qu’il rendait des “services” à toute une classe pourrie, une classe de gens qui se prennent pour l’élite sociale, alors que ce ne sont que des crapules notoires.
De plus en plus et de mieux en mieux identifiés par les citoyens de Perpignan et des Pyrénées-Orientales.
– “Classement des affaires contre parties de jambes-en-l’air ! Qui dit mieux ? Si tu n’as rien à m’offrir, passe ton chemin, condamne le juge. Et si tu es innocent, alors tu as encore moins quelque chose à m’offrir !”
Ce n’est pas plus différent dans la France d’En Bas que dans la France d’En Haut !
“Monnayer ses charmes” est devenu en France une monnaie de ministre,
acceptable en cash et payable en nature de suite, affirme Allison.
– Mon père m’a tuée, mais ça n’intéresse personne.
Moi vivante, j’aurais au moins pu monnayer la recherche de la vérité !, dans cette société de ‘”putes”.
Nordahl LELANDAIS dit qu’il a tué “par accident” ?
Et moi, je dis que j’ai été conçue, toute nue et déjà née, par la Vierge Marie !
La crédibilité de mon discours est à la hauteur de la crédibilité de celui du dealer de stups et coureur de jupons !, une pute.
Mais vous préférez les putes aux honnêtes gens, vous, les magistrats.
Vous avez peur de l’honnêteté.
Il n’y a pas moyen de monnayer avec les honnêtes gens.
Tout leur prendre, oui, pour les faire taire !
J’ai vu comment faisait mon père et ce qu’il faisait,
ce que vous lui faisiez faire pour vos affaires !
Parce que c’était un Militaire, un Légionnaire, un “homme de mains”.
Vous employez souvent des anciens Militaires pour faire vos sales coups en douce !
Je me demande même si vous ne le faites pas exprès de ne pas leur donner des contrats à vie, aux Militaires de l’Armée de Terre, principalement pour les obliger ensuite à se “recaser” dans ce genre de boulots pas très propres.
C’est comme une armée de l’ombre qui serait à votre entière disposition.
La France, elle est devenue comme l’Afrique, pire que l’Afrique !
Parce que la France, elle se permet, elle, de donner des leçons de morale au monde entier !
Alors que ses hommes politiques sont des “putes”, de vraies putes, eux,
pires que les putes des rues qui font ça par nécessité pour survivre et mal vivre dans un monde où il faut faire la pute pour être “reconnu-e” comme étant “l’un-e” des leurs !
La France, la “France à fric” qui n’en a jamais assez, sadique et phallique !
Nordahl LELANDAIS, dealer et “ravisseur d’enfants”, comme ils disaient autrefois, appartient à ce milieu,
la faune de la nuit,
qui sévit partout en France,
où se mélangent faux honorables et vrais Vénérables, partouzards et banlieusards,
lesquels viennent habiter leur ennui dans les jouissances de la chair, s’habiller d’indolence
et tuer l’innocence de l’enfance dans les transes de danses indigènes et hallucinogènes.
– Pourquoi, interroge Allison, oui, pourquoi un avocat comme Alain JAKUBOWICZ, a-t-il été choisi et par qui ?
– Et surtout, demande Allison, pourquoi cet avocat pénaliste qui aurait dû achever son mandat à la tête de la LICRA jusqu’en 2019 a-t-il démissionné de son mandat à la mi-octobre 2017
et accepté de prendre la défense d’un dealer et tueur d’enfants comme Nordahl LELANDAIS,
contrairement à ses engagements publics de ne JAMAIS défendre ce type d’individus ?
Il défend l’Association des familles des victimes au procès de la catastrophe du tunnel du Mont-Blanc. Sa réussite et son penchant pour les médias séduisent ou agacent
LE MONDE | 19.04.2005 à 13h48 • Mis à jour le 19.04.2005 à 18h19 | Par Sophie Landrin
[…]Son cabinet, Jakubowicz et associés, qui emploie 25 personnes dont 13 avocats, ne traite que marginalement d’affaires pénales.“Je ne fais pas de pénal crapuleux, affirme-t-il. C’est un autre métier. Moi, je ne peux pas défendre un pédophile ou un dealer.“]
[…]
L’actuel maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb, lui a confié en 2001 la présidence de la commission extramunicipale du respect des droits. Le ministre de la justice, Dominique Perben, futur candidat de la droite à la mairie, le courtise. Alain Jakubowicz affirme qu’il ne fera partie d’aucune équipe : “Si je devais me réinvestir un jour en politique, ce ne serait plus pour jouer le second rôle, mais plutôt pour un rôle à la Coluche.”
