La France a toujours l’image du Pays du VIN. En 2016 elle en a produit 45,6 Millions d’Hectolitres .
L’ex région Languedoc Roussillon garde une part très importante dans cette production.
Sur 223.620 hectares de vigne, soit 30% de la surface de vignes Françaises, le Languedoc Roussillon à produit 12,3 Millions d’HL. Mais sur les 4 département producteurs Hérault, Aude, Gard et Pyrénées Orientales, ce dernier a largement décroché.
Les PO.66 n’est plus département VITICOLE
Les chiffres de surface cultivées en vigne et la production en hectolitres démontrent que les Pyrénées Orientales ont perdu le qualificatif de département à dominante VITICOLE.
La production 2016 des Pyrénées Orientales se répartit de la façon suivante.
2619 déclarations de récolte pour 25721 Hectares cultivées.
Production totale récolte 2016 = 675176 Hectolitres, soit 0.67 Million Hectolitres
660940 hectolitres commercialisables + 14236 hectolitres non commercialisables.
15551 Hl en AOP ….. 9357 Hl en IGP ….. 813 Hl en VSIG …..
Bah oui, ils ne vendent pas du shit, ces deux jeunes Japonais.
Ils travaillent, eux !
Et ils travaillent dur, en respectant la nature et l’environnement.
Mais c’est tellement plus facile pour faire du chiffre de “ramener du crâne”, en allant chercher des honnêtes gens qui travaillent et qui ne se cachent pas,
plutôt que des caïds et des dealers, représentants de la mafia clandestine qui gangrène la France, aux revenus non déclarés, eux,
parce qu’ils ne seraient pas d’accord pour se laisser embarquer sans opposer une certaine résistance,
– c’est à dire une résistance certaine.
Alors quand je regarde ce match Japon/Belgique, mon coeur se serre à la pensée de ce couple de Japonais qui sont venus mettre en valeur le patrimoine culturel français et qu’on va mettre dehors,
une main devant, une main derrière comme Gros Jean,
– sans respect pour leur investissement humain et financier,
– sans vergogne quand il s’agit de faire du chiffre en traquant les honnêtes gens.
Que vous disais-je du nouveau Préfet de Département arrivé fin mai 2018 ?
Qu’il est du signe du “Scorpion”…
– Et que le responsable de cette “connerie” ou “tracasserie administrative” est bien l’ancien Préfet, le si bien-nommé Monsieur Philippe VIGNES, car l’arrêté d’IQTF est daté d’avril dernier.
Donc le commentateur bien renseigné qui a laissé cette indication nominative avait raison, ouf !
(Voir les commentaires à la suite des articles de l’Indépendant, avec les liens mis en ligne ci-dessous pour preuves.)
Parce que les nominations de “Frères de la Côte” protégeant “fraternellement” la P2 (Perpignan 2, l’ombre de la ville), ça suffit !
“VIGNES” pour une affaire de viticulture, c’est encore un clin d’oeil du “dieu-hasard”,
ce Dieu si malicieux qui aime à se jouer des hommes,
surtout les “pas francs”-maçons.
– Qu’est-ce qu’ils ont fait, ces deux jeunes Japonais, aux “Frères de la Côte” ?
Maintenant que l’affaire est bien lancée et que leur vin est connu, les “pas francs”-maçons” ont décidé de s’approprier l’affaire ?
C’est du vol !
Mais qu’importe.
Dans ce département, les Frères “Rapetout” agissent toujours de la sorte.
Après on s’étonnera que le département des Pyrénées-Orientales jouïsse de cette réputation franchement excécrable.
Tous les coups sont permis et pour qu’un Préfet et un chef de service puissent toucher leurs primes d’objectifs, la politique de la terre brûlée reste la meilleure solution :
– rafle des lycéens qui fréquentent régulièrement et assidûment leur établissement scolaire dès qu’ils deviennent majeurs, peu importe si leur année d’études est foutue en l’air,
donc leur vie aussi !
– rafle des travailleurs sans papiers bien intégrés dont les employeurs ont commis l’erreur de croire qu’ils pourraient les faire régulariser !,
tandis que les “sans papiers” délinquants continuent, eux, leurs activités moins professionnelles mais nettement plus lucratives.
Un officier de police, aujourd’hui à la retraite, s’est exprimé sur ce sujet, les “Faux chiffres de la PAF”.
Mais c’est un article que se réserve mon pote COLUCHE qui est devenu le spécialiste de la Police Nationale française.
En attendant de publier l’article sur les faux chiffres de l’immigration irrégulière et sur les “résistants” lanceurs d’alerte, je vous donne les liens journalistiques pour apporter votre soutien amical, relationnel et “fraternel”,
“si vous en êtes”,
mais des “franchement bâtisseurs de cathédrales”,
pas des “pas francs-spéculateurs anglo-saxons”.
Merci d’aider ce jeune couple de Japonais, car eux aussi, ont mérité à leur manière de la patrie française, en valorisant son patrimoine culturel.
Parce que le vin, en France, c’est toute une culture !
Pyrénées-Orientales: des vignerons japonais risquent d’être expulsés faute de ressources suffisantes
La rédaction
Un couple de vignerons japonais installé depuis 2016 à Banyuls-sur-mer, dans les Pyrénées-Orientales, s’est vu notifier par la préfecture une obligation de quitter le territoire, faute de ressources suffisantes pour obtenir un titre de séjour.
Deux vignerons japonais installés dans les Pyrénées-Orientales risquent d’être expulsés du territoire national, faute de ressources jugées suffisantes. “Selon [la préfecture], le couple ne gagne pas 2000 euros par mois et leur activité n’est donc pas viable”, a expliqué Me Jean Codognès, l’avocat du couple.
Il souligne que seule une cuvée de leur vin, celle de 2017, a été commercialisée, et a rencontré un important succès, ayant été servi à des tables prestigieuses comme Can Roca à Gérone, en Espagne, régulièrement reconnu meilleur restaurant du monde, ou encore Le Verre Volé à Paris.
La seconde cuvée à venir, dont 75% de la production serait déjà réservée, ne leur permettrait toutefois probablement pas de dépasser le revenu de 2000 euros requis par la loi française, car ils ne bénéficient d’aucune aide (du fait de leur nationalité), dans un secteur où le revenu moyen, aides comprises, est inférieur à 1000 euros.
Le perfectionnisme japonais au service d’un vin français
Rie Shoji, 42 ans, et Hirofumi Shoji, 38 ans, sont arrivés en France en 2011, décidés à devenir vignerons. Après avoir travaillé comme ouvriers agricoles ou cavistes dans le bordelais et en bourgogne, ils ont passé les diplômes de responsable d’exploitation agricole et de technicienne en oenologie à Dijon.
En 2016, ils se sont lancés, en achetant pour 150.000 euros les 3,5 hectares du vignoble “Predres Blanques” (pierres blanches). Leur idée: un vin nature, biologique, dans un secteur géographique où tout se fait à la main.
“Qualité de raisin, choix pertinent de la date de vendanges, précision et perfectionnisme typiquement japonais dans la vinification. Ce serait vraiment une grande perte pour nous, collectivement, de les voir partir”, a commenté dans le quotidien L’IndépendantJean L’Héritier, organisateur du salon des vins nature à Perpignan.
Un recours a été déposé et sera étudié le 6 septembre par le tribunal administratif de Montpellier.
Un couple de vignerons japonais installé à Banyuls frappé par une obligation de quitter le territoire
Un couple de vignerons japonais est menacé d’expulsion alors qu’il a investi la somme de 150 000 € pour le développement d’une production de vins nature à Banyuls-sur-Mer.
Installé en France depuis 2011 et riche d’une solide expérience dans le vin, un couple de japonais a investi la somme de 150 000 € dans le vignoble de Banyuls-sur-Mer afin d’y produire des vins nature. Alors que leur première cuvée se retrouve à la table de prestigieux restaurants, notamment au Can Roca à Gérone ou encore Le Verre Volé à Paris, et que la deuxième est réservée à 75 %, la préfecture des Pyrénées-Orientales leur a notifié une obligation de quitter le territoire. Une situation ubuesque que dénonce leur avocat Jean Codognès qui a décidé d’attaquer l’arrêté préfectoral devant le tribunal administratif de Montpellier.
Selon l’avocat, l’activité économique ne peut pas être considérée comme florissante pour le moment mais les potentialités à l’export, le fait qu’ils investissent sur un territoire en déprise, et les synergies opérées grâce à eux avec d’autres producteurs du département participent au développement de tout un territoire.
Jean Lhéritier, président de Slow Food Pays Catalan et responsable du Salon Indigènes consacré aux vins nature, regrette également cette décision préfectorale. “Comme profession agrégé d’économie, je voudrais souligner à quel point ce couple de jeunes Japonais correspondent aux critères si fréquemment évoqués par le Président de la République Emmanuel Macron lui-même pour enrichir le rayonnement économique de notre pays, attirer des talents et des capitaux d’entrepreneurs innovants, des initiatives qui créent de la valeur. Cela s’applique de façon étonnante, ultra-rapide au démarrage des Pedres Blanques, leur domaine vinicole“.
Ce partisan d’une viticulture responsable et biologique confirme “une nouvelle tendance des consommateurs qui cherchent à aller loin dans la naturalité. Hiro et Ryé ont représenté cette énergie, cette volonté dès leur premier millésime, avec force et précision, par le grenache 2017 Pedres Blanques. Il n’y a qu’à voir le succès qu’ils ont obtenu au salon Indigènes. Dès leur premier millésime ! Qualité de raisin, choix pertinent de la date de vendanges, précision et perfectionnisme typiquement japonais dans la vinification… Ce serait vraiment une grande perte pour nous, collectivement, de les voir partir !“.
