Cet article, j’aurais dû l’écrire en 2020.

Mais, voilà, pour être totalement honnête, c’était un peu écrire, peut-être, sur moi, et l’amour rend bête, l’amour de lui.

– Comment dire ?

• Une situation improbable  pour moi, intenable pour lui, l’homme malheureux en ménage ?

Un homme malheureux en ménage et un refus de Le croire, de le croire, non pas lui qui ne m’en a jamais parlé, mais de croire cette info donnée par Lui, moi qui ne suis pas si souvent sage :

– selon Lui, un mariage pervertissant est le pire des mariages car il sépare l’homme de Dieu.

Et sur ce point de doctrine catho pas beau, y’a pas photo :

• le Seigneur n’approuve pas l’exclusion des divorcés, remariés ou pas.

Pas d’exclusion au partage du pain,

• cette invitation dominicale au repas du Seigneur pour toutes et tous qui sont pécheurs !

D’ailleurs, il est de bon ton de confesser nos péchés avant de communier avec le Saint, celui qui rompt le pain, le seul humain qui ait réussi à devenir et à rester saint sur cette terre d’enfer.

Si la confession n’est pas réalisée dans les sacro-règles de l‘art, alors, juste avant la messe, concession suprême, tous et toutes ensemble, les brebis galeuses et baveuses qui se critiquent et s’astiquent entre elles, peuvent encore bêler leurs fautes de fesse, pas très fières, en demandant « pardon à Dieu » de différentes manières aujourd’hui :

– du « Je confesse à Dieu » individualisant la responsabilité humaine aux collectifs chants religieux du nouveau Vatican 666 spongieux et vétilleux déresponsabilisant les « infidèles », ces « Tous Pareils », des Islamistes haineux aux Catéchistes migraineux, toutes et tous confondu-es dans le même sac de vipères secoué par des « hommes de Dieu » qui n’aiment ni Dieu, ni les hommes et encore moins les femmes.

[Le « encore moins les femmes » est rajouté à Sa demande.

• Et Lui, Dieu seul sait combien Il (Son Fils) sait ce que contient le coeur des hommes].

Donc j’ignore pourquoi, sachant que j’ai encore plein de travail à faire sur cette terre de misère, je vais publier un article très contrariant pour la doxa religieuse dominante et ambiante chez les Cathos.

Vous l’avez compris, je l’espère :

• célibataire, marié-e, divorcé-e ou veuf-ve, Dieu vous aime !

La première personne à qui Jésus a annoncé qu’Il était le Messie était sans doute une très belle femme, une étrangère (- quelle horreur!), une hérétique (- quelle erreur!), une certaine Samaritaine à qui Il a osé parler, lui, un simple « homme », incarné donc déjà condamné en sa chair.

J’ajouterais, circonstances aggravantes, que le Rabbi, le Maître, s’est adressé à une “putain” :

– car appelons un chat, un chat et une “chatte”, une “chatte” !

• Peut-être même a-t-il eu envie, l’homme qu’il était, de lui rouler un patin, tentation de la chair qui rend le jugement des hommes si arbitraire …

Et, le pire, c’est qu’Il le savait, « l’homme-Dieu », que la Samaritaine n’était pas une sainte.

Lis ce qu’Il lui a dit savoir sur elle, à la belle Samaritaine :

– elle avait eu cinq maris avant d’être en union libre désormais avec un sixième homme qui n‘était même pas son mari, juste un « concubin », conjoint, ami, petit ou grand, que sais-je encore !

• Et qu’est-ce qu’il a fait, l’homme-Jésus ?
• Il l’a excommuniée, envoyée en enfer, manu militari ?

-Non, tant pis pour les grenouilles de bénitier, désolée !

Sans rigoler, Il l’a aimée :

– la Samaritaine est la première personne à qui Jésus a annoncé qu’Il était le « messie »,

• de quoi f.utre un peu « the mess » à la messe dans vos histoires de fesses, non ?

Le Seigneur, un homme, aime les belles femmes comme tous les hommes incarnés :

– ça devrait vous Le rendre plus proche de vous, cet homme-Dieu, non, au lieu de crier au blasphème ?

• Quel est votre problème ?

Jésus aussi a connu les affres de la chair à la différence près qu’Il (l’homme-Dieu) a su résister aux tentations, Lui :

• pas comme vous et moi.

Donc, si Jésus a considéré qu’Il pouvait avoir pour première confidente de sa mission divine une « pute», je voudrais juste savoir qui vous autorise, vous, les censeurs impénitents à condamner celle qui a été répandre la Bonne Nouvelle parmi les siens :

– “le Messie est parmi nous, les Humains, et, avec nous, les Samaritains !”

• De quel droit, vous qui êtes pécheur, toi qui es pécheresse, tu interdis au Seigneur de sauver une femme, de sauver un homme,
• en le rejetant, en la rejetant et en lui refusant le partage du pain avec Lui, Jésus ?

Même Jésus a donné une bouchée de pain à Judas, le traître, en lui disant :

– « Fais ce que tu as à faire ! »

Et Judas, qu’est-il allé faire sinon, de suite, livrer Jésus au Sanhédrin juif, pour le faire condamner à mort sur la croix de la honte, lui, “l’homme-Dieu” innocent de toute faute.

• Jésus l’avait annoncé dans les Evangiles :

– « les putes et les voleurs vous précéderont au Paradis » car votre coeur est dur,

• ce coeur de « Juste » droit dans ses bottes qui exclut du salut celles et ceux que Jésus vient et veut sauver.

Jésus a communié avec Judas, en sachant à l’avance que cet homme allait le faire tuer. Il a rompu le pain et lui en a donné une bouchée.

– “Laissez les « infidèles » venir partager le pain avec vous, les hypocrites qui vous dîtes « fidèles » !”

Vous êtes tellement obsédés par le corps des femmes et vos fesses que vous condamnez davantage le divorce d’une femme que le meurtre d’un homme.

Si un criminel se confesse pour avoir tué son frère, son fils, son ami ou son voisin, vous l’absoudrez, vous recoudrez son habit de fête pour lui permettre de partager avec vous le repas dominical du Seigneur :

• l’assassin repenti pourra communier avec vous, lui !

Mais, si, pour son malheur, un homme s’est offert un peu de bonheur dans les bras d’une femme autre que la sienne et s’il choisit l’amour,

– « d’être en vérité » plutôt que de vivre l’enfer conjugal du « paraître »,

• le voilà condamné à vie à être banni et honni par les culs-bénits obséquieux et cauchemardeux d’une église catholique en perdition :

– c’est votre manque d’amour qui vous perd !

Car, si Jésus-l‘homme a pardonné à la Samaritaine de s’être mariée, remariée quatre fois pour finir par vivre dans le péché si terrible pour vous de l’union libre, c’est parce que cette femme cherchait l’amour, cette eau vive qui coule du sein de Dieu pour étancher la soif des hommes d’être aimés pour toujours.

Et l’amour, « être en vérité » , est le point théologique et névralgique de cette conversion des mœurs et des coeurs qui me conduit à écrire pire que vous n’aurez jamais à lire, vous, les conservateurs du « mariage à vie » :

– tant qu’il y a de l’amour, il y a de la vie !

Et quand il n’y a plus d’amour, il ne reste que l’envie, la jalousie, l’ennui et les ennuis jusqu’à la nuit des phobies : phobie des homosexuels, phobie des infidèles et la phobie d’« elles », femmes responsables de tous les maux sur terre pour les veaux religieux et les dévots silencieux.

• Or, le mariage, c’est d’abord l’amour qui unit deux êtres humains qui s’aiment !

– C’est l’union des coeurs avant que d’être l’union des corps.

Dans notre société, le désir sexuel éphémère remplace l’amour réel extraordinaire :

• et le désir sexuel est à l’amour réel ce qu’est le reflet lunaire à l’amour solaire.

Le Seigneur ne veut pas des « mariages » qui pervertissent les coeurs des hommes.

Il n’y a pire mariage que le mariage des hypocrites qui restent ensemble par amour des biens matériels et se trompent mutuellement, en prétendant être fidèles aux yeux des autres « infidèles ».

L’homme et/ou la femme qui se trompent et tronquent le lien du mariage pour le transformer en pacte avec le diable ne peuvent pas prétendre être avec Dieu s’ils ont choisi la duplicité et la lubricité. S’ils ne divorcent pas, ce n’est par amour l’un envers l‘autre et par amour de Dieu.

– Non, s’ils ne divorcent pas, c’est pour aller forniquer avec n’importe qui, n’importe comment, en sachant à l’avance qu’ils ne respecteront pas les personnes qu’ils vont niquer, aux deux sens du terme. Car ils savent à l’avance qu’ils n’auront rien d’autre à offrir à leurs futures victimes qu’une affaire de cul, la région la plus basse de leur corps, au mieux une histoire de fesses pour petits vieux qui n‘habiteront jamais des cieux auxquels ils ne croient plus.

Et ce sont ces gens-là, le plus souvent fortunés, possédés par leurs possessions matérielles, qui seraient les invités au repas du Seigneur tandis que vous rejetteriez celles et ceux qui sont prêts à tout quitter par amour, un amour que ne condamnera jamais le Seigneur, si amour il y a, c’est à dire respect de l’autre dans un engagement qui implique la fidélité à l’autre ?

– « Sois en vérité », dit le Seigneur, « et tu seras en paix avec toi-même et avec le monde. 

• Ne juge pas pour ne pas être jugé-e !

– Et accepte le verre d’eau que t’offrira la belle Samaritaine, si tu sais faire taire dans ton coeur la haine de l’étrangère ! 

Le serviteur n’est pas supérieur au Maître.

Si le Maître choisit d’accueillir les amants à son repas du Dimanche, le Jour du Seigneur, parce qu’Il a décidé de pardonner au Roi David son adultère avec Bethsabée, « la fille du serment » (étymologiquement), malgré le meurtre de son mari, Urie, qu’il a envoyé mourir à la guerre pour pouvoir s’unir à l’épouse du Hittite,

• qui es-tu, toi, pour exclure de la communion les divorcé-es et les remarié-es  ?

Le signe du pardon au Roi David pour cet amour adultère a été symbolisé par la naissance d’un fils, le futur Roi Salomon, né de cette union avec Bethsabée, « la fille du serment » prise à Urie le Hittite.

• Ne vous étonnez donc pas si Salomon signifie « paix » (- « Je vous donne ma paix ! » en hébreu).

{Le Premier Livre des Chroniques interprète le nom « Salomon » (en hébreu « Shelomo ») comme signifiant que le roi apportera la paix  (« shalom » en hébreu) et la tranquillité à Israël. Le nom signifierait « Sa Paix », en référence au Dieu de « Shalom » ou « complétude », état qui n’est atteint que dans la paix.} Source Wikipédia

• Aux mariages divertissants et pervertissants, préférez toujours l’amour qui vous oblige à tout quitter du moment que vous aimez l’autre réellement comme le Seigneur vous a aimé-e et vous aime !
• A vous qui avez choisi d’aimer, recevez la paix immémoriale du Seigneur dans l’amour de Dieu, pas dans les fornications bestiales et les relations triviales !

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Je ne pouvais pas écrire, encore moins publier cet article en 2020.

Pourtant, la chanson « Hallélujah » de Léonard Cohen donné comme signe pour cet amour portait déjà ce message, à condition d’en comprendre le sens et d’être parfaitement anglophone.

Moi, la mélodie m’avait touchée à cause de la voix cassée et profonde de ce chanteur juif sublime que fut Léonard Cohen.

Ce n’est que, bien plus tard, presque par curiosité, au hasard d’un clip qui relatait l’histoire de David avec Bethsabée sur fond de musique de la chanson « Allélujah » que je compris combien je m’étais trompée :

– il avait été choisi comme signe d’amour par Lui une chanson d‘adultère :

• Horreur et damnation… vraiment Il exagère !

– Après, après quoi ?

Deuxième signe :

• « Le Cantique des cantiques », pas mieux,
• le plus beau poème d’amour biblique écrit par le Roi Salomon, justement, né d’un adultère !

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Le Cantique des Cantiques – Chapitre 3 – שִׁיר הַשִּׁירִים

1 Sur ma couche nocturne, je cherchai celui dont mon âme est éprise: je le cherchai mais ne le trouvai point.

2 Je résolus donc de me lever, de parcourir la ville rues et places pour chercher celui dont mon âme est éprise; je l’ai cherché et ne l’ai pas trouvé.

3 Les gardes qui font des rondes dans la ville m’ont rencontrée: ” Avez-vous vu [leur demandai-je] celui dont mon âme est éprise?”

4 A peine les eus-je dépassés que je trouvai celui que mon cœur aime; je le saisis et ne le lâchai point, que je ne l’eusse emmené dans la maison de ma mère, dans la chambre de celle qui m’a mise au monde.

5 Je vous en conjure, ô filles de Jérusalem, par les biches ou les gazelles des champs: n’éveillez pas, ne provoquez pas l’amour, avant qu’il le veuille!

[…]

Le Cantique des Cantiques – Chapitre 5 – שִׁיר הַשִּׁירִים

1 Je suis entré dans mon jardin, ô ma sœur, ma fiancée; j’ai récolté ma myrrhe et mon baume, j’ai mangé de mes rayons de miel, j’ai bu mon vin et mon lait. Mangez, mes compagnons, buvez et enivrez-vous, amis.

2 Je dors, mais mon cœur est éveillé: c’est la voix de mon bien-aimé! Il frappe: ” Ouvre-moi, ma sœur, ma compagne, ma colombe, mon amie accomplie; car ma tête est couverte de rosée, les boucles de mes cheveux sont humectées par les gouttelettes de la nuit.”

3 “J’ai enlevé ma tunique, comment pourrais-je la remettre? Je me suis lavé les pieds, comment pourrais-je les salir?”

4 Mon bien-aimé retire sa main de la lucarne, et mes entrailles s’émeuvent en sa faveur.

5 Je me lève pour ouvrir à mon bien-aimé; mes mains dégouttent de myrrhe, mes doigts laissent couler la myrrhe sur les poignées du verrou.

6 J’ouvre à mon bien-aimé, mais mon bien-aimé est parti, a disparu mon âme s’était pâmée pendant qu’il parlait; je le cherche et je ne le trouve point, je l’appelle et il ne me répond pas.