– «Si Nordahl LELANDAIS n’est pas un dealer ni un pédophile,alors, moi je suis la Reine des Neiges !», s’exclame Allison BENITEZ.
– Pourquoi Nordahl LELANDAIS a-t-il été protégé à ce point ?
Et pourquoi Nordahl LELANDAIS est-il défendu aujourd’hui par un avocat lyonnais qui avait déclaré qu’il ne défendrait JAMAIS un dealer ni un pédophile ?
Lequel avocat lyonnais a démissionné de son mandat NATIONAL à la tête de la LICRA à la mi-octobre 2017 pour pouvoir reprendre sa robe d’avocat pénaliste et défendre Nordahl LELANDAIS ?
Posez-vous la question !
C’est la bonne question.
Nordahl LELANDAIS a été protégé au point de mettre la Gendarmerie Nationale sous la coupe réglée d’une Police Nationale et de son corps d’inspection, l’IGPN, actuellement gérés par le Ministre de l’Intérieur, Gérard COLLOMB.
Or Gérard COLLOMB a été le Maire de Lyon et ce ministre connaît bien l’avocat lyonnais Alain JAKUBOWICZ devenu le très cher défenseur de Nordahl LELANDAIS.
Fin octobre 2017, à peine mandaté pour défendre le dealer et le pédophile Nordahl LELANDAIS, Maître,
doublement maître car FM, tout comme l’est Gérard COLLOMB,
– Maître Alain JAKUBOWICZ dépose une requête en nullité examinée le 21 novembre 2017 par la chambre d’instruction de la cour d’appel de Grenoble visant à faire annuler les trois premières auditions de son client, l’EX-MILITAIRE de Domessin.
Il s’agit des trois auditions effectuées lors de sa première garde à vue le 31 août 2017, soit quatre jours après la disparition de la petite Maëlys à Pont-de-Beauvoisin. Ces auditions n’avaient pas été filmées comme l’exige le code de procédure pénale en matière criminelle.
Le 12 décembre 2017, la chambre de l’instruction avait donné raison à l’avocat Alain JAKUBOWICZ et l’annulation des trois auditions avait provoqué le procès des gendarmes par des médias tout dévoués à la cause… du dealer et du pédophile que n’aurait jamais dû défendre l’avocat, ex-Président de la LICRA… SELON SES PROPRES DECLARATIONS, puisqu’il refusait de défendre des dealers et des pédophiles [sic].
Magré ce revers, les parents de Maëlys avaient, eux, REFUSE de retirer leur confiance aux gendarmes de leur « pays » et souhaitaient qu’ils restent saisis de cette affaire, l’enlèvement de leur petite fille,
parents conscients des efforts des militaires
et confiants dans l’issue de l’enquête si elle leurétait laissée,
CE QUI ETAIT LA DEMANDE LEGITIME DES PARENTS DE MAELYS.
La Gendarmerie Nationale a bien mérité de la patrie
et de la reconnaissance du peuple français.
Allison BENITEZ tient, elle aussi, à les REMERCIER, de tout son coeur, pour cette petite fille qui n’errera plus dans les limbes à la recherche de ses parents.
Car maintenant Maëlys sait…
Elle sait qu’elle est morte !, et qu’elle n’est plus toute seule.
Allison est avec elle.
Elles se ressemblent, malgré l’écart d’âge, étant toutes les deux de très jolies brunes aux yeux pétillants de vie et de malice, de joie d’être en VIE.
Maëlys s’en veut encore… d’avoir suivi ce « maître-chien ».
Après elle ne veut pas et ne peut pas se souvenir.
Elle souhaite garder une place dans le coeur de ses parents, pour être au chaud, près d’eux.
Elle n’est pas encore prête à partir « loin ».
Elle va « grandir » pour rejoindre Allison qui la guide et la soutient.
[Personnellement je ne suis pas en lien direct avec Maëlys. C’est Allison, le médium. Donc je ne peux pas donner de messages de la part de Maëlys.]
Et, à franchement parler, Allison préfère que Maëlys soit tenue à l’écart de cette « horreur », scène du crime, etc., pour ne pas lui faire revivre ces instants qui furent trop longs.