Un reportage complet à retrouver ce samedi soir dans l’édition abonnés de lindependant.fr et dimanche en kiosque dans l’édition Catalan.
Anonyme52261Il y a 1 heureSIGNALER UN ABUSIl ne faut pas jeter la pierre à la préfecture, c’est louche des étrangers qui investissent en France et qui viennent pour travailler. Dans leur quotidien on leur demande généralement plutôt des allocations pour vivre sans travailler ! .
[Second degré à l’ironie cinglante]
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DahutIl y a 2 heuresSIGNALER UN ABUSAvocat lui aussi, ALIOT vient soutenir l’action de son confrère CODOGNES. Boiront-ils du SAKé ensemble à Via Del Vie ?
JPPascalIl y a 11 heuresSIGNALER UN ABUSTotal soutien à ces jeunes et courageux viticulteurs. Leur initiative est porteuse de développement économique à double titre, pour notre petite patrie catalane d’abord, mais aussi pour les perspectives d’avenir qu’elle va ouvrir vers les marchés asiatiques. Comment la Préfecture peut-elle être ainsi ignorante des réalités économiques ?
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angry catIl y a 23 heuresSIGNALER UN ABUSQue le préfet des PO soit incité à quitter le territoire, et à ne jamais y revenir..
gazeIl y a 1 jourSIGNALER UN ABUSBah…!…ils ont les yeux bridés avides de s’emparer du meilleur dans ce département qui perd progressivement au cours du temps des bras valides …..c’est peut être ce qui n’a pas plu a certains locaux se sentant concurrencés se faisant le relais de l’autorité préfectorale….on a déjà vu ce phénomène en Agriculture dés 1962 ou des pieds noir d’Algérie se sont installés en Corse avec d’autres méthodes de culture plus productives concurrençant les propriétés Corses ….En clair ils dérangeaient malgré leur gentillesse et leurs courbettes....si ce fait divers s’était passé sous la Présidence de Jacques Chirac….la décision en aurait été autrement….!….les époques changent…!…
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letechIl y a 1 jourSIGNALER UN ABUSToute ma sympathie à ce couple courageux. Nous espérons de tout coeur que cette affaire s’arrange. Il y a tant de gens en situation irrégulière qui ne quitteront jamais le territoire français. Situation ubuesque
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dragongeIl y a 1 jourSIGNALER UN ABUSil vaudrait mieux renvoyer dans leur pays d’origine tous les délinquants qui pourrissent la vie des honnêtes gens
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kanopusIl y a 1 jourSIGNALER UN ABUSQui gênent-ils à ce point ? Par ailleurs, qui a généré cette expulsion et pourquoi ?
DahutIl y a 2 heuresSIGNALER UN ABUSPeut être un autre viticulteur ?
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yvon11Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSLes aberrations dans notre France d’aujourd’hui prolifèrent à tous les niveaux et à une telle cadence que l’on peut se demander si l’Etat n’est pas saisi par une maladie mentale grave. Mais comment soigner un tel phénomène ? Le bon sens est devenu sans doute le plus rare et le plus précieux des médicaments !
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Anonyme51933Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSOn est à peu près sur de leur moralité (esprit nippon d’excellence),ils sont hyper travailleurs (trop peu être), la politesse et la courtoisie leur colle à la peau. La préfecture a peu être raison, ils sont trop bien pour la France. Ils risquerai de nous porter vers le haut….
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Cécilia R.Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSMaître Codognès, avocat brillant et d’une rare intelligence saura dénouer la situation. Mais quel dégât cette décision laisse encore dans un inconscient collectif 66 où le slogan « volem rien foutre al païs « est plus entendu que celui de la créativité…
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PirequecelaIl y a 1 jourSIGNALER UN ABUSFini le temps de “Jean de Florette” ou du boulanger de Fernand Raynaud.
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catalan66Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSc est encore ce prefet Vignes qui avant de partir a pris cet arreté sans grande reflexion ou sous certaines pressions,?
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[J’espère effectivement que ce n’est pas le nouveau préfet qui a signé cette …
Auto-censure]
MimilapinIl y a 2 joursSIGNALER UN ABUSPour garder des traînes savattes la France met tout en œuvrepur leur faciliter la tâche et la ??????
Guindoul66Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSOh que oui, ceux la travaillent et investissent que d’erreurs !
Banyuls-sur-Mer : priés de quitter le territoire et leur vignoble où ils ont investi 150 000 €
La préfecture a prononcé à l’encontre d’un couple japonais une mesure administrative.
Le droit administratif a ses raisons que la raison ne connaît point. Un couple de vignerons japonais installé à Banyuls-sur-Mer s’est vu notifier en avril par la préfecture une obligation de quitter le territoire français. Une décision vécue douloureusement alors que Rie et Hirofumi sont entrés en France régulièrement en 2011 avec comme rêve d’acquérir du domaine viticole. Mais avant de se lancer dans cette aventure, ils décident de bonifier leur savoir-faire et travaillent comme ouvrier agricole et caviste dans des vignobles et des chais du Bordelais ou encore de la Bourgogne avant d’obtenir des diplômes de responsable d’exploitation et technicienne en oenologie. En 2016, voilà le couple mûr pour produire son vin : Pedres blanques. Un vin qu’il souhaite singulier comme cette terre où Rie et Hirofumi ont élu domicile. Un vin nature, biologique, où la vendange ne se fait qu’à la main. Grâce à l’appui de leur famille et d’une banque, le couple investit 150 000 € en faisant l’acquisition de 3,5 ha de terres à Banyuls-sur-Mer/Collioure. Mais voilà, la préfecture, et alors qu’une seule cuvée n’a pu être commercialisée, décide que le couple n’est pas en mesure de justifier de ressources suffisantes et se voit donc dans l’obligation de quitter ce territoire.
« À la table de Can Roca »
« On leur reproche de ne pas gagner 2000 € par mois » peste leur avocat Jean Codognès. Ce dernier a décidé d’attaquer l’arrêté préfectoral devant le tribunal administratif de Montpellier. Son angle d’attaque : le non-sens que représente selon lui l’argument de la préfecture affirmant que leur activité ne serait pas rentable. « On ne comprend pas l’acharnement de la préfecture envers ce couple. Ils ont un parcours cohérent et engagé depuis plusieurs années dans la filière viticole. Ils n’ont bénéficié d’aucune subvention du fait de leur nationalité alors qu’ils ont décidé d’investir sur un territoire en déprise, leur première cuvée et une réussite et la deuxième est déjà réservée à 75 % ». Leurs clients : des restaurants célèbres comme Can Roca à Gérone, qualifié régulièrement de meilleur restaurant du monde, mais aussi Le Verre Volé à Paris ou localement à la table Via del Vi.
« Les voir partir serait une grande perte »
Autre argument développé face à la préfecture : leur vin, poussé par la dynamique économique des produits nature et biologique dans certains pays, s’exporte très bien à l’international. D’ailleurs en peu de temps, une quinzaine de pays est tombée sous le charme. Au Japon évidemment mais aussi aux États-Unis, en Australie, au Danemark, en Suède, à Singapour ou encore en Angleterre. « Leur production a du sens car elle s’inscrit dans une économie novatrice où les clients n’achètent pas qu’un produit de qualité mais aussi des valeurs environnementales et sociétales. Dire que cette démarche, comme le fait la préfecture, n’est pas viable est un non-sens. Ils s’inscrivent sur une démarche rigoureuse et professionnelle ». Organisateur du salon des vins nature à Perpignan et président de Sloow food Pays catalan, Jean Lhéritier partage cette analyse. « Leur seul millésime a obtenu un vrai succès. Qualité de raisin, choix pertinent de la date de vendanges, précision et perfectionnisme typiquement japonais dans la vinification. Ce serait vraiment une grande perte pour nous, collectivement, de les voir partir ! ». Reste à savoir si le bon sens l’emportera. Leur avenir est entre les mains du tribunal administratif qui statuera en septembre prochain sur leur sort.
BoporIl y a 1 jourSIGNALER UN ABUSles sans papiers sont mieux acceuillis et jamais expulsés . Gardons ces vignerons japonais qui mettent en valeur nos vins et notre région, comme le font nos vignerons catalans.
Faisons une pétition sans plus tarder .
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JAUIl y a 1 jourSIGNALER UN ABUSEncore un préfet qui ferait mieux de se préoccuper des vrais problèmes du département plutôt que de faire la chasse aux vrais travailleurs migrants.
[Après la visite de COLUCHE du même jour (en fait, j’ai encore attendu avant de publier cet article !), je mets en ligne cet article écrit par une “médium”, moi-même,
médium malgré moi.]
Une petite fille demande à communiquer avec ses parents.
Je ne suis pas “preneuse” car le malheur me rend peureuse.
Pour l’heure, je n’ai pas le choix.
Son malheur me bouleverse.
Qui prend la ligne ?
Qui prend la communication ?
“Recherche médium honnête et désintéressé-e.”
La communication devra être GRATUITE et naturelle, sans utilisation du “oui-jà” ou autres ustensiles de sorcellerie dits “supports de voyance”, instruments pour des aveugles “non-voyants” :
– verres baladeurs, tables tournantes et enregistreurs de sons “paranormaux”,
tellement paranormaux qu’ils ne captent pas la Vie
mais les “morts”,
les ombres des cimetières qui errent désespérément à la recherche d’un corps à posséder.
Voilà, pourquoi je suis là, sans support de voyance autre que l’amour de Maëlys pour ses parents et son attachement posthume pour d’autres personnes.