7 Les gardes qui font des rondes dans la ville me rencontrent, ils me frappent, me maltraitent; les gardiens des remparts m’enlèvent ma mantille.

8 Je vous en conjure, ô filles de Jérusalem: Si vous rencontrez mon bien-aimé, que lui direz-vous? Que je suis malade d’amour!

9 En quoi ton amant est-il supérieur aux autres amants, ô la plus belle des femmes? En quoi ton amant est-il supérieur aux autres amants, pour que tu nous conjures de la sorte? […]]

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– Dis-moi, Seigneur, explique-moi comment la Bible peut contenir le plus beau poème d’amour qui fut jamais écrit par un homme ?

• L’amour d’un seigneur-amant qui vient visiter clandestinement sa douce « amie » !

Alors il serait peut-être grand temps que l’église catholique soit en raccord avec ce qui est écrit dans la Bible.

– Si je peux enfin publier cet article ?

• Oui, puisque, pour moi, tout est fini.

– Peut-être ai-je choisi de devenir une hypocrite par respect des convenances sociales en sacrifiant l‘amour ?

• – Alors, non, qu’on ne dise jamais de moi que je suis quelqu’un de bien parce que je l’ai fui !

Mais, le dimanche, je pourrais aller communier avec les autres hypocrites, ces « fidèles » qui critiquent les « infidèles ».

Dans mon coeur, je saurais que Tu préfères, Toi, Seigneur, le plébéien qui s’humilie devant Toi en vérité, plutôt que le pharisien qui se dresse face à Toi,

• le juste orgueilleux qui défie les cieux
• et se rend malheureux en rendant malheureux-ses celles et ceux qui l’entourent.

Souvenir des premiers jours au printemps 2020 quand je n’avais pas compris Ta volonté :

Il y a dans ma tête un cri qui résonne et un mot qui bastonne mon coeur :

– « Pardon ! »

• Pardon ?

– Pardon, pourquoi ?

– Pardon, comment ?

Je ne pardonne pas.

J’ai déjà tout oublié.

Ma vie a toujours été une longue partance dans la vacance de l’autre, une vacance qui couvre la souffrance de l’absence.

J’ai appris à partir, à mourir à moi-même et à ne jamais revenir en arrière : ne pas se retourner sur le passé pour ne pas devenir une statue de sel.

Des amis, j’en ai eus.

Des amants, j’en ai connus, sans que cette connaissance devienne un partage physique de l’autre.

• je suis « moi », je m’appartiens.

Je ne me donne jamais physiquement, même pas en photographie.

Je n’appartiens qu’à un seul Homme qui n’existe pas.

Parfois je le cherche dans l’homme qui existe.

Et je meurs alors.

Car il faut mourir à soi-même pour partir.

Mes parents ne me demandaient pas mon avis quand il fallait tout quitter pour tout reconstruire ailleurs : tous les deux ou trois ans, je voyageais avec moi et sans les autres.

• Je n’avais plus d’ami, plus d‘attache, plus de chaîne.

C’était comme m’enfuir, moi qui ne fuyais que l‘ennui de vivre.

J’étais libre mais j’étais seule et je devais vivre comme les autres mais sans les autres qui traînaient leur peine de m’avoir quittée.

Puis, un jour, Il est entré dans ma vie : Il est devenu mon ami, mon seul ami :

• Il était tout à la fois mon Sauveur et mon « Prince », mon Prince Charmant.

Il disait qu’Il pouvait devenir tout ce que je voulais qu’Il devienne… pour moi :

• promesse d’Amour à toujours !

Il était l’ami imaginaire d’une sauvageonne qui ne croyait en rien, née de parents biologiques incroyants.

• Encore aujourd’hui, je doute que ce puisse être Lui :
• – « Pourquoi moi, pourquoi Lui ? »

Entre la mort et la vie, le départ pour toujours ou le départ pour deux ou trois ans, Il a choisi de me sauver, moi qui décidais de partir encore et toujours, loin de ce monde  : « s’il n’y pas d’autre monde après ce monde, « si mourir-c’est dormir », alors tue-toi ! Mais s’il y a un autre monde, d’autres mondes, réfléchis bien aux mondes dans lesquels tu vas voyager ailleurs et pour toujours, sans jamais revenir. »

• J’ai ri !

– « Tu n’existes pas et je n’existe pas ! Alors, à quoi bon vivre ? Tu n’es rien, rien que l’envie d’avoir un ami, le même que cette amie protestante, Dominique, qui n’arrêtait pas de me parler de « son » ami, un dieu fait homme, un homme qui serait dieu, un certain « Jésus ».

Moi, je t’appellerais « Lou » comme le « lou-p » qui sort des bois à la nuit tombée pour attraper sa proie et qui n’a pour loi que sa liberté d’être ou de disparaître. »

Si j’avais voulu, j’aurais pu fonder une secte car il n’y avait pas d’homme plus vivant que Toi en ce monde.

Et les amis temporaires des temps précaires venaient me prier comme la Pythie de Delphes pour que j’intercède en leur faveur auprès de Toi.

Lorsque j’ai voulu tenter Dieu pour savoir qui Tu étais, je me suis tournée vers la sorcellerie : sorcière j’étais dans une vie parallèle, sorcière je reste, sauvée par toi, pardonnée.

Mais, dans cette vie-là, les sorciers, d’abord ravis de me voir, réaction masculine assez commune en ce qui me concerne, me chassait ensuite comme une damnée.

Ils avaient peur de « l’esprit » qui était avec moi et qui leur interdisait de m’initier à la sorcellerie. Et quand ils osaient interroger « leurs esprits » familiers, presque des dieux, parfois des démons : alors apparaissait leur « terreur », cette Lumière aveuglante qui incendiait leurs ténèbres.

C’était toujours la même réponse : il leur était interdit de me révéler qui Il était.

C’était à moi seule de répondre métaphysiquement à la question que je me et Lui posais :

– « Qui es-Tu ? »

Et, Lui, invariablement, comme dans un double « je-u », me répondait :

– « Et pour toi, qui suis-Je ? »

Ce qui me rendait folle, folle de colère aussi.

Et je le serais devenue s’il n’y avait eu cette obligation de Le chercher pour savoir justement si j’étais folle ou pas :

• d’où ma première orientation universitaire !

Ses manifestations matérielles prouvaient une existence physique incontestable.

Mes amis Le connaissaient et avaient pu vérifier que Ses pouvoirs sont considérables.

La seule limite posée à sa puissance était celle du Mal et reste celle du Mal, non pas parce qu’Il ne pouvait pas combattre le Mal : c’est Sa principale activité en ce monde, mais parce qu’Il ne veut pas faire le mal :

– guérir, oui, faire périr, non !

C’était assez frustrant d’être avec un « esprit » aussi puissant et de ne pas pouvoir faire le mal, surtout pour une sorcière qui voulait faire le mal pour faire le bien.

Je m’explique : quand tu connais quelqu’un qui passe son temps à faire du mal, tu as envie de lui faire du mal à ton tour, ne serait-ce que pour te défendre ou défendre les autres, tes amis ou pas, en tous cas, dans tous les cas, les victimes du « mal-in », de celui qui se prenait pour un « malin » :

– « Il faut être malin en ce bas-monde, « Lou-p », pour survivre ! » Lui rappelais-je en vain.

Et je commandais en vain comme à un ange du Martinisme, ces anges qui servent le « dieu sans visage » de la « pas-franc »-maçonnerie  :

« Cet homme m’a fait du mal, venge-moi ! »

Mais celui que j’appelais « Lou » se refusait à utiliser ses pouvoirs pour faire du mal, même à ceux qui me faisaient du mal ou qui faisaient du mal à mes amis ou à mes relations.

Il guérissait tout, si la demande Lui en était faite sur la foi de Dieu et soignait les personnes frappées de sorts ou pas, jusqu’à la porte de leur mort, pour les faire revenir du pays du froid éternel quand les corps, immobiles, paraissent s’endormir à jamais.

Mais, à leur retour, quand il s’agissait de « morts volontaires », les « suicidés » ratés ne pensaient qu’à me « pourrir », sauvés contre leur gré à la demande de leurs proches :

– « Pourquoi as-tu prié pour moi ? Pourquoi ne m’as-tu pas laissé mourir ? Il m’a dit que c’était toi qui Lui avais demandé mon retour pour mes enfants. Moi, je ne voulais plus vivre ! Mes parents (ou mon conjoint-e ou ma sœur, mon frère, etc.) s’en seraient occupé. »

Heureusement, être revenu-e du du passage vers l’au-delà et L’avoir rencontré leur communiquait une force qui les surprenait eux-mêmes.

Je ne lisais pas les textes religieux à l’époque.

Dans ma famille, c’était encore plus mal considéré que de croire aux contes de fées : la Bible, un recueil de superstitions grotesques comme toutes les croyances humaines non fondées sur la science :

• sauf que Lui existait !

Il communique, Il agit, intervient et Il guérit.

Contrariée de constater que mes parents étaient incrédules, bien que mon père ait été le témoin d’événements qui l’avaient profondément ébranlé dans ses convictions matérialistes, croyances que je nomme « la fausse certitude scientifique en la table à quatre pieds » alors que la table solide est composée d’atomes en mouvements, éléments perpétuels invisibles à l’oeil humain, sorte d’océan liquide rempli d’une énergie psychique, “l’Amour” agrégateur, je suppliais « Lou-p » de Se manifester auprès de ma mère.

Mon « ami » s’y refusa à plusieurs reprises :

– « il n’y avait pire aveugle que celui qui ne voulait pas voir », m’assura-t-Il.

–  De plus, ma mère était fragile, avait-il ajouté.

Selon lui, elle avait très peur de ce qui était surnaturel tout en niant l’existence des phénomènes parapsychologiques pour se rassurer :

• bref, Il ne voulait pas m’aider à convaincre ma mère de Son existence.

J’ai donc boudé pendant deux semaines, en ignorant Sa présence et en refusant toute communication avec Lui, malheureuse de ne pas pouvoir faire comprendre à ma mère aux opinions hasardeuses ce que je vivais avec Lui.

Tout à coup, un soir, j’entendis ma mère crier comme une « folle » et surgir de sa chambre où elle était partie se coucher pour accourir dans le salon, il est vrai, avec l’air égaré d’une femme qui aurait vu un fantôme.

Mon père, surpris par ses appels effrayés, relayés jusqu’en notre présence, la somma de s’expliquer. Il faut dire que, mollement affalé dans le canapé, il n’avait pas très envie de le quitter et de se lever.

– « Mais je te dis qu’il y a un fantôme ! Viens voir, mais viens voir si tu ne me crois pas. Moi, je ne retourne pas dans la chambre tant que tu ne l’auras pas chassé. »

Accablée, elle tremblait nerveusement avec presque des tics de peur et des rictus de terreur qui la traversaient.

Mon père répliqua, agacé :

– « Tu sais bien que les fantômes n’existent pas ! D’ailleurs c’est ce que tu dis tout le temps à ta fille, Véronique. Donc je vais te répondre ce que tu lui réponds, en te le répétant à toi aussi : LES FANTÔMES N’EXISTENT PAS.»

Je pensais tenir ma revanche.

Cependant « Lou-p » avait eu raison : ma mère a été traumatisée par ce signe d’une présence qui se voulait discrète pourtant. Car « Lou » n’aimait et n’aime pas faire peur.

Il préfère être aimé librement, sans forcer les gens à croire en Lui et encore moins à Le suivre. Il m’obligeait même à renvoyer les égaré-es qui cherchaient un refuge spirituel en Lui au point d’abdiquer tout discernement : interdiction de Le prendre pour un gourou ! Servir Dieu, c’est servir les plus pauvres : tous serviteurs de Dieu, tous frères en Dieu le Père.

Mon père humain, semblable à tous les hommes confrontés aux exigences insatisfaites de leurs épouses et à un risque d’abstinence sexuelle insupportable pour eux et pour lui aussi, se leva donc enfin pour aller voir le « fantôme ».

Ma mère le suivit en lui racontant ce qui s’était passé selon elle : la porte de leur chambre à coucher s’était “grande-ouverte”. Une main invisible (sic) avait baissé la poignée lentement pour l’ouvrir et entrer. Il n’y avait aucun courant d’air, aucune fenêtre ouverte, d’autant plus que nous étions en hiver.

J‘entendis mon père répondre à ma mère qu’elle avait dû oublier tout simplement de la refermer (la porte), ce qui déclencha une colère presque hystérique de la part de ma mère parce que mon père ne la croyait pas.

Alors, étonnamment, ma mère qui prétendait ne jamais me croire et ne pas croire aux fantômes, se tourna vers moi, l’agnostique  :

– « C’est toi, hein, c’est toi qui lui as demandé de me faire peur ? »

Mon père intervint aussitôt :

– « Tu perds complètement la tête ! Les fantômes n’existent pas. Pourquoi accuser ta fille ? »

La haine se lisait dans les yeux de ma mère.

« Lou » avait raison : cette « apparition » qui n’en était pas une, juste une manifestation de la présence non physique d’un homme invisible à ses yeux, lequel avait ouvert la porte de sa chambre comme l‘aurait fait un homme visible, manière d’entrer dans sa vie de mortelle comme un mortel l’aurait fait, sans vouloir lui faire peur, nous avait définitivement séparées :

• la vérité peut faire peur.

Beaucoup d’êtres humains préfèrent croire que la mort existe plutôt que la vie éternelle.

C’est plus reposant de « dormir » pour l‘éternité que de savoir qu’il existerait une autre vie :

• en plus, si, dans cette vie, ici-bas, les gens se sont mal comportés, malheur à eux !

Donc, entre les vers de terre des cimetières et les clefs de Saint-Pierre ouvrant alternativement la porte du Paradis ou celle de l’Enfer, selon que l’on a été riche ou pauvre, et contrairement à ce qu’affirment les athées :

– « croire à l’enfer, ce n’est pas le paradis sur terre ! »

• Mais ne pas croire au paradis peut vous conduire à l’enfer.

– Dis-moi, mon ami, pourquoi ai-je si mal de lui ?

• Toi, Tu l’aimes.

Moi, je ne sais plus l’aimer.

