
C’est l’histoire d’une chienne de païenne, chrétienne par amour… de Lui,
– mais restée chienne de païenne par amour… de lui.
Et toujours “médium malgré elle”, donc “médium malgré moi” qui écris cet article.
C’est la première fois que je reçois une prophétie de Lui, en oubliant tout :
– A cause de lui !
Au lieu de me comporter comme en d’autres occasions, quasi-professionnellement, moi, la mystique,
– lorsque sont tombés, comme des couperets, des mots en langage télégraphique :
1) “danger de mort,
2) professeur(s) d’histoire,
3) sexe mâle,
4) blanc(s)”
5) et un autre indice que j’ai oublié lors de l’envoi d’un mail de debriefing, le mot “police”
… j’ai paniqué.

Je n’ai même pas réfléchi
– ou si, trop réfléchi !
Justement ou pas.
J’ai immédiatement recherché ce qui pourrait provoquer un “danger mortel” pour des professeurs, d’histoire ou pas.
En connaissant quelques-uns, il m’était difficile de recevoir cette information sans être touchée “personnellement”.
Evidemment, les 13 et 14 octobre 2020, je ne disposais que de peu d’éléments permettant de corroborer cette prédiction.
Ne pouvant lire un téléprompteur exposant savamment la cause et les effets d’un événement non encore advenu, mon cerveau dogmatique se refusait à me faire écrire seulement quatre ou cinq mots, fussent-ils prophétiques !
Or, ce jour-là, au sein de la “Maison-Poulaga” circulait une rumeur alarmiste sur un risque sanitaire s’étendant aussi aux corps enseignants de l’Education Nationale.

Un tract de FO-Préfectures informait les adhérents d’un scandale à venir à cause de la distribution et de l’utilisation de masques de la marque française Dim en tissu, mais fabriqués en Roumanie, nocifs pour la santé des agents.
– Ce n’était donc que cela !
Le “danger de mort” était relativisé.
Et je pouvais, sans crainte de me ridiculiser, l’informer… d’abord et tout d’abord lui.
– Quoi de plus normal ?
– Où est le mal ?
Parce qu’écrire :
– “Ne sortez pas de chez vous et dites à tous les professeurs d’histoire de se planquer chez eux et de se mettre en arrêt de travail dans toute la France !”
… pour avoir reçu quatre ou cinq mots associés à la mort “future”, donc hypothétique, d’un professeur d’histoire,
– c’était finir à coup sûr à l’hôpital psychiatrique de Thuir dans les Pyrénées-Orientales, l’équivalent de l’hôpital Sainte-Anne à Paris.
Donc, mission partiellement accomplie, un mail fut envoyé !

Avertissement pesé et emballé par voie de messagerie officielle sous forme d’une recommandation linéaire respectant un principe de précaution élémentaire :
– “Evitez d’utiliser les masques en tissu de marque Dim fabriqués en Roumanie !”
… Bravo, Véro, tu peux être fière de toi !
Recommandation rédigée cependant avec une forte insistance sur la nécessité de SE PROTEGER, sans pouvoir en justifier autrement l’urgence et l’importance, que par un tract syndical, teheu, teheu, sur le port de masques…
– Excusez-moi du peu !
.. Sauf que, le 14 octobre, je me suis pris un savon qui ne sert pas seulement à se laver les mains en période de la Covid 19.
… Un savon du grand lessiveur de fautes, du Sauveur, ce fils de l’Homme que les Chrétiens adorent comme étant leur Seigneur.
Néanmoins j’ai protesté et refusé de prendre le risque “fou“ d’écrire un avertissement sur mon blog, “Déu vos guard”, blog qui n’aurait jamais aussi bien porté son nom, ce jour-là, sans autre élément à fournir que quatre ou cinq mots reçus peut-être dans un moment d’égarement, mots qui étaient, je le réécris :
– “danger de mort”, “professeur(s) d’histoire”, “sexe mâle”, “blanc(s)”,
… et “police”, ce dernier mot étant curieusement associé à un monde de l’Enseignement plutôt rétif à l’autorité uniformisée.

C’et ce jour-là, toujours le 14 octobre 2020, que la certitude m’est donnée que les masques ne sont pas et ne seront pas la cause du “danger mortel”, premiers mots reçus.
Il m’est rappelé que, dans les temps passés, le mot “police” a été lié à des événements autrement traumatiques qu’un simple problème de gel bactéricide.
– Mais comment prévenir une profession entière sur la seule foi de quatre ou cinq mots révélés par… ?
… Un Dieu en qui plus personne ne croit dans cette profession d’enseignants, marquée à gauche et qui se veut “République-Haine”.
Profession dont la seule profession de foi est anti-catholique donc anti-chrétienne.
La majorité de ces enseignants ne cooptent plus que les railleurs de Catholiques depuis au moins deux siècles.
Fiers d’être des mitrailleurs des idées chrétiennes, la règle des trois points n’est plus le fondement spirituel de l’unité ancestrale et “nationale” des Bâtisseurs de Cathédrales :
… “un peuple, une nation, une foi”.

Le Christ, pour ces gens-là, ces enseignants mondialistes du “Vivre ensemble”, c’est l’équivalent du diable dans nos campagnes françaises au XIXe siècle.
Si vous avez le malheur de prononcer le nom de “Jésus” aujourd’hui, en France,
– limite si les gens qui se croient intelligents n’appellent pas le SAMU pour vous faire interner d’office en psychiatrie !
Nos fonctionnaires imitent les Ayatollahs de l’ordre islamique.
Car les nouveaux “Soumis” s’irritent de la résistance des “Francs”, ce peuple d’”afFranc-chis” aux moeurs trop libertaires.
Par conséquent, informée que ce danger de mort serait terrible et choquant, sans en connaître la nature exacte, le 14 octobre 2020, sur Facebook, ce jour, je décidai d’expliquer pourquoi je n’avais transmis cette information qu’à une seule personne, un homme de préférence, ma préférence, en assumant ce choix restrictif :
– parce que les autres pouvaient crever du moment que je savais que, lui, n’avait rien à craindre !

Libre à lui de me recontacter pour essayer de comprendre pourquoi, tout à coup, je m’inquiétais à ce point sur la sécurité de ses pairs,
… et pourquoi je lui demandais de faire très attention à sa personne, à lui.
– Qu’importe qu’il daigne ensuite, ou pas, s’occuper de leur sécurité, aux autres, à tous ou pas !
De la sorte, par ce mail, j’avais communiqué la prédiction à un “ayant-droit”, sans la publier directement sur mon blog “Dèu vos guard”.

Sauf que la colère du “Très-Haut”, comme vous dîtes si bien ici-bas, est descendue très bas pour m’atteindre et que j’ai dû m’astreindre à expliquer cette faute, mea maxima culpa :
– mon refus d’annoncer un “danger de mort” associé à quatre autres mots trop liés à une réalité existentielle qui me touchait de près.
J’ai plaidé “coupable”.
Donc, dans ce post publié sur Facebook le 14 octobre au soir, je reconnaissais n’être qu’une chienne de païenne préférant sauver la vie de “son” homme, possessif affectif, plutôt que de sauver l’humanité.
Sincèrement, je dois bien admettre que, si j’avais été vivante du temps de Jésus, je ne crois pas que j’aurais accepté la peine de mort, la sienne ou celle des autres.
– Pas plus que je ne me serais vue accompagner passivement un homme innocent livré à ses bourreaux, entouré de pleureuses hystériques et pathétiques,
– femmes se frappant la poitrine mais oubliant de pleurer sur leur propre sort,
– la future destruction du Temple de Jérusalem, annoncé par le même Jésus juste avant sa mort, pendant qu’Il portait Sa croix, la croix du monde, lourde de tous nos péchés.

Oui, moi aussi, j’aurais sans doute commis le même péché que ce disciple appelé “Simon” devenu “Pierre” qui avait dégainé son épée et coupé l’oreille d’un des soldats romains venus arrêter l’homme Jésus, pour sauver “l’ami”, “l’homme” que j’aime.
– Non pas que la situation soit réellement comparable !
Quoique…
Pour une femme aimante, qu’y-t’a-t-il de pire que de perdre physiquement l’homme qu’elle aime ?
– Qu’elle ait ou pas, avec l’ homme aimé, un rapport de corps à corps ?

La présence de l’être aimé est une exigence de l‘amour humain qui n’est pas divin, sauf à se prendre pour Dieu.
– Ce qui est adorable pour l’être aimant, c’est de savoir en vie l’être aimé et de pouvoir le voir , plaisir des yeux, sans complètement satisfaire ce désir de possession de vouloir l’avoir à soi, pour ne pas finir possédée par lui.
Car c’est aimer totalement que d’accepter de ne pas s’appartenir pour appartenir à Dieu.
Faite de chair et d’os, la promesse d’envoyer “l’Esprit Saint” n’aurait pas suffi à combler ce vide sentimental, la perte de l’être aimé, de mon ”ami”, de cet “homme” dont la présence physique me réconfortait et dont le regard aimant me rendait si forte contre toutes les adversités de la vie sur cette terre.

Savoir que je dois mon salut à la mort de l’ “homme” aimé, de mon seul “ami”, m’a toujours révoltée :
– “Je t’aime donc je me tue !”
Ou, très masculin et si malsain :
– “Je t’aime donc je te tue.”
Aussi je me pose cette question éternelle, aussi vieille que le monde réel vu et vécu par l’homme en éveil :

– Pourquoi faut-il toujours qu’il y ait des morts et de la souffrance sur cette terre, pourquoi ?
Les femmes ne mettent pas au monde des hommes pour les voir mourir.
Les femmes ne commettent pas le péché d‘amour pour perdre, à tout jamais, l’objet de leur amour, l’homme qu’elles ont aimé, à tort ou à raison.
… Et puis, pourquoi devrait-il y avoir une raison à l’Amour, ce mystère de l’humanité ?

– Est-il raisonnable de mourir pour sauver l’humanité quand Tu vois combien cette humanité qui se dit impeccable, te déteste, Toi, son sauveur et s’accoquine avec ses assassins ?
Alors, moi, je tente de libérer “mon” homme d’abord,
… au nom de l’amour.
– Que ceux qui n’aiment pas aimer et qui préfèrent haïr me condamnent !

– Pouvais-je sauver un seul homme, autre que lui, le 13 octobre 2020, rien qu’en vous écrivant, sur mon blog “Dèu vos guard” :
… “Je vois un “danger de mort” pour un “professeur d’histoire”, de “sexe mâle” et “blanc”” ?
Evidemment, non.
Vous ne croyez plus en rien.
Vous épousez la religion des plus forts, de vos bourreaux, en espérant sauver votre peau, plus tard, comme l’otage française, Sophie Pétronin, qui a sauvé sa peau en tuant Jésus, en le reniant pour la énième fois.
Pour sauver vos corps, vous êtes prêts à faire mourir vos âmes.

– Relisez les Evangiles !
Le “Save Our Souls”, qui a pour acronyme “S.O.S.”, n’est pas compris, n’est plus compris.
– Rien à voir avec cette obsession du corps voulu éternel au XXIème siècle qui remplace le “S.O.S.” des marins perdus en mer :
… Le “ Save Our Bodies”, un “S.O.B.”, onomatopée anglaise, qui ressemble aux longs sanglots des réprouvés de l’Enfer.

– Et vous, les Français imbéciles avec vos médias débiles, idiots utiles de la “religion de la paix et de l’amour”, vous vous applaudissez mutuellement d’avoir pris la bonne décision et de faire montre d’une telle sagesse ;
– celle de renier votre foi et de nier votre “En-soi”,
– ce Seigneur des âmes qui habite votre for intérieur,
– la voix de votre conscience et de votre essence supérieure pour bêtement et animalement continuer à subir une existence méprisable d’esclaves.
– “Applaudissez-vous, les crétins, de faire montre d’une telle paresse intellectuelle !”

Vos assertions sur les religions qui seraient toutes pareilles ne sont que billevesées…
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[Les gens qui racontent une histoire en plaisanterie finissent par y croire. Les médecins praticiens finissent certainement par croire à des billevesées qu’ils ont d’abord racontées à leurs malades pour les satisfaire; un homme finit par prendre l’opinion du journal qu’il lit tous les jours.]
C. Bernard, Principes de méd. exp.,1878, p. 223.
– A rapprocher de la manière dont est traitée la crise de la Covid 19 en France.
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Vous vous étonnez ensuite d’être dans le pétrin, un pétrin sans pain, en tous cas sans le pain et le vin de la Vie.
Sachez que tout ce que je viens d’écrire sur cette prédiction du 13 octobre est prouvable et prouvé par des mails et mes posts publiés sur Facebook les 13 et 14 octobre 2020.
J’assume ma faute ouvertement et publiquement de n’avoir pas publié l’avertissement divin du 13 octobre sur ce blog “Dèu vos guard” ,
– non pas pour avoir perdu foi en l’Homme que j’aime,
– mais pour avoir perdu foi en l’humanité qu’Il veut sauver !

Je n’ai pas envie d’aimer l’Homme, le fils de l’Homme, sans aimer l’homme, les hommes.
– Libre à vous, les Françaises, les Français, de vous suicider
… et de suicider l’humanité au nom de l’amour d’un dieu sanguinaire et trucidaire !
Mais arrêtez d’appeler ce dieu du nom du Dieu chrétien.

Rappelez-vous :
-Vous avez déjà tué Jésus !
Pour faire libérer Barabbas.