Hélène BOUVIER, médium christique, m’avait dit, lors d’une rencontre en 1988, que je terminerais comme elle, quoique je fasse.
Je ne pourrais pas échapper à mon “destin”, c’est à dire à son destin à elle : – plein de chats autour d’elle, un appartement misérable, un simple deux-pièces, près du cimetière du Père Lachaise à Paris, avec sa soeur handicapée à charge !
Chouette, non ?
J’ai donc tout fait pour ne pas “finir” comme Hélène BOUVIER, “médium christique”.
J’étais venue pour lui demander comment aller se terminer un “léger” problème professionnel,
l’enfance maltraitée dans l’Aube et doublement maltraitée par leurs parents et les institutions,
et Hélène BOUVIER m’avait alors répondu : – “Quoique vous fassiez, “ils” vous mettront dehors car vous êtes une médium christique comme moi. Vous ne pourrez pas échapper à votre destin !”
Je n’ai pas osé demander à l’époque combien elle gagnait par mois. La réponse était aussi évidente.
Hélène BOUVIER ne s’enrichissait pas car le Seigneur donne gratuitement. Et ce qui est gratuit ne peut pas être vendu, comme l’air qu’on respire, l’eau qui tombe du ciel ou la chaleur du soleil.
Naturellement réfractaire à une “communication” conduite sous l’emprise de l’émotion, je me méfie de moi et de mes… émotions.
Le pire manipulateur de l’être humain, c’est l’être humain lui-même quand il est submergé par le flot de ses émotions.
J’aime Maëlys.
Qui n’aimerait pas cette petite fille courageuse, aventureuse et “coureuse” ?
– “Coureuse”, non pas dans le sens vulgaire attaché à ce terme, mais dans son sens premier, intenable et parfois “insupportable”, comme la vie peut l’être, bouillante et brûlante,
quand elle nous arrache à nous-mêmes,
ou quand elle nous arrache un être qu’on aime,
à nous-mêmes,
la chair de notre chair,
le coeur de notre vie !
Courir pour vivre, courir non pas pour mourir !
C’est Maëlys qui a choisi cette photographie un peu floue.
Il me semble que je reçois cet adjectif “coureuse“, avec insistance, de Maëlys.
“Courir” POUR VIVRE.
Donc je doute.
Je doute à l’avance de ce que je vais écrire.
Si le doute est le moteur de la foi, je doute d’abord de moi et de mes “communications”.
Maëlys a insisté…,
[Si je ne suis pas folle !?]
– pour que j’écrive, pour que je l’écrive et que je décrive ce qu’elle a vu.
Pour elle, c’est plus “simple” de le suivre pour rester “attachée” à cette terre qu’elle ne veut pas encore quitter.
Ses parents, ses propres parents, ont trop de chagrin et ce chagrin dévaste de remords la petite fille.
[Elle expliquera plus tard dans l’article pourquoi elle a des remords.]
Maëlys ne supporte pas de voir sa maman pleurer et son père aller de long en large, comme dans une quête désespérée et sans fin, à sa recherche, alors qu’il n’y a plus d’espoir,
à la recherche de la Vérité.
Donc Maëlys a choisi de rester “attachée” à un gendarme qui ressemble physiquement à son papa et qui est lui-même père de famille.
Grâce à ce gendarme, elle peut suivre son affaire et partager ses découvertes.
Elle sait qu’il ne lâchera pas l’affaire !
Et d’autres aussi autour de lui.
Elle se sent bien avec eux.
Comme “protégée” au-delà de la mort par ces hommes contre les ombres qui l’envahissent, par la peur de la Vallée de la Mort.
En parlant d’elle, ils “l’évoquent”.
Ils lui permettent d’être encore en vie, c’est à dire “rattachée” à cette terre qu’elle a peur de quitter.
Ils communiquent à la petite fille leur volonté d’aller jusqu’au bout et de trouver la vérité, toute la vérité.
Ils lui donnent leur force et leur énergie.
Maëlys sait qu’ils font plus que leur possible puisqu’ils sont prêts à faire l’impossible pour trouver… ce qui est impossible à trouver, la VERITE.
Alors Maëlys les remercie à son tour, comme Allison, Allison BENITEZ.
La petite fille les remercie surtout de ne pas avoir cédé à la FACILITE d’avoir trouvé un coupable et de s’arrêter là.
– “Ce n’est pas aussi simple !”, dit Maëlys.
Mais Maëlys a peur.
Elle voit aussi, autour de ces hommes valeureux, “d’autres”…,
[Maëlys ne veut pas ou ne peut pas préciser sa pensée sur “d’autres”. Elle dit qu’on ne la croira pas.]
qui se cachent, oeuvrent dans l’ombre et s’affairent à dresser des obstacles,
jusqu’à envisager de dessaisir certains gendarmes trop “actifs” sur cette affaire de meurtre d’enfant.
Les “autres”…,
[terme VOLONTAIREMENT indéfini communiqué ainsi par Maëlys]
– sont prêts à aller jusqu’à “tuer” le ou les gendarmes qui seraient trop “investigateurs” dans leurs recherches.
Car les “autres” se plaignent que le “périmètre” de recherches s’étende “trop loin” et que ces “investigations” puissent “faire tomber” un ou plusieurs des leurs.
Il faut ARRETER les RECHERCHES !
Les gendarmes, ces gendarmes qui cherchent la VERITE, doivent comprendre qu’ils ont un COUPABLE et que l’affaire DOIT s’arrêter, là.
Sinon “gare à eux” [“sic”, expression de Maëlys] !
Maëlys ne veut qu’il arrive quelque chose au gendarme qui ressemble à son papa.
C’est pour ça qu’elle est venue me voir, “me parler”.
Et pas seulement à celui-là !
Certains de ces “autres” parlent déjà de “mutations”, de “mouvements dans les effectifs”, sous prétexte de renforcer la Brigade avec des “spécialistes” qui seront des “taupes”.
Des “taupes” de ces “autres”.
Maëlys m’explique qu’elle reprend leur vocabulaire à eux, aux “autres”, mélangé à son vocabulaire à elle.
Elle sait que son langage est un langage d’enfant.
Mais elle tente de retenir des termes “techniques” pour montrer qu’elle sait et que ce n’est pas son vocabulaire à elle.
Pour prévenir !
C’est trop triste de voir, de là d’où elle est,
les gendarmes qui font du bon travail et veulent connaître la vérité,
– c’est trop triste de savoir que “d’autres”, ces “autres”, sont déjà prêts à faire de ces gendarmes des “exemples”,
des “exemples” de ce qui peut arriver à ces gendarmes qui s’obstinent
s’ils n’écoutent pas leur hiérarchie, une “certaine” hiérarchie,
et s’ils refusent de lâcher prise.
Maëlys les entend, “les autres”, s’inquiéter et “comploter” contre le groupe de gendarmes qui fait du bon travail, du trop bon travail, surtout du “zèle”, à leur sens.
Et faire du “zèle”, pour les “autres”, c’est, reprend Maëlys,
– “foutre la merde en France !” -,
ce que reprochent méchamment “ces autres”
aux gendarmes qui ne veulent pas arrêter de chercher la vérité.
– C’est leur expression à eux, aux autres, “foutre la merde”, dit Maëlys, qui répète cette expression vulgaire avec une certaine crânerie, comme pour montrer qu’elle n’a pas peur de “ces autres” et leur prouver qu’elle les entend.
Ils disent et n’arrêtent pas de dire, “ces autres”, que reprendre d’autres affaires, parfois anciennes, c’est pointer du doigt tout ce qui n’a pas été fait et aurait dû être fait.
Ou que, pire,
c’est les “découvrir”, “les autres”,
“ces autres” pour qui ces “erreurs de procédure” ne sont que des “stratagèmes” ou des “stratégies” [Maëlys hésite sur le terme], leur permettant d’être “à couvert”, justement, de se cacher quand ils “sabordent”, dit Maëlys, volontairement des PV d’auditions ou autre chose .
[Voulait-elle dire “sabotent” ?] .
La petite fille me montre le gendarme qui ressemble à son papa au volant d’une voiture. Il se fait doubler par une autre voiture et la seconde voiture l’envoie au fossé. Ce sera “un accident” sur une route glissante dans un virage, une route de montagne avec un grand fossé, un fossé d’où on ne remonte pas.
C’est la “vision” de Maëlys, je le répète.
Maëlys ne veut pas que “ça arrive” d’autant plus qu’elle culpabiliserait davantage !
[Je n’essaie pas de faire de belles phrases et d’éviter les répétitions. Je tente de “coller” à la pensée de Maëlys.]
Ce serait encore de sa faute si ce papa gendarme venait à mourir car il se serait trop occupée d’elle.
Car “les autres” ne veulent pas que “des gendarmes” continuent de s’occuper de cette affaire.
La famille, “Mafia II”
Maëlys est en colère contre cette “administration” [mot curieux dans la bouche de la petite fille].
Du coup, l’enfant m’explique :
– Ils disent qu’ils sont “l’administration” et qu’ils font ce qu’ils veulent en France ! Alors moi, je reprends leur mot, le mot “administration”.
[Le Seigneur m’envoie un autre mot, plus fort et plus significatif, “la Firme”, cette entreprise luciférienne décrite dans un film avec beaucoup de “réalisme”.]
Par conséquent, Maëlys accepte de parler pour dire… que Nordahl LELANDAIS n’était pas “isolé” selon elle.
La rencontre :
Il y a eu des tentatives d’approche AVANT le mariage.
C’est pour cette raison que Nordahl LELANDAIS voulait aller à ce mariage dans lequel il n’était pas invité.
Parce qu’il la “connaissait” de vue AVANT et l’avait déjà suivie, Maëlys.
