Hier soir, j’étais malade comme “un chien”.
C’est le cas de le dire.
A en vomir !
Dans un mal-être absolu…
Non pas à cause d’un énième procès “à la c.n”,
– excusez-moi de l’écrire comme je le pense -,
organisé pour satisfaire la vindicte de “petits chefs” à qui il n’a pas suffi, pour leur nuire, de “casser” la carrière et la vie d’agents placés sous leur autorité particulière et dévoyée, à seule fin de servir leurs intérêts particuliers,
et non pas placés sous leur autorité impartiale et bienveillante de représentants d’Etat pour servir l’intérêt général de ce même Etat, l’Etat français.
C’est impossible pour des agents dévoués de servir l’Etat français aujourd’hui, sans heurter l’ego démesuré de ce type de chefaillons méprisables.
Les pauvres gens, les précaires dont je fais partie aujourd’hui, pour la grâce de Dieu et témoigner de Son existence, les pauvres gens s’habituent à tout, même et surtout à l’injustice, une injustice sociale due à un pouvoir judiciaire de plus en plus arbitraire, décati et en décadence légale, complètement décrépit moralement.
Non, ce n’était pas la tenue d’un procès au civil qui me rendait malade, procès prévu cette semaine pour me faire payer,
– avant même que l’affaire ne soit jugée au fond, en appel -,
des dommages et intérêts qui auraitent été accordés à une prétendue victime, laquelle profite de tous les soutiens collusifs et fraternels d’une “pas-franc”-maçonnerie stupide et corrompue, par exemple le bénéfice de la protection fonctionnelle avec la prise en charge de tous ses frais d’avocats !,
- “pas-franc”-maçonnerie majoritaire au paradis des frangins, un paradis devenu l’enfer des profanes, un enfer dans lequel les petits “MAL-ins” sont co-gestionnaires des carrières des policiers, de tous les policiers.
Ces petits “MALins” reproduisent l’affaire des fiches de la IIIème République “radicale” maçonnique qui fut la honte des deux siècles précédents et discriminent à l’envi tous ceux qui s’opposent à leurs plans de carrières et à leurs secrets d’affaires, secrets qui peuvent être judiciaires, discriminant particulièrement les Chrétiens et éliminant singulièrement les bons Catholiques, ces “laïcs” qui se laissent faire et LES LAISSENT FAIRE.
Il faudrait DERADICALISER la République française, oui !
Avant que de DERADICALISER les bons Musulmans.
Il y a pire que les Jihadistes.
Il y a ceux qui tuent en silence le peuple de France et sans autre idéal que leur argent de poche.
C’était autre chose.
Autre chose qui me rendait malade.
Comme avant que quelqu’un ne soit poussé à se suicider, un suicide qui n’en est pas un, dont le Seigneur connaît seul l’auteur, un commanditaire qui pousse à vouloir se tuer un être fragile, un travailleur devenu précaire, laissé sans défense sous la seule autorité d’un patron harceleur, blessé à mort, jusqu’à mourir de n’avoir pour seul tort que celui de vouloir exister, même dans le monde du travail, jusqu’à sa dernière heure.
C’était la mort.
La mort qui me rendait malade.
Malade à en mourir.
Alors j’ai prié ou médité…
Mais, moi, j’écris “prier”, comme – “dialoguer avec Dieu” -, ce qui est “prier” pour moi.
Et là, pliée en deux par la souffrance, une souffrance physique, réelle, repliée sur moi-même comme un enfant abandonné de tous et qui vient d’être battu par ses parents ou par la personne chargée de le protéger, dans le silence terrible de cet abandon si lourdement ressenti, il m’a été rappelé l’article que j’avais écrit sur une jeune fille dont le prénom commençait par “Ma” et que j’avais surnommée “Manon” par commodité, parce qu’il fallait lui donner un nom, … selon moi.
https://deuvosguard.org/2017/08/02/voyance-recherche-manon-desesperement/
Il m’a été expliqué que j’avais pressenti “Ma-ëlys”.
Je devais “donner”, redonner ce qui m’avait été donné à tous, aux yeux de tous, ce qui, malheureusement, prenait sens aujourd’hui dans une réalité cruelle et démentielle, la réalité d’un “fait divers”, la disparition d’une enfant, une jeune fille appelée “Ma-ëlys”.
Moi, je croyais avoir rêvé du passé.
En fait, il s’agissait de l’avenir.
Il m’avait été demandé de l’écrire, de décrire mon rêve car il servirait de témoignage pour savoir et “RECONNAITRE”, à défaut de pouvoir prévenir, ce que j’ignorais advenir sur l’instant, quand j’avais publié l’article, quoique…
– Ne m’avait-il pas été demandé de décrire précisément la typologie des lieux de la disparition de cette jeune fille dont les parents attendaient désespérèment le retour ?