Allison pense que Maëlys doit d’abord « accepter » ce qui est le plus douloureux pour elle :
– être séparée de ses parents, de sa soeur,
– être coupée de sa « vraie » vie d’avant, comme arrachée à la terre , déracinée.
Car, pour Allison, Maëlys est une petite fleur arrachée à la terre par un ou des sadiques et Allison ne veut pas que la petite fleur se flétrisse de chagrin et de peur.
Quand Maëlys sera plus forte, elle pourra se « manifester » à ceux qui l’aiment.
Et il ne sera pas utile de faire tourner des tables et autres fariboles.
Il suffira d’écouter la voix de l’amour puisque l’amour est intemporel, dit Allison.
C’est la langue du monde que tout le monde comprend car elle est parlée sans langage, explique Allison.
Aimer, c’est déjà prier et partager !, sans avoir besoin de savoir prier.
L’amour est la vraie prière.
Aimer :
– ouvrir simplement son coeur et sortir de son corps à soi pour aller à la rencontre de l’autre.
Reine de beauté, reine de coeur !
Donc, conclut Allison, Maëlys ne donnera pas beaucoup d’éléments pour aider à la compréhension de ce crime.
Ce serait trop cruel de lui demander de « revivre » sa mort.
Allison ne veut pas, pas pour l’instant, qu’on « cuisine » l’infante, la et sa « petite princesse ».
– Elle aime bien, Maëlys, qu’on l’appelle comme ça, « petite princesse » ! dit Allison.
Allison veille sur Maëlys comme si elle était son ange-gardien.
Puisque c’est elle son « ange-gardien ».
Et, à la moindre alerte, au moindre faux pas, elle reviendra demander justice pour la petite fille.
– « QUE PLUS JAMAIS D’AUTRES ENFANTS NE SOIENT VICTIMES D’ADULTES PERVERS ! »
Des « pervers narcissiques » au profil facilement repérable.
– « Non, ce n’était pas un accident ‘ », martèle, en colère, Allison BENITEZ.
car des relations m’ont avertie que Google leur jouait des tours.
Même en donnant le lien complet de l’article, bizarrement, Google ballade et promène les lecteurs sur d’autres articles de mon blog.
J’ai moi-même pu constater ces “fausses directions” ou “redirections” vers d’autres articles de mon blog, sans lien aucun avec l’affaire Maëlys.
Décidément donner la preuve d’une Vie après la mort,
simple continuité de la VIE,
prévoir l’avenir,
semblent en terrifier quelques uns !
Comme dirait COLUCHE, “je suis dangereuse” !,
désignée “ennemie numéro un” de la franc-maçonnerie et crapulerie en tous genres par des policiers et des magistrats qui ont oublié qu’ils étaient… de simples mortels !
Ou serait-ce justement parce qu’ils le comprennent qu’ils sont si effrayés à l’idée d’être éternels et que Dieu puisse exister qu’il ne faut surtout pas LE PROUVER ?
BOUH !!!!!!, bougadi, bougada !
“Idée-idéal”
Mais il est vrai que tout le monde ne va pas au Paradis, hein ?]
[Des ossements d’enfants détruits, pas même restitués aux familles ?
Normal ?
La présence d’Allison BENITEZ a été déterminante pour moi dans la rédaction de l’article sur “Manon”.
Allison a été doublement victime d’un meurtre, tuée par un “militaire”, me force-t-elle à écrire, un militaire qui était son père, qui est son père !,
– et “re-tuée” par une justice lui refusant justice, à elle et à sa mère.
Car Allison veut qu’on sache, que vous sachiez
[- A qui s’adresse-t-elle ?]
qu’elle ne laissera plus faire.
Elle ne vous laissera plus faire ce que vous voulez.
– “Interrogez-vous sur la disparition de vos enfants !”, dit encore Allison.
Image rajoutée ce jour ne correspondant pas à l’article d’origine
Et interrogez-vous sur la lenteur des procédures judiciaires et les erreurs commises par leurs “complices”.
– “Car ne pas résoudre un crime, dit Allison, un crime dont l’auteur était si facilement identifiable, c’est être complice des criminels.”
“Faute d’Etat dans l’Etat, les criminels ont pris le pouvoir.”, ajoute-t-elle.
– “”Faute d’Etat“, explique Allison, parce que ne pas rendre justice est une faute de l’Etat.”
