Ce n’est pas Marine LE PEN qui aurait dû se trouver face à Emmanuel MACRON pour défendre une position assumée par l’ex-FN qui était le FREXIT,
-
mais Florian PHILIPPOT !
Marine LE PEN n’a pas l’intelligence d’un “Florian PHILIPPOT” et ses accointances maçonniques ont fini de la noyer dans un brouillard londonien au moment même où l’Angleterre choisissait la SOLUTION, le “BREXIT”,
-ce qu’elle refusait à son propre parti, patinant et moulinant dans ses multiples contradictions et visibles incompréhensions.
-
On ne peut expliquer clairement que ce qu’on a compris clairement !
Manifestement Marine LE PEN n’avait pas compris ce qui lui avait été expliqué par Florian PHILIPPOT, son “mentor”.
Elle pensait pouvoir accéder au “pouvoir”, en compensant par sa “grande gueule”, qualité héréditaire chez les “LE PEN”, son insuffisance de travail, défaut de la fille “LE PEN”.
Sa paresse intellectuelle et, par contre, sa “suffisance” réelle, vanité des vanités, lui a ont été fatales devant un “Emmanuel MACRON” imperturbable et stable lors de l’énonciation d’arguments économiques rendus soudainement imparables par une Marine LE PEN devenue risible, et non plus redoutable.
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REPLAY. Présidentielle : revivez le grand débat entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen sur France 2 et TF1
A quatre jours du second tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron et Marine Le Pen se sont affrontés sur le plateau de France 2 et TF1, mercredi soir. Un débat à revoir sur notre site et notre application.
L’heure du grand débat est arrivée. A quatre jours du second tour de l’élection présidentielle, mercredi 3 mai, Emmanuel Macron et Marine Le Pen se sont retrouvés sur France 2 et TF1, pour un face-à-face décisif de 2h30. Chômage, terrorisme, sécurité, santé, pouvoir d’achat… Au total, Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont été interrogés sur une douzaine de thèmes pendant ce débat, que vous pouvez revivre sur le site et l’application franceinfo.
De nombreuses attaques ad hominem. Dès le début du face-à-face, les deux candidats se sont invectivés directement à de multiples reprises. “Monsieur Macron est le candidat de la guerre de tous contre tous”, a ainsi attaqué Marine Le Pen. “Vous êtes pas la candidate de la finesse”, a d’emblée répliqué Emmanuel Macron.
Macron jugé plus convaincant. Ce débat a-t-il fait bouger les lignes à quatre jours du second tour ? Un sondage Elabe, publiépar BFMTV immédiatement après la fin de l’émission, permet d’en douter. Selon cette enquête, 63% des Français ayant regardé le face-à-face entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen sur France 2 et TF1 ont jugé l’ancien ministre de l’Economie plus convaincant.
Un duo paritaire pour animer le débat. A l’origine, France 2 et TF1 songeaient à David Pujadas et Gilles Bouleau, les présentateurs vedettes des JT de 20 heures. Mais le CSA a exigé un duo homme-femme. Le choix s’est finalement porté sur les responsables des services politiques des deux chaînes : Nathalie Saint-Cricq, pour France 2, et Christophe Jakubyszyn, pour TF1.
Pas de public derrière les candidats. Le placement a été défini par tirage au sort : Marine Le Pen se trouvait à gauche de l’écran, Emmanuel Macron à droite. Ils étaient assis face à face, de part et d’autre d’une table de 2,50 m de large. Le décor de fond était une image floutée de l’Elysée, comme en 2012 et en 2007. Par ailleurs, il n’y avait pas de public sur le plateau.
Un moment phare de la campagne. Les débats d’entre-deux-tours, suivis ces quarante dernières années par 17 à 30 millions de téléspectateurs, constituent toujours des moments forts de la campagne où, au-delà des projets, les personnalités apparaissent au grand jour. Ils donnent généralement lieu à des répliques devenues mythiques, du “monopole du cœur” de Giscard d’Estaing contre Mitterrand, au “moi président” de Hollande face à Sarkozy.
Macron toujours favori. A quatre jours du second tour, Emmanuel Macron apparaît toujours comme le grand favori du scrutin. Dans les derniers sondages, le candidat d’En marche ! recueille en effet entre 59% et 60% des intentions de vote. Mais selon un sondage Elabe publié mardi, 18% des personnes certaines ou quasi certaines d’aller voter dimanche n’expriment aucun choix à ce stade. Un chiffre élevé, qui rajoute encore un peu plus d’enjeu à ce débat d’entre-deux-tours.
Retrouvez ici l’intégralité de notre live #PRESIDENTIELLE
Le “discours” du “prétendant au trône”, Emmanuel MACRON, a été reçu par les Français cinq sur cinq et perçu comme étant “incontestable” de par l’incapacité intellectuelle de Marine LE PEN à pouvoir contredire son adversaire politique.