La chambre vide, sa chambre, mais d’abord la chambre de sa soeur, l’unique soeur de cette jeune fille et les CHIENS, le lien avec un chien, puis d’autres chiens, DES CHIENS ?
La maison au bord d’une étendue d’eau, que je croyais être la mer ou l’océan, peut-être.
Le lien avec la nature, l’attrait pour une vie de “sauvage”, quasiment d’Apache.
Je ne savais pas et j’écrivais que je ne le savais pas.
Tout ce que je savais, c’est que là où se trouvaient les chiens, se trouvait une jeune fille qui m’appelait et qu’il me fallait l’écrire.
Je me suis trompée sur l’âge, “voyant” une jeune fille de 17 ans.
Ou alors, il s’agissait d’une autre victime qui venait me prévenir, une autre jeune fille âgée, elle, de 17 ans, et qui voulait éviter à une autre ce qui lui était DEJA arrivé.
D’où la présence aussi d’Allison BENITEZ, présence attestée dans l’article sur “Ma-non”, Allison qui ne supporte plus les échecs de la justice, Allison révoltée, car victime d’un père militaire, “honorablement connu” qui a su si bien faire disparaître toutes traces des corps de ces victimes. Car Allison ne veut plus que ce qui lui est arrivé se reproduise.
Maëlys
Allison
Aujourd’hui force est de constater des éléments troublants en lien avec l’affaire “Maëlys” :
- les tables qui ressemblaient à des tables de banquets, ce que j’avais noté dans mon article sur la disparition de “Ma-non”,
- tables disposées ainsi pour une réunion de personnes originaires d’un même village, donc qui se connaissaient toutes, réunion que j’ai cru être une réunion “associative”, réunion organisée dans une salle communale, – car c’est ainsi que je l’avais interprété -, en fait, tout bonnement une “salle des fêtes”,
- les parents cheminant normalement à la sortie de la réunion, puis “m’entraînant” avec eux dans leur maison pour communiquer avec leur fille disparue,
- la vision de la chambre où se trouvait son unique soeur avec une “copine” venue dormir avec elle,
- la vision des chiens que j’ai tentée d’expliquer symboliquement, n’en comprenant pas le sens, – puisqu’il n’y avait pas de sens à chercher !, n’étant qu’une “réalité”, dans un futur très improbable pour moi alors,
tous ces éléments appartiennent à une réalité probante, l’affaire Maëlys De ARAUJO, jolie jeune fille brune, tout comme l’était Allison BENITEZ.
https://deuvosguard.org/2017/08/02/voyance-recherche-manon-desesperement/
Je ne suis pas capable de dire, et de vous dire, si quelqu’un est mort ou vivant.
Ne me posez jamais la question !
Je communique avec des êtres VIVANTS.
Même si vous les croyez morts.
S’il faut sauver Maëlys, donc la retrouver, tout ce que je sais, c’est que là où se trouvent les chiens, se trouve peut-être Maëlys et plus sûrement la jeune fille qui m’appelait et qui était gardée par des chiens, dans cet étrange cimetière abandonné près d’une chapelle ou dans cet étrange cimetière de chiens attenant à la maison qui surplombait une étendue d’eau suffisamment grande pour me faire penser à une mer ou à des étangs près de la mer ou de l’océan.
J’oserais écrire que là où se trouve enterré un chien, se trouve Maélys, pas forcément morte au sens où vous l’entendez, vous.
Peut-être enfermée ?
Gardée par les chiens, des chiens qui sont là pour sauver, pas pour tuer et qui “désapprouvent” son enfermement physique et/ou spirituel, se montrant et montrant le lieu qu’ils gardent.
Il faudrait chercher là où se trouvent les chiens, morts ou vivants, qui gardent Maëlys.
Et/ou qui gardent l’autre victime, la jeune fille de 17 ans.
La prochaine fois, promis !
Je n’essaierais plus de trouver un prénom correct à une personne qui m’est montrée avec pour seul prénom, seulement deux lettres qui le commencent :
– “Ma-“.
[ – “Make it easy !” Comme me le conseillait si gentiment Mickaël JACKSON dans l’article écrit pour l’annonce non faite de la mort de Gonzague SAINT-BRIS, faute d’avoir compris son message, pourtant si clair, une fois la nouvelle de la mort de Gonzague SAINT-BRIS diffusée par les médias.]
