Le conseil d’un certain Jean-Baptiste POQUELIN dit “MOLIERE” à un incertain Emmanuel MACRON dit “Nemo” qui ne sait plus s’il est français, ni si le français appartient bien à la France et ni(e) si la France appartient encore et toujours aux Français : – “Suicide-toi sur scène et théâtralise la disparition de la France en ta personne pour que les Français puissent enfin vivre en paix, sans celui qui les aura haïs le plus de son vivant, leur propre chef d’Etat !”

 

“Le Malade Imaginaire”

 

 

– “Le ridicule ne tue pas.

C’est bien dommage”, dit MOLIERE qui reprend son nom de scène.

“- A tout âge il est donné d’être fat et un peu sot quoique beau et jeune.

Mais se croire au-dessus des faquins ne suffit pas à échapper à la course du temps et des obstacles accumulés.

• Et par la faute de qui ces obstacles se sont-ils accumulés ?” Interroge Jean-Baptiste avec un soupçon d’impertinence qui sied aux hommes de son siècle protégés par le Grand Monarque contre les petits “MONARC”s de moindre importance.

 

– De mon temps, ils couraient les rues, ces petits seigneurs féodaux se prenant pour le Roi que le Grand Monarque faisait jouer à la Bourse des jeux pour les neutraliser dans son Palais, à la Cour du grand Palais de Versailles.

– Jouer à la Bourse ? Le passe-temps des vaniteux et des imbéciles !

Pas plus que votre “MONARC”, ils ne supportaient la critique et l’humour, ces seigneurs féodaux dont la suffisance n’avait d’égale que leur médiocre intelligence.

Mais si l’on m’eût dit un jour que la piétaille et la valetaille de France étaient capables d’élire un Roi les haïssant et haïssant leur pays, la France, je ne l’eusse jamais cru !

• Pourtant, vous, les médiocres, vous l’avez fait, bourgeois et gens du peuple sans doute fatigués de porter le fardeau de ce beau destin qu’est le mot “France” !

 

 

Les fastes de Versailles se meurent et la France tousse.

 

• Il paraît que le français est la langue de MOLIERE !

J’en eusse été si fier autrefois de parler et d’écrire la langue d’un si grand Roi surnommé le “Roi Soleil” tant le rayonnement de la France dépassait les simples frontières terrestres de l’Europe,

– un continent qui se rétrécit de jour en jour.

L’Europe mourra africaine dans le chaos et le ridicule.

• Et moi, je vais mourir noir, brun ou rouge, mais blanc plus jamais !

Je parlerais le patagon, sorte d'”anglo-saxon” francisé, et j’aurais pour me représenter une négresse africaine qui déteste les Blancs et les Français surtout,

[Je rappelle que “négresse” n’était pas une insulte mais juste un qualificatif d’appartenance à la race noire au XVIIème siècle. Donc je me refuse à censurer la langue de MOLIERE pour faire plaisir aux idiots de ce siècle, le XXIème siècle, qui sont ignorants de l’évolution du français en ces derniers siècles. Et ce d’autant plus que censurer l’un de mes visiteurs reviendrait à rompre un pacte sacré, celui de la persistance du Vivant au-delà de la mort !]

• la Reine sombre de la Francophonie qui insulte régulièrement les belles armées et les vaillants soldats de Sa Royale Majesté !

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– Vous dire combien j’en suis heureux et combien je remercie votre heureux et niais Président d’une République qui ne veut plus que la France soit française et que le français appartienne aux Français serait peu dire !

Je ne saurais mieux dire que d’inviter votre féal chef d’Etat qui a perdu sa tête et la tête de son Etat qu’il prétend être la France, pays qu’il déteste manifestement, à se suicider sur scène !

Ce laquais des financiers uniquement préoccupés du son que font leurs écus quand ils tombent dans leurs écuelles de chiens galeux ne mérite guère mieux que les applaudissements des lépreux agitant leurs crécelles quand, enfin, il donnera son congé sur scène.

http://atelier.leparisien.fr/sites/histoire/2016/07/03/theatre-1673-moliere-quitte-la-scene/

Car, oui, moi, MOLIERE, le dramaturge, je lui propose de quitter la scène, puisque, pour lui, la vie politique n’est qu’une mise en scène.

• Cette finale sera grandiose !

J’en ai rêvé pour moi :

– Mourir sur scène sous les applaudissements frénétiques de Français aimant leur Roi et aimant son comique, un auteur dénommé “MOLIERE” et demeuré tellement présent dans leurs coeurs qu’ils ont appelé le “français”,

• la “langue de MOLIERE”.

 

 

J’aurais dû intituler cette pièce “Malade sans le savoir”

• ou “Le mourant bien-portant” !

Or je ne me souviens pas d’être né en Afrique d’un père noir et d’une mère négresse qui, tous deux, détesteraient le pays que j’ai tant aimé, mon pays, la France !

– Non pas que je sois raciste !

