Publié à 21h50
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https://lebourricot.wordpress.com/2017/04/14/dans-les-po-66-la-chomiculture-remplace-la-viticulture/
Dans les PO.66, la Chômiculture remplace la Viticulture.
La France a toujours l’image du Pays du VIN. En 2016 elle en a produit 45,6 Millions d’Hectolitres .
L’ex région Languedoc Roussillon garde une part très importante dans cette production.
Sur 223.620 hectares de vigne, soit 30% de la surface de vignes Françaises, le Languedoc Roussillon à produit 12,3 Millions d’HL. Mais sur les 4 département producteurs Hérault, Aude, Gard et Pyrénées Orientales, ce dernier a largement décroché.
Les PO.66 n’est plus département VITICOLE
Les chiffres de surface cultivées en vigne et la production en hectolitres démontrent que les Pyrénées Orientales ont perdu le qualificatif de département à dominante VITICOLE.
La production 2016 des Pyrénées Orientales se répartit de la façon suivante.
2619 déclarations de récolte pour 25721 Hectares cultivées.
Production totale récolte 2016 = 675176 Hectolitres, soit 0.67 Million Hectolitres
660940 hectolitres commercialisables + 14236 hectolitres non commercialisables.
15551 Hl en AOP ….. 9357 Hl en IGP ….. 813 Hl en VSIG …..
Presque plus de Viticulture.
Pas d’Industrie .
Reste pour ce département abandonné
La CHOMICULTURE
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Bah oui, ils ne vendent pas du shit, ces deux jeunes Japonais.
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Ils travaillent, eux !
Et ils travaillent dur, en respectant la nature et l’environnement.
Mais c’est tellement plus facile pour faire du chiffre de “ramener du crâne”, en allant chercher des honnêtes gens qui travaillent et qui ne se cachent pas,
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plutôt que des caïds et des dealers, représentants de la mafia clandestine qui gangrène la France, aux revenus non déclarés, eux,
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parce qu’ils ne seraient pas d’accord pour se laisser embarquer sans opposer une certaine résistance,
– c’est à dire une résistance certaine.
Alors quand je regarde ce match Japon/Belgique, mon coeur se serre à la pensée de ce couple de Japonais qui sont venus mettre en valeur le patrimoine culturel français et qu’on va mettre dehors,
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une main devant, une main derrière comme Gros Jean,
– sans respect pour leur investissement humain et financier,
– sans vergogne quand il s’agit de faire du chiffre en traquant les honnêtes gens.
-
Que vous disais-je du nouveau Préfet de Département arrivé fin mai 2018 ?
- Qu’il est du signe du “Scorpion”…
– Et que le responsable de cette “connerie” ou “tracasserie administrative” est bien l’ancien Préfet, le si bien-nommé Monsieur Philippe VIGNES, car l’arrêté d’IQTF est daté d’avril dernier.
Donc le commentateur bien renseigné qui a laissé cette indication nominative avait raison, ouf !
(Voir les commentaires à la suite des articles de l’Indépendant, avec les liens mis en ligne ci-dessous pour preuves.)
Parce que les nominations de “Frères de la Côte” protégeant “fraternellement” la P2 (Perpignan 2, l’ombre de la ville), ça suffit !
- “VIGNES” pour une affaire de viticulture, c’est encore un clin d’oeil du “dieu-hasard”,
- ce Dieu si malicieux qui aime à se jouer des hommes,
- surtout les “pas francs”-maçons.
– Qu’est-ce qu’ils ont fait, ces deux jeunes Japonais, aux “Frères de la Côte” ?
Maintenant que l’affaire est bien lancée et que leur vin est connu, les “pas francs”-maçons” ont décidé de s’approprier l’affaire ?
C’est du vol !
Mais qu’importe.
Dans ce département, les Frères “Rapetout” agissent toujours de la sorte.
Après on s’étonnera que le département des Pyrénées-Orientales jouïsse de cette réputation franchement excécrable.
Tous les coups sont permis et pour qu’un Préfet et un chef de service puissent toucher leurs primes d’objectifs, la politique de la terre brûlée reste la meilleure solution :
– rafle des lycéens qui fréquentent régulièrement et assidûment leur établissement scolaire dès qu’ils deviennent majeurs, peu importe si leur année d’études est foutue en l’air,
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donc leur vie aussi !
– rafle des travailleurs sans papiers bien intégrés dont les employeurs ont commis l’erreur de croire qu’ils pourraient les faire régulariser !,
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tandis que les “sans papiers” délinquants continuent, eux, leurs activités moins professionnelles mais nettement plus lucratives.