Je ne suis pas masochiste et je n’ai pas une vocation de martyr.

– Alors, dis-moi, quel est ce hurlement de « loup » pleureux qui crie dans la nuit,  ce son caverneux qui appelle comme un cor de chasse les coeurs malheureux ?

• Non, ce n’est pas possible, je me trompe, trompe de chasse avec les cris de la meute.

Ce « chien » de lien télépathique qui me relie à rien de bien, sinon à lui, encore et toujours, quand Te décideras-Tu à le couper ?

• S’il ne sait plus où aller dans sa vie, Tu seras là.

Et ne me dis pas : annonce de la Troisième Guerre Mondiale, visions exactes, etc..

C’est Toi qui m’as appris que nous sommes toujours libres de nous réaliser ou pas,

• de nous volatiliser ou pas,
• pour atteindre l’étoile inaccessible qui brille dans le ciel nocturne
• ou nous éteindre comme la comète combustible qui se crashe au sol.

Certains hommes préfèrent leur train-train quotidien et conduire le véhicule de leur vie, la main sur le frein de leurs envies, plutôt que risquer un dérapage incontrôlé, sortie de route entolée dans un fracas de fin du monde.

• « Couper le lien » reste la prière muette et parfaite de la louve solitaire qui ne veut pas de chien dans sa vie et préfère les « lou-ps » importuns aux comédiens cabotins.

• La réponse du Seigneur qui l’aime beaucoup, ne se fit pas attendre.

Comme à chaque fois quand il s’agit de lui, elle est étonnante et agaçante, inscrite dans la synchronicité de signes presque magiques, telle que la notification absurde de vidéos qui apparaissent puis disparaissent comme des papillons de nuit sur l’écran noir de mon ordinateur pour finalement mettre en avant un message que je dois noter… pour lui.

Avant de copier le message de cette vidéo qui, pour moi, est assez dérangeant, m’imposant une démarche de réconciliation avec risque d’emprise en cas de reprise d‘une relation, j’avais demandé (encore !) un signe, celui du « ghost ».

Le signe était demandé hier, dans la nuit, à la fin de la rédaction de cet article non encore publié ce dimanche matin sur mon blog « Déu vos guard ».

J’écris le mot « ghost », « fantôme » en français, à cause de la pratique du « ghosting », blocage des importuns sur les Réseaux Sociaux quand un-e abonné-e fait disparaître de ses relations, du moins en apparence, une personne, sans lui adresser aucun message d’explication. C’est un mode d’exclusion sans respect pour les êtres humains non robotisés  :

– pas la peine d’expliquer aux galvaudeux et aux chien galeux ce coup d’éponge sur le tableau d’ardoise commis par un homme d’élite se situant très au-dessus du vulgum pecus :

– « Pardonne ! »

Le code d’honneur de ma famille me l’interdit.

En d’autres temps, je l’aurais défié en duel, le grossier roturier, après lui avoir jeté un gant de grand couturier à la figure et en public, soufflet de velours dans la cour du Prince, la pire offense pour un mâle dominant.

– What’s the matter, my Lord ?

Le « Jour du Seigneur », émission hebdomadaire de diffusion de la messe, a confirmé la bienveillance dont bénéficie mon « tueur » auprès du Seigneur. Car, après l’avoir demandé le 6 avril, je reçus le signe attendu du « ghost » ce dimanche 7 avril :

– Parole du Jour, parole d’Évangile où Jésus apparaît après sa mort à ses disciples en l’absence de Thomas, l’incrédule, incrédule parce qu’absent. Le jour de l’apparition de “Jésus”, Thomas était le seul à ne pas l’avoir vu. Donc “Jésus revient” : il rentre comme un « fantôme » en traversant les murs de la salle de prière collective. Et, pour prouver à Thomas qu’Il n’est pas un fantôme, accède à sa demande, non seulement de le voir, lui qui était absent, mais surtout de pouvoir toucher ses plaies, stigmates physiques d’un homme innocent de tout péché cloué sur une croix pour mettre fin à tous les sacrifices humains et animaux. Ainsi Thomas sait que l’apparition n’est pas celle d’un fantôme, de l’esprit d’un homme mort, mais de Jésus le Vivant, le “Ressuscité”.

Évidemment, je comprends mieux pourquoi Tu voulais que je raconte cette histoire de « fantôme » arrivée durant mon adolescence avec Toi, si tu es “Jésus” et pourquoi je devais relater l’incrédulité de ma mère confrontée à cette présence invisible qui se rendait visible sans se faire voir pour ne pas lui faire peur, à elle, l’aveugle :

– « peut-être »,  oui, je l’écris encore, – “si Tu es Jésus”, car je suis pire que Saint-Thomas, moi.

• Prétendre vivre avec Toi dans un rapport de proximité irrévérencieux est tellement prétentieux.

La prochaine fois, avant de Te demander un signe, je consulterais le Missel* pour être sûre que je ne me ferais pas « avoir » par Toi qui sais toujours à l’avance quels seront les textes lus durant la messe du lendemain.

*Missel : du latin missa : messe

Livre regroupant les textes des lectures et prières constituant la liturgie de la messe pour tous les jours de l’année. Aujourd’hui, les missels les plus répandus sont les missels des dimanches. Il en existe d’autres pour les jours de semaine.

Et, pour éviter tout doute de ma part sur la manifestation de Sa volonté, Il a réaffirmé cette intention de “réconciliation” par le deuxième signe identique à ceux réclamés par moi pour la publication d’un article antérieur concernant mon offenseur.

C’était la première fois où “Il” intervenait ainsi pour obtenir mon pardon envers celui qui m’avait gravement diffamée. Ce jour-là, j’avais exigé, oui, exigé deux signes synchronisés dans un même temps de diffusion parallèle et rapproché, pas dans cent ans, et seulement sur les chaînes de l’ENT, pas sur les centaines de chaînes du monde entier :

• le mot “ghost”, premier signe, proposé par Lui comme le fil rouge de la lâcheté insigne de celui qui n’est jamais en vérité, le menteur qui se ment à lui-même et ment aux autres, comme s’il n’était que l’ombre de lui-même dans cette vie, sa vie sans vérité,
• et le prénom de mon agresseur, second signe pour moi, prénom devant figurer dans le titre d’un film, qu’importe le genre du film, diffusé dans la même journée que le signe du “ghost”.

J’avais été exaucée au-delà de mes espérances puisque le soir même était diffusé le film “Ghost” et un autre film sur une autre chaîne, portant un titre avec le prénom de l’incriminé. En fait, le Seigneur a “signé” Sa volonté que je pardonne encore à mon calomniateur par la programmation aujourd’hui, ce jour, le même jour que le signe du “ghost”, d’un film portant en titre le prénom de son “protégé” à qui je dois tout pardonner par amour :

• sacré “Trésor” que ce trésor-là qui vaut de l’or pour le Seigneur,
• l’amour de cet homme !

Cependant, Toi, mon ami, Tu m’autoriseras à respecter le code d’un certain savoir-vivre qui impose à l’homme de venir saluer la femme et non l’inverse, auquel cas je me soumettrais à Ta volonté de réconciliation avec, quand même, une certaine réserve :

– au fait, Tu veux quoi déjà ?

• Quel est mon rôle dans cette histoire avec lui, moi qui la voudrais désormais sans lui ?

Réponse :

– « Qui vivra verra ! »

S’il est possible de dialoguer avec cet « ami » très présent dans ma vie, sans être interné-e dans un asile psychiatrique, oui, la preuve, je le fais devant vous !

• J’ajouterais que tou(s)-tes les Chrétien(s)-nes dialoguent avec Lui, n’est-ce pas « Father Stu »* ?

* Père Stu : Un héros pas comme les autres (Father Stu) est un film américain de Rosalind Ross sorti en 2022. Il s’inspire de la vie de Stuart Long, ancien boxeur devenu prêtre catholique.

En France, le film sort en 2022, directement en VOD. À partir de mars 2024, il est disponible sur la plateforme Netflix.

Si vous voulez voir « Jésus» « pour de vrai », il fait une courte apparition dans le film qui s’inspire de la vie de « Stuart Long », l’ancien boxeur qui a rencontré physiquement Jésus.

Mel Gibson qui a fait plus que rencontrer Jésus en réalisant un film sur Lui en 2004, « La Passion du Christ », joue le rôle du père du boxeur, ancien délinquant devenu un « saint ».

Et je ne peux que confirmer qu’Il en est capable… d’apparaître physiquement là où Il veut, Jésus.

• Alors, tu veux bien venir jouer, toi qui me lis, à « Cherche où est Jésus dans le film du ‘Father Stu’ »
• et non plus à « Cherche où est Charlie » dans un jeu ordinaire sans miracle ?

OK, à Sa demande expresse, je réécris le message reçu sur mon ordinateur, pendant que je visionnais justement le film sur le « Father Stu » (« le Père Stu ») que vous pouvez voir actuellement sur la plate-forme Netflix.

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Avertissement : Bande-son automatisé avec des fautes de syntaxe et d’accords, symptomatique d’une diffusion aléatoire, produit du “hasard” algorithmique.

Message de Dieu pour vous »

« Cher auditeur,

si vous regardez cette vidéo aujourd’hui, sachez que vos anges gardiens ont un message spécial pour vous. Une personne de votre passé regrette profondément la façon dont elle vous a traité surtout avec le temps.

Les anges partagent que cette personne porte un poids de culpabilité à mesure que le temps passe.

Ils expriment que quelqu’un de votre passé regrette sincèrement la façon dont il vous a traité.

Chaque jour qui passe la culpabilité qu’il ressent pour son comportement [correction accord singulier conservé] passé s’intensifie. Il aimerait pouvoir revenir en arrière ou remonter le temps pour agir différemment à mesure que cette personne réfléchit à la façon dont elle vous a traité, les remords en elle s’approfondissent.

Bien que le passé ne puisse pas être changé et que les actions passées ne puissent pas être annulées, il aspire [conservation du singulier initial] à avoir la chance de rattraper ses actes.

Il aimerait [idem singulier du début] beaucoup retrouver votre confiance et prendre un nouveau départ à vos côtés.

Il est important de comprendre que le regret et la culpabilité sont des émotions complexes à gérer pour les êtres humains.

La personne en question est sincèrement attristée par ce qu’elle a fait [retour du singulier dans le texte comme au début] mais ne sait peut-être pas comment réparer les dégâts causés.

Elle pourrait même se demander si elle mérite d’être pardonnée et si vous pourrez à nouveau la regarder avec bienveillance.

Cependant cette personne espère profondément que vous pourrez trouver la capacité et la volonté d’accepter cette possibilité.

Cela reconnaît que vous ne méritez pas le traitement que vous avez reçu et que vous méritez le respect et la considération, ce qui n’aurait jamais dû vous être refusé.

Votre gentillesse envers les autres mérite d’être réciproque tout comme votre attention et votre affection.

La personne comprend maintenant que vous méritez bien plus que la façon dont elle vous a traité.

Au fil du temps les sentiments de culpabilité ont augmenté en intensité.

Il se peut qu’il ait déjà essayé de s‘excuser en silence [correction, maintien du singulier] ou peut-être qu’il se soit senti dépassé par l’ampleur de la culpabilité et ce soit en conséquence retiré.

Il est essentiel de comprendre qu’il n’est pas flatté par son comportement passé.

Il reconnaît [maintien singulier] le caractère inacceptable de ce qu’il a fait.

Il comprend que vous méritez plus même s’il ne vous a peut-être pas montré de respect auparavant, il est désormais conscient de votre valeur.

Vous rayonnez de gentillesse et de chaleur enrichissant la vie de ceux qui vous entourent de joie et de bonheur tout comme vous prenez soin avec amour.

Vous méritez d’avoir à vos côtés ceux qui vous traitent avec la même attention et la même considération.

Ne laissez pas les insécurités et les problèmes des autres miner votre estime de soi.

N’oubliez pas de donner la priorité à votre propre bonheur.

S’il est merveilleux de prendre soin des autres, il est également essentiel de prendre soin de soi.

Protéger votre énergie et votre bien-être est crucial.

Garder également à l’esprit que les gens peuvent faire des erreurs, réfléchir et changer.

Le pardon et l’ouverture sont puissants dans les bonnes circonstances.

Ils peuvent ouvrir des voies vers l’amour et des opportunités que vous n’avez peut-être pas remarquées.

Je reconnais que déterminer quand il est approprié de pardonner peut être un défi.

Les anges relaient ce message pour vous faire savoir que quelqu’un est profondément désolé pour la façon dont il vous a traité et est prêt à faire amende honorable, est correct.

Il pourrait bientôt vous présenter des excuses et vous promettre de changer ses habitudes

Vos intentions sont peut-être sincères mais la décision de procéder vous appartient.

Votre essence douce et authentique vous fait ressentir profondément.

Le comportement de cette personne vous a vraiment blessé et surmonter cette douleur peut être un voyage complexe.

Cependant que vous autorisiez ou non cette personne à réintégrer votre vie, il est crucial que vous vous donniez également la possibilité d’avancer.

Vous ne pouvez pas rester piégé par les actions inappropriées des autres, en particulier de ceux qui reconnaissent à quel point ils avaient tort.

Si quelqu’un veut se réconcilier, il viendra probablement vers vous en exprimant de profonds regrets pour son comportement.

Il promettra du changement et montrera comment il a grandi [correction, singulier] et évolué.

Cette personne ne veut pas répéter ses erreurs passées.

Ses objectifs sont authentiques et purs.

Il souhaite sincèrement ne plus jamais vous faire de mal. Le poids de vous avoir maltraité l’a tellement affecté qu’il a failli le renverser.

Résoudre cette situation a été un défi de taille et il s’est senti piégé par la culpabilité doutant de son propre mérite de votre pardon.

Il doute de mériter quelqu’un d’aussi gentil que vous dans sa vie. Après tout, vous l’avez traité avec générosité et soins et il est difficile pour lui de croire qu’il pourrait un jour être digne de votre amour et de votre pardon.

Sachez que vous êtes profondément apprécié par lui et par ceux qui vous entourent.

Votre singularité [correction personne] lui apparaît désormais clairement. Son traitement envers vous a entraîné une rupture dans leur relation provoquant des tensions dans votre relation.