[ – “Faute d’Etat”, dans le sens absence de l’Etat. Allison me remercie de préciser sa pensée]
– “faute d’Etat dans l’Etat”, car il n’y a plus de représentants de l’Etat au sein de l’Etat français pour rechercher la vérité, mais des associations de “MAL-faisants”, ceux qui font MAL leur travail, et des associations de “MAL-faiteurs”, ceux à qui profitent les crimes qu’ils couvrent !”
– “Retrouvez Maëlys !“
Vous qui n’avez jamais retrouvé Allison.
Ni les autres victimes de son père.
FAITES VOTRE TRAVAIL.
Retrouvez les enfants, nos enfants, et même les enfants du monde qui n’ont pas demandé à venir en France et à être abandonnés par les braves gens que nous prétendons être.
Qui sont les voleurs d’enfants en France ?
Et que vaut la vie d’un enfant en France quand les autorités françaises vous expliquent qu’il est impossible de donner des chiffres exacts sur les disparitions d’enfants ?
Mais il est possible de donner à l’heure près le nombre de grosses berlines de luxe volées et “assurées” par de riches patrons.
Si la vie de nos enfants était assurée comme le sont les berlines de luxe, croyez-moi, vous qui ne croyez pas en Dieu, pas un seul enfant ne disparaîtrait sans être retrouvé sur le territoire français.
Parce que ça coûterait trop cher aux assureurs français et à l’Etat français s’il fallait verser aux familles le prix d’une vie, d’une vie d’enfant qui aurait pu devenir adulte, et pourquoi pas, millionnaire ?
Ce qui signifie de devoir indemniser la famille à la hauteur du préjudice subi.
Vous vous rendez compte si Angela MERKEL avait enlevé Emmanuel MACRON ? Mais que ferions-nous aujourd’hui sans ce président que le monde entier nous envie ?
Chaque fois qu’un enfant disparaît, c’est MOZART ou MACRON qu’on assassine.
Posted on September 7, 2017 ]
Allison BENITEZ, l’ANGE GARDIEN de Maëlys De ARAUJO
Nanard, y veut les canarder à tout prix, les poulets, plutôt que d”faire tirer sur les “boulets” d’banlieue, les chamelets, fils de chameaux et d’dromadaires, qui bombardent les flics avec des cocktails pas en guimauve, des cocktails Molotov, dis donc !
“Sortie, exit !” pour “Nanard”, le canard boiteux du ministère de l’intérieur.
Nan, c’est pas des bonbecs, les cocktails Molotov.
Nan !
Y le sait pas, Nanard, y l’a jamais été au combat, sur le front, lui, le cagnard.
C’est des armes, … pour tuer du flic, un cocktail.
C’est pas mondain, ça fait pas bon teint.
Ca fait griller les flics comme dans un four à pain.
P’te, pass’que le pain, … c’est l’hostie ?
Ou c’est hostile, comme nature de viande.
Le pain, c’est le corps.
Le corps du Français.
Tu comprends, un Français, sans sa baguette de pain et sa bouteille de pinard, c’est plus un Français, merde, quoi !
C’est pourquoi tu les retrouves à la messe, aux festins des Gaulois.
Du pain et du vin !
Quoi, c’est pas vrai ?
Vins un peu me dire si c’est pas vrai, le “sauvageon” !
Vins goûter d’mon bâton d’berger, pass’que, moi, si j’dois garder le troupeau d’cons que vous z’êtes, mes agneaux, ce s’ra pas en apprivoisant les loups.
Nan !
Faut pas confondre entre les chiens qui gardent les troupeaux et les loups qui les égorgent.
Et toi qui les regardes faire, comme un con.
Tu vois, les policiers, c’est comme les chiens qui gardent les troupeaux.
Ils sont fidèles à leurs maîtres même quand celui-ci leur tape dessus.
Un peu trop, même !
Mais surtout y laisseront jamais les brebis s’faire égorger devant eux pass’qu’y sont pas crétins comme vous l’êtes tous devenus.
Z’êtes devenus tellement crétins qu’vous protégez mêm’plus ceux qui vous protègent.
Alors, c’est qui qui va vous protéger, hein ?
Nanard, y va vous protéger ?
Avec ses p’tits bras et sa calvitie naissante ou progressante ?
Accompagné de son âme damnée, le “faux-con”, le “faux-Q”, le frère Machin de la Grande Loge du Hibou, choux et genoux cassés !