Un officier de police, aujourd’hui à la retraite, s’est exprimé sur ce sujet, les “Faux chiffres de la PAF”.
Mais c’est un article que se réserve mon pote COLUCHE qui est devenu le spécialiste de la Police Nationale française.
En attendant de publier l’article sur les faux chiffres de l’immigration irrégulière et sur les “résistants” lanceurs d’alerte, je vous donne les liens journalistiques pour apporter votre soutien amical, relationnel et “fraternel”,
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“si vous en êtes”,
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mais des “franchement bâtisseurs de cathédrales”,
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pas des “pas francs-spéculateurs anglo-saxons”.
Merci d’aider ce jeune couple de Japonais, car eux aussi, ont mérité à leur manière de la patrie française, en valorisant son patrimoine culturel.
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Parce que le vin, en France, c’est toute une culture !
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21H55
Oui, les Japonais sortent de la Coupe du Monde de football, mais ils se sont super bien battus !
“Ils (les Japonais) ont été fantastiques !”, dit le journaliste, à raison.
- “S’il te plaît, Seigneur !
- Pense à mon couple de Japonais.
- Ne les laisse pas sortir du territoire français.”
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Pyrénées-Orientales: des vignerons japonais risquent d’être expulsés faute de ressources suffisantes
Deux vignerons japonais installés dans les Pyrénées-Orientales risquent d’être expulsés du territoire national, faute de ressources jugées suffisantes. “Selon [la préfecture], le couple ne gagne pas 2000 euros par mois et leur activité n’est donc pas viable”, a expliqué Me Jean Codognès, l’avocat du couple.
Il souligne que seule une cuvée de leur vin, celle de 2017, a été commercialisée, et a rencontré un important succès, ayant été servi à des tables prestigieuses comme Can Roca à Gérone, en Espagne, régulièrement reconnu meilleur restaurant du monde, ou encore Le Verre Volé à Paris.
La seconde cuvée à venir, dont 75% de la production serait déjà réservée, ne leur permettrait toutefois probablement pas de dépasser le revenu de 2000 euros requis par la loi française, car ils ne bénéficient d’aucune aide (du fait de leur nationalité), dans un secteur où le revenu moyen, aides comprises, est inférieur à 1000 euros.
Le perfectionnisme japonais au service d’un vin français
Rie Shoji, 42 ans, et Hirofumi Shoji, 38 ans, sont arrivés en France en 2011, décidés à devenir vignerons. Après avoir travaillé comme ouvriers agricoles ou cavistes dans le bordelais et en bourgogne, ils ont passé les diplômes de responsable d’exploitation agricole et de technicienne en oenologie à Dijon.
© BFMTV.com Pyrénées-Orientales: des vignerons japonais risquent d’être expulsés faute de ressources suffisantes
En 2016, ils se sont lancés, en achetant pour 150.000 euros les 3,5 hectares du vignoble “Predres Blanques” (pierres blanches). Leur idée: un vin nature, biologique, dans un secteur géographique où tout se fait à la main.
“Qualité de raisin, choix pertinent de la date de vendanges, précision et perfectionnisme typiquement japonais dans la vinification. Ce serait vraiment une grande perte pour nous, collectivement, de les voir partir”, a commenté dans le quotidien L’IndépendantJean L’Héritier, organisateur du salon des vins nature à Perpignan.
Un recours a été déposé et sera étudié le 6 septembre par le tribunal administratif de Montpellier.
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Un couple de vignerons japonais installé à Banyuls frappé par une obligation de quitter le territoire
Installé en France depuis 2011 et riche d’une solide expérience dans le vin, un couple de japonais a investi la somme de 150 000 € dans le vignoble de Banyuls-sur-Mer afin d’y produire des vins nature. Alors que leur première cuvée se retrouve à la table de prestigieux restaurants, notamment au Can Roca à Gérone ou encore Le Verre Volé à Paris, et que la deuxième est réservée à 75 %, la préfecture des Pyrénées-Orientales leur a notifié une obligation de quitter le territoire. Une situation ubuesque que dénonce leur avocat Jean Codognès qui a décidé d’attaquer l’arrêté préfectoral devant le tribunal administratif de Montpellier.
Selon l’avocat, l’activité économique ne peut pas être considérée comme florissante pour le moment mais les potentialités à l’export, le fait qu’ils investissent sur un territoire en déprise, et les synergies opérées grâce à eux avec d’autres producteurs du département participent au développement de tout un territoire.