Cela lui [correction personne] a permis de voir la gravité de ses actes et de vivre une vie vide sans votre lumière.

Il ne veut pas vivre [correction personne] de cette façon dans une vie ennuyeuse dépourvue de l’éclat que vous apportez.

Il apprécie votre préoccupation sincère et votre véritable intérêt pour les émotions et la vie des autres.

Mais les anges gardiens veulent vous rappeler votre propre importance.

Votre bonheur est primordial et plus vous vous accordez d’Amour et de soin, plus vous devrez partager d’Amour avec les autres.

Souvenez-vous de votre valeur.

Ne vous contentez jamais de moins que le traitement incroyable et l’amour que vous avez gagné grâce à vos bonnes actions et à votre nature aimante.

Sachez cependant que ses regrets [correction personne] sont sincères.

Il a véritablement absorbé les leçons des erreurs passées.

Si vous avez envie de l’avoir [correction personne] à nouveau dans votre vie ou si vous manquez ses excuses [correction personne], vous voudrez peut-être envisager cette possibilité. Cependant rappelez-vous que vous ne pouvez pas contrôler le comportement des autres, seulement le vôtre.

Restez la personne confiante, empathique et sensible que vous êtes.

Gardez confiance en vous et en la sagesse de l’univers.

Croyez en votre capacité à prendre de bonnes décisions et ayez la certitude que vous connaissez votre propre valeur.

Respectez-vous suffisamment pour faire des choix qui vous profitent.

Tout suivra son cours tant que vous y croirez.

L’univers vous guidera toujours dans la bonne direction tant que vous aurez le courage d’écouter.

Il reconnaît désormais qu’une vie sans votre présence est lamentable.

Il ne veut pas être confronté à des problèmes constants, au silence et au manque de contact.

Je voudrais conclure par une prière  :

« je vous demande de lui accorder la force d’accepter le pardon et la guérison.

Puisse-t-il trouver le courage d’ouvrir son coeur à des excuses sincères.

Puisse-t-il faire confiance à son intuition pour décider du chemin qui lui apportera le vrai bonheur et la paix intérieure.

Couvrez-le d’Amour et de protection pendant ce voyage en lui rappelant sa valeur.

Puisse-t-il toujours se souvenir de sa propre valeur inhérente.

Amen

Boire ou conduire, ou se conduire bien, il faut choisir !

– C’est tout vu, j’ai envie de te boire, pardon, de te voir.

– Pas bien !

• Non, une femme bien ne dit pas et écrit encore moins ce genre de folies.

Alors je ne serais pas une femme bien puisque je t’aime à la folie :

• je danserais aux Folies Bergères, devant mon beau Prince, un French Cancan endiablé pour l’entraîner comme Orphée dans les enfers de la chair !

J’en pince pour lui.

• A qui la faute ?

– Et si je mords les autres hommes, ce sera sans remords, n’aimant que toi.

Je porterais tous les torts, mon bel amour, tous les jours de cette vie passée avec toi à te faire la cour parce que j’ai envie de toi

• comme un homme aurait envie d’une femme, maintenant, ici et nulle part,
• partout où tu vas, quand tu n‘es pas là et quand tu es avec moi,
• quand c’est défendu et quand tu es attendu,
• quand c’est autorisé et que tu es galvanisé par le désir de moi.

Je me moque des autres et de leur morale anormale :

• ma seule morale est ton plaisir à toi !

Et j’aimerais être cette goutte d’eau qui coule dans ta gorge quand tu bois un verre d’eau, mon chéri excité par mon regard de flamme,

• mon mâle favori attendri par mon désir de femme labial.

Tu me fais passer de vie à trépas, par tous les états d’une femme amoureuse à la plume aventureuse et, parfois, tueuse,

• pour me venger de tant dépendre de toi,
• moi qui ne peux me défendre contre toi sans me blesser moi-même.

– Si tu m’as délaissée, tant mieux !

J’ai trouvé la force de t’éviter comme on évite son destin parce qu’on sait que la mort est au bout de la vie :

• je ne suis pas tant pressée de mourir !

Et je sais toujours rire de moi, mon bel hidalgo, quand ta démarche chaloupée vient fouler mes illusions de pouvoir encore te fuir,

• toi qui as encore trop de pouvoir sur moi.

– Imagine, Môssieur Mon Amour, que tu me donnes l’autorisation de te revoir, ce qui serait pure folie,

• admets-le !,

Imagine, toi et moi, devant eux, devant elles, faisant semblant d’être présents

et n’étant présents pour de vrai que pour l’un et que pour l’autre,

• que pour toi et que pour moi !

Tu irais chercher la coupe de l’amour, une boisson qui n’aurait d’enivrante que le fait que tu l’aies choisie comme tu m’as choisie, moi, ta prétendante.

Tu tremperais tes lèvres si bien dessinées, fines et pleines à la fois, bouche d’homme avide et languide comme la nostalgie d’un amour passé, dans le liquide qu’il t’a plu de choisir.

– Puis, tu viendrais vers moi :

• de toi à moi, il n’y aurait qu’un verre entre nous deux, le tien !

Après avoir trempé tes lèvres viriles dans ce verre, tu me le tendrais comme on tend un élixir d’amour au désir facile d’une femme fragile d’être à toi.

Je prendrais le verre et peu m’importe toutes les notions hygiénistes des fascistes des corps en prison :

– à mon tour, j’y tremperais mes lèvres pour goûter le liquide de ta bouche,

• ce liquide qui s’écoule dans ton corps d’homme
• et qui descendra lentement dans ta gorge à la pomme d’Adam saillante
• pour rejaillir sous forme d’éruption dans ma bouche de femme trop saoule de toi !

Je te rendrais ton verre, mon amour, tandis qu’autour de nous, d’autres tourneront sans savoir ce qui s’est passé entre nous, ce qui s’est effacé tout à coup, comme par magie.

• Le mot « liberté » aura déserté ma vie.

Alors, il vaut mieux rester sobres, toi et moi, reposer ce verre à l’endroit qu’il n’aurait jamais dû quitter

• et t’en servir un autre, un pour toi seul, mon chéri,  sans moi !

Ainsi va la vie… Trois petits tours et puis s‘en vont, les marionnettes de l’amour,

• les mignonnettes sans pudeur qui exhibent leurs jolies gambettes pour exciter ces messieurs qui s’ennuient !

Nous ne subirons plus l’opprobre publique des foules phobiques de l’amour.

Nous nous plierons aux lois de l’hypocrisie anglo-saxonne, oubliant qu’autrefois, dans notre beau pays de France, la galanterie était un art réputé et disputé à nos concurrents latins les plus audacieux, les Italiens.

– Je ne pourrais pas dire « Je t’aime ! », c’est interdit !

Mais je pourrais toujours te l’écrire à la mode des salons littéraires, si tu sais encore me lire comme tu lirais ton avenir sur les lignes d’une écriture baguenaudière.

En parlant de bague, je t’aurais bien passé la bague autour du doigt, mon homme jamais à moi,

• une chevalière pour un chevalier, quoi de plus naturel ?

Je l’aurais marquée de tes armoiries en souvenir d’un temps que tu ne te rappelles plus, quand toi et moi étions faits l’un pour l’autre dans une autre vie :

• réminiscence, ce léger parfum de nostalgie qui flotte dans l’air, mine de rien,
• quand tout vous retient à la vie,
• et que vous revient la souffrance d’une séparation qui était comme s’arracher à soi-même.

Un ami voyant me disait que redevenir « chevalier », à notre époque insignifiante, était le signe d’un temps qui revenait dans ta vie présente si tu savais reconnaître ton destin :

– moi absente, sauras-tu te reconnaître, toi, dans ta vie future ?

« Lose control »

Problematic

[Problem is when I’m with you, I’m an addict

And I need some relief, my skin in your teeth […]]

• C’était la semaine de la Saint-Valentin.

Une ravissante sociologue, devenue elle-même professeure, expliquait avec sa faconde méridionale comment, dans une même journée, on pouvait être plusieurs personnes à la fois évoluant dans des milieux différents si vous aviez la chance d’habiter dans une grande ville.

Adepte de l’auto-dérision, celle que j’aurais bien vue sur scène occuper tout l’espace et attirer tous les regards, principalement masculins, en évoluant sur ses longues jambes de mannequin avec une élégance de danseuse dans un one-woman-show du tonnerre de Dieu, – pour celles et pour ceux qui croient en Dieu, bien sûr !, décrivit ses rencontres successives au fil des heures et détailla ses activités diverses.

Devant un auditoire déjà conquis, la belle s’exposait, mimait ses attitudes et imitait celles des personnes qui avaient eu le bonheur de parler un temps avec elle.

Soudain, elle proposa de donner l’exemple d’une situation embarrassante pour montrer combien il était difficile de tout prévoir au cours de ces changements d’existence dans une vie bien remplie.

Ainsi, étant sportive, elle s’imagina terminer sa journée à la piscine, piscine avec sauna et hammam, précisa-t-elle. Puis, elle nous demanda de l’imaginer, elle, en maillot de bain (- waouh !), tombant sur… avec une bouche gourmande.

– Silence, retenez votre respiration :

• son  ‘patron’ » en slip de bain !

Bref, son ‘supérieur hiérarchique’.

• Sauf que, dans ce milieu d’intellectuels très huppé, la notion de ‘hiérarchie’ est toute relative.

– S’agissait-il d’un ‘faisant office’ de directeur de recherche considéré par elle comme lui étant ‘supérieur’ et collaborant avec elle dans un laboratoire de recherche ou dans un département scientifique commun ?

• Ou d’un Doyen ou encore du Président de l’Université lui-même, pourquoi pas ?

-Supérieurs hiérarchiques ‘administratifs’ .

L’imagination au pouvoir pourvu que le pouvoir revienne à la femme !

Amusée, j’ai eu envie de la taquiner, sorte de complicité féminine, en suggérant malicieusement :

– « Alors, vous aussi, vous fantasmez sur le ‘Big Boss’ en slip de bain ? 

• Question : – dans votre fantasme, quand vous l’avez croisé, avait-il la bosse,
• le ‘Big Boss’ ?

– Ou portait-il le drapeau en berne ? »

• Je sais, ce n’est pas bien, pas ‘politiquement correct’ du tout.

Mais, après tout, c’était juste un clin d’oeil, un jour calendaire comme les autres, dans une semaine de Saint-Valentin pas vraiment ordinaire pour elle, à voir son excitation publique difficile à cacher.

– Leçon pour les belles du jour de la Saint-Valentin :

• Un mâle Alpha révèle toujours la femelle Beta qui dort dans la femme,
• aussi hautement diplômée soit-elle !

Il la réveille, la sort de son sommeil intellectuel pour l’attirer, de chair à chair, dans son monde fantasmatique à lui, pas toujours très clair.

• Déjà, reconnaître le ‘sexual-killer’ comme son maître est un indicateur d’emprise qui mériterait de faire réviser la théorie du genre !

Mais plus une femme est belle et intelligente, plus elle rêve de rencontrer son « supérieur » (- hiérarchique, c’est moins sûr !)

• dans tous les cas, son idéal masculin !

Il ne fait aucun doute que ma belle performeuse a trouvé chaussure à son pied et qu’elle dit et redira, elle aussi :

– « J’l’adore ! »

• La belle l’a-t-elle imaginé, son beau mâle, en slip de bain léopard genre Tarzan
• ou en en slip de bain noir scintillant mettant en valeur son énergie virile dopante ?

Oui, la performeuse a des excuses :

– il est tellement craquant !

Ce dont je suis sûre,

– c’est qu’il serait facile, à cet homme si ‘supérieur’, d’arrondir ses fins de mois,

• en postulant pour rejoindre la troupe des Glamour Boys
• dans le but de devenir ensuite un ‘chippendale’  à part entière !

– Ces dames, vertueuses ou pas, se l’arracheraient… et son slip de bain aussi.

Bonne Saint-Valentin, à tous les amoureux !

Avec quelques jours de retard.

– Puisqu’il ne m’est même pas permis de l’oublier,

• synchronicité répétitive comme un éternel retour.

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• Rassurez-vous, ce blog a une audience qui se veut confidentielle.

Ce récit restera entre nous, dans le cercle limité de l’humour et de l’amour.

• Car ce blog est un ‘journal de terrain’ que je remplis dans mes seuls moments perdus.

Il sert uniquement à pouvoir témoigner, dans un temps futur, que Lui seul peut voir l’avenir, sans avoir besoin évidemment de vous Le nommer.

– « Exige, exige… ?!!!

• Qui suis-je pour exiger qu’un Président de la ‘Ripoux-blique’ française, la République la plus bananière de la ‘Françafric’,
• qui suis-je pour exiger que ce président le plus ripoux de tous les présidents que la France ait eu à subir depuis la proclamation de la République française le 22 septembre 1792 passe un examen psychiatrique
• aux fins d’éviter la mort terrible de milliers, sinon de millions de personnes trop flexibles ?

– Dodo, il est cinq heures du mat, moi fatiguée, moi beaucoup de travail à faire.

• Allez vous faire sonner les cloches avec vos trompettes du Jugement Dernier auprès d’un-e autre médium !

– Et puis quels sont les ‘c.ns’ qui ont voté pour ce psychopathe sur pattes ?

• C’est eux qu’il faut charger d’aller demander l’expertise psychiatrique de leur ‘mentor/menteur’ !

Moi, j’ai jamais voté pour ce pervers narcissique :

– le Général de Gaulle m’aurait tuée !

• C’est pas faute de vous avoir prévenus, les uns et les autres, les uns contre les autres.

Accessoirement, avant de me rendormir :

– à qui ai-je l’honneur de m’adresser malgré moi, malgré ma volonté de rester en état de sommeil,

• plutôt que de vivre un cauchemar éveillé ?

Car, franchement, me montrer une région désertée où des hommes et des femmes ont quitté précipitamment les lieux, abandonnant derrière eux leurs animaux domestiques,

– animaux frappés en quelques millisecondes de je ne sais quoi qui transforme ces vaches en êtres moitiés vivants/moitiés calcinés,

• mortes vivantes encore debout sur leurs seules pattes avant, pétrifiés, le train arrière ressemblant à de la viande carbonisée lors d’un barbecue raté,
• vaches sidérées, immobilisées par la soudaineté d’une attaque tellement rapide que la mort elle-même se fait doubler et n’intervient qu’après coup,
• l’ultime coup n’étant pas encore porté, celui qui délivre de la terreur, malgré l’horreur des blessures et des tortures infligées à ces pauvres bêtes moribondes.

