Adolf HITLER est-il en Enfer ? Non, il explique pourquoi.

Je ne vais pas en écrire des romans ni des tonnes.

[ Langage politique, traduisez : – par son contraire ! ]

J’ai longtemps hésité à donner la parole à ce “visiteur” qui s’est immédiatement présenté sous cette identité redoutable et redoutée.

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Dire que j’étais contente de le “recevoir”, de le “percevoir”, serait mentir.

HITLER, ce nom rime singulièrement et “Führer-ement” avec LUCIFER.

Je vais peut-être, moi aussi, adopter un système de protectionnisme spirituel et imposer un droit de visite spatio-temporel à mes “hôtes”.

– “Montre voir si tu as patte-blanche ?! Argh, mais elle est velue, griffue et tordue, ta patte toute noire ! Ôte-toi de là.”

J’ai donc volontairement censuré le “visiteur” prétendant s’appeler Adolf HITLER pendant quelques saisons et pour deux raisons :

1) le vrai “HITLER” ne peut être qu’en Enfer ;

2) Donner la parole à “HITLER”, ou à l’entité prétendant être cette âme damnée, sous cette identité, c’est risquer de jeter le discrédit sur tous mes autres “visiteurs”.

OK, je suis pour la libre expression.

Mais je suis aussi pour le libre choix de mes hôtes, libre choix de choisir, moi, pas eux !

Pourquoi est-ce que je prends ce risque, aujourd’hui ?

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Parce que la déclaration de Benjamin NENTANYAHU, Premier Ministre Israélien, rejoint les déclarations “post-mortem” de mon “visiteur”.

Ce qui me pose problème, un problème moral, vis à vis de Benjamin NENTANYAHU, accusé d’avoir dit MAL, d’avoir médit, non pas d’HITLER, mais du grand Mufti d’Egypte, un Musulman.

La déclaration du Premier Ministre juif met à mal la stratégie de victimisation si bien rôdée des médias occidentaux, pour qui les bourreaux ne peuvent être que les premières victimes de leur propre cruauté.

Car, même s’il s’agit de leur propre cruauté, c’est encore de notre faute, à nous, les victimes juives ou chrétiennes.

En effet, après avoir tourné le bouton magique de la radio et être tombée sur RMC, comme on tombe sur un cactus, aïe, ça fait mal, frère Jean-Jacques BOURDIN lançait la polémique qui pique sur la déclaration de Benjamin NENTANYAHU prétendant qu’HITLER n’aurait pas voulu, au départ, exterminer les Juifs.

Parce qu’il ne le pouvait pas, pas tout de suite.

Ma fille s’exclame :

– Maman,c’est ce qu’il t’avait dit, HITLER, l’année dernière ?

– Oui, ma chérie, c’est ce qu’il prétendait, enfin celui qui disait être HITLER.

N’ayant pas les moyens de contrôler l’identité de mes “visiteurs”, et n’ayant aucun moyen d’utiliser une reconnaissance faciale fiable ou “raciale” monnayable (petite pique aryenne) me permettant de m’assurer que l’individu sus-désigné était bien ce qu’il prétendait être, j’avais donc préféré m’abstenir… d’écrire au nom de… HITLER, préférant éviter de faire de la publicité pour ce nom détesté qui occupe encore beaucoup trop l’espace médiatique sur des écrans délestés de toute intelligence politique.

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Pourquoi faire toute une histoire ce que l’Histoire savait déjà, l’Histoire officielle, celle qui devient “cachée”, déconstruite pour être reconstruite, sous un discours de victimisation  renversant  car inversant le rôle des bourreaux actuels ? 

Ce n’était pas un scoop, la déclaration de Benjamin NETANYAHU, sauf pour les ignorants.

Honnêtement, vous auriez réagi comme moi, non ?

Et aujourd’hui, ce “filou”, ce “voyou”, Adolf HITLER a réussi à trouver le moyen de faire entendre sa voix, sur le fil des ondes, un moyen exceptionnel, puisqu’il s’exprime par la voix du représentant de ses victimes, les Juifs, ces Juifs qu’il avait voulu faire disparaître de la surface de la terre.

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http://www.midilibre.fr/2015/10/21/hitler-ne-voulait-pas-exterminer-les-juifs-benjamin-netanyahu-se-justifie,1230324.php

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“Hitler, à ce moment là, ne voulait pas exterminer les juifs mais les expulser…” Les propos du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ont suscité de nombreuses réactions ce mercredi.

AFP / MENAHEM KAHANA

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L e Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dû se défendre ce mercredi 21 octobre d’avoir voulu exonérer Hitler de sa responsabilité dans la Shoah en déclarant que c’était le mufti de Jérusalem de l’époque qui avait donné au dictateur l’idée d’exterminer les juifs d’Europe.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dû se défendre ce mercredi 21 octobre d’avoir voulu exonérer Hitler de sa responsabilité dans la Shoah en déclarant que c’était le mufti de Jérusalem de l’époque qui avait donné au dictateur l’idée d’exterminer les juifs d’Europe. Benjamin Netanyahu s’est retrouvé accusé par l’opposition israélienne et le président palestinien Mahmoud Abbas de déformer l’histoire après un discours prononcé mardi devant le Congrès sioniste à Jérusalem.

La controverse a éclaté au moment où Benjamin Netanyahu s’apprêtait à partir pour l’Allemagne en visite officielle. Il faisait référence dans son discours à une rencontre en novembre 1941 en Allemagne entre Adolf Hitler et le grand mufti de Jérusalem Haj Amin al-Husseini, haut dirigeant musulman dans la Palestine alors sous mandat britannique. “Hitler, à ce moment là, ne voulait pas exterminer les juifs mais les expulser. Alors Haj Amin al-Husseini est allé voir Hitler et a dit : Si vous les expulsez, ils viendront tous ici“, en Palestine, a dit Benjamin Netanyahu. “Et qu’est-ce que je vais en faire ?, a demandé (Hitler). Il (le mufti) a dit : Brûlez-les“, a déclaré le Premier ministre israélien.