Mais c’est plus fort que moi, il faut que je “rationalise”, que j’analyse, que je concrétise, en cherchant à donner à des messages une réalité pourtant non perceptible, ni directement compréhensible IMMEDIATEMENT tant que l’événement n’est pas encore advenu, pour des lecteurs non avertis et “normalement” sceptiques.
A la date de la publication de mon article sur Manon, le 02 août 2017, j’ai même recherché partout sur Internet s’il était arrivé quelque chose récemment à une jeune fille dont le prénom commencerait par “Ma-“.
Puis, de guerre lasse, je l’ai appelée “Manon” et j’ai décidé que ce ne pouvait être que symbolique, cet avertissement onirique.
Je n’ai écrit cet article sur “Ma-non” que parce que le Seigneur l’a exigé et qu’Allison était présente aussi.
Je l’ai fait pour Allison, la “VIVANTE”.
La question que je me pose aujourd’hui est la suivante :
– l’individu qui a enlevé Maëlys est-il un récidiviste ?
La jeune fille de 17 ans, déjà enterrée semble-t-il, n’est pas “Ma-ëlys“, la fillette de 9 ans et ne peut pas l’être.
La jeune fille qui m’appelait et me parlait m’annonçait “Ma-ëlys” et savait ce qui allait se passer.
Ce qui signifierait qu’il y aurait eu “repérage” de la part d’un prédateur non identifié, non encore mis en examen.
Un prédateur qui aurait déjà “enfermé” ou “accidenté” une autre jeune fille.
Au moins une autre.
L’enlèvement aurait alors été prémédité ce qui pourrait expliquer que l’actuel mis en cause, innocent jusqu’à preuve du contraire, ait REELLEMENT contacté un acheteur potentiel pour la vente FUTURE de sa voiture, vente et contact avec un acheteur qui justifient le lavage très soigné du véhicule personnel, juste après l’enlèvement de Maëlys.
J’espère me tromper.
Soit il s’agit d’une coïncidence malheureuse pour cet homme mis en cause, soit il s’agit au contraire d’un acte prémédité d’enlèvement, faisant suite à un “repérage” en tant que prédateur isolé ou en tant que chasseur, traqueur rapportant ses proies à ses maîtres, les vrais prédateurs.
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http://www.liberation.fr/france/2017/05/25/enfants-disparus-pres-de-12-000-enquetes-en-cours-et-des-familles-demunies_1572204
Mineurs
Enfants disparus : près de 12 000 enquêtes en cours et des familles démunies
Par Rozenn Morgat — 25 mai 2017 à 12:13
« Un chiffre qui donne le vertige : en France, cinq mineurs sont portés disparus toutes les heures. »
[ En France, 49 347 mineurs ont été enregistrés dans le fichier des personnes disparues en 2016. A l’occasion de la Journée internationale des enfants disparus, le CFPE veut sensibiliser les parents, qui se retrouvent souvent sans réponses et dans une grande détresse.[…] ]
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N’oubliez pas, JAMAIS, les enfants migrants et les enfants de familles migrantes, eux-mêmes victimes de ces prédateurs. Ces enfants de migrants, eux, N’EXISTENT PAS officiellement. Ils ne sont donc pas comptés dans les 50 000 mineurs enregistrés en 2016, mineurs ayant été signalés disparus. Malheur à eux qui ne sont pas protégés, bien que se trouvant et EXISTANT sur le territoire français !
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Très honnêtement, j’ignore dans la réalité de ce monde si l’auteur des faits est “LE” prédateur, dit “prédateur isolé” ou “UN” traqueur, un seul, qui agirait pour le compte de notables et haut fonctionnaires en mal d’émotions fortes et de plaisirs interdits.
Mais il est certain que Maëlys ne pouvait pas me prévenir AVANT son enlèvement de ce qui allait lui arriver.
La victime qui m’a prévenue est une autre jeune fille, elle aussi disparue.
Et qui n’est pas Maëlys.
Peut-être une victime antérieure du même prédateur qui est, ou pas, l’homme interpellé.
C’est une supposition, juste une supposition, une simple hypothèse.
Il pourrait y avoir un “chasseur”, du nom donné à ceux qui rapportent le gibier à leurs maîtres, les “vrais” prédateurs.
Les chasseurs de victimes humaines, chasseurs de “petits animaux”, comme ils appellent les enfants victimes d’enlèvements, sont des hommes dont il ne faut pas prononcer le nom, jamais.
Certains policiers le murmurent, pas à voix haute, surtout pas.
Ils disent attraper les chasseurs, mais jamais les prédateurs.
Et les chasseurs passent pour être des prédateurs “isolés“.