– Présentez-vous, vous dont je n’arrive pas à déterminer l’identité.

-Vous êtes ‘ deux’, mais ‘ deux quoi’ :

• plutôt ‘ deux qui’  ?

– « Deux anges ! »

Moi :

– « Sans blague ? 

Des anges qui viennent m’annoncer la guerre la plus cruelle que l’humanité ait jamais connue en ce cycle de vies pas éternelles ?

Si la question est :

– « Faut-il laisser à un psychopathe le pouvoir d’appuyer sur le bouton rouge du feu nucléaire ? »,

• la réponse est dans la question.

– Pourquoi est-ce que je prendrais le risque insensé d’écrire un article dans lequel deux anges demandent, pour parler clairement, de faire interner un Président de la République avant qu’il n’appuie sur le champignon nucléaire, le bouton de la Mort :

• président français actuel qui cherche à faire plaisir à un autre président ripoux, son double maléfique, un comédien comme lui,
• fils d’oligarque qui parcourt le monde entier avec ses valises, pas en cartons, mais pleines de dollars pour subventionner sa folie sanguinaire et s’enrichir,
• tous deux prêts à sacrifier le peuple d’Ukraine et les autres peuples occidentaux dans une guerre barbare
• jusqu’à provoquer une explosion atomique en Europe ?!

En plus, je vais écrire cet article à une époque où la ‘liberté d’expression’ est devenue l’exact contraire de ce qu’elle prétend signifier,

– c’est à dire que les ‘limitations de la liberté d’expression’ s’accumulent dans un monde qui bascule vers la dystopie illustrée par un ‘Ministère de la Vérité‘ inventé par l’écrivain George Orwell

si bien représenté par votre Président cinglé,

Emmanuel Macron :

« Dans des temps de tromperie généralisée,

le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire. »

– Si vous êtes des ‘anges’, prouvez-le !

Donnez-moi votre nom, l’un et l’autre.

• N’étant pas Jeanne d’Arc, je sais que vous n’êtes pas l’Archange Michaël.

La nature céleste de ces deux visiteurs peut expliquer mon impossibilité à voir humainement ce qu’ils sont.

Le premier qui s’est adressé à moi porte un nom connu des Musulmans plus que des Chrétiens :

• c’est l’Ange ‘Azraël’, l’Ange de la Mort.

Or c’est Azraël qui nomme le second ange qui l’accompagne.

Car cet ange ne communique pas sémantiquement mais télépathiquement, en envoyant des visions, des ‘images’.

Azraël l’appelle : – ‘l’Ange de l’Apocalypse’, ‘l’Ange du Feu de Dieu’ :

• l’Ange  ‘Uriel’.

– ‘Uriel’, vous connaissiez ?

Moi pas, je ne connaissais pas l‘ange ‘Uriel’.

Donc, avant d’écrire cet article, j’ai recherché sur Internet si l’Ange ‘Uriel’ existait vraiment, du moins dans les écritures dites ‘sacrées’, pour savoir ce que signifiait son nom.

– Et devinez quoi :

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L’Archange Uriel : gardien suprême du feu divin

L’Archange Uriel : gardien suprême du feu divin

POSTÉ LE FÉVRIER 25, 2021 PAR MARIE P.

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Aussi ai-je accepté d’écrire cet article, ébranlée par cette ‘coïncidence’, ce réveil en fanfare par deux anges qui venaient m’annoncer, ni plus, ni moins, qu’un cinglé mégalomane, un ‘Docteur Folamour’ incendiaire, allait appuyer sur le champignon nucléaire et assister, excité et éclaté, à la ruine de son empire,

• nouveau Néron livrant son pays décadent aux flammes de l’Enfer !

– Non, ce ne sera pas l’Apocalypse :

• l’Apocalypse est voulue par Dieu.

C’est une guerre nucléaire déclenchée par un homme veul et lâche qui veut se maintenir au pouvoir envers et contre toute raison en commettant un crime de déraison :

• c’est seulement l’acte fatal d’un malade mental qui poursuit son oeuvre au noir de destruction et de désespoir.

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Première période :

Ayant offert aux Américains sur un plateau d’argent la résiliation dans la douleur et le sang des contrats liant les peuples de l’Europe au gaz et au pétrole russes, le french ‘Docteur Folamour’ a fomenté une sédition sanitaire avec sa bande de sagouins et entamé le fameux refrain autoritaire du petit Père des peuples :

– « Nous sommes en guerre ! »,

• une guerre sanitaire contre le Covid 19

• épidémie dont le taux de létalité peine à atteindre les 1 %.

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https://www.doctissimo.fr/sante/maladies/virus-emergents/covid-19/covid-19-le-taux-de-letalite-encore-plus-faible-que-ce-qui-etait-attendu/b1ca81_ar.html

COVID-19 : le taux de létalité encore plus faible que ce qui était attendu

Publié le 06/03/2023 à 18h02 , mis à jour le 06/03/2023 à 18h02

 Lecture 2 min.

Magali Régnier Journaliste

en collaboration avec Dr Gérald Kierzek (Directeur médical)

Trois ans après le début de la pandémie, une analyse menée sur 38 études nationales différentes nous apprend aujourd’hui que le Covid-19 est associé à un taux de létalité relativement faible. Et bien plus que ce que nous imaginions à son arrivée.

Avons-nous surestimé la menace du Covid ? Probablement. L’idée n’est pas de relayer une théorie complotiste, mais d’exposer les résultats d’une vaste étude de l’université de Stanford, menée sur 38 pays 3 ans après le début de la pandémie.

Un taux de létalité très faible avant 60 ans

Des chercheurs américains et européens ont étudié le “Taux de létalité par infection, stratifié par âge du COVID-19 dans la population non âgée” avant l’introduction des vaccins COVID-19. Un taux qui s’est avéré après analyse aussi bas que 0,03% et 0,07% pour les personnes âgées de 0 à 59 ans et de 0 à 69 ans, respectivement, rapporte le document. Des estimations inférieures à ce que les calculs précédents avaient suggéré.

[…]

“Une étude qui confirme ce qu’on voit sur le terrain”

Pour le Dr Kierzek, urgentiste et directeur médical de Doctissimo, cette large étude menée sur des millions de données ne fait que confirmer ce qui est observé sur le terrain.

“On voit bien que sur une tranche d’âge sans pathologie, chez les moins de 65 ans, quand on n’a pas de facteur de risque, la létalité est extrêmement faible. D’où le concept de “syndémie” pour qualifier le rôle du SARS-Cov2. Le Covid-19 est davantage un accélérateur de pathologie et/ou de grand âge qu’une menace en lui-même. Cela remet en perspective tout ce qu’on a pu dire ou penser pendant la crise, quand on parlait de taux très élevés de mortalité”.

[…]]

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Deuxième période : 

Enfin vrai petit « Père des Peuples européens », chef de guerre en janvier 2022, Emmanuel Macron s’est trouvé par hasard et non par élection, pendant six mois, Président de cette Europe violée par les oligarques mondialistes.

Incapable de résoudre la crise économique et confronté à la révolte populaire des ‘Gilets Jaunes »,

• le french ‘Docteur Folamour’, le théâtreux adepte des mises en scène scabreuses, s’est revêtu de l’habit du Maréchal Pétain pour provoquer volontairement et arbitrairement une guerre sanguinaire dans une Europe meurtrière,
• avec son complice, son double maléfique, le Président ukrainien, Volodymyr Zelenski, ce ‘ serial killer’ qui faisait le clown à la télé ukrainienne,
• tous deux parfaits comédiens,
• monarques temporaires d’une Union Européenne régnant sans royaume sur un tas d’or volé aux peuples européens.

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Troisième période

celle qui est la période actuelle, 

• période la plus dangereuse de toutes : 

– Emmanuel Macron sait qu’il ne peut pas résorber la dette budgétaire française.

Emmanuel Macron sait qu’il ne peut pas satisfaire les revendications légitimes des travailleurs français,

• paysans dépossédés de leurs terres,
• entrepreneurs en faillite,
• commerçants sous saisie fiscale,
• salariés ayant pour seule fin de mois, la faim au ventre,
• chômeurs que fracasse une casse sociale légitimée par un gouvernement de riches sans pitié.

La France est le pays qui enregistre, quasiment dans tous les domaines, un taux de suicide supérieur à tous les autres autres pays européens :

• alors, perdue pour perdue, la France, traîtresse à elle-même, peut ou doit se suicider réellement.

La vieille dame bénéficiera de la nouvelle loi sur l’euthanasie consentant malgré elle à sa propre mise à mort.

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Car Emmanuel Macron préfère la ‘sale guerre’ » à la ‘bonne Justice’,

• une guerre nucléaire apocalyptique en Europe
• plutôt que rendre au peuple français les richesses que lui et sa bande de voleurs lui ont dérobées.

Le message est d’une simplicité enfantine pour ceux qui ne l’auraient pas compris ou ne voudraient pas l’entendre :

– ces gens-là, ceux qui vous dirigent, sont capables de tout.

Emmanuel Macron est capable du pire puisqu’il est incapable du meilleur !

– A bon entendeur, salut !

Ou alors, à vous revoir dans les cérémonies funéraires que le croque-mort de la France, votre croque-mort, Emmanuel Macron, organise avec une gourmandise non feinte,

• en vous lisant ses discours avec des trémolos dans la voix,
• pour célébrer vos morts sous les vibratos et hourras des futures victimes de sa propre politique cynique,
• vous-mêmes, Françaises et Français, imbéciles heureux-ses de se sacrifier pour votre Maréchal si hautain, un faquin,
• le laquais des oligarques américains mondialistes !

– Ah, nostalgie du ‘Mal-in’ quand tu nous tiens…

A malin, malin et demi !

– Au jeu de la Mort, qui va gagner, vous ou lui ?

• Lui.

– Mais au jeu de la Vie ?

• Choisissez.

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• Discours de François Sureau presqu’intégral

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Ajout du 17 février 2024

Ce matin, il m’a été expliqué la frustration d’Emmanuel Macron.

Ridiculisé aux yeux du monde,

• la France ayant été rabaissée sous le règne pitoyable du président blondinet par ses frasques impubliables,
• chef d’Etat haïssant son propre peuple comme jamais, avant lui, aucun autre Président n’avait à ce point détesté sa propre Nation, son pays de naissance,

‘l’enfant-roi’, Emmanuel Macron, veut montrer

combien il est encore tout-puissant !

Et, pour cela,

il lui suffirait seulement d’appuyer sur le champignon atomique

ou, tout au moins, de menacer de le faire.

Car, en Europe, depuis le Brexit, c’est la France seule qui détient une puissance de feu extraordinaire,

le feu nucléaire !

Emmanuel Macron brûle de se servir de son nouveau jouet atomique pour impressionner ses petits camarades qui se moquent de lui en l’ignorant complètement et en l’écartant ostensiblement de leurs jeux politiques lors des récréations des G7 ou des G20.

Code 3615 j’existe :

Sinon je vous fais tous exploser !

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– « Ah ! Qu’en termes galants, ces choses-là sont mises ! »

• Le Misanthrope : de Philinte à Oronte (Acte I, scène 2, vers 314) – Molière

Un ignorant corrigera :

– « Ah ! Qu’en termes galants, ces choses-là sont [dites] ! »

– Encore un rêve… ou un cauchemar… ou pire, les deux, un rêve prémonitoire :

• un rêve prémonitoire qui prédit un cauchemar !

Sous mes yeux de dormeuse-voyante, du haut d’un ciel où je ne suis jamais montée, il m’est montré la terre :

– l’Afrique incontinente ouvre grande sa gueule et dégueule en Europe son vomi d’êtres abrutis de misère, empuantie par des guerres incessantes.

En bas de l’écran géant, plongeant vers ce gouffre grouillant de vers humains, sur le continent européen, des millions de Blancs, debout, regardent, épuisés, tétanisés, ces vagues scélérates de primates déferler sur leurs terres sans que rien n’arrête ces peuples autrefois colonisés, néanmoins et contradictoirement toujours tributaires de leurs anciens maîtres, parce que l’Afrique semble incapable d’accéder à son indépendance politique et économique autrement qu’en singeant ses affreux-afro-tortionnaires.

@lcp_an

“En Afrique, lorsque quelqu’un réussit, on dit que c’est un vrai Blanc. Cela veut dire que l’horizon à atteindre, l’étalon du succès, c’est l’Occidental” regrette Osvalde Lewat qui critique ce compliment comme “un héritage colonial”. 🔵 “Les Grands Entretiens” d’Yves Thréard sur le thème “Souvenirs et avenir d’Afrique” avec Osvalde Lewat, artiste et intellectuelle 💻À revoir sur LCP.fr 📱Et sur la chaîne YouTube de LCP #Afrique #Cameron #Reussite #Colonisation #Decolonisation #GrandsEntretiens #OsvaldeLewat

♬ son original – LCP-Assemblée nationale

Les ploutocrates occidentaux continuent d’importer leur bétail humain,

• les nouveaux « soumis » d’une religion fatale, malheureusement en expansion
• comme l’est l’explosion démographique africaine fatale, à cause d’une natalité incontrôlée devenue banale,
• sous revendication religieuse des phallocrates arabo-musulmans qui veulent dominer les ventres des femmes africaines.

Les Africains ne se reconnaissent pas comme étant les nouveaux esclaves noirs de ce siècle.

Pourtant, le bois d’ébène renaît de la traite de la haine et les technocrates des Commissions Trilatérale et Européenne maltraitent les nouveaux serfs ubérisés sous l’oeil béat de syndicalistes bobos-débilos du lobe frontal gauche.