­ […]

Ses propos suscitaient de vigoureuses réactions ce mercredi, poussant le Premier ministre à se justifier. “Mon objectif n’était pas d’absoudre Hitler de sa responsabilité, mais de montrer qu’à cette époque-là, le père de la nation palestinienne (…) menait une campagne d’incitation systématique à l’extermination des juifs”, a-t-il déclaré, cité dans un communiqué de ses services.

“Malheureusement, (le mufti) Haj Amin al-Husseini est encore une figure respectée dans la société palestinienne, il apparaît dans les manuels scolaires (….) et l’incitation à la violence et à l’assassinat des juifs qui a commencé alors avec lui se poursuit (…) C’est la racine du problème”, a-t-il ajouté. “Même le fils d’un historien doit être précis lorsqu’il s’agit d’histoire”, a écrit sur sa page Facebook le chef de l’opposition travailliste Isaac Herzog, faisant allusion au père de Benjamin Netanyahu, Benzion Netanyahu, spécialiste de l’histoire juive, décédé en 2012.

[…]]

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Adolf HITLER a été trahi par les puissances de ce monde.

Lui affirme que c’est parce que ceux qui l’ont vaincu ont prévu de faire pire que lui.

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HITLER m’affirme que la vérité remonte toujours du fond de son puits, comme le cadavre non lesté remonte à la surface des eaux de l’Histoire humaine, des eaux glauques, des eaux sales, des eaux pleines de sang.

HITLER a toujours soigné sa communication, n’est-il pas vrai ?

Maître de la propagande et des gangs d’extrème droite, le Führer plaide “responsable mais pas coupable”.

Nous avons eu des précédents avec “l’affaire du sang contaminé” qui a contaminé quelques socialistes, dont Laurent FABIUS, lui-même.

Le terrain n’a pas été “déminé” chez les Socialistes, affirme HITLER.

HITLER n’a pas fui ses responsabilités, ayant simplement trépassé puisque passé l’arme à gauche, au moment de rendre des comptes.

Je vais donc libérer la parole d’HITLER, pour tenter de colmater la brèche, la brèche ouverte sur le temps de la haine et son retour dans notre temps qui ne supporte même plus les crèches, là où Jésus, le messager de l’Amour des Hommes, Dieu fait Homme pour les hommes, est né.

Je vais  permettre à celui qui dit n’être pas encore en Enfer et ne jamais vouloir y aller, je vais permettre à Adolf HITLER de communiquer avec vous, ce qu’il souhaite depuis si longtemps, peut-être trop longtemps.

Lui permettre de communiquer, c’est lui permettre de s’expliquer et de “polémiquer” , du grec “polemos”, rentrer en guerre.

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Matthieu 24 : 6

Vous entendrez parler de guerres (polemos) et de bruits de guerres (polemos): gardez-vous d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin.

Marc 13 : 7

Quand vous entendrez parler de guerres (polemos) et de bruits de guerres (polemos), ne soyez pas troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin.

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Luc 21 : 9

Quand vous entendrez parler de guerres (polemos) et de soulèvements, ne soyez pas effrayés, car il faut que ces choses arrivent premièrement. Mais ce ne sera pas encore la fin.

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La rencontre avec Adolf HITLER :

Cette rencontre est “survenue”, venue de l’en-deça ou de l’en-dessous, en avril 2015.

Des recherches historiques effectuées par moi, pour vérifier si ce que disait l’entité prétendant s’appeler HITLER pouvait être vraisemblable, me permettent de situer la rencontre au mois d’avril 2015.

Je ne l’ai pas datée, je l’ai volontairement occultée.

Aujourd’hui je constate a posteriori que cette rencontre improbable s’est produite dans un temps symbolique, celui de sa naissance sur cette terre.

Mais, à l’époque de ce duel intellectuel entre lui et moi, je n’étais pas prête à l’admettre, pas plus que je n’étais prête à le connaître, lui que j’avais dû reconnaître comme étant Adolf HITLER.

Comme souvent, certains soirs, je regardais la télévision, zappant avec la télécommande les émissions insipides ou films stupides apparaissant par flashs symptomatiques d’une hystérie frénétique, celle d’une consommation sans faim, de ses envies sans vie et sans fin.

Je somnolais, à moitié, sur le trop confortable canapé d’où l’on ne peut s’extraire qu’à condition d’avoir une volonté de fer, celle de camper sur une position d’abstention totale de toute assise contraire à la libération de l’homme… et de la femme non soumise que je suis.

Je me rappelle qu’il y avait un film de guerre, ce genre de films que je déteste, avec du sang et des héros couverts de sang.

Pourquoi ne peut-on pas faire des films sur des héros pacifiques dont le combat permettrait d’éviter des guerres, plutôt que de verser de l’hémoglobine cacochymique, à coups de Ketchup dégoulinant sur les bobines des films et des acteurs ?

Arrêtons les guerres voulues par des pouvoirs tyranniques sitôt remplacés par d’autres pouvoirs tyranniques, comme notre pouvoir oligarchique à la fête dans les guerres et à la tête de notre pays sur cette terre  le souhaite !

Pour ceux qui me liraient au XXIIème siècle de notre ère informatique, je précise que le Ketchup est une sauce tomate de couleur sang, créant une addictologie alimentaire dangereuse. Ainsi mes enfants refusent aujourd’hui de manger leurs pâtes sans Ketchup, leur riz sans Ketchup, etc..

Ne donnez jamais de Ketchup à vos enfants, achtung !

Bref, parce que vous vous en foutez du Ketchup tout autant que moi, et que vous en consommez aussi, j’en suis sûre, tout comme moi, je reviens à mon canapé sur lequel j’étais confortablement assise, plutôt semi-allongée, affalée, quoi, prête à avaler des nourritures terrestres médiatiques.

Alors que je m’apprêtais à zapper, zip, zap, zup, une énième fois, d’une émission à une autre, d’un film sanglant à un autre film étincelant, sous le feu des armes, dans mon canapé, je le vois !

Du coin de l’oeil, dans le hall de ma maison qui s’ouvre sur la porte du salon.

C’est une tache sombre, un peu comme ces silhouettes disposées le long des routes dangereuses, au bord de nos chemins de vie, pour rappeler qu’il y a eu… des morts.