Attention, ce que j’explique sur les réseaux de la pédophilie en France ne concerne peut-être pas Maëlys.
Je rappelle qu’environ 50 000 enfants ont été enregistrés disparus en 2016 et que la France ne brille pas par sa capacité à les retrouver.
Il est utile aussi de se rappeler que la région de Grenoble s’est déjà tristement illustrée dans d’autres cas d’enfants disparus et avec des “loupés” judiciaires “remarquables”.
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Disparus de l’Isère
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
[
L’affaire des Disparus de l’Isère est le nom sous lequel ont été regroupées neuf[1] ou douze[2] affaires de disparition, de meurtre ou d’agression d’enfants survenues, de 1983 à 1996, en Isère. Trois seulement de ces affaires – qui sont elles-mêmes en réalité deux affaires distinctes – ont pu être résolues […] ]
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INTERACTIF. Disparus de l’Isère : de nombreux cas restent à résoudre
>Le Parisien>Actualité|G.L. avec J.-M.D.|09 mars 2016, 8h15 | MAJ : 09 mars 2016, 9h07
[…]
Trois dossiers ont été refermés, ceux d’Anissa Ouadi, de Nathalie Boyer et de Léo Balley. Quant aux ossements découverts en 1985 au-dessus du Sassenage, dans le Parc régional du Vercors, ils n’ont jamais été identifiés. Ils ont été détruits en 1996 sur ordre du parquet de Grenoble pour faire de la place dans le laboratoire de toxicologie médico-légale du palais de Justice. ]
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Des ossements d’enfants détruits, pas même restitués aux familles ?
Normal ?
La présence d’Allison BENITEZ a été déterminante pour moi dans la rédaction de l’article sur “Manon”.
Allison a été doublement victime d’un meurtre, tuée par un “militaire”, me force-t-elle à écrire, un militaire qui était son père, qui est son père !,
– et “re-tuée” par une justice lui refusant justice, à elle et à sa mère.
Car Allison veut qu’on sache, que vous sachiez
[- A qui s’adresse-t-elle ?]
qu’elle ne laissera plus faire.
Elle ne vous laissera plus faire ce que vous voulez.
– “Interrogez-vous sur la disparition de vos enfants !”, dit encore Allison.
Et interrogez-vous sur la lenteur des procédures judiciaires et les erreurs commises par leurs “complices”.
– “Car ne pas résoudre un crime, dit Allison, un crime dont l’auteur était si facilement identifiable, c’est être complice des criminels.”
“Faute d’Etat dans l’Etat, les criminels ont pris le pouvoir.”, ajoute-t-elle.
– “”Faute d’Etat“, explique Allison, parce que ne pas rendre justice est une faute de l’Etat.”
[ – “Faute d’Etat”, dans le sens absence de l’Etat. Allison me remercie de préciser sa pensée]
– “faute d’Etat dans l’Etat”, car il n’y a plus de représentants de l’Etat au sein de l’Etat français pour rechercher la vérité, mais des associations de “MAL-faisants”, ceux qui font MAL leur travail, et des associations de “MAL-faiteurs”, ceux à qui profitent les crimes qu’ils couvrent !”
– “Retrouvez Maëlys !“
Vous qui n’avez jamais retrouvé Allison.
Ni les autres victimes de son père.
FAITES VOTRE TRAVAIL.
Retrouvez les enfants, nos enfants, et même les enfants du monde qui n’ont pas demandé à venir en France et à être abandonnés par les braves gens que nous prétendons être.
Qui sont les voleurs d’enfants en France ?
Et que vaut la vie d’un enfant en France quand les autorités françaises vous expliquent qu’il est impossible de donner des chiffres exacts sur les disparitions d’enfants ?
Mais il est possible de donner à l’heure près le nombre de grosses berlines de luxe volées et “assurées” par de riches patrons.
Si la vie de nos enfants était assurée comme le sont les berlines de luxe, croyez-moi, vous qui ne croyez pas en Dieu, pas un seul enfant ne disparaîtrait sans être retrouvé sur le territoire français.
Parce que ça coûterait trop cher aux assureurs français et à l’Etat français s’il fallait verser aux familles le prix d’une vie, d’une vie d’enfant qui aurait pu devenir adulte, et pourquoi pas, millionnaire ?
Ce qui signifie de devoir indemniser la famille à la hauteur du préjudice subi.
Vous vous rendez compte si Angela MERKEL avait enlevé Emmanuel MACRON ? Mais que ferions-nous aujourd’hui sans ce président que le monde entier nous envie ?
Chaque fois qu’un enfant disparaît, c’est MOZART ou MACRON qu’on assassine.