[Le Seigneur m’envoie le mot adéquat “repérer”. Nordahl LELANDAIS avait repéré AVANT la petite fille, avant la date du mariage.]
– Tout était PREMEDITE, affirme Maëlys.
Elle le connaissait déjà et s’en souvenait.
Elle l’avait déjà vu et il avait déjà tenté de parler avec elle.
Et c’est pour ça que le lavage de la voiture était PREMEDITE sous prétexte de vente de son véhicule.
Tout avait été étudié pour que l’enlèvement se déroule sans que Nordahl LELANDAIS puisse être incriminé.
Maëlys l’affirme.
L’enlèvement :
C’était d’abord comme un jeu.
[Ca, je l’ai toujours écrit.]
Comme se cacher dans la cabane.
[En effet, il y a longtemps, dans les premiers temps de l’affaire, je l’ai écrit, ce jeu de cache-cache avec Nordahl LELANDAIS, le “dragueur” qui lui demandait de l’attendre, cachée dans une cabane, pendant que tout le monde la chercherait.
Je l’ai écrit sur Twitter lorsque j’échangeais des hypothèses sur cet enlèvement avec un radiesthésiste vivant en Belgique qui affirmait, lui, que Maëlys avait été tuée quasi immédiatement dans la salle des fêtes.
Moi, je voyais une cabane, avec Maëlys cachée à l’intérieur, attendant le retour de Nordahl LELANDAIS.]
Avant d’abandonner le corps de la petite fille dans une zone montagneuse sur la commune d’Attignat-Oncin, Nordahl Lelandais dit avoir dans un premier temps caché la dépouille de sa victimedans une cabane près du domicile de ses parents, à Domessin, en Savoir. Ces deux endroits vont être scrupuleusement quadrillés, scrutés et analysés notamment pour essayer de trouver le lieu où a été tuée Maëlys le 27 août dernier.
Maëlys, au départ, était consentante, ce qui la culpabilise beaucoup.
Maëlys demande pardon !, pardon à ses parents d’abord, de ne pas les avoir écoutés.
Mais surtout, la petite fille a du mal à se pardonner à elle-même sa “complicité” avec le… ?
Est-ce Nordahl LELANDAIS qui a tué Maëlys ?
Je ne peux pas écrire le “meurtrier”.
Même si Nordahl LELENDAIS dit l’avoir tué, lui-même, “par accident”.
Maëlys rechigne sur ce terme.
Elle préfère “assassin”.
Pas de fausse joie pour les défenseurs de tueurs d’enfants !
Pour faire peur à ses parents, être recherchée, jouer !, elle a accepté de partir avec Nordahl LELANDAIS.
Il ne l’a pas enlevée.
Elle voulait jouer.
Elle était d’accord.
Oui, jouer…, c’était un jeu, un simple jeu.
Après, il devait la ramener, peut-être ou pas, sauf s’il l’épousait.
Cependant, elle a des circonstances atténuantes :
– Nordahl LELANDAIS n’était pas tout à fait un étranger pour elle [voir supra].
Maëlys reprochait à ses parents de ne pas assez s’occuper d’elle durant cette trop longue soirée.
Elle s’ennuyait… “à mourir”.
[Le “jeu” de mots morbide vient de Maëlys elle-même,
qui se moque d’elle avec une certaine lucidité
et regrette tant sa bêtise que vous ne pouvez pas l’imaginer !]
Maëlys s’en veut beaucoup. Elle croyait que quelqu’un qui aime les animaux, et surtout les chiens, ne pouvait pas faire de mal à quelqu’un d’autre.
Et puis, c’est si beau, un mariage !
C’est le rêve d’une petite fille déjà habillée en blanc, déjà prête à aimer l’homme de sa vie.
Car son nouveau copain lui affirmait que, lui, il l’aimait vraiment et qu’il serait toujours là pour elle. Il était devenu son amour secret, eux qui, tous les deux, avaient un autre secret en partage, l’amour des chiens.
[D’où la possibilité de cette rencontre antérieure, avant l’enlèvement, tant l’attachement de Maëlys à Nordahl LELANDAIS était “profond”.]
– Il serait, pour elle seule, l’amour de sa vie, pensait-elle.
Maëlys n’aime pas employer ces mots “nunuche”, mais c’est elle qui “me souffle” cette expression “nunuche” :
– Comme un “Prince Charmant”, son “Prince Charmant”.
– Elle ne serait plus jamais seule à attendre qu’on l’aime, m’explique-t-elle.
[J’ai déjà écrit ce “ressenti” dans un échange sur Twitter avec un radiesthésiste vivant en Belgique.
Et, lors de cette conversation, nos hypothèses étaient adressées aussi à un co-destinataire, un “casque bleu”, un observateur neutre :
– @gendarmerie sur Twitter.
Durant cet échange sur Twitter, j’avais ainsi évoqué “l’affaire des disparus de Mourmelon” où, à cette époque, un autre radiesthésiste avait permis de localiser dans les bois, selon lui, les corps des jeunes gens recherchés par la Gendarmerie.
Aussi, sur Twitter, je proposais au radiesthésiste “belge” de procéder comme l’autre radiesthésiste qui, lui, consultait à l’époque dans la ville de Troyes, à l’aide d’une carte routière et de son pendule pour trouver où était Maëlys.
Mais le radiesthésiste belge disait rester “bloqué” sur la “salle des fêtes”, avait-il écrit,
ce qui fondait sa certitude que Maëlys avait été tuée quasiment de suite à cet endroit.
Je ne partageais pas son avis et voyais Maëlys attendre dans une cabane, participant à un jeu dangereux qui n’était pour elle qu’un jeu de cache-cache.
L’affaire des “disparus de Mourmelon” “me hantait”, sans pouvoir donner de raison à cette “obsession” et je ne cessais pas d’évoquer cette affaire lors de cet échange ECRIT sur Twitter.
Je revoyais en boucle les jeunes pris “en stop” par l’adjudant Pierre CHANAL qui s’est suicidé par la suite.
L’Etat français a été condamné pour faute lourde dans cette affaire.
Et alors ?
Rien.
Aucune leçon n’en a été tirée et, comme d’habitude, personne n’a été sanctionnée, même administrativement, malgré les énormes bourdes accumulées dans cette autre affaire de disparition.
Aujourd’hui l’affaire Arthur NOYER rappelle effectivement l’affaire des “disparus de Mourmelon”, surtout si d’autres jeunes gens ont été en contact proche avec Nordhal LELANDAIS peu de temps avant leur disparition.]
Et aujourd’hui, acculé par les preuves accumulées, Nordahl LELANDAIS “menace” de se suicider.
En fait, par “télépathie”,
si je ne suis pas folle,
– je dirais et j’écris que Nordahl LELANDAIS a prétendu vouloir se suicider pour ne pas être “suicidé” par d’autres prisonniers.
Ses aveux font de lui un “tueur d’enfants” et, en prison, ceux que vous considérez, vous, comme des rebuts de la société, ont une morale bien plus dure que la vôtre avec les tueurs d’enfants :
– ils considèrent que tuer un enfant ne peut être puni que par la même peine, la peine de mort !
Qui l’ignore ?
Et d’ailleurs qui leur donnera tort parmi vous, vous qui vous pensez parfois être supérieurs à eux ?
Avouez que beaucoup d’entre vous pensent de la même manière, de manière identique.
Eux, ces prisonniers de l’ombre, qui sont si souvent condamnés plus durement pour un vol alimentaire que d’autres, des “cols blancs”, ne le sont pour des vols de sommes d’argent bien supérieures en numéraires ou sur des comptes bancaires,
eux, les délinquants de la rue, ont leur “morale” !
Et leur sens moral n’est pas “dépravé” par le luxe et la luxure comme les gens de la “haute société” qui n’en ont pas, eux, de morale.
Donc Nordahl LELANDAIS “feint”.
Comme à son habitude !
Il a été “encouragé” à le faire, à feindre la dépression, pour tenter d’apitoyer la presse d’abord, les jurés ensuite et parvenir à les convaincre qu’il est un garçon “sensible” :
– pas le “monstre de cruauté” que voudraient décrire certains médias,
– pas non plus un “psychopathe” antipathique distillant à doses homéopathiques sa vérité pour échapper à la réclusion perpétuelle.
Je l’écris selon ce que je “reçois” de lui,
pas ce que je “perçois”.
De plus, s’il se tait,
aucune preuve tangible n’étant apportée d’une VOLONTE de sa part de tuer Maëlys,
il sait qu’il pourra échapper à la prison à perpétuité.
[Je viens de découvrir, sur le journal Point, la publication d’un article qui défend le silence de Nordahl LELANDAIS et le système de défense adopté par lui-même et son avocat,
ne parler qu’en cas de découverte d’un indice probant car concordant,
sinon se taire !
Autrement dit ne pas concourir à la RECHERCHE de la VERITE.
Cet article du Point explique que le droit “maçonnique” pénal en France autorise les mensonges,
tous les mensonges,
dont le mensonge par omission, le silence du mis en cause,
qu’importe la souffrance des familles des victimes
et des victimes elles-mêmes, si elles sont encore en vie !
Par contre, si une vraie VICTIME dépose plainte contre un-e “mis(e)-en-cause”, il suffit que l’instruction démontre,
instruction diligentée par des magistrats “fraternellement” liés à la bande des coquins,
instruction diligentée de plus en plus contre des victimes vulnérables
ayant pour aboutissement le classement sans suite de la plainte de la victime
et, si saisine d’un-e juge d’instruction avec constitution de partie civile, ayant aussi pour aboutissement la notification d’une ordonnance de non-lieu,
que le VRAI COUPABLE est “innocent” sur la base de faux témoignages et de faux documents AUTORISES par la Justice !?, qui plus est !,
pour que le VRAI coupable puisse DEPOSER PLAINTE contre la VICTIME.