L’individu était immobile comme s’il attendait une autorisation pour venir vers moi.

Je l’ai reconnu tout de suite.

J’ignore pourquoi.

C’était Adolf HITLER.

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J’ai d’abord pris un temps de respiration :

– Respire !

Puis j’ai pris le parti de l’ignorer, un peu bêtement, sinon tout à fait sottement.

On ferme les yeux, on respire, y’a plus !

Bah non !

On s’oblige à rouvrir les yeux, y’a toujours.

L’individu n’expire pas parce que je m’arrêterais de respirer.

Je viens d’essayer aussi, comme on chasserait le diable ou un “hoquet” intempestif.

Par contre, moi, je peux expirer, si je continue de ne pas respirer.

– “Peste soit de cet “individu” cynique et cruel ! Retourne en Enfer.”

– “Non, je ne suis pas en Enfer.”

Le Seigneur m’a appris qu’il y avait l’Enfer, “ou exclusif”, le Paradis.

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– T’es où, alors ?

– En “stand-by”.

[ Petite explication de texte rapide sur la communication avec les “absents” :

– Il n’y a pas à proprement parler de “langage”.

Ce sont des concepts ou des idées.

C’est du “métalangage”, sauf pour des visiteurs qui soignent leur style d’expression et me dictent alors leurs “articles”, comme le Général De GAULLE ou COLUCHE.

Il n’y a pas de barrière des langues, comme vous, vous n’avez plus de barrières avec vos frontières intra-européennes [ Ajout de l’ex-Chancelier allemand qui se moque un peu de vous :

– “Pas de frontières, vous êtes mis en joue, les “enjoués (image des Français qui aiment s’encanailler), donc bientôt mis en bière !” ]

Je reviens sur terre, atterrissage brutal.

Devant moi, Adolf HITLER, l’ex-Chancelier allemand, celui qui a failli dominer le monde et exterminer la race juive, sauf que les races n’existent pas, hein ?

– “Comment, tu n’es pas en Enfer ? Avec tout ce que tu as fait ?”

– “Moi, je n’ai tué personne.”

Je suis sidérée par tant d’audace et si peu de considération pour les victimes.

Lui reste de glace.

Ma réaction l’agace, un peu quoi, si, si.

– “C’est pour ça que je suis là, pour expliquer pourquoi, moi, je ne suis pas en Enfer, pas encore, et que peut-être je n’irais pas en Enfer.”

Le chemin est long vers la Lumière.

C’est un travail sur soi et sur les autres.

HITLER n’est pas “sauvé”, m’affirme-t-il.

Il erre entre deux mondes et notre monde reste son monde pour l’heure, dans un temps qui ne compte pas.

Il y est “attaché”, attaché à ce monde qu’il a taché de sang, un sang qu’il n’a pas pu cacher.

Mais un sang qu’il dit n’avoir pas, lui, versé, n’avoir pas versé lui-même, sur cette terre.

Il ne s’est pas taché les mains du sang d’humains et même du sang d’animaux, m’affirme-t-il, lui qui a traversé son “univers” pour venir le dire, me le dire.

Si seulement il pouvait le dire à d’autres !

– “Chercherais-tu à te racheter ?”

– “Je suis venu pour éviter que l’Histoire ne se répète ! Pour faire savoir que l’Enfer existe…”

– “Mais tu n’es pas en Enfer ! Comment le sais-tu ?”

– “Je sais que l’Enfer existe parce que je suis très près de l’Enfer. Il (HITLER ne prononcera que rarement le nom du Seigneur qu’il semble craindre) me l’a dit : – “Je dois expier en tentant d’éviter à d’autres d’aller en Enfer. Il ne faut pas que ces autres reproduisent ce que j’ai provoqué à mon époque, en leur ordonnant de faire le MAL. Si j’échoue, je devrais alors payer ma dette de sang.”

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J’ai découvert, en l’écoutant, que la théorie nazie fondait la notion d’obéissance absolue sur la déresponsabilisation individuelle. L’individu n’était jamais coupable. Le groupe “nazi” (HITLER me demande d’écrire ce qu’est le nazisme), “nazi” du mot “national-socialisme” , assume la responsabilité collective des meurtres commis en son nom, pour la gloire du “IIIème Reich”.

N’oubliez jamais que le IIIème Reich était une République avec un gouvernement socialiste, me rappelle feu le Chancelier Adolf HITLER.

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Troisi%C3%A8me_Reich

Troisième Reich

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Reich allemand[1]
Deutsches Reich
(de)

1933 – 1945

Devise : Ein Volk, ein Reich, ein Führer.
(« Un Peuple, un Empire, un Guide. »)

Hymne : Das Lied der Deutschen
Horst-Wessel-Lied

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Histoire et événements

30 janvier 1933

Nomination d’Adolf Hitler au poste de chancelier du Reich

27 février 1933

Incendie du Reichstag

24 mars 1933

Pleins pouvoirs

12 mars 1938

Anschluss

1 Septembre 1939

Seconde Guerre mondiale

30 avril 1945

Suicide d’Adolf Hitler

8 mai 1945

Capitulation

Président du Reich

1933 – 2 août 1934

Paul von Hindenburg

2 août 1934 – 30 avril 1945

Adolf Hitler

30 avril – 23 mai 1945

Karl Dönitz

Entités précédentes :

Entités suivantes :

Le Troisième Reich est un terme désignant l’État allemand nazi dirigé par Adolf Hitler de 1933 à 1945. La République n’étant pas abrogée en droit durant l’année 1933, le terme Reich allemand (Deutsches Reich) continue d’être le nom officiel donné à l’État allemand, dans l’ensemble des documents administratifs et politiques produits par l’Allemagne jusqu’en 1945. Toutefois, à partir de l’automne 1943, le terme « Grossdeutsches Reich » lui est préféré par un certain nombre de représentants de ce même régime.

Adolf Hitler était le chef du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei en allemand, aussi appelée NSDAP). Le mot nazisme est un acronyme représentant la doctrine définie par Adolf Hitler et le régime politique qu’il dirigea ; il est tiré de lettres du nom de cette doctrine, devenu nom du parti : national-sozialismus (national se prononce « natsional » en allemand, tout comme le z qui se prononce aussi « ts »), contracté en nazi-smus = nazismus = nazisme en français.