A terre, chevaliers de l’ordre du droit à s’la fermer !
A terre, roturiers qui vous prenez pour des aristocrates et qui oubliez que l’peupl’, y les a envoyés à la Lanterne, les Aristos !
Tout ça pour avoir l’air d’faire quéque chose, lui qui fait pas grand-chose, le “Sinistre”, sous l’ère de la Rose !
Y leur dit, le CAZENAZE :
– “Prenez vot’trique pour ceux qui viennent d’Afrique ou d’ailleurs, ça suffira pour vous défendre. Un bon coup d’bâton Tonfa sur ces fondus, mes p’tits sauvageons chéris ! Mais interdiction d’leur faire du mal. C’est ma réserve de voix, mon électorat chéri, merde, quoi, alors !”
Y l’a dit, Nanard, farouche et brave, tu sais quoi ?
Nan, tu sais pas c’qu’il a dit ?
– “Faut pas toucher aux “faux cons” qu’en sont des vrais !”
Alors, moi, j’me demandais de qui y voulait parler, des sauvageons ou du “faux-Q” “faux-con” ?
C’est qu’avec la théorie du genre, on sait plus qui c’est qu’a un vrai Q ou un faux Q.
– “Le premier qui touche à mon “Faux-con”, j’te lui fous une mandale !”
Qui l’a dit, le faux-Q.
Sauf que :
– Viens, viens foutr’une mandale à un gars d’ la BAC, le taré, tu s’ras pas déçu du voyage. Même qu’on n’aura plus besoin d’te d’mander ta démission tellement t’auras la gueule démise.
Ben sûr, ce gouvern’ment d’gauche, qu’vous avez élus, mes pov’cons, y va vous faire le coup d’la chemise déchirée.
Et on va voir le “CAZENAZE” nous sortir son navet hollywoodien sur l’air du :
– Aïe, y z’ont osé me frapper, les flics !
– Aïe, ça fait mal, une rouste !
Quel Guignol, le sinistre !
Y va faire appel aux gens d’armes et y vont rappliquer.
M’enfin, les Gendarmes, comment vous pouvez encore obéir à une “cougne” pareille ?
Qu’y pense qu’à cogner sur les forces de l’ordre et pas sur ses mignons petits sauvageons, mêm’que c’est pas d’leur faute s’y veulent tuer du flic, selon le sociologue Sébastien ROCHE.
Faut qu’y fasse gaffe, le Sébastien ROCHE !
Car le prénom est tentant pour des policiers cultivés.
Le martyr de Sébastien, c’est une oeuvre d’art qu’on a parfois envie d’imiter pour de vrai !
C’est vrai quoi !
Pourquoi qu’y a qu’les sauvageons qu’auraient l’droit d’s’amuser à faire des martyrs ?
J’vais t’en foutre, moi, des martyrs !
Y’en aura tellement des martyrs, qu’sur la fin, t’auras plus envie d’te marrer, le CAZENAZE, quand la police, elle sera plus policée, tellement elle en a marre des coraneries et âneries de tes sauvageons qu’aiment pas les Chrétiens d’Français, les mécréants qui boivent du vin, tandis qu’eux les…
[Véro, elle dit qu’y faut pas les nommer, surtout pas !]
ceux qui sont des saints délinquants, trafiquants de stups.
Pass’que, quand tu kiffes les keufs, tu vas droit au ciel !
Mais qu’est-ce qui nous font chier, tes sauvageons, le CAZENAZE !
Comment apprivoiser un sauvageon ?
Bah, à coups de baffes.
Sinon j’vois pas.
Ou à coups de taffs !
Tu veux une bouffe ?
Les pov’chéris, y z’ont pas connu leur père.
Comme Jésus.
Sauf que Jésus, lui, y l’a donné sa vie pour sauver celle des autres.
Eux, les sauvageons de CAZENAZE, les apôtres de la nouvelle religion d’la paix et d’l’amour,
[J’vous ai rien dit ! Sinon Véro, elle va encore avoir des problèmes]
y territorialisent en étendant leur empreinte fraternelle et en terrorisant les belles-mères de familles pas nombreuses et non voilées.
Bref, y nous pourrissent la vie et celles des autres.
Y leur prennent tout.
Mais le CAZENAZE, y dit aux flics :
– “Ce sont mes copains, mes frères, quoi !”