Ah enfin, le 20 mars 2018, j’ai retrouvé le gendarme, le héros de la petite fille, dont Maëlys m’envoyait l’image avec force et qu’elle voulait voir figurer dans “son” article,
[ Après près de 20 ans d’enquête, la vérité éclate enfin : Emile Louis avoue avoir tué 7 jeunes femmes, mettant fin à la tristement célèbre affaire des ” Disparues de l’Yonne “. S’il a fallu près de 20 ans aux enquêteurs pour confondre le chauffeur de bus, un homme, l’adjudant Christian Jambert, était convaincu de la culpabilité d’Emile Louis et ce dès le début des années 80. Christian Jambert décède en 1997, bien avant la conclusion officielle de l’enquête et l’on conclut rapidement à un suicide. Mais sa fille refuse cette conclusion et plusieurs autopsies seront pratiquées, les résultats restant flous. Aujourd’hui, l’affaire est toujours en cours d’instruction pour assassinat.]
Un des seuls réseaux avec de belles connexions parmi les VIP qui a falli être révélé est celui de l’Yonne, auquel on doit diverses disparitions, dont certaines sont encore ignorées de tous. On a pris soin dans cette affaire, comme dans beaucoup d’autres, de protéger ceux qui avaient le pouvoir, ceux qui devaient rester planqués.➤➤➤ http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/10/13/28201550.html
Le gendarme JAMBERT [qui me fait remarquer qu’un nom propre prend une majuscule au début, et non pas sur l’ensemble des lettres du nom, de son nom] lance un appel à ses “compagnons d’armes” :
“Il est temps d’arrêter ceux qui se prennent pour des aristocrates, cette caste privilégiée qui échappe à la Justice française !
Même Gilles de RAIS, héros de guerre, Maréchal de France, ex-compagnon de Jeanne d’Arc, a été condamné à mort pour pédophilie, tout Seigneur qu’il était à son époque”, me demande-t-il d’écrire.
“Cette référence historique, rajoute le gendarme Christian JAMBERT, devrait nous faire réfléchir sur ce qu’est devenue la République française, incapable de rendre justice aux pauvres de son pays, la France. [Je rappelle que les victimes du pédocriminel Emile LOUIS étaient des jeunes filles mineures, handicapées mentales, placées dans un foyer.]
Mais, pour Maëlys, c’est aussi une manière de prévenir les gendarmes qui enquêtent sur son affaire, de me présenter le gendarme Christian JAMBERT qui a aussi une fille.
“Tout sera fait pour que l’affaire s’arrête à l’arrestation du “rabatteur, tout“, avertit le gendarme JAMBERT. “Ils” ont trop peur que vous [ses collègues, les gendarmes] “remontiez” les réseaux de pédophilie !”
Qui paie les honoraires de l’avocat de Nordahl LELANDAIS, Maître Alain JAKUBOWICZ ? J’attends toujours de connaître la réponse.
Ainsi, se voit PUBLIQUEMENT l’effet pervers et logique des MENSONGES dans une procédure judiciaire,
mensonges couverts par des auxiliaires de justice,
des avocats.
Le VRAI COUPABLE peut à son tour déposer plainte contre sa VRAIE VICTIME pour DENONCIATION CALOMNIEUSE,
laquelle victime devient DOUBLEMENT VICTIME,
victime d’un COUPABLE, innocenté injustement, qui poursuit sa propre victime en justice,
victime qui devient doublement VICTIME de la Justice française qui lui a refusé Justice pour protéger un coupable et autoriser le COUPABLE, de manière inique et cynique, à faire taire définitivement la VRAIE victime,
ce qui est un DENI de JUSTICE.
C’est en France, c’était en 2013, c’était hier ! Trois jeunes femmes kurdes sont mortes assassinées sous les balles d’un ou plusieurs tueurs dans le quartier de la Gare du Nord. Elles se croyaient “protégées” en France.
Ainsi fonctionne actuellement la Justice française sur un DENI de JUSTICE profitant aux riches COUPABLES, ou aux COUPABLES appartenant à des réseaux pédo-maçonnico-mafieux qui ont les moyens de se payer des avocats “véreux”,
dits “auxiliaires de justice”
avocats “im-moralement” prêts à tout pour faire innocenter des COUPABLES,
prêts à sacrifier la VERITE et les victimes de ces mensonges.
La Justice française actuellement est bâtie sur un tissu de mensonges qui profite à une caste sociale bien en place.
Ce dépôt de plainte pour DENONCIATION CALOMNIEUSE d’un-e VRAI-e coupable contre son ex-victime, devenue très vulnérable, est l’arme de la “bande des coquins” avec un effet boomerang à l’efficacité mortelle contre des victimes sans défense,
déjà “cassées” par tout ce qu’elles ont subi.
Ce VRAI coupable, non seulement échappera à la Justice, mais il pourra faire aussi CONDAMNER sa victime pour avoir osé s’être attaqué à lui,
lui qui est devenu encore plus puissant, car réputé “être innocent”.
C’est un système judiciaire, en VERITE, MAFIEUX.
Le VRAI coupable aura utilisé tous les expédients AUTORISES par le droit français pour échapper à la Justice,
avec l’appui de ce système d'”in-Justice”
cette fausse Justice maçonnique qui finit par FAIRE CONDAMNER la victime d’un VRAI coupable
pour avoir osé déposer plainte contre un coupable menteur et dissimulateur.
Nous retrouvons ici la preuve de l’inversion maçonnique des valeurs morales et juridiques,
cette inversion qui fait du Bien le Mal et du Mal le Bien,
dans un monde diabolique où n’existent plus ni bien ni mal
un monde sans dieu.
De qui les parlementaires, pouvoir législatif, et les juges, pouvoir judiciaire, se moquent-ils en France ?
Des VICTIMES.
C’est un DENI de JUSTICE pour les victimes en France.
Sur l’article du journal en ligne le POINT, je découvre aussi que Nordahl LELANDAIS doit être entendu AUJOURD’HUI par les juges d’instruction, le 19 mars 2018 !
Un hasard ?
Les “visites” de Maëlys, présente depuis au moins la semaine dernière, s’expliquent.
Je sais maintenant pourquoila “petite Princesse” voulait que je rédige cet article à tout prix, malgré mes doutes, et dans l’urgence.
C’est une preuve de plus d’une “communication” post-mortem qui ne doit rien au “hasard” puisque Maëlys suit son affaire et la procédure judiciaire avec beaucoup d’attention, elle aussi.
Sa maman a raison !, la maman de Maëlys.
Maëlys ne laissera pas faire une justice qui n’est qu’injustice en France,
car c’est une justice maçonnique conçue pour défendre les coupables CONTRE leurs victimes.
Je mets en ligne l’article du Point publié ce jour, le 19 mars 2018, article du Point qui est peut-être à l’origine de mon article du 18 mars, puisque les révélations de Maëlys le précèdent d’un jour, grâce à l’insistance pressante de COLUCHE,
article publié le 18 mars 2018 à la demande de Maëlys, pour pouvoir faire entendre la “voix de la petite VICTIME”, sa VERITE à elle,
et dénoncer justement le silence de Nordhal LELANDAIS
et les stratagèmes de son avocat pour lui permettre d’échapper à la Justice “humaine”.
Le “hasard”, le dieu des Francs-Maçons qui ne savent rien et ne voient pas l’avenir, a voulu que :
mon article “CROIX-se” l’article du Point qui met en exergue pudiquement et prudemment
les contradictions d’une Justice française qui travaille avec des “auxiliaires de justice“, des avocats, pour concourir tous ensemble à la recherche de la VERITE
mais autorise ces mêmes avocats à utiliser tous les moyens, fussent-ils les plus immoraux !, pour faire innocenter des coupables,
fussent-ils aussi, dans le cas présent, des “tueurs d’enfants” !
Et des dealers,
n’est-ce pas Maître Alain JAKUBOWICZ qui prétendiez ne jamais vouloir défendre ni un dealer ni un tueur d’enfants ?!
La Belgique, une petite France, la France, une grande Belgique !
Au fait, rappelez-moi !, qui paie les frais d’avocat, du très “cher” avocat, Alain JAKUBOWICZ,
dont on sait de lui qu’étant un avocat franc-maçon réputé, Maître JAKUBOWICZ ne travaille pas “gratuitement” pour défendre la Veuve et l’orphelin,
ainsi que la plupart des autres avocats, “fils de la Veuve”, avides de pouvoir et d’argent !
[Affaire Maëlys : le droit au silence coûte que coûte ?
Nordahl Lelandais a attendu d’être confronté à des preuves irréfutables avant d’avouer partiellement. Une attitude défendue par son avocat.
Source AFP
Modifié le – Publié le | Le Point.fr
Nordahl Lelandais a rendez-vous ce lundi avec les juges : en dira-t-il plus sur la mort de Maëlys, lui qui n’a avoué qu’en étant confronté à des preuves irréfutables ? Les parties civiles en doutent. Elles fustigent depuis le début de l’affaire son attitude, qui ravive le débat sur les droits et le rôle de la défense. « Qu’on ne vienne pas nous dire que le mis en cause œuvre à la manifestation de la vérité », a lancé le 8 mars Me Fabien Rajon, l’avocat des parents de la fillette, reprochant au conseil du suspect, Me Alain Jakubowicz, de l’avoir soutenu dans ses dénégations.