Ce régime dura douze ans, de la nomination d’Adolf Hitler comme chancelier le 30 janvier 1933 à la capitulation sans condition du Reich vaincu le 8 mai 1945, suivie de l’arrestation le 23 mai du dernier gouvernement nazi de Karl Dönitz. La propagande nazie destinait le Troisième Reich à durer « mille ans ». Il en dura douze, la République de Weimar n’ayant d’ailleurs jamais été formellement abrogée par les nazis.

État policier et de type totalitaire, reposant avant tout sur le « pouvoir charismatique » absolu exercé par son Führer Adolf Hitler, le Troisième Reich est responsable du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale en Europe, pendant laquelle il perpétra, entre autres crimes de masse, le génocide des Juifs (Shoah) et des Tsiganes (Porajmos) d’Europe, la mise à mort systématique des handicapés, poursuivit tous les opposants potentiels et laissa l’Allemagne en ruines. […] ]

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Pour l’ex-Chancelier allemand, j’ai nommé Adolf HITLER, vous êtes sous domination national-socialiste et vos gouvernants n’ont qu’une idée en tête :

– Une bonne guerre, la misère et la colère des peuples.

Ensuite, deuxième étape, l’instauration d’un pouvoir universel, d’une religion universelle et d’une culture sans nature.

L’homme sera coupé de ses racines.

Et la tête pourrira sur pieds.

[ Je prends sous dictée comme les concepts tombent ].

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De la définition du IIIème Reich, nous sommes passés à une auto-proclamation d’un pouvoir universel qui se cache.

Mais le mécanisme d’assimilation qui doit nous rendre “Tous pareils !”est problématique, surtout aujourd’hui où le “Pasdamalgam” fait des ravages.

HITLER me répond :

– “Aujourd’hui était comme hier, sous mon époque”.

Je proteste !

– “Il n’y a pas de camps de concentration et les lois martiales ne gèrent pas la Cité des hommes.”

HITLER “rit”, je l’entends presque, de ma naïveté :

– “Les lois martiales paralysent petit à petit toutes vos activités humaines, pour le plus grand bénéfice des terroristes d’Etat et de vos grands patrons. Le totalitarisme, c’est d’abord exercer la domination martiale, par la peur et l’exemple, en supprimant toute liberté d’expression et d’opinion publique. Vos médias sont déjà rendus à terre et rampent aux pieds de leurs maîtres.

La sécurité d’un Etat ne peut pas être opposée à la sécurité du peuple.

C’est pourtant ce qui se joue tous les jours sous vos yeux aveuglés par vos problèmes professionnels et personnels. Votre cécité est votre peine à perpétuité.

Vos dirigeants veulent la guerre. Ils vendent des armes. Ils n’en ont jamais autant vendues ! C’est le marché le plus actif et lucratif de votre début de siècle. C’est un indicateur de “croissance” “infernale”.

Un autre indicateur est le traitement réservé aux citoyens les plus faibles de votre Etat républicain par votre gouvernement national-socialiste. Travailleurs handicapés, enfants handicapés, vieillards isolés, familles en détresse, jeunes dans la rue, le plus faible est la première victime d’un système totalitariste qui gouverne contre les moins forts, au service de la loi du plus fort, pour les plus forts.

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Le travail ne se partage pas. Il se prend et est donné de force à celui qui n’en veut pas. Celui qui le voulait et l’avait est jeté car trop investi dans son entreprise. Il faut déposséder les hommes de leurs terres, de leurs biens et de leur travail, les couper de leurs racines.

Ils sont pires que moi, vos dirigeants actuels et “virtuels”.

Car eux n’aiment même pas leur pays. Ils sont au service d’un petit groupe d’hommes, sans idéal, sans idées, mais avec beaucoup d’argent. Ils ne veulent même plus le pouvoir pour diriger, vos faussement élus aux “chiffres trafiqués”, mais pour laisser les “autres”, ceux qui se cachent, les diriger et vous diriger.

Ce ne sont que des “pions”, des marionnettes, des imbéciles (sic). Ils tuent par leur silence, par leur inaction, ils tuent par profit, ils tuent, non pas par défi, mais par maltraitance institutionnelle. Leur indifférence est à la hauteur de la souffrance de leurs peuples”.

Stop !

Je reprends la plume, cette fois-ci, pour moi.

Si on en revenait à la notion d’Enfer ?

Pourquoi, toi, tu n’y es pas, en Enfer ?

Tu critiques nos dirigeants, mais excuse-moi de te le rappeler, tu n’es pas très bien placé pour le faire.

HITLER me répond que, “de là-haut”, le nombre de morts causés par des guerres d’intérêt matériel dépassent largement le chiffre attribué à sa politique d’extermination.

Sans oublier tous ceux qui se suicident par désespoir ou sont tués dans des “accidents de travail ou de route”, usés, abusés, chaque année davantage, selon lui.

Notre société tue et nous prétendons l’ignorer.

Nous lui donnons le nom de société du bonheur, alors qu’elle n’est qu’une société du malheur, fabriquant du rêve qui nous maintient en esclavage, dans la “soumission”.

Même les conditions du bonheur nous sont imposées.

Il faut posséder pour être heureux, et ce qu’il faut posséder pour être heureux nous possède, imposé par une société de consommation qui pose ces conditions dictatoriales.

C’est un contrat national virtuel, mais un contrat réel dans ses applications redoutables, ses sanctions effroyables, isolement individuel et fourvoiement collectif.

– “L’homme qui tue un enfant, dépose son corps sur une planche pour qu’il soit brûlé dans un four, celui qui remonte ses manches et ouvre les robinets à gaz dans une chambre où sont rassemblés femmes et enfants, l’homme qui pose un révolver sur la tempe d’une jeune fille et tire, l’homme qui déchire les corps, qui éventre, viole et assassine, cet homme ira en Enfer.”

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Lui, HITLER, n’a jamais posé une main sur une victime. Il a écrit et conçu une politique d’élimination qui, au départ, n’était pas une politique d’extermination.