Jean Lhéritier, président de Slow Food Pays Catalan et responsable du Salon Indigènes consacré aux vins nature, regrette également cette décision préfectorale. “Comme profession agrégé d’économie, je voudrais souligner à quel point ce couple de jeunes Japonais correspondent aux critères si fréquemment évoqués par le Président de la République Emmanuel Macron lui-même pour enrichir le rayonnement économique de notre pays, attirer des talents et des capitaux d’entrepreneurs innovants, des initiatives qui créent de la valeur. Cela s’applique de façon étonnante, ultra-rapide au démarrage des Pedres Blanques, leur domaine vinicole“.
Ce partisan d’une viticulture responsable et biologique confirme “une nouvelle tendance des consommateurs qui cherchent à aller loin dans la naturalité. Hiro et Ryé ont représenté cette énergie, cette volonté dès leur premier millésime, avec force et précision, par le grenache 2017 Pedres Blanques. Il n’y a qu’à voir le succès qu’ils ont obtenu au salon Indigènes. Dès leur premier millésime ! Qualité de raisin, choix pertinent de la date de vendanges, précision et perfectionnisme typiquement japonais dans la vinification… Ce serait vraiment une grande perte pour nous, collectivement, de les voir partir !“.
Un reportage complet à retrouver ce samedi soir dans l’édition abonnés de lindependant.fr et dimanche en kiosque dans l’édition Catalan.
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Dahut Il y a 2 heuresSIGNALER UN ABUSAvocat lui aussi, ALIOT vient soutenir l’action de son confrère CODOGNES. Boiront-ils du SAKé ensemble à Via Del Vie ?
Comment la Préfecture peut-elle être ainsi ignorante des réalités économiques ?
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angry cat Il y a 23 heuresSIGNALER UN ABUSQue le préfet des PO soit incité à quitter le territoire, et à ne jamais y revenir..

gaze Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSBah…!…ils ont les yeux bridés avides de s’emparer du meilleur dans ce département qui perd progressivement au cours du temps des bras valides …..c’est peut être ce qui n’a pas plu a certains locaux se sentant concurrencés se faisant le relais de l’autorité préfectorale….on a déjà vu ce phénomène en Agriculture dés 1962 ou des pieds noir d’Algérie se sont installés en Corse avec d’autres méthodes de culture plus productives concurrençant les propriétés Corses ….En clair ils dérangeaient malgré leur gentillesse et leurs courbettes....si ce fait divers s’était passé sous la Présidence de Jacques Chirac….la décision en aurait été autrement….!….les époques changent…!…

letech Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSToute ma sympathie à ce couple courageux. Nous espérons de tout coeur que cette affaire s’arrange. Il y a tant de gens en situation irrégulière qui ne quitteront jamais le territoire français. Situation ubuesque
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dragonge Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSil vaudrait mieux renvoyer dans leur pays d’origine tous les délinquants qui pourrissent la vie des honnêtes gens

cette expulsion et pourquoi ?

Dahut Il y a 2 heuresSIGNALER UN ABUSPeut être un autre viticulteur ?
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yvon11 Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSLes aberrations dans notre France d’aujourd’hui prolifèrent à tous les niveaux et à une telle cadence que l’on peut se demander si l’Etat n’est pas saisi par une maladie mentale grave. Mais comment soigner un tel phénomène ? Le bon sens est devenu sans doute le plus rare et le plus précieux des médicaments !
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Anonyme51933 Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSOn est à peu près sur de leur moralité (esprit nippon d’excellence), ils sont hyper travailleurs (trop peu être), la politesse et la courtoisie leur colle à la peau. La préfecture a peu être raison, ils sont trop bien pour la France. Ils risquerai de nous porter vers le haut….
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Cécilia R. Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSMaître Codognès, avocat brillant et d’une rare intelligence saura dénouer la situation. Mais quel dégât cette décision laisse encore dans un inconscient collectif 66 où le slogan « volem rien foutre al païs « est plus entendu que celui de la créativité…
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Pirequecela Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSFini le temps de “Jean de Florette” ou du boulanger de Fernand Raynaud.
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catalan66 Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSc est encore ce prefet Vignes qui avant de partir a pris cet arreté sans grande reflexion ou sous certaines pressions,?
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[J’espère effectivement que ce n’est pas le nouveau préfet qui a signé cette …
Auto-censure]

Mimilapin Il y a 2 joursSIGNALER UN ABUSPour garder des traînes savattes la France met tout en œuvre pur leur faciliter la tâche et la ??????
Guindoul66 Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSOh que oui, ceux la travaillent et investissent que d’erreurs !