“- Touche pas à ma famille”, qu’a dit le frère Nanard aux poulets qui veulent pas qu’on les canarde, eux, soi-même, quoi et qui voudraient s’défendre, pas s’laisser surprendre, quoi, par les sauvageons du ministre de l’intérieur qui sort jamais, va jamais dehors, à l’extérieur pass’qu’il a trop peur.
D’eux justement !
Trop peur de ces sauvageons qu’y vont voter pour Alain JUPPE, le même que lui, en moins jeune et un peu plus chauve.
Tu l’as vu, toi, dans les cités ?
Même pas et surtout pas qu’y z’ont le droit de faire savoir, les flics, qu’y sont pas contents, pass’qu’y z’ont pas le choix !
Pour qu’y puisse, lui, Nanard, avoir plus de voix, leurs voix de cons, les voix des sauvageons, vos voix, les cons, avec ce gouvernement qu’appartient au Parti des Salauds et qu’y va tous vous plumer.
Et vous laminer.
Pour de vrai !
Car vous aussi, z’êtes de vrais cons.
Alors, quand la France sera rendue à l’état de cadavre, comme les flics sur vos trottoirs de ville, qui c’est qui va les ranimer, ranimer la flamme de l’espérance ?
Personne.
Vous vous pisserez dessus, dans vos frocs, et vous regretterez la période où vous pouviez, où vous auriez pu, où vous auriez dû aller manifester aux côtés des policiers d’la base, vos poulets, mêm’ si parfois, y vous couraient sur le systèm’ à vous courir après et à s’prendre pour des coqs de basse-cour !
La preuve :
– Où qu’y sont vos flics, vos policiers :
– Dans la rue !
Et vous ?
Vos flics, pour une fois qu’y s’révoltent et qu’y sont dans la rue, vous z’êtes z’où, vous ?
Ah bon, z’avez rien vu ?
Vous voulez quoi, les franchouillards, vous débarrasser du Gouda de HOLLANDE, le fromage mou d’la présidence où qu’y croit pouvoir y rester à vie, dans sa résidence, la maison d’retraite du 3ème âge, bientôt le 4ème âge avec Alain JUPPE, votre chouchou pour qui vous allez tous voter comme des cons, pass’que vous z’êtes tous devenus séniles ?
Vous avez oublié les manifestations de 1995, avec le sinistre droit dans ses bottes ?!
Et ça se dit “de gauche” !
Pets de lapins…
Ou alors z’êtes réellement débiles, de naissance.
Et au fond, vous z’avez mérité d’être gouvernés par un CAZENAZE.
C’est à dire, band’ de nazes, vous avez mérité d’avoir au pouvoir pendant combien de temps encore ?, ce gouvernement qui vous délaisse et vous fout les fesses dans la merde jusqu’au trou duc… pass’que vous les laissez au pouvoir.
Alors qu’est-ce que vous attendez pour aller manifester aux côtés d’vos policiers avec les pompiers qui défendent aussi vos vies de cons ?
Z’êtes décidément trop cons.
Vous les méritez pas, vos flics et vos pompiers.
Ah non, z’êtes trop trouillards, les “Fenouillard”.
Débarquez-les !
Et embarquez-les pour leurs lointaines “Amérique”, là d’où y prennent leurs ordres, vos ordures politiques non recyclables.
Ou alors soyez fermes :
Dites leur :
– “On échange un migrant, jeune mâle reproducteur spécialiste des saillies horticoles, contre un ministre, vieux mâle séducteur spécialiste des bouillies vinicoles.”
A chaque migrant accueilli, vous lourdez un gland enorgueilli.
C’est ça, le grand remplacement !
C’est moins d’ministres et plus de migrants.
D’toute façon, ça chang’ra rien.
Vous verrez !
Y’aura toujours le même bordel.
Piss’qu’y servent à rien, nos ministres.
Enfin, surtout vos ministres.
Y font semblant d’être des hommes d’action et tous les jours, y vous font et refont le même cinéma, le même caca nerveux, les mêmes exactions.
– “Quoi, comment se fait-ce ?
Avec tout c’que j’fais pour vous ?
Bande d’ingrats !
Vous ne me méritez pas.”
Alors, dites-leur :
– “Oui, on vous mérite pas.
Z’êtes trop bien pour nous !