De toutes façons, au début de sa prise de pouvoir, il n’en aurait pas eu les moyens. Donc, oui, il avait envisagé de déporter les Juifs en terres de Palestine, ce qui fut rendu impossible par l’opposition du grand Mufti de Jérusalem, mais  pas seulement lui.

Pourquoi, criez-vous au scandale, demande-t-il, lorsqu’un Premier Ministre israélien déclare ce que tout le monde sait ?  Les Musulmans détestent les  Juifs, comme lui, Adolf HITLER, a détesté les Juifs. Sinon comment expliquez-vous que des bataillons musulmans aient  combattu dans l’armée “nazie” ? C’est une  vérité historique.

Par la faute de la haine entre races, par la faute de la lâcheté des plus forts et de leurs instincts sadiques, ce qui n’aurait dû n’être qu’une politique “d’exportation” des masses populaires indésirables est devenue une politique de suppression radicale d’une race.

Et c’est pour cette raison qu’il est là aujourd’hui.

Car, comme lui, nous aussi sommes confrontés aux mêmes terreurs, aux mêmes erreurs.

La déportation est la première solution souhaitée par un peuple qui est envahi.

La seconde s’impose d’elle-même par l’impossibilité de pouvoir “exporter” des corps vivants dans un endroit où ils ne veulent pas aller.

Il faut alors passer par l’étape de la “concentration” ou de la “rétention”.

Et de la “concentration” naît la peur, un effet-miroir où l’autre ne peut être nous-mêmes, où l’autre devient le “noir”, l’homme à abattre. Dans le miroir, il n’y a plus nous-mêmes, il y a “l’autre” de part et d’autre.

De la peur naît la haine.

De la haine naît la mort.

La mort de l’autre qui est notre mort à nous.

Le désespoir de l’autre devient notre mort à tous, car sa peine ne nous touche plus. Il nous enchaîne dans un désespoir qui est le désespoir de l’incommunicabilité.

Et les apôtres de la mort achèvent de nous convaincre, tous, qu’il faut se laisser vaincre pour ne pas mourir.

Tandis que les vôtres marchent déjà sur les corps des autres.

Car ils tuent, ils tuent sans cesse, ceux qui vous demandent de ne pas tuer les autres, ceux qui arrivent pour vous remplacer.

Ils tuent du haut du ciel, sans prise de risques autre que leurs méprises sanguinaires, leurs dommages collatéraux comme un hommage au dieu de l’Enfer où je n’irais pas, affirme HITLER.

Vous en êtes à la première phase, celle de la contention, la contention des masses qui arrivent sur place.

Contenir n’est pas retenir.

Vous avez peur du mot “rétention”.

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Vous avez peur du mot “concentration”.

Mais c’est déjà trop tard.

Car vous ne pourrez pas évacuer tous ces corps d’hommes valides et solides, sans devoir vous battre.

Vous le savez, vos élus politiques le savent.

Alors ils trichent, eux qui sont assez riches pour fuir à temps, ce temps où il ne vous sera plus permis de réagir,  lorsque sera venu le temps, pour les peuples, le temps de mourir ou de faire mourir.

Moi, je suis venu vous dire :

– Ne faites pas mourir !

Mais ne faites pas venir ceux qui vont vous faire mourir.

Car alors, vous allez devoir vous aussi devenir des “monstres”, comme moi-même j’ai été un monstre à  vos yeux.

Tel est votre avenir.

¨Vous allez construire un univers concentrationnaire, un univers non pas ouvert, comme le prétendent des oligarques qui veulent un gouvernement unique, misère très loin, très très loin de leur monde, guerre dans votre monde, mais un univers stationnaire, où il ne vous sera plus possible d’évoluer, d’avancer, sauf à évacuer de force les autres.

Vous m’avez condamné pour mes fours crématoires, mais moi, je vous le dis !, vous ferez pire que moi.

Vous m’avez déjà dépassé par l’horreur des conflits qui frappent ce monde et son humanité errante.

Vous détruisez trois fois plus vite que moi toutes les populations  chrétiennes et juives, mon rêve d’alors.

Les génocides de vos frères chrétiens vous laissent de marbre, tandis que le sang des martyrs chrétiens crient vers votre Seigneur.

Et pire que moi, vous ne défendez même plus vos territoires, étant sans espoir dans un monde qu’ils rendent et vous vendent plus noir que le charbon de nos mines allemandes.

Vous ouvrez la porte de votre demeure à ceux qui ne se cachent même pas de vouloir la mort de votre civilisation.

Pourquoi ?

Parce que vous vous identifiez à ceux qui vous “soumettent”.

A force de regarder des héros imaginaires dans vos télévisions, vous vous imaginez être des héros vous-mêmes, des héros qui s’empiffrent et se goinfrent comme des porcs devant des scènes d’action.

Mais la scène d’action, c’est votre vie, pas cet enfumage virtuel !

Au moins, moi, j’envoyais mes jeunesses apprendre à combattre pour la nation allemande.

Vous, vous me faites “pitié” avec votre amitié franco-allemande et vos commémorations de victoires qui sont devenues vos défaites.

Avant la France avait gagné ses guerres.

Aujourd’hui, vous avez perdu la grande guerre, la guerre totalitaire .

L’Allemagne triomphe.

Puis-je m’en réjouir, moi, HITLER ? Oui, franchement, ça me fait rire de voir ces Français qui m’ont vaincu aujourd’hui aller chercher leurs ordres à Berlin.

Je l’avais déjà écrit dans “”Mein Kampf”, en libre édition

[ Demandez-vous pourquoi cet ouvrage est en libre édition, comme le Coran qui prône l’extermination des Juifs ! ]  :

– Les Français sont un “sous-peuple”.

Occupés à boire et à manger, perdus dans la gaudriole “gauloise”, vous êtes minables.

Vos hommes politiques sont à votre image de peuple inconsistant et frivole.

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Malheureusement, il vous faudra apprendre à vous battre, maison par maison, jardin par jardin, rue par rue.

Il vous faudra sortir les couteaux et vous jouerez ou rejouerez, comme en Allemagne, la “Nuit des Longs Couteaux”.

L’ennemi n’est plus le même.