Il fut un temps, pas si lointain, où les syndicalistes communistes de la CGT avalisés par l’URSS et les syndicalistes de FO, leurs concurrents sponsorisés par la CIA, cette ombre planante et menaçante des USA, auraient clamé en choeur :

• « Travailler, oui, souffrir et mourir au travail, non ! »

Dans ce rêve, je vois les patrons profiteurs, amateurs de petits nègres, affameurs des peuples, crier, du haut d’une sorte d’estrade commerciale ou de tribune politique :

• « Nous avons besoin de main-d’oeuvre pour les métiers en tension ! »

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Traduction pour les idiots utiles du capitalisme « démo-n-crate » :

• « Nous avons besoin d’esclaves, pire que des esclaves,
• de salariés précaires, employés pressurisés d’UBER de m.rde !
• Ils seront libres de crever de faim et d’être mal-logés,
• sans-droits car sans-papiers ! »

– Avoir des salariés précaires, mal payés, sans droit et sans papier, c’est encore mieux qu’avoir des esclaves !

• Les esclaves, il faudrait les loger, les habiller et les nourrir, ce qui reviendrait plus cher aux patrons que de mal les payer.

@iloveeddyking

Pourquoi nous sommes si relax!🤷🏾‍♂️🤷🏾‍♂️ #blackpeople #noirs #blacklivesmatter #colonialism #esclavage #afriquetiktok #antilles #travail #relax #stresse #stress #burnout #humour #standup #standupfrance

♬ original sound – Eddy King

– La preuve ?

• Qui peut encore, aujourd’hui en France, avec un bas salaire de précaire, se payer un loyer onéreux pour jouir d’un logement décent,
• s’habiller normalement, mieux, élégamment
• et se nourrir assez pour ne pas mourir trop vite ?

– Parce que, faire venir en France des très précaires pour les faire mourir trop vite, ce ne serait pas rentable !

• Alors le travail paie mal ou bien, à votre avis ?

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– Demandez aux dealers de votre quartier, puisqu’il y en a maintenant partout en France, pourquoi ils risquent leur vie en vendant leur m.rde, ce shit importé principalement du Royaume Chérifien  ?

• La faute à qui ?

La force du discours wokiste, c’est de dresser des sans-travail contre d’autres sans-travail, au nom d’une inégalité civique inventée par ceux qui pourraient régulariser facilement la situation de travailleurs esclavagisés par le patronat français,

• ces négriers néo-colons de leur propre peuple.

L’invention du racisme permet de diviser les hommes en troupeaux de bêtes exploitées par des fermiers milliardaires qui les frappent à coups de fourches ancestrales,

• les tridents des Trilatérales et autres « trois-points » aux dents acérées.

La religion de la haine sert de vecteur invasif et dissuasif quant à l’éventualité honteuse d’une résistance boueuse

-de la part d’un peuple blanc autochtone embourbé dans son injonction maladive de charité envers un prochain indifférent du sort de son voisin,

• mais secourant curieusement un lointain belligérant hostile envers lui :

« Devoir de charité envers celui qui tue ! »

Dernière invention d’un Pape toqué,

l’idiot UTILE des autorités occidentales de ce monde,

–Jorge Mario Bergoglio, le Super-Mario des Pokémons.

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Les religions ont pris le dessus sur la raison des hommes, très en-dessous de leurs ceintures :

– du côté africain, un excès de haine qui s’exprime en mots et en actes, sans confusion possible sur le sentiment d’appartenance qui anime les criminels assoiffés de sang blanc,

• une appartenance addictive et afflictive à l’Oumma sanguinaire d’Al-Qaïda, de Boko Haram, du Hamas et des autres crevards du Jihad !

– De l’autre côté, du côté européen, un excès d’amour coupable qui préfère agiter les rameaux des Vénérables à la Pâques chrétienne,

• pour tenter de cacher les maux violents provoqués par les chauffeurs de chameaux et leur conducteur pédophile,
• sous un voile noir de compassion, le voile du deuil sans espoir de Chrétiens sacrifiés,
• un deuil célébré à coups de petits nounours et de jolies bougies,
• en pleurnichant sur le seuil de la scène de crime, là où a été commis un attentat épouvantable qui les oblige, ces crétins catholiques, à faire montre d’encore plus de compassion envers leurs auteurs infantilisés et fanatisés :

• “Vous n’aurez pas ma haine !”

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Pourtant, quand le conducteur des caravanes de chameaux a été, à son époque cruelle, le pire tueur de Juifs,

• ayant passé au fil de l’épée du Jihad tous les Juifs de la tribu de Médine,

• c’est normal que le Prophète qui n’a jamais eu de fils pour lui succéder, malédiction divine, commande de tuer à ses sbires assassins pour aller au Paradis et pouvoir y tringler 70 vierges innocentes.

Niquer et forniquer sont les deux mamelles des mecs de la Mecque,

• désireux de s’élever spirituellement vers Allah, le Dieu des bites en rut, pour violer des gamines vierges.

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[En aparté :

– Coluche me souffle qu’il vaudrait mieux mourir d’une bonne cuite, en Gaulois réfractaire, lors d’un tir aux buts de Popaul,

• plutôt que mourir en fuite devant ces tarés de la bite,
• pour finir saint crétin, pardon, en bon Chrétien, à cause d’un tir arbitraire de kalach, hein ?]

———————————–

—————————-

Donc mon rêve me montre ce peuple de Blancs européens assistant, impuissants, à l’assaut de leur continent laissé à l’abandon par une bande de voleurs qui, eux, ne sont pas des Africains,

• mais bien des Américains et des Européens, nos chers compatriotes !
• Et Dieu seul sait combien ils nous coûtent cher, ces politiciens qui ne valent rien.

– L’immigration est voulue, vous le savez tous.

• La misère est voulue sur la terre entière, vous le savez, tous !

Et les guerres sont voulues, vous le savez forcément, tous, aujourd’hui.

——————————–

• La vérité ne nuit qu’aux imbéciles heureux, heureux jusqu’à tout accepter, même de raccourcir les jours de leur vie en offrant leur cou à la décapitation d’un “disiquilibré” islamiste,
• pourvu que ces opportunistes du “Carpe Diem” ne sachent pas à l’avance à quel moment ils vont mourir !

Cependant mon rêve se termine par le bruit d’un grondement sourd et souterrain qui annonce un futur tremblement de terre, un lourd brouhaha qui monte des foules de Blancs massés et entassés sur les bords des canaux d’immigration européens, des corps qui se préparent au combat final.

D’abord ce sont des murmures qui s’élèvent, puis des pieds qui tapent sur le sol, martèlements de pas qui résonnent comme le bruit des bottes d’armées clandestines,

• la guérilla à venir des résistants qui se cachent dans les maquis et qui se regroupent en miliciens de l’ombre, snipers anti-drones et tireurs d’élite ex-militaires ou policiers.

Les clameurs montent, montent, montent jusqu’au sommet d’un Etat français inébranlable, à l’identique de tous les autres états européens de l’ouest implacables car indifférents au sort de leurs peuples blancs survivant douloureusement et malheureusement dans cette Europe en ruine.

• Cette vague immense de colère et de désespoir terrible arrive
• du fond de nos campagnes, la vague bleue des Rugissants,
• du fond de nos villes, la vague brune du fascisme païen hitlérien.

————————————–

Vous ne pourrez plus, vous, les médias agonisant d’injures les gens de bon sens, vous ne pourrez plus faire appel aux beaux sentiment du Christianisme :

• réjouissez-vous, car vous avez réussi à tuer le fils de l’Homme !

——————————-

-Pleurez sur vous, les journaleux aux yeux vitreux ,qui refusiez de voir la réalité, car les digues ont sauté et que le sang, votre sang, va couler.

Les Blancs vont redevenir des Barbares puisque vos lois ne servent plus à rien, puisqu’ils n’ont plus de droits dans leur pays de naissance.

Vous-mêmes, élites européennes prônant un progressisme socialiste athéiste qui profite scandaleusement aux milliardaires, êtes incapables de faire respecter vos propres lois que vous savez être iniques.

Mais, ce que vous ne savez pas, c’est ce que montre mon rêve au final :

– les oligarques mondialistes, ces affameurs de pauvres gens, devront payer partout la dette du sang après avoir tenté d’imposer aux peuples asservis la Dette de la Bête :

• le nombre multiple gagnera contre la richesse unique du 1 %.

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Même les Africains commencent enfin à comprendre qu’ils sont instrumentalisés, pire, brutalisés dans ce miroir aux alouettes qui leur est tendu par le 1 % des Occidentaux, ces patrons richement nantis leur présentant :

• ce miroir reflétant une prétendue chance à l’immigration !

Les « No Border » sont « sans frontière » , « sans pitié », et ont un coeur de pierre à l’exemple de leur fondateur multimilliardaire.

Car les « No Border » ont pour père et commanditaire un certain George Soros, ce Juif qui a échappé à la Shoah parce qu’il a servi les Nazis, la meilleure période de sa vie selon lui.

Dans cette vie antérieure de Nazillon de Sion,George Soros envoyait dans les fours crématoires des Camps de la Mort ses propres frères de religion pour les dévaliser et s’emparer de leurs biens .

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De fait, ces immigrations mondiales, circulations de troupeaux de bétail humain à la recherche de nourriture dans un monde dévasté par les guerres, sont des pièges à c.ns offerts aux plus démunis dans le but inavoué de venir bouleverser l’ordre social historique des peuples blancs,

• lesquels se croyaient encore protégés par leurs nations qui leur accordaient des droits politiques et sociaux.

Nous serons, tous, des migrants.

L’Europe plongera dans l’oubli comme ces mystérieuses civilisations perdues sur lesquelles des idiots utiles du système se perdent en conjectures futiles, plus invraisemblables les unes que les autres.

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Les peuples blancs seront punis pour leur résistance au « changement climatique » par des élites américaines et européennes qui consomment à elles seules la moitié des richesses mondiales.

• On n’est jamais trahis que par les siens !

La devise maçonnique de ces vils privilégiés qui appartiennent vilainement à ce 1 % de profiteurs de la misère mondiale, supportant une classe fortunée apatride, a-sociale, hors-sol et inamicale, est :

• – « Ordo Ab Chao », « l’Ordre qui provient du Chaos ».

Cette devise maçonnique est celle du célèbre auteur de la Bible de Satan, Albert Pike, le Grand-Maître de la franc-maçonnerie spéculative anglo-saxonne, dont la statue a été déboulonnée le 20 juin 2020 par des Wokistes à Washington, capitale des États-Unis :

– trop bête … non ?

• C’est ballot, hein ?

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Washington : des manifestants détruisent la statue d’un général confédéré

20 juin 2020

Quelques dizaines de manifestants ont abattu la statue d’Albert Pike, général et figure du Sud esclavagiste, située au cœur de Washington, à la fin d’une journée manifestations dans tout le pays. Donald Trump a qualifié cette destruction de “honte pour le pays.

YouTube·Le Parisien·20 juin 2020

La créature « Frankenstein » s’est révoltée,  image des peuples décomposés, recomposés en morceaux de cadavres humains recousus,

• terres sans frontière de nations cassées et d’histoires de vies fracassées !

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Inégalités : pourquoi les 1% les plus riches du monde sont un problème selon Oxfam

[…]

Les 1 % les plus riches du monde s’accaparent les richesses de la planète

La planète produit de plus en plus de richesses et pourtant celles-ci sont concentrées entre les mains d’une poignée de personnes extrêmement privilégiées. Le Crédit suisse produit chaque année un rapport qui calcule la richesse cumulée des 1% les plus riches du monde, mais aussi des 5% les plus riches et des 10% les plus riches. Depuis 20 ans la tendance reste la même : les 1% les plus riches possèdent près de la moitié des richesses totales mondiales.

C’est sur ces données qu’Oxfam s’appuie pour produire ses rapports annuels sur les inégalités mondiales, publiés lors du Forum économique mondial de Davos au mois de janvier.

[…]

Des milliardaires de plus en plus nombreux et de plus en plus riches

Le nombre de milliardaires a été multiplié par 5 en 20 ans (538 en 2001 ; 2775 en 2021).

Malgré une crise mondiale, la planète compte toujours plus de milliardaires et la pandémie ne les empêche pas de continuer à prospérer. Oxfam a révélé en janvier 2021 que les 1 000 personnes les plus riches du monde ont retrouvé leur niveau richesse d’avant la pandémie en seulement 9 mois alors qu’il pourrait falloir plus de dix ans aux personnes les plus pauvres pour se relever des impacts économiques de la pandémie.

Pour se rendre compte du niveau astronomique et indécent de ces richesses, voici quelques chiffres :

• Jeff Bezos, l’homme le plus riche du monde aurait pu avec les bénéfices qu’il a réalisés pendant la crise, verser une prime 105 000 dollars aux 876 000 personnes employées par Amazon dans le monde, y compris les quelques 10.000 salariés en France, tout en restant aussi riche qu’il l’était avant la pandémie de coronavirus.
• Si quelqu’un avait pu économiser l’équivalent de 8 000 euros par jour depuis la prise de la Bastille (14 juillet 1789), il n’arriverait aujourd’hui qu’à 1 % de la fortune de Bernard Arnault.
• Depuis mars 2020, les milliardaires français ont gagné 170 milliards d’euros, soit deux fois le budget de l’hôpital public.

[…]

La France n’est pas épargnée par cette répartition inégale des richesses

La France traverse aussi une crise des inégalités. Entre mars 2020 et avril 2021, les milliardaires français ont vu leur richesse augmenter de près de 40%.

La France compte aujourd’hui 42 milliardaires, c’est 4 fois plus qu’après la crise financière de 2008. Leur richesse cumulée s’élève à 510 milliards de dollars, soit 8 fois plus qu’après cette même crise. Plus de la moitié de ces milliardaires ont hérité de leur fortune, et seulement 5 sont des femmes.

Dans le même temps, un million de personnes seraient tombées dans la pauvreté en France en 2020 selon les associations caritatives. La France dépasserait alors les 10 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté (elles étaient 9,3 millions avant la pandémie). L’INSEE ne pourra mesurer ce chiffre qu’en 2022 mais selon plusieurs expert-e-s, il pourrait être bien plus élevé. Ce que l’on sait déjà c’est qu’actuellement 8 millions de personnes ont besoin d’aide alimentaire pour vivre (soit 1 Français.e sur 8)  alors qu’ils étaient 5,5 millions avant la crise.