« En mentant à tout le monde, il m’a menti à moi aussi », s’est justifié ce dernier après le revirement de son client et la découverte du corps de l’enfant, tout en soulignant que ce n’était pas un délit : Nordahl Lelandais avait le droit d’« exprimer une vérité qui s’est avérée inexacte », a dit Me Jakubowicz. Une position « inacceptable » face à la douleur des parents, rétorquent les parties civiles, pour qui la famille de Maëlys a été « prise en otage » durant six mois par la défense alors que le dossier aurait dû l’inciter à « coopérer ».
La vérité n’est pas leur souci premier.
Mais est-ce là son rôle ? « Pas du tout, cela ne ressort d’aucun texte. C’est le devoir du juge de découvrir la vérité ; celui de l’avocat est de défendre son client. Ce qui n’empêche pas de l’inciter à avouer quand les preuves sont là », répond à l’AFP Me François Saint-Pierre, pénaliste lyonnais connu notamment pour avoir défendu Maurice Agnelet dans l’affaire Agnès Le Roux. Le mot « vérité » ne figure en effet ni dans le décret du 12 juillet 2005 relatif aux règles de déontologie de l’avocat, ni dans le règlement intérieur national de la profession, pas plus que dans le serment prêté par ses membres.
Les pénalistes le reconnaissent : ils « disent tous qu’elle n’est pas leur souci premier », constate Edwige Rude-Antoine, directrice de recherche au CNRS (Centre national de la recherche scientifique), qui a suivi de nombreuses robes noires dans les prétoires de l’Hexagone, plusieurs années durant, pour son livre L’Éthique de l’avocat pénaliste, paru en 2014. Beaucoup d’entre eux estiment qu’il vaut même mieux « avoir un doute sur la culpabilité », souligne cette juriste : pour bâtir sa défense, l’avocat s’interroge sur « la crédibilité de la parole de son client » par rapport aux éléments du dossier, à charge et à décharge ; il est « à la recherche du vraisemblable » et « libre de discuter les preuves adverses ».
[…]]
Mais le silence de Nordahl LELANDAIS prouve au contraire son indifférence totale et fatale envers ses victimes et l’entourage de ses victimes.
Cependant, je n’ai pas de Maëlys que ce serait lui seul le coupable ?
Car la petite fille n’est pas en accord avec cette écriture : “le crime qu’il a commis”.
Dois-je comprendre qu’il y avait ou qu’il y aurait un complice ?
– “Oui”, me dit Maëlys, sans vouloir ou pouvoir m’en dire plus.
Je continue sur ma lancée sur la psychologie de Nordahl LELANDAIS.
Son insensibilité par rapport au chagrin immense des parents de Maëlys,
parents qu’il a laissé vivre dans la torture du silence et des jours qui passaient sans nouvelles de leur enfant
me fait fortement douter de la “fragilité” psychologique de Nordahl LELANDAIS.
Si Nordahl LELANDAIS était doux et gentil, il “craquerait”, fondrait en larmes, le corps secoué de vrais sanglots d’homme trouvant abominable son acte.
Et donc, se repentant publiquement, il soulagerait sa conscience en décrivant ce qui s’est passé avec Maëlys.
Il serait horrifié par la mort “accidentelle” de cette enfant et expliquerait, accablé par son geste, comment et pourquoi ce ne fut qu'”un accident”.
Là aussi, Maëlys n’est pas d’accord avec mon écriture.
Elle réfute “l’accident”, la thèse de l’accident.
J’en profite pour tenter d’avancer,
ou plutôt reculer dans le temps,
ce temps si pesant pour elle de cette fuite, car elle fuyait avant de mourir.
– “Non, maintient Maëlys, ce n’était pas un accident.”
L’enfant ne sait pas quand elle est morte.
C’était :
– “Cours, Maëlys !”
Avec des rires gras.
C’était :
– “On va t’avoir, petit animal”.
Pour Maëlys, Nordahl LELANDAIS n’était pas seul.
Et elle refuse de me dire qui lui a donné le coup de poing au visage, mais, par moments, je distingue, me semble-t-il, la tête de Nordahl, l’homme de sa vie, penché au-dessus du corps de la petite fille et la tirant violemment par le bras pour l’obliger à se mettre à genoux,
une fois que celle-ci est tombée à terre du lit où elle était assise.
Ce lit d’où elle venait de…
Comment l’écrire ?,
– avoir sa “nuit de noces”.
[Attention, les défunts ne sont pas des “saints” ni des “dieux tout-puissants”.
Ce que je veux dire, c’est qu’ils peuvent ne pas tout dire, mentir par omission pour se protéger ou protéger même un salaud ou une salope qu’ils aiment encore,
– ou tout simplement ne pas savoir ce qui s’est réellement passé et ne pas pouvoir décrire, sauf à leur manière, par “reconstruction de souvenirs fictifs”, une scène qui pourra s’expliquer “rationnellement” tout à fait autrement.
Ainsi quelqu’un qui est noyé dans vingt centimètres de hauteur d’eau, l’eau d’une mare, après avoir été assommé, ne pourra JAMAIS vous dire qui l’a tué. Pas encore mort, s’il a été inconscient avant sa mort, il “reconstituera” une histoire de sa mort, comme vous-même pourriez le faire, à l’aide des informations qui lui sont données ou qu’il a trouvées. Il pourra prétendre que celui qui l’a assommé est son assassin, ce qui paraît logique pour lui mais peut être absolument faux.
Les gens crédules qui font la “table tournante” en demandant aux morts de leur dire la vérité sur tout et rien sont stupides. Les morts sont des “vivants”, comme vous et moi. Ils ne savent pas tout.
Et si vous “tombez” sur tante Germaine qui sait tout et connaît même l’avenir, soyez sûr que… ce n’est pas un “fantôme”, l’esprit d’un être humain, mais plutôt un “aimable” diablotin qui fait tout pour se faire “aimer” de vous. Jusqu’au jour où… tante Germaine fera tout pour vous faire peur !, par jeu. Car les démons sont très joueurs, au début, surtout avec vos peurs. Et il est vrai que le Diable, notre Accusateur devant Dieu, connaît tout de nous. Donc, lui, “l’esprit” de papy Mougeot ou de tante Germaine, il sait et peut répondre sur tout, sans oublier que, pour jouer, il pourra mentir ensuite sur tout,
jamais sur le passé, votre passé qu’il connaît si bien,
mais mentir sur votre avenir pour vous manipuler et vous pousser à commettre des erreurs.
Vous ne serez plus libres de vivre votre vie, de “choisir” votre voie, vous serez “sous emprise”.]
Allison BENITEZ, “l’ange-guide” de Maëlys, l’a affirmé, la première, et le Seigneur me l’avait confirmé.
Il faut TROUVER la vidéo, peut-être copiée sur une clef USB.
Dans un coffre de voiture ?
Pas celle de Nordahl LELANDAIS.
Peu à peu, les informations que j’avais reçues, trouvent “sens” :
– l’affaire des “disparus de Mourmelon” avec la disparition d’Arthur NOYER et d’autres jeunes gens,
– ainsi que les réseaux de pédophilie puisque des preuves de consultations de sites pédophiles ont été retrouvées sur le disque dur de l’ordinateur de Nordahl LELANDAIS.
Il faut aussi tracer les mouvements bancaires suspects, en dépassant la simple sphère familiale.
Le complice peut être étranger à la famille.
“Les complices”,
car le pluriel n’est pas à exclure.
Même si et surtout si Nordahl LELANDAIS se terre dans son silence et s’enferre dans sa défense doublement “suicidaire”.
Ce qu’il ignore, malgré toutes les promesses qui lui ont été faites, s’il ne parlait pas,
ce qu’il ignore,
c’est qu’il sera perdant,
le seul perdant dans cette affaire sordide.
Moi, je maintiens que Nordahl LELANDAIS a joué à un jeu sexuel avec Maëlys, un faux mariage qui a mal tourné,
après un jeu de cache-cache qui devait emporter l’adhésion de la fillette à son propre enlèvement.
Un jeu qui ne pouvait que mal tourner.
Je maintiens qu’une vidéo a été tournée lors de cette partie de “touche-touche” et de “tourne-fesses”
et que cette vidéo est actuellement en vente sur des réseaux spécialisés
même si le réseau de diffusion, genre “Société DEFI” de Rivesaltes, village proche de Perpignan,
société qui avait servi dans l’affaire DUTROUX à vendre des “snuff-movies”,
même si ce réseau de diffusion, cette société de diffusion ne sont pas “encore” connus des enquêteurs mais “ça ne saurait tarder”, selon le Seigneur.
Le lanceur d’alerte, Marcel VERVLOESEM, est en prison mais les pédophiles, eux, continuent leur “commerce” lucratif et morbide.
Sans que je puisse savoir pourquoi, sur la fin…, je voyais avec entêtement,
Maëlys “déguisé” en petit garçon, cheveux coupés court, habillé comme un travesti.
Etait-ce le fantasme de Nordahl LELANDAIS ?,
un petit garçon.
Cette image n’a pas cessé de me “hanter” pendant quelques semaines.
A l’époque, la presse n’avait pas éventé les liens de Nordahl LELANDAIS avec des sites de rencontres homosexuelles.
Aujourd’hui, j’avoue que je me trouve “moins folle” d’avoir capté ces images de Maëlys déguisée en petit garçon, vision qui s’imposait à moi, jusqu’à être réveillée le matin avec la “photo” de ce “petit garçon”, ressemblant tellement à Maëlys !
Mais qui serait-ce ?
Je ne dis pas que c’est ce petit garçon qui est une autre victime. Lui est mannequin professionnel. C’est juste une “image” approchante de ma vision.