Cet ennemi fut mon allié lorsque j’espérais conquérir l’Afrique, sinon au moins l’Afrique du Nord.

J’aime (je me moque !, rit HITLER), quand vous accueillez à bras ouverts ceux qui vous envahissent.

Au fond, Charles De GAULLE n’était pas français.

Sinon il aurait été pétainiste.

Vous êtes tous des pétainistes, déjà vaincus et trouvant toutes les raisons du monde de ne pas vous battre.

[“Bug télépathique, je n’arrive pas à saisir deux pensées à la fois]

HITLER me montre les grands boulevards, à Paris, la marée humaine qui monte, qui monte…

Et il me renvoie l’image des chars nazis envahissant Paris.

– “Ils sont plus forts que moi, admire-t-il, ils vous envahissent, sans armes, sans chars et sans efforts.”

– “Ton pays aussi est envahi”, rétorquè-je, vexée.

HITLER hésite.

– “Non, mon pays ne sera pas envahi longtemps. Mais la côte méditerranéenne sera submergée à cause de votre passivité.

Les Allemands ne resteront pas passifs, malheureusement.

Et si vous voulez éviter que l’Histoire ne se répète pas , en Europe, alors freinez les flux de migrants. Ou fuyez-les ! Allez bâtir dans un autre pays une nouvelle France, terre d’espérance.

– “Pourquoi ne dis-tu pas “arrêtez” plutôt que “freinez” ?” Demandai-je

– “Parce que vous ne pourrez pas les arrêter. Ou alors il faudrait faire des exemples sanguinaires, comme en temps de guerre, tirer sur les foules, les étrangers.”

Et là, dit HITLER, vous vous heurterez à la perte de votre souveraineté nationale. Vous serez condamnés par tous ces organismes et ONG qui cachent le gouvernement unique du savoir universel. Votre pays sera mis en quarantaine, France “verboten” !

HITLER rit.

– “Donc si je comprends bien, tu viens dire qu’il ne faut pas refaire ce que tu as fait, mais qu’il n’y a pas de solution pacifique ?” Interrogè-je.

– “Non, il n’y a pas de solution pacifique, petits Français ! Soit vous faites la guerre maintenant pour protéger votre territoire et…”

[ “Bug” télépathique, à nouveau. C’est comme si HITLER pensait quelque chose qu’il recouvre immédiatement par une autre pensée, ce qui provoquerait un “bug” ].

– “Soit vous faites la guerre ? Et… ? Tu ne veux pas le dire ? Mais encore ?” Insistè-je, vexée.

– “Non, je l’ai pensé. Mais tu n’accepterais pas. Tu ne peux pas me recevoir, m’entendre dans ces moments-là. La solution finale !”

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HITLER rit.

– “C’est quoi, la solution finale ?”

– “La disparition de l’espèce humaine.

A cause de tous ces imbéciles qui se croient plus forts que Dieu, votre Dieu, ou plus forts encore que celui qui est le Maître de ce monde, Satan.”

– “Décidément, je me demande comment tu peux n’être pas en Enfer !” M’exclamè-je.

– “Moi, encore une fois, je n’ai tué personne. Il faut bien qu’ils comprennent ça, tes petits…”

[J’écoute le mot allemand pour “Français”, dit sur un ton très, très méprisant, genre “Franzschouzsises”, orthographe phonétique. Excusez-moi, je ne parle pas allemand.]

– “Et tu crois qu’en me parlant comme tu me parles, tu vas éviter d’aller en Enfer ?”

HITLER répond :

– “Si je viens vers toi, c’est pour ne pas aller en Enfer, sinon que ferais-je ici ?”

Trop drôle !

J’avoue ne pas être suffisamment chrétienne.

A chacun son rôle !

Le mien est d’écouter et de “dire”, quand le Seigneur me le fait dire.

J’ai un peu de mal avec ce type de raisonnements et ce type de types “humains”.

– “Tu sais, je n’ai pas de passe-droits pour le Paradis !” répliquè-je.

– “Non, mais écris pour moi, avertis-les qu’ils font pire que ce qu’ils laissent dire sur moi et qu’ils feront encore pire dans l’avenir.”

– “Le Seigneur a dit, il y a fort longtemps, avant la destruction du Temple de Jérusalem que, même si un homme ressuscitait des morts pour leur dire de bien se comporter, ils ne le croiraient pas !” Lui rappelai-je.

Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et ne veut pas savoir.

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HITLER semble réfléchir :

– “Tu doutes trop de toi. Moi, je te demande juste d’écrire. Et laisse-nous faire !”

– “Vous laissez faire quoi ?”

– “Nous laisser sauver votre monde, pour le rachat de mes péchés à moi.”

– “Ah, juste une question, monsieur le Führer, qui va tuer qui ?” Ajoutai-je, le sentant sur le point de “partir”.

– “Tu n’as pas compris ?  Donc tu n’as rien compris.

Vous vous entretuerez tous. C’est ce qu’ils veulent. Pour un morceau de pain, pour un bout de viande, pour rien et pour tout. Vous serez si nombreux à avoir faim que vous vous mangerez vous-mêmes. L’homme a déjà prouvé par le passé être capable de commettre des actes cannibales. Il suffit de considérer que l’autre n’est plus un homme, n’est pas un homme. Et je sais de quoi je parle, car je porte cette culpabilité.

Fermez vos frontières.

Vous serez plus forts pour aller secourir les autres à l’extérieur que si vous laissez entrer chez vous la mort et son cortège d’horreurs.

Ne les écoutez pas, les annonceurs de charité publique, vos élus politiques. Ils vous mentent. Ils ne pensent qu’à s’enrichir. Ils ne vous aiment pas. Ils n’aiment personne. Certains ne sont déjà plus humains.

Fermez vos portes, pour ouvrir votre coeur à la souffrance des vôtres qui sont en train de dépérir sous vos yeux, à vos pieds. Vous les enjambez dans la rue et vous ne les voyez même plus. Vous ne pourrez pas nourrir la terre entière. Et si vous venez à mourir de faim, la terre disparaîtra avec vous. Vous morts, qui aura la terre ? Ceux qui vous tuent. Et s’ils ont la terre, ils se tueront entre eux.