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Banyuls-sur-Mer : priés de quitter le territoire et leur vignoble où ils ont investi 150 000 €
Le droit administratif a ses raisons que la raison ne connaît point. Un couple de vignerons japonais installé à Banyuls-sur-Mer s’est vu notifier en avril par la préfecture une obligation de quitter le territoire français. Une décision vécue douloureusement alors que Rie et Hirofumi sont entrés en France régulièrement en 2011 avec comme rêve d’acquérir du domaine viticole. Mais avant de se lancer dans cette aventure, ils décident de bonifier leur savoir-faire et travaillent comme ouvrier agricole et caviste dans des vignobles et des chais du Bordelais ou encore de la Bourgogne avant d’obtenir des diplômes de responsable d’exploitation et technicienne en oenologie. En 2016, voilà le couple mûr pour produire son vin : Pedres blanques. Un vin qu’il souhaite singulier comme cette terre où Rie et Hirofumi ont élu domicile. Un vin nature, biologique, où la vendange ne se fait qu’à la main. Grâce à l’appui de leur famille et d’une banque, le couple investit 150 000 € en faisant l’acquisition de 3,5 ha de terres à Banyuls-sur-Mer/Collioure. Mais voilà, la préfecture, et alors qu’une seule cuvée n’a pu être commercialisée, décide que le couple n’est pas en mesure de justifier de ressources suffisantes et se voit donc dans l’obligation de quitter ce territoire.
« À la table de Can Roca »
« On leur reproche de ne pas gagner 2000 € par mois » peste leur avocat Jean Codognès. Ce dernier a décidé d’attaquer l’arrêté préfectoral devant le tribunal administratif de Montpellier. Son angle d’attaque : le non-sens que représente selon lui l’argument de la préfecture affirmant que leur activité ne serait pas rentable. « On ne comprend pas l’acharnement de la préfecture envers ce couple. Ils ont un parcours cohérent et engagé depuis plusieurs années dans la filière viticole. Ils n’ont bénéficié d’aucune subvention du fait de leur nationalité alors qu’ils ont décidé d’investir sur un territoire en déprise, leur première cuvée et une réussite et la deuxième est déjà réservée à 75 % ». Leurs clients : des restaurants célèbres comme Can Roca à Gérone, qualifié régulièrement de meilleur restaurant du monde, mais aussi Le Verre Volé à Paris ou localement à la table Via del Vi.
« Les voir partir serait une grande perte »
Autre argument développé face à la préfecture : leur vin, poussé par la dynamique économique des produits nature et biologique dans certains pays, s’exporte très bien à l’international. D’ailleurs en peu de temps, une quinzaine de pays est tombée sous le charme. Au Japon évidemment mais aussi aux États-Unis, en Australie, au Danemark, en Suède, à Singapour ou encore en Angleterre. « Leur production a du sens car elle s’inscrit dans une économie novatrice où les clients n’achètent pas qu’un produit de qualité mais aussi des valeurs environnementales et sociétales. Dire que cette démarche, comme le fait la préfecture, n’est pas viable est un non-sens. Ils s’inscrivent sur une démarche rigoureuse et professionnelle ». Organisateur du salon des vins nature à Perpignan et président de Sloow food Pays catalan, Jean Lhéritier partage cette analyse. « Leur seul millésime a obtenu un vrai succès. Qualité de raisin, choix pertinent de la date de vendanges, précision et perfectionnisme typiquement japonais dans la vinification. Ce serait vraiment une grande perte pour nous, collectivement, de les voir partir ! ». Reste à savoir si le bon sens l’emportera. Leur avenir est entre les mains du tribunal administratif qui statuera en septembre prochain sur leur sort.
Gardons ces vignerons japonais qui mettent en valeur nos vins et notre région, comme le font nos vignerons catalans.
Faisons une pétition sans plus tarder .
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JAU Il y a 1 jourSIGNALER UN ABUSEncore un préfet qui ferait mieux de se préoccuper des vrais problèmes du département plutôt que de faire la chasse aux vrais travailleurs migrants.
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[Permettez-moi de saluer Jean CODOGNES, un avocat au grand coeur, qui s’engage sur des causes difficiles et en terrain souvent miné,
- le terrain des “Frères de la Côte”.
Car “on peut en être”, sans être une crapule soi-même, et c’est suffisamment rare pour être souligné.
- De plus en plus rare
- tant les “alimentaires” ont gagné la guerre contre les Frères de Lumière
- dans les Pyrénées-Orientales.]
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Anonyme52261 Il y a 1 heureSIGNALER UN ABUSIl ne faut pas jeter la pierre à la préfecture, c’est louche des étrangers qui investissent en France et qui viennent pour travailler. Dans leur quotidien on leur demande généralement plutôt des allocations pour vivre sans travailler ! .
[Second degré à l’ironie cinglante]
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