Allison BENITEZ est venue me le demander aussi, en me montrant ce qui se allait se passer si je ne l’écrivais pas.
Mais peut-être ne pourrons-nous pas l’éviter ?, même si je l’écris “avant”.
Allison suit aussi l’affaire, elle piste les “chercheurs de vérité”, elle survole les scènes de crime, visite les cellules de prison et les bureaux des avocats.
Elle veut SAVOIR.
Comme les gendarmes qui recherchent la VERITE.
Pas seulement un “coupable”.
Connaître la VERITE.
Car le “coupable” va se suicider.
Lui, il pense que “non”.
Moi, j’écris que “oui”.
Ce suicide ne sera pas “VOLONTAIRE”.
Et si je l’écris, c’est pour l’éviter.
C’est là qu’Allison intervient.
Elle est allée chercher dans la tête de ceux qui ont peur que leurs projets criminels soient découverts et qui veulent rester “cachés”.
Quitte à faire mourir d’autres innocents !
Et c’est Allison elle-même qui prévient aussi de ce “faux suicide” à venir,
comme dans l’affaire de son père, “retrouvé” pendu à la rambarde d’une fenêtre de la caserne des Légionnaires, une cagoule noire sur la tête !
Un commentaire de légionnaire, suffisamment explicite sur cette pendaison, avait été publié dans un journal local, commentaire non relevé par le Parquet de Perpignan, semble-t-il :
– “Justice a été faite par la Légion. L’honneur de la Légion Etrangère a été lavé dans le sang, comme c’est d’usage. La famille, c’est sacré pour les Légionnaires.”
Mais qui a enquêté sur le “suicide” de Francisco BENITEZ dont le corps a été incinéré RAPIDEMENT ?
Personne.
– “Mon père ne se serait JAMAIS suicidé dans des “sanitaires”, quelle honte !, affirme Allison. Il aurait choisi un endroit “propre et beau” lui faisant “honneur”.
Et la cagoule noire, c’est la “cagoule/preuve” d’une EXECUTION à la mode franquiste.”
[Les mots “cagoule/preuve” se bousculent et se chevauchent dans ma tête comme si Allison ne pouvait pas choisir ou m’envoyait avec FORCE sa conviction.]
Allison m’a demandé de mettre en ligne au moins un article prouvant ce fait, un simulacre d’exécution à la franquiste qui n’avait pas échappé à des journalistes “intelligents”.
[Avec l’accord d’Allison, j’ai choisi un article du journal gratuit “20 mm” parce que ce journal met souvent le doigt sur ce qui pose question,
sur ce qui est “le problème”.
Le mépris de ce siècle, “siècle des marchands”, pour tout ce qui est gratuit provoque le dédain des “bobos” et des “intellos” envers ce journal GRATUIT parce qu’ils craignent la clarté de langage et la simplicité de la VERITE.
Il faut beaucoup de talent pour dire en peu de mots “l’essentiel”, l’essence de la Vie.]
– “Comment n’avez-vous pas pu voir une telle EVIDENCE ?, s’interroge Allison. La cagoule, c’est la cagoule du condamné à mort en Espagne. Or Francisco BENITEZ, mon père, ce salaud, est un Espagnol.”
[Allison prononce le nom de son père, Francisco BENITEZ, dit “Paco” “à l’espagnol”, comme si elle l’imitait encore, allant jusqu’à mimer son comportement martial, buste avantageux et sourire de séducteur prédateur. ]
Disparues de Perpignan: La macabre mise en scène du suicide de Francisco Benitez
FAITS DIVERS – Le légionnaire ne s’est pas suicidé discrètement, à l’abri des regards…
W. M.
Publié le 13/09/13 à 00h00 — Mis à jour le 29/01/14 à 15h07
[ Selon un policier, dont les propos sont rapportés par le quotidien régional, «il a accroché une corde avec un mousqueton à la rambarde d’une fenêtre du premier étage, donnant sur la cour intérieure de la caserne, il a recouvert sa tête d’un foulard sombre, qui lui masquait le visage, du front au menton. […] Et puis il s’est jeté dans le vide, à travers la fenêtre».
Exécution publique
Les policiers en charge de l’enquête s’interrogent. Pourquoi cette mise en scène théâtrale? Cette dernière rappelle la mise à mort publique, telle qu’elle était pratiquée sous l’Espagne franquiste jusqu’en 1974, caché sous une cagoule à l’aide d’un garrot. Références à un passé caché?
Midi Libre explique que les légionnaires entendus dans le cadre de cette enquête «semblent avoir été peu loquaces face aux policiers». A-t-il bénéficié de l’aide d’un complice pour cacher les corps, toujours introuvables? Les enquêteurs ne l’excluent pas.
Quoi qu’il en soit, les questions autour de cette macabre mise en scène restent sans réponse.]
De même que l’on ignore “publiquement” le nom de la juge d’instruction qui s’est distinguée par sa “compétence” sur ce dossier.
Vous noterez en effet que, contrairement à toutes les affaires judiciaires “rapportées” par la presse, la juge d’instruction n’est pas nommée.
Cette incompétence pourrait-elle expliquer l’acharnement judiciaire de certain-e-s juges d’instruction du Palais de “l’in-Justice” de Perpignan à vouloir me faire condamner dans des affaires ubuesques !,
pour assistance syndicale apportée à des agents vulnérables et sans défense,
contre des chefs de service, eux très protégés, à la fois “fraternellement et politiquement” ?
A Perpignan, c’est un crime d’Etat pour ces magistrats
que de s’opposer “aux chasses des Comtes Zaroff”
in english, “The most dangerous game”,
loisirs très prisés par certains chefs de service qui doivent s’ennuyer dans le lointain département des Pyrénées-Orientales !
A défaut de traquer les dealers, les voleurs et les violeurs, ces “Maîtres” si “grands” chassent le gibier local sur leurs terres, celles de la Police Nationale.
De temps en temps, abattre un agent de la Police Nationale, for the fun,
ça remotive les troupes !,
à défaut de savoir les gérer par la motivation de la recherche de la VERITE
et par un esprit de corps qui soude la troupe dans les épreuves les plus dures.
La Police Nationale n’est pas “militaire”, c’est sûr.
Elle est devenue l’antichambre des Loges maçonniques et sert les intérêts particuliers des copains de la bande de coquins qui dirigent ce pays.
Je rajoute un autre article d’un journal LIBRE, le “Midi Libre”, le si bien-nommé,
puisqu’un courageux journaliste OSE rappeler
que le Parquet de Perpignan AVAIT MENTI sciemment
sur la mise à mort de Francisco BENITEZ,
en prétendant que le Légionnaire se serait suicidé dans des toilettes de la caserne “private closet”.
D’où les protestations d’Allison BENITEZ qui affirme que son père était un maniaque de la propreté et qu’il n’aurait pas supporté de mourir dans un pareil endroit.
Ma conviction est la suivante
et je la maintiens car je l’ai “reçue” “avec une certaine violence” comme telle :
– Francisco BENITEZ devait “se suicider” pour l’honneur de la Légion Etrangère.
En clair, pour parler sans hypocrisie, la Légion Etrangère savait.
Elle a lavé son linge sale “en famille” parce que, dans la Légion Etrangère,
“la famille, c’est sacré”, comme l’avait écrit un Légionnaire dans un commentaire.
Vous noterez d’ailleurs, à la suite de cet article, que les commentaires sont non seulement fermés aujourd’hui à l’ajout d’autres commentaires, ce qui est normal, mais que les commentaires publiés ne sont plus “lisibles”, pas accessibles à la lecture.
La Légion Etrangère a voulu faire passer un message :
– Justice a été rendue !
Les Légionnaires ont vengé Allison et sa maman, en exécutant le coupable qui était pourtant l’un des leurs,
et parce que Francisco BENITEZ était un des leurs.
Le Palais de Perpignan avait failli, ce “Palais de l’in-Justice” où les coupables sont protégés s’ils sont copains avec la bande de coquins locale et nationale.
La vidéo, avec un Francisco BENITEZ en larmes, a été tournée juste avant son suicide pour cautionner le futur “geste de désespoir” du Légionnaire.
Et si le père de famille meurtrier était en larmes dans cette vidéo, c’est parce qu’il se savait condamné à mourir
par les siens, sa famille,
son autre et seule famille, la Légion Etrangère.
Si Francisco BENITEZ avait été innocent, il aurait remué ciel et terre pour retrouver sa fille chérie, Allison.
Un père ne se suicide pas quand sa fille unique disparaît !
Et un père éploré n’invite pas sa maîtresse espagnole dans l’appartement où il vient de tuer son épouse, la mère de sa fille unique, Marie-José et sa fille unique, Allison. Laquelle maîtresse témoignera par la suite, comme certains voisins, de la prégnance d’odeurs répugnante, “d’odeurs de cadavres”. Francisco BENITEZ lui aurait répondu qu’il devait s’agir de rats morts dont les corps pourrissaient dans les canalisations du petit immeuble.
Je rajoute un lien vers un autre article d’un journal connu pour son sérieux, l’Express,
prouvant qu’une semaine à peine après avoir tué son épouse et sa fille,
Francisco BENITEZ copulait gaiement avec sa maîtresse espagnole
sur le lieu même de ses deux crimes, l’appartement familial à Perpignan.
[ Perpignan – Un an après leur disparition le 14 juillet 2013 à Perpignan, Allison Benitez, 19 ans, et sa mère Marie-Josée 53 ans, demeurent introuvables. Les pistes pour retrouver leurs corps se raréfient.