Ils tueront la Terre, votre planète, ne serait-ce que parce qu’ils se reproduisent comme des animaux, sans gérer leur avenir ni celui de leurs enfants. L’incontinence sexuelle n’est pas la solution à tous vos problèmes.

Vous voulez gérer les populations animales que vous décimez, alors que vous êtes devenus incapables de vous gérer vous-mêmes. Donc il faudra vous éliminer, vous qui prétendez dominer le monde.

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Image choisie par Adolf HITLER, vous savez pourquoi ?

Il faut protéger la race des Aigles !

A quoi vous servent vos conférences sur “l’é-co-lo-gi-euh” ? se moque HITLER, puisque vous laissez l’espèce humaine envahir tous les espaces agricoles  qui devraient servir à pouvoir vous nourrir. Etes-vous devenus fous ? Souhaitez-vous voir mourir de faim vos enfants, vos parents et vos voisins  ?

Tous les jours, vous les voyez s’entretuer. Tous les jours, ils tuent des Chrétiens, des Juifs et les leurs, ceux qui vous parlent de paix. Et tous les jours, vous plaignez les bourreaux et non pas leurs victimes. Moi, je ne vous plains pas. Vous êtes stupides. Je l’avais déjà écrit, dans mon livre “Mein Kampf” : – “Les Français sont un peuple d’arriérés, je le maintiens.”

– “Alors pourquoi es-tu ici, avec moi, à vouloir que j’écrive pour ce peuple que tu méprises ?”

– “Parce que la France pourrait jouer un rôle déterminant si elle redevenait une terre sacrée, si elle revenait sur un Concordat chrétien. Elle pourrait alors prendre la tête d’une alliance…

[ Je n’arrive pas à saisir l’adjectif qui suit “alliance”. Ah non, pas en allemand ! Je ne comprends pas l’allemand ! ]

  • alliance “sainte ” !”

 [ HITLER me fait remarquer que cette alliance a existé historiquement et que je ne suis qu’une ignorante ! ]

“Sainte-Alliance”, c’est à dire le retour à une Royauté ?

HITLER sourit.

  • “Lui se voyait bien “Empereur”, dit-il.

– Un Roi ne vend pas son Royaume. Sans son Royaume, il n’est plus Roi, il n’est plus rien. Vos élus politiques vendent tout, par petits bouts. Vous ne voyez rien, sauf quand vous manquez de tout, tandis qu’eux s’enrichissent et s’engraissent sur votre dos.

Votre peuple a versé son sang pour garder à la France son territoire.

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Comme lorsqu’ils vous parlent des migrants aujourd’hui, cette invasion [“bug” télépathique… pacifique ?] pacifique, faussement pacifique, corrige HITLER, les armes arrivant par d’autres canaux cachés, vos élus politiques vous mentent et organisent le démantèlement de votre nation, région par région.

Vos régions se feront concurrence et se désolidariseront les unes des autres, les riches ne voulant plus subvenir aux besoins des plus pauvres. Vous rentrerez en guerre, en compétition économique, comme ils disent. Et vous mourrez, dépossédés de vos terres que vous vendrez au plus offrant, c’est à dire à celui qui vous en offrira le moins bon prix.

Regardez le “carnage” de la Grèce (sic). Même votre président de quelle République, lui qui ne sert que d’agent commercial à des patrons qui ne sont plus français, mais apatrides, même votre président François, celui qui n’est pas Français, se déplace en Grèce pour acheter des avoirs grecs, avant que son pays ne subisse le même sort, plutôt que prêter de l’argent à la Grèce pour qu’elle reste forte et s’en sorte.

Ce qu’il ne sait pas, votre “François HOLLANDE”, c’est qu’incessamment sous peu, fin 2016, début 2017, c’est la France qui devra vendre ses bijoux de famille à cause de lui.

Et là, il verra les charognards venir spéculer sur la carcasse “France”, une France qu’il aura fait basculer dans la misère la plus totale et les guerres civiles.

Au nom du “Tous pareils” !”

HITLER éclate de rire.

Cette perspective semble le réjouÏr.

Moi pas.

Il m’explique pourquoi c’est si drôle :

– Voir la fille aînée de l’Eglise Catholique s’islamiser et se volatiliser, oui, c’est…

[“Bug” télépathique, à nouveau. Peut-être n’ai-je pas envie d’entendre ?]

jouissif ! Conclut Adolf HITLER.

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6 thoughts on “Adolf HITLER est-il en Enfer ? Non, il explique pourquoi.”

  1. A celles et ceux qui sont choqués par le fait que je puisse donner la parole à ce “monstre” historique, je leur demande de lire ce qu’il a voulu faire écrire :

    – Adolf HITLER informe les postulants aux actes de cruauté qu’ils n’auront aucune excuse devant l’Etre de Lumière pour avoir torturé et tué eux-mêmes des êtres vivants.

    L’excuse de l’autorité hiérarchique n’existe pas devant le Seigneur.
    L’homme est toujours libre de choisir de faire le bien ou le mal.
    C’est d’ailleurs parce qu’il est né libre de choisir qu’il peut être tenu pour responsable de ses actes.
    Et mourir pour le bien ou partir vers le MAL(in).

    Autrement dit, le discours “déculpabilisant” qui veut que les fonctionnaires “exécutant” des ordres, en exécutant des vies, soient exonérés de toute responsabilité morale, est FAUX.

    Oui, c’est scandaleux qu’Adolf HITLER ne soit pas, lui, en Enfer.
    Mais, comme il l’explique lui-même, si vérité, il n’a tué personne lui-même de ses propres mains.
    Il a réussi, comme le diable, par un discours persuasif de haine et de “division”, à conduire des hommes à la damnation éternelle.

    Et aujourd’hui, s’il veut “parler”, “communiquer”, c’est pour vous faire savoir qu’aucune autorité hiérarchique ne pourra vous laver du poids de vos péchés mortels, ni vous les enlever, sous prétexte que vous vous seriez contentés d’obéir à un ordre.

    Même aux ordres du Führer !