Allez vous faire voir chez les Grecs et soyez bons, appliquez-vous à vous-mêmes vos propres principes :
– Laissez vot’ place aux migrants.”
Si c’est une guerre de territoire ?
Tant qu’y sont au chaud, leur Q posés sur des fauteuils de monarques, y voient rien, vos hiérarques.
Faut les foutre dehors !
Faut qu’y s’sentent menacés sur leurs territoires, jusque sur leurs postérieurs !
Qu’y comprennent qu’vous allez leur prendre leurs fauteuils !
Sinon c’est peine perdue.
Y s’en foutent, que la France, elle soit plus la France, si eux, y z’ont toujours leurs Q au chaud.
Tu vois, la solution, elle serait toute simple.
C’est Véro qui l’a écrit plusieurs fois.
Elle dit :
– “Comme c’est à l’école piss’que ce sont des sauvageons, quand personne ne veut dénoncer çui qu’a fait une connerie, c’est toute la classe qui trinque.”
Et là, les policiers y boiront à la santé d’Véro !
C’est simple, j’t’explique, arrête de boire et r’garde-moi, sinon tu vas plus rien voir :
– Si des sauvageons, y viennent agresser des policiers, des flics, des keufs, tout c’que tu veux, des pompiers, des médecins, des enseignants, bah, c’est simple, guerre de territoires , même s’y t’disent “non, tous ces savants sociologues polyglottes, ces socialopes”
TU DETERRITORIALISES.
Répète après moi :
– DETERRITORIALISER !
Ca veut dire quoi ?
Tu fous dehors, tu déménages tous ceux qui sont fichés et leurs familles qui s’en fichent.
Tu vas voir !
La prochaine fois, y viendront au commissariat se DESOLIDARISER des sauvageons, d’peur de s’voir foutus dehors à cause de leurs jeunes cons, les copains à CAZENAZE.
C’est pourtant simple à appliquer ?
Pas d’peine d’mort.
Pas la peine.
Des interdictions d’séjour, chaque fois qu’des sauvageons y z’attaquent des représentants de l’Etat français.
Sinon la France, crois-moi, elle va finir dans un sale état !
Et les policiers aussi.
Dis-leur aux “sauvageons”:
– “Comment ! Tu veux pas m’dire qui c’est le con qu’a voulu tuer mon pote ?”
Très bien, on met en oeuvre la procédure COLLECTIVE d’expulsion des familles qui nous font chier.”
Nan, toi tu dis :
– Très bien, on met en oeuvre la procédure COLLECTIVE d’expulsion des familles de délinquants qui n’acceptent pas le “Vivre ensemble” !”
Ouaip, je sais, j’me suis souvent foutu d’ta gueule, le flic !
Mais bon, ça, c’était avant et pis, moi, j’cassais la gueule à personne.
J’cassais les couilles aux politiques, ça, c’est vrai.
Pass’qu’au fond les policiers, on les aime bien.
Bon, pour être honnête, surtout quand ils sont loin d’nous.
Pass’qu’aujourd’hui, quand tu vois des flics, tu sais qu’y va y avoir de la baston.
Et toi, tu flippes.
Tandis qu’eux, y sortent la trique.
Piss’qu’y z’ont plus le droit de défendre leur peau.
Y doivent juste savoir jusqu’où on peut la leur trouer.
Et moi, j’leur réponds :
– “Arrêtez d’ vous faire trouer le Q pour tous ces cons !”
Alors voilà :
Moi j’propose, avec Véro qu’l’a proposé la première, que chaque fois qu’un médecin, un pompier, un policier, un gendarme, un militaire, y s’fait casser la gueule !
Bah on déménage tout le quartier !
Guerre de territoires.
Toutes les familles des jeunes fichés, fichés pas S ou S, fichés pour un oui et pour un non, qui s’en fichent de voir et d’savoir qu’on a failli tuer du flic, y changent de pays ou de quartier, selon qu’y soient Français ou pas.
Y laissent leur place aux migrants piss’que c’est à la mode.
Mais d’abord aux SDF qui préfèrent le vin et le pain, dans cette ordre de préférence, mes potes à moi.
… Sauf, pour un ministre !
S’y s’fait casser la gueule, le ministre, lui, c’sera bien fait pour sa gueule !
Hein, les p’tits sauvageons…
C’est c’qu’on appelle, à l’école, une punition COLLECTIVE.
Faut mieux punir la collectivité de sauvageons que la France.