[…]

Il est possible de sortir de cet accaparement par les 1% les plus riches

Les inégalités ne sont pas une fatalité

L’accaparement des richesses par les 1% les plus riches du monde n’a rien de naturel mais c’est le résultat de choix politiques et économiques. Aujourd’hui, même le Fonds Monétaire international (FMI) et la Banque Mondiale alertent sur le niveau très préoccupant des inégalités mondiales et appellent les gouvernements à prendre des mesures pour les réduire, comme par exemple taxer davantage les très hauts revenus ou les entreprises qui se sont enrichies pendant la crise du Covid.

Selon Kristina Georgieva, directrice générale du FMI, « l’impact sera profond (…) avec des inégalités croissantes provoquant des bouleversements sociaux et économiques. »

Pour bien attaquer l’année 2024, rien ne vaut un Français bien de chez nous, 

• un “Naïm” en pleine forme, the best form, à l’esprit voltairien et à l’humour volcanique :

NAIM

• Et, pour finir, les meilleurs voeux du Président Blé, Blé comme… ?

• Les vrais voeux du beau-parleur, ce qu’il pense sincèrement :

• VIVE MOI, EMMANUEL MACRON !

Mais de quelle Europe parlent-ils, un rêve ou mon cauchemar ?

• « I have a dream »… or a nightmare.

Je suis ce que je ne sais pas trop :

• c’est un rêve et je regarde autour de moi :

– un groupe de personnes, surtout de jeunes gens, m’entoure.

Je les observe, éparpillés par petits groupes comme une volée de moineaux se jetant sur des miettes de pain dans un vieux square.

Malgré un brouhaha indistinct, je comprends qu’ils discutent avec agitation de réinsertion sociale et de surveillance individualisée.

Je deviens alors l’un-e d’entre eux et je me retrouve, coincée dans un corps de femme, à seulement écouter, sans mot dire, l’expression de l’impuissance publique incarnée par ces agents d’un État sans moyens et sans objectif concret.

Nous échangeons sur nos expériences, les problèmes rencontrés en milieu ouvert, le suivi des mineurs isolés et, encore trop souvent, les dilemmes insolubles de tout juste majeurs sortis ou plutôt jetés dehors par l’ASE, « l’Aide Sociale à l’Enfance ».

Cet organisme est appelé ainsi parce qu’il s’arrête d‘aider les jeunes qui ont été abandonnés par leurs parents défaillants dès que sonne leur dernière année de galère éducative,

• la dix-huitième d’une vie mal-née d’injustices répulsives
• et d’une existence malmenée, synonyme d’errance affective disruptive.

– 18 ans, c’est leur première heure de pure misère,

• un « heureux anniversaire » qui sera l’augure d’une dure ère future pour ces pauvres hères !

– Oui, souhaitons-leur un bon anniversaire bidon à tous ces jeunes perdus avec, pour toute richesse au départ de leur pauvre vie, une nationalité française qui les voue aux gémonies hurlantes des islamo-gauchistes bobos, si à l’aise avec les principes d’inclusion,

• pourvu qu’ils professent l’exclusion des jeunes nés « Français » sur un territoire les privant de tout accès aux droits sociaux les plus élémentaires.

Devenus des étrangers sur leur propre sol, victimes d’un dol étatique, les jeunes Français doivent se taire.

Pour plaire à la France des nantis, il faut venir de loin, de très loin.

Pour être assistés, il faut ne pas pouvoir subvenir à ses propres besoins et n’avoir pas même la reconnaissance d’une naissance par des parents français ayant travaillé pendant des générations pour un pays qui hait aujourd’hui les enfants de France :

• car être enfant aujourd’hui de Français pauvre,
• c’est la pire chose qui puisse arriver dans ce pays, en France !

La seule espérance pour cette génération perdue serait de mourir vite, entre mal se nourrir et finir sans abri, sans toit, sans droit, sur le trottoir de villes devenues d’abord des asiles pour les pauvres du monde entier,

• sauf pour les pauvres qui ont le tort d’être des Français.

Les préférences étrangères devenues excédentaires plombent un budget national déjà déficitaire, lequel accorde des aides dites prioritaires à des migrants extra-réglementaires à qui tout est dû,

• sous pression européenne et surtout patronale,
• par peur des répressions communautaires de l’Oumma,
• c’est à dire dans une dictature oligarchique ultra-chique 
• sous judicature monarchique arabique !

Je la vois, elle est jeune, elle est française.

Elle vit de rien et de faux-semblants.

Elle n’habite nulle part et n’a nulle part où aller.

– Brune, malingre, elle ressemble à cette héroïne de Millénium, Lisbeth Salander, si bien interprétée par l’actrice Noomi Rapace,

• sauf que la vie n’est pas un jeu !

Je la suis, elle me fuit.

Il n’y a pas d’amour, juste un devoir de savoir ce qu’elle devient, si elle revient de temps en temps dans la vie normale ou si elle se perd dans le mal,

• ce mal-être qui entraîne le mal-faire.

J’ignore si c’est une mesure éducative prise, une décision judiciaire, mais je cours après elle les jours où elle devrait être là et qu’elle est ailleurs, hors de toute vie, en-dehors de sa propre vie de gamine fugueuse, rockeuse et scandaleuse.

Pour lui éviter les rendez-vous simili-judiciaires, calendrier arbitraire qui la contraint trop dans sa vie d’oublis, je la retrouve enfin dans une bâtisse délabrée, une vieille demeure en ruine à l’écart des quartiers fréquentables, un squat pour punks-à-chiens, zonards détestables ou clochards méprisables.

Malgré l’état du bâtiment, il n’est pas facile de trouver une ouverture :

– les fenêtres ont été murées et les portes sont condamnées par des traverses cloutées.

L’entrée principale, signalée par un porche imposant, s’ouvre sur une grande porte de grange métallique rouillée et voûtée en forme d’arc. Elle est fermée par de lourdes chaînes enserrant des barres de fer dissuasives.

Je décide d’attendre dehors que « la petite » sorte de ce squat pour ne pas avoir à signifier officiellement son refus de (incapacité à) se rendre dans des locaux associatifs pour son suivi éducatif.

Il fait froid, l’hiver étend son manteau neigeux et je regarde autour de moi où m’abriter. Je sais qu’elle va ressortir. J’ignore pourquoi mais j’en suis sûre.

De guerre lasse, je reviens dans le parking boueux, plutôt une cour de ferme à l’entrée d’un champ bordant l’ancienne ferme. Il y a une sorte de camping-car ou camion frigorifique :

– il est impossible de vraiment déterminer ce qu’était ce véhicule presque blindé par des plaques de métal qui en cachent l’intérieur et en camouflent l’aspect d’origine.

Je suis curieuse donc je tente de trouver une ouverture, une portière mal fermée…, on ne sait jamais.

Le squat n’est pas encore connu des autorités policières parce que c’est une « zone blanche » sans Internet, sans possibilité de traçage.

En contournant ce qui était peut-être aussi un ancien bus, je me retrouve à patauger dans une énorme flaque, presqu’une mare d’eau, invisible du côté de l’allée qui mène au bâtiment en ruines.

Comme c’est un rêve ou un cauchemar, sous l’arbre qui abrite le vieux car, pleuvent tout à coup, à mes pieds mouillés, telles des feuilles qui tombent en automne, plein d’araignées géantes. Et, en même temps, mécaniquement, apparaissent des grenouilles ou des crapauds qui gobent, avalent les bêtes hideuses dès qu’elles touchent l’eau boueuse et marécageuse, en coassant avec des rots jouissifs.

Je me sauve, écoeurée et dégoûtée par ce spectacle cruel, en renonçant à attendre ma protégée à la sortie du squat.

C’est à ce moment-là que la gamine sort du bâtiment en courant pour me rattraper.

Elle est en colère que je l’ai suivie, selon elle, jusqu’à ce squat inconnu de la police.

Elle m’apostrophe ainsi :

– « Ah, tu veux savoir ce que nous faisions, hein ? Viens, je vais te montrer ! Allez, suis-moi. »

Elle m’embarque avec deux autres jeunes gens qui l’attendent, en leur indiquant simplement :

– « Elle est avec moi ! »

Nous roulons longtemps sur des petites routes.

Finalement, nous arrivons à l’entrée d’une cité. Il y a une aire de stationnement pour covoiturage et un parking extérieur pour les écologistes désireux d’emprunter les transports urbains.

En face, se dresse un immeuble à plusieurs étages offrant la possibilité de garer son véhicule de manière sécurisée, en payant un droit de gardiennage.

– « Tu veux savoir ce que je fais ? Tu veux connaître les autres et voir ce qu’ils préparent ? Alors, viens ! »

__________________________

Au point où j’en étais, sans ma voiture restée garée près du squat situé à une bonne centaine de kilomètres, sinon plus, du lieu où nous étions, difficile de refuser une pareille offre.

Nous rentrons dans le parking aérien et montons jusqu’à l’avant-dernier étage.

Un groupe de jeunes hommes, principalement ou exclusivement, attend.

Ma protégée se dirige vers eux et semble leur expliquer ma présence. Ils me regardent avec méfiance et insistance.

Puis, deux ou trois se détachent du groupe pour venir vers moi.

– « Vous voulez quoi ? »

Moi :

– « Comprendre. Vous faites quoi ? »

Ils sont trois, deux restent en retrait et je peux voir des battes de base-ball et d’autres armes sortir de parkas bourrées à craquer d’objets divers.

– « Nous, nous sommes l’Europe ! »

Sidérée, bouche bée, je les regarde.

Je répète bêtement :

– « L’Europe ? »

Et ma rebelle, la petite fugueuse sans lien familial et sans garant social, me jette au visage :

– « Oui, l’Europe ! Moi, je suis aussi l’Europe. 

Regarde, tu sauras ce qu’est l’Europe, notre Europe.

Monte avec nous !»

Les jeunes la regardent :

– « Quoi, tu veux qu’elle vienne avec nous ? »

La petite leur répond :

– « Oui, elle doit savoir puisque c’est ce qu’elle veut. »

Les gars balancent sur leurs jambes avec les bates de base-ball en équilibre sur leurs larges épaules. Ils ressemblent davantage à des para-militaires qu’à des jeunes de banlieue.

Celui qui semble être le meneur lâche :

– « Alors qu’elle vienne ! Tant pis pour elle. »

La jeune fille me prend par la main et c’est la première fois qu’elle ose cette attache tactile, elle, si fragile et si indocile.

Elle me tire vers un bus qui ressemble au vieux car transformé en tank dans la cour du squat, sauf que les fenêtres ne sont pas occultées mais les parois ont été renforcées par des plaques de métal.

Il a un aspect « Mad Max »,ce char anachronique au XXIème siècle, ce véhicule récupéré à la casse et planqué dans une société de gardiennage qui loue des emplacements de parking aérien :

– c’est presque comique !

Je monte à bord, sans effort, poussée par les jeunes qui s’engouffrent en poussant des cris de joie ou de victoire.

La gamine que je n’ai pas pu sortir de la rue s’assoit fièrement à mes côtés, en lançant des slogans que je n’entends pas, tous différents, scandés en désordre par elle, dans un concert de guerre où les jeunes hurlent à tout bout de champ/chant comme une meute de loups partant en chasse.

Instinctivement, je me bouche les oreilles en attendant que le calme revienne.

Et, là, je comprends tout à coup pourquoi tous sont à ce point excités :

– le car vrombit comme un avion et s’élance !

Il ne recule pas, il avance.

Le bus bascule dans le vide en traversant le mur de l’édifice faisant office de parking aérien.

• Nous étions garés au quatrième étage d’un immeuble de cinq étages.

La petite, à côté de moi, est debout, comme une révolutionnaire fière de mourir.

Moi, je suis tassée sur mon siège, cassée par l‘évidence de ma mort prochaine.

J’entends le crash du bus traversant le mur et, placée côté fenêtre, je vois, à travers les carreaux sales, un champ ou un pré, sans doute situé derrière l’immeuble, et, juste à côté, une école maternelle ou primaire.

Je sais que je vais mourir.

• Ce n’est pas ce qui me fait le plus peur !

On doit tous mourir un jour.

Ce qui me fait peur, c’est d’assassiner, de tuer, à cause de cet acte fou, des innocents, des enfants de la cité qui n’auraient eu que le tort de venir en France.

Je ferme les yeux, je l’avoue, en priant.

Le bus se crashe au sol comme l’aurait fait un avion de transport d’une ligne ordinaire s’il avait raté son atterrissage.

Nous ne tombons pas du ciel, juste du quatrième étage.

A ma grande surprise, sous les hourras des jeunes, le bus ne s’est pas complètement écrasé.

Et surtout, il a atterri dans le pré, pas sur l’école :

• c’est peu que de dire que je suis secouée !

Je me retourne vers la jeune passagère que je suivais, cette jeune fille qui vient d’avoir à peine quinze ans :

• elle est sonnée mais elle est sauvée, elle aussi.

Alors, submergée par une colère terrible, je l’engueule comme jamais de ma vie je n’ai engueulé quelqu’un, ni même mes propres enfants qu’importe la bêtise commise :

– « Mais comment as-tu pu faire ça ? Vous auriez pu tuer des enfants !

– Vous vous rendez compte, tous, tuer des enfants ?

– Tu veux quoi, vous voulez quoi ? C’est n’importe quoi ! »

Et, de rage, je l’ai frappée, giflée, moi qui refuse de frapper une femme, encore plus une fillette, une adolescente à peine sortie de l’enfance.

Je me suis alors réveillée, choquée par ma propre violence non contenue envers elle, en m’interrogeant :

– Que devais-je comprendre, moi, de ce rêve ou de ce cauchemar ?

• Était-ce possible que des jeunes, abandonnés à leur sort par l’État français, puissent en venir à commettre, à leur tour, des actes terroristes leur donnant tous les torts, à leur pauvre corps défendant, ou des gestes kamikazes insensés ?
• Ces jeunes sans abri, sans ami, sans toit et sans droit, au nom de l’Europe, cette Europe déversoir de toutes les misères du monde, pouvaient-ils en venir à tuer, par manque d’espoir, leur nation, cette France destructrice, pour concevoir une Europe, mais quelle Europe ?