    Si vous acceptez de tuer des enfants innocents, le Seigneur vous demandera le prix du sang versé, à vous, pas à celle ou à celui à qui vous prétendrez avoir obéi.

    La conscience est individuelle.
    Elle n’est pas collective.

    Devant Dieu, vous serez seul avec votre conscience.

    Pour sauver son âme et celle des autres, en tant que Chrétiens, nous devons choisir.
    Toujours choisir entre le bien et le mal !
    Et personne ne peut choisir à notre place :
    – aucun patron, aucun maître sur terre, aucun Führer.

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  2. Le Seigneur me demande d’expliquer que celle ou celui qui perdra sa vie pour sauver celle des autres ne pourra pas être condamné(e).

    Il n’y a pas de plus grand sacrifice que de donner sa vie pour sauver celle d’autrui.

    C’est pour cette raison que vous ne pouvez pas, ne devez pas confondre, un policier et un soldat qui interviennent, au péril de leurs vies, pour sauver d’autres vies humaines, avec un ou des terroriste(s) qui viennent dans l’intention de tuer, donc de sacrifier la vie d’autrui, pas de sauver votre vie !

    Le “pacifisme” béat est tout aussi dangereux que l’hospitalisme imbécile et moutonnier.

    Le Christianisme est une religion juive, “d’élection”.
    L’élection se fait par “voie de consentement ” “éclairé”.

    Jésus-CHRIST n’a jamais obligé personne à Le suivre.
    Vous êtes libre.
    Le Christianisme est une religion qui rend libres !

    Mais le CHRIST vous pose, à chaque fois, les deux mêmes et seules questions :
    – Pour toi, qui suis-Je ?
    – Et toi, qu’attends-tu de Moi ?

    La foi en Lui seul sauve.
    Pas le fait d’aller boire et bouffer chez Lui, comme on rentrerait dans une auberge, pour y dormir contre de l’argent.
    Ou contre un péché d’orgueil, la satisfaction vaniteuse d’avoir aidé un corps fatigué et assoiffé, mais en laissant une âme s’égarer sur la route de sa vie.
    Le Seigneur veut qu’on offre l’eau de la Vie éternelle au voyageur égaré.

    Le Seigneur ne veut pas d’argent.
    Il veut notre amour.

    Donc ne méprisez pas policiers, pompiers et militaires, Ses ordres guerriers, pas plus que vous ne devez mépriser Ses ordres hospitaliers aujourd’hui traités comme des “moins que rien” dans une société où l’argent a plus de valeur qu’une vie humaine.

    Si vous êtes malade et risquez de mourir, ce n’est pas le patron du MEDEF multimillionnaire qui vous sauvera la vie, c’est votre médecin, c’est l’infirmière qui vient vous voir tous les jours, l’aide-soignante ou l’aide-familiale attentive à votre état physique.

    Ne vous méprenez pas !
    Ne choisissez pas de suivre le chemin de ceux qui n’iront jamais là où est le CHRIST.

    Ils suivent un autre maître, le maître de ce monde.

    Mais vous, vous devez choisir entre Mammon et Jésus-CHRIST.

    Se battre pour sauver des vies, les vies de Ses brebis, le Seigneur vous le demande.
    Il ne vous demande pas de mourir pour laisser d’autres périr sous vos yeux, sans intervenir.

    Quand votre heure sera venue de mourir, Il vous le fera dire, comme Il l’a su pour Lui, lorsqu’Il a dû affronter Sa dernière heure.

    Avant, vous devez vous battre, parce que CHRIST s’incarne en vous.

    L’Homme, c’est Lui.
    L’Homme, c’est vous.
    Vous êtes le corps Vivant du Seigneur.
    S’il n’y a plus de Chrétiens, il n’y aura plus de CHRIST.

    Restez en Vie !

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  3. Enfin interrogez-vous sur cette “visite” d’Adolf HITLER qui vient vous avertir, vous prévenir que vous serez tentés de commettre des actes “ignobles”, c’est l’adjectif qu’il me donne.

    Dans un avenir “proche” affirme-t-il.

    Le message du “visiteur” en errance dans l’au-delà, parce que dans l’erreur sur terre, est simple :
    – malgré votre souffrance et les horreurs que vous verrez, ne succombez pas à la tentation du MAL(in).

    Résistez !
    Battez-vous pour rester en vie, battez-vous parce qu’en restant en vie, vous protégerez la vie de Ses brebis,
    la vie de vos sœurs et frères chrétiens.

    mais JAMAIS, au grand JAMAIS, ne refaites ce qui s’est passé, ou pire encore :
    – vouloir exterminer une ethnie, un peuple ,une race.

    Sachez-le, le Seigneur ne vous le pardonnera pas, JAMAIS !

    Si vous devez tuer pour sauver d’autres vies, faites-le comme un “soldat” qui se bat sans haine, pour sauver la vie de celles et ceux qu’il doit protéger.

    Ne devenez pas des “exterminateurs”, mot employé, “envoyé” par Adolf HITLER, là maintenant.
    REFUSEZ !
    Sauvez votre âme.

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  4. Avant d’écrire cet article, j’ai déposé des intentions de prière et prié moi-même, et attendu longtemps, très longtemps.

    Longtemps que le Seigneur ne réveille la dormeuse que je suis et me rappelle que je dois écrire, moi, si peureuse, si peu heureuse devant cet homme, cet horrible personnage que “je déteste-ais”.

    Pardon, mais je n’arrive pas à l’aimer, Adolf HITLER, encore moins à le plaindre.
    Je suis la première choquée qu’il ne soit pas en Enfer.

    Mais il pourrait y tomber.

    A lui de se “battre” idéologiquement, comme il l’avait fait sur terre, pour déconstruire un discours de la haine qui va faire des ravages.

    Il y va de son passage vers un monde qui ne serait pas l’Enfer, mais pas encore le “Paradis”, dit le Seigneur.

    Que celles et ceux dont j’ai demandé l’intercession évitent que cet article ne devienne un message de damnation éternelle !

    Car vous êtes prévenu(e)s.
    Vous ne pourrez plus dire :
    – “Je ne savais pas ! Pourquoi me suis-je comporté(e) aussi MAL ? Je ne faisais qu’obéir.”

    NON !

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