Puisqu’aujourd’hui, dans votre époque étrange et malade de haine, de haine contre elle-même et ceux qui la content, cette époque, et la racontent en dénigrant leurs racines et leur propre peuple, il n’est plus possible de parler de préférence nationale, ni familiale, ni sacrée [la religion].

• Qui peut aimer son voisin comme son père et préfère l’habitant d’un pays lointain plutôt que son frère serait tout simplement considéré comme étant fou à mon époque !

Tellement fou qu’il laisse mourir ses propres frères de race et de culture sous les coups d’étrangers abrutis et asservis à la guerre d’une religion sans fin, en applaudissant à leurs exploits macabres !

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Lui aurait mérité le titre de “Roi du français” et pourtant vous l’avez ignoré, laissé pour mort le jour de son enterrement, lui qui est éternel !

Son seul tort ? Il aimait la France et les Français.  

• Si, aujourd’hui, le Sénégal perd la France,
• c’est que la France avait perdu le Sénégal dans son coeur.

 

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Plus je reviens en ce siècle démentiel, plus je crois, moi, devenir fou.

• Parce que vous êtes tous devenus fous !

Pire, hypocrites !

Car vous n’avez pas oublié d’aimer d’abord les vôtres et de servir d’abord les vôtres,

-confisquant les charges nobiliaires à ceux qui pourraient les acheter ou les mériter pour les attribuer injustement et illégalement,

-contre toutes vos lois d’égalité dites “droits de l’homme”,

• à vos propres familiers, qu’ils soient clients de votre politique ou parents de votre cercle familial très fermé.

Tout est permis à ces pourceaux qui se roulent dans la fange d’une République de la haine qui explique au peuple français qu’il est normal qu’il se sacrifie pour ces porcs indignes et puants que sont ces faux seigneurs de la finance !

• Il n’y a pas de couleur pour l’homme blanc soumis aux contingences économiques.

Il y a juste une loi économique, la loi du plus fort et le commandement de la haine !  

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Alors, Emmanuel MACRON, je te mets au défi de réussir ta sortie à défaut de réussir ta carrière politique :

– Monte sur scène, toi qui aurais aimé devenir un acteur, un grand acteur !

Et meurs.

Ce sera ton dernier numéro d’acteur, d’acteur numérique car, chez vous, les Français modernes, un Président chasse l’autre, mais le programme politique reste le même pour le peuple de France :

– Tout n’est que comédie !

• “E finita la commedia”, monsieur Emmanuel MACRON !

 

– Ayez le courage d’un “Socrate”, vous qui vous dîtes philosophe comme mon “Bourgeois Gentilhomme” qui prétendait écrire de la poésie alors qu’il ignorait parler en prose.

Buvez la cigüe !

Et puisque vous avez programmé la disparition de la France, vous qui vendez tous les biens immémoriaux acquis au prix de tant de sang versé par nos nobles héros français, je vous invite à disparaître vous-même de la scène française.

• Le Roi est mort ! Vive le Roi !

 

 

 

Allez, un geste !

Un grand geste…

• Celui d’un “adieu” sur scène !

Il vous suffira d’avaler une pilule d’arsenic, cet arsenic, ce poison de haine contre la France que vous faites ingurgiter à tous les gens de votre peuple, jour après jour, pour leur faire accepter leur propre disparition.

– Disparaissez vous-même !

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• Lui n’a pas raté sa sortie !

[Jean-Baptiste POQUELIN me demande de préciser que le choix de cette illustration n’est pas le sien, mais le mien. “

-“En effet Martin Luther KING Jr. (“KING”, comme “ROI”) n’est ni blanc, ni francophone”, me fait-il remarquer.

Je lui réponds :

• “Oui, mais l’existence de Martin Luther KING Jr. prouve qu’un Noir peut être meilleur qu’un Blanc quand le Dieu très Chrestien est avec lui :
• -“Homme fait homme”, qu’importe la couleur ! ]

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“Vous  rendrez à la France sa possibilité d’exister enfin en tant que France, pays de mes ancêtres glorieux et vaillants !, continue MOLIERE.

J’en ai rêvé !

De mourir sur scène.

• Ne ratez pas votre sortie !

Ce serait dommage.

C’est tout ce qu’il vous reste à réussir car tout le reste est déjà raté et gâté par vos mensonges et vos trahisons.

Au Royaume Très Chrestien de sa si Grâcieuse Majesté, nul ne peut égaler la grandeur d’un Roi de France !

Si ce n’est un autre Roi de France, Sa Majesté Très Chrétienne.

• Tout vient à point à qui sait mourir à temps !

La différence entre moi et Emmanuel MACRON ? dit MOLIERE.

Moi, j’étais l’auteur, le metteur en scène et l’acteur de ma propre mort.

Je savais que j’étais malade et j’ai mis en scène ma propre mort dans le “Malade Imaginaire” pour mourir quelques heures après de ma plus belle mort.

• Car, à mon époque, on ne mélange pas le genre, le dramatique avec le comique !

Vous, les politiques, vous n’avez plus aucune décence ni aucun respect pour votre public !

Vous vous moquez de tout le monde et vous ne faites rire plus personne.”