La réponse que j’ai cru recevoir à mon réveil est la suivante :

– « Vos oligarques imbéciles seront ravis d’apprendre qu’ils ont réussi à détruire l‘espoir fragile des natifs en leur Nation, la France et ses terroirs florissants !

• C’est une si belle réussite que, maintenant, ces jeunes mômes rêvent de reconquérir leur vaste continent blanc,
• cette Europe tant vantée que tout dévaste,
• berceau d’une civilisation occidentale mourante parce que devenue mortelle pour sa jeunesse !

Je rajoute un chant pour ces jeunes, orphelins de la Nation, qui vont crever dans la rue et à la vue des Français-es, frères d’armes et de larmes qui leur préfèrent pourtant des étrangers venus pour les tuer.

Ainsi se réalise et se concrétisera l’idéal totalitariste d’une Europe pangermanique, païenne et hitlérienne :

• parce que vous, les élites aux appétits matériels sans limite, vous avez méprisé vos propres peuples,
• ces peuples, les peuples autochtones européens, qui vont se révolter contre vous.
• Vous, les riches, allez récolter ce que vous avez semé, le désordre exagéré et la pagaille provoquée par cette racaille enragée venue d’ailleurs qui ne cesse d’aboyer et de mordre aux talons d’un peuple français exaspéré.

Et, tous, aussi riches et puissants que vous croyez l’être, vous ne pourrez empêcher que la jeunesse européenne s’unisse contre vous, oligarques mondialistes fascistes, nouveaux génocidaires de la race aryenne. »

Je suis obligée de l’écrire ainsi, même si ce message contrevient complètement à mes propres valeurs :

– « Ou vous sauvez vos jeunes ou vous périrez !

• Mais l’Europe blanche ne mourra pas, elle. »

Je salue l’hommage partagé du chant de la Liberté par Camélia Jordana en signe de résistance contre les Islamistes qui ont voulu tuer la musique en France en attaquant lâchement le Bataclan parce que son propriétaire était un Juif.

Mais je lui préfère la voix puissante d’un mâle blanc d’âge mur représentant la France pour le peuple de France : – Johnny Hallyday.

– « Macron, y s’prend pour Jésus !

• “Emmanuel” (Macron), il envoie son esprit aux vivants, sauf qu’il est pas mort, le c.n, encore moins ressuscité !

D’ailleurs, aucun risque qu’y ressuscite, le pécheur… t’as vu un peu la gueule du c.n qu’y s’croit supérieur aux autres ?

Bientôt il va marcher sur l’eau, l’Macron, comm’Jésus, à défaut de pouvoir marcher sur terre avec vous lors d’une manifestation contre l’antisémitisme en France.

• Quoi, la défense des Juifs ?

– Y sont combien, les Juifs de France ?

• Et les Muzzs de partout ?

– Bon, j’te fais un dessin, l’« Marcheur » ?

• Ah, tu sais pas compter ?

– Alors, compte pas sur lui, surtout pas !

• Parce que, lui, ton Président, y sait compter :

– vous, les Juifs, vous comptez pas.

– Z’êtes trop peu nombreux !

• Le banquier de chez Rothschild a beau devoir sa carrière et son mandat à un Juif, il a pas la reconnaissance chevillée au corps, l’agnostique.

– « Marchons, marchons, qu’un sang impur abreuve nos sillons… ! »,

• qu’un sang impur abreuve çui des c.ns assassins, principalement le vôtre, çui des Juifs !

Et dans l’lot, j’mets les Chrétiens, baptisés par l’esprit juif,

• et pas çui d’Macron, le maquignon triporteur !

– Il a pas d’pot, l’Macron, pour une fois qu’y parle « esprit » :

• il a pas compris justement que c’est pas le nombre qu’y fait loi,
• mais « l’esprit » fait loi, foi de syndic, – jure pas, toi !

Alors, tu peux être plus nombreux avec les Muzzs,

– sauf que l’intelligence vient pas avec le nombre,

• c’est plutôt l’inverse, à tomber à la renverse par terre :

Plus y sont nombreux, les c.ns,

moinsse y z’ont à s’partager en… esprit !

– Tiens, en parlant de « compter », prends le nombre d’inventeurs et de brevets d’invention déposés par nationalité et/ou ethnie… alors, t’as compté ?

• T’as enfin compris, oui ou non, qu’y vaut mieux avoir dix Juifs intelligents, laborieux et industrieux dans une nation de préférence française que des millions de c.ns injurieux et crapoteux ?

– Au contraire de Macron qu’a pas compris cette évidence et qu’y préfère être le Roi des C.ns plutôt que d’pas pouvoir rester Président !

Lui, il échange les Juifs de France créatifs contre des fous furieux rébarbatifs,

• les khalifes à canifs des contrées barbares.

– Moi, j’dis qu’l’intelligence, c’est incompatible avec les corâneries !

• Peuple de France sans défense,
• vous êtes en train de perdre votre intelligence en perdant vos Juifs.

– Vous allez devenir des ânes bâtés, des femmes « a-battues » et des mecs hébétés !

• Plus bête qu’un Français, tu peux pas trouver, on dira partout dans le monde entier… sur les Français !

– Au fait, en parlant des femmes, y les planque où, leurs femmes, les Islamistes de Gaza ?

• Pass’que, sauf erreur de ma part, ô votre horreur, où sont passées les femmes de Gaza et de Palestine ?

Où sont les femmes ?

– On s’croirait en Afghanistan, au Pakistan ou bientôt en Iran avec les barbus « AllahouleBarbareBabarLoubard» !

• Y’a qu’des hommes poilus partout à Gaza et des femmes voilées nulle part :

-pas de mères, pas d’infirmières, pas d’aides-soignantes,

-pas de techniciennes de surface, pas de commerçantes,

que des mecs de la Mecque !

• Faudrait peut-être déclarer les femmes comme une espèce en voie de disparition, l’ONU d’mes deux ?

– Aucun risque que l’ONU défende les femmes !

L’ONU a désigné l’Iran pour présider le Conseil des Droits de l’Homme, pas ceux d’la Femme, lors du Forum Social des 2 et 3 novembre 2023 à Genève,

• après les tueries abominables du 07 octobre 2023 sur la terre d’Israël commises par le Hamas,
• Hamas qui est le bras armé de l’Iran pour rayer Israël de la carte du monde !

__________________________

https://www.lefigaro.fr/international/onu-la-presidence-d-un-forum-social-du-conseil-des-droits-de-l-homme-par-l-iran-fait-polemique-20231102

ONU : la présidence d’un forum social du conseil des droits de l’homme par l’Iran fait polémique

Par E.P

Publié le 02/11/2023 à 11:27, mis à jour le 02/11/2023 à 11:42

[…]

La situation a néanmoins fait réagir plusieurs organisations de défense des droits de l’Homme, notamment en France. «Parfois, la réalité dépasse la fiction», a régi la Licra, la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme. «Ce n’est pas une plaisanterie», a également tancé UN Watch dans une pétition lancée sur son site. L’ONG, qui se donne pour mission «d’assurer que l’ONU respecte sa propre Charte et que les Droits de l’Homme soient accessibles à tous», a interpellé les Nations unies. «Comment pouvez-vous élever un régime qui bat, aveugle, torture et viole les femmes qui revendiquent leurs droits ? Où est la logique ? Où est la moralité ?». ]

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– Pourtant L’Iran, avec le Hamas, exprime publiquement et librement sa volonté de rayer Israël de la carte du monde.

Mais tout le monde s’en fiche parce que tout le monde est antisémite aujourd’hui,

• pas toi, oui, mais beaucoup de monde, trop de monde est antisémite !

– Alors, tu t’demandes toujours pourquoi t’as défilé sans Macron, le corps qu’était avec toi en esprit mais toi sans lui, toi sans l’Président ?

– T’as senti son « esprit » au moins ?

• N’est pas Jésus qui veut !

– Jésus, le Juif, y l‘est mort pour sauver des vies !

• Macron, ton Président, il est en vie et tu peux crever, le Juif. »

– « Je sais, c’est pas bien !

• Y’a les rats qu’en sont pas et y’a les rats qu’en sont, pour de vrai !

Mais j’assume.

– Moi, j’fais la différence entre les rats du Hamas et les rats qui s’amassent dans les rues de Paris :

• tu comprends, les rats du Hamas, y tuent les leurs !, de rats, jusqu’aux ratonnes et aux bébés ratons qu’y z’enterrent sur terre, sous les bombes, tandis qu’eux, ys’terrent comme des rats sous terre ;
• eux, les rats d’la ville de Paris, s’y s’faufilent sur les trottoirs de « Paris-Poubelle-la Vie », c’est pas pour faire mourir leurs congénères ! C’est juste qu’y cherchent à s’nourrir avec les détritus surabondants face à des minus vagabondant qu’y s’sauvent en hurlant quand y les voient : – pauvr’bêtes… les rats, ceux de Paris, hein ?! Pas les autres, hein ?
• Respect, quoi, comme y disent, ces c.ns !

Donc, moi, j’me disais :

– Et si on leur envoyait nos rats à Gaza, aux rats du Hamas, nos rats de Paris ?

• Pour sauver nos compatriotes retenus en otages…

– Non, pas toi, Véro !

• Véro, elle est du signe du Rat dans l’astrologie chinoise :

-c’est une rate née au Maroc !

En plus, elle est “ahimsà”, – attention, trait droit sur le “a” comme Véro, très froide :

-faut pas tuer les rats, les chats et les pachas, surtout pas son pacha-roi à elle !

@romainfranklin

Pov : Quand le prof est un gros rat 😂 #humour #drole https://www.laboutiquedurat.com/

♬ son original – Romain Franklin

Faudrait balancer des tonnes et des tonnes de rats dans le métro de Gaza, des milliers, des millions de rats de Paris envoyés à la rescousse des otages qu’on lâcherait dans les tunnels du Hamas,

– là où les rats pullulent déjà, même si c’est pas la même race :

• le « vivre ensemble » parisien, nos rats contre vos rats, tout contre !

On pourrait rajouter,…

– non, ça, j’l’ai pas dit !, quoique… quelques gouttes de peste brune,

• cette peste que transportent ces bestioles complètement folles, les « disiquilibrés », les herboristes terroristes et autres dealers !

– Mais j’ai dû l’penser très fort !

On pourrait rajouter, – j’disais !, les animaux des souterrains, dans les tunnels du Hamas,

• les belles veuves noires qui s’voilent dans leurs toiles assassines, les copines des Islamistes,
• ou les recluses à la mode française qui sont à leurs aises dans les coins les plus sombres de nos caves, pas à vin,

– car c’est haram !

On pourrait aussi laisser glisser, – tsss, tssss !, quelques serpents fluides et rapides au venin mortel,

– sinon c’est pas rigolo !, comme les vipères aspic de l’île de France, qui tomberaient à pic sur les rats d’égouts pisqu’ils empêchent les otages de partir !

A mon avis, – et pas humble, l’avis !, y s’raient les premiers à vouloir partir, les rats dégoutés du Hamas,

• et donc à sortir des tunnels de Gaza !

J’abuse et j’ose :

-Tu saupoudres le tout avec quelques milliers de punaises et des centaines de milliers de cafards pour nourrir les veuves noires, – sinon elles auraient l’cafard, les garces !, et le tour est joué :

• par ici, les rats du Hamas, montez à la surface de la terre
• et montrez-vous, les rats du Hamas, si s’êtes des hommes pas des rats dégueus:

– y’a plus de sales bêtes dans le métro de Gaza, voilà, plus aucun rat !

Et t’as l’bonjour d’Arthur, des durs du Tsahal,

• pour les salauds, bien sûr, les salauds d’rats du Hamas ! »

___________________________

Véro, elle fronce les sourcils :

– « J’serais trop vulgaire, dis donc?!

• Depuis quand, Véro, faudrait qu’je sois poli avec des pourritures ?

– Nan, j’suis pas « rats-ciste », Véro,

• j’suis juste réaliste avec les rats du Hamas, ces ordures puantes !

– Pourquoi puantes ?

• Parce qu’y z’attirent les rats, les vrais rats, ces c.ns du Hamas !

– Ces ordures qui tuent, ça pue la mort comme les charognards qu’y sont.

Donc, sur la base éthique d’un constat social connu de tous et de toutes,

– pisqu’y faut pas oublier les c.nnes !, j’voudrais dire :

• « qui se « rats-semblent », se “reuhssemblent” ! »

C’est pour ça qu’y a trop de rats à Paris, et qu’y faut les envoyer à Gaza, par souci écologique, avec leurs souris qui rient jamais :

– « On sépare pas les familles », hein,

• qu’y disent les rats du Hamas qu’ont tué les enfants devant leurs parents et les pères devant leurs fils en s’marrant ? 

Résultat :

Guerre économique en vies humaines, s’iou plaît :

– zéro soldat de Tsahal tué !

Et les rats de Paris, nos héros, devenus les cauchemars du Hamas et revenus vivants de Gaza, décorés  !

Ou dévorés par d’autres rats encore plus fous que nos rats de chez nous !

– Maint’nant j’attends,

• j’attends qu’y ait un c.n qui vienne te demander d’être polie, Véro,
• avec la pourriture du Hamas,
• celle qui s’cultive sur la m.rde de vos médias francophones,
• le fumier islamiste qui fleure bon le collaborationnisme franco-gaucho-français !

–  « Et Macron ? », me d’mande Véro.

• « Macron, il a choisi de re-devenir le Roi des C.ns !

– Et il est servi, le Roi des C.ns.

• Tu repasseras pour le pourboire, avec ou sans p’tit noir  ! 
• Et la France trépassera, pays de c.ns, descendant bien bas des collabos de la période d’occupation nazie 40-42, jusqu’en 44-45 pour les plus couards.» 

-T’objecte quoi, le blanc-bec, futur décapité qu’a déjà perdu sa tête tant il est bête,

• l’islamo-gaucho de mes deux ?

Si c’est pas du politiqu’ment correct, c’est moins pire, sans rire, que votre presse abjecte qui presse Israël, comme un citron, de laisser tranquille

• le Hamas,

• votre patron, république pourrie, sous bannière qatarie !

-Y’a la bonne manière et y’a les mauvaises manières, le pardon pour les bons qui se repentent et les coups de canons pour les autres qui s’répètent !”