Ainsi, les enquêteurs ont pu déterminer que la maîtresse de Benitez au moment des faits, une Espagnole installée à Barcelone, s’était rendue à Perpignan une semaine après la disparition d’Allison et Marie-Josée et qu’elle y avait rencontré le légionnaire. […]]
Francisco BENITEZ, dès le départ de l’affaire, n’a pas arrêté de mentir,
inventant cyniquement la “fugue” d’Allison à Toulouse avec sa maman, son ex-épouse
alors qu’il venait de les tuer, toutes les deux.
Le veuf éploré versait des larmes sur son futur sort peu enviable.
La lettre d’adieu a été écrite sous contrainte pour la même raison que la vidéo a été diffusée :
– faire croire au suicide POUR QUE LES INVESTIGATIONS S’ARRETENT !
Ne pas salir l’honneur de la Légion Etrangère,
mais peut-être pas seulement.
Et toutes les émissions télévisées sur l’affaire Francisco BENITEZ reprennent, comme les “médias imbéciles”, la version du “suicide”.
Posez-vous la question de savoir pourquoi le Parquet de Perpignan A MENTI sur le lieu du suicide et les modalités d’une mise à mort singulière ?
Parce que le mode d’exécution est CLAIREMENT, comme l’affirme Allison, une condamnation à mort par pendaison ou garrotage.
Au moment du lever du drapeau, vers 06H00 du matin,
[information donnée par Allison et retrouvée dans un journal anglais qui lançait un appel à témoins],
la Légion Etrangère a rendu VOLONTAIREMENT cette exécution PUBLIQUE pour que les habitants de Perpignan sachent que justice avait été rendue à la mère de famille et à sa fille.
D’ailleurs des témoins sur place ont raconté avoir été choqués par le spectacle macabre de ce pendu qui se balançait au bout d’une corde contre un mur de la caserne militaire, alors que la caserne de la Légion Etrangère se trouve à proximité immédiate d’un établissement public d’enseignement du secondaire, un collège.
Pourquoi le corps de Francisco BENITEZ a-t-il été incinéré aussi rapidement ?
Et si, aujourd’hui, il m’est demandé par Allison, victime d’un père “suicidé”
– et par la courageuse petite Maëlys qui veut protéger le gendarme qui ressemble à son papa,
de rappeler et “revenir” sur ces “suicides” qui n’en sont pas
et de vous remémorer le “suicide de Francisco BENITEZ qui n’en était pas un,
soyez sûrs qu’il y a une bonne raison !
POSEZ-VOUS LES BONNES QUESTIONS !
Je mets l’article du “Midi Libre”, aux commentaires CENSURES, en ligne pour apporter une autre preuve de ce fait, l’exécution publique de Francisco BENITEZ :
Disparues de Perpignan : l’ultime mise en scène macabre de Paco Benitez
il y a 1647 jours 43 FRANÇOIS BARRÈRE
Contrairement à ce qui avait été affirmé dans un premier temps, le légionnaire soupçonné d’avoir tué son épouse et sa fille Allison ne s’est pas suicidé à l’abri des regards, dans les sanitaires de la caserne, mais s’est jeté à travers une fenêtre après avoir passé une corde autour de son cou.
“La scène était hyper impressionnante. Ce type en uniforme, avec ses rangers, ses décorations et son foulard autour de la tête, accroché au bout d’une corde, sur le mur de la caserne…” Plus d’un mois après le suicide Francisco Benitez, dit “Paco”, les témoins qui se sont rendus ce matin-là sur place peinent à effacer cette image de leur esprit. Car contrairement à ce qu’avait indiqué en conférence de presse le parquet de Perpignan le 5 août dernier, le légionnaire soupçonné d’avoir tué son épouse et sa fille Allison ne s’est pas suicidé à l’abri des regards, dans les sanitaires de la caserne. Selon plusieurs sources policières, il a même fait tout le contraire.
Une scène hyper impressionnante
Un policier allé sur place “Il a accroché une corde avec un mousqueton à la rambarde d’une fenêtre du premier étage, donnant sur la cour intérieure de la caserne, il a recouvert sa tête d’un foulard sombre, qui lui masquait le visage, du front au menton”, indique l’une de ces sources. “Et puis il s’est jeté dans le vide, à travers la fenêtre.”
Pourquoi cette mise en scène macabre et théâtrale, qui rappelle une scène du film “Hannibal”, où un personnage est ainsi mis à mort, au fronton d’un palais florentin ?
Pourquoi cet homme a-t-il absolument tenu à mettre fin à ses jours au cœur de cette institution militaire à laquelle il appartenait depuis 27 ans ?
Enfin, pour terminer cet article qu’il m’a coûté d’écrire,
particulièrement à cause d’attaques informatiques sur lesquelles je reviendrais rapidement à la demande du Seigneur,
– car je dois faire savoir ce qui se passe en France contre les “chercheurs de VERITE”
ou les lanceurs d’alerte si détestés,
je vous fais savoir aussi que j’ai volontairement,
et sans l’accord de Maëlys,
censuré la partie “nuit de noces” que j’intitulerais volontiers “Las bodas de sangre” pour reprendre le titre d’une oeuvre célèbre écrite par le poète Federico Garcia LORCA.
Parce que je ne voulais pas nourrir les “goules”,
tous ceux qui sont à l’état de larves mentales,
et qui se plaisent à lire des horreurs
dont ils peuvent même s’inspirer par la suite pour commettre à leur tour d’autres crimes.
Ensuite, la raison principale est que j’imagine sans trop d’efforts, étant moi-même “maman”, ce que cette lecture pourrait provoquer comme souffrance chez des parents déjà dévastés par le chagrin et par l’injustice “de ne pas savoir”.
J’écris ” souffrir de ne pas savoir”
et, dans le même temps, je me rends compte que c’est contradictoire avec ma décision de taire ce que j’ai cru “percevoir” à travers un brouillard d’émotions humaines “insurmontables”, tant c’était dur à “contrôler”.
Mais, pour l’instant, c’est IMPROUVABLE !
Attendez… J’ai bien lu “Jacques TOUBON”, l’actuel “Défenseur des Droits” en France ?!
Tant que les gendarmes n’ont pas retrouvé la vidéo de “Las Bodas de Sangre”.
Or la recherche de la VERITE implique de douter et de toujours tout VERIFIER.
Pas de “croire” de prime abord
parce que ce serait du domaine du “paranormal”.
Auquel cas, ce serait alors de la “superstition” et non plus de la “raison”.
Maëlys mérite mieux qu’un réflexe superstitieux !
La VERITE doit être protégée
et ceux qui recherchent la VERITE,
les gendarmes, les militaires et les policiers honnêtes, doivent être protégés des “prédateurs” qui sont en place,
prédateurs trop “bien-placés”, très haut placés, dans notre société de loisirs où tout plaisir est autorisé aux plus riches et aux plus puissants,
puisque l’argent, vecteur de corruption des âmes et du corps, est actuellement le seul signe de puissance dans ce siècle de vices, de sévices et de supplices en tous genres.
“Car tel est mon bon plaisir ” pourrait être la devise de ces gens qui se croient au-dessus de toute loi humaine, pas faite pour eux,
et qui placent leurs désirs au-dessus des lois divines !
Actuellement je suis plus “fliquée” que ne l’est un-e djihadiste portant un bracelet électronique,
ce qui revient à fliquer et à ficher ceux qui cherchent à entrer en contact avec moi,
sachez-le !
Qui sont mes “garde-chiourmes”, “surveillants pénitentiaires” puisque je suis en pénitence ?
Tout ce que je sais, c’est que le Seigneur s’en amuse et éclate de rire à chaque fois que je me et Lui pose la question.
Lui, ça l’amuse,
que ces petits hommes puissent ainsi croire qu’ils vont pouvoir jouer avec Lui !
Qui peut tuer Dieu ?
“Pourquoi ne vous réjouissez-vous pas de savoir qu’il y a,
non pas une autre vie après la mort,
mais la Vie ?”
– “Auriez-vous peur de Moi ? demande encore le Seigneur.
Auriez-vous peur de Mon jugement, juges iniques et policiers corrompus ?”
– “Vous pourrez effacer tous les fichiers, toutes les vidéos, tous les mails du “messager”, vider son ordinateur comme vous le faites régulièrement par intrusion, détruire tous ces contacts,
vous n’arriverez pas à effacer la Mémoire de la Vie,
ce que vous appelez ici-bas, dans vos écritures sacrées, le “Livre de la Vie“.
Vos pensées, vos moindres pensées, vos actes, vos velléités d’actes, tout est marqué.
Lisez et relisez les Evangiles.
La “Bonne Nouvelle” est pour celles et ceux qui Me suivent !
Pas “les autres”.”
[Le Seigneur semble reprendre volontairement l’expression de Maëlys, “les autres”.]
“Vous êtes LIBRES, “les autres”, de vous damner “si tel est votre bon plaisir”.
Profitez bien de votre séjour sur terre, de cette vie de plaisirs pour des désirs éphémères qui ne sont jamais assouvis tant votre faim grandit de sensations physiques et d’émotions psychiques négatives !
Car c’est une Eternité qui vous attend en Enfer.
Et Satan a déjà hâte de vous accueillir pour se nourrir de vous et de vos énergies négatives,
vous-mêmes qui, comme la Bête, vous nourrissez des peurs et des malheurs des pauvres gens que vous tuez ou que vous acculez au suicide.”
You are the winner for the moment until you die and then :
Anonyme52261 Il y a 1 heureSIGNALER UN ABUSIl ne faut pas jeter la pierre à la préfecture, c’est louche des étrangers qui investissent en France et qui viennent pour travailler. Dans leur quotidien on leur demande généralement plutôt des allocations pour vivre sans travailler ! .
[Second degré à l’ironie cinglante]
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