La seule stratégie visible de la Présidente de l’ex-FN a été de vouloir humilier Emmanuel MACRON par des attaques personnelles qui ont fait du seul débat entre les deux candidats au mandat suprême une dispute de marché du dimanche où la poissonnière tenait haut son crachoir, postillonnant contre le coq de basse cour, qui, lui, répondait, en poussant de temps en temps un “cocorico” triomphal,
-chaque fois qu’il démontrait, en démontant ses “engueulades”, qu’elle n’était qu’une marchande de denrées avariées.
- Il y eut alors une immense bousculade… vers la porte de sortie pour l’ex-FN !
Incapable de défendre un point de vue non pas différent réellement du sien, mais trop complexe à expliquer face à des économistes tels qu’Emmanuel MACRON, perdue dans ses fiches, car s’étant fichée éperdument d’apprendre et de comprendre les théories économiques et monétaires qui s’affrontaient dans un duel où Thomas PIKETTY, auteur du livre “Le Capital au XXIème siècle“, aurait pu “clouer le bec” au jeune prétendant Emmanuel MACRON,
-Marine LE PEN a coulé sa “marine”
- par opportunisme politique et par favoritisme relationnel.
En effet, par le passé, les actes manqués se sont succédé aux actes manqués qui finissent par laisser entrevoir l’ex-Front National
– comme une sorte d'”entonnoir” destiné à “liquider” les voix des opposants politiques au “mondialisme immigrationniste”
- et à “servir la soupe” au peuple de France désireux de changer de menu.
- Echec et mat !
Il s’agit davantage du faire-valoir d’un personnage public qui ne veut pas devenir Chef d’Etat et dirige un parti politique uniquement pour se maintenir dans le paysage médiatique.
Au final, en France, la position opportuniste “d’opposition” d’un parti paraît toujours préférable à l’occupation “artistique” du fauteuil de Président de la République (représentation théâtrale) par le chef de ce même parti.
- Car faire partie de l’opposition institutionnelle enrichit son homme
- et c’est un placement financier pérenne .
Une mandature présidentielle ne dure que cinq ans, alors qu’une opposition bien menée peut durer toute une vie de profit,
- surtout si le parti d’opposition s’arrange pour être condamné à chaque fois à ne pas pouvoir accéder au pouvoir pour des “raisons totalement indépendantes de sa volonté”.
Les Socialistes étaient très doués à ce jeu-là, démagogiques tant qu’ils étaient dans l’opposition, une “fausse opposition”,
– et cyniques lorsqu’ils étaient au pouvoir au nom du “sacro-saint principe de réalité”,
-
le “pragmatisme universel” dérivé du “mondialisme”.
Tout ce petit monde politique se servait sur le dos des Français et profitait sans scrupules de leur candeur, grâce à un programme de promesses, genre “cahier des doléances” soigneusement entretenu, apportant la preuve qu’il était à l’écoute du peuple de France, ce qui était révolutionnaire et devait tout “changer”.
Puis, dès qu’ils accédaient au pouvoir, les Socialistes jouaient alors leur rôle de “Guignols” tapant sur le “Gendarme” dans une farce politique qui se jouait à deux partis,
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“l’alternance gouvernementale”.
Et les Français payaient pour rire de ce spectacle qui faisait de la France, leur pays, la risée du monde.
L’ex-Front National a voulu jouer à ce jeu prometteur et lucratif, le jeu de l’opposition avec ses dénonciations tous azimuts.
Le problème, c’est qu’à l’arrivée, au bout de la course au pouvoir, la soupe servie s’avère fade et sans intérêt.
A force de vouloir se “dédiaboliser” pour ne plus être “marginalisé”, l’ex-Front National, qui était devenu de fait le premier parti de France, s’est dissous dans cette “soupe” indigeste du “politiquement correct”
– où les légumes sont moins dans la soupe que dans le cerveau de ceux qui la boivent.
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“La coupe est pleine” pour les Français !
Alors est arrivé “Zorro”, Emmanuel MACRON,
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cadre banquier chez ROTHSCHILD
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ayant servi l’Etat, mais pas la France, dans l’ancien gouvernement de François HOLLANDE,
-et qui a réussi l’exploit considérable de se faire élire par des Français obtus,
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en prétendant tout changer parce qu’il renversait l’ordre des “anciens partis”,
-
le système frelaté de “l’alternance politique”.
En face de ce représentant très classique du système libéraliste mondial de “l’ancien N.O.M.” qui a pour nom “Emmanuel MACRON”,
– les bafouillages d’une Marine LE PEN dont le quotient intellectuel ne lui avait pas permis d’intégrer et d’ingérer les pages économiques sur les avantages réels du “FREXIT”
-
cafouillages habituelles dues à sa navigation à vue
-
entre “cabotage” pour ne pas couler et cabotinage pour ne pas trop se fouler,
– bref, sa collection de tristes bafouillages et cafouillages lepénistes ont fini par convaincre les Français de voter pour l’homme MACRON
-plutôt que pour la femme LE PEN,
-
eux qui prétendaient vouloir le changement !,
-
mais pas vouloir une énième “arnaque”.
Florian PHILIPPOT, dont le Général De GAULLE n’a pas ignoré les visites sur sa tombe et les recherches de récupération intellectuelle d’un gaullisme de toutes façons en perdition,
– Florian PHILIPPOT était le seul à pouvoir dédiaboliser l’ex-“F-Haine”, en maintenant un cap ambitieux et ferme sur une orientation “nationaliste”,
-
libérée du “mondialisme” et de ses utopies trompeuses
-
le “FREXIT”.
La “France heureuse” a donné son nom autrefois à un programme proposé par un vieux routard cynique de la politique peureuse,
- la France d’Alain JUPPE,
- lequel se voit remettre le couvert pour les élections européennes de 2019.
La France se serait soumise à l’occupant islamiste, en proclamant :
- “J’ai osé le changement : – Votez ERDOGAN !“
Elle aurait pu prendre figure avec une autre gueule, la “France Heureuse”,
- si elle avait été la “France résistante”.
Mais il aurait fallu que Marine LE PEN cédât sa place à plus “intelligent-e” qu’elle :
– soit à Florian PHILIPPOT,
– soit à Marion MARECHAL qui ne veut plus se faire appeler “LE PEN”.
- “Ce n’est qu’un au-revoir, Marion !“
La petite fille du patriarche LE PEN préfère se faire appeler : – “Maréchal, nous voilà !”, une liaison autrefois et autrement dangereuse.
La “France Insoumise”, mais soumise à l’Islam, a raflé la donne catastrophique.
Et le parti de Jean-Luc MELENCHON emporte la mise actuelle sur le plan politique, à la place des menteurs et des joueurs de poker.
Le Front National a changé de visage, il paraît, et il se fait appeler le “Rassemblement National”.
- Mais son visage est toujours le même, c’est celui de Marine LE PEN.
Cette chirurgie esthétique n’a pas suffi pas à dissimuler les calculs politiques et la bascule idéologique vers le “politiquement correct”
-en vue d’une alliance prochaine avec les Républicains dont le programme ressemble de plus en plus à s’y méprendre à celui de l’ex-Front National.
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Le Général De GAULLE vous conseille la lecture du prochain livre de Florian PHILIPPOT :
– “FREXIT“.
Si le Général aime à taquiner Florian PHILIPPOT, et ce, malgré sa condescendance à peine cachée envers les hommes de ce siècle qui se présentent tous comme des résistants,
-pour ensuite s’aplatir devant leurs “occupants”,
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le Général salue le travail de Florian PHILIPPOT
– et aime à regarder le jeune homme donner la réplique à des journalistes qui ne lui arrivent pas intellectuellement à la cheville.
C’est l’un des rares intellectuels français de ce siècle qui sauvent au moins le niveau des débats
-
à défaut de pouvoir sauver la France !
– “Du moins, pas encore ! s’amuse à ajouter le Général De GAULLE. Il ne faut pas décourager les hommes de bonne volonté !”
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Je tiens à préciser que j’ignorais que Florian PHILIPPOT allait sortir un livre sur le “FREXIT”.
C’est le Général De GAULLE qui est venu “m’en parler”… ce matin.
Donc j’ai fait quelques recherches pour tenter de vérifier ce fait.
Et je suis tombée sur ce lien que je mets en ligne :
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– Et “Les Républicains”, me direz-vous ?
Le Général De GAULLE considère que c’est devenu un parti américain,
– un “Parti Démocrate” plutôt que réellement “Républicain”.
Le choix de son futur “Maître de l’Europe” par Laurent WAUQUIEZ prouve une orientation que le Général De GAULLE réfute pour sa part.
– “Il n’y a plus rien à espérer de l’Europe, sinon périr avec elle dans une future guerre économique qui deviendra très rapidement et prochainement une vraie “Troisième Guerre Mondiale”.
Car les oligarques de votre siècle ne savent pas gérer autrement la misère humaine qu’en faisant disparaître l’espèce humaine,
-
leurs propres peuples !”
Mais le Général De GAULLE a récemment expliqué que Laurent WAUQUIEZ suivrait sa voie à lui, celle de Laurent WAUQUIEZ,
-
pas la sienne, celle du Général De GAULLE !
L’avenir nous dira qui aura eu raison.