- “Démission, CASTAGNER !

– Tu viens de déshonorer le nom de la France dans le monde entier.
Plus jamais la France ne pourra faire la leçon à un autre pays qui tire sur son peuple dans la rue sans provoquer l’ire ou l’hilarité générale.
- C’est une manifestation mondiale de soutien aux “Gilets Jaunes” de l’Europe jusqu’à l’ONU !
- Bravo, mon grand !
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L’ONU et le Parlement européen dénoncent la répression des «gilets jaunes» – Anti-K
L’ONU et le Parlement européen dénoncent la répression des «gilets jaunes»

L’ONU et le Parlement européen dénoncent la répression des «gilets jaunes» – Anti-K French riot police secure the area as rescue workers assist an injured person on a street outside the Jardin des Tuileries as clashes continue with protesters wearing yellow vests, a symbol of a French drivers’ protest against higher diesel taxes, in Paris, France, December 1, 2018. REUTERS/Charles Platiau – RC1BEBEB0400
#MacronGate L’ONU et le Parlement européen dénoncent la répression des «gilets jaunes» #AllonsChercherMacron
https://avantgardepeuplesobs.org
2019/02/14/14 FÉVRIER 2019 PAR JÉRÔME HOURDEAUX
[Trois rapporteurs des Nations unies s’inquiètent de la répression, policière et judiciaire, dont fait l’objet le mouvement des « gilets jaunes ». Ils appellent « la France à repenser ses politiques en matière de maintien de l’ordre ». Les eurodéputés, de leur côté, ont adopté une résolution condamnant notamment l’usage des LBD.
Alors que les critiques contre la répression du mouvement des « gilets jaunes » par les autorités française se font de plus en plus vives, le Parlement européen et les Nations unies ont, chacun de leur côté, dénoncé les restrictions à la liberté de manifester et l’usage excessif de la force.
« Depuis le début du mouvement de contestation en novembre 2018, nous avons reçu des allégations graves d’usage excessif de la force », expliquent les trois experts onusiens, Seong-Phil Hong, rapporteur du groupe de travail sur la détention arbitraire, Michel Forst, rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, et Clément Nyaletsossi Voule, rapporteur spécial pour les droits de réunion et d’association.
« Plus de 1 700 personnes auraient été blessées à la suite des manifestations dans tout le pays », poursuivent-ils. Les rapporteurs ont relevé de nombreuses « blessures graves causées par un usage disproportionné d’armes dites “non-létales” telles que les grenades et les lanceurs de balles de défense ou “flashballs”. »Des secours emportant un manifestant blessé, à Paris le 1er décembre 2018. © Reuters
Ces restrictions aux droits de manifester ont également pris la forme d’un « nombre élevé d’interpellations et de gardes à vue, des fouilles et confiscations de matériel de manifestants ». « Garantir l’ordre public et la sécurité dans le cadre de mesures de gestion de foule ou d’encadrement des manifestations implique la nécessité de respecter et de protéger les manifestants qui se rendent pacifiquement à une manifestation pour s’exprimer », rappelle le communiqué.
Les experts onusiens se disent « conscients du fait que certaines manifestations sont devenues violentes et ont entraîné des débordements ». Mais ils craignent « que la réponse disproportionnée à ces excès puisse dissuader la population de continuer à exercer ses libertés fondamentales. Il est très inquiétant de constater qu’après des semaines de manifestations, les restrictions et tactiques de gestion des rassemblements et du recours à la force ne se sont pas améliorées ».
Enfin, les représentants des Nations unies prennent position contre la loi dite « anti-casseurs » en cours d’adoption par le Parlement. Ce texte vise « prétendument à prévenir les violences lors de manifestations et à sanctionner leurs auteurs », mais « certaines dispositions ne seraient, selon eux, pas conformes avec le Pacte international relatif aux droits civils et politiques auquel la France est partie », pointe le communiqué.
Ainsi, « la proposition d’interdiction administrative de manifester, l’établissement de mesures de contrôle supplémentaires et l’imposition de lourdes sanctions constituent de sévères restrictions à la liberté de manifester. Ces dispositions pourraient être appliquées de manière arbitraire et conduire à des dérives extrêmement graves », s’inquiètent les trois représentants de l’ONU.
En conclusion, ils encouragent « la France à repenser ses politiques en matière de maintien de l’ordre et les autorités françaises à ouvrir des voies de dialogue afin d’atténuer le niveau de tension et de reconnaître le rôle important et légitime que les mouvements sociaux jouent dans la gouvernance ».
De son côté, le Parlement européen a adopté jeudi, à une très large majorité de 438 voix pour et 78 contre, une résolution « sur le droit à manifester pacifiquement et l’usage proportionné de la force ». Ce texte ne vise pas de manière explicite la France mais, comme le rapporte Le Monde, c’est bien la répression du mouvement des gilets jaunes qui était au centre des débats préalables au vote.]
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- “Mais n’oubliez pas, l’ennemi numéro un du peuple français,
- c’est le “Gilet Jaune” !” prévient le Comique d’Etat.
– Tu vois, le “comique d’Etat”, je te l’avais prédit :
– Bientôt tu seras autant connu que moi, mais pas pour les mêmes raisons.
Toi, quand tu fais rire, c’est :
- soit parce que les gens pleurent de rire sous les gaz lacrymogènes,
- soit parce que tu fais pas exprès de faire rire quand tu sais pas ce que tout le monde sait
- et que tu le dis !,
[le plus mal renseigné en France, ce serait celui qui serait à la tête du renseignement français, hein, Laurent le Neuneu ?]
- soit parce que, dès que tu parais, ça fait rire les Français-e-s !

Le masque est tombé :
– y’a ceux qui sont du côté des riches, les issus des voix sans issue de l’ex-“RPR”,
- les “Riches du Parti des Ripoux”
– et les petits derniers, les “En Marche”, ces nouveaux “Riches” d’un système économique qui s’effondre,
- l'”ancien monde” du “mondialisme globaliste gobeur et voleur”.
Leur devise à ces nouveaux riches :
– “Je gobe tout jusqu’aux godemichets de la baise,
- la baise mondiale des “J’nique tout”, même ma mère, la terre de France,
- devenue propriété des “Nique ta mère”
- rapport au fric donné par les “Frères Musulmans” à la “merde-patrie”.
Laurent WAUQUIEZ, le chef du parti des “LR/EM”, y l’a raté la “Marche” dans le mouvement des “Gilets Jaunes”, en posant le pied sur la première “Marche”,
- la “Marche au pas de l’oie”,
- celle de l’ordre policier contre le peuple qui proteste.
Les Républicains contestent aux Français le droit de manifester !
Les “LR” ont chanté l’air des gros bourgeois avec les “EM” et choisi de soutenir les riches plutôt que les pauvres.
- Mauvaise pioche, tête de pioche !
– Vous vous rendez compte, bande de cons, que vos parlementaires, y z’ont rien vu des violences policières en cours ?
- Le monde entier les a vues, sauf eux ?

C’est peu que de dire qu’il serait temps de remanier ce gouvernement et de liquider ces parlementaires qui voient rien et qui parlent pour rien.
Surtout qu’y nous coûtent cher, ces parlementaires qui servent à rien !
– Moi, j’dis “dissolution de l’Assemblée Nationale” et “démission de Christophe (le) “CASTA-g-N-E-u-R” !
- Hugh, j’ai dit !”
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COLUCHE fait l’Apache, en référence aux “Apaches” de Ménilmontant, et salue les “Gilets Jaunes”, ces potes.
- Dommage que vous ne puissiez pas le voir !
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[Moi, je me renseigne et je tape sur l’ami Google voir si les références “Apaches” et “Ménilmontant” sont viables et valables.
– Meuh non, je ne doute pas, moi !
- Jamais.
– Si, tout le temps.
Tout le temps, je tente de vérifier de mon mieux, moi, la mortelle, ce que mes visiteurs me confient lors de leurs surgissements dans ma vie bassement terrestre.
- “Pass’que COLUCHE était un cancre !
- Y s’marre !”


- “Pour une fois qu’j’ai été primé, par un emp’reur, un César !”
C’est lui qui m’a demandé de l’écrire comme ça et c’est lui qui m’a guidée dans ma recherche en choisissant lui-même le texte explicatif qui lui convient le mieux.
– Alors “Apaches de Ménilmontant”, c’est quoi, cette espèce rare ?
- Réponse :
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http://www.absintheoriginals.com/apaches.html
L E G A N G D E S A P A C H E S T H E A P A C H E S G A N G
[Daily Mail – Lundi 14 février 2011
Simon Fanshaw
Question : Qui étaient les Apaches de Paris qui ont terrorisés certains quartiers de Londres au début des années 1900 ?
Les facéties et les méthodes des Apaches de Paris ont sans aucun doute inspirés de nombreux gangs de Londres au début du 20ème
siècle, mais c’était surtout et avant tout un phénomène Parisien.
L’industrialisation de Paris et de sa banlieue entre 1850 et 1870 a généré une immense pauvreté, et de là est née une génération de
jeunes endurcis sans emploi et sans éducation.
Dans les années 1880, ils forment des petites bandes organisés de 10 à 20 membres chacune, chaque groupe occupant un territoire
spécifique souvent basé aux alentours des ‘portes’, les anciennes fortifications qui encerclaient la capitale.
Ces portes, les seules entrées dans la ville, étaient gardées, les gangs étaient donc à Belleville, Ménilmontant, et dans d’autres banlieues
de Paris.
Il y a plusieurs histoires sur l’origine du nom « Apache », mais il semblerait qu’il soit né après qu’un journaliste d’une gazette Parisienne
rapporta : « la fureur de la bagarre opposant 2 hommes et une femme nous ramène à la sauvagerie des impitoyables Indiens Apache en
plein combat. »
A leur apogée, on devait compter pas loin de 20 000 jeunes enrôlés dans des gangs et vivant de gains engendrés par le vol, les
agressions, les cambriolages et la prostitution.
L’uniforme des Apaches était le pantalon ‘Lafont’, large en haut et serré en bas, la ceinture en flanelle, la chemise rayée, la veste ou la
salopette d’ouvrier, l’écharpe, la casquette, les bracelets et les chaussures en cuir, avec différentes couleurs d’écharpes, de ceintures, et
de casquettes afin de distinguer les différents gangs.
En plus d’utiliser les armes traditionnelles de gangs – couteaux, rasoirs, épées et cailloux – certains gangs utilisaient une sorte de pistolet
assez unique appelé le ‘révolver Apache’.
Il était constitué d’un pistolet à percussion sans barillet, de poings américains en guise de crosse, et d’un canif attaché sous le fût du
pistolet pour les attaques à bout portant.
Les Apaches avaient développé un ensemble de ‘ruses’ semi-codifiées utilisées lors d’agressions ou de combats au corps à corps, la plus
célèbre étant le ‘coup du père François’, une tactique dans laquelle la victime était suivies par plusieurs Apaches avant d’être étranglée
par derrière.
Un des Apaches était assigné au dépouillage des objets de valeur de la victime, pendant qu’un autre devait faire le guet.
Une autre ruse était surnommée ‘le poudrier’. L’assaillant était caché sous un porche ou dans une ruelle et lorsque le guet, ou ‘chouffe’,
donnait le signal d’attaquer, il projetait de la suie au visage de la victime afin de le dépouiller plus aisément.
Les Apaches avaient même développé leur propre forme d’art martial, un genre de kick-boxing appelé ‘Savate’.
Ils ont disparus dans les années 20, la plupart de leurs membres étant morts durant la première guerre mondiale.
A la même époque, Londres n’était en aucun cas immunisé contre les gangs de rue, les plus célèbres étant les Yiddishes, les Hoxton Mob,
les Watney Streeters, les Aldgate Mob, les Whitechapel Mob et la bande organisée des Italian Mob menée par Charles Sabini.

Daily Mail – Monday Feb 14 2011
Simon Fanshaw
Apaches’ gang show
Question: Who were the Paris Apaches who terrorised parts of London in the early 1900’s?
The antics and methods of the Paris Apaches no doubt inspired many London gangs of the early 20th century, but they were very much a
Parisian phenomenon.
The industrialisation of Paris and its neighbourhoods between 1850 and 1870 generated great poverty, and a tough generation of
unemployed and uneducated youths grew up.
In the 1880’s, they formed tightly organised gangs of between 10 and 20 members, each group inhabiting a specific territory often based
around the ‘gates’, the old fortifications that ringed the city. These gates, the only entrances to the city were levied. Thus, there were
gangs from Belleville, Menilmontant and other boroughs of Paris.
There are various stories as to how these gangs came to be known as Apaches, but it might have arisen after a Parisian gazette
journalist reported that: “The fury of a riotous incident between two men and a woman rose to the ferocity of savage Apache Indians in
battle.”
At their height, there might have been as many as 20,000 youths in gangs living off the proceeds of pick-pocketing, muggings, burglary
and prostitution.
‘Apaches’ developed a uniform of ‘Lafont’ trousers, broad at the top and narrow at the bottom, flannel belts, striped shirts, workers’
jackets or overalls, scarf, cap, leather bracelets and leather shoes with different coloured scarves, belts, and caps distinguishing different
gangs.
As well as using the familiar gangland weapons – knives, razor blades and stones – some gangs used a unique type of pistol called the
‘Apache revolver’.
This was a pinfire cartridge revolver with no barrel, a set of foldover brass knuckles for a hand-grip, and a folding knife mounted beneath
the revolver drum for use as a stabbing weapon.
The Apaches evolved a semi-codified system of ‘tricks’ used in mugging and hand-to-hand combat, the most famous of which was the
‘coup du père François’, a tactic by which a victim was stalked by several Apaches before being garrotted from behind.
One Apache was assigned the job of searching through the victim’s pockets for valuables, while another served as a lookout.
Another was the ‘powder-box trick’ where the attacker hid under a porch or in an alley and, when the observer or chouffe gave the signal
to strike, he threw a box of soot into the face of the victim enabling them to empty the victim’s pockets.
They even developed their own form of martial art, a type of kick-boxing called Savate or The Slipper. The Apaches died out in the
Twenties, many of their members having been killed in World War I.
In the same period, London was by no means immune to street gangs. Famous mobs included the Yiddishes, Hoxton Mob, Watney
Streeters, Aldgate Mob, Whitechapel Mob and the organised Italian Mob headed by Charles Sabini.]

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– “Bon, alors, demande COLUCHE, quand est-ce que vous les foutez dehors, vos Parlementaires qui servent à rien et qui vous coûtent très cher ?
- Virez-les, mer..e !
– Dehors, les fouteurs de merde qu’avez de la merde sur les yeux et qui voyez pas la souffrance de votre peuple !
S’aplatir devant le pouvoir en place, c’est mourir.
– Alors, on peut dire qu’aller voir l’Assemblée Nationale en France, c’est comme visiter le cimetière du Père Lachaise à Paris.
- Y’a des corps mais l’esprit est ailleurs !

- “Il a voulu vivre César, il est mort Pompée !” se serait moqué Georges CLEMENCEAU au sujet de la mort heureuse de Félix [“heureux” en latin] FAURE, l’heureux homme, décédé le 16 février 1899, agrippé à la chevelure d’une admiratrice et terrassé à 58 ans par les délices d’une gâterie.
Georges CLEMENCEAU aurait aussi ajouté cette citation assassine qui se prête fort bien aux propos de COLUCHE sur nos élus politiques français :
« Félix Faure est retourné au néant, il a dû se sentir chez lui ».
Puisque c’est COLUCHE qui a choisi l’image de la tombe de Félix FAURE, “mort dans la “béatitude” mais non canonisé !”

– “En plus, c’est des corps au repos, les morts-vivants qui votent vos lois.
Quand ils font une apparition à l’Assemblée Nationale, elle est fugace et rapide, l’apparition des “Sages” !
– S’ils enterrent la République française, faut les comprendre aussi.
- Y siègent à six pieds sous terre, c’est plus pratique pour eux !
Tu m’étonnes qu’y z’aient même prévu que ce soit le cimetière français des Lois votées qui leur paye leur dernière demeure,
- aux “demeurés” !
– “Ci-gît l’Assemblée Nationale, le Cimetière des cons représentant les autres cons qui font la leçon à la terre entière !”
- Tous au Père Lachaise pour réveiller les morts !”

- “Heureusement qu’Alexandre BENALLA, le pompier de service, était déjà parti !
Sinon ça s’rait encore d’sa faute !”

-conclut l’ami COLUCHE, euh pardon,
- l’ennemi public numéro un, COLUCHE,
- votr’Fureur/Fürher !”
-“Nan t’écris pas “votre Honneur”, Véro !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- Nan, nan et nan !
Hugh, j